urent les questions qui se formulèrent dans ma pensée, et, quoique ma
traduction
fût déjà très avancée, je l’interrompis pour cher
ont pas même pu se mettre d’accord sur son nom. Je ne parle pas de la
traduction
française de son nom ; aujourd’hui pour nous il n
Le Père Desbillons cite d’abord un passage de Strabon, dont voici la
traduction
: « La Piérie, l’Olympe, le Pimpla, le Libethrus
e cette pensée, et il ne restera aucun doute ; voici comment, dans la
traduction
que j’en ai faite, j’ai moi-même été forcé de la
r la connaître, de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des
traductions
françaises, publiée en 164727, Isaac Le Maître de
tour à tour firent confiance à leur devancier29, et moi-même, dans ma
traduction
littérale en vers libres publiée en 188130, quoiq
ement inconnues. Au moyen âge elles avaient bien servi de texte à des
traductions
latines, qui elles-mêmes avaient été la base de v
1576, un manuscrit de la bibliothèque de Pierre Pithou, contenant la
traduction
des Novelles de l’empereur Justinien par Julien,
e sa naissance. Je renvoie ceux qui voudront le lire au texte et à la
traduction
française, qui en ont été publiés par son biograp
es guerres de religion il s’était exilé à Bâle, où il avait publié la
traduction
latine des Novelles de Justinien par le professeu
lieu de sèméion . Le texte grec est accompagné, en interligne, de la
traduction
latine écrite en lettres de moindre grosseur. Cet
de la traduction latine écrite en lettres de moindre grosseur. Cette
traduction
commence par cette phrase qui diffère également d
du manuscrit de Pithou, la librairie Panckoucke commença à éditer sa
traduction
des classiques latins. Phèdre méritait d’y trouve
ilologique, lui adressa, le 15 décembre 1463, pour le féliciter de sa
traduction
latine en vers élégiaques d’un vieil oracle d’Apo
nd Perotti reçut cette lettre, il n’avait que trente-trois ans, et la
traduction
à laquelle elle fait allusion est placée presque
borieusement construit par Jannelli s’écroule. Si l’on a recours à la
traduction
en prose de M. Bagioli, publiée en 1812, on y tro
lle avait aimé pendant plusieurs années172 » ; et si l’on consulte la
traduction
en vers de M. de Joly, on y lit : D’un époux ado
dre le texte, qui d’ailleurs me semble la plus exacte, et que dans ma
traduction
j’ai moi-même adoptée174, ne permet pas de déduir
. le baron de Pommereul et la préface qui en occupent 23, comprend la
traduction
en vers italiens des trente-deux fables nouvelles
iens des trente-deux fables nouvelles, leur texte latin en regard, la
traduction
française en prose ajoutée au bas, et les notes l
rappelant plus que je l’avais déjà traduite, j’en ai fait une seconde
traduction
; mais la seconde n’était pas identique à la prem
tement connues, et parmi elles aucune n’avait pu servir de texte à la
traduction
que Perotti prétendait avoir faite en vers ïambiq
le que les fables contenues dans le manuscrit de Dijon ne sont que la
traduction
en prose de fables originairement écrites en vers
rose de fables originairement écrites en vers ïambiques, et que cette
traduction
, ayant été en partie reproduite par Vincent de Be
ent mises en prose, et qui, sauf quelques fragments conservés dans la
traduction
en prose et mis en œuvre par Perotti, ont été enf
ement perdues. De là vient que les fables de Romulus semblent être la
traduction
en prose de celles qu’on attribue à Phèdre. Mais
n tour dans la lice. Voici comment il s’exprime dans la préface de sa
traduction
en vers, publiée en 1754, des fables et contes al
ermes plus prolixes, tandis qu’en réalité il n’implique que l’idée de
traduction
, et Schwabe, cherchant dans Sénèque lui-même l’in
es manuscrits de Romulus contient non pas l’œuvre de Romulus, mais la
traduction
en prose de fables qu’il avait auparavant traduit
tine. Les écoliers, en les traduisant en vers, conservaient dans leur
traduction
le rythme de l’original, et la meilleure traducti
rvaient dans leur traduction le rythme de l’original, et la meilleure
traduction
était portée ensuite sur le cahier d’honneur. De
tion de fables latines qu’on attribue à Phèdre, et qui ne sont que la
traduction
de son œuvre grecque. Est-ce là une hypothèse fan
crits et qui, aucun feuillet ne manquant, ne peuvent provenir que des
traductions
jugées indignes du cahier d’honneur ; ce vers Ph
que nous possédons ne sont pas l’œuvre originale de Phèdre. C’est une
traduction
presque aussi vieille que le texte grec ; mais c’
e traduction presque aussi vieille que le texte grec ; mais c’est une
traduction
. Mais alors où est le texte grec ? Il a disparu,
re ; mais il fait observer judicieusement que Quintilien parle non de
traductions
proprement dites, mais de ces paraphrases, qui co
e Lycophron, mais qui, s’il avait voulu prendre la peine d’en lire la
traduction
par M. Bagioli publiée à Paris en 1812 et citée p
hèdre je devrais peut-être énumérer toutes les éditions et toutes les
traductions
de ses fables. Mais le nombre en est infini. De p
seconde à celles dans lesquelles le texte latin sera accompagné d’une
traduction
. Section I. Éditions du texte latin. 1713
e des fables anciennes (pages 97 à 138). Section II. Éditions des
traductions
. § 1. — Traductions françaises. 1664.
ages 97 à 138). Section II. Éditions des traductions. § 1. —
Traductions
françaises. 1664. Les fables de Phè
vis de 6 non numérotés, contenant le texte des fables anciennes et la
traduction
en prose en regard. 1683. Les fables
exte du fabuliste et les fables restituées par Gude accompagnés d’une
traduction
en prose française en regard, et les sentences no
les de Phèdre, affranchi d’Auguste, en latin et en françois. Nouvelle
traduction
, avec des remarques, dédiée à Mgr le Duc de Bourg
(1818, 1820). In-12. 1812. Les Fables de Phèdre, avec la
traduction
interlinéaire par M. Maugard, professeur de langu
ris, P. Didot l’aîné. In-8 de 16 feuilles et demie. 1813.
Traduction
en vers français des fables complètes de Phèdre,
at-Duverger. In-18 de 5 feuilles. 1816. Fables de Phèdre,
traduction
nouvelle avec des notes, par M. l’abbé Paul, anci
exte en regard. Paris, Égron. In-8º de 20 feuilles. 1826.
Traduction
et examen critique des fables de Phèdre comparées
… Paris, Belin-Mandar. In-8º d’un quart de feuille. Fables de Phèdre,
traduction
nouvelle avec des notes. Par M. l’abbé Adolphe Ma
2 de 11 feuilles. 1830. Fables de Phèdre, latin-français,
traduction
de l’abbé Paul. Nouvelle édition adaptée à celle
bé Paul. Nouvelle édition adaptée à celle de Brotier, augmentée de la
traduction
des nouvelles fables attribuées à Phèdre, et suiv
illes 5 sixièmes. Fables de Phèdre, affranchi de l’empereur Auguste ;
traduction
fidèle et littérale en vers français avec le text
de 11 feuilles. Nouvelles Fables attribuées à Phèdre, latin-français.
Traduction
nouvelle. Par M. Genouille. Paris, Aug. Delalain.
ain. In-12 d’une feuille 1 tiers. 1834. Fables de Phèdre.
Traduction
nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F
dre, expliquées en français suivant la méthode des collèges, par deux
traductions
, l’une littérale et interlinéaire, avec la constr
17 feuilles 1 sixième. 1838. Le Phèdre de la Jeunesse, ou
traduction
en vers des fables de Phèdre ; par M. Boyer-Nioch
erce, de Gallus et Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la
traduction
en français ; publiées sous la direction de M. Ni
ochet (1850). In-oct. maj. de 52 feuilles et demie. 1840.
Traduction
des fables de Phèdre, précédée d’une notice sur l
e. In-12 de 4 feuilles 1 sixième. 1846. Fables de Phèdre.
Traduction
nouvelle en vers français, texte en regard par M.
int-Jean d’Angely, Sandeau. In-8º de xii-112 pages. 1860.
Traduction
en vers français des хххii nouvelles fables attri
éolier (1858). In-8º de 46 pages. 1869. Fables de Phèdre.
Traduction
en vers français par M. C. Macaigne, professeur.
pages. 1875. Fables de Phèdre, latin-français en regard.
Traduction
nouvelle par A. Lebobe, ancien professeur. Paris,
Les auteurs latins expliqués, d’après une méthode nouvelle, par deux
traductions
françaises, l’une littérale et juxta-linéaire pré
es et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une
traduction
littérale en vers libres par Léopold Hervieux. Pa
is, librairie Didier et Cie . In-18 jésus de xix-67 pages. § 2. —
Traductions
allemandes. 1791. Phæders, Æsopisc
zt von A. R. v. A. Leipzig, Teubner. In-8º v. xx u. 172 s. § 3. —
Traductions
anglaises. 1826. Phædrus’ Fables,
by Riley, in one vol. London, Bohn’s Classical Lib. In-8º. § 4. —
Traductions
espagnoles. 1793. Fabulas de Phædro
tellano Paris, Garnier frères (1860). In-18 de 7 feuilles. § 5. —
Traductions
italiennes. 1734. Le Favole di Fedr
s fables anciennes de Phèdre et les cinq restituées par Gude, avec la
traduction
en vers italiens en regard : Les pages 146 à 229
ables elles-mêmes, dont chacune est suivie : 1º de notes ; 2º de cinq
traductions
italiennes composées par Malaspina, Trombelli, Mi
Coen di Reggio. In-16 de 148 pages contenant, sous le texte latin, la
traduction
en prose italienne des Fables de Phèdre et de cel
la page 148 on lit : Parma ; Per i fratelli Gozzi. 1812.
Traduction
de Petronj, mentionnée page 229 ci-dessus. 18
ant le texte de Phèdre et des cinq fables restituées par Gude avec la
traduction
en prose italienne placée en regard. 1818.
e Prefazione et la Vita di Fedro en italien, et, sans texte latin, la
traduction
en vers italiens des fables de Phèdre anciennes e
per gli eredi Soliani tip. reali. In-8º de x-246 pages, contenant la
traduction
en vers italiens des fables anciennes, des fables
pe Tiocchi. In-12 de 146 pages numérotées, contenant (p. 87 à 116) la
traduction
en vers italiens des trente-deux nouvelles fables
Tip. G. Favale e Compagnia. In-16 contenant, sans le texte latin, la
traduction
en vers italiens des fables anciennes de Phèdre,
orinese, MDCCCXXXVIII, celle de huit des fables nouvelles. § 6. —
Traductions
illyriennes. 1813. Phædri Augusti
discta. In-24 de xii-167 pages contenant les Fables de Phèdre avec la
traduction
en vers illyriens en regard. § 7. — Traductio
de Phèdre avec la traduction en vers illyriens en regard. § 7. —
Traductions
chinoises. 1840. Fedro, Aniano, et
grecs concernant la géométrie, la grammaire et la rhétorique, avec la
traduction
latine. Fol. cxlvii b. — Deux médicaments. Fol. c
lle le mot viribus est substitué au mot virtuti, est, suivant lui, la
traduction
un peu développée de ce vers unique : Virtuti se
lyse de l’analyse de Tross, ainsi qu’on va pouvoir en juger par cette
traduction
du passage qui concerne le manuscrit : « Ce manus
ntum supplementi Chronicarum, ouvert une des éditions anciennes de la
traduction
latine de la vie d’Ésope par Ranutio d’Arezzo, il
aison des dates qu’elle fixe, d’en donner ici, malgré sa longueur, la
traduction
suivante : « À son très révérend père en Jésus-C
encouragements, joints à mes veilles et à mes efforts, ont produit sa
traduction
latine. Si votre domination accepte volontiers la
e grec d’Ésope, envoyant, de cette ville où il se trouvait encore, sa
traduction
à son fils Tiberinus. Et maintenant, pour en reve
ppelle les fables de Phèdre, et qu’elles ont été, comme celles-ci, la
traduction
latine des œuvres, sinon de ce fabuliste, au moin
taine mesure, être regardées par celui qui les paraphrasait comme une
traduction
latine du vieux fabuliste grec, et, sous le nom d
tes, ni qu’aucun des auteurs des versions en prose se soit aidé de la
traduction
en vers ïambiques. « C’est même, dans quelques p
nitus y avait ajouté une mention, qu’il avait signée et dont voici la
traduction
: « J’ai terminé la copie de ces fables d’Ésope l
préface allemande qui établit que le Dr Steinhöwel est l’auteur de la
traduction
allemande, et de laquelle j’extrais littéralement
t occupés par la vie d’Ésope en latin, qui est elle-même suivie de la
traduction
allemande due au Dr Steinhöwel. Cette traduction,
le-même suivie de la traduction allemande due au Dr Steinhöwel. Cette
traduction
, qui s’étend du feuillet 26 b au feuillet 60 b, e
m et acuant satis ingenium. Cette dédicace est suivie d’abord d’une
traduction
allemande, puis du prologue des fables en vers él
ns l’ordre suivant : 1º Texte latin en prose, 2º Gravure sur bois, 3º
Traduction
allemande de Steinhöwel, 4º Texte latin en vers é
ici chacune des fables du prosateur latin n’est accompagnée que de la
traduction
allemande (fol. 131 a à 147 a). Sauf cette lacune
ns les trois premiers livres, fait suivre chaque fable en prose de sa
traduction
en vers, et avoir été conduit ainsi à leur donner
de Romulus, ornées de gravures sur bois et suivies une à une de leur
traduction
en langue allemande (fol. 147 b à 187 a). Puis vi
r connu les autres. Elles sont ornées de gravures, accompagnées d’une
traduction
allemande et terminées par la mention suivante :
t fables d’Ésope traduites en prose latine et dites extravagantes, la
traduction
en prose latine de dix-sept autres par Ranutio d’
a deuxième impression de Sorg ne contient pas plus que la première la
traduction
allemande de Steinhöwel. Comme la première, elle
x éditions, imprimé avec le même bois. Fol. 2ª à 25b (a. iiª à d.ib).
Traduction
latine de la vie d’Ésope due à Ranutio d’Arezzo.
b). Traduction latine de la vie d’Ésope due à Ranutio d’Arezzo. Cette
traduction
est intitulée : Vita Esopi fabulatoris clarissim
premiers, six feuillets chacun, et le treizième, dix. Il renferme la
traduction
du Calila et Dimna de Bidpaï faite au xiiie sièc
été amené à analyser ici l’édition, peut-être la plus vieille, de la
traduction
latine, faite par Jean de Capoue, des fables de B
revenir au Romulus ordinaire, de signaler deux autres éditions d’une
traduction
espagnole qui a dû être faite sur le texte latin
, fait paraître non seulement une troisième édition, mais encore deux
traductions
, l’une en langue française, l’autre en langue fla
r fabule nove Esopi ex translatione Rimicii. Fol. 77 a. — Fin de la
traduction
latine de Ranutio d’Arezzo. Fol. 77 b. — Registr
. — Préface de Laurent Valla. Fol. 3 a à 22 b (a. iii a à c. vi b). —
Traduction
latine de la vie d’Ésope par Ranutio d’Arezzo. El
o, à chacune desquelles il a ajouté, sans doute pour la symétrie, une
traduction
latine en prose. Il s’ensuit que le livre III com
es dix-sept fables traduites en latin par Ranutio d’Arezzo, placé une
traduction
en vers élégiaques. Fol. 94 a (o. ii a). — Sequu
passée. De même qu’au moyen âge elles avaient tué Phèdre, de même les
traductions
qui en avaient été publiées à l’époque de la Rena
s qui ont paru en Europe dans les dernières années du xve siècle, la
traduction
allemande a été publiée la première, c’est des éd
; il n’est donc pas étonnant qu’il ait été le premier à réimprimer la
traduction
allemande qu’elle contenait. La réimpression de G
m, en avait réimprimé le texte latin, procéda de même à l’égard de la
traduction
allemande. En négociant judicieux, il dédoubla l’
ut dire : « Ici finit la vie d’Ésope. » Fol. 38 (1) a à 87 (50) b. —
Traduction
allemande des quatre livres de Romulus. Fol. 87 (
. Rimitio die auch | zugeschriben werdent. Esopo. Mit irem register.
Traduction
: « Ici finissent les vieilles fables courantes q
sseur. A. Édition de 1485. Jean Schobsser réimprima, en 1485, la
traduction
de Steinhöwel. Comme les précédentes, sa réimpres
traditions. Trois fois, en 1491, en 1496 et en 1498, il réimprima la
traduction
de Steinhöwel dans le format in-folio. A. Éditi
t an die vorrede in das buch | des hochberemten fabeltichters Esopi.
Traduction
: « Ici commence la préface du livre du très célè
Christ M.CCCC.XCVIII. » 5º Édition de Jean Prüss de 1508. La
traduction
allemande de l’œuvre de S. Brant, publiée par Jea
publiée par Jean Prüss, forme un vol. in-fol. Elle est précédée de la
traduction
allemande due à Steinhöwel. Le volume présente de
acune dans les signatures. Les feuillets 111 a à 178 a contiennent la
traduction
de l’œuvre de Brant suivie de cette souscription
mulus ordinaire cessa d’être réimprimé, il n’en fut pas de même de la
traduction
allemande. Elle fut l’objet de quelques réimpress
texte allemand des fables contenues dans l’édition d’Ulm, l’autre, la
traduction
allemande de l’addition de Sébastien Brant. La fi
commencement de l’autre s’annoncent par un double avis, dont voici la
traduction
littérale : « Ici finissent les fables réunies. —
esseur de Jean Fabre, y réimprima deux fois, dans le format in-4º, la
traduction
allemande de Steinhöwel, suivie de la traduction
le format in-4º, la traduction allemande de Steinhöwel, suivie de la
traduction
allemande des fables latines publiées par Sébasti
d’abord le titre, ensuite les deux préfaces allemandes attribuant la
traduction
à Steinhöwel, enfin la table des matières. Vienne
n de Francfort. Sous la même date de 1555, une autre édition de la
traduction
allemande a été publiée à Francfort. Le British M
ort-sur-le-Mein, en 1572, en 1586 et en 1589, a imprimé trois fois la
traduction
allemande des fables contenues dans l’édition de
r Georges Brand in Freyhüt. 10º Édition de 1648. En 1648, les
traductions
allemandes des fables publiées par Steinhöwel et
rant sont placées dans celle d’Erfurt entre les dix-sept issues de la
traduction
latine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’Av
11º Édition sans lieu ni date. Je dois citer ici une édition de la
traduction
allemande de Steinhöwel, sans lieu ni date, qui,
en 1838. § 4. — Éditions françaises. À peine avait paru la
traduction
allemande des fables du Romulus ordinaire qu’une
t paru la traduction allemande des fables du Romulus ordinaire qu’une
traduction
française en était également publiée. Cette derni
our daust. 3º Édition de 1484. La seconde édition datée de la
traduction
du frère Julien, qui sans doute n’était que la ré
itӡ te aiguiseront ton entendement et te donnront cause de ioye. La
traduction
de Macho comprend, à la suite des fables de Romul
bibliothèque sous le nº 4693. Comme les précédentes, elle contient la
traduction
de Macho intitulée : Les subtiles fables d’Ésope
L’édition de 1520, comme les précédentes, est une réimpression de la
traduction
de J. Macho. Elle ne contient aucune date. Le ver
: Imprime à Paris par Alain Lotrian. 12º Édition de 1532. La
traduction
en prose de J. Macho ne fut pas publiée seulement
o M.D. et lxi. Ainsi que l’annonce le titre, le volume contient une
traduction
distincte de celle de J. Macho et par suite offre
raduite en langue anglaise par le fameux imprimeur William Caxton. Sa
traduction
fut imprimée de 1483 à 1484 et publiée en un volu
in fine et fol. 97 a initio. — Table des dix-sept fables tirées de la
traduction
de Ranutio d’Arezzo. Fol. 97 a à 105 b. — Fables
la cote Oo. 3. 49. 2º Réimpressions de l’édition originale. La
traduction
de Caxton paraît avoir été longtemps réimprimée.
nne qui en possède un exemplaire sous la cote Douce A 40, parut de la
traduction
anglaise de Caxton une réimpression partielle com
parut encore à Londres une réimpression en caractères gothiques de la
traduction
de Caxton formant un volume in-8º non daté, signé
D. Réimpression de 1634. En 1634, nouvelle réimpression de la
traduction
de Caxton, éditée à Londres, dans le format in-12
ntine. 3º Édition de 1692. Il me reste à faire mention d’une
traduction
anglaise, qui, éditée par sir Roger L’Estrange, n
gne où elles furent immédiatement traduites en langue espagnole. Leur
traduction
fut, au xve siècle, l’objet de deux éditions que
comiença la de|claracion de otro prologo metrico. À la suite de la
traduction
de ce prologue métrique qui est celui de Walther,
gida-|mente. Fol. 77 a (D 1 rº). — Titre des fables provenant de la
traduction
latine de Ranutio d’Arezzo : Siguen se algunas f
87. Las Fabulas de Esopo. Ces fables, quoiqu’elles ne soient que la
traduction
de celles de Romulus, ne sont pas précédées de sa
dition ne contient pas le texte latin des fables et n’en offre que la
traduction
espagnole. J’ajoute que la dernière série de fabl
n de 1683. L’édition de 1683 forme un volume in-8, qui contient la
traduction
espagnole sans le texte latin. Voici le frontispi
écédant, sont consacrés au frontispice, à la table et au prologue. La
traduction
que cette édition renferme a le mérite d’être com
vre IV. De ces 29 fables de Romulus dix-sept ont leur origine dans la
traduction
en prose des fables connues de Phèdre, savoir : d
. Aussi est-ce lui qui fut traduit le premier en langue française. La
traduction
due à Jean de Vignay en fut pour la première fois
pe presque toute la page. § 3. — Édition de Nicolas Couteau. La
traduction
française de Jean de Vignay fut réimprimée au xvi
aussi traduit en langue néerlandaise. Cette version, qui n’est qu’une
traduction
libre, est due à Jacob Van Maerlant, qui lui donn
Van Lennep, en 1849. Telles sont dans leur ensemble les éditions des
traductions
du Miroir historial. Deuxième collection. Rom
t facile à comprendre. En effet l’Anonyme de Névelet, en composant sa
traduction
en vers élégiaques, a si bien substitué sa forme
la fois utile et agréable. Ce serait ainsi qu’aurait été exécutée la
traduction
latine des fables d’Ésope dont le nom aurait été
l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope, la traduit en latin et envoie sa
traduction
à l’empereur sans vouloir la revêtir de son propr
ont elles sont issues, les fables en vers élégiaques auraient été une
traduction
latine de celles d’Ésope faite par l’empereur Rom
Tiberius, c’est pour celle de tous ses fils qu’il a fait faire cette
traduction
. Les fables de l’Anonyme de Névelet ne parurent p
des fables elles-mêmes. On me saura peut-être gré d’en donner ici la
traduction
: « Puisque vous me demandez si Romulus a compos
et le titre de Libellus Zuccharinus avait été vulgairement donné à sa
traduction
, publiée pour la première fois en 1479. Scaliger
lui attribuée par l’éditeur de ses œuvres419 et rendue célèbre par la
traduction
qui en a été faite : Dum mea me mater gravida (s
encontre que dans ceux du xve siècle qui renferment en même temps la
traduction
en sonnets italiens du fameux Accio Zuccho. Je ne
ue, l’ayant trouvée je ne sais où, il l’a traduite et insérée avec la
traduction
à la suite des soixante-trois premières fables, a
ts numérotés contiennent les fables de Walther, suivies chacune d’une
traduction
en vers français de 8 syllabes, dont l’auteur inc
té augmenté de quelques vers ; ce qui a obligé à allonger d’autant la
traduction
française. Ailleurs, quand je donnerai l’analyse
is 1595, il me sera facile d’établir que l’amplification latine et la
traduction
française qui en a été faite constituent bien une
nçaise qui en a été faite constituent bien une œuvre postérieure à la
traduction
du véritable texte de Walther. Après le titre vie
um mittunt celitus ista duo. Le prologue ainsi accru est suivi d’une
traduction
, en tête de laquelle le copiste, fort préoccupé d
nsi conçu : Ci commence la compilation de Ysopet-Avionnet. Voici la
traduction
: Ce liuret que cy vous recite Plaist à oïr et s
aiche cruse est bonne noiz. Puis se succèdent, suivies chacune de sa
traduction
, les fables latines de Walther, qui, ainsi que le
cet effet transcrire ici dans leur ordre les titres français que leur
traduction
porte : 1. Du Coc et de l’Esmeraude. 2. Du Loup
suit ce prologue, comprend, comme la précédente, le texte latin et la
traduction
en vers français. Mais elle est loin d’être compl
tine est précédée d’une miniature appropriée au sujet et suivie d’une
traduction
française en vers de huit syllabes. Voici les tit
roies. La fable xix n’est pas, comme chacune des dix-huit autres, la
traduction
d’une des fables latines d’Avianus ; mais, comme
qui ne permet pas de supposer un instant qu’il ait été l’auteur de la
traduction
française. En effet, le texte latin est criblé de
ale, qui, veufs du texte latin de Walther, en renferment seulement la
traduction
française. De ces manuscrits, le premier dans l’o
entièrement blanc. Le manuscrit est presque totalement rempli par la
traduction
en vers français des fables de Walther. Elles son
e même dans le second manuscrit, où chaque affabulation se borne à la
traduction
du seul texte de Walther. Cette différence me por
teur des additions ? Il n’est pas plus connu que celui de la première
traduction
. Ce qui est dans tous les cas certain, c’est que
, putat 435 qui dicit Ysopus. Le manuscrit 1595 ne renferme pas la
traduction
des fables d’Avianus, ni les prologue et épilogue
être toujours la même, à savoir que toutes les additions faites à la
traduction
du texte de Walther sont l’œuvre d’un second trad
e, disposée en deux colonnes, est du xve siècle. Il renferme la même
traduction
en vers français que les manuscrits 1594 et 1595.
me traduction en vers français que les manuscrits 1594 et 1595. Cette
traduction
se compose de 39 fables précédées d’un prologue e
traits rouges. Comme dans le manuscrit 1594, elles sont suivies de la
traduction
de dix-huit fables d’Avianus. Toutefois le copist
rits de la Bibliothèque nationale possède un dernier exemplaire de la
traduction
en vers français des fables de Walther. C’est un
s séries de fables latines bien différentes. Les 59 premières sont la
traduction
de celles de Walther : les 18 suivantes se rappor
dernières appartiennent à Marie de France. Les 59 fables qui sont la
traduction
de l’œuvre de Walther, sont précédées d’un prolog
ables attribuées au célèbre conteur d’apologues, est accompagné d’une
traduction
en langue romane versifiée, traduction libre, d’u
pologues, est accompagné d’une traduction en langue romane versifiée,
traduction
libre, d’une naïveté fort prononcée, dont on juge
Le manuscrit a renfermé les fables de Walther, suivies chacune de sa
traduction
en vers français de huit syllabes. Mais avec les
es trois derniers vers latins de la fable de l’Épervier malade, 2º la
traduction
de cette fable, 3º le texte latin de la fable de
de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux, 4º le commencement de la
traduction
de cette fable, dont il ne reste que les 28 derni
tion de cette fable, dont il ne reste que les 28 derniers vers, 5º la
traduction
de la fable De la dame et dou cheualier depuis le
texte latin de la fable De Thaïde et iuuene, 7º le commencement de la
traduction
de cette fable, dont il ne reste que les 24 derni
t pas, avec celle qui a été publiée par M. Robert442, confondre cette
traduction
, qui a été écrite dans le dialecte franc-comtois,
e trouvaient. Chaque miniature est placée entre la fable latine et la
traduction
auxquelles elle se rapporte. Pour faire mieux con
elle se rapporte. Pour faire mieux connaître cette disposition et la
traduction
elle-même, voici la description des sept premiers
ze vers du prologue, dont une mouillure a enlevé quelques lettres. La
traduction
est précédée de ce titre à l’encre rouge : Cy co
nent au commencement du fol. 2 a. Fol. 2 a. — Miniature et au-dessous
traduction
surmontée de ce titre : Dou poul et de la iaspe.
sous traduction surmontée de ce titre : Dou poul et de la iaspe. La
traduction
se compose ensuite de trente-quatre vers, qu’à ti
mmencement du feuillet 3 a. Fol. 3 a, 3 b, 4 a et 4 b. — Miniature et
traduction
précédée de ce titre : Dou lou et de laignelat.
e ce titre : Dou lou et de laignelat. Les soixante-dix vers dont la
traduction
se compose commencent par ce premier : Entre lo
titre les seize vers de la fable latine, puis la miniature, enfin la
traduction
, qui porte ce titre : De la rate et de la renoil
et Ove. Suivent les dix vers de la fable latine, la miniature et la
traduction
intitulée : Dou chien et de la burbiz et compos
re est suivi de six vers de la fable latine, de la miniature et de la
traduction
intitulée : Du chien qui porte la pece de char e
comme toujours, suivis d’une miniature appropriée à la fable et d’une
traduction
portant pour titre ces mots : Dou chevalier et d
ceux des fables latines et je me borne à transcrire ici ceux de leur
traduction
: 1. Dou poul et de la iaspe. 2. Dou lou et de l
z le libraire Herminger, une remarquable édition, non seulement de la
traduction
française, mais encore du texte latin, précédée d
rtistique et scientifique du temps, mais encore elle est suivie d’une
traduction
en vers allemands, qui est l’œuvre du vieux Boner
’elles viennent deux sonnets. Comme dans les éditions imprimées de la
traduction
d’Accio Zuccho, il y a soixante-quatre fables, te
e latin de Walther et celui d’Avianus, amplifiés et accompagnés d’une
traduction
française en vers de huit syllabes, mais encore i
logue de la Grenville library a relevée dans une notice dont voici la
traduction
: « La mention de Madame Jeanne de Bourgogne dans
eur de ce manuscrit, et l’a induit à attribuer à la composition de la
traduction
une fausse date. Il a supposé que Jeanne de Bourg
ône, après avoir eu plusieurs enfants de lui, et c’est pourquoi cette
traduction
doit avoir été faite entre 1332 et 1348, et proba
, peut-être même un peu plus fines, et respectivement suivies de leur
traduction
en vers français. L’épimythion des fables de Walt
e prologue est suivi de dix-neuf fables latines, accompagnées de leur
traduction
en vers français. Ce sont les mêmes que celles qu
nuscrit 11193 forme un petit volume in-4º. Par le texte latin, par la
traduction
en vers français du xive siècle qui l’accompagne
ent à l’indication fournie par M. Fleutelot458, accompagnées d’aucune
traduction
et sont seulement pourvues du commentaire, qui, c
oit l’offrande du livre qui lui est faite à genoux par l’auteur de la
traduction
latine de son œuvre. Les deux personnages sont vu
t suivi d’une explication latine qui est plutôt une paraphrase qu’une
traduction
et à laquelle se rapportent évidemment ces mots d
m’avaient porté à supposer que l’édition contenait avec le texte une
traduction
en prose italienne. Chaque fable est ornée d’une
est celle qui a été publiée par M. Wendelin Fœrster à la suite de la
traduction
en vers français contenue dans le manuscrit de Ly
Les pages i à xliv sont remplies par l’introduction (Einleitung). La
traduction
en vers français occupe ensuite les pages 1 à 95.
uvent encore offrir est devenu purement historique. Section VII.
Traductions
des fables de Walther. § 1. — Traductions fr
que. Section VII. Traductions des fables de Walther. § 1. —
Traductions
françaises. Les fables de Walther ont été, dès
traduites en vers français. J’en ai, comme on l’a vu, rencontré deux
traductions
dans les manuscrits des bibliothèques publiques.
elin Fœrster, dans un petit volume in-8 analysé plus haut. La seconde
traduction
, qui paraît être du commencement du xive siècle,
our la première fois entreprise à l’aide du manuscrit 1594. § 2. —
Traductions
allemandes. Il a été fait au moyen âge des tra
. § 2. — Traductions allemandes. Il a été fait au moyen âge des
traductions
allemandes, tant en prose qu’en vers, des fables
tant en prose qu’en vers, des fables de Walther. En ce qui touche les
traductions
en prose, je n’en veux signaler qu’une. Dans la b
rit in-4º de grand format, pouvant être considéré comme contenant une
traduction
en prose des fables de Walther, qui, ainsi que la
rt de celles du moyen âge, est plutôt une paraphrase qu’une véritable
traduction
. Encore n’est-elle que partielle. Commençant à la
ngés dans l’ordre adopté dans le manuscrit pour celles qui en sont la
traduction
allemande : 1, 2, 3, 5, 4, 6, 7, 8, 10, 12, 13, 1
12, 13, 14, 15, 17, 18, 23, 19, 20, 21, 26, 27, 22, 28, 31. Quant aux
traductions
en vers, il y a une œuvre qui pourrait être rangé
s qu’elle exigerait me déterminent à ne pas l’entreprendre. § 3. —
Traductions
anglaises. On ne peut guère regarder comme des
leur langue l’œuvre de Walther. Au surplus, en donnant l’analyse des
traductions
de ce Romulus, je les ai fait assez connaître pou
les ai fait assez connaître pour n’avoir pas à y revenir. Quant à des
traductions
anglaises directement faites sur les distiques la
l en existe. M. Fleutelot, dans la Préface qu’il a mise en tête de sa
traduction
de Phèdre, s’est trompé quand il a affirmé que Wy
l a affirmé que Wynkyn de Worde avait imprimé à Londres, en 1503, une
traduction
anglaise des fables de Walther. En effet il n’en
des éditions des huit auteurs. Bref, je ne puis, en ce qui touche les
traductions
anglaises, que déclarer que je n’en connais aucun
uctions anglaises, que déclarer que je n’en connais aucune. § 4. —
Traductions
italiennes. En Italie, il en a été autrement :
t de la Renaissance, ont été traduites tant en prose qu’en vers. 1º
Traductions
en prose faites au moyen âge. Les traductions
ose qu’en vers. 1º Traductions en prose faites au moyen âge. Les
traductions
qui ont été faites au moyen âge, nous ont été con
Riccardienne, je n’ai pas examiné les manuscrits qu’elle possède des
traductions
en langage vulgaire des fables de Walther. C’est
61, 81 b, 82, 96 b, 97, 98, 99 et les quatre derniers sont blancs. La
traduction
des fables en langue vulgaire commence au feuille
les qui ont été publiées par Rigoli en 1818. Manuscrit 1591. La
traduction
que ce manuscrit renferme est la même que celle d
possesseurs, dont les noms figurent en tête. Manuscrit 1645. La
traduction
contenue dans ce manuscrit se rapproche, d’après
1600. Sans plus d’importance est ce manuscrit qui renferme la même
traduction
. Si l’on s’en rapporte aux numéros des fables, il
u’elles se trouvent. Leur nombre est de soixante-deux résultant de la
traduction
des soixante fables de Walther et des deux qui en
scrit 375 Varior. (classe VII, palch. 9). Ce manuscrit contient la
traduction
en vers de quelques fables dont voici les titres
ères de ces fables ne se trouvent, à sa connaissance, dans aucune des
traductions
italiennes en prose. Manuscrit 92 du fonds Pal
à longues lignes est du xve siècle. Il est tout entier rempli par la
traduction
des fables de Walther en langage vulgaire per uno
es est du xve siècle. Le premier des ouvrages qu’il renferme est une
traduction
italienne en langue vulgaire des fables de Walthe
xvi || A di xvii. di Septembre. Le volume contient non seulement la
traduction
en prose des fables de Walther, mais encore celle
sont suivis de la fable correspondante en prose italienne. Quoique la
traduction
en langage vulgaire ne soit pas l’œuvre de Zuccho
dition, qui forme un volume in-8º de 120 pages, est la première de la
traduction
contenue dans le manuscrit 1088 de la Bibliothèqu
sont, au palais Brera, représentées chacune par un exemplaire. 2º
Traduction
en vers d’Accio Zuccho. De même que la premièr
2º Traduction en vers d’Accio Zuccho. De même que la première
traduction
des fables du Romulus ordinaire avait paru en All
ru en Allemagne, de même ce fut en Italie que fut publiée la première
traduction
des fables de Walther. 1479. Un lettré de
ge. L’auteur y est représenté à genoux devant Ésope à qui il offre sa
traduction
. Le verso du même feuillet est entièrement occupé
Aluise e da compagni sui Con diligentia bene impresso fui. Voici la
traduction
de ce sonnet : « Ô toi lecteur, à qui plaisent m
Immédiatement après viennent en effet les fables latines avec leur
traduction
italienne. Chacune d’elles est immédiatement suiv
à 96 a (m 8 rº). — Fables illustrées comprenant le texte latin et la
traduction
italienne. Chacune est ornée d’une gravure au-des
ès avoir été publiée successivement à Vérone, à Rome et à Brescia, la
traduction
d’Accio Zuccho fut enfin imprimée à Venise. L’édi
une gravure sur bois et suivie des deux sonnets qui en contiennent la
traduction
. Les gravures sont d’un dessin de beaucoup supéri
ression de l’édition de 1491, elle contient le texte de Walther et la
traduction
d’Accio Zuccho. Le recto du premier feuillet est,
e gravure sur bois et suivie des deux sonnets italiens qui en sont la
traduction
. Au bas de la seconde colonne de la table qui occ
otal soixante-dix. Elle renferme le texte de Walther accompagné de la
traduction
d’Accio Zuccho. Le recto du premier feuillet cons
fond noir. Au haut du verso du premier feuillet, le texte latin et la
traduction
sont annoncés par ce titre : Accii Zuchi Summa C
de soixante-douze. Cette édition, contenant le texte de Walther et la
traduction
d’Accio Zuccho n’est, comme celle de 1497, que la
llet d’un très petit volume in-16 qui contient avec le texte latin la
traduction
d’Accio Zuccho. Au-dessus de ce titre une vignett
sous la cote S. Q. O. II. 35. Là s’arrête la série des éditions de la
traduction
d’Accio Zuccho. On conçoit, en effet, qu’elle ne
survivre à la faveur que les fables de Walther avaient perdue. 3º
Traduction
de Francisco del Tuppo. À son tour Francisco d
ancisco del Tuppo. À son tour Francisco del Tuppo fit paraître une
traduction
en prose italienne des fables de Walther. 1485
alienne des fables de Walther. 1485. La première édition de la
traduction
de Francisco del Tuppo a été imprimée en lettres
ope, écrite en latin et divisée en chapitres accompagnés chacun d’une
traduction
italienne. À la suite de la vie d’Ésope il y a un
d’abord le texte latin, puis une grande gravure encadrée, ensuite la
traduction
italienne qui est plutôt une paraphrase qu’une tr
ensuite la traduction italienne qui est plutôt une paraphrase qu’une
traduction
, divisée en général en plusieurs parties intitulé
mandent un roi. Les 4 dernières fables, comme dans les éditions de la
traduction
d’Accio Zuccho, sont celles intitulées : De Capon
istique avec lequel elle avait toujours été publiée, il paraît que la
traduction
de Francisco del Tuppo n’eut pas autant de succès
elle ne fut pas autant de fois ni aussi longtemps réimprimée. 4º
Traduction
de Bartholomi Maschara. Une traduction moins p
ongtemps réimprimée. 4º Traduction de Bartholomi Maschara. Une
traduction
moins prétentieuse que les précédentes fut, en 15
fortune. Sans doute cette dernière ne fut pas dédaignée, et les deux
traductions
en vers français, qui en ont été faites au xiiie
e Neckam ont été traduites en vers français, et il en a été fait deux
traductions
, dont l’une même en est plus ancienne, et par sui
s voisine de l’époque où l’ouvrage latin a été composé. 1º Première
traduction
. L’auteur en est inconnu. Il l’a terminée par
iciunt les fables d’Ysopet Et les moralités dessus. 2º Deuxième
traduction
. Manuscrit de la bibliothèque de Chartres.
ième traduction. Manuscrit de la bibliothèque de Chartres. La
traduction
des fables de Neckam qui se trouve dans les manus
hartres, comme celle de la Bibliothèque nationale, ne contient pas la
traduction
de la fable xi de Neckam, De Stulto et Mulis, et
istent dans la collection parisienne. Mais en revanche on y trouve la
traduction
de la fable xxxviii. De Pica et cauda sua, et deu
né naissance au Romulus anglo-latin, d’où est indirectement sortie la
traduction
poétique de Marie de France. Ceux qui viendront a
poque antérieure au xiiie siècle. Mais il ne faut pas oublier que sa
traduction
a été composée sur une première version en langue
rits qui nous ont conservé l’œuvre de Marie, son épilogue attribue la
traduction
anglaise à un autre roi d’Angleterre, dont il dén
e le véritable auteur ou tout au moins le véritable inspirateur de la
traduction
anglaise. Or, ce roi a régné de 1100 à 1135 ; il
, M. Gaston Paris a refusé au roi Henri Beau-Clerc la paternité de la
traduction
anglaise. Il a prétendu qu’au xiie siècle on ava
n des deux rois anglais ne devait être considéré comme l’auteur de la
traduction
, il aurait dû, aidé de sa haute érudition, risque
ue ce nom puisse désigner, c’est à lui que je persiste à attribuer la
traduction
anglaise. Il ne peut, à mon sens, s’élever de déb
englois. Suivant elle, c’est donc le roi d’Angleterre qui écrivit la
traduction
anglaise. Si, au contraire, on s’en rapporte au p
donné le nom de Dérivé complet, le roi ne serait plus l’auteur de la
traduction
; il aurait seulement donné l’ordre de l’exécuter
ui lui ressemblait le plus. Dans le prologue et dans l’épilogue de sa
traduction
, Marie de France dit qu’Ésope avait adressé à son
raduisit ensuite en anglais et qu’elle a elle-même mis en français la
traduction
anglaise. Qu’en disant tout cela Marie n’ait pas
lus un empereur, c’est qu’elle l’avait vu affublé de ce titre dans la
traduction
anglaise dont elle s’était servie. Or, si cette t
re dans la traduction anglaise dont elle s’était servie. Or, si cette
traduction
en était bien une, le traducteur n’avait pas dû f
omposer sa version poétique sur un manuscrit à peu près complet de la
traduction
anglaise. Or, comme sa version ne comprend que 10
fables. Que faut-il y ajouter ? Ce sont le Dérivé de 136 fables et la
traduction
de Marie de France qui vont nous l’apprendre. J’a
ce qu’il restait à puiser dans le Romulus primitif. Au contraire, la
traduction
de Marie comprend, presque dans leur intégrité, l
t : 136 – 24 = 112 + 1 = 113. En outre, il faut remarquer que dans la
traduction
de Marie il existe une fable, celle des Oiseaux é
si Marie les a omises, c’est parce qu’elles faisaient défaut dans la
traduction
anglaise dont elle s’est servie. À l’égard des de
ses Fils. 114. Les Oiseaux qui élisent un Roi. Section II.
Traduction
anglaise. De ce qui a déjà été expliqué il res
rès son apparition, été traduit en langue anglaise. Mais, comme cette
traduction
n’a été conservée par aucun manuscrit, je me cont
ue dire ce que je serais plus loin obligé de répéter. Section III.
Traduction
en vers français de Marie de France. Une étude
ume pour qui dans l’épilogue de ses fables elle déclare avoir fait sa
traduction
est Guillaume de Dampierre, qui, suivant M. de Ro
rel qu’elle eût, sous l’influence d’un sentiment tendre, entrepris sa
traduction
pour un prince anglais dont elle connaissait la p
perdit son père en 1189 et lui survécut jusqu’en 1226. J’arrive à sa
traduction
. J’ai déjà dit qu’elle l’avait faite sur la versi
oi Henri Beau-Clerc. J’ajoute que son goût ne la portait pas vers les
traductions
des ouvrages latins, qu’elle considérait comme tr
est une œuvre d’abnégation, et elle songeait bien moins à faire de sa
traduction
une version littérale qu’une paraphrase poétique.
littérale qu’une paraphrase poétique. Elle explique elle-même qu’aux
traductions
des ouvrages latins elle avait préféré la mise en
es latines. § 2. — Examen des fables de Marie de France. La
traduction
poétique de Marie comprend cent trois fables, com
ndante dans les Dérivés partiel et complet du Romulus anglo-latin.
Traduction
de Marie. Dérivé partiel. Dérivé complet.
x premières sont d’une obscénité devant laquelle Marie, même dans une
traduction
, eût vraisemblablement reculé, que la troisième a
un Romulus plus ancien, sur lequel le roi anglo-normand avait fait sa
traduction
anglaise, et qui fut plus tard indirectement suiv
Lorsque précédemment j’ai eu à m’occuper des manuscrits contenant la
traduction
en vers français des fables de Walther, j’ai donn
t suivantes, une analyse à laquelle je renvoie. J’ai dit alors que la
traduction
poétique de Marie ne s’y trouvait pas tout entièr
rmandie ou histoire des animaux moralisée. 4º Le Lapidaire. C’est une
traduction
du poème latin de Marbode, évêque de Rennes. Voye
ori. Dans l’épilogue c’est Mires qu’est appelé le royal auteur de la
traduction
anglaise. La collection se termine par cette sous
à 17530. » Cette première note est paraphée par son auteur. Voici la
traduction
de la seconde : « Selon toute probabilité, la plu
e colonne du feuillet 67 b par l’épilogue en 22 vers, qui attribue la
traduction
anglaise à un roi appelé Alurez ou Alvrez, c’est-
mme celui du manuscrit 1446 de la Bibliothèque nationale, attribue la
traduction
anglaise à un roi Henris, qui ne peut être que He
clut que, si on les y rencontre, c’est qu’ils existaient déjà dans la
traduction
anglaise faite sur le Romulus anglo-latin, dont c
que dans la version poétique de Marie, quoiqu’elle l’eût faite sur la
traduction
anglaise, les fables, sinon toutes, au moins pres
s primitif. À première vue cela ressort de ce fait que, comme dans la
traduction
de Marie et comme dans le Dérivé complet, l’Abeil
laissé au Lion sa royauté, les deux Dérivés, d’accord en cela avec la
traduction
de Marie, lui ont substitué le Loup par un procéd
ue le Romulus anglo-latin ; car Marie, qui a indirectement exécuté sa
traduction
sur ce Romulus, a, comme eux, substitué le Loup a
n présence l’un de l’autre un Loup et une Chèvre, tandis que, dans la
traduction
de Marie comme dans le Romulus Roberti, ce sont u
Bœuf et un Loup qui sont les deux personnages du drame. Or, comme la
traduction
de Marie a été faite sur une première version qui
uméros que portent les semblables dans le Romulus primitif et dans la
traduction
de Marie : Romulus anglo-latin. Romulus prim
a traduction de Marie : Romulus anglo-latin. Romulus primitif.
Traduction
de Marie. 1. Les deux Hommes, l’un véridique e
honneur du texte latin des fables à l’empereur Romulus et signale la
traduction
anglaise qui en aurait été faite, non par un roi
ection qu’il avait découverte le Romulus qui avait servi de base à la
traduction
anglaise, et, sans s’appuyer sur aucune raison pr
bante, il lui a plu également de prétendre que c’était, non sur cette
traduction
, mais sur le Romulus lui-même, que Marie avait fa
ion n’aurait pas pu, comme il l’a fait dans ce prologue, parler de la
traduction
anglaise, si cette traduction n’avait pas déjà ét
l’a fait dans ce prologue, parler de la traduction anglaise, si cette
traduction
n’avait pas déjà été faite sur un Romulus plus an
car elle-même dans son épilogue déclare en ces termes que c’est de la
traduction
anglaise qu’elle a fait usage : Pur amur le cumt
nglaise, l’a, non précédée, mais suivie. Mais de là à en avoir été la
traduction
latine il y a un abîme que la comparaison des tex
s rend infranchissable. En effet, si le Dérivé de 136 fables était la
traduction
latine de la version anglaise, entre son texte et
ndu avec le Romulus anglo-latin, et que ce n’est pas davantage sur la
traduction
anglaise que ce dernier a été composé. J’aurais p
ou, au plus tard, au commencement du suivant, n’appelle pas, dans sa
traduction
de la même fable, le Loup autrement que Leu, Leus
er, je les publierai dans le second volume de cet ouvrage. § 3. —
Traductions
du Dérivé complet. 1º Traduction de Gérard d
ume de cet ouvrage. § 3. — Traductions du Dérivé complet. 1º
Traduction
de Gérard de Minden. Il y avait déjà plus d’un
avait déjà plus d’un siècle et demi que Marie de France avait fait sa
traduction
en vers romans, lorsqu’en 1370 un certain Gérard
70 un certain Gérard de Minden écrivit à son tour en bas-allemand une
traduction
poétique des fables latines dérivées du Romulus a
on poétique des fables latines dérivées du Romulus anglo-latin. Cette
traduction
existe dans un manuscrit du xve siècle, qui appa
as ajouter foi à la déclaration de Marie qui affirme avoir composé sa
traduction
sur une première version anglaise, et il ajoute q
a découverte de ce manuscrit, dont la collection a servi de texte aux
traductions
allemandes de Gérard et d’un autre poète, il s’ex
xaminer la valeur de son opinion sur la communauté d’origine des deux
traductions
française et allemande de Marie de France et de G
Romulus anglo-latin sur lequel le roi Henri Beau-Clerc avait fait sa
traduction
anglaise, ne comprenait que 114 fables, c’est-à-d
étrangères au Romulus dont il était issu. M. Oesterley déclare que la
traduction
allemande de Gérard comprend 103 fables, c’est-à-
par le Singe. 102. 134. Il résulte clairement de ce tableau que la
traduction
allemande a bien été faite sur la collection lati
ffirmer que Marie de France et Gérard de Minden avaient composé leurs
traductions
sur le même texte latin. Marie de France ayant dé
même texte latin. Marie de France ayant déclaré qu’elle avait fait sa
traduction
sur une version anglaise, il s’inscrit en faux, t
évident qu’elle n’aurait pas procédé ainsi, si elle avait composé sa
traduction
sur le Dérivé complet ; car alors, trouvant dans
ngue anglaise, et c’est dans ce pays que Marie de France, trouvant la
traduction
anglaise, l’a mise en vers français. Puis le Romu
uscrits du Dérivé latin, en a fait au xive siècle en bas-allemand la
traduction
poétique, et qui, en la faisant ainsi, l’a tirée
ifférente de celle précédemment employée par Marie de France. 2º —
Traduction
anonyme. En parlant de Gérard de Minden, j’ai
pportent à celles du Dérivé complet ; il y en a même deux qui sont la
traduction
de la même fable : ce sont les fables xxiii et cx
de quelles fables du Dérivé complet celles du poète allemand sont la
traduction
. Chapitre III. Dérivés en vers latins du Ro
a, comme les deux Dérivés en prose du Romulus anglo-latin et comme la
traduction
de Marie de France, fait passer sa royauté sur la
e Romulus de Nilant, qui dès lors a seul fourni les éléments de cette
traduction
, et, dans les autres où les deux Romulus sont en
à Rome, a été traité par la fable 79 Dou Leu et d’un Vileins, dans la
traduction
de Marie, et par la fable 121 De Lupo et Nauta da
as invraisemblable. Quant à l’époque à laquelle l’auteur a exécuté sa
traduction
, M. Thomas Wright lui assigne le xiiie siècle, e
e, de Gallus et Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de P. Syrus, avec la
traduction
en français, publiées sous la direction de M. Nis
parens domusque Pieria. » Pomponius Mela, œuvres complètes, avec la
traduction
en français, publiées sous la direction de M. Nis
es et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une
traduction
littérale en vers libres, par Léopold Hervieux. P
r calumniam inimicorum calamitas fuit conflata. 29. Ainsi, dans sa
traduction
en vers libres, publiée en 1708, M. Denise, quoiq
ué des fables peu communes Où je me plains de mes malheurs. Dans une
traduction
publiée à la Haye en 1725, l’éditeur a écrit : «
J’ai choisi quelques sujets pour me consoler de mes malheurs. » Deux
traductions
, éditées à Rouen en 1736 et en 1758, portent, la
’en ai plusieurs (sujets) qui ont rapport à mon infortune. » Dans sa
traduction
en vers, datée de 1813, M. de Joly, changeant la
es et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une
traduction
littérale en vers libres par Léopold Hervieux. Pa
on, M.D.CCC.XII, in-18. (Voyez p. 37 et 38.) 105. Fables de Phèdre.
Traduction
nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paria, C.-L.-F
s, M.D.CCCXXXI, in-8º. (Voyez p. 300 à 314.) 127. Fables de Phèdre,
traduction
nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F
a, de Turnus, de Catulle, de Properce, de Gallus et Maximien, avec la
traduction
en français, publiées sous la direction de M. Nis
. 30. 139. Voyez p. 9. 140. Décembre 1831. 141. Fables de Phèdre.
Traduction
nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F
aris, Egron, 1812, in-18. (Voyez p. 67.) 172. Voyez page 106. 173.
Traduction
en vers français des fables complètes de Phèdre.
.) 174. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, accompagnées d’une
traduction
littérale en vers libres par L. Hervieux. Paris,
erce, de Gallus et Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la
traduction
en français, publiées sous la direction de M. Nis
I, pages 12 et 13.) 458. Dans la préface par lui mise en tête de sa
traduction
des fables de Phèdre, M. Fleutelot s’exprime ains
(Voyez t. I, p. 1, note 1, et t. II, p. 401, note 3.) 515. Voyez la
traduction
anglaise de sa dissertation sur les poètes anglo-
I, p. xiv. 523. Ibid., t. II, p. xvi et 17. 524. Cette fable est la
traduction
de celle qui, dans l’œuvre d’Eude de Cherrington,