e canti e gridi Sì che si desta ognun da l’importuno Suon de la voce
tua
rauca e noiosa, E perde il soavissimo riposo Del
to allhor : bench’io potrei Gettar a terra con ragion possente Queste
tue
scuse vane, inutilmente Non voglio perder la fati
rder la fatica e ’l tempo : Ma passerò più avanti rimembrando L’altre
tue
colpe di castigo degne. E che dirai profano, scel
i con lascivia immensa Con le sorelle, con le figlie, e insino Con la
tua
madre carnalmente giaci ? Rispose a questo il Gal
utile altrui. Allhor il Gatto : benché ogni ragione Veggia in
tua
scusa non è di ragione Però ch’io lasci al tuo ca
rrogea les devins sur son fils en bas âge. Ils prédirent qu’il serait
tué
par un corbeau. Épouvantée de cette prédiction, e
nstruire une arche très grande et l’y enferma, pour l’empêcher d’être
tué
par un corbeau ; et tous les jours, à des heures
insi que le corbeau de l’arche, s’abattant sur le haut de sa tête, le
tua
.
o le disse. Se tu malvagia ciò facesti al Cane, De l’insolenza
tua
ben ti dorresti, Ben t’avvedresti de la tua pazzi
i al Cane, De l’insolenza tua ben ti dorresti, Ben t’avvedresti de la
tua
pazzia, Né lungamente te n’andresti altera. Ella
t rien à lui offrir, s’en fut vers sa perdrix privée, et il allait la
tuer
, quand elle lui reprocha son ingratitude : « Ne l
elant les oiseaux de sa tribu et en les lui livrant ? et il allait la
tuer
! – Raison de plus pour t’immoler, répondit-il, p
nta folia tu meco ardisci, Che con un piede sol franger potrei L’ossa
tue
tutte, e far tue forze vane, S’io mi degnassi di
ardisci, Che con un piede sol franger potrei L’ossa tue tutte, e far
tue
forze vane, S’io mi degnassi di contender teco, N
ia degna, Sol de l’ingegno in ogni parte manchi. Colui, che in
tua
presenza assai ti loda, A tua semplicitade ingann
ogni parte manchi. Colui, che in tua presenza assai ti loda, A
tua
semplicitade inganno ordisce ; E di giudicio assa
e homines inedia pereant, multorum succurris inopiæ. Cæteras uirtutes
tuas
laudo et admiror, hoc autem pietatis opus quibus
lucubratiunculam mei in te amoris et obseruantiæ testem. Tu uero pro
tua
humanitate hoc exiguum Abstemii tui munus læto an
pasce Di miglior cibo ; perché allhor s’appressa (Né vorrei dirlo) di
tua
vita il fine ; Quando egli ha gran piacer, che tu
ngrassi, Stando in quiete, e in dolce almo riposo Per goder poi de le
tue
carni un giorno. Utile è il mal, che per buon f
Sempre è di mal oprar ; e ti faranno Le prime ingiurie, e da
tua
ria ventura Ad ingiuriar gli altri impareran
e l’uova usciranno, Faran col tempo eterna ingiuria poi Con
tua
gran pena a’ proprii figli tuoi. Lasciale dunqu
Si un loup n’emportait pas de mouton hors de la bergerie, lui-même en
tuait
un en cachette et le mangeait avec les chiens. Ma
iens. Mais à la fin le berger devina et comprit ce qui se passait, et
tua
le loup en le pendant à un arbre. Cette fable mon
sa dice. Io ti giuro per Venere o malvagia, Che se più dietro vai con
tue
parole Me, che non mai t’offesi, ingiuriando, La
ancora odia coloro, E prohibisce a i sacrificii suoi, Che de le carni
tue
vili et impure Si faccian pasto : anzi di più gli
quit ingenium sum sortita præstantius, quo sæpius quam tu pernicitate
tua
canes eludo. » Hæc indicat fabula (corporis uelo
Aquila « Hoc facerem respondit, ni uererer, ne quæ intra regiam fiunt
tua
loquacitate cuncta efferres. » Hæc fabula monet
rio valor di sorte eguale. E cedendo al voler de la natura Vivi de la
tua
sorte ognihor contenta : Né tentar con pericol ma
la tua sorte ognihor contenta : Né tentar con pericol manifesto De le
tue
forze l’impossibil opra. Ella, che non vol
iter eam interrogaret quid gratiæ sibi referre posset. « Aures inquit
tuas
mellifluis cantibus demulcebo. » « At ego inquit
122 Bb 73. Un homme, ayant pris à la chasse une perdrix, allait la
tuer
. Elle le supplia en ces termes : « Laisse-moi viv
ace je te ferai prendre beaucoup de perdrix. – Raison de plus pour te
tuer
, repartit l’homme, puisque tu veux prendre au piè
Siler ridens inquit. « Cur me deseris uicina ? Vbi est nunc fortitudo
tua
? » Fabula significat sapientiores esse, qui pot
ulit auris onus. Viue minor merito, cui sors non sufficit, inquit, et
tua
perpetuum, liuide, damna geme.
ritti, In modo tale al suo figliuol rispose. Ahi come, figlio,
tua
semplicitade Te stesso inganna ; e non conosci an
ggio, che si trovi in terra, Perfido, iniquo, fiero, discortese, E di
tua
specie natural nimico : E sol ti si mostrava in v
tural nimico : E sol ti si mostrava in vista humano Sol per assicurar
tua
puritade Di farsegli vicina, onde potesse Dapoi s
s un œuf d’or. Il crut que dans son corps elle avoit un tresor. Il la
tua
, l’ouvrit, et la trouva semblable A celle dont le
ro farti, Ti convien prima assicurarmi ch’io Non sia mai per haver da
tua
fierezza Oltraggio alcuno, et così la fanciulla,
poi lieti e sicuri, E tu ti goderai con dolce pace L’amata sposa a le
tue
voglie pronta. Udito ciò il Leon, benché a
es paulatim demoror austros et quamuis leuibus prouida cedo notis. In
tua
praeruptus offendit robora nimbus ; motibus aura
ait le rassemblement ayant été pris par les ennemis, criait : « Ne me
tuez
pas, camarades, à la légère et sans raison ; car
« Ne me tuez pas, camarades, à la légère et sans raison ; car je n’ai
tué
aucun de vous, et, en dehors de ce cuivre, je ne
ra pererras, donec se siluis obuia praeda ferat. Perge igitur nostris
tua
subdere colla catenis, dum liceat faciles promeru
aver teneasi, Usò cotal ragione in sua difesa. Misera a che la
tua
beltà deveasi Tanto prezzar, se nell’estate
ab episcopo extorquere. « Reuerende inquit pater saltem benedictione
tua
me pro strena imperti. » Tunc episcopus « Flecte
FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. Le Renard avoit
tué
beaucoup de Poules à un Paysant, qui pour se veng
esté bien fol de croire que le Coq me seroit fidele, apres luy avoir
tué
tant de femmes ? » Discours sur la soixante-cin
e plaisait en ce lieu, la prit à la glu. Alors, se voyant près d’être
tuée
, elle dit : « Malheureuse que je suis ! pour le p
ees tut l’an purchaçot e atraheit e traveillot, li ert toleit, si ert
tué
e de sa meisun fors geté. « Jeo e mes cumpainuns
esto prato Fosti in tal modo di parlarmi ardito. Questa, dico, è, che
tua
viltà sicura Da me rendendo, tai parole move, E f
no, Che d’oprar mio valor teco mi sdegno. Et però non potrà la
tua
pazzia Tanto oltraggiarmi col suo stolto ris
Abstemi nec digna obelo monimenta nec astro, Libraque quod faciat nil
tua
Lector habet. Omnia cognouit perpendit singula, n
tu fuggi e cedi, Né forza mostri, onde far possi offesa A qualunque a
tua
vita insidia pone. Ond’io chi cerca di turbar mia
ianco Sì, che stando congiunti ad un ci urtiamo, Come allhor salvo la
tua
forte scorcia Te renderà dal suo furor protervo ;
a, ch’a te sola Ritorna a bene, et è conveniente A la necessità della
tua
sorte ? Certo che tu ben pazza sei se ’l credi.
ue qu’il nurisseit ; tant la nurri que ele parla. Un sun veisin la li
tua
. Cil s’en clama a la justise, si li cunta en quei
et à travers ? » Elle répondit : « C’est notre façon de vivre ; ne ma
tue
pas ; car je ne puis pas faire grand mal. » L’hom
il plaustro : Ch’allhor, se da persona di valore Facendo sforzo a la
tua
debil possa Mi chiamerai in soccorso al tuo bisog
o favola del volgo Con suo danno e dolor schernito giace. Ogni opra
tua
col tuo poter misura.
esa, Sarò minor di te, putrida e vile, Che non hai pianta a
tua
viltà simile ? Io l’oltraggio de’ venti, e le t
en les éveillant la nuit pour leurs travaux. « Raison de plus pour te
tuer
, s’écrièrent-ils ; car, en éveillant les hommes,
ien mérité ; pourquoi ai-je sauvé, petits, des animaux qu’il faudrait
tuer
, même adultes ? » Sauver les méchants, c’est leur
Venus Il le croit en son pot, et déjà luy fait feste. Tandis qu’à le
tuer
mon Villageois s’appreste, La Fourmy le picque au
i sicura. Perché fin che qui dentro ognihor ti stai Pascendo a voglia
tua
l’ingorda gola, Sempre starai nella medesma pena,
it dans son sein. Réchauffé, le serpent reprit son naturel, frappa et
tua
son bienfaiteur, qui, se sentant mourir, s’écria
avail. Celles-ci, continuellement exténuées de fatigue, décidèrent de
tuer
le coq de la maison ; car, à leurs yeux, c’était
et pensant, ce qui était vrai, qu’il y avait une bête cachée dessous,
tuèrent
la biche à coups de traits. Celle-ci se sentant m
pour s’y cacher ; mais elle fut prise par le lion et, tandis qu’il la
tuait
, elle s’écria : « Malheureuse que je suis ! en fu
eux, coupe plus haut ; si au contraire c’est ma chair que tu désires,
tue
-moi une fois pour toutes, et cesse de me torturer
παῖδα αὐτοῦ ἀποκτείνας> – Le laboureur et le serpent qui lui avait
tué
son fils. Γεωργοῦ παῖδα ὄφις ἑρπύσας ἀπέκτειν
pent, s’étant approché en rampant de l’enfant d’un laboureur, l’avait
tué
. Le laboureur en ressentit une terrible douleur ;
antost un autre ; de maniere qu’à force d’aller à cette chasse, il en
tua
plusieurs avecque le temps. Les Rats cependant, v
œufs d’or. Croyant qu’elle avait dans le ventre une masse d’or, il la
tua
et la trouva semblable aux autres poules. Il avai
que la déesse me chérit, puisqu’elle repousse absolument quiconque me
tue
ou me maltraite de quelque façon que ce soit. Qua
lles, qu’il tuoit à l’instant, il prit aussi une Cigale, qu’il voulut
tuer
de mesme ; ce que voyant la Cigale, “ô homme”, lu
l observa le moment où le serpent dormait, le saisit à la gorge et le
tua
. En le voyant étendu mort, il dit : « Hé ! camara
tto In cotal modo a l’huom sdegnoso disse. Frate dapoi, che da
tua
bocca io veggio Il caldo, e ’l freddo uscir con e
a, è quel solo Rimedio, che può trar di tanto affanno Com’io desio la
tua
real persona. Inteso ciò il Leon comanda allhora
bée à terre, fut prise par une belette. Se voyant sur le point d’être
tuée
, elle demanda la vie. La belette lui dit qu’elle
sacrifié un mouton et l’invita au festin ; son intention était de le
tuer
, quand il serait couché à table. Le taureau vint
attaque un ennemi qui se fait petit à dessein et qu’on se fait ainsi
tuer
par lui.
allèrent trouver Zeus et le prièrent de leur donner de la force pour
tuer
à coups d’aiguillon ceux qui s’approcheraient de
soubs-riant ; « et c’est pour cela mesme que j’ay sujet de te vouloir
tuer
, pource qu’il ne faut offencer personne, ny peu,
atur. Rursus quom tuorum in me officiorum numerum diuinasque uirtutes
tuas
mecum ipse reuoluerem, indignum tantis meritis, t
cernebam. Hanc tandem dubitationem meam amouit humanitas et prudentia
tua
, qua non tam res tibi dono datas, quam offerentiu
. Le Berger s’en alla donc assaillir le Loup, et fit si bien qu’il le
tua
, tellement que par cette mort le Renard demeura M
ssi de longue durée : car un peu apres le mesme Berger le prit, et le
tua
. Discours sur la trente-neufviesme Fable. De
t, et luy dit qu’Esope vivoit encore, et qu’il ne l’avoit point voulu
tuer
, pour ce qu’il se doutoit bien qu’à la fin le Roy
oyait le petit enfant et lui disait : « Si le loup vient ici, nous le
tuerons
, mon enfant. » En entendant ces mots, le loup se
er de vie à trépas. Le lion, pour n’être qu’un lion en peinture, n’en
tua
pas moins le jeune homme, à qui l’artifice de son
entiere aux jeux Olympiques, portant sur ses espaules un Bœuf, qu’il
tua
d’un coup de poing, apres l’avoir déchargé ; Ce q
rà tanto bisbiglio De la gente, che passa, e che mi vede Di
tua
salute haver poco consiglio. Il figlio tosto ub
e causeur, fut de s’enquerir si le Capitaine General n’avoit pas esté
tué
sur la place, tant cette maudite demangaison de p
e ; il fera peur à tes enfants, et tu seras à la fin contrainct de le
tuer
de ceste mesme main dont tu luy as desja conservé
seule cause d’une perte qu’il a faite la nuict passée pour luy avoir
tué
son coq, qui étoit vaillant et aguerry au possibl
Olim senio debilem Frustra adjuvare bonitas nitetur
tua
. Il lui semble résulter du mot olim que, lorsque
ainebleau, dans la galerie des Cerfs, confesser par le curé d’Avon et
tuer
à coups d’épée par deux de ses gardes120. Obligée
luisses pati, Nec illam expertus esses contumeliam, Nec hanc repulsam
tua
sentiret calamitas. » Si maintenant on se repor
luisses pati, Nec illam expertus esses contumeliam, Nec hanc repulsam
tua
sentiret calamitas. » Je passe maintenant à la
uisses pati, Nec illam expertus esses contumeliam, Nec hanc repulsam
tua
sentiret calamitas. Voyons maintenant comment l
ret, tunc unus ex illis ait illi : Dic nobis si non erubesceres ut et
tuas
uestes amasses et quod natura dedit hoc tibi suff
los agno uaganti canis. Ph. . . . . . . . . . non est hic mater
tua
. R. Non est hic mater tua. Ph. Ove
. . . . . . . . . non est hic mater tua. R. Non est hic mater
tua
. Ph. Ovesque segregatas ostendit procul.
ndo liceat aliorum errores reprehendere. 3. (Ici le titre manque) Cum
tua
peruideas mala lippus inunctis, etc. 4. Quod corr
. Mais leur vogue était passée. De même qu’au moyen âge elles avaient
tué
Phèdre, de même les traductions qui en avaient ét
e Singe, son petit et l’Ours. 28. Le Chien qui garde son maître
tué
. 29. L’Enfant qui se noie et le Chien qui l
to meum, Et ora frenis continet spumantibus… Romulus : Verba
tua
non pavesco, sed hujus, qui prima sella sedet, qu
ui prima sella sedet, qui frenis ora temperat. Anonyme : Nec
tua
facta nocent, nec tua verba mihi, Qui mea
qui frenis ora temperat. Anonyme : Nec tua facta nocent, nec
tua
verba mihi, Qui mea frena tenet, qui mea
ne, fille de Jean de Luxembourg, l’aveugle et héroïque roi de Bohême,
tué
à la bataille de Crécy. Elle mourut en 1349, un a
me de la fable xlvi, De Vulpe et Lupo : Ille refert : Pro me vigilat
tua
cura, precari… 12º Bibliothèque de Brescia.
Perche l’ingegno mio troppo e legiero Ornar convienmi Esopo di
tue
fronde, Per far al mio rimar perfette sponde,
, la Médisance, l’Envie, l’Orgueil firent tant qu’ils parvinrent à le
tuer
en trahison dans un tournoi. “Ah ! comte Guillaum
ut stellæ, et rostri tui gratiam quis posset describere ? Si ergo vox
tua
dulcis esset et sonora, non video quomodo aliqua
ment. — Cui Leo contra sic dixisse fertur : Poterat et me terrere vox
tua
, si son scirem quis esses. Romulus de Nilant. As
c dixisse fertur : Si te non nossem quis esses, posset me terrere vox
tua
. Dérivé complet. Veni mecum in proximum montem,
Cum nulli noceam, cuilibet ipsa noces. Est mea parcendi speculum,
tua
vita nocendi. Ut comedas vivis, comedo ne vivere
m et apostolicam benedictionem. Etsi pietatem singularem qua majestas
tua
spectate floret plane cognoscentes, nihil opus es
, cum præsertim certi simus ea, quæ recta ratio propriaque benignitas
tua
a te sponte impetratura fuisset, libentius te ac
ubius cui ascriberem apud me tenui nec illam edidi. Nam cum dominatio
tua
ad eiusdem cardinalatus dignitatem dei omnipotent
tinum venit : meisque vigiliis lucubrationibusque. Quare si dominatio
tua
libenti animo hanc vitam acceperit, id profecto e
t ampla aliis impendere. Preterea, si quando dabitur ocium, dominatio
tua
semel eam perlegerit : non dubito quin hunc Esopu
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