les reclamerent.
Des Abeilles s’opposant,
Devant certaine Guespe on
traduisit
la cause.
Il estoit mal-aisé de décider la chose
Mais on l’accusa à ce propos d’innover en matière de religion, on la
traduisit
en justice, et ses accusateurs la firent condamne
il réclama le salaire convenu. La vieille se refusant à payer, il la
traduisit
devant les magistrats. Elle déclara qu’elle avait
û par le désir de s’emparer de ses biens. Car, à l’époque où il était
traduit
en justice, le fabuliste, dans le prologue de son
onfesser que, pour donner au vers de Phèdre son vrai sens, il faut le
traduire
ainsi : « Adoptant certains sujets pour mon malhe
e Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore, tirée d’Avianus et
traduite
en vers ïambiques, ensuite dans sa préface adress
s. Le frontispice est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre |
traduites
en vers italiens | par M. Petronj | et en prose
acare ; Ille edat asparagos, lac bibat ista capræ. Je pourrais
traduire
ce distique ; mais le lecteur français veut être
dernier, il n’avait fait que la copier et n’avait pas eu besoin de la
traduire
en vers ïambiques. Sans parler des vieux manuscri
gard d’une fable de Phèdre : ne me rappelant plus que je l’avais déjà
traduite
, j’en ai fait une seconde traduction ; mais la se
Avianus de toute fable pareille à celle que Perotti prétendait avoir
traduite
en vers ïambiques, démontrait sa mauvaise foi évi
d comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’Avianus et
traduit
en vers ïambiques une fable qu’en réalité il avai
virtutes in alienam te orationem secutæ sint. » Resolvere, c’est donc
traduire
; ce n’est pas autre chose. Il ne faut donc pas d
sans doute pas mettre en vers élégiaques ce que ce dernier avait déjà
traduit
en ïambes. Comment Christ n’a-t-il pas vu cela ?
Romulus, mais la traduction en prose de fables qu’il avait auparavant
traduites
en vers latins, ce qui explique qu’on y trouve de
bellos resolvit. » Phèdre n’a pas, selon l’interprétation de Schwabe,
traduit
le vieil Ésope ; il n’a pas non plus, comme le pr
érable que celui de Babrius. Car, encore une fois, resolvere signifie
traduire
. Le passage de Quintilien, cité par M. du Méril,
illeurs il est au contraire supposable que, si ses œuvres avaient été
traduites
par des écoliers, ils auraient traduit son nom co
e, si ses œuvres avaient été traduites par des écoliers, ils auraient
traduit
son nom comme le reste ; nous le connaîtrions auj
qui n’existeraient pas ; les maîtres n’auraient pas voulu les laisser
traduire
. Il n’y a rien d’étonnant à ce que Phèdre ait une
ux fables nouvelles seraient des fables de Romulus que Perotti aurait
traduites
en ïambes latins ; mais le langage de Perotti ne
v finit très mal et que les derniers vers n’en ont pu être clairement
traduits
. Mais par sa composition elle rappelle complèteme
eu l’incertitude qu’il exprime ainsi dans sa notice : « Je n’ai point
traduit
les fables de Perotti, et ne retracerai point les
aque qui. avait toute sa prédilection et qu’évidemment, s’il en avait
traduit
d’autres, il aurait toujours adopté. J’ai dit qu’
nçaises. 1664. Les fables de Phèdre affranchy d’Avgvste
traduites
en françois, avec le latin à costé. Pour servir à
atin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine, et à bien
traduire
en François. Septième édition reveüe et corrigée.
n regard. 1683. Les fables de Phèdre affranchy d’Avgvste,
Traduites
en François avec le Latin à côté. Pour servir à b
Latin à côté. Pour servir à bien entendre la Langue Latine, et à bien
traduire
en François. Cinquième édition. A Lyon, chez F. L
ges de table non numérotées. Les Fables de Phèdre affranchy d’Avgvste
traduites
en François avec le Latin à côté, etc. Sixième éd
latin à côté. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien
traduire
en François. A Avignon, chez François Mallard, Im
s d’une traduction en prose française en regard, et les sentences non
traduites
de A. Sénèque et de Syrus Mimus. Cette édition, q
ibraire. 1736. Les fables de Phèdre, affranchy d’Auguste,
traduites
en François avec le latin à côté… A Rouen, chez S
. In-36. 1757. Les Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste,
traduites
en françois, augmentées de huit fables qui ne son
mant. In-12. 1806. Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste,
traduites
en français avec le texte à côté, et ornées de gr
les de Phèdre, divisées en quatre livres égaux, enrichies de notes et
traduites
en français, conformément à l’édition latine donn
eu-Denesle et Cie . In-8º de 18 feuilles. Nouvelles Fables de Phèdre,
traduites
en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
Paris, Louis Duprat-Duverger. In-8º de 24 feuilles. Fables de Phèdre,
traduites
en vers français et précédées d’une Épître à un é
et demie. 1820. Les Fables de Phèdre affranchi d’Auguste,
traduites
en français. Dernière édition, revue et augmentée
es. 1822. Fables complètes de Phèdre affranchi d’Auguste,
traduites
par Auguste de Saint-Cricq, avec le texte en rega
sixièmes. 1827. Fables anciennes et nouvelles de Phèdre,
traduites
en français avec le texte en regard revu sur les
ris, Ebrard. In-18 de 6 feuilles. 1845. Fables de Phèdre,
traduites
en français avec le texte latin en regard et des
u. In-12 de 13 feuilles et demie. 1859. Fables de Phèdre,
traduites
en vers par Hippolyte d’Aussy (de Saint-Jean d’An
e et Cie . In-12 de iv-236 pages. 1880. Fables de Phèdre,
traduites
en vers par Mmes Nancy Mary Lafon. Paris, C. Lévy
us qui fu emperere, Le Romulus anglo-latin n’avait pas été seulement
traduit
en anglais. Il avait encore servi de base à des i
la dignité de cardinal, en son nom exhorté et persuadé par vous, j’ai
traduit
la vie d’Ésope du grec en latin. Mais je ne l’ava
Vous n’en avez pas moins renouvelé vos exhortations pour m’engager à
traduire
non seulement la vie d’Ésope, mais encore ses fab
le compilateur a voulu, c’est montrer Romulus, après avoir à Athènes
traduit
en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cett
sage de Quintilien, il a supposé que cet auteur recommandait de faire
traduire
en latin des fables grecques par les écoliers rom
at de l’application des conseils de Quintilien, qui engageait à faire
traduire
en prose les fables ésopiques originairement écri
er tercius Ysopi gentilis. Dans le livre III, comme Walther n’a pas
traduit
en vers élégiaques la fable en prose De Junone et
ren Sigmunden herczogen zū öesterrich. Ce qui littéralement peut se
traduire
ainsi : « La vie du célèbre fabuliste Ésope tradu
ralement peut se traduire ainsi : « La vie du célèbre fabuliste Ésope
traduite
du grec en latin par Rimicius, pour le révérend p
e et arundine. xx. Comme l’auteur des fables élégiaques n’a point
traduit
le livre IV de Romulus, il s’ensuit qu’ici chacun
heureux fait dans une collection plus considérable de fables d’Ésope
traduites
par Ranutio d’Arezzo328. Peut-être même Steinhöwe
anus, qui sont, comme les précédentes, ornées de gravures sur bois et
traduites
en langue allemande, et qui sont énumérées dans l
of this Æsop Bibl. Spencer., I., 239. See Fabricius. Ce qui peut se
traduire
ainsi : « Cet exemplaire (auquel manque un feuil
agnées de celles de l’Anonyme de Nevelet, les dix-sept fables d’Ésope
traduites
en prose latine et dites extravagantes, la traduc
arum extrauagantium. Sur la même page commencent les dix-sept fables
traduites
par Ranutio d’Arezzo ; elles sont précédées de ce
re III comprend 42 fables. Comme les fables du livre IV n’ont pas été
traduites
en vers par l’anonyme de Névelet, Brant, pour com
Comme précédemment, Brant a, en tête de chacune des dix-sept fables
traduites
en latin par Ranutio d’Arezzo, placé une traducti
ausӡ latin. von do-|ctore Heinrico Steinhöwel , etc. Ce texte peut se
traduire
ainsi : « Ici commence le livre et la vie du trè
: « Ici commence le livre et la vie du très célèbre fabuliste Ésope,
traduits
du grec en latin. De plus, quelques autres fables
« Tout d’abord la préface. « La vie du très renommé fabuliste Ésope,
traduite
du grec en latin, par Rimicius pour le très révér
vec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son fils Tiberinus,
traduites
du grec en latin ; de plus quelques fables d’Avia
Alphonse, et joyeusetés du Pogge et d’autres, chacune avec son titre,
traduites
du latin par le docteur Henri Steinhöwel, etc. »
ochwürdigen va-|ter herren Anthonium des titels | etc. Ce qu’on peut
traduire
ainsi : « La vie du très illustre fabuliste Ésope
obi nach cristi gepurd M.CCCC. vnd im Lxxxv. iare 343. Ce qui peut se
traduire
ainsi : « Ésope le très illustre fabuliste, avec
ontag nach sant Fe-|liczen tag : Nach Cristi geburd. M.CCCC. lxxxxi.
Traduisez
: « Ici finit Ésope le célèbre fabuliste avec que
ivie des fables de Romulus précédées elles-mêmes de la dédicace ainsi
traduite
: Romuleo filӡ de Thibère de la cité daticque sa
es et la vie d’Esope avec les fables de Avian de Alphonse et de Poge,
traduites
en francoys. L’existence de cette édition m’a é
ait-elle paru en France qu’elle se répandait en Angleterre et y était
traduite
en langue anglaise par le fameux imprimeur Willia
s. 1º Éditions de Gérard Leeu. A. Édition in-4º de 1485.
Traduites
en France et en Angleterre, les fables du Romulus
en en sijn. Fol. 73 b, col. 2 à 74 a, col. 1. — Table des 17 fables
traduites
sur la version latine de Ranutio d’Arezzo. Fol. 7
ne tardèrent pas à pénétrer en Espagne où elles furent immédiatement
traduites
en langue espagnole. Leur traduction fut, au xve
plus intéressante était le Miroir historial. Aussi est-ce lui qui fut
traduit
le premier en langue française. La traduction due
s ouvrages publiés en langue française et toujours ardent à les faire
traduire
et à les imprimer lui-même, Caxton fit paraître v
, qui avait seul été publié en français et en anglais, fut seul aussi
traduit
en langue néerlandaise. Cette version, qui n’est
les fables élégiaques sont attribuées à un certain Romulus qui les a
traduites
du grec à l’usage de son fils Tiburtinus. Ce Romu
choix de fables amusantes. Romulus, pour lui complaire, commence par
traduire
en prose latine les fables grecques d’Ésope, puis
oviales, et ce dernier, pour ne pas contrarier un si haut personnage,
traduit
en prose latine ses fables grecques. La Bibliothè
omulus, ayant mis la main sur l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope, la
traduit
en latin et envoie sa traduction à l’empereur san
ur Romulus n’est plus le traducteur ; il a seulement donné l’ordre de
traduire
, et ce n’est plus seulement pour l’instruction de
aques, mais encore expose les circonstances qui l’avaient déterminé à
traduire
en vers latins la prose grecque d’Ésope : « Salo
aurait trouvé un exemplaire des fables grecques d’Ésope et les aurait
traduites
en vers latins. Tout cela est très nettement affi
qu’il étudiait à Athènes, a composé en vers ces mêmes fables, qu’il a
traduites
du grec en latin et appropriées à nos mœurs405. »
e : un Italien, sur l’œuvre duquel je reviendrai, Accio Zuccho, avait
traduit
les fables élégiaques en sonnets écrits dans le d
it odores ; sic iste liber varias reddit utilitates. » Ce qui peut se
traduire
ainsi : « Le titre de ce livre est Incipit Esopus
nnablement supposer, c’est que, l’ayant trouvée je ne sais où, il l’a
traduite
et insérée avec la traduction à la suite des soix
non sopit. Au siècle suivant, vers 1333, les fables de Walther sont
traduites
en vers français en l’honneur de Madame Jehanne d
ne de France, Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe VI, qu’il avoit
traduit
les fables latines, que les dames et les jeunes g
alther avait été allongé, et que l’allongement était, comme le reste,
traduit
dans la fable française. Il n’en est pas de même
1594 qui a augmenté les morales des fables latines, et qui a ensuite
traduit
les additions en français. Je m’empresse d’ajoute
s Esopi vitae . Alors, au feuillet 68 apparaissent les fables d’Ésope
traduites
par Rimicius. Comme sa vie, elles sont précédées
tions françaises. Les fables de Walther ont été, dès le moyen âge,
traduites
en vers français. J’en ai, comme on l’a vu, renco
rs siècles du moyen âge et au commencement de la Renaissance, ont été
traduites
tant en prose qu’en vers. 1º Traductions en pro
l’encre rouge, et qui est précédée de l’épimythion latin de la fable
traduite
. Les fables se terminent au verso du feuillet 81.
s deux sonetti, l’un materiale, l’autre morale, par lesquels Zuccho a
traduit
chaque fable latine, sont suivis de la fable corr
re en latin et en italien, tel que j’ai été déjà, l’Ésope authentique
traduit
par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans
nous sont parvenus ne contiennent que 60 ou 62 fables, Accio Zuccho a
traduit
la soixante-troisième et la soixante-quatrième, q
eu l’un après l’autre la même idée. Ils ont presque à la même époque
traduit
le même texte dans le même rythme lyrique. Leurs
aient appartenu, et que Neckam, en ayant rencontré plusieurs, les ait
traduites
en vers élégiaques et en ait accru son œuvre. Ce
en a presque rien gardé, et si l’on veut bien considérer comment il a
traduit
la phrase que j’ai citée plus haut, on voit qu’il
ts français. Comme les fables de Walther, celles de Neckam ont été
traduites
en vers français, et il en a été fait deux traduc
s réduit au nombre de quarante, c’est que le poète français a omis de
traduire
les deux fables latines : xi. De Stulto et Mulis,
us anglo-latin remonte à un temps relativement reculé. S’il avait été
traduit
directement par Marie de France, on ne pourrait a
ux manuscrits. Or, Alfred le Grand remonte à une époque où le texte à
traduire
n’existait pas encore, et, comme les manuscrits d
France dit qu’Ésope avait adressé à son maître des fables qu’il avait
traduites
du grec en latin, que Romulus qui fut empereur en
recueil à son fils, que le roi Alfred (Henri dans deux manuscrits) le
traduisit
ensuite en anglais et qu’elle a elle-même mis en
it à 104. Sur les 114 fables, il y en a en effet 11 que Marie n’a pas
traduites
, savoir : six appartenant au Romulus de Nilant, d
que le Romulus anglo-latin a, peu de temps après son apparition, été
traduit
en langue anglaise. Mais, comme cette traduction
de mon prologue l’éloge du comte Guillaume, à l’exemple de Marie, qui
traduisit
pour lui les fables d’Izopet.” » Qu’il me soit p
nant cent trente-six fables, ne possède pas toutes celles que Marie a
traduites
, on est obligé d’admettre que la collection latin
en, traduitte en francois. Page 46. III. Histoire romaine par Eutrope
traduite
en francois. Page 58. IV. Le liure nômé Secret de
s qu’il contient : 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fables d’« Isopet »,
traduites
en vers. 3º Le fabliau de la male Honte. 4º Le Di
inion différente dans deux notes en anglais, dont la première peut se
traduire
ainsi : « Le tout est du xiiie siècle, à l’excep
pas entré dans le Romulus anglo-latin et qui, par suite, n’a pas été
traduit
par Marie de France. 6º Manuscrit 536 de la Bi
tête du Dérivé complet le prologue qui le précède, l’a littéralement
traduit
. En effet, dans le prologue du Dérivé complet on
s’est pas propagé au dehors. Ce Romulus, composé en Angleterre, y fut
traduit
en langue anglaise, et c’est dans ce pays que Mar
de Minden, j’ai dit incidemment qu’un second poète avait, comme lui,
traduit
en bas-allemand les fables latines dérivées du Ro
e sproche geuen kan Meister esopus dus heuet an. Ces vers peuvent se
traduire
ainsi : « Ésope était un sage grec || et habitait
, dans la dédicace à Tiberinus que l’auteur du Romulus hexamétrique a
traduite
, quel est le premier vers qui s’offre aux yeux ?
r été profondément pénétré, et qui, dès le début de sa paraphrase, se
traduit
par cette invocation : Jam te cuncti poscimus, p
; or cette forme nouvelle que ce dernier a seul pu lui fournir, a été
traduite
dans le Dérivé en vers rythmiques. Il est vrai qu
as inventé les sujets ; il en a trouvé des rédactions en prose, les a
traduites
et les a ajoutées aux autres. Où les a-t-il trouv
e de trois fables étrangères à la collection qu’il avait entrepris de
traduire
. En procédant ainsi, il a agi comme beaucoup de s
Latin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien
traduire
en François. À Paris, chez la veuue Martin Dvrand
1834, suivant la voie tracée par ses devanciers, M. Ernest Panckoucke
traduisait
ainsi le vers de Phèdre : « Cherchant des sujets
ttinus, publiée à Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phèdre,
traduites
en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
n-8º. (Voyez Dissertatio I, p. v.) 160. Nouvelles Fables de Phèdre,
traduites
en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
(Voyez le volume précité, p. 274.) 170. Nouvelles Fables de Phèdre,
traduites
en vers italiens par M. Petronj et en prose franç
t. I, p. xiv et xv. 228. Manuel de Littérature classique ancienne,…
traduit
de l’allemand de M. Eschenburg, avec des addition
pographeo Academico, MDCCCLII. 2 vol. in-4º. 328. Ranutio d’Arezzo a
traduit
en latin 100 fables d’Ésope (Voyez p. 296 et s.).
e anglais, imprimé à Londres en 1503, contient les fables d’Hildebert
traduites
avec peu de changements et imprimées par Wynkin d
Berlin, 1870. (Voyez Einleitung, p. xxvii.) 548. Ces vers peuvent se
traduire
ainsi : « Le roi qui fonda Rome a le premier trad
vers peuvent se traduire ainsi : « Le roi qui fonda Rome a le premier
traduit
ces poésies du grec en latin pour l’instruction d
enfants. Le roi d’Angleterre Affrus, habile dans cet art, les a fait
traduire
aussi de façon à les faire connaître aux siens. »