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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 257 » pp. 67-67
Me 46 Mf 41. Deux hommes voyageaient de compagnie. L’un d’eux ayant trouvé une hache, l’autre dit : « Nous avons trouvé une
pagnie. L’un d’eux ayant trouvé une hache, l’autre dit : « Nous avons trouvé une hache. – Ne dis pas, reprit le premier : nous
avons trouvé une hache. – Ne dis pas, reprit le premier : nous avons trouvé , mais : tu as trouvé. » Quelques moments après, i
he. – Ne dis pas, reprit le premier : nous avons trouvé, mais : tu as trouvé . » Quelques moments après, ils furent rejoints pa
es perdus, reprit celui-ci, mais : je suis perdu ; car, lorsque tu as trouvé la hache, tu ne m’as pas mis de moitié dans ta tr
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
ον. » Cod. Mb 173. Un âne et un chien faisaient route ensemble. Ils trouvèrent à terre une lettre cachetée. L’âne la ramassa, ro
ssi lui dit-il : « Descends de quelques lignes, très cher ; peut-être trouveras -tu dans la suite quelque chose qui se rapporte à
à la viande et aux os. » L’âne ayant parcouru tout l’écrit, sans rien trouver de ce que le chien cherchait, celui-ci reprit la
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapit
rés d’une motte de terre, esloignée de luy d’environ quatre pas, et y trouva le thresor, dont il estoit question : S’estant mi
se de les entendre, que de posseder tout l’or, que tu sçaurois jamais trouver  ». « A cela ne tienne », reprit Esope ; « Sçache
aureum. C’est à dire, Si tu recules quatre pas, en foüillant icy tu y trouveras quantité d’or ». Xanthus estonné du grand esprit
nisti thesaurum. C’est à dire, Rend au Roy Denis le thresor que tu as trouvé  ». Comme Xanthus eust recognu tout de bon que ce
ureum. Ce qui signifie, Partagez entre vous le thresor, que vous avez trouvé en vous en allant ». « Puis que cela est », concl
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
in. Esope s’en alla donc au Marché, d’où il apporta tout ce qu’il pût trouver de plus exquis, pour faire un banquet. Mais comme
ais comme il voulut mettre toutes ses provisions dans la salle, ayant trouvé sa Maistresse sur le lict, où elle s’estoit mise
c appresté tous les autres mets, les apporta en la mesme salle, où il trouva que sa Maistresse dormoit, les fesses tournées de
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
é l’Ours du bois, comme il s’en alloit cherchant dequoy repaistre, il trouva des Ruches en son chemin, et se mit à lécher le m
ont, que se mettre en danger d’en souffrir une infinité. Nous pouvons trouver d’assez beaux exemples à ces Veritez, en la plusp
Mais ce qu’il y a d’insupportable en leur humeur, c’est qu’il ne s’en trouve que trop parmy eux, qui sont bien contents de fai
res explications, et dans la Politique, et dans la Morale. Mais je ne trouvé pas à propos de grossir d’avantage ce Volume ; Et
cerité de mon intention, et qu’il prendra seulement pour luy ce qu’il trouvera de plus propre à contenter son Esprit, et à moder
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
restre et sans Notaire, De la Discorde n’ont que faire. Pour la faire trouver aux lieux où le besoin Demandoit qu’elle fust pre
à jour arresté. Comme il n’estoit alors aucun Convent de Filles, On y trouva difficulté. L’Auberge enfin de l’Hymenée Luy fut
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 226 » p. 154
Pa 149 Pf 82 Ph 74 Me 105 Mj 99. Un loup, passant dans un champ, y trouva de l’orge ; mais ne pouvant en faire sa nourritur
l rencontra un cheval et l’amena dans le champ ; il avait, disait-il, trouvé de l’orge ; mais, au lieu de la manger lui-même,
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
comparoistre aux pieds de ma grandeur. Si dans son composé quelqu’un trouve à redire,
 Il peut le declarer sans peur : Je met
jugea qu’à son appetit
 Dame Baleine estoit trop grosse.
 Dame Fourmi trouva le Ciron trop petit ;
 Se croyant pour elle un co
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 261 » pp. 178-178
123. Un voyageur, qui avait de longs trajets à faire, fit vœu, s’il trouvait quelque chose, d’en consacrer la moitié à Hermès.
s’il trouvait quelque chose, d’en consacrer la moitié à Hermès. Or il trouva une besace où il y avait des amandes et des datte
vœu ; car j’ai partagé avec toi le dehors et le dedans de ce que j’ai trouvé . » Cette fable s’applique à l’avare qui, par cupi
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71
Chambry 62 Ἄνθρωπος λέοντα χρυσοῦν εὑρών — L’homme qui a trouvé un lion d’or. Δειλὸς φιλάργυρος λέοντα χρυσοῦν
αι τῷ πλούτῳ. Codd. Pb 71 Ma 50. Un avare, qui était peureux, ayant trouvé un lion d’or, disait : « Je ne sais que devenir e
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
ttend dans cette étable Que chacun retournant au travail de Cerés, Il trouve pour sortir un moment favorable. L’un des Bœufs r
entre et vient faire sa ronde. Qu’est-ce-cy ? dit-il à son monde. Je trouve bien peu d’herbe en tous ces rateliers. Cette lit
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
emy. Ses repas ne sont point repas à la legere. Le Hibou de retour ne trouve que les pieds De ses chers nourriçons, hélas ! po
lors : N’en accuse que toy, Ou plutost la commune loy, Qui veut qu’on trouve son semblable Beau, bien fait, et sur tous aimabl
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 288 » pp. 87-87
Croyant qu’elle avait dans le ventre une masse d’or, il la tua et la trouva semblable aux autres poules. Il avait espéré trou
, il la tua et la trouva semblable aux autres poules. Il avait espéré trouver la richesse d’un seul coup, et il s’était privé m
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
re Bestion tous les jours déménage.
 Enfin après un vain essay
 Il va trouver la Goute. Elle estoit en campagne,
 Plus malheure
onte
 De faire aller le mal toujours de pis en pis.
 L’une et l’autre trouva de la sorte son compte,
 Et fit trés-sagement de
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XII. Les Medecins. » p. 114170
arade Soûtinst que le gisant iroit voir ses ayeux. Tous deux s’estant trouvez differens pour la cure, Leur malade paya le tribu
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
οιήσεις, ἀντιδοθήσεταί σοι]. Codd. Ba 23 Mg 39. Un laboureur, ayant trouvé un aigle pris au filet, fut si frappé de sa beaut
mber le bandeau. Le laboureur le ramassa, et revenant sur ses pas, il trouva le mur écroulé à l’endroit où il s’était assis, e
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
utre femme durant ma vie ». Voylà quelle fut l’invention d’Esope, qui trouva moyen de rappeller en la maison la femme de Xanth
r en la maison la femme de Xanthus, comme auparavant il l’avoit aussi trouvé , pour l’en faire sortir.
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 74 » pp. 49-49
souverain Zeus, naguère j’ai fait vœu de t’immoler un chevreau, si je trouvais le voleur ; à présent je t’immolerai un taureau,
en butte à quelque disgrâce : dans leur embarras, ils souhaitent d’en trouver le remède, et, quand ils l’ont trouvé, ils cherch
embarras, ils souhaitent d’en trouver le remède, et, quand ils l’ont trouvé , ils cherchent à s’y soustraire. Chambry 74.2
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIII. La Poule aux œufs d’or. » p. 87
t que dans son corps elle avoit un tresor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable A celle dont les œufs ne lui rapportoie
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 114 » p. 310
δὲ τὴν σὴν ὄψιν ἴδω, οὐδ’ ἀνὴρ φαίνῃ. » Cod. Bd 19. Un eunuque alla trouver un sacrificateur et le pria de faire un sacrifice
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
e est, dit-il, elle pût estre pleine ! Le bon Socrate avoit raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. Le Lion s’en alla trouver le Cheval, à dessein de le manger ; Mais pource q
ir le Cheval de divers discours. Mais luy, qui recognût cette fraude, trouva moyen de luy en apposer une autre. Il feignit don
, qui fut une chose tellement juste et adroicte, que le Lion mesme ne trouva point d’occasion de l’en blasmer, et ne se plaign
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 83 » pp. 42-42
monde ; mais vous, cherchez ce que j’ai caché dans ma vigne, et vous trouverez tout. » Les enfants, s’imaginant qu’il y avait en
nt tout le sol de la vigne après la mort du père. De trésor, ils n’en trouvèrent point ; mais la vigne bien remuée donna son fruit
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 320 » p. 367
signait. Le dieu de la guerre, étant resté pour le dernier tirage, ne trouva plus que la Violence. Il s’en éprit follement et
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
ue lui s’en irait là-bas pour y passer l’hiver. Il ajouta que, s’il y trouvait de la pâture en abondance, il lui en apporterait.
as à moi, répondit-il, mais à la nature du lieu : il est possible d’y trouver à vivre, mais impossible d’en emporter quoi que c
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
els ; Mais que pour le demeurant, il luy-estoit impossible de l’aller trouver , pource, disoit-il, que je ne puis voir qu’à regr
d de sage : il n’y a que luy de judicieux. Le superbe Roy des animaux trouve mauvais qu’il ne le vienne point voir, et le conv
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
trahison de ces courages felons va jusqu’à ce poinct, qu’il s’en est trouvé plusieurs qui se sont servis d’un festin, pour em
ont gloire entr’eux d’en inventer de nouvelles. Pour moy, je n’ay pas trouvé Cardan judicieux en son Livre de la Sagesse, où t
s cheveux me herissent sur la teste, que parmy les hommes il s’en est trouvé de si execrables, que de se vouloir servir de la
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 223 » p. 261
it à lui et disait que le sacrificateur l’immolerait au dieu, s’il le trouvait là : « Eh bien ! répondit l’agneau, je préfère êt
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 316 » p. 366
διδάξαντας πολλάκις ἔϐλαψαν. Codd. Ba 127 Mb 190. Un berger, ayant trouvé un petit loup, le nourrit ; puis, quand il fut de
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
edans. Je ne sçai pas l’endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver , vous en viendrez à bout. Remuez vostre champ dés
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
c’est quelque chose de grand prix : mais lors qu’on en est prés, l’on trouve que ce n’est rien qui vaille. De ceste mesme faço
depuis mon arrivée en ce lieu, je me suis veu bien trompé, vous ayant trouvé plus inutiles que tous les autres ». Ceux de Delp
devant soy. Dequoy le bon homme bien étonné ; lors qu’à son retour il trouva qu’on les luy avoit desrobez, il commença de s’ab
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 168 » p. 128
beau, sur le point de mourir, dit : « Je suis bien malheureux d’avoir trouvé une aubaine telle que j’en meurs. » On pourrait d
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 287 » p. 192
1 Lb 107 Le 107 Lf 121 Lh 58 Mg 130 Mj 128 Ml 132. Une poule, ayant trouvé des œufs de serpent, se mit à les couver soigneus
34 (1180) Fables « Marie de France, n° 67. Le corbeau qui trouve des plumes de paon » p. 576
Marie de France, n° 67 Le corbeau qui trouve des plumes de paon Del corbel cunte ki trova pa
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
n’y a point d’homme si aveugle à qui l’on oppose une finesse, qui ne trouve presque tous-jours le moyen de s’échapper par une
ntenant pour ce qui est de la subsistance particuliere des hommes, où trouvera t’on des Politiques qui ayent vescu avec moins de
, et ne font aucune conscience de manquer de parole, pourveu qu’ils y trouvent une fausse apparence de seureté. Mais en effect,
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
es deux pierres de touche où s’épreuvent les veritables Amis. Il s’en trouve assez qui se rendent nos familiers, qui nous flat
Pithias, un Piritoüs pour un Thesée, et qu’aujourd’huy mesme il s’en trouve assez, à qui toutes les choses du monde sont de p
are, qu’entre mille Amis que plusieurs se vantent d’avoir, à peine en trouveront -ils au besoin dix mediocres, et un excellent ; de
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLII. Du Serpent, et de la Lime. »
Du Serpent, et de la Lime. Le Serpent voulut ronger une Lime qu’il trouva dans une forge ; Mais elle s’estant mise à rire,
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 145 » pp. 321-321
t derrière moi, je le vois à présent passer devant moi. » Cette fable trouve son application dans un État où les derniers et l
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CX. Du Renard, et du Leopard. »
, si est-ce qu’il est impossible, ce me semble, qu’en leur ame ils ne trouvent ce dernier plus estimable que l’autre.  
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 55 » pp. 28-28
envoyèrent un songe, et l’engagèrent à se rendre sur le rivage : il y trouverait mille drachmes attiques. Ne se tenant plus de joi
où il tomba sur des pirates, qui l’emmenèrent, et, vendu par eux, il trouva ainsi mille drachmes. Cette fable s’applique bien
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
». Discours sur la septante-deuxiesme Fable. Il est bien aysé de trouver un pretexte apparent, quand on a conclud la mort
uelque chose à dire : aussi n’en est-il point de si abandonné, qui ne trouve un pretexte à ses malices, et ne colore ses actio
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473
s-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la trouve . Elle croit que ses aisles La sçauront garentir à
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
dit-il, « ce que je te commanderay, et ne manque point, affin que je trouve un sujet de bien estreiller Esope ». Apres ces ch
ant le disner, comme on luy eust apporté d’une certaine viande, qu’il trouva fort à son goust, et dont il mangea de bon appeti
üet. Ce que voyant l’homme sans soucy ; « Pour moy », disoit-il, « je trouve ceste viande cuite comme il faut, et si bonne à m
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
is. Le Charpentier extrémement aise d’une si bonne fortune, s’en alla trouver ses compagnons, et leur raconta par le menu tout
asse et interessée. Car en la possession des biens temporels, nous ny trouvons que les avantages qui sont en une hâche, à l’égar
ilité de leur vie, la douceur de leur solitude, et les charmes qu’ils trouvent dans la paix de leur maison, celuy là, possible,
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
chercha son ennemy de tous costez, sans qu’il luy fût possible de le trouver . Alors le Rat se mocquant de luy ; « Il ne faut p
iance, et en leurs soings continuels, voire mesme il y en a qui n’ont trouvé le moyen de leur conservation que dans leur propr
l’extremité, que les mediocres ou que les grands, d’autant qu’ils ne trouvent point chez eux aucun espoir de consolation ou de
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
sans le mal.
 Jamais le corps de l’animal
 Ne pût venir vers moy, ni trouver d’ouverture.
 Je révais à cette avanture,
 Quand
47 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
t au logis
 De la Cicogne son hôtesse,
 Loüa trés-fort la politesse,
 Trouva le disner cuit à point.
 Bon appetit sur tout ; R
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
n’en obtenir rien, Il vous prend un levier, met en pieces l’Idole, Le trouve remply d’or. Quand je t’ay fait du bien, M’as-tu
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
s se tournant alors vers le Jardinier ; « Mon amy », luy dit-il, « je trouve qu’il ne seroit pas bien seant, que moy qui ay di
ien Mere des enfants qu’elle a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a trouvé en la maison de son nouveau Mary : Elle monstre d
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
aux meschants ». Discours sur la soixante-deuxiesme Fable. Je ne trouve point de plus naïfve peinture de la coustume du s
onditions dans la tombe ; et bref la bonne fortune que ce leur est de trouver une occasion de meriter le Ciel, et d’estre imita
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 205 » p. 148
rsuivi le cerf au loin, sans pouvoir l’atteindre, revint au lièvre et trouva qu’il s’était sauvé lui aussi. « C’est bien fait
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
ne sommes meschants, et que le plus desesperé de tous les hommes, le trouve tousjours prest à son secours, si tant est qu’il
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
Allegorie de cette Fable, et celle de la seiziesme. C’est pourquoy je trouve à propos d’y renvoyer le Lecteur, apres l’avoir a
54 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IV. Jupiter et le Métayer. » p. 
ajuste d’une autre sorte La temperature des Cieux. Son champ ne s’en trouve pas mieux, Celuy de ses voisins fructifie et rapp
55 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
ette adroite repartie Elle sauva deux fois sa vie. Plusieurs se sont trouvez qui d’écharpe changeans, Aux dangers, ainsi qu’el
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIV. Le Lievre et les Grenoüilles. » p. 138
re. Il n’est, je le vois bien, si poltron sur la terre, Qui ne puisse trouver un plus poltron que soy.
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
ouë
 Les gens bien sensez comme toy.
 Je n’aurois jamais quant à moy
 Trouvé ce secret, je l’avouë.
 Le Renard sort du puits,
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
la crainte de leur presence. Quant à leurs affaires particulieres, je trouve que c’est une action de prudence, de ne s’y entre
xcuse, et en rejetter le refus sur son incapacité. Pour cela mesme je trouve qu’un Ancien Philosophe eût fort bonne grace, lor
59 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 43 » pp. 27-27
s la maison d’un acteur, fouilla successivement toutes ses hardes, et trouva , entre autres objets, une tête de masque artistem
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 159 » pp. 122-122
Me 85 Mj 81 Cd 67. Des voleurs, ayant pénétré dans une maison, n’y trouvèrent autre chose qu’un coq ; ils le prirent et se reti
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 232 » pp. 160-160
er à boire de la rivière voisine. « Si tu me donnes de quoi boire, je trouverai moi-même de quoi manger. — Mais si je te donne de
62 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 314 » pp. 209-209
ς. Codd. Pa 210 Pb 205 Pf 119 Mb 187 Me 154 Mf 129. Un berger ayant trouvé des louveteaux les nourrit avec beaucoup de soin,
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 315 » p. 267
Me 153 Mf 128 Mg 136 Mi 100 Mj 133 Ml 139 Mm 124. Un berger, ayant trouvé un louveteau nouveau-né, l’emporta et l’éleva ave
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
t qui n’incommodast extrémement le donneur. En ce sens là, certes, je trouve fort loüable le refus de cét animal, qui juge ave
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
avec une mauvaise intention. Mais elle est une Vertu, quand il ne s’y trouve point aucune de ces circonstances, et qu’au contr
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
semble, quelque grande faim qu’il eust. Pour en venir donc à bout, il trouva moyen, premierement de les separer par belles par
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
lque nouvelle matiere à leurs calomnies, comme ils voyent qu’ils n’en trouvent point en la personne des Innocents, ils les jugen
68 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
nouvelle Son hypocondre de mary. Il l’amadouë, elle le flate, Il n’y trouve plus rien de Chate : Et poussant l’erreur jusqu’a
69 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
l n’a tiré Du fond des eaux rien qu’une beste. Il l’y replonge, et va trouver Quelque homme afin de le sauver.
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 28 » p. 25
fiant des embûches de la terre, me suis réfugié sur cette mer, pour y trouver encore plus de perfidie ! » C’est ainsi que certa
71 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 82 » pp. 176-176
τὰ μέγιστα φιλανθρωπεύωνται. Codd. Pb 62 Pe 30 Ma 43. Un laboureur trouva dans la saison d’hiver un serpent raidi par le fr
72 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
via et voulut lui aussi en obtenir autant. C’est pourquoi, étant allé trouver Zeus, il le pria de lui accorder des cornes. Mais
73 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
tournant les yeux vers son camarade lui dit : « Eh bien ! mon ami, ne trouves -tu pas juste qu’on m’honore d’une double ration ?
74 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 348 » pp. 227-227
je suis victime d’un crime en un lieu où les victimes de la violence trouvent assistance. » Cette fable montre que souvent les
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
es, Esope étant revenu ; comme il voulut foüiller dans le pot, il n’y trouva que trois pieces, par ou il cognût, qu’on luy avo
76 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ce champ ne se peut tellement moissonner,
 Que les derniers venus n’y trouvent à glaner.
 La feinte est un païs plein de terres
mit son fils en croupe.
 Au bout de trente pas une troisiéme troupe
 Trouve encore à gloser. L’un dit : Ces gens sont fous, L
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
n peut tirer le sujet des fables ; Il me semble neantmoins qu’il s’en trouve trois principales, dont la premiere consiste en o
fait moral, comme à celle de Narcisse, qui ravy de sa propre beauté, trouva la cause de sa mort dans la belle source où il se
mentées de discours Moraux, Philosophiques, et Politiques, où si vous trouvés quelques defauts, comme je n’en doute point, vous
78 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 56 » pp. 29-29
s une certaine maison, ayant vu un foulon établi près de lui, alla le trouver et l’engagea à venir habiter avec lui, lui remont
79 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 169 » pp. 324-324
montre que ceux qui se sont fait beaucoup d’ennemis dans leur vie ne trouveront pas d’amis, dans le besoin. Chambry 169.2 A
80 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
nageoit quelque peu ; mais il faloit de l’aide. La Grenoüille à cela trouve un trés-bon remede. Le Rat fut à son pied par la
81 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
outa du dépost, l’enleva sans rien dire. Nostre Avare un beau jour ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux pleurs ; il gémit
82 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
rd dans deux jours, Ils conviennent de prix, et se mettent en queste, Trouvent l’Ours qui s’avance, et vient vers eux au trot. V
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ste, ou plus asseurée que la sienne. Mais quoy qu’il en soit, s’il la trouve plus juste, il offense dés là nostre probité ; Si
mesme raison je te condamne à ne voler que de nuict, et à ne te point trouver en la compagnie de ces victorieux Oyseaux que je
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 77 » pp. 59-59
glissée dans l’atelier d’un forgeron, se mit à lécher la lime qui s’y trouvait . Or il arriva que, sa langue s’usant, il en coula
85 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 106 » pp. 75-75
la terre que je croyais pleine d’embûches, et la mer, où je comptais trouver un refuge, m’a été beaucoup plus funeste. » C’est
86 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 118 » p. 90
nt fixé le jour, quand les grenouilles, par haine de l’hydre, vinrent trouver la vipère et l’enhardirent en lui promettant de s
87 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 328 » pp. 224-224
prendre, je n’aurai pas alors le loisir de les aiguiser ; mais je les trouverai toutes prêtes à faire leur office. » Cette fable
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
ns par l’agreable son qui se forme du mouvement de mes aisles : Tu ne trouveras donc rien en moy, que le chant”. Ce qu’elle n’eus
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
leur profession : mais il faut aussi que l’on m’advouë qu’il ne s’en trouve que trop, qui se servent d’un specieux pretexte d
d’exemple, que les miserables, qui ont volé de petites sommes, et qui trouveroient possible de la seureté à leur crime, s’ils en avo
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
st moindre que l’autre, il n’en remporte que des coups ; Que s’il est trouvé plus excellent, cela n’empesche pas qu’il ne soit
miens », dit-il, « je tiens à singuliere faveur de ce que je m’en vay trouver le Roy Cresus, pour me jetter à ses pieds, et le
t pas, et s’estant mis à la voile avecque l’Ambassadeur, il s’en alla trouver le Roy Cresus.
91 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
é partout demander aux médecins un remède pour te guérir, et qui l’ai trouvé  ? » Le lion lui enjoignit de dire aussitôt quel é
92 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150
as de retour de ma part ; sache maintenant que chez les rats aussi on trouve de la reconnaissance. » Cette fable montre que da
93 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 330 » pp. 215-215
49 Mm 127. Des guêpes et des perdrix, pressées par la soif, vinrent trouver un laboureur, pour lui demander à boire, prometta
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . Je sçay qu’il s’est trouvé plusieurs grands hommes, de qui la plume excellen
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
e de ses entrailles et de son cœur. » Le renard se mit en campagne et trouva le cerf qui bondissait dans les bois. Il l’aborda
in aussi ; et il supplia le renard de faire une autre tentative et de trouver une nouvelle ruse pour amener le cerf. Le renard
n cerf ensanglanté. Ils lui indiquèrent son gîte dans la forêt. Il le trouva qui reprenait haleine et se présenta impudemment.
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
éfaire de leurs Oncles. Apres cela y aura t’il quelque chose que nous trouvions estrange en la Nature ? apres cela serons nous es
la liberalité ce n’est pas une entreprise bien aisée. Quoy qu’il s’en trouve parmy eux qui disent, que le mépris des biens est
aladvisez, qui se forment un Dieu de metail, comme les Payens, et qui trouveront quelque jour le vray Dieu plus dur et plus insens
bien plus excusables : Car ils ne sortent point de leur espece, pour trouver où se plaire. Ils n’addressent pas leurs desirs à
isoit, il demeura luy-mesme charmé de l’excellence de ses maximes, et trouva peu à peu des appas dans sa Moralité, qui la luy
ne leur avoient laissé des biens qu’à suffisance. En tel cas, ils ne trouveroient point une si belle matiere où s’employer, et leur
ggrandir ses possessions, il se pourra faire que l’autre encore ne le trouvera point mal-aisé. Avecque cela, sçavons-nous bien q
97 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
nd, puis un troisième coup. Mais ayant fait un creux dans l’arbre, il trouva un essaim d’abeilles et du miel. Il y goûta, et j
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelles viandes Esope traicta les Hostes de Xanthus. Chapitre XIV. »
disner, et commanda pour cét effect à Esope qu’il acheptast ce qu’il trouveroit de meilleur, et de plus exquis. Ce qu’il fist à l
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
fect, il l’appella en mesme temps, luy commandant d’achepter ce qu’il trouveroit de pire et de moindre valeur pour le donner à ses
100 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
pleurant. Il prend à tous les mains ; il meurt ; et les trois freres Trouvent un bien fort grand, mais fort meslé d’affaires. U
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