/ 41
1 (1180) Fables « Marie de France, n° 84. L’homme et les bœufs » p. 657
rent, si repruverent al vilein la bone cerveise e le pein que par lur travail ot eü ; mes malement lur ad rendu ; k’a grant hun
isun]. De ceo qu’il mesfet suvent ne li peot suvenir nïent. Quant sun travail veut repruver, de sun mesfet li deit remembrer.
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 176 » pp. 92-92
, tandis que son camarade, sans rien faire, jouissait du fruit de ses travaux  ! Le chien de garde répondit : « Eh mais ! ce n’e
, mais notre maître qui m’a appris, non à travailler, mais à vivre du travail d’autrui. » C’est ainsi que les enfants paresseux
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
Esope s’en retourna, et fut saisy d’un profond sommeil, tant pour son travail continuel, que pour la grande chaleur qu’il faiso
este façon Esope tout réjouy d’une si belle advanture, se remit à son travail .
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
onsens : peut-estre ma veine En sa faveur s’échauffera. Heureux si ce travail est la derniere peine Que son époux me causera !
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 38. La puce et le chameau » p. 
l’aveit ensemble od li portee ; jamés par sei n’i fust alee : par sun travail le* servireit mut volenters si ele poeit. Li cham
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 177 » p. 135
si certains hommes se soumettent, dans l’espérance d’un profit, à des travaux dangereux, et se perdent avant d’atteindre l’obje
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
de caché. Mais le pere fut sage De leur montrer avant sa mort, Que le travail est un tresor.
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
icieux ; qu’au reste elle joüyssoit de tous ces biens par un honneste travail , et non par une infame paresse. Avecque cela, ell
e toûjours joyeuse et en seureté, aymée de tous, et le modele du vray travail  : qu’au contraire, la Mouche estoit en un perpetu
Cavernes. En un mot, elle estale toutes ses delices, et se mocque du travail perpetuel où est la Fourmy, pour gagner bien peti
y, la Fourmy estale la petite provision qu’elle fait en esté, avec un travail honneste, qui n’est accompagné de violence, ny de
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
seulement tu renonçais aux rapines et au brigandage pour te mettre au travail de la terre ! » Ainsi les méchants ont beau faire
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
es messagers auprès de Zeus, pour demander qu’il mît un terme à leurs travaux . Zeus, voulant leur démonter que la chose était i
11 (1180) Fables « Marie de France — Prologue. Prologue »
ant tel hum me ad requise, ne voil lesser en nule guise que n’i mette travail e peine, ki que m’en tienge pur vileine, de fere
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 12. L’aigle et la corneille » p. 259
le par traïsun li tout e emble l’aveir que cil ad purchacié par grant travail e gu[a]ainié.
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 22. Les lièvres et les grenouilles » p. 138
runt ne en cele tere ne vendrunt que tut tens seient sanz poür u sanz travail u sans dolur.
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 139 » pp. 318-318
our bien des gens le temps de la vieillesse s’est consumé en pénibles travaux . Chambry 139.2 Aliter — Autre version.
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
aille dans des trous Trouvant sa retraite preste, Se sauva sans grand travail . Mais les Seigneurs sur leur teste Ayant chacun u
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
ntre son char, contre luy-mesme. Il invoque à la fin le Dieu dont les travaux Sont si celebres dans le monde. Hercule, luy dit-
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 159 » pp. 122-122
ant qu’il était utile aux hommes, en les éveillant la nuit pour leurs travaux . « Raison de plus pour te tuer, s’écrièrent-ils ;
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 89 » pp. 55-55
ervantes qu’elle éveillait la nuit au chant du coq pour les mettre au travail . Celles-ci, continuellement exténuées de fatigue,
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 143 » pp. 320-320
durée de la guerre, avait nourri d’orge son cheval, compagnon de ses travaux et de ses dangers. Mais, la guerre finie, le chev
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 242 » pp. 166-166
donné à l’agriculture, ne se contentait pas du produit de ses propres travaux  ; il regardait d’un œil d’envie ceux des autres e
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
ja grace aux Bœufs, attend dans cette étable Que chacun retournant au travail de Cerés, Il trouve pour sortir un moment favorab
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
bus regnera sur un autre hemisphere. Alors je joüiray du fruit de mes travaux . Je n’iray par monts ny par vaux M’exposer au ven
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 243 » pp. 112-112
travaillait au temps même où les autres animaux, débarrassés de leurs travaux , se donnent du bon temps. Sur le moment, la fourm
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. La Truye estant une fois en travail de ses Cochons, le Loup luy promit de l’accoucher
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 83 » pp. 42-42
ne bien remuée donna son fruit au centuple. Cette fable montre que le travail est pour les hommes un trésor.
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 346 » pp. 415-415
ussitôt tu t’éveilles. » Les gens endormis et paresseux qui vivent du travail d’autrui se reconnaîtront en cette fable.
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 353 » pp. 226-226
lle arriva au but et gagna le prix. Cette fable montre que souvent le travail l’emporte sur les dons naturels, si on les néglig
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
même pas de paille en suffisance, alors qu’il était soumis à tant de travaux . Mais vint le temps de la guerre : le cheval dut
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 92 » pp. 300-300
Md 47 Mh 42 Mi 82 Mk 45 Ml 53 Mm 59. Une génisse, voyant un bœuf au travail , le plaignait de sa peine. Mais une solennité rel
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
fantaisie à son Maistre de s’en aller en sa Mestairie, pour y voir le travail de son nouveau serviteur, il arriva qu’un certain
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
isfaction à ces miserables, au lieu de treuver la recompense de leurs travaux , d’estre payez d’ingratitude, et de risée, et enc
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 12 » pp. 16-16
re utile ; car s’il les réveillait, c’était pour les rappeler à leurs travaux accoutumés. Alors la belette produisit un autre g
33 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
femme cunseil prendre, cum fist icist par sa vileine, dunt il ot puis travail e peine : mut [e]ust grant aveir guainé, si ele n
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 201 » pp. 147-147
er, quand on voit les premiers venus emporter le fruit de ses propres travaux . Chambry 201.2 Aliter — Autre version.
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
eilleurs Esprits de nostre âge. La gloire qui les suit apres tant de travaux , Se passe en moins de temps que la poudre qui vol
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
iberalement qu’ils les ont vertueusement acquis ; aussi Dieu benit le travail de telles gents, et leur envoye pendant leurs jou
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
tairie) estant allé voir si les manœuvres s’acquittoient bien de leur travail , en apperçeut un entre les autres qui ne s’y port
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
Les Poëtes nous ont encore voulu figurer ceste verité, par les douze travaux d’Hercule, et par ceux de Thesée, son glorieux Im
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
e part qu’il se tourne, il y treuve dequoy se divertir apres le petit travail de son estude : Bref il ne fait rien à regret, ri
40 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
remier âge, il est rare qu’il ne trouve pas Phèdre largement mêlé aux travaux qui l’ont rempli. C’est là ce qui m’est arrivé. I
us et inconnus, j’ai pris le parti de faire profiter le public de mes travaux par une publication qui les comprendrait tous. Al
ans le second de ces deux numéros, résumant son long et consciencieux travail , il s’exprimait ainsi : « Ces observations qu’il
sement exceptionnel et le rare dévouement à la science que suppose le travail de M. Hervieux garantissent assez que ce qu’il at
e fût cette tâche, je devais, avant de donner une suite à mon premier travail , en faire paraître une édition nouvelle à laquell
aux imitations primitives, devaient aussi trouver leur place dans un travail véritablement complet. Amené ainsi à porter mon a
te pauvreté qui en était déjà l’apanage ; il n’avait pu qu’à force de travail et de patience se faire classer parmi les hommes
ultations écrites, elle lui fournissait l’occasion de se livrer à des travaux vraiment scientifiques et lui laissait en même te
ndant la nuit de la Saint-Barthélemy. La célébrité qu’il devait à ses travaux avait attiré sur lui l’attention des assassins. E
mais qu’encore c’est pour sa première édition qu’il s’est livré à ce travail préparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin
sans peine avoir communication du manuscrit, et, se livrant dessus au travail comparatif qu’entreprit plus tard Dom Vincent sur
Nicolas Rigault, jeune encore, mais déjà savant, songea à refaire le travail un peu précipité de celui dont il avait été l’ami
er le manuscrit, d’en faire prendre un fac-simile et de lui dédier ce travail . M’ayant exprimé le désir que le manuscrit ne sor
s en français pour le prote. Ainsi cette seule copie renferme tout le travail de son édition. Une aussi brillante facilité expl
il de son édition. Une aussi brillante facilité explique les immenses travaux de quelques savants de cette époque. Elle démontr
rès le sens, il devait y avoir des lacunes, sans rendre compte de son travail par aucune note, et en se contentant de mettre à
ésident de Thou, Rigault, pour la mettre en harmonie avec son nouveau travail , modifia les termes de la première phrase, mais l
érées comme immorales. Dom Vincent n’en avait pas moins voulu que son travail fût complet : pour faire exactement connaître les
a fin du manuscrit, le copiste, heureux sans doute d’avoir achevé son travail , avait écrit : « Phædri Aug. liberti Liber quintu
ndre ni Schwabe, ni Adry, ni les autres savants dont je consultai les travaux . Le Père Desbillons, dans sa deuxième dissertatio
l’abbé Maï la donnait. Si j’avais songé à recourir à ses instructifs travaux , je l’aurais trouvée dans le troisième volume, pu
rait à onze heures à ma disposition sur une des tables de la salle de travail . À l’heure dite, j’étais à la bibliothèque. Le ma
reuses abréviations y attestent l’économie de parchemin et surtout de travail , à laquelle visaient toujours les copistes. Le ve
l : Fraudator nomen quum locat sponsu improbo. Se servant enfin des travaux de Schwabe, M. Berger de Xivrey signale, dans une
les leçons de Nicolas Volpe et de Vittorino de Feltre. Son ardeur au travail et son instruction lui valent bientôt l’honneur d
importantes et plus multipliées l’obligèrent à renoncer à ceux de ses travaux littéraires qui n’étaient pour lui qu’un délassem
ait sa dernière édition des fables de Phèdre, et il allait livrer son travail à l’imprimeur, quand lui arriva cette bonne nouve
passé en vitesse, l’emporter sur lui à son tour par la supériorité du travail . Cassitto n’avait publié qu’un extrait du manuscr
1809, en différa la publication. Mais l’Imprimerie royale, occupée de travaux plus pressants, ne put se consacrer activement au
annelli y fustige son rival, je vais en extraire une partie. « Notre travail sur le manuscrit de Perotti, dit-il, était entièr
e apprécier au préambule de ce livre quelle était l’importance de mon travail . » Quoique les commentateurs aient en général pe
it que le décret qu’il avait obtenu en 1808 ne s’appliquât point à ce travail , soit qu’il fût las des lenteurs de l’Imprimerie
las des lenteurs de l’Imprimerie royale, il avait confié son nouveau travail à l’imprimeur même auquel, dix-huit mois auparava
, dans l’atelier de ce dernier, pendant l’impression, des extraits du travail de Jannelli, le fait est qu’il parvint à avoir co
il ne reste que des fragments ; Qu’il a fallu beaucoup de temps et un travail soutenu pour prendre copie des fables, et que, ma
ourmillait ne rendaient que trop légitimes. Mais lorsque parurent les travaux de Jannelli et qu’on put juger du texte par une p
1812. En Italie, où sans doute on était fier de la découverte et des travaux de Jannelli, une édition de luxe, dans le format
de rester à la bibliothèque que jusqu’à midi, je ne pus terminer mon travail le même jour, et je dus pour l’achever revenir le
bien noire, à une époque relativement récente, quoique antérieure aux travaux de Jannelli. Celle qui porte le nº 35 et qui est
de Jannelli. La découverte du manuscrit du Vatican a fait perdre aux travaux de Jannelli une grande partie de leur intérêt ; m
ns le texte du manuscrit, je n’aurais que l’embarras du choix. Un tel travail serait aussi fastidieux qu’inutile ; je ne l’entr
. L’épithète improbus ne peut convenir qu’à l’homme qui se livre à un travail persévérant et l’auteur des fables n’a écrit que
un ouvrage qui est un jeu pour lui, et qui seroit pour tout autre un travail immense, a entrepris, il y a quelques années, de
piste, par le fac-similé de l’écriture qu’il a ajouté à la fin de son travail , il a enfin fourni aux sceptiques ces preuves mat
u contraire, un recueil d’opuscules poétiques est presque toujours un travail de jeune homme, et Perotti n’avait dû créer le si
. Il me semble évident que, si, à l’époque où il avait entrepris son travail , il avait été bien initié à la versification lati
utres que moi s’en sont occupés. Mais ceux qui voudront étudier leurs travaux éprouveront peut-être un peu de peine à les trouv
anches qui montrent que le copiste avait l’intention de compléter son travail . J’ai moi-même transcrit sa copie, et, comme elle
u’il est impossible de songer à l’éditer sans le métamorphoser par un travail de critique préalable, qui pourrait bien réduire
ble, qui pourrait bien réduire à rien son importance philologique. Ce travail ne pourrait même s’exécuter qu’en allant contre l
e bien qu’il aurait eu aussi grand besoin d’être révisé. Peut-être ce travail a-t-il fini par paraître trop pénible. En beaucou
tout-puissant, qui permet quelquefois que la vertu et les véritables travaux périclitent, mais jamais qu’ils périssent, il m’a
l’instruction de son fils ou à se donner de la réputation à l’aide du travail d’autrui, comme Paul avec Festus Pompée, les modi
is toutefois vous garantir que vous serez autorisé à procéder à votre travail en dehors de la bibliothèque. « Veuillez recevoir
pour vous procurer les facilités qui pourraient vous aider dans votre travail . « Recevez, monsieur, les assurances de ma parfai
er les exemplaires qui en restent. D’abord il en existe un auquel les travaux de Schwabe ont valu une notoriété spéciale ; c’es
Jacob Phortzheim n’avait pas imité son exemple : il s’était dans son travail typographique attaché au contraire à suivre ses d
ns sa célèbre collection des classiques latins, prit pour base de son travail la deuxième édition de Schwabe, qu’il augmenta de
of the toure. Quant à ceux qui s’intéresseront à la personne et aux travaux typographiques du célèbre imprimeur anglais, je l
ont qu’approximativement connaître par cet avis qui se réfère, non au travail du typographe, mais à celui du traducteur : The
pas été de mon avis. Voici comment, dans son analyse critique de mon travail , il s’exprime sur ce point : « Sur les 116 morcea
nuscrit 8023. On devine que, s’il avait le courage de recommencer son travail , il serait très disposé à jeter aux orties le nom
ne, et qui peut-être même s’est borné à corriger tant bien que mal le travail fautif de son royal élève. Mais je ne puis m’empê
ons adoptées par Rigault. Je ne crois pas bien utile de reproduire ce travail comparatif. Qu’il me suffise de dire qu’il en est
e, je suis davantage porté à croire qu’en exécutant machinalement son travail de copiste, Haenel avait, à son insu, transcrit l
cette collation, et il la fit avec la plus scrupuleuse exactitude. Ce travail , ayant été adressé au professeur de Bautzen, fut
er, c’est-à-dire du prince des minnesingers. Le copiste, laissant son travail inachevé, s’est arrêté à la fin de la vingt-deuxi
ignol qui est la quarante-cinquième, le copiste n’a pas poursuivi son travail . Le manuscrit renferme la fable De Lupo et Opilio
t parvenu à l’âge mûr, il voulut, pour se consacrer plus librement au travail , entrer dans le monastère de sa ville natale. Il
bsolument conforme à ceux des Romulus que j’avais publiés490. Mais le travail bibliographique auquel il se livrait ne comportan
opiste uniquement préoccupé d’améliorer par de simples corrections le travail d’autrui. Si je n’avais pas procédé ainsi, je me
és de la Bibliothèque m’ayant offert de l’exécuter, je lui confiai ce travail . Quand il me fut parvenu, j’examinai les variante
complètement défectueux, et, tout en rendant hommage au consciencieux travail de Nilant, il pensa qu’il aurait fait une besogne
le Biographie générale de MM. Firmin-Didot frères, enfin aux nombreux travaux dont elle a été l’objet et dont la nomenclature s
il est visible qu’il s’est presque constamment borné à se servir des travaux du complaisant abbé De la Rue. Il m’a donc paru p
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
pas d’ordinaire que tels enfans ingrats et dénaturez, se mocquent des travaux paternels ? N’est-il pas vray que blâmant jusques
/ 41