-il, aide-moy ; si ton dos A porté la machine ronde, Ton bras peut me
tirer
d’icy. Sa prière estant faite, il entend dans la
soit loüé. Lors la voix : Tu vois comme Tes chevaux aisément se sont
tirez
de là. Aide-toy, le Ciel t’aidera.
deux façons, à bien, et à mal, et de toutes les deux il est aisé d’en
tirer
de l’instruction. La premiere s’entend de la chic
ue le meilleur pour eux, c’est de s’attendre à un honneste labeur, et
tirer
de là le soustien de leurs familles. L’autre sens
gueur de temps Font plus que force ny que rage. L’autre exemple est
tiré
d’animaux plus petits. Le long d’un clair ruissea
au talon. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’entend, part, et
tire
de long. Le souper du Croquant avec elle s’envole
t l’affaire. Dans le marais entrez, nostre bonne commere S’efforce de
tirer
son hoste au fond de l’eau, Contre le droit des g
oque. Il atteste les Dieux ; la perfide s’en moque. Il resiste ; elle
tire
. En ce combat nouveau, Un Milan qui dans l’air pl
uleur, Faut-il contribuer à son propre malheur ? Cruels humains, vous
tirez
de nos aîles De quoy faire voler ces machines mor
est fondée sur le commerce d’une Plante, et de deux Oyseaux. Pour en
tirer
donc quelque Allegorie, il faut examiner l’un apr
teste baissée dans des fleuves de delices, dont il est mal-aisé de le
tirer
. Quant au Buisson, c’est la marque d’une humeur p
e courrier. Le Monarque prudent et sage De ses moindres sujets sçait
tirer
quelque usage, Et connoist les divers talens : Il
de chacun. » Cette fable fait voir que c’est sottise de s’attendre à
tirer
quelque profit des avares.
éja forts. Ce qu’on donne aux méchans, toûjours on le regrette. Pour
tirer
d’eux ce qu’on leur prête, Il faut que l’on en vi
en qu’il y ait plusieurs ressemblances, et conformitez d’où l’on peut
tirer
le sujet des fables ; Il me semble neantmoins qu’
le, ou par leur propre fantaisie, et leur imprudence. Secondement, on
tire
les fables de la ressemblance de la Nature, et de
ble qu’il ne seroit pas hors de propos d’en adjouster une quatriesme,
tirée
de la ressemblance tantost de la Nature, et des o
nt de bon heur, que de leurs mensonges mesme, les excellens hommes en
tirent
des veritez et des meditations ravissantes, comme
Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, au lieu de
tirer
parti de ses secours ? — C’est que moi, répondit-
éjouïrons du succès de l’affaire Une autre fois. Le galand aussi-tost
Tire
ses gregues, gagne au haut, Mal-content de son st
s aux naturels Malheureux, grossiers, et stupides : On n’en peut rien
tirer
qu’avecque le bâton. Plus je te remplissois, plus
sissant par la queue, essaya de le faire retourner ; mais comme l’âne
tirait
vigoureusement en sens inverse, l’ânier le lâcha
intenant le temps de jaser », repliqua le Renard : « quand tu m’auras
tiré
d’icy, je te raconteray le tout par ordre ». Di
t qu’au contraire elles sont déplaisantes et importunes, quand on les
tire
de leur assiette naturelle, pour les transferer à
it Phœbus aux crins dorez, Tourets entroient en jeu, fuseaux estoient
tirez
, Deçà, delà, vous en aurez ; Point de cesse, poin
Pour faire un Roy s’assemblerent, dit-on. De son étuy la couronne est
tirée
. Dans une chartre un Dragon la gardoit. Il se tro
tombe dans le malheur, il faut prendre soi-même de la peine pour s’en
tirer
, et seulement alors implorer le secours de la div
e
Descendu dans ce puits. Or adieu, j’en suis hors :
Tasche de t’en
tirer
, et fais tous tes efforts ;
Car pour moy, j’ay c
re un renard qui lui causait des dommages. Il s’en empara, et pour en
tirer
une ample vengeance, il lui attacha à la queue de
cours sur la cent-quatorziesme Fable. De ceste Fable, il s’en peut
tirer
plusieùrs sens Moraux, dont le plus judicieux, et
rit, tourne la teste, Et le Magot consideré Il s’apperçoit qu’il n’a
tiré
Du fond des eaux rien qu’une beste. Il l’y replon
s que cet Autheur leur fait joüer si plaisamment sur ce theatre, j’ay
tiré
de riches secrets de la Nature, de la Morale, et
nclination que j’ay à vostre service, et pareillement pource qu’elles
tireront
leur plus beau lustre de celuy de vostre Nom. Car
e voyageur lui reprocha sa témérité. « Ah ! répliqua le jeune garçon,
tire
-moi d’affaire tout de suite ; plus tard, quand tu
que les assistances humaines venant à leur défaillir, ils ne doivent
tirer
leur satisfaction que de la seule Vertu, et s’att
corde dans mon âme : elle aime l’or, mais elle craint l’œuvre qu’on a
tirée
de l’or ; le désir me pousse à la saisir, mon car
. La sotte crainte des Liévres, qui s’alloient precipiter, pour se
tirer
de la peine où ils s’estoient mis, represente la
sope voyant qu’il n’y avoit point de subtilité qui fust capable de le
tirer
d’un si grand mal-heur, tout ce qu’il pouvoit fai
devant de plusieurs dangers, je ne voy point qu’il y ait moyen de me
tirer
de celuy-cy, et n’attends d’aucun lieu la delivra
a chose est égale.
Tout travaille pour elle, et reciproquement
Tout
tire
d’elle l’aliment.
Elle fait subsister l’artisan
s retraites.
Tenez donc ; voicy deux buchetes ;
Accommodez-vous, ou
tirez
.
Il n’est rien, dit l’Aragne, aux cases qui me p
les définitions, ny par les raisonnements, ny mesme par les exemples
tirez
de l’Histoire des siecles passez, il sçait si bie
que qu’elle-même n’était pas un oiseau, mais une souris, et elle s’en
tira
par ce moyen. Dans la suite, étant tombée une sec
ny utile ; donnant à entendre que la meilleure ayde que nous pouvons
tirer
d’un meschant, c’est de ne le point voir, quand m
Un creancier saisit, un voisin fait procés. D’abord nostre Trio s’en
tire
avec succés. Leur amitié fut courte autant qu’ell
z, empescher l’oppression des pauvres, et les violements des filles ;
tirer
reparation des injures, délivrer les esclaves, et
sujet, que pour la satisfaction des affligez ? N’est-ce pas luy qui a
tiré
son peuple de la servitude des Babiloniens, et du
e les engager dans des labyrinthes, d’où il leur est impossible de se
tirer
. Ceste Fable nous apprend encore à nous défier de
r, à quel propos luy voudrons-nous imputer assez de probité pour n’en
tirer
sa revenche ? Certes, il n’y a point de Vertu dan
strange bruict ? « Pource », respondit Esope, « qu’on a accoustumé de
tirer
le laict à la Brebis, et de luy tondre la laine,
er plus que l’ordinaire. Il n’est pas ainsi d’une Truye, qui n’est ny
tirée
, ny tonduë ; joint que l’on n’a pas accoustumé de
irent qu’aux vengeances malaisées, et ne se resolvent pas librement à
tirer
raison d’une personne lasche, et mal estimée. C’e
cre, et presque aussi grande que l’embrasement, alors le feu semblera
tirer
des forces de soy mesme, et s’aigrir contre son e
ansaient, s’imaginant que la pêche était bonne. Mais quand ils eurent
tiré
la seine sur le rivage, ils y trouvèrent peu de p
l’Antiquité : Et la raison ne m’en est pas connuë. Que le Lecteur en
tire
une moralité. Voicy la Fable toute nuë. La Renom
à quel poinct peut s’estendre la portée de leur entendement, pour en
tirer
une consequence de ce que nostre Autheur attribuë
perfection de nostre espece, c’est à dire jusques à pouvoir nettement
tirer
une consequence apres deux propositions, et juger
eust donc commandé quelque chose extrémement difficile, à sçavoir de
tirer
un Vaisseau eschoüé contre la gréve, il s’efforça
tout aussi-tost à son Maistre, qui au premier service qu’il en voulut
tirer
, cognût par espreuve que l’eau s’en alloit de mes
e vient pas de ceste seule experience. La source, à mon advis, en est
tirée
de bien plus loing, à sçavoir de la Metempsicose
, peut contribuër à ceste opinion, avec une infinité d’autres preuves
tirées
de l’Escriture. Mais ces raisons laissées à part,
on de Mercure, ou d’Anchise son Pere. C’est donc la Prudence qui nous
tire
des dangers : Elle qui conduit nos entreprises à
art du temps un mauvais Maistre, qui apres avoir eu leur jeunesse, et
tiré
d’eux tous les services dont ils ont esté capable
ussi c’est beaucoup déroger à sa Vertu. La mesme consequence que l’on
tire
pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, qua
rivées, ou pour le moins ils les prennent dans des Livres qui en sont
tirez
. Tellement qu’ils se rendent suspects de mensonge
le montre qu’on ne gagne rien à honorer un méchant homme, et qu’on en
tire
davantage en le frappant. Chambry 61.4 Alit
fort satisfait de ceste response, « Croy-moy », luy dit-il, « tu m’as
tiré
d’une grande peine par ce raisonnement. Va t’en m
eust demandé si la lentille estoit cuite, Esope prit la Cueiller, et
tira
du pot un seul grain, qu’il leur servit, Xanthus
durant sa vie. Les autres ne manquent pas d’estre auprés de luy, pour
tirer
raison des violences de sa jeunesse. L’un luy red
personnes, une tierce vient à jouyr du prix de leur contestation, et
tire
toute seule l’avantage de la querelle des autres.
u d’esprit, ou de courage. Quant à la troisiesme consideration que je
tire
de ceste Fable, c’est l’extravagance des Fanfaron
e noces » Cette fable montre que les hommes sensés, quand ils se sont
tirés
d’un danger, s’en gardent toute leur vie. Cha
te. Or pour transferer aux hommes ce fabuleux exemple des animaux, et
tirer
quelque avantage de l’instruction de nostre Phryg
ui l’incommodoit fort. Il cherchoit de toutes parts pour se les faire
tirer
, et imploroit le secours des uns et des autres ;
ujourd’huy : car sur le soir quand la Cygogne se va coucher, elles se
tirent
du Marest, et par leurs coassements, murmurent je
Ruche, que l’Ours s’advisa de rompre s’imaginant par ce moyen d’avoir
tiré
raison de l’injure qu’il venoit de recevoir. Mais
qu’on eust encore besoin de son sçavoir, et que par ce moyen il fust
tiré
vivant hors du tombeau. Ne semble-t’il pas que ce
ns des hommes, nous laissent quelque sorte d’instruction, et que nous
tirions
cét avantage de nostre mal, d’avoir acquis le sec
t que l’Aigle, victorieuse des animaux terrestres, se soit employée à
tirer
une sanglante vengeance de l’infidelle Chauve-sou
is, où quand ils eurent bien beu, il ne fût plus question que de s’en
tirer
. Le Bouc en estoit des-jà fort en peine, et regar
elles ne soient ny justes ny legitimes. Voylà comment on s’est mis à
tirer
vanité du crime, et à faire passer pour belles et
experience que nous en faisons, et par une raison naturelle, qui est
tirée
de la facilité de cét âge. Car l’Enfance estant s
e la foy ? Nenny certes : C’est pourquoy j’ay à te prier, que pour me
tirer
de cét embarras, en me faisant gaigner la gajeure
outes leurs fougues, ny toutes leurs violences ne les sçeurent jamais
tirer
. Or de ces Sages, qui avoient atteint plus que to
craindre qu’une suitte d’actions vertueuses. La principale raison est
tirée
de la multiplicité. Car à foüiller dans l’obscuri
sme temps, qu’on luy apportast des fagots, ausquels il mit le feu, et
tira
sa femme auprés, avec apparence de l’y vouloir je
. Cela estant, comme nul n’en doit douter, la consequence que l’on en
tire
, c’est qu’il n’y a point d’homme en qui la Nature
d’une longue espine, que le pauvre Lion avoit dans la patte ; la luy
tira
fort adroittement, et fist suppurer l’apostume qu
relevent des mesmes principes. Que s’ils n’ont pas la raison pour en
tirer
des consequences, et faire des arguments, ils ne
ement. Le Renard le voyant de retour de la guerre, et bien empesché à
tirer
la fléche hors de sa playe ; « Et quoy », luy dit
’en chaque Discours j’ay entremeslés à des Conseils et à des Exemples
tirez
de l’Histoire. Ainsi, Monseigneur , ie ne doy po
luy deferoit dans Rome, qu’en la metairie Tusculane. Cincinnatus fut
tiré
du soc à la Dictature, et retourna de la Dictatur
nt, il est presque plus à propos que ce soit au premier, pource qu’il
tire
de si grandes satisfactions de sa propre vertu, q
r approcher. L’on peut adjouster à cela une troisiesme cause, qui est
tirée
de nostre volonté propre. Car ceste mesme Nature
conseillé de faire voile à Samos, sur l’esperance qu’il luy donna d’y
tirer
plus de gain de ses Esclaves, il se laissa vaincr
l sera bien à propos de donner un sens exprés à cét endroict, pour en
tirer
un enseignement particulier. Je veux donc dire qu
ien, à sçavoir la dignité mesme de la chose mediocre. La seconde sera
tirée
du danger qu’apporte l’un, et de la parfaicte ass
Discours sur la cent-treiziesme Fable. De ceste Fable on en peut
tirer
deux advis, dont l’un consiste en l’horreur des d
vant lui pour l’histoire de la fable au moyen âge, et il en a souvent
tiré
très heureusement parti. Il a procédé partout, il
nombre restreint de celles dont les sujets avaient été indirectement
tirés
de Phèdre. M. Gaston Paris, tout en déclarant qu’
e aux citations précédentes que deux témoignages assez insignifiants,
tirés
, l’un de Pomponius Mela, qui dit que c’est en Mac
s sont presque tous empruntés à Ésope, et dans ceux qui n’en sont pas
tirés
, il n’a pas davantage le mérite de l’invention ;
l’État. » En 1581, fut provisoirement créée une Chambre souveraine,
tirée
du parlement de Paris, pour remplacer celui de Gu
, nous paraît mériter l’attention des hommes de lettres. Elle n’a été
tirée
qu’à deux cents exemplaires. Ce nombre devra para
du cinquième livre. N’étant pas dans la bonne route, ils n’ont pu se
tirer
d’embarras, les uns qu’en supprimant un mot, les
ecouvré à la Bibliothèque du Roi l’exemplaire de Reims, qui avait été
tiré
de la bibliothèque de Saint-Remi longtemps avant
bien constant, écrit-il dans son édition de 1831, que toute variante
tirée
par Gude de MS, quoiqu’il n’ait pas toujours ajou
les deux manuscrits sont tellement semblables que rarement une leçon
tirée
de l’un n’appartient pas à l’autre. Au surplus, c
d’être en désaccord avec Dom Vincent. Pour ne citer que deux exemples
tirés
du livre I, tandis que Gude avait lu dans la fabl
û puiser à deux sources différentes. Mais ceux qui se hâteraient d’en
tirer
cette conclusion seraient dupes d’un mirage tromp
forme peu affirmative de ce renseignement n’était pas de nature à me
tirer
de mon incertitude, d’autant plus qu’il était acc
jusqu’à la xxie fable les éditions savantes révélaient des variantes
tirées
du manuscrit de Daniel, et il en avait conclu qu’
des fables, il me reste à relever, au sujet des prétendues variantes
tirées
du manuscrit de Daniel, les incroyables bévues qu
de graves critiques ont été jusqu’à présenter sur cette fable, comme
tirées
du manuscrit de Daniel, des variantes, qui dès lo
s en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des mots qu’il avait dû
tirer
d’une autre source142. Puis, s’étant aperçu de so
parlant de la fable Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore,
tirée
d’Avianus et traduite en vers ïambiques, ensuite
pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait possédé une copie
tirée
directement ou indirectement du manuscrit. Voici
emps enfermé dans une caisse, comme tous les autres. Lorsqu’il en fut
tiré
, ce fut pour être livré à des mains ignorantes ;
zième jour avant les calendes de décembre 1808. Cette édition n’a été
tirée
qu’à 50 exemplaires. Elle est, on le conçoit, for
pour objet de déterminer l’époque à laquelle vécut Pétrone, afin d’en
tirer
un argument propre à établir que Phèdre était bie
. Aussi, quand j’examinerai l’authenticité des fables nouvelles, n’en
tirerai
-je aucun argument. Mais j’aime à reconnaître que,
inus de Jannelli, et, comme son édition spéciale des fables de Phèdre
tirées
du manuscrit de Perotti n’avait pas encore été li
i, vers 6, il a donné Cornicis, comme si l’on ne pouvait du manuscrit
tirer
que C.r..cis ; ce qui est absolument faux ; car o
ant la répétition qui avait échappé à Perotti lui-même, s’est borné à
tirer
sur la fable Pulcher modus judicandi un trait trè
ste latin n’avait pas non plus complètement satisfait ses vues. Il ne
tire
pas toujours explicitement de ses fables la concl
dont le témoignage est irrécusable, je pourrais, par bien des preuves
tirées
de ceux de Perotti, démontrer la fausseté de sa m
qui, en publiant les fables de Phèdre, avait déclaré qu’il les avait
tirées
d’un manuscrit fort ancien, et Rigault, qui avait
as au premier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse
tiré
d’Avianus et traduit en vers ïambiques une fable
Perotti que les vers qu’il va lire ne sont pas son œuvre, qu’il les a
tirés
d’Ésope, ce qui n’était qu’indirectement vrai, ma
sa conviction. Pressentant néanmoins l’argument qui pourrait en être
tiré
contre l’ancienneté des fables de Phèdre, il avai
ibellos resolvit 217. » En présence de ce texte, voici comment il se
tire
d’affaire. D’abord il lui semble évident qu’Avian
l’avoir faite. Ce qui est d’autant plus vraisemblable qu’il dit avoir
tiré
ce sujet d’Avien qui ne l’a jamais traité. Ajoute
de Sénèque était une pièce controuvée. « Aucun critique, dit-il, n’a
tiré
cette conséquence qui se présentait naturellement
arde à l’argument basé par Christ sur ce qu’Avianus prétendrait avoir
tiré
ses fables de Phèdre233. Cet argument est encore
édition diplomatique de M. Berger de Xivrey, M. du Méril cherche à en
tirer
, au profit de sa thèse, un nouvel argument. Dans
que M. Berger de Xivrey s’était trompé, et l’argument que M. du Méril
tire
de sa publication, manque de base. À part cette e
n’auraient pu leur donner naissance244. Quant aux preuves matérielles
tirées
des fables elles-mêmes, il faut avouer qu’elles s
dre ait une fois parlé de lui à la troisième personne ; le vers latin
tiré
d’Ennius n’a pu entrer que dans une poésie latine
uelques expressions familières à Phèdre » ; seulement il se hâte d’en
tirer
une conclusion contraire à l’authenticité : « San
ed trop long ; mais, tout en y voyant matière à plaisanterie, il n’en
tire
, d’ailleurs, aucun argument contre l’authenticité
ajoute : « Si Perotti, comme certaines personnes le supposent, avait
tiré
ses fables de sa propre imagination, pourquoi aur
irmation d’Avianus, il en avait composé un sixième livre. L’objection
tirée
de la nécessité de supposer un sixième livre qui
st que Phèdre ne se borne pas, comme les autres fabulistes anciens, à
tirer
ses fictions des traditions ésopiques ; il met en
qui a pris ce pseudonyme a épuisé la collection de laquelle il les a
tirées
, cette dernière était elle-même due à un compilat
s ne se rencontrerait dans la collection de Romulus, on n’en pourrait
tirer
aucun argument contre leur authenticité ; car ell
Æsopiarum libri V. Paris, Jules Didot aîné. In-folio de 30 feuilles,
tiré
à 125 exemplaires. Phædri Augusti liberti fabula
compte de ce qu’il a été que par les deux collections qui en ont été
tirées
. Chapitre premier. Fabulæ antiquæ. Secti
liers. Fol. cxix a à cxx a. — Fragments de rhétorique et de grammaire
tirés
de Marius Victorinus. Fol. cxx b à cxxi a. — Élém
ve des Fabulæ antiquæ a été faite, le vieux manuscrit d’où elle a été
tirée
devait déjà appartenir à Vossius, et cependant el
me de Nilant, soit à celles du Romulus de ce critique, ou si, quoique
tirées
de Phèdre, elles forment un recueil différent de
e mis en quête de l’opuscule de Tross. Malheureusement il n’avait été
tiré
qu’à 50 exemplaires, et ses fils, libraires à Par
réoccupaient peu de ponctuer exactement leurs copies. Il ne faut donc
tirer
aucun argument du texte du plus vieux manuscrit.
soin de la publier en note à la page 65, et d’indiquer qu’elle était
tirée
du même manuscrit. Or l’âge de ce manuscrit est c
lus qu’on retrouve dans Phèdre. Sur les 20 fables du livre I, 14 sont
tirées
de celles de Phèdre anciennement connues ; ce son
recueil très restreint, ce n’est pas une raison pour qu’il n’ait été
tiré
que de l’œuvre de Phèdre. Cette objection, je le
issembourg n’a pas conservées. Or aucune des deux collections n’a été
tirée
directement de Phèdre, et l’une et l’autre n’ont
comme étant plus anciennes et plus pures que les autres, avaient été
tirées
de Phèdre par quelque amateur de fables très anci
é, dit-il, au commencement du moyen âge un corps de fables ésopiques,
tiré
d’un certain nombre d’auteurs latins, désigné sou
abord adoptée. En effet, d’une part, le Romulus primitif, directement
tiré
de l’Æsopus ad Rufum, ne nous a été conservé par
rnier groupe de fables appelées dans les titres courants collecte, et
tirées
des œuvres de Pierre Alphonse et des facéties du
feliciter finiunt. Il est probable que l’édition de Brant avait été
tirée
à un nombre d’exemplaires relativement considérab
t en 1806 que Schwabe, dans sa deuxième édition des fables de Phèdre,
tira
le Romulus ordinaire de l’oubli presque complet d
r les pages pleines, avec des signatures de Aiij à Kiij. Le titre est
tiré
en rouge et porte au verso le portrait d’Ésope. L
e. Fol. 96 b in fine et fol. 97 a initio. — Table des dix-sept fables
tirées
de la traduction de Ranutio d’Arezzo. Fol. 97 a à
ye de Saint-Victor. Manuscrits spéciaux. Les fables de Romulus,
tirées
du Miroir historial, existent isolément dans troi
e royale de Munich. C’est seulement par des extraits textuellement
tirés
du catalogue imprimé de la Bibliothèque royale de
feuillets 53 à 64 sont remplis par le Romulus de Vincent de Beauvais
tiré
de son Miroir historial. Par suite d’une erreur,
Il renferme, entre autres ouvrages, le Romulus de Vincent de Beauvais
tiré
du Miroir historial. Les fables qui commencent au
er les textes entre eux. Je vais donc montrer, par de courts extraits
tirés
des fables du Loup et de l’Agneau et de la Grenou
r dans la première, ainsi séparée de la seconde, un dérivé uniquement
tiré
du Romulus ordinaire, et dans la seconde elle-mêm
yme. » Et à l’exemple déjà fourni par M. Robert il ajoute le suivant,
tiré
de la fable Musca et Mula : Phèdre :
diait à Athènes, aurait, en les appropriant, disent-ils, à nos goûts,
tiré
du grec et versifié ces fables404. » Mais, tout e
c’est ce Bernard dont Silvester Giraldus a publié des vers analogues
tirés
de la fable du Castor408. » Pour me rendre compte
e ex illa parte corporis propter quam maxime expetuntur , cette autre
tirée
de Juvénal :
é à la fin de la fable lxii, et détruit ou semble détruire l’argument
tiré
de la place qu’il occupe. Enfin on a objecté que
titre suivant : Incipit liber eusopi edito a magistro Gauffredo , en
tira
, au grand détriment de sa bonne réputation de cri
un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple
tiré
du premier vers de la fable i, dans le manuscrit
icit . Enfin, au bas de la même page, se lit cette observation qui ne
tire
son importance que de la main qui l’a écrite et s
premiers vers du prologue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes
tirées
d’Avianus. Aussi portent-elles ce titre général :
substituées aux fables ordinaires, par l’addition de dix-neuf autres
tirées
d’Avianus, enfin par les dessins ombrés qui illus
Le verso du feuillet est blanc. Cette édition avait sans doute été
tirée
à un nombre d’exemplaires relativement considérab
, qui par erreur lui assigne pour éditeur François Massari de Venise,
tire
son principal intérêt du point d’appui offert par
é, en 1810, réimprimée dans le même format. 1813. Une édition
tirée
à la fois de celle de Névelet et de celle de Nila
il mérite d’être examiné à cause de quelques variantes et corrections
tirées
d’autres manuscrits et probablement écrites par S
Ghivizzani, le texte en dialecte toscan que porte cette édition a été
tiré
d’un manuscrit de la Bibliothèque Farsetti passé
forme un volume in-8º de grand format composé de xx-196 pages, a été
tirée
du manuscrit Mocenigo. Elle a été préparée par l’
erti, qui l’a enrichie d’une préface et d’un vocabulaire. Il en a été
tiré
des exemplaires tant sur parchemin que sur papier
ds latin, sous le nº 11867. M. E. du Méril en cite un passage qui est
tiré
du cinquième livre, et dans lequel, ébloui des sp
æreret Lupi. L’auteur du Romulus primitif, le paraphrasant, en avait
tiré
une phrase prosaïque qui était probablement la su
l’a publiée à Chartres, au mois de juillet 1834, dans un petit volume
tiré
à 48 exemplaires et intitulé : Fables en vers du
du Chien qui lâche la proie pour l’ombre. En voici d’abord le texte,
tiré
du Romulus ordinaire : « Amittit proprivm qvisqvi
ns os ut caperet, amisit quod tenebat. À cet exemple, j’en ajoute un
tiré
de la fable des deux Rats : Rom. de Vienne 303.
té convaincue, n’en prétend pas moins que le manuscrit, d’où Nilant a
tiré
son Romulus, n’était qu’un second exemplaire moin
ente. Qui dum aliena quærunt, propria amittunt. Voici la même fable
tirée
de la collection qui nous occupe : Sæpe amittit
préoccupant du Romulus de Leyde qu’au point de vue des services à en
tirer
pour publier du Romulus ordinaire une édition bie
ouvrage, en tête des fables du Romulus de Nilant qui seront également
tirées
de ce manuscrit. § 3. — Manuscrit de Leyde Vos
iantes qui suivent sont de la main de M. le comte de Caylus. Il les a
tirées
du Ms. du M. de Saint-Germain des Prés parmi les
à la fable de l’Abeille et de la Mouche. Elle n’a pas été directement
tirée
du Romulus primitif. À première vue cela ressort
ne doit-on pas conclure que ce dernier et le Romulus Roberti ont été
tirés
de la même œuvre ? Sans nul doute. Aussi la seule
s Fables inédites des xiie , xiiie et xive siècles537. Il les avait
tirées
des deux manuscrits 347 B et 347 C de la Biblioth
s des fables de Walther et dans les éditions de la fin du xve siècle
tirées
de ces manuscrits, et dont j’ai déjà cité quelque
munes qu’à eux. Pour en fournir la preuve, je vais exhiber un exemple
tiré
de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux. Rom
i de cette collection du texte du Romulus anglo-latin. Mais ce serait
tirer
d’un fait vrai une déduction fausse. Rien n’empêc
es des matières, celle du Dérivé complet et celle des fables en prose
tirées
d’Avianus. La première de ces deux tables porte c
é au classement usuel. C’est ainsi qu’il a placé le dernier le groupe
tiré
du Romulus primitif qui n’était pas entré dans le
t. » Que l’on veuille bien comparer ces phrases à celles de l’extrait
tiré
du prologue de Gérard de Minden, et l’on verra qu
bas-allemand la traduction poétique, et qui, en la faisant ainsi, l’a
tirée
d’une source différente de celle précédemment emp
s maintenant perdues, il est vraisemblable qu’elles étaient également
tirées
du Dérivé complet, et, comme, ainsi qu’on s’en so
à l’heure à laquelle j’en aborde l’examen, elle est encore inconnue.
Tirée
du seul Romulus de Nilant, elle est nécessairemen
e Dérivé complet du Romulus anglo-latin d’où l’une et l’autre ont été
tirées
, et les deux autres fables n’ont appartenu ni à c
n ont pas moins été empruntées à Phèdre. Je vais, au moyen d’exemples
tirés
de la fable du Loup et de l’Agneau, faire ressort
me livre, comme celles des deux premiers, ont été presque entièrement
tirées
d’Ésope. 233. Voyez p. 9 de l’édition de Cannegi
bles et perclus dans leurs cabinets, à faute d’estendre la main, pour
tirer
les pistolles de leur place, et en faire part lib
▲