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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
les reclamerent.
 Des Abeilles s’opposant, 
Devant certaine Guespe on traduisit la cause.
 Il estoit mal-aisé de décider la chose
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 91 » pp. 56-56
Mais on l’accusa à ce propos d’innover en matière de religion, on la traduisit en justice, et ses accusateurs la firent condamne
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57
il réclama le salaire convenu. La vieille se refusant à payer, il la traduisit devant les magistrats. Elle déclara qu’elle avait
4 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
û par le désir de s’emparer de ses biens. Car, à l’époque où il était traduit en justice, le fabuliste, dans le prologue de son
onfesser que, pour donner au vers de Phèdre son vrai sens, il faut le traduire ainsi : « Adoptant certains sujets pour mon malhe
e Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore, tirée d’Avianus et traduite en vers ïambiques, ensuite dans sa préface adress
s. Le frontispice est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre | traduites en vers italiens  | par M. Petronj | et en prose
acare ;       Ille edat asparagos, lac bibat ista capræ. Je pourrais traduire ce distique ; mais le lecteur français veut être
dernier, il n’avait fait que la copier et n’avait pas eu besoin de la traduire en vers ïambiques. Sans parler des vieux manuscri
gard d’une fable de Phèdre : ne me rappelant plus que je l’avais déjà traduite , j’en ai fait une seconde traduction ; mais la se
Avianus de toute fable pareille à celle que Perotti prétendait avoir traduite en vers ïambiques, démontrait sa mauvaise foi évi
d comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’Avianus et traduit en vers ïambiques une fable qu’en réalité il avai
virtutes in alienam te orationem secutæ sint. » Resolvere, c’est donc traduire  ; ce n’est pas autre chose. Il ne faut donc pas d
sans doute pas mettre en vers élégiaques ce que ce dernier avait déjà traduit en ïambes. Comment Christ n’a-t-il pas vu cela ?
Romulus, mais la traduction en prose de fables qu’il avait auparavant traduites en vers latins, ce qui explique qu’on y trouve de
bellos resolvit. » Phèdre n’a pas, selon l’interprétation de Schwabe, traduit le vieil Ésope ; il n’a pas non plus, comme le pr
érable que celui de Babrius. Car, encore une fois, resolvere signifie traduire . Le passage de Quintilien, cité par M. du Méril,
illeurs il est au contraire supposable que, si ses œuvres avaient été traduites par des écoliers, ils auraient traduit son nom co
e, si ses œuvres avaient été traduites par des écoliers, ils auraient traduit son nom comme le reste ; nous le connaîtrions auj
qui n’existeraient pas ; les maîtres n’auraient pas voulu les laisser traduire . Il n’y a rien d’étonnant à ce que Phèdre ait une
ux fables nouvelles seraient des fables de Romulus que Perotti aurait traduites en ïambes latins ; mais le langage de Perotti ne
v finit très mal et que les derniers vers n’en ont pu être clairement traduits . Mais par sa composition elle rappelle complèteme
eu l’incertitude qu’il exprime ainsi dans sa notice : « Je n’ai point traduit les fables de Perotti, et ne retracerai point les
aque qui. avait toute sa prédilection et qu’évidemment, s’il en avait traduit d’autres, il aurait toujours adopté. J’ai dit qu’
nçaises. 1664.     Les fables de Phèdre affranchy d’Avgvste traduites en françois, avec le latin à costé. Pour servir à
atin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine, et à bien traduire en François. Septième édition reveüe et corrigée.
n regard. 1683.     Les fables de Phèdre affranchy d’Avgvste, Traduites en François avec le Latin à côté. Pour servir à b
Latin à côté. Pour servir à bien entendre la Langue Latine, et à bien traduire en François. Cinquième édition. A Lyon, chez F. L
ges de table non numérotées. Les Fables de Phèdre affranchy d’Avgvste traduites en François avec le Latin à côté, etc. Sixième éd
latin à côté. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien traduire en François. A Avignon, chez François Mallard, Im
s d’une traduction en prose française en regard, et les sentences non traduites de A. Sénèque et de Syrus Mimus. Cette édition, q
ibraire. 1736.     Les fables de Phèdre, affranchy d’Auguste, traduites en François avec le latin à côté… A Rouen, chez S
. In-36. 1757.     Les Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, traduites en françois, augmentées de huit fables qui ne son
mant. In-12. 1806.     Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, traduites en français avec le texte à côté, et ornées de gr
les de Phèdre, divisées en quatre livres égaux, enrichies de notes et traduites en français, conformément à l’édition latine donn
eu-Denesle et Cie . In-8º de 18 feuilles. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
Paris, Louis Duprat-Duverger. In-8º de 24 feuilles. Fables de Phèdre, traduites en vers français et précédées d’une Épître à un é
et demie. 1820.     Les Fables de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites en français. Dernière édition, revue et augmentée
es. 1822.     Fables complètes de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites par Auguste de Saint-Cricq, avec le texte en rega
 sixièmes. 1827.     Fables anciennes et nouvelles de Phèdre, traduites en français avec le texte en regard revu sur les
ris, Ebrard. In-18 de 6 feuilles. 1845.     Fables de Phèdre, traduites en français avec le texte latin en regard et des
u. In-12 de 13 feuilles et demie. 1859.     Fables de Phèdre, traduites en vers par Hippolyte d’Aussy (de Saint-Jean d’An
e et Cie . In-12 de iv-236 pages. 1880.     Fables de Phèdre, traduites en vers par Mmes Nancy Mary Lafon. Paris, C. Lévy
us qui fu emperere, Le Romulus anglo-latin n’avait pas été seulement traduit en anglais. Il avait encore servi de base à des i
la dignité de cardinal, en son nom exhorté et persuadé par vous, j’ai traduit la vie d’Ésope du grec en latin. Mais je ne l’ava
Vous n’en avez pas moins renouvelé vos exhortations pour m’engager à traduire non seulement la vie d’Ésope, mais encore ses fab
le compilateur a voulu, c’est montrer Romulus, après avoir à Athènes traduit en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cett
sage de Quintilien, il a supposé que cet auteur recommandait de faire traduire en latin des fables grecques par les écoliers rom
at de l’application des conseils de Quintilien, qui engageait à faire traduire en prose les fables ésopiques originairement écri
er tercius Ysopi gentilis. Dans le livre III, comme Walther n’a pas traduit en vers élégiaques la fable en prose De Junone et
ren Sigmunden herczogen zū öesterrich. Ce qui littéralement peut se traduire ainsi : « La vie du célèbre fabuliste Ésope tradu
ralement peut se traduire ainsi : « La vie du célèbre fabuliste Ésope traduite du grec en latin par Rimicius, pour le révérend p
e et arundine. xx. Comme l’auteur des fables élégiaques n’a point traduit le livre IV de Romulus, il s’ensuit qu’ici chacun
heureux fait dans une collection plus considérable de fables d’Ésope traduites par Ranutio d’Arezzo328. Peut-être même Steinhöwe
anus, qui sont, comme les précédentes, ornées de gravures sur bois et traduites en langue allemande, et qui sont énumérées dans l
of this Æsop Bibl. Spencer., I., 239. See Fabricius. Ce qui peut se traduire ainsi : « Cet exemplaire (auquel manque un feuil
agnées de celles de l’Anonyme de Nevelet, les dix-sept fables d’Ésope traduites en prose latine et dites extravagantes, la traduc
arum extrauagantium. Sur la même page commencent les dix-sept fables traduites par Ranutio d’Arezzo ; elles sont précédées de ce
re III comprend 42 fables. Comme les fables du livre IV n’ont pas été traduites en vers par l’anonyme de Névelet, Brant, pour com
Comme précédemment, Brant a, en tête de chacune des dix-sept fables traduites en latin par Ranutio d’Arezzo, placé une traducti
ausӡ latin. von do-|ctore Heinrico Steinhöwel , etc. Ce texte peut se traduire ainsi : « Ici commence le livre et la vie du trè
: « Ici commence le livre et la vie du très célèbre fabuliste Ésope, traduits du grec en latin. De plus, quelques autres fables
« Tout d’abord la préface. « La vie du très renommé fabuliste Ésope, traduite du grec en latin, par Rimicius pour le très révér
vec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son fils Tiberinus, traduites du grec en latin ; de plus quelques fables d’Avia
Alphonse, et joyeusetés du Pogge et d’autres, chacune avec son titre, traduites du latin par le docteur Henri Steinhöwel, etc. »
ochwürdigen va-|ter herren Anthonium des titels | etc. Ce qu’on peut traduire ainsi : « La vie du très illustre fabuliste Ésope
obi nach cristi gepurd M.CCCC. vnd im Lxxxv. iare 343. Ce qui peut se traduire ainsi : « Ésope le très illustre fabuliste, avec
ontag nach sant Fe-|liczen tag : Nach Cristi geburd. M.CCCC. lxxxxi. Traduisez  : « Ici finit Ésope le célèbre fabuliste avec que
ivie des fables de Romulus précédées elles-mêmes de la dédicace ainsi traduite  : Romuleo filӡ de Thibère de la cité daticque sa
es et la vie d’Esope avec les fables de Avian de Alphonse et de Poge, traduites en francoys. L’existence de cette édition m’a é
ait-elle paru en France qu’elle se répandait en Angleterre et y était traduite en langue anglaise par le fameux imprimeur Willia
s. 1º Éditions de Gérard Leeu. A. Édition in-4º de 1485. Traduites en France et en Angleterre, les fables du Romulus
en en sijn. Fol. 73 b, col. 2 à 74 a, col. 1. — Table des 17 fables traduites sur la version latine de Ranutio d’Arezzo. Fol. 7
ne tardèrent pas à pénétrer en Espagne où elles furent immédiatement traduites en langue espagnole. Leur traduction fut, au xve
plus intéressante était le Miroir historial. Aussi est-ce lui qui fut traduit le premier en langue française. La traduction due
s ouvrages publiés en langue française et toujours ardent à les faire traduire et à les imprimer lui-même, Caxton fit paraître v
, qui avait seul été publié en français et en anglais, fut seul aussi traduit en langue néerlandaise. Cette version, qui n’est
les fables élégiaques sont attribuées à un certain Romulus qui les a traduites du grec à l’usage de son fils Tiburtinus. Ce Romu
choix de fables amusantes. Romulus, pour lui complaire, commence par traduire en prose latine les fables grecques d’Ésope, puis
oviales, et ce dernier, pour ne pas contrarier un si haut personnage, traduit en prose latine ses fables grecques. La Bibliothè
omulus, ayant mis la main sur l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope, la traduit en latin et envoie sa traduction à l’empereur san
ur Romulus n’est plus le traducteur ; il a seulement donné l’ordre de traduire , et ce n’est plus seulement pour l’instruction de
aques, mais encore expose les circonstances qui l’avaient déterminé à traduire en vers latins la prose grecque d’Ésope : « Salo
aurait trouvé un exemplaire des fables grecques d’Ésope et les aurait traduites en vers latins. Tout cela est très nettement affi
qu’il étudiait à Athènes, a composé en vers ces mêmes fables, qu’il a traduites du grec en latin et appropriées à nos mœurs405. »
e : un Italien, sur l’œuvre duquel je reviendrai, Accio Zuccho, avait traduit les fables élégiaques en sonnets écrits dans le d
it odores ; sic iste liber varias reddit utilitates. » Ce qui peut se traduire ainsi : « Le titre de ce livre est Incipit Esopus
nnablement supposer, c’est que, l’ayant trouvée je ne sais où, il l’a traduite et insérée avec la traduction à la suite des soix
non sopit. Au siècle suivant, vers 1333, les fables de Walther sont traduites en vers français en l’honneur de Madame Jehanne d
ne de France, Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe VI, qu’il avoit traduit les fables latines, que les dames et les jeunes g
alther avait été allongé, et que l’allongement était, comme le reste, traduit dans la fable française. Il n’en est pas de même
 1594 qui a augmenté les morales des fables latines, et qui a ensuite traduit les additions en français. Je m’empresse d’ajoute
s Esopi vitae . Alors, au feuillet 68 apparaissent les fables d’Ésope traduites par Rimicius. Comme sa vie, elles sont précédées
tions françaises. Les fables de Walther ont été, dès le moyen âge, traduites en vers français. J’en ai, comme on l’a vu, renco
rs siècles du moyen âge et au commencement de la Renaissance, ont été traduites tant en prose qu’en vers. 1º Traductions en pro
l’encre rouge, et qui est précédée de l’épimythion latin de la fable traduite . Les fables se terminent au verso du feuillet 81.
s deux sonetti, l’un materiale, l’autre morale, par lesquels Zuccho a traduit chaque fable latine, sont suivis de la fable corr
re en latin et en italien, tel que j’ai été déjà, l’Ésope authentique traduit par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans
nous sont parvenus ne contiennent que 60 ou 62 fables, Accio Zuccho a traduit la soixante-troisième et la soixante-quatrième, q
eu l’un après l’autre la même idée. Ils ont presque à la même époque traduit le même texte dans le même rythme lyrique. Leurs
aient appartenu, et que Neckam, en ayant rencontré plusieurs, les ait traduites en vers élégiaques et en ait accru son œuvre. Ce
en a presque rien gardé, et si l’on veut bien considérer comment il a traduit la phrase que j’ai citée plus haut, on voit qu’il
ts français. Comme les fables de Walther, celles de Neckam ont été traduites en vers français, et il en a été fait deux traduc
s réduit au nombre de quarante, c’est que le poète français a omis de traduire les deux fables latines : xi. De Stulto et Mulis,
us anglo-latin remonte à un temps relativement reculé. S’il avait été traduit directement par Marie de France, on ne pourrait a
ux manuscrits. Or, Alfred le Grand remonte à une époque où le texte à traduire n’existait pas encore, et, comme les manuscrits d
France dit qu’Ésope avait adressé à son maître des fables qu’il avait traduites du grec en latin, que Romulus qui fut empereur en
recueil à son fils, que le roi Alfred (Henri dans deux manuscrits) le traduisit ensuite en anglais et qu’elle a elle-même mis en
it à 104. Sur les 114 fables, il y en a en effet 11 que Marie n’a pas traduites , savoir : six appartenant au Romulus de Nilant, d
que le Romulus anglo-latin a, peu de temps après son apparition, été traduit en langue anglaise. Mais, comme cette traduction
de mon prologue l’éloge du comte Guillaume, à l’exemple de Marie, qui traduisit pour lui les fables d’Izopet.” » Qu’il me soit p
nant cent trente-six fables, ne possède pas toutes celles que Marie a traduites , on est obligé d’admettre que la collection latin
en, traduitte en francois. Page 46. III. Histoire romaine par Eutrope traduite en francois. Page 58. IV. Le liure nômé Secret de
s qu’il contient : 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fables d’« Isopet », traduites en vers. 3º Le fabliau de la male Honte. 4º Le Di
inion différente dans deux notes en anglais, dont la première peut se traduire ainsi : « Le tout est du xiiie  siècle, à l’excep
pas entré dans le Romulus anglo-latin et qui, par suite, n’a pas été traduit par Marie de France. 6º Manuscrit 536 de la Bi
tête du Dérivé complet le prologue qui le précède, l’a littéralement traduit . En effet, dans le prologue du Dérivé complet on
s’est pas propagé au dehors. Ce Romulus, composé en Angleterre, y fut traduit en langue anglaise, et c’est dans ce pays que Mar
de Minden, j’ai dit incidemment qu’un second poète avait, comme lui, traduit en bas-allemand les fables latines dérivées du Ro
e sproche geuen kan Meister esopus dus heuet an. Ces vers peuvent se traduire ainsi : « Ésope était un sage grec || et habitait
, dans la dédicace à Tiberinus que l’auteur du Romulus hexamétrique a traduite , quel est le premier vers qui s’offre aux yeux ?
r été profondément pénétré, et qui, dès le début de sa paraphrase, se traduit par cette invocation : Jam te cuncti poscimus, p
; or cette forme nouvelle que ce dernier a seul pu lui fournir, a été traduite dans le Dérivé en vers rythmiques. Il est vrai qu
as inventé les sujets ; il en a trouvé des rédactions en prose, les a traduites et les a ajoutées aux autres. Où les a-t-il trouv
e de trois fables étrangères à la collection qu’il avait entrepris de traduire . En procédant ainsi, il a agi comme beaucoup de s
Latin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien traduire en François. À Paris, chez la veuue Martin Dvrand
1834, suivant la voie tracée par ses devanciers, M. Ernest Panckoucke traduisait ainsi le vers de Phèdre : « Cherchant des sujets
ttinus, publiée à Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
n-8º. (Voyez Dissertatio I, p. v.) 160. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
(Voyez le volume précité, p. 274.) 170. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
t. I, p. xiv et xv. 228. Manuel de Littérature classique ancienne,… traduit de l’allemand de M. Eschenburg, avec des addition
pographeo Academico, MDCCCLII. 2 vol. in-4º. 328. Ranutio d’Arezzo a traduit en latin 100 fables d’Ésope (Voyez p. 296 et s.).
e anglais, imprimé à Londres en 1503, contient les fables d’Hildebert traduites avec peu de changements et imprimées par Wynkin d
Berlin, 1870. (Voyez Einleitung, p. xxvii.) 548. Ces vers peuvent se traduire ainsi : « Le roi qui fonda Rome a le premier trad
vers peuvent se traduire ainsi : « Le roi qui fonda Rome a le premier traduit ces poésies du grec en latin pour l’instruction d
enfants. Le roi d’Angleterre Affrus, habile dans cet art, les a fait traduire aussi de façon à les faire connaître aux siens. »
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