italiques pour le reste. À la suite de la dernière fable arrivent les
variantes
du manuscrit, qui, quoique incomplètes, remplisse
e l’exemplaire de Sainte-Geneviève, et il ajoute qu’il renferme « les
variantes
des manuscrits ». Il est possible que M. Berger d
sible que M. Berger de Xivrey ne l’ait pas connu ; mais à l’égard des
variantes
, Daunou se trompe ; car l’exemplaire ne contient
entreprit plus tard Dom Vincent sur celui de Reims, il en reporta les
variantes
sur l’exemplaire imprimé. Aussi a-t-il été d’un g
gnes. Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les
variantes
du manuscrit de Pithou. À la suite de la dernière
ait pas de l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire. En effet, à la fin des
variantes
qu’il en extrait, il l’appelle vet. ex. Cat., ce
terme à leur incertitude. Il porte écrites de la main de Rigault les
variantes
du manuscrit avec les initiales V C, c’est-à-dire
sance du manuscrit, et, ainsi que je l’ai expliqué, en transporta les
variantes
en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou.
e ressemblance avec celui de Pithou, ce manuscrit présentait quelques
variantes
. Il les copia en marge d’un exemplaire de l’éditi
e la seconde augmentée des fables d’Avianus, Rigault répéta les mêmes
variantes
. Ceux qui n’auront dans les mains que ces deux éd
eux éditions, pourront être portés à croire que Rigault se servit des
variantes
du manuscrit de Reims, même pour sa première édit
lt avait insérées dans sa première édition, elles relevaient bien les
variantes
du manuscrit de Daniel dont j’aurai bientôt à m’o
ait eu la patience de transcrire en marge avec un soin méticuleux les
variantes
du manuscrit de Reims. L’édition Brocas, étant un
ulu que son travail fût complet : pour faire exactement connaître les
variantes
du manuscrit relatives aux fables bannies de l’éd
t, le texte entier de ces fables ; mais il avait du moins indiqué les
variantes
, par lesquelles elles différaient du texte de l’é
e Brocas, Dom Vincent n’avait inscrit qu’à partir de la cinquième les
variantes
du manuscrit ; sans s’en apercevoir, il avait omi
t promis, il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les
variantes
écrites de sa main, il s’aperçut de son omission,
a veuve Brocas, et il en publia, avec un soin remarquable, toutes les
variantes
manuscrites en regard des mots correspondants du
lheureusement M. Berger de Xivrey, qui a pris la peine de publier les
variantes
signalées par Dom Vincent, n’a pas cru devoir rep
indiquer les mots du texte imprimé qui étaient en désaccord avec les
variantes
manuscrites. Ce procédé offre des inconvénients n
e manuscrit de Pierre Pithou et de substituer à ses leçons toutes les
variantes
signalées par Dom Vincent. On ne tarde pas, en pr
Vincent. On ne tarde pas, en procédant ainsi, à s’apercevoir que ces
variantes
se réduisent à peu de chose. En effet, dans la pl
il en avait été ainsi, il serait impossible de fournir exactement les
variantes
des titres. Heureusement, en examinant de plus pr
les variantes des titres. Heureusement, en examinant de plus près les
variantes
du manuscrit de Reims, j’ai remarqué que, toutes
t néanmoins reconnaître que, tout en se servant avec discernement des
variantes
de Dom Vincent, on ne pourrait, si l’on n’employa
dit, Dom Vincent avait oublié de reporter sur l’édition imprimée les
variantes
des trente-quatre premiers vers du manuscrit. Ens
reproduit dans l’édition Panckoucke105, ensuite, pour le surplus, aux
variantes
, que, d’après le Père Sirmond, Rigault a publiées
ne me paraît pas avoir vu le manuscrit de Reims ; il n’en a connu les
variantes
que par les notes écrites de la main du Père Sirm
lieu, Gude, dans l’indication de la source à laquelle sont prises ses
variantes
, manque très souvent de précision. En général, el
emière idée, c’est que de place en place on trouve dans ses notes des
variantes
précédées de cette autre abréviation MS. Rem. Les
tenir compte, pour combler les vides laissés par Dom Vincent, que des
variantes
qui porteraient avec elles l’indication expresse
enir pour bien constant, écrit-il dans son édition de 1831, que toute
variante
tirée par Gude de MS, quoiqu’il n’ait pas toujour
dans le manuscrit de Reims106. » Suivant lui, Gude n’a pu puiser les
variantes
du manuscrit de Pithou que dans l’appendice de l’
ur prendre quelques exemples au début seulement du premier livre, les
variantes
queris et gravis, portant l’une sur le vers 7 de
le prouve, c’est, dans le vers 8 de la fable Ranæ regem petentes, la
variante
omnino insueti sonus, qui, quoique n’appartenant
tres MS ; ce qui le prouve encore, c’est que, lorsqu’au contraire une
variante
lui est indiquée comme commune aux deux manuscrit
ver l’insuffisance des indications données par Gude sur l’origine des
variantes
, on est plongé par lui dans un embarras d’un autr
st plongé par lui dans un embarras d’un autre genre. Ainsi, sur telle
variante
donnée, il lui est arrivé assez fréquemment d’êtr
xemples tirés du livre I, tandis que Gude avait lu dans la fable x la
variante
forte et dans la fable xi la variante ut ipse, Do
ude avait lu dans la fable x la variante forte et dans la fable xi la
variante
ut ipse, Dom Vincent a cru apercevoir forti et ip
r. Ce n’est pas à dire non plus qu’il faille accepter aveuglément les
variantes
de Dom Vincent ; car le volume qui portait ses no
oute. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre considérable des
variantes
relevées par Dom Vincent en marge de l’édition cl
e conclusion seraient dupes d’un mirage trompeur. Le grand nombre des
variantes
ne vient que de ce que la veuve Brocas, adoptant
y a mieux : quand le même mot figure dans le texte imprimé et dans la
variante
manuscrite et que la différence provient de leur
la différence provient de leur orthographe, c’est l’orthographe de la
variante
qu’on retrouve dans le manuscrit de Pithou. Ce qu
en deux manuscrits. Il ne peut y avoir d’incertitude à cet égard. Les
variantes
qui les différencient, quoique peu importantes et
Pithou, telles que dos au lieu de mos, et fauce au lieu de face ; une
variante
surtout lui semble significative : dans les éditi
e s’en était servi. Dans son édition de 1599, il en avait signalé les
variantes
qui lui paraissaient les plus importantes. Quant
lon le P. Desbillons, qui devrait dire deux tiers, puisqu’on cite des
variantes
depuis la première jusqu’à la xxie fable inclusi
arqué que jusqu’à la xxie fable les éditions savantes révélaient des
variantes
tirées du manuscrit de Daniel, et il en avait con
s Danielis Chartula, il a soin d’insérer dans des notes spéciales les
variantes
du manuscrit qu’il déclare avoir transcrites d’ap
er livre qu’il a voulu parler. Malheureusement, en dehors des fausses
variantes
qu’il avait si ingénument reproduites, il avait c
n fragment ; car il ne contient qu’une partie du premier livre et des
variantes
depuis la première jusqu’à la xxie fable141. » V
1. » Voilà maintenant le manuscrit de Daniel, qui présente encore des
variantes
applicables aux vingt et une premières fables. C’
au nombre des fables, il me reste à relever, au sujet des prétendues
variantes
tirées du manuscrit de Daniel, les incroyables bé
à présenter sur cette fable, comme tirées du manuscrit de Daniel, des
variantes
, qui dès lors ne pouvaient qu’être purement imagi
avaux de Schwabe, M. Berger de Xivrey signale, dans une note, la même
variante
et lui attribue la même source144. Après avoir ai
t le même M. Berger de Xivrey, dans une autre note, indique une autre
variante
qui serait fournie par le second vers, et suivant
e édition de cet ouvrage, je n’avais pas déjà, par la publication des
variantes
, fait ressortir les particularités du modèle, les
nger sa préface, et, négligeant les fables nouvelles, de signaler les
variantes
qu’offraient les anciennes dans le manuscrit de P
ippe et le Père Gabriel Brotier en auraient fait usage pour noter les
variantes
du manuscrit de Perotti. Il est vrai que Philippe
es du manuscrit de Perotti. Il est vrai que Philippe avait relevé ces
variantes
dans l’édition qu’il publia, non pas, comme le di
m lectionum que contient son édition, Philippe, lorsqu’il signale les
variantes
du manuscrit de Perotti, en indique la source par
is de copie du manuscrit de Parme, Philippe a-t-il pu en extraire les
variantes
? La réponse est facile : il lui a suffi de les p
a fable ii du Livre III intitulée Panthera et Pastores, au lieu de la
variante
irati du vers XVI indiquée par Burmann, Philippe
nt eu à leur disposition deux copies distinctes. Burmann n’avait, des
variantes
du texte de Perotti, publié que celles qui concer
aux fables anciennes, il peut reproduire plus ou moins fidèlement les
variantes
publiées par Burmann ; mais il n’en découvre aucu
une copie du manuscrit de Perotti. Comme Philippe, il ne vise que les
variantes
déjà révélées par Burmann, et chaque fois, par le
à sa parfaite conformité avec la description donnée par Burmann, aux
variantes
placées par celui-ci à la fin de sa préface, et q
ace en cinq pages est signée de Renouard. Les fables sont suivies des
variantes
du manuscrit sous ce titre : Perottini codicis s
uer les mots pontificem maximum à la véritable leçon. En étudiant les
variantes
que les fables anciennes présentent dans ses manu
t ancien, et Rigault, qui avait ensuite, dans ses éditions, donné les
variantes
de ce manuscrit et de ceux de Daniel et de Reims.
t editus a Cataldo Jannellio eiusdem regiæ bibliothecæ scriptore, qui
variantes
etiam Lectiones adposuit ; tum deficientes et cor
lecteur, la vie de Phèdre et la table, et suivies de 2 consacrées aux
variantes
. Fedro recato in versi italiani di vario metro,
avait eu le manuscrit de Daniel en sa possession, en a transcrit les
variantes
et a laissé ainsi un spécimen de son écriture, qu
crit sa copie, et, comme elle diffère du texte de Nilant par quelques
variantes
intéressantes, j’ai cru devoir lui donner une pla
hinc sic occœpit loqui, ce qui substituait un vers faux à toutes les
variantes
; car, à moins de contracter en une syllabe le mo
tris meritis uti non potes. Tross propose pour ce dernier vers cette
variante
: Quia digna nostris meritis uti non potes. Pas
es s’écartent de celui des manuscrits du premier groupe par de telles
variantes
que, si l’on ne craignait pas de pousser trop loi
r les trois manuscrits du second groupe comme contenant, malgré leurs
variantes
, la même collection que les trois du premier. La
ijonais et Burnéien, qu’il n’y a à relever qu’un très petit nombre de
variantes
qui peuvent être mises au compte du savant copist
de la ville du Mans possède un manuscrit, qui, malgré les nombreuses
variantes
qu’il présente, doit être considéré, non comme un
avec les trois précédents. Je dois ajouter que son texte présente des
variantes
assez nombreuses, qui sont en général le résultat
effet il ne diffère guère de celui du manuscrit Burnéien que par des
variantes
consistant le plus souvent, non dans des mots dif
plus correctement à l’aide d’un autre manuscrit, mais avec les mêmes
variantes
imaginées par lui, reproduisit ensuite les 29 fab
l’ai expliqué, les fables du Miroir doctrinal offrent avec les mêmes
variantes
le même texte que celles du Miroir historial. J’a
i elles en sont la copie littérale ou n’en diffèrent que par quelques
variantes
. Quant aux quinze dernières, elles sont très diff
; car tous les manuscrits, comparés entre eux, offrent d’innombrables
variantes
, qui ne permettent pas de parvenir avec certitude
ième aujourd’hui disparu, j’ai, dans ma première édition, extrait les
variantes
présentées par les deux qui subsistent, et je les
dire qu’il en est ressorti que les deux manuscrits offrent chacun des
variantes
, qui non seulement les font différer entre eux, m
alement recours au manuscrit de Petau et qu’il y dut prendre quelques
variantes
, selon lui, plus conformes au véritable texte.
D’abord les fables du manuscrit 1595 offrent un très grand nombre de
variantes
. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple tiré du premi
a que six. Ces fables, comme les 59 qui les précèdent, présentent des
variantes
qui ont le même caractère. Les 49 fables, qui for
dans laquelle il fit entrer les fables d’Ugobard de Sulmona, avec des
variantes
empruntées du manuscrit de Haenel et de celui de
ne, fable dont il ne reste que les sept premiers vers. Les nombreuses
variantes
que ces fables présentent font regretter que la c
nville library. Cela me dispense d’en donner la description. Sans les
variantes
qu’offre le texte latin, je croirais que les troi
oirais que les trois manuscrits émanent du même copiste. Mais, si ces
variantes
sont trop nombreuses pour que j’insiste sur cette
plus de la moitié. Quant aux fables elles-mêmes, elles présentent des
variantes
nombreuses et même des développements qu’on retro
, qui paraît être du commencement du xive siècle, se trouve avec des
variantes
nombreuses dans les quatre manuscrits français de
ppartenu, et, selon lui, il mérite d’être examiné à cause de quelques
variantes
et corrections tirées d’autres manuscrits et prob
Mocenigo, tantôt de ceux de la Laurentienne, mais différencié par des
variantes
et un peu modernisé. Manuscrit 2805. Ce man
du Méril, en publiant les fables de Neckam, a eu soin d’indiquer les
variantes
qui le font différer du manuscrit de la Bibliothè
compare à celui du manuscrit 24432, on y trouve un certain nombre de
variantes
que M. Robert a d’ailleurs pris la peine de signa
a pour deux raisons, d’abord parce que, s’éloignant par de nombreuses
variantes
du manuscrit 303, on doit le supposer à peu près
Devais-je y voir le Romulus ordinaire plus ou moins dénaturé par des
variantes
, qui, si nombreuses qu’elles fussent, ne l’avaien
int d’en faire, non une copie, mais une imitation ? Au contraire, ces
variantes
avaient-elles assez altéré le modèle pour en fair
ordinaire, il y en a qui, comme le manuscrit du Mans, renferment des
variantes
aussi nombreuses qu’importantes. Pour regarder le
r, je lui confiai ce travail. Quand il me fut parvenu, j’examinai les
variantes
qu’il offrait, et, avant de me demander si elles
e plus utile, s’il s’était borné à publier, en y ajoutant en note les
variantes
de son manuscrit, les fables de Romulus telles qu
. Il déclarait ne pas comprendre de quelle utilité pouvaient être des
variantes
vicieuses. Aussi, lorsqu’il entreprit la publicat
cent trois premières pages. Elles sont accompagnées de deux séries de
variantes
. Il y a une première série commençant par ce titr
première et indiqué les sources des deux séries : « N a . Toutes les
variantes
qui suivent sont de la main de M. le comte de Cay
tes, les manuscrits des fables de Marie offrent encore d’innombrables
variantes
, qui pourtant n’empêchent pas d’y reconnaître une
ois, sera d’avis qu’en publiant, d’après le manuscrit 347 C, avec les
variantes
offertes par le manuscrit 347 B, celle qu’on trou
’a fait suivre de cette souscription : Expliciunt ethisi. Sauf les
variantes
que, lors même qu’ils renferment le même texte, l
du Corpus Christi, sur le manuscrit qui les renferme, les nombreuses
variantes
qu’elles présentent, et, quoique ces variantes so
nferme, les nombreuses variantes qu’elles présentent, et, quoique ces
variantes
soient très fautives, je n’ai pas cru devoir les