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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
-il, aide-moy ; si ton dos A porté la machine ronde, Ton bras peut me tirer d’icy. Sa prière estant faite, il entend dans la
soit loüé. Lors la voix : Tu vois comme Tes chevaux aisément se sont tirez de là. Aide-toy, le Ciel t’aidera.
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
deux façons, à bien, et à mal, et de toutes les deux il est aisé d’en tirer de l’instruction. La premiere s’entend de la chic
ue le meilleur pour eux, c’est de s’attendre à un honneste labeur, et tirer de là le soustien de leurs familles. L’autre sens
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
gueur de temps Font plus que force ny que rage. L’autre exemple est tiré d’animaux plus petits. Le long d’un clair ruissea
au talon. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’entend, part, et tire de long. Le souper du Croquant avec elle s’envole
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
t l’affaire. Dans le marais entrez, nostre bonne commere S’efforce de tirer son hoste au fond de l’eau, Contre le droit des g
oque. Il atteste les Dieux ; la perfide s’en moque. Il resiste ; elle tire . En ce combat nouveau, Un Milan qui dans l’air pl
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VI. L’Oyseau blessé d’une fléche. » p. 276
uleur, Faut-il contribuer à son propre malheur ? Cruels humains, vous tirez de nos aîles De quoy faire voler ces machines mor
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
est fondée sur le commerce d’une Plante, et de deux Oyseaux. Pour en tirer donc quelque Allegorie, il faut examiner l’un apr
teste baissée dans des fleuves de delices, dont il est mal-aisé de le tirer . Quant au Buisson, c’est la marque d’une humeur p
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIX. Le Lion s’en allant en guerre. » p. 
e courrier. Le Monarque prudent et sage De ses moindres sujets sçait tirer quelque usage, Et connoist les divers talens : Il
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
de chacun. » Cette fable fait voir que c’est sottise de s’attendre à tirer quelque profit des avares.
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
éja forts. Ce qu’on donne aux méchans, toûjours on le regrette. Pour tirer d’eux ce qu’on leur prête, Il faut que l’on en vi
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
en qu’il y ait plusieurs ressemblances, et conformitez d’où l’on peut tirer le sujet des fables ; Il me semble neantmoins qu’
le, ou par leur propre fantaisie, et leur imprudence. Secondement, on tire les fables de la ressemblance de la Nature, et de
ble qu’il ne seroit pas hors de propos d’en adjouster une quatriesme, tirée de la ressemblance tantost de la Nature, et des o
nt de bon heur, que de leurs mensonges mesme, les excellens hommes en tirent des veritez et des meditations ravissantes, comme
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 2 » p. 99
 Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, au lieu de tirer parti de ses secours ? — C’est que moi, répondit-
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
éjouïrons du succès de l’affaire Une autre fois. Le galand aussi-tost Tire ses gregues, gagne au haut, Mal-content de son st
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
s aux naturels Malheureux, grossiers, et stupides : On n’en peut rien tirer qu’avecque le bâton. Plus je te remplissois, plus
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 278 » pp. 186-186
sissant par la queue, essaya de le faire retourner ; mais comme l’âne tirait vigoureusement en sens inverse, l’ânier le lâcha
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
intenant le temps de jaser », repliqua le Renard : « quand tu m’auras tiré d’icy, je te raconteray le tout par ordre ». Di
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXV. Du Pescheur. »
t qu’au contraire elles sont déplaisantes et importunes, quand on les tire de leur assiette naturelle, pour les transferer à
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VI. La Vieille et les deux Servantes. » p. 55
it Phœbus aux crins dorez, Tourets entroient en jeu, fuseaux estoient tirez , Deçà, delà, vous en aurez ; Point de cesse, poin
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
Pour faire un Roy s’assemblerent, dit-on. De son étuy la couronne est tirée . Dans une chartre un Dragon la gardoit. Il se tro
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 53 » p. 30
tombe dans le malheur, il faut prendre soi-même de la peine pour s’en tirer , et seulement alors implorer le secours de la div
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
e 
Descendu dans ce puits. Or adieu, j’en suis hors :
 Tasche de t’en tirer , et fais tous tes efforts ;
 Car pour moy, j’ay c
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 58 » pp. 283-283
re un renard qui lui causait des dommages. Il s’en empara, et pour en tirer une ample vengeance, il lui attacha à la queue de
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
cours sur la cent-quatorziesme Fable. De ceste Fable, il s’en peut tirer plusieùrs sens Moraux, dont le plus judicieux, et
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
rit, tourne la teste, Et le Magot consideré Il s’apperçoit qu’il n’a tiré Du fond des eaux rien qu’une beste. Il l’y replon
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
s que cet Autheur leur fait joüer si plaisamment sur ce theatre, j’ay tiré de riches secrets de la Nature, de la Morale, et
nclination que j’ay à vostre service, et pareillement pource qu’elles tireront leur plus beau lustre de celuy de vostre Nom. Car
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 298 » pp. 211-211
e voyageur lui reprocha sa témérité. « Ah ! répliqua le jeune garçon, tire -moi d’affaire tout de suite ; plus tard, quand tu
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
que les assistances humaines venant à leur défaillir, ils ne doivent tirer leur satisfaction que de la seule Vertu, et s’att
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71
corde dans mon âme : elle aime l’or, mais elle craint l’œuvre qu’on a tirée de l’or ; le désir me pousse à la saisir, mon car
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
. La sotte crainte des Liévres, qui s’alloient precipiter, pour se tirer de la peine où ils s’estoient mis, represente la
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
sope voyant qu’il n’y avoit point de subtilité qui fust capable de le tirer d’un si grand mal-heur, tout ce qu’il pouvoit fai
devant de plusieurs dangers, je ne voy point qu’il y ait moyen de me tirer de celuy-cy, et n’attends d’aucun lieu la delivra
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
a chose est égale.
 Tout travaille pour elle, et reciproquement
 Tout tire d’elle l’aliment.
 Elle fait subsister l’artisan
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
s retraites.
 Tenez donc ; voicy deux buchetes ;
 Accommodez-vous, ou tirez .
 Il n’est rien, dit l’Aragne, aux cases qui me p
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
les définitions, ny par les raisonnements, ny mesme par les exemples tirez de l’Histoire des siecles passez, il sçait si bie
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
que qu’elle-même n’était pas un oiseau, mais une souris, et elle s’en tira par ce moyen. Dans la suite, étant tombée une sec
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
ny utile ; donnant à entendre que la meilleure ayde que nous pouvons tirer d’un meschant, c’est de ne le point voir, quand m
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
Un creancier saisit, un voisin fait procés. D’abord nostre Trio s’en tire avec succés. Leur amitié fut courte autant qu’ell
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
z, empescher l’oppression des pauvres, et les violements des filles ; tirer reparation des injures, délivrer les esclaves, et
sujet, que pour la satisfaction des affligez ? N’est-ce pas luy qui a tiré son peuple de la servitude des Babiloniens, et du
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
e les engager dans des labyrinthes, d’où il leur est impossible de se tirer . Ceste Fable nous apprend encore à nous défier de
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
r, à quel propos luy voudrons-nous imputer assez de probité pour n’en tirer sa revenche ? Certes, il n’y a point de Vertu dan
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
strange bruict ? « Pource », respondit Esope, « qu’on a accoustumé de tirer le laict à la Brebis, et de luy tondre la laine,
er plus que l’ordinaire. Il n’est pas ainsi d’une Truye, qui n’est ny tirée , ny tonduë ; joint que l’on n’a pas accoustumé de
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
irent qu’aux vengeances malaisées, et ne se resolvent pas librement à tirer raison d’une personne lasche, et mal estimée. C’e
cre, et presque aussi grande que l’embrasement, alors le feu semblera tirer des forces de soy mesme, et s’aigrir contre son e
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 23 » pp. 13-13
ansaient, s’imaginant que la pêche était bonne. Mais quand ils eurent tiré la seine sur le rivage, ils y trouvèrent peu de p
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
l’Antiquité : Et la raison ne m’en est pas connuë. Que le Lecteur en tire une moralité. Voicy la Fable toute nuë. La Renom
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
à quel poinct peut s’estendre la portée de leur entendement, pour en tirer une consequence de ce que nostre Autheur attribuë
perfection de nostre espece, c’est à dire jusques à pouvoir nettement tirer une consequence apres deux propositions, et juger
eust donc commandé quelque chose extrémement difficile, à sçavoir de tirer un Vaisseau eschoüé contre la gréve, il s’efforça
tout aussi-tost à son Maistre, qui au premier service qu’il en voulut tirer , cognût par espreuve que l’eau s’en alloit de mes
e vient pas de ceste seule experience. La source, à mon advis, en est tirée de bien plus loing, à sçavoir de la Metempsicose
, peut contribuër à ceste opinion, avec une infinité d’autres preuves tirées de l’Escriture. Mais ces raisons laissées à part,
on de Mercure, ou d’Anchise son Pere. C’est donc la Prudence qui nous tire des dangers : Elle qui conduit nos entreprises à
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
art du temps un mauvais Maistre, qui apres avoir eu leur jeunesse, et tiré d’eux tous les services dont ils ont esté capable
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
ussi c’est beaucoup déroger à sa Vertu. La mesme consequence que l’on tire pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, qua
rivées, ou pour le moins ils les prennent dans des Livres qui en sont tirez . Tellement qu’ils se rendent suspects de mensonge
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 61 » pp. 285-285
le montre qu’on ne gagne rien à honorer un méchant homme, et qu’on en tire davantage en le frappant. Chambry 61.4 Alit
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
fort satisfait de ceste response, « Croy-moy », luy dit-il, « tu m’as tiré d’une grande peine par ce raisonnement. Va t’en m
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
eust demandé si la lentille estoit cuite, Esope prit la Cueiller, et tira du pot un seul grain, qu’il leur servit, Xanthus
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
durant sa vie. Les autres ne manquent pas d’estre auprés de luy, pour tirer raison des violences de sa jeunesse. L’un luy red
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
personnes, une tierce vient à jouyr du prix de leur contestation, et tire toute seule l’avantage de la querelle des autres.
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
u d’esprit, ou de courage. Quant à la troisiesme consideration que je tire de ceste Fable, c’est l’extravagance des Fanfaron
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
e noces » Cette fable montre que les hommes sensés, quand ils se sont tirés d’un danger, s’en gardent toute leur vie. Cha
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
te. Or pour transferer aux hommes ce fabuleux exemple des animaux, et tirer quelque avantage de l’instruction de nostre Phryg
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
ui l’incommodoit fort. Il cherchoit de toutes parts pour se les faire tirer , et imploroit le secours des uns et des autres ;
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ujourd’huy : car sur le soir quand la Cygogne se va coucher, elles se tirent du Marest, et par leurs coassements, murmurent je
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
Ruche, que l’Ours s’advisa de rompre s’imaginant par ce moyen d’avoir tiré raison de l’injure qu’il venoit de recevoir. Mais
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
qu’on eust encore besoin de son sçavoir, et que par ce moyen il fust tiré vivant hors du tombeau. Ne semble-t’il pas que ce
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ns des hommes, nous laissent quelque sorte d’instruction, et que nous tirions cét avantage de nostre mal, d’avoir acquis le sec
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
t que l’Aigle, victorieuse des animaux terrestres, se soit employée à tirer une sanglante vengeance de l’infidelle Chauve-sou
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
is, où quand ils eurent bien beu, il ne fût plus question que de s’en tirer . Le Bouc en estoit des-jà fort en peine, et regar
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
elles ne soient ny justes ny legitimes. Voylà comment on s’est mis à tirer vanité du crime, et à faire passer pour belles et
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
experience que nous en faisons, et par une raison naturelle, qui est tirée de la facilité de cét âge. Car l’Enfance estant s
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
e la foy ? Nenny certes : C’est pourquoy j’ay à te prier, que pour me tirer de cét embarras, en me faisant gaigner la gajeure
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
outes leurs fougues, ny toutes leurs violences ne les sçeurent jamais tirer . Or de ces Sages, qui avoient atteint plus que to
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
craindre qu’une suitte d’actions vertueuses. La principale raison est tirée de la multiplicité. Car à foüiller dans l’obscuri
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
sme temps, qu’on luy apportast des fagots, ausquels il mit le feu, et tira sa femme auprés, avec apparence de l’y vouloir je
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
. Cela estant, comme nul n’en doit douter, la consequence que l’on en tire , c’est qu’il n’y a point d’homme en qui la Nature
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
d’une longue espine, que le pauvre Lion avoit dans la patte ; la luy tira fort adroittement, et fist suppurer l’apostume qu
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
relevent des mesmes principes. Que s’ils n’ont pas la raison pour en tirer des consequences, et faire des arguments, ils ne
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
ement. Le Renard le voyant de retour de la guerre, et bien empesché à tirer la fléche hors de sa playe ; « Et quoy », luy dit
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
’en chaque Discours j’ay entremeslés à des Conseils et à des Exemples tirez de l’Histoire. Ainsi, Monseigneur , ie ne doy po
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
luy deferoit dans Rome, qu’en la metairie Tusculane. Cincinnatus fut tiré du soc à la Dictature, et retourna de la Dictatur
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
nt, il est presque plus à propos que ce soit au premier, pource qu’il tire de si grandes satisfactions de sa propre vertu, q
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
r approcher. L’on peut adjouster à cela une troisiesme cause, qui est tirée de nostre volonté propre. Car ceste mesme Nature
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
conseillé de faire voile à Samos, sur l’esperance qu’il luy donna d’y tirer plus de gain de ses Esclaves, il se laissa vaincr
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
l sera bien à propos de donner un sens exprés à cét endroict, pour en tirer un enseignement particulier. Je veux donc dire qu
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
ien, à sçavoir la dignité mesme de la chose mediocre. La seconde sera tirée du danger qu’apporte l’un, et de la parfaicte ass
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
Discours sur la cent-treiziesme Fable. De ceste Fable on en peut tirer deux advis, dont l’un consiste en l’horreur des d
79 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
vant lui pour l’histoire de la fable au moyen âge, et il en a souvent tiré très heureusement parti. Il a procédé partout, il
nombre restreint de celles dont les sujets avaient été indirectement tirés de Phèdre. M. Gaston Paris, tout en déclarant qu’
e aux citations précédentes que deux témoignages assez insignifiants, tirés , l’un de Pomponius Mela, qui dit que c’est en Mac
s sont presque tous empruntés à Ésope, et dans ceux qui n’en sont pas tirés , il n’a pas davantage le mérite de l’invention ;
l’État. » En 1581, fut provisoirement créée une Chambre souveraine, tirée du parlement de Paris, pour remplacer celui de Gu
, nous paraît mériter l’attention des hommes de lettres. Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires. Ce nombre devra para
du cinquième livre. N’étant pas dans la bonne route, ils n’ont pu se tirer d’embarras, les uns qu’en supprimant un mot, les
ecouvré à la Bibliothèque du Roi l’exemplaire de Reims, qui avait été tiré de la bibliothèque de Saint-Remi longtemps avant
bien constant, écrit-il dans son édition de 1831, que toute variante tirée par Gude de MS, quoiqu’il n’ait pas toujours ajou
les deux manuscrits sont tellement semblables que rarement une leçon tirée de l’un n’appartient pas à l’autre. Au surplus, c
d’être en désaccord avec Dom Vincent. Pour ne citer que deux exemples tirés du livre I, tandis que Gude avait lu dans la fabl
û puiser à deux sources différentes. Mais ceux qui se hâteraient d’en tirer cette conclusion seraient dupes d’un mirage tromp
forme peu affirmative de ce renseignement n’était pas de nature à me tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’il était acc
jusqu’à la xxie  fable les éditions savantes révélaient des variantes tirées du manuscrit de Daniel, et il en avait conclu qu’
des fables, il me reste à relever, au sujet des prétendues variantes tirées du manuscrit de Daniel, les incroyables bévues qu
de graves critiques ont été jusqu’à présenter sur cette fable, comme tirées du manuscrit de Daniel, des variantes, qui dès lo
s en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des mots qu’il avait dû tirer d’une autre source142. Puis, s’étant aperçu de so
parlant de la fable Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore, tirée d’Avianus et traduite en vers ïambiques, ensuite
pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait possédé une copie tirée directement ou indirectement du manuscrit. Voici
emps enfermé dans une caisse, comme tous les autres. Lorsqu’il en fut tiré , ce fut pour être livré à des mains ignorantes ;
zième jour avant les calendes de décembre 1808. Cette édition n’a été tirée qu’à 50 exemplaires. Elle est, on le conçoit, for
pour objet de déterminer l’époque à laquelle vécut Pétrone, afin d’en tirer un argument propre à établir que Phèdre était bie
. Aussi, quand j’examinerai l’authenticité des fables nouvelles, n’en tirerai -je aucun argument. Mais j’aime à reconnaître que,
inus de Jannelli, et, comme son édition spéciale des fables de Phèdre tirées du manuscrit de Perotti n’avait pas encore été li
i, vers 6, il a donné Cornicis, comme si l’on ne pouvait du manuscrit tirer que C.r..cis ; ce qui est absolument faux ; car o
ant la répétition qui avait échappé à Perotti lui-même, s’est borné à tirer sur la fable Pulcher modus judicandi un trait trè
ste latin n’avait pas non plus complètement satisfait ses vues. Il ne tire pas toujours explicitement de ses fables la concl
dont le témoignage est irrécusable, je pourrais, par bien des preuves tirées de ceux de Perotti, démontrer la fausseté de sa m
qui, en publiant les fables de Phèdre, avait déclaré qu’il les avait tirées d’un manuscrit fort ancien, et Rigault, qui avait
as au premier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’Avianus et traduit en vers ïambiques une fable
Perotti que les vers qu’il va lire ne sont pas son œuvre, qu’il les a tirés d’Ésope, ce qui n’était qu’indirectement vrai, ma
sa conviction. Pressentant néanmoins l’argument qui pourrait en être tiré contre l’ancienneté des fables de Phèdre, il avai
ibellos resolvit 217. » En présence de ce texte, voici comment il se tire d’affaire. D’abord il lui semble évident qu’Avian
l’avoir faite. Ce qui est d’autant plus vraisemblable qu’il dit avoir tiré ce sujet d’Avien qui ne l’a jamais traité. Ajoute
de Sénèque était une pièce controuvée. « Aucun critique, dit-il, n’a tiré cette conséquence qui se présentait naturellement
arde à l’argument basé par Christ sur ce qu’Avianus prétendrait avoir tiré ses fables de Phèdre233. Cet argument est encore
édition diplomatique de M. Berger de Xivrey, M. du Méril cherche à en tirer , au profit de sa thèse, un nouvel argument. Dans
que M. Berger de Xivrey s’était trompé, et l’argument que M. du Méril tire de sa publication, manque de base. À part cette e
n’auraient pu leur donner naissance244. Quant aux preuves matérielles tirées des fables elles-mêmes, il faut avouer qu’elles s
dre ait une fois parlé de lui à la troisième personne ; le vers latin tiré d’Ennius n’a pu entrer que dans une poésie latine
uelques expressions familières à Phèdre » ; seulement il se hâte d’en tirer une conclusion contraire à l’authenticité : « San
ed trop long ; mais, tout en y voyant matière à plaisanterie, il n’en tire , d’ailleurs, aucun argument contre l’authenticité
ajoute : « Si Perotti, comme certaines personnes le supposent, avait tiré ses fables de sa propre imagination, pourquoi aur
irmation d’Avianus, il en avait composé un sixième livre. L’objection tirée de la nécessité de supposer un sixième livre qui
st que Phèdre ne se borne pas, comme les autres fabulistes anciens, à tirer ses fictions des traditions ésopiques ; il met en
qui a pris ce pseudonyme a épuisé la collection de laquelle il les a tirées , cette dernière était elle-même due à un compilat
s ne se rencontrerait dans la collection de Romulus, on n’en pourrait tirer aucun argument contre leur authenticité ; car ell
Æsopiarum libri V. Paris, Jules Didot aîné. In-folio de 30 feuilles, tiré à 125 exemplaires. Phædri Augusti liberti fabula
compte de ce qu’il a été que par les deux collections qui en ont été tirées . Chapitre premier. Fabulæ antiquæ. Secti
liers. Fol. cxix a à cxx a. — Fragments de rhétorique et de grammaire tirés de Marius Victorinus. Fol. cxx b à cxxi a. — Élém
ve des Fabulæ antiquæ a été faite, le vieux manuscrit d’où elle a été tirée devait déjà appartenir à Vossius, et cependant el
me de Nilant, soit à celles du Romulus de ce critique, ou si, quoique tirées de Phèdre, elles forment un recueil différent de
e mis en quête de l’opuscule de Tross. Malheureusement il n’avait été tiré qu’à 50 exemplaires, et ses fils, libraires à Par
réoccupaient peu de ponctuer exactement leurs copies. Il ne faut donc tirer aucun argument du texte du plus vieux manuscrit.
soin de la publier en note à la page 65, et d’indiquer qu’elle était tirée du même manuscrit. Or l’âge de ce manuscrit est c
lus qu’on retrouve dans Phèdre. Sur les 20 fables du livre I, 14 sont tirées de celles de Phèdre anciennement connues ; ce son
recueil très restreint, ce n’est pas une raison pour qu’il n’ait été tiré que de l’œuvre de Phèdre. Cette objection, je le
issembourg n’a pas conservées. Or aucune des deux collections n’a été tirée directement de Phèdre, et l’une et l’autre n’ont
comme étant plus anciennes et plus pures que les autres, avaient été tirées de Phèdre par quelque amateur de fables très anci
é, dit-il, au commencement du moyen âge un corps de fables ésopiques, tiré d’un certain nombre d’auteurs latins, désigné sou
abord adoptée. En effet, d’une part, le Romulus primitif, directement tiré de l’Æsopus ad Rufum, ne nous a été conservé par
rnier groupe de fables appelées dans les titres courants collecte, et tirées des œuvres de Pierre Alphonse et des facéties du
feliciter finiunt. Il est probable que l’édition de Brant avait été tirée à un nombre d’exemplaires relativement considérab
t en 1806 que Schwabe, dans sa deuxième édition des fables de Phèdre, tira le Romulus ordinaire de l’oubli presque complet d
r les pages pleines, avec des signatures de Aiij à Kiij. Le titre est tiré en rouge et porte au verso le portrait d’Ésope. L
e. Fol. 96 b in fine et fol. 97 a initio. — Table des dix-sept fables tirées de la traduction de Ranutio d’Arezzo. Fol. 97 a à
ye de Saint-Victor. Manuscrits spéciaux. Les fables de Romulus, tirées du Miroir historial, existent isolément dans troi
e royale de Munich. C’est seulement par des extraits textuellement tirés du catalogue imprimé de la Bibliothèque royale de
feuillets 53 à 64 sont remplis par le Romulus de Vincent de Beauvais tiré de son Miroir historial. Par suite d’une erreur,
Il renferme, entre autres ouvrages, le Romulus de Vincent de Beauvais tiré du Miroir historial. Les fables qui commencent au
er les textes entre eux. Je vais donc montrer, par de courts extraits tirés des fables du Loup et de l’Agneau et de la Grenou
r dans la première, ainsi séparée de la seconde, un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire, et dans la seconde elle-mêm
yme. » Et à l’exemple déjà fourni par M. Robert il ajoute le suivant, tiré de la fable Musca et Mula : Phèdre :        
diait à Athènes, aurait, en les appropriant, disent-ils, à nos goûts, tiré du grec et versifié ces fables404. » Mais, tout e
c’est ce Bernard dont Silvester Giraldus a publié des vers analogues tirés de la fable du Castor408. » Pour me rendre compte
e ex illa parte corporis propter quam maxime expetuntur , cette autre tirée de Juvénal :                                    
é à la fin de la fable lxii, et détruit ou semble détruire l’argument tiré de la place qu’il occupe. Enfin on a objecté que
titre suivant : Incipit liber eusopi edito a magistro Gauffredo , en tira , au grand détriment de sa bonne réputation de cri
un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple tiré du premier vers de la fable i, dans le manuscrit 
icit . Enfin, au bas de la même page, se lit cette observation qui ne tire son importance que de la main qui l’a écrite et s
premiers vers du prologue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées d’Avianus. Aussi portent-elles ce titre général :
substituées aux fables ordinaires, par l’addition de dix-neuf autres tirées d’Avianus, enfin par les dessins ombrés qui illus
Le verso du feuillet est blanc. Cette édition avait sans doute été tirée à un nombre d’exemplaires relativement considérab
, qui par erreur lui assigne pour éditeur François Massari de Venise, tire son principal intérêt du point d’appui offert par
é, en 1810, réimprimée dans le même format. 1813. Une édition tirée à la fois de celle de Névelet et de celle de Nila
il mérite d’être examiné à cause de quelques variantes et corrections tirées d’autres manuscrits et probablement écrites par S
Ghivizzani, le texte en dialecte toscan que porte cette édition a été tiré d’un manuscrit de la Bibliothèque Farsetti passé
forme un volume in-8º de grand format composé de xx-196 pages, a été tirée du manuscrit Mocenigo. Elle a été préparée par l’
erti, qui l’a enrichie d’une préface et d’un vocabulaire. Il en a été tiré des exemplaires tant sur parchemin que sur papier
ds latin, sous le nº 11867. M. E. du Méril en cite un passage qui est tiré du cinquième livre, et dans lequel, ébloui des sp
æreret Lupi. L’auteur du Romulus primitif, le paraphrasant, en avait tiré une phrase prosaïque qui était probablement la su
l’a publiée à Chartres, au mois de juillet 1834, dans un petit volume tiré à 48 exemplaires et intitulé : Fables en vers du
du Chien qui lâche la proie pour l’ombre. En voici d’abord le texte, tiré du Romulus ordinaire : « Amittit proprivm qvisqvi
ns os ut caperet, amisit quod tenebat. À cet exemple, j’en ajoute un tiré de la fable des deux Rats : Rom. de Vienne 303.
té convaincue, n’en prétend pas moins que le manuscrit, d’où Nilant a tiré son Romulus, n’était qu’un second exemplaire moin
ente. Qui dum aliena quærunt, propria amittunt. Voici la même fable tirée de la collection qui nous occupe : Sæpe amittit
préoccupant du Romulus de Leyde qu’au point de vue des services à en tirer pour publier du Romulus ordinaire une édition bie
ouvrage, en tête des fables du Romulus de Nilant qui seront également tirées de ce manuscrit. § 3. — Manuscrit de Leyde Vos
iantes qui suivent sont de la main de M. le comte de Caylus. Il les a tirées du Ms. du M. de Saint-Germain des Prés parmi les
à la fable de l’Abeille et de la Mouche. Elle n’a pas été directement tirée du Romulus primitif. À première vue cela ressort
ne doit-on pas conclure que ce dernier et le Romulus Roberti ont été tirés de la même œuvre ? Sans nul doute. Aussi la seule
s Fables inédites des xiie , xiiie et xive  siècles537. Il les avait tirées des deux manuscrits 347 B et 347 C de la Biblioth
s des fables de Walther et dans les éditions de la fin du xve  siècle tirées de ces manuscrits, et dont j’ai déjà cité quelque
munes qu’à eux. Pour en fournir la preuve, je vais exhiber un exemple tiré de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux. Rom
i de cette collection du texte du Romulus anglo-latin. Mais ce serait tirer d’un fait vrai une déduction fausse. Rien n’empêc
es des matières, celle du Dérivé complet et celle des fables en prose tirées d’Avianus. La première de ces deux tables porte c
é au classement usuel. C’est ainsi qu’il a placé le dernier le groupe tiré du Romulus primitif qui n’était pas entré dans le
t. » Que l’on veuille bien comparer ces phrases à celles de l’extrait tiré du prologue de Gérard de Minden, et l’on verra qu
bas-allemand la traduction poétique, et qui, en la faisant ainsi, l’a tirée d’une source différente de celle précédemment emp
s maintenant perdues, il est vraisemblable qu’elles étaient également tirées du Dérivé complet, et, comme, ainsi qu’on s’en so
à l’heure à laquelle j’en aborde l’examen, elle est encore inconnue. Tirée du seul Romulus de Nilant, elle est nécessairemen
e Dérivé complet du Romulus anglo-latin d’où l’une et l’autre ont été tirées , et les deux autres fables n’ont appartenu ni à c
n ont pas moins été empruntées à Phèdre. Je vais, au moyen d’exemples tirés de la fable du Loup et de l’Agneau, faire ressort
me livre, comme celles des deux premiers, ont été presque entièrement tirées d’Ésope. 233. Voyez p. 9 de l’édition de Cannegi
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
bles et perclus dans leurs cabinets, à faute d’estendre la main, pour tirer les pistolles de leur place, et en faire part lib
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