lauus defuerit qui uirum et mulierem arctissime constringit. d. Le
texte
de 1495 indique « infelix », ce qui obscurcit la
xte de 1495 indique « infelix », ce qui obscurcit la compréhension du
texte
et sera corrigé dans les éditions postérieures, n
aduersitatis tempore a præstando auxilio non referunt pedem. f. Le
texte
de 1495 présente ici le terme « scriptis ». Nous
eptorum uerbera, quæ multorum bonorum causa esse consueuere. e. Le
texte
de 1495, qui semble corrompu et difficilement com
» Fabula indicat nolentes discere a nemine posse compelli. j. Le
texte
de 1495 présente ici le terme « litterium ». Nous
première édition Je me propose de publier, en faisant précéder les
textes
de leur histoire et de leur critique, tout ce qui
ue à mon intelligence. En les traduisant, je remarquai que les divers
textes
, placés sous mes yeux, différaient beaucoup les u
fini par découvrir qu’on en avait connu cinq. Je m’en suis procuré le
texte
, et, quand je l’ai eu sous les yeux, je n’ai pas
ai essayé, à l’aide des fables de ses imitateurs, de reconstituer son
texte
perdu, et, pour me les procurer toutes, j’ai visi
ientifique : il obligerait à ne pas se préoccuper de la filiation des
textes
et à ne pas les suivre dans le labyrinthe de leur
ui, l’ayant suivie pas à pas, peuvent fournir, pour l’amélioration du
texte
conservé, des leçons utiles, et permettre même da
iles, et permettre même dans une certaine mesure la reconstitution du
texte
égaré ; Le troisième, à celles qui, indirectement
t il fait lui-même honneur à la Thrace ? La réponse est faite par les
textes
que le Père Desbillons a pris lui-même la peine d
anchissement à Tibère. Mais leur opinion est en contradiction avec le
texte
même de ses fables qui parlent de l’un et de l’au
nne-t-il à l’empereur ? Dans le titre il l’appelle Cæsar, et, dans le
texte
même, Cæsar Tiberius, puis Cæsar, puis Dux, jamai
a fin de la dernière fable du livre V. Après avoir ainsi accommodé le
texte
à sa guise, il a donné carrière à son imagination
aient entièrement inconnues. Au moyen âge elles avaient bien servi de
texte
à des traductions latines, qui elles-mêmes avaien
omment. in Somn. Scip. » C’est seulement à la page 7 que commence le
texte
de Phèdre. Il est précédé de ce titre : phaedri
anniversaire de sa naissance. Je renvoie ceux qui voudront le lire au
texte
et à la traduction française, qui en ont été publ
n deuxième volume ait été commencée, j’ai été enfin admis à copier le
texte
de Phèdre, je l’y publierai diplomatiquement, et,
es savants de son temps, ne mettait pas à la fidèle transcription des
textes
cette exactitude sévère de l’érudition moderne. C
chève de rendre son récit de plus en plus inintelligible. En voici le
texte
: « Depuis que cette note a été écrite, on a rec
ption, et comment devront procéder ceux qui voudront en reproduire le
texte
exact, avec ses moindres fautes ? Voilà ce qu’il
avait pas été sans doute jusqu’à transcrire, d’après le manuscrit, le
texte
entier de ces fables ; mais il avait du moins ind
t du moins indiqué les variantes, par lesquelles elles différaient du
texte
de l’édition bien connue de Pierre Danet, publiée
suis fait un véritable plaisir de tenir ma parole. Je vous envoie le
texte
de notre Phèdre, avec les fautes et les bévues de
te sur les 34 premiers vers. Malgré cette lacune, on peut dire que le
texte
était sauvé ; et il l’était pour tout le monde ;
toutes les variantes manuscrites en regard des mots correspondants du
texte
imprimé. Ce fut une inspiration providentielle, d
, n’a pas cru devoir reproduire en même temps dans son intégralité le
texte
de l’édition Brocas. Il s’est borné à indiquer le
é le texte de l’édition Brocas. Il s’est borné à indiquer les mots du
texte
imprimé qui étaient en désaccord avec les variant
n, pouvait s’écarter des leçons du manuscrit de Pithou. Quel était le
texte
exact de cette édition ? Voilà ce qu’il était imp
ce de l’édition de la veuve Brocas, ceux qui voudront reconstituer le
texte
du manuscrit de Reims n’ont qu’une voie à suivre,
ar M. Berger de Xivrey, offre des inconvénients non seulement pour le
texte
même des fables, mais encore pour leurs titres. I
n m’a fait acquérir la certitude qu’il suffirait, pour se procurer le
texte
exact des titres, d’emprunter à ce manuscrit chac
énaturées. En somme, il est encore possible aujourd’hui de publier le
texte
rigoureusement exact du manuscrit de Saint-Remi.
t été déchiré, que, comme dans le manuscrit de Pithou, les lacunes du
texte
ne correspondaient pas à des pages arrachées, et
ue presque toujours la leçon indiquée par Dom Vincent est conforme au
texte
du manuscrit de Pithou, dont l’imprimé s’était au
au contraire éloigné. Il y a mieux : quand le même mot figure dans le
texte
imprimé et dans la variante manuscrite et que la
naturellement supposé qu’il n’avait fait que suivre la disposition du
texte
reproduit. C’était une fausse supposition. À ce p
Or ce manuscrit, qui paraît être du xie siècle, a été copié sur les
textes
primitifs ; ce qui montre que les vers y étaient
ble significative : dans les éditions imprimées, conformes en cela au
texte
de Perotti, à celui de Romulus et aux conjectures
n lisait les mots : Æsopi ingentem , qui laissaient voir la trace du
texte
primitif ; celui de Pithou portait les mots : Æs
(et) au lieu de cai , — simion (signum) au lieu de sèméion . Le
texte
grec est accompagné, en interligne, de la traduct
ais le très petit nombre des manuscrits de Phèdre, contenant son vrai
texte
, lui donne une importance relative, qui justifie
avait été conservé dans le fameux manuscrit soustrait au pillage. Le
texte
de ce manuscrit a été religieusement respecté par
1730, rentra à Amsterdam. Là il aurait peut-être songé à compléter le
texte
des trente-deux fables nouvelles ; mais il ne put
variante irati du vers XVI indiquée par Burmann, Philippe attribue au
texte
de Perotti la leçon innato. Mais cette divergence
disposition deux copies distinctes. Burmann n’avait, des variantes du
texte
de Perotti, publié que celles qui concernaient le
endre qu’il n’est pas en situation de consulter une copie spéciale du
texte
de l’archevêque de Siponte167. Maintenant, comme
stoire et la description, montre le soin que Jannelli a mis à lire le
texte
et à en combler les lacunes ; elle explique le bu
ssez longtemps La dame devint veuve173. Cette façon de comprendre le
texte
, qui d’ailleurs me semble la plus exacte, et que
ique érudition. Pour que ses trois dissertations parussent en tête du
texte
de Perotti, Jannelli, quoiqu’il fût imprimé dès 1
ées par Cassitto s’écartaient et différaient du genre de Phèdre et du
texte
du manuscrit de Perotti, de telle sorte que l’hon
es conjectures, d’ailleurs souvent modifiées, étaient passées dans le
texte
. Soit que le décret qu’il avait obtenu en 1808 ne
qu’il ne s’était pas proposé de publier les fables sur la foi de leur
texte
, mais qu’il avait plutôt entrepris de les corrige
sa préface, place un tableau qui permet de comparer ensemble : 1º Le
texte
de la première édition de Cassitto publiée en 23
ion de Cassitto publiée en 23 pages à la fin de l’année 1808 ; 2º Le
texte
de son édition imprimée en 1809 et publiée en 287
imée en 1809 et publiée en 287 pages aux ides de février 1811 ; 3º Le
texte
de la deuxième édition de Cassitto, publiée en 4
ces existent, ce sont les éditions de Cassitto qui sont contraires au
texte
du manuscrit ; Que les leçons de Jannelli, que Ca
. Mais lorsque parurent les travaux de Jannelli et qu’on put juger du
texte
par une publication exacte, on commença à croire
ne d’elles. La première, en 42 pages sans la préface, ne porte que le
texte
latin des fables nouvelles. Elle a été imprimée c
en occupent 16, se divise en deux parties : la première, contenant le
texte
des fables nouvelles, et la seconde, celui des an
la traduction en vers italiens des trente-deux fables nouvelles, leur
texte
latin en regard, la traduction française en prose
Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir : les pages 1 à 42 au
texte
latin, les pages 43 à 78 à des notes extraites de
iée une édition courante, in-8º, de 46 pages, qui ne contenait que le
texte
latin et en tête de laquelle on lisait : Noviter
ar Niccolo Perotti à son neveu et surmontée d’un titre, dont voici le
texte
et la disposition : NICOLAI PEROTTI EPI-TOME FAB
ent une de ces triviales facéties, familières à Perotti ; en voici le
texte
: Meiere Valla cupit nec quit, cupit Anna cacare
et avait été ainsi conduit à commettre une altération systématique du
texte
de Phèdre. Malheureusement ce ne fut pas la seule
même lettre, il se montre absolument opposé à toute interpolation des
textes
anciens. Enfin, suivant lui, on ne comprendrait p
’après avoir, dans ses commentaires, été si religieux observateur des
textes
de Martial et de Stace, Perotti, à l’égard de Phè
vait entendu, non pas, en philologue, reproduire dans leur pureté les
textes
anciens, mais, en simple ecclésiastique, les mett
, et que, si nous devons nous féliciter qu’il nous en ait conservé le
texte
, nous sommes fondés à regretter qu’il ne nous l’a
e manuscrit parfaitement lisible, qui contenait identiquement le même
texte
, mais dont ils ignoraient l’existence. Vers 1830,
e ecloga. 6º Francisci Patritii ecloga. 7º Marasii Siculi elegiae. Le
texte
de Perotti commence au recto du feuillet 100 et s
es poésies est absolument le même que dans le manuscrit de Naples. Le
texte
commence par la lettre en prose à Titus Mannus Ve
pigramme sur la mort de son maître, qu’il nomme Feretrus. En voici le
texte
: Fredericus veteranus urbinas bibliothecarius a
n du conservateur de la bibliothèque Vaticane lui révéla le véritable
texte
et le détermina à ajouter à son ouvrage un supplé
déré ces manuscrits comme contenant son œuvre, et j’ai puisé, dans le
texte
incomplet qu’ils nous ont conservé, les renseigne
ient parfaitement connues, et parmi elles aucune n’avait pu servir de
texte
à la traduction que Perotti prétendait avoir fait
us et de l’anonyme de Nilant, et qu’il a rétabli en vers ïambiques le
texte
dénaturé de Phèdre199. Cette hypothèse, à laquell
otti a commis une fraude volontaire. Si, en effet, l’on se reporte au
texte
de Phèdre, on trouve ces vers dans le prologue du
t si, en dehors de la dédicace, je cherchais d’autres indices dans le
texte
du manuscrit, je n’aurais que l’embarras du choix
partem aliquam quinque in libellos resolvit 217. » En présence de ce
texte
, voici comment il se tire d’affaire. D’abord il l
ir jamais vus, il en conteste l’âge et prétend que leur titre et leur
texte
sont sortis de l’imagination de Perotti. Il avoue
es théories des autres écoles philosophiques. Mais il faut laisser le
texte
tel qu’il est, et, tel qu’il est, il ne se rappor
. Cet argument est encore appuyé sur une fausse interprétation de son
texte
, dans lequel on lit bien : « De his ergo usque ad
llait qu’il eût préalablement pris le parti de fermer les yeux. À ces
textes
de Martial et d’Avianus, Schwabe ajoute le monume
s en elles-mêmes ; on y trouvera quelques taches, que l’altération du
texte
primitif expliquera facilement ; mais la pure lat
état, sur sa forme et sur son âge les détails les plus précis, par le
texte
qu’il en a fidèlement reproduit avec toutes les f
riginale de Phèdre. C’est une traduction presque aussi vieille que le
texte
grec ; mais c’est une traduction. Mais alors où e
e que le texte grec ; mais c’est une traduction. Mais alors où est le
texte
grec ? Il a disparu, répond M. du Méril, et il ne
ues qui sont entièrement perdues ? La vérité ainsi rétablie, tous les
textes
s’expliquent sans peine. Les témoignages de Marti
ans le manuscrit de Pithou, auquel aucun feuillet utile ne manque, le
texte
est divisé en quatre livres ; or, si c’était l’œu
t dites, mais de ces paraphrases, qui consistent à mettre en prose un
texte
d’abord écrit en vers, dont les ïambes phédriens
Méril n’est concluant ; au contraire, si, comme lui, on s’attache au
texte
, on y trouve la preuve irrécusable que Phèdre fut
um meis, Latinis dum manebit pretium litteris. M. du Méril passe ces
textes
sous silence ; il est trop instruit pour les igno
l’instruction de la jeunesse. Mais les maîtres ne respectèrent pas le
texte
de Phèdre. Ils le transformèrent, donnant une for
nsposé, redoublé ou supprimé des lettres, mais cela n’a pas altéré le
texte
. Les seconds ont transposé, changé ou corrompu de
sa première édition les lacunes du manuscrit, avait soumis à Heyne un
texte
profondément altéré. Il est vrai que ses leçons é
de Naples, que Jannelli a été obligé de substituer ses hypothèses au
texte
détruit, et que, si les vraies leçons en étaient
lles ne parut pas plus douteuse à Orelli ; il remarque bien dans leur
texte
des fautes soit de syntaxe, soit de versification
morale, ne répondait pas au but qu’il se proposait. Puis, séparant du
texte
même de chaque fable la moralité et la traduisant
itre nouveau, destiné à remplacer celui qu’il avait supprimé. Dans le
texte
il s’est permis aussi quelques changements d’expr
e le croire complet. Si même on s’en tenait purement et simplement au
texte
du manuscrit de Pithou, on pourrait prétendre qu’
ons, consacrées ; la première aux éditions qui ne contiendront que le
texte
latin, la seconde à celles dans lesquelles le tex
ntiendront que le texte latin, la seconde à celles dans lesquelles le
texte
latin sera accompagné d’une traduction. Section
exte latin sera accompagné d’une traduction. Section I. Éditions du
texte
latin. 1713. Phædri Fabulæ, quibus adj
m facultate (1780). In-18 de 132 pages chiffrées, ne contenant que le
texte
de Phèdre. 1755. Phædri fabularum Æsopia
um facultate. (Florence 1834, 1855). In-24 de 144 pages, contenant le
texte
de Phèdre, un Index præcipuorum Vocabulorum et Ph
soc. In-12 de 255 pages contenant la vie de Phèdre par Schwabe et le
texte
latin des fables anciennes et nouvelles. 1831
e Desbillons et la dissertation De eo quod pvlchrvm est in Phædro, le
texte
des fables de Phèdre anciennes et nouvelles, les
ri Aug. lib. fabular, libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs
textes
avec sommaire et notes en français par M. Vérien.
dissertation en langue italienne sur la Fable et les Fabulistes et le
texte
des fables anciennes de Phèdre enrichi de nombreu
ione. Torino, Dalla stamperia reale. In-8º de 107 pages, contenant le
texte
latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de lo
Phædri fabularum libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs
textes
, renfermant des notes historiques, grammaticales
ugusti lib. fabularum libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs
textes
, avec une vie de Phèdre et les Imitations de La F
i Aug. lib. fabular. libri V. Nouvelle édition, d’après les meilleurs
textes
, précédée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’
numérotés, précédés de 10 et suivis de 6 non numérotés, contenant le
texte
des fables anciennes et la traduction en prose en
une préface, la vie de Phèdre, les jugements des auteurs modernes, le
texte
du fabuliste et les fables restituées par Gude ac
Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, traduites en français avec le
texte
à côté, et ornées de gravures. Paris, P. Didot l’
x nouvelles fables publiées d’après le manuscrit de Perotti ; avec le
texte
en regard et des notes. Paris, Louis Duprat-Duver
re affranchi d’Auguste, traduites par Auguste de Saint-Cricq, avec le
texte
en regard. Paris, Égron. In-8º de 20 feuilles.
ables anciennes et nouvelles de Phèdre, traduites en français avec le
texte
en regard revu sur les meilleures éditions. Par M
eur Auguste ; traduction fidèle et littérale en vers français avec le
texte
en regard. Par M. Bouriaud aîné… Seconde édition…
dées, l’autre conforme au génie de la langue française ; précédées du
texte
pur et accompagnées de notes explicatives, d’aprè
es. 1845. Fables de Phèdre, traduites en français avec le
texte
latin en regard et des notes par M. D. Marie (185
1846. Fables de Phèdre. Traduction nouvelle en vers français,
texte
en regard par M. A. Scribe. Paris, Dezobry, E. Ma
egard des mots latins correspondants, l’autre correcte et précédée du
texte
latin avec des sommaires et des notes par une soc
s dem Latein, übers, v. C. Ant. Gruber v. Grubenfels. Mit den Latein.
Texte
u. Anmerkgn. Wien, Gerold. In-12. 1818.
pese di Annania Coen di Reggio. In-16 de 148 pages contenant, sous le
texte
latin, la traduction en prose italienne des Fable
la tipografia Remondini (1823). In-12 de xxiv-285 pages, contenant le
texte
de Phèdre et des cinq fables restituées par Gude
ges contenant une Prefazione et la Vita di Fedro en italien, et, sans
texte
latin, la traduction en vers italiens des fables
cademie. Torino, Tip. G. Favale e Compagnia. In-16 contenant, sans le
texte
latin, la traduction en vers italiens des fables
t de vue philologique, contiennent les fables directement dérivées du
texte
primitif et celles presque littéralement extraite
indirectes sont très nombreuses, celles qui ont dû être faites sur le
texte
primitif ont presque toutes disparu. On n’en peut
elle M. Lucien Müller a donné le nom d’Æsopus ad Rufum 278. Encore le
texte
exact de la seconde ne nous est-il pas parvenu et
ons, celle des fables appelées Fabulæ antiquæ est la plus conforme au
texte
de Phèdre. Comme beaucoup de celles qui en sont d
t tellement plate qu’en procédant ainsi j’ai rétabli quelques vers du
texte
original ; en opérant quelques faibles correction
t leur importance, c’est qu’elles sont loin de se rapporter toutes au
texte
connu de l’auteur ancien. Sur 67 il n’y en a dans
près M. Pertz, dont l’appréciation est heureusement fort exagérée, le
texte
serait presque indéchiffrable et la lecture en se
t cependant supérieures à celles qui se rencontrent plus loin dans le
texte
des fables. Cette différence semblerait indiquer
nes de la page. La septième ligne commence par ces mots, qui, dans le
texte
du premier livre de Romulus, servent de titre à l
ges 266 et s., par M. L. Müller, qui pour son édition a eu recours au
texte
de ce manuscrit. Fol. v b à viii a. — Incipit lib
ccupé, dans le Rheinisches Museum für Philologie, 1867, p. 507, de ce
texte
des fables d’Avianus. Fol. viii a in medio. — Ep
am. Primo nobis interrogandum est quod nomen habeat ista prefacio. Au
texte
écrit par une première main une seconde a ajouté
and nombre de gloses. Fol. xiii b. — Gloses qui se rapportent au même
texte
. Cinquième quaterne (Fol. xiv à xix). Le cahier
25e quaterne et le 26e jusqu’au feuillet clxxxi offrent au milieu du
texte
de nombreux dessins à la plume, par lesquels le c
e seul qui se rapporte à mon étude ; mais il a pour la restitution du
texte
de Phèdre une importance capitale, attestée par l
méditer et écrire. Ce premier dessin n’est pas le seul. Au milieu du
texte
de chaque fable il en existe un, qui est toujours
mais qui est quelquefois tellement grossier qu’on a besoin de lire le
texte
pour savoir quel animal est représenté. Quant aux
nt-Martial de Limoges par O. Holder-Egger. Cette notice est suivie du
texte
même des notes marginales qui, dans le manuscrit,
travail. J’ai moi-même transcrit sa copie, et, comme elle diffère du
texte
de Nilant par quelques variantes intéressantes, j
qu’il comprenait et donner une idée aussi nette que possible de leur
texte
, je vais donc être obligé de commencer par étudie
rop. Au milieu de ce chaos, Gude avait demandé la solution à d’autres
textes
, et, consultant le manuscrit de Wissembourg, il y
ais été conduit à croire que le manuscrit de Wissembourg contenait le
texte
de Phèdre conservé en vers ïambiques. Mais il ne
e du manuscrit de Wissembourg qu’il avait cherché à rétablir l’ancien
texte
. Là encore tous les manuscrits étaient en disside
t enfin en un seul les deux vers d’Ausone, il avait écrit en marge du
texte
: Hac re probatur quantum ingenium valet. Après
ceux qui, tout en paraphrasant Phèdre, en avaient suivi pas à pas le
texte
, et, cherchant dans cet antiquissimus codex de Wi
g, comme sa première citation aurait pu le faire croire, contenait le
texte
de Phèdre, ou si au contraire il n’en renfermait
, pour être édifié, il suffisait de comparer à ses deux citations les
textes
correspondants de Romulus et de l’anonyme. Au lie
susceptible d’offrir un point d’appui solide pour la restauration du
texte
de ceux de Pithou et de Reims ; mais il estime né
J’y recourus, et je trouvai, dans la préface allemande qui précède le
texte
du manuscrit de Burney, une description et une ap
te des chapitres, tout à fait différente du manuscrit de Phèdre et du
texte
original de Romulus ; mais elle ne contient rien
détruisait les vers et les altérait à sa fantaisie. Je parle ainsi du
texte
sur lequel a été fait ensuite le manuscrit de Wis
à celle de Romulus, le deuxième paraphraste, et la publication de ce
texte
aurait été pour cette raison une tâche très mérit
e paraphrase et notamment, comme les épigraphes l’établissent, sur le
texte
de Romulus. Aussi ses corrections atteignent-elle
issembourg ; car, la collection des Fabulæ antiquæ étant muette et le
texte
du Romulus primitif, malgré une parenté très proc
tantôt s’est borné à rétablir à sa fantaisie, sans le secours d’aucun
texte
, les phrases défigurées, tantôt a recouru au text
le secours d’aucun texte, les phrases défigurées, tantôt a recouru au
texte
qu’il avait sous la main et qui par malheur n’éta
isser ces rapprochements, c’est que, malgré les graves altérations du
texte
primitif, il se révèle partout ostensiblement, et
et croire que ce qu’il possédait en était bien l’apographe. Quant au
texte
même du manuscrit, il n’avait pas dû le lire ; ca
me sort que sa source : il a disparu, et c’est en m’aidant surtout du
texte
du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de
eur erreur ne manquait pas de points d’appui. Le plus ancien était le
texte
du Romulus de Nilant, dans lequel la dédicace pla
omæ imperator Tiberino filio suo salutem mittit303. Se fondant sur ce
texte
, il avait raisonné de la manière suivante : ou bi
hrigia 314. Si, pour trancher la question, il n’existait pas d’autres
textes
que ceux que je viens de relever, il faudrait évi
tuer exactement leurs copies. Il ne faut donc tirer aucun argument du
texte
du plus vieux manuscrit. On le peut d’autant moin
de placer les mots de civitate attica dans l’en-tête du prologue. Le
texte
y est disposé de cette façon : Romulus Thiberino
xiie siècle ou du commencement du xiiie contenant un dérivé dont le
texte
s’éloigne peu de celui du Romulus primitif. Il po
recus, etc. En somme, si l’on s’en tient à l’apparence extérieure des
textes
manuscrits et imprimés, on voit qu’ils sont plutô
ulu, c’est montrer Romulus, après avoir à Athènes traduit en latin le
texte
grec d’Ésope, envoyant, de cette ville où il se t
Je rappelle ici que, ce Romulus n’existant plus, ce n’est pas son pur
texte
que je vais exhiber, et que je vais, comme j’ai d
our qu’on puisse se croire devant un spécimen à peu près exact de son
texte
. Voici donc la fable du Geai vaniteux extraite du
comme précédemment, en autant de lignes qu’il existe de vers dans le
texte
antique : Ne qvis de alienis magnvm se proferat
ent à ces mots une explication plausible : Phèdre avait puisé dans le
texte
grec d’Ésope les sujets de ses fables ; elles pou
exemples qui ne pourront manquer de paraître concluants. À défaut du
texte
perdu du Romulus primitif, c’est encore, comme s’
omulus Burnéien que je mets en présence de celui de Wissembourg :
texte
du ms. de Wissembourg : texte du Romulus Burnéi
résence de celui de Wissembourg : texte du ms. de Wissembourg :
texte
du Romulus Burnéien : Agnus et Lupus sitiente
les choses sous leur vrai jour, avouer que l’identité entre les deux
textes
n’est pas toujours aussi complète que dans les ex
iècle, à des corrections fort nombreuses, faites tantôt à l’aide d’un
texte
dérivé du Romulus primitif, tantôt sans le secour
d’un texte dérivé du Romulus primitif, tantôt sans le secours d’aucun
texte
, de sorte que le manuscrit de Wissembourg doit né
on du Romulus primitif ayant disparu, on est obligé d’en remplacer le
texte
par celui d’un dérivé qui, quoique s’en éloignant
re, mais trop peu pour n’être pas encore une timide transformation du
texte
phédrien. J’emploie à dessein le mot phédrien, pa
nant, la comparaison que j’ai faite du manuscrit de Wissembourg et du
texte
du Romulus primitif m’ayant déjà permis de déterm
tenir un nouveau résultat et parvenir à la reconstitution certaine du
texte
même de ces fables ? Je ne le crois pas. À mon av
s ou moins indépendantes. Ensuite, lors même que nous posséderions le
texte
du manuscrit de Wissembourg, tel qu’il est sorti
Wissembourg, tel qu’il est sorti de la plume du premier copiste et le
texte
du Romulus primitif, tel qu’il a été écrit par le
ureusement certain que, tout en suivant de près l’Æsopus ad Rufum, le
texte
du manuscrit de Wissembourg et celui du Romulus p
te affirmation, le mieux est de rapprocher simultanément de Phèdre le
texte
du manuscrit de Wissembourg et celui du manuscrit
ssembourg des expressions de Phèdre qui ne se rencontrent pas dans le
texte
de Romulus et que ce dernier en possède aussi que
. D’où il suit que ce n’est qu’en altérant cet Æsopus que l’auteur du
texte
de Wissembourg a pu ne pas employer certaines des
ier ne possède pas toutes les expressions de Phèdre contenues dans le
texte
de Wissembourg. Cette allégation formulée, j’ai,
les manuscrits du Romulus ordinaire des expressions qui s’écartent du
texte
de Phèdre, tandis que le manuscrit de Wissembourg
nt qui précède, c’est que, tout en s’écartant peu de leur modèle, les
textes
du manuscrit de Wissembourg et du Romulus primiti
est un second fait qui ressort péremptoirement de la comparaison des
textes
, c’est que, si, comme je l’ai démontré, il y a, s
sinon identité absolue, au moins conformité presque complète entre le
texte
de Wissembourg et celui du Romulus primitif, la d
fecisti aquam ? Les Fabulæ antiquæ reproduisent presque mot à mot le
texte
original ; on y lit en effet : Tunc fauce improb
ulæ antiquæ, ni par leur nombre respectif, ni par les leçons de leurs
textes
, ne laissent apparaître entre elles une réelle co
ent entrer le premier dans le champ des hypothèses. Remarquant que le
texte
qu’il éditait se rapprochait de Phèdre beaucoup p
ue source de celle de Romulus. Mais la comparaison que j’ai faite des
textes
ne permet pas d’admettre que l’une ait pu être la
« Bien plus éloignés du plus ancien manuscrit, dit-il, sont les deux
textes
donnés par Nilant qu’on ne peut considérer que co
ne note, c’est qu’il ne l’avait pas considérée comme se rapportant au
texte
des Fabulæ antiquæ, et son appréciation était par
on seulement par la plus grande partie des sujets traités et par leur
texte
, mais encore par leur ordre même qui en beaucoup
ue, pouvant aisément avoir sous les yeux, par l’édition de Nilant, le
texte
des Fabulæ antiquæ, et, par celle de M. Oesterley
er à une seule et même source est palpable, et par la comparaison des
textes
je l’ai fait assez ressortir pour qu’il soit supe
ces dérivés on rencontre bien des fables étrangères non seulement aux
textes
de Phèdre, de Leyde et de Wissembourg, mais même
t l’élément dominant, et je ne donnerai asile dans cet ouvrage qu’aux
textes
dont le Romulus primitif aura été la base capital
els elles manquaient pouvaient, malgré cette lacune, contenir le vrai
texte
du Romulus primitif. Aussi, dans ma première édit
la déduction à laquelle aujourd’hui j’aboutis. Mais, en comparant les
textes
, j’ai remarqué que certains Romulus qui n’étaient
du fabuliste romain et celle du Romulus primitif, c’est, à défaut du
texte
disparu de ce dernier, à celui du Romulus ordinai
s ordinaire. Les manuscrits que j’ai considérés comme contenant le
texte
du Romulus ordinaire sont les six suivants : 1º L
es trois premiers manuscrits, le second les trois derniers. Les trois
textes
du premier groupe sont presque identiques : ils s
huitième du livre II, est la treizième du livre Ier. En outre, leurs
textes
eux-mêmes s’écartent de celui des manuscrits du p
s autres, et, comme telles, les éditer toutes les trois à la suite du
texte
du Romulus ordinaire. En somme, j’aurais été dans
urais été dans la regrettable nécessité de publier côte à côte quatre
textes
assez peu dissemblables pour pouvoir être considé
tenant à une seule et même collection. Ne faisant paraître qu’un seul
texte
, comme c’est le premier groupe qui renferme le pl
xte, comme c’est le premier groupe qui renferme le plus exactement le
texte
du Romulus ordinaire, c’est à l’un des trois manu
on de sa grande ancienneté, est le plus digne de confiance, c’est son
texte
que je reproduirai. Comme dans ma première éditio
ermettra à ceux qui le désireront de comparer ensemble le plus ancien
texte
et le plus récent. Cela expliqué, je vais donner
es , et paraît ne contenir que des problèmes d’arithmétique. Quant au
texte
des fables, après ce que j’en ai déjà fait connaî
ley lui trouve encore un autre intérêt : pour lui, il démontre que le
texte
de Romulus qu’il contient nous est parvenu tel qu
utres collections qui n’en étaient que l’altération. La filiation des
textes
, telle que je l’ai jusqu’ici établie, permet de s
copiste. Si cette copie n’a pas d’importance pour la détermination du
texte
, elle prouve du moins une fois de plus que la com
é, non comme un dérivé, mais comme un exemplaire plus ou moins pur du
texte
du Romulus ordinaire. C’est un volume du petit f
soit en désaccord avec les trois précédents. Je dois ajouter que son
texte
présente des variantes assez nombreuses, qui sont
Je rappelle que, dans ma première édition, je les ai notées au bas du
texte
du Romulus ordinaire édité d’après la copie de Pi
n faire la copie entière, et je me suis ainsi assuré que la pureté du
texte
était assez irréprochable pour qu’on pût y voir u
mière que je vais ici transcrire on va pouvoir se convaincre que leur
texte
est bien celui du Romulus ordinaire : Esopus de
et nit wort vss wort sunder sin vss sin, vmb merez lütrung wegen dess
textes
oft mit wenig zügelegtn̄ oder abgebrochenen worte
t, mais sens pour sens, et souvent, pour la meilleure intelligence du
texte
, avec addition ou suppression de quelques mots, e
vre I (fol. 62 a lig. 24 à 82 b), disposées dans l’ordre suivant : 1º
Texte
latin en prose, 2º Gravure sur bois, 3º Traductio
prose, 2º Gravure sur bois, 3º Traduction allemande de Steinhöwel, 4º
Texte
latin en vers élégiaques. Le même ordre est obser
allemande (fol. 131 a à 147 a). Sauf cette lacune, la disposition du
texte
et des gravures est la même que dans les trois pr
maladroite. Les imprimeurs, qui dans les autres éditions suivaient le
texte
de l’édition d’Ulm, ont remarqué que la fable De
orné de figures du même genre gravées sur bois et intercalées dans le
texte
. Je ne le signale que pour ne rien omettre de ce
a première comprend la fin de la version allemande de la fable xi, le
texte
latin et la version allemande de la fable xii et
e latin et la version allemande de la fable xii et le commencement du
texte
latin de la fable xiii. La seconde embrasse la fi
seconde embrasse la fin de la version allemande de la fable xvii, le
texte
latin et la version allemande des fables xviii et
et la version allemande des fables xviii et xix et le commencement du
texte
latin de la fable xx. § 2. — Éditions latines
re331. C’est une réimpression pure et simple, dans le même format, du
texte
latin de l’édition de Steinhöwel. Comme dans cett
de Steinhöwel. Comme la première, elle n’est que la copie servile du
texte
latin de l’édition originale. Pour la plus facile
meur s’est trouvé dans la nécessité de placer la gravure au milieu du
texte
en prose. Fol. 60 a (i. iv a). — Fin du livre III
Fol. 60 b (i. iiii b). — Commencement du livre IV. La disposition du
texte
et des gravures cesse d’être méthodique. Les fabl
sordre est complet : ainsi la gravure de la fable iv est au milieu du
texte
de la fable v. Fol. 67 a (k. iii a). — Fin du liv
ables sont au nombre de 17, ornées de 17 gravures intercalées dans le
texte
ou mises à la suite de chaque fable. Aux pages oc
s de 17 gravures sur bois, placées soit à la suite, soit au milieu du
texte
de chacune d’elles. Fol. 86 b (n. ii b). — Fin de
ompagnées de 27 gravures placées tantôt au milieu, tantôt à la fin du
texte
correspondant. Les titres courants présentent de
nt les Fabulæ collectæ sont accompagnées de gravures insérées dans le
texte
ou mises à la suite. Par exception, la dernière e
autres éditions d’une traduction espagnole qui a dû être faite sur le
texte
latin du Directorium humanæ vitæ. La première, da
ibution. Quant aux diverses collections de fables, non seulement leur
texte
est identique, mais encore dans chaque édition la
ns publiées en Allemagne à la même époque, une simple réimpression du
texte
latin de l’édition d’Ulm. Le format en est à peu
ento : bene diligenterque correcte et emendate. Malgré ce titre, le
texte
n’est accompagné d’aucun commentaire. C’est une s
— Incipit fabularum liber primus. Pour chaque fable, la gravure, le
texte
en vers et le texte en prose se suivent dans le m
liber primus. Pour chaque fable, la gravure, le texte en vers et le
texte
en prose se suivent dans le même ordre que pour l
des fables d’Avianus, comprenant chacune d’abord une gravure, puis le
texte
en vers, enfin une morale en prose. Fol. 92 b. —
7º Édition de Schwabe de 1806. Pendant deux siècles entiers, le
texte
latin du Romulus ordinaire fut presque oublié. Gu
re manuscrits de Phèdre, l’autre : Examen des nouvelles fables, et du
texte
de ces fables restauré par Jannelli. Cette deuxiè
Berlin par le libraire Weidmann en 1870, se borne-t-elle à donner le
texte
exact du manuscrit. § 3. — Éditions allemande
vertzeichnet. ausӡ latin. von do-|ctore Heinrico Steinhöwel , etc. Ce
texte
peut se traduire ainsi : « Ici commence le livre
aussitôt après l’apparition de l’édition d’Ulm, en avait réimprimé le
texte
latin, procéda de même à l’égard de la traduction
n négociant judicieux, il dédoubla l’édition originale, dont les deux
textes
ne pouvaient convenir au même public, et il paraî
vaient convenir au même public, et il paraît qu’en ce qui concerne le
texte
allemand son idée eut un plein succès ; car il le
ette édition. 6º Édition de Jean Fahre. Si, au xvie siècle, le
texte
latin du Romulus ordinaire cessa d’être réimprimé
in-4º de petit format, se divise en deux parties, l’une renfermant le
texte
allemand des fables contenues dans l’édition d’Ul
kt zu Friburg im Brisgaw | Durch Stephann Graff | Im Jar M. D LV. Le
texte
est illustré de petites gravures sur bois beaucou
duites sur la version latine de Ranutio d’Arezzo. Fol. 74 a à 80 b. —
Texte
néerlandais de ces 17 fables. Fol. 80 b, col 1. —
a gravure de la première fable. Fol. 26 a (d 6 rº) à 34 b (f 2 vº). —
Texte
espagnol du livre I des fables de Romulus. Fol. 3
oso fabulador. | El prohemio. Fol. 34 b (f 2 vº) à 43 a (g 5 rº). —
Texte
espagnol du livre II des fables de Romulus, qui e
abio y de clarissimo ingenio. Fol. 43 a (g. 5 rº) à 52 b (h 2vº). —
Texte
espagnol du livre III terminé par cette souscript
ça el quarto libro del ysopo. Fol. 52 b (h 2 vº) à 61 b (A 5 vº). —
Texte
espagnol du livre IV terminé par cette souscripti
l ysopo comiēçā enesta orden. Fol. 61 b (A 5 vº) à 77 a (D 1 rº). —
Texte
espagnol des Fabulæ extravagantes, à la fin desqu
trōslacion nueua de remicio. Fol. 77 a (D 1 rº) à 84 b (E 2 vº). —
Texte
espagnol des fables à la fin desquelles, vers le
iençan las fabulas de auiano. Fol. 84 b (E 2 vº) à 98 a (G 4 rº). —
Texte
espagnol des fables d’Avianus closes par cette so
la forma et orden seguiente. Fol. 98 a (G 4 rº) à 116 b (K 4 vº). —
Texte
espagnol des Fabulæ collectæ, qui, seulement au n
, y en su casa en la calle de Toledo. L’édition ne contient pas le
texte
latin des fables et n’en offre que la traduction
83 forme un volume in-8, qui contient la traduction espagnole sans le
texte
latin. Voici le frontispice : Favles de Isop fil
doctrinal. Mais les notes dont il a, dans la même édition, pourvu le
texte
de Romulus, montrent qu’il a eu connaissance des
s fables du Miroir doctrinal offrent avec les mêmes variantes le même
texte
que celles du Miroir historial. J’ai dit aussi qu
ifférence, ce sont leurs deux préambules. Me proposant de joindre aux
textes
, qui seront publiés à la fin de cet ouvrage, le R
Pour éviter tout double emploi, je m’abstiens donc d’en donner ici le
texte
. J’ai maintenant à signaler les manuscrits que po
nte : Vincent de Beauvais : Speculum historiale. (Livres I-VII.) Le
texte
finit aux mots : « … nisi te scire hoc sciat alte
it ne possède plus actuellement que les dix-neuf premières. Encore le
texte
de la dix-neuvième est-il incomplet ; il s’arrête
deuxième, de 204 ; le troisième, de 201, et le quatrième, de 213. Le
texte
est précédé, dans le premier, d’une table unique
aître une édition in-folio à Venise en 1591 ; mais elle n’offre qu’un
texte
altéré. § 10. — Édition de Douai. À Douai,
e crois, de mieux à faire, c’est, comme précédemment, de comparer les
textes
entre eux. Je vais donc montrer, par de courts ex
rd. III, 17. 45. Le Marchand et l’Âne. III, 18. Devant publier le
texte
de ces fables dans le second volume de cet ouvrag
s ont bien toutes un Romulus pour origine. Mais quand on examine leur
texte
, on ne peut avoir d’incertitude sur celui qui a é
hose diminue leur valeur philologique : c’est la défectuosité de leur
texte
. La copie contenue dans le manuscrit 679 est prob
yeux, « de ne pas suivre, de ne pas toucher au doigt la filiation des
textes
au moyen de certains traits communs à Phèdre et à
re et celui de Vienne, j’ai essayé de comparer simultanément ces deux
textes
avec celui de l’Anonyme. Si cette comparaison n’a
on propre nom. J’aurais pu, chemin faisant, produire des extraits des
textes
. Comme on les trouvera dans l’analyse que plus lo
is adduxit ; fecit inde quemdam librum latinis uersibus. » D’après ce
texte
, Salon, savant chercheur, aurait été à Athènes, y
désigne le véritable auteur. Je fus, je le crois du moins, mis par ce
texte
sur la vraie piste. Convaincu que cette fois j’ét
a plus loin dans la nomenclature analytique des imprimés contenant le
texte
de Walther. Ces éditions, en attribuant les Fable
ur savoir si elles appartiennent à Walther, il faut se référer à leur
texte
. Quand on l’examine et quand on le compare à celu
nservé les expressions, elle est sans utilité pour la critique de son
texte
, et il a fallu l’inexplicable célébrité dont elle
s est précédée d’une glose dont l’écriture est plus fine que celle du
texte
. C’est dans la glose du prologue qu’elles sont at
es d’une écriture microscopique et beaucoup plus récente que celle du
texte
. Il y a soixante-deux fables. À la fin de la soix
a suivante. Cette écriture paraît presque aussi ancienne que celle du
texte
. Au lieu du distique suivant qui se lit après la
font différer entre eux, mais encore les font tour à tour différer du
texte
de Rigault. Il n’en faut pas conclure qu’il a exi
ut prendre quelques variantes, selon lui, plus conformes au véritable
texte
. 2º Manuscrits français de la Bibliothèque na
qu’elles sont, on voit qu’elles ont porté sur les épimythions dont le
texte
latin a été augmenté de quelques vers ; ce qui a
e constituent bien une œuvre postérieure à la traduction du véritable
texte
de Walther. Après le titre vient le prologue de W
ux soixante premières fables. Après cette première observation sur le
texte
latin des 5 fables étrangères à Walther, je vais
es d’Avianus, qui suit ce prologue, comprend, comme la précédente, le
texte
latin et la traduction en vers français. Mais ell
st dans l’édition que je donnerai de ces fables que j’en publierai le
texte
. Le manuscrit 1594 se termine par un épilogue, qu
stant qu’il ait été l’auteur de la traduction française. En effet, le
texte
latin est criblé de barbarismes qui montrent qu’i
Sole, Thomas pour comas, soxosis pour saxosis, etc. De plus, dans le
texte
français il y a des omissions que vraisemblableme
et les dessins, et dont l’un surtout, celui de Bruxelles, présente un
texte
latin beaucoup moins fautif. Le manuscrit 1594 n’
sur les autres manuscrits de la Bibliothèque nationale, qui, veufs du
texte
latin de Walther, en renferment seulement la trad
initiale, au centre de laquelle est un dessin à la plume approprié au
texte
. Aucun titre général ne domine les fables ; aucun
même dans les deux manuscrits. On a vu dans le manuscrit 1594 que le
texte
latin de Walther avait été allongé, et que l’allo
nd manuscrit, où chaque affabulation se borne à la traduction du seul
texte
de Walther. Cette différence me porte à croire qu
ons latines et françaises n’est pas le même que le traducteur du vrai
texte
de Walther. Maintenant quel est l’auteur des addi
la même, à savoir que toutes les additions faites à la traduction du
texte
de Walther sont l’œuvre d’un second traducteur in
e de l’autre. Pourtant il n’en est pas ainsi. Dans le moins ancien le
texte
a été rajeuni, et beaucoup de mots déjà vieillis
ont j’ai analysé les manuscrits, n’ont pas été la seule paraphrase du
texte
de Walther, et l’on pourrait aisément retrouver t
coup de leçons qui lui ont permis de faire d’heureuses corrections au
texte
des éditions précédemment publiées. Voici sur ce
rès je reçus de M. Dressler la prière de lui envoyer une collation du
texte
que nous possédions, avec celui de l’édition des
niatures oblongues très curieuses par leurs défauts de proportion. Le
texte
latin de cinquante-sept des fables attribuées au
rit est unique et qu’il est, par suite, impossible de reconstituer le
texte
disparu. L’écriture, lisible et nette, paraît dat
la fable de l’Épervier malade, 2º la traduction de cette fable, 3º le
texte
latin de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux,
a dame et dou cheualier depuis le neuvième vers jusqu’à la fin, 6º le
texte
latin de la fable De Thaïde et iuuene, 7º le comm
mmé un vulpi, l’hirondelle hyrundille, le serpent colubre, etc. » Le
texte
est orné de cinquante-huit miniatures coloriées,
ble édition, non seulement de la traduction française, mais encore du
texte
latin, précédée d’une introduction et suivie d’un
rande importance. Si je le signale, c’est parce qu’il renferme non le
texte
des fables de Walther, mais un commentaire qui a
rs de la fable à laquelle il s’applique. Le préambule a été omis ; le
texte
commence par ce premier vers de la première fable
cette seule citation, à quel point l’ignorance du copiste a rendu le
texte
défectueux. B. Manuscrit 87.5. Aug. Schwabe
eux distiques, souvent introduits après le vingt-sixième vers dans le
texte
primitif. Enfin la soixante-deuxième fable est su
, et suivies chacune d’un commentaire d’une écriture plus fine que le
texte
. La fable xlviii, comme dans plusieurs manuscrits
es marginales, d’une écriture excessivement fine, qui, comme celle du
texte
, paraît être du xiiie siècle. I. Manuscrit Ad
pit liber fabularum Esopi. Elles sont précédées du prologue, dont le
texte
est relevé par les dorures de la première lettre.
cote 1594. Non seulement, comme ce dernier manuscrit, il contient le
texte
latin de Walther et celui d’Avianus, amplifiés et
te un grand intérêt ; car, n’ayant pas été altéré par l’humidité, son
texte
est complet et permet de combler les lacunes de l
, augmenté de deux autres au moins. Voici ceux qui ont été ajoutés au
texte
primitif de la fable De Gallo et Jaspide : Stult
nt les numéros xlvii, lxi, lxii, lxiii et lxiv ont été substituées au
texte
de Walther, et, comme l’écriture en est intacte,
he est ornée d’un titre spécial et d’une initiale à l’encre rouge. Le
texte
n’est accompagné d’aucune glose. Les fables se co
commentaire en prose, qui donne le vrai nom de l’auteur. En voici le
texte
: « Incipit Esopus. Materia huius libri duo conti
s d’un commentaire, qui, comme presque tous les autres, attribue leur
texte
latin à l’empereur romain du nom de Romulus. Au b
crit 11193. Le manuscrit 11193 forme un petit volume in-4º. Par le
texte
latin, par la traduction en vers français du xive
e dispense d’en donner la description. Sans les variantes qu’offre le
texte
latin, je croirais que les trois manuscrits émane
r cette souscription : Explicit liber Esopi. Deo gracias. Amen. Le
texte
manque de pureté et les fautes qu’on y aperçoit d
le n’est pas, sans doute pour éviter un double emploi, accompagnée du
texte
auquel elle se rapporte. Elle se termine au milie
ne connaissait ni la langue, ni la prosodie latines, de sorte que le
texte
est fort défectueux. Au-dessous de la dernière fa
mension moindre qui ont appartenu à un autre manuscrit de Walther. Le
texte
commence à ce cinquième vers de la fable xli dans
préface du Dérivé complet du Romulus anglo-latin dont on trouvera le
texte
dans le second volume de cet ouvrage. Voici les p
le commentaire, a été imprimé en caractères du même corps que ceux du
texte
des fables. La préface en vers et les fables sont
en erreur, m’avaient porté à supposer que l’édition contenait avec le
texte
une traduction en prose italienne. Chaque fable e
un siècle entier dans lequel je ne trouve aucune édition nouvelle du
texte
de Walther. Pour en rencontrer une, il faut atten
ction en vers français occupe ensuite les pages 1 à 95. Puis vient le
texte
de Walther qui, commençant à la page 96, se termi
n’a pas ou possédé ou voulu mettre en langue allemande la totalité du
texte
latin. Voici les numéros, que les vingt-quatre fa
latin. Voici les numéros, que les vingt-quatre fables portent dans le
texte
latin, rangés dans l’ordre adopté dans le manuscr
glaise des fables de Walther. En effet il n’en a fait paraître que le
texte
latin avec un commentaire semblable à celui qui l
e de deux titres, l’un pour elle-même, l’autre pour sa moralité. Leur
texte
est très différent de celui du manuscrit Gadd. 17
les mots : Esopo favole volgarizzate da Accio Zucco. Les leçons du
texte
en prose italienne ont la plus grande ressemblanc
e’ Super. Édition in-8º de xliv-204 pages. Suivant M. Ghivizzani, le
texte
en dialecte toscan que porte cette édition a été
º de iii-172 pages, dans laquelle est pour la première fois publié le
texte
du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui contient tr
oni, Tozzeti et Torquato Gargani qui avaient l’intention d’ajouter au
texte
du manuscrit de la Laurentienne trois autres vers
tres occupations, le libraire Le Monnier dut ne faire paraître que le
texte
de ce manuscrit, avec une courte préface dans laq
º en un volume de 166 pages. C’est la première qui ait été publiée du
texte
du manuscrit 92 de la Bibliothèque Palatine. Malh
rois tables. Le second volume renferme de la page 1 à la page 261, le
texte
de 97 fables en prose italienne puisé dans divers
ui occupe une page entière et le plus souvent est intercalée entre le
texte
latin et le Sonetto materiale. Au bas du recto du
Fol. 5 a (a 5 rº) à 96 a (m 8 rº). — Fables illustrées comprenant le
texte
latin et la traduction italienne. Chacune est orn
rnée d’une gravure au-dessous de laquelle se trouve le titre suivi du
texte
latin et ensuite d’un double Sonetto en langue it
de 72 feuillets. Réimpression de l’édition de 1491, elle contient le
texte
de Walther et la traduction d’Accio Zuccho. Le re
ui n’en possède que six, soit au total soixante-dix. Elle renferme le
texte
de Walther accompagné de la traduction d’Accio Zu
t xylographique à fond noir. Au haut du verso du premier feuillet, le
texte
latin et la traduction sont annoncés par ce titre
volume un nombre total de soixante-douze. Cette édition, contenant le
texte
de Walther et la traduction d’Accio Zuccho n’est,
du premier feuillet d’un très petit volume in-16 qui contient avec le
texte
latin la traduction d’Accio Zuccho. Au-dessus de
nc. Voici la disposition adoptée pour chacune des fables : d’abord le
texte
latin, puis une grande gravure encadrée, ensuite
ter incipit. Elle est divisée en chapitres, dans chacun desquels le
texte
latin est suivi de la paraphrase italienne et n’e
sont ornées de grandes gravures toujours encadrées, placées après le
texte
latin et suivies elles-mêmes de leur paraphrase i
n des siennes. En se référant dans le second volume de cet ouvrage au
texte
du manuscrit 14961, on verra combien il y a loin
vrage au texte du manuscrit 14961, on verra combien il y a loin de ce
texte
non seulement à celui de Phèdre, source primitive
’autre la même idée. Ils ont presque à la même époque traduit le même
texte
dans le même rythme lyrique. Leurs deux œuvres n’
ner482 en avaient parlé tour à tour, mais n’en avaient point connu le
texte
; ce qui le prouve, c’est l’erreur commise par Fa
e , xiiie et xive siècles. Enfin M. E. du Méril, en ayant trouvé le
texte
entier dans un autre manuscrit de la Bibliothèque
Neckam a fait usage. Pour résoudre la question, il faut comparer les
textes
; c’est ce que je vais faire en prenant pour term
remière fable de Neckam, j’ai déjà montré qu’il avait plutôt suivi le
texte
du Romulus ordinaire que celui de Phèdre ; je peu
es, par le choix des mots, que l’œuvre de Neckam est plus conforme au
texte
du Romulus ordinaire qu’à celui des Fabulæ antiqu
ans le Romulus ordinaire. Elle figure dans ce qui nous est parvenu du
texte
de Phèdre, et là c’est le Lièvre qui est opprimé
montée d’un titre à l’encre rouge écrit par une main habile. Quant au
texte
lui-même, si on le compare à celui du manuscrit 2
ine, que chacune d’elles est suivie du distique élégiaque qui dans le
texte
latin forme l’épimythion. La collection de Chartr
is par être assez transformées pour n’être plus que des imitations du
texte
primitif. C’est ce qui me paraît s’être produit p
non comme une imitation, mais comme une copie un peu altérée du vrai
texte
; et, partant de là, je donnerai seulement le nom
voir dans le manuscrit Burnéien et dans les manuscrits similaires le
texte
pur du Romulus primitif, j’avais dû nécessairemen
mme en étant issu. Maintenant que mon opinion s’est amendée et que le
texte
qui me semblait être le Romulus primitif n’en est
onque sur ce point conservera un doute pourra, par la comparaison des
textes
, le faire aisément cesser. En effet on rencontre
a fable du Chien qui lâche la proie pour l’ombre. En voici d’abord le
texte
, tiré du Romulus ordinaire : « Amittit proprivm q
rit latin 303 de la Bibliothèque impériale de Vienne que se trouve le
texte
que j’ai pensé pouvoir considérer, non comme une
rit 303 n’a pas pu donner naissance au manuscrit 901, et que c’est au
texte
primitif du Romulus de Vienne conservé dans un ma
iantes du manuscrit 303, on doit le supposer à peu près aussi loin du
texte
pur, ensuite parce que les moralités y sont en bo
t 901 se divise en deux parties, l’une et l’autre très différentes du
texte
du manuscrit 303. La première non seulement s’en
ns du Romulus primitif, laisse apercevoir nettement que c’est du vrai
texte
du Romulus de Vienne issu du Romulus primitif qu’
t de Vienne 901 était issu, non du manuscrit de Vienne 303, mais d’un
texte
plus pur et plus ancien. Il est très vraisemblabl
n est de même du dérivé du manuscrit de Berlin 87. En effet, les deux
textes
des manuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87 offr
e résultat de changements faits, pour la composition de ce dérivé, au
texte
du manuscrit de Vienne 303 pris pour base ; mais,
on ne me détermine pas à changer mon classement, parce qu’en somme le
texte
du manuscrit de Vienne 303 me semble encore être
ienne 303 me semble encore être dans son ensemble le plus conforme au
texte
primitif. § 2. — Manuscrit de Berlin in-8º 87.
ilogue à Rufus. Lorsqu’à Florence je me suis trouvé en présence de ce
texte
, j’ai dû tout naturellement me demander à quelle
n faire un Dérivé ? Enfin, fallait-il aller plus loin et voir dans le
texte
de la Laurentienne un Dérivé, issu, non du Romulu
à la Laurentienne, M. Léopold Delisle avait bien fait observer que le
texte
du manuscrit de Florence n’était pas absolument c
r que, parmi les manuscrits que j’ai mis au rang de ceux contenant le
texte
du Romulus ordinaire, il y en a qui, comme le man
s aussi nombreuses qu’importantes. Pour regarder les altérations d’un
texte
comme constitutives d’une œuvre distincte, j’ai d
serais placé dans la nécessité d’éditer, comme œuvres distinctes, des
textes
trop rapprochés les uns des autres pour qu’il fût
lus ordinaire. Pour m’éclairer, ce qui m’était nécessaire, c’était le
texte
même du manuscrit. Pendant mon séjour à Florence,
riantes qu’il offrait, et, avant de me demander si elles faisaient du
texte
de Florence une imitation ou une simple copie du
ençai par rechercher si leur nature ne m’obligeait pas à attribuer au
texte
une autre origine. Le premier point à trancher ét
ine. Le premier point à trancher était en effet celui de savoir si le
texte
du manuscrit de Florence n’était pas dans certain
mme ce dernier lui-même, issu du Romulus primitif. La comparaison des
textes
pouvant seule me renseigner, j’y recourus. Je vai
avidius quærit. De ce premier rapprochement, il ressort que des deux
textes
c’est celui du Romulus ordinaire qui est le plus
duisent à un résultat tout différent du premier : ils montrent que le
texte
de Florence est conforme à celui de Phèdre dans p
particularité n’affaiblit la solution imposée par la comparaison des
textes
. Section III. Nomenclature des fables. Il m
s le même ordre. On peut, sans craindre de se tromper, ajouter que le
texte
des unes est l’amplification de celui des autres,
diffère non seulement par les sujets, mais encore par la rédaction du
texte
des Fabulæ antiquæ. Dans l’introduction qui précè
l’une de l’autre. Faut-il, pour achever de le démontrer, comparer les
textes
des fables, qui, dans les deux collections, trait
squis aliena inhianter quærit, sæpe propria perdit. On voit que les
textes
sont bien différents. Mais, si loin qu’elles soie
ait pas. Partant de cette idée, Lessing494 chercha à démontrer que le
texte
du manuscrit de Leyde était complètement défectue
ication des fables de ce Romulus, laissa-t-il complètement de côté le
texte
de l’édition de Nilant. Il se fit communiquer par
rêt qu’offrait le Romulus de Leyde. À mon sens, lorsqu’on examine les
textes
latins du moyen âge, on ne doit pas les envisager
porter aux manuscrits. Or, Alfred le Grand remonte à une époque où le
texte
à traduire n’existait pas encore, et, comme les m
chargé quelque érudit de cette tâche. Il y a ici désaccord entre les
textes
. Dans son épilogue, Marie, très affirmative, s’ex
linguam, disent les manuscrits, eum transferri præcepit. » Est-ce au
texte
latin ou à la version française qu’il faut donner
latin n’est pas postérieur au commencement du xiie siècle. § 2. —
Texte
du Romulus anglo-latin. Lorsque j’ai publi
er éditeur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une erreur : le
texte
cherché était bien irrévocablement perdu. Mais on
e traduction en était bien une, le traducteur n’avait pas dû faire au
texte
latin des additions fantaisistes, et, s’il avait
empereur romain, c’est qu’il avait trouvé cette qualification dans le
texte
latin. Si, lorsqu’il s’est agi pour moi de publie
Il faudrait, pour formuler une pareille objection, ne connaître ni le
texte
de Nilant, ni celui du Dérivé de cent trente-six
ngères au Romulus primitif, qui n’ont pu davantage être empruntées au
texte
de Nilant resté conforme au Romulus primitif, et
essairement puisées dans le Romulus anglo-latin placé entre eux et le
texte
de Nilant. On acquerra ainsi la certitude que ce
ntre eux et le texte de Nilant. On acquerra ainsi la certitude que ce
texte
n’a pu être une imitation partielle du Romulus an
t à faire entrer dans la composition du Romulus anglo-latin, c’est le
texte
du Romulus de Nilant. Mais dans le manuscrit de L
n anglaise. Connaissant la langue latine, elle aurait pu se servir du
texte
original. Mais il ne faut pas oublier que, vivant
s on comprend qu’alors que je n’ai pu même me livrer à la critique du
texte
latin, je puisse encore moins m’occuper de produc
nées par un épilogue. Le prologue, qui est une sorte de paraphrase du
texte
latin, s’en écarte encore plus que les fables. Il
sont formulés, sont souvent trop vagues ou trop différents de ceux du
texte
latin, pour qu’on puisse à première vue savoir à
que j’ai déjà adoptée est la seule vraie : quand on considère que le
texte
latin, tout en comprenant cent trente-six fables,
03, deux fables étrangères à celles qui ont été publiées. En voici le
texte
: fable lxi. N’a pas encor passé dis ans, Que
précédente, comme appartenant à la même collection que les autres, le
texte
de l’une et de l’autre en est, dans le manuscrit,
portant dans mon tableau les nos 12 et 99 à 103. Voici maintenant le
texte
des deux fables qui, dans le manuscrit, portent l
Il en est autrement de l’épilogue du manuscrit qui nous occupe : son
texte
diffère tellement de celui des autres manuscrits,
je l’ai déjà expliqué, a soutenu que, si rapproché qu’il fût par son
texte
du Romulus anglo-latin, il en était, non pas un f
fable du Romulus Roberti, il remarque que ce Romulus « nous offre un
texte
fort abrégé », et que, tandis que le Romulus prim
’accord avec le savant membre de l’Institut pour voir dans ce dernier
texte
, non pas un fragment, mais un dérivé partiel du R
outes, au moins presque toutes, occupent les mêmes places que dans le
texte
latin. Or, entre le Romulus Roberti et l’œuvre de
ger de même. Pour revenir à la première des quatre abrégées, dans son
texte
écourté la tournure des phrases et les expression
n facile de s’édifier, c’est de comparer ensemble dans cette fable le
texte
du Romulus primitif, celui du Romulus de Nilant à
erti. Pour simplifier les choses, je ne prends, dans chacun des trois
textes
, qu’une phrase pour terme de comparaison : Romu
me elles sont, dans le Romulus Roberti, la copie presque littérale du
texte
du Romulus primitif, on doit encore moins hésiter
l n’y a qu’une façon de résoudre la question, c’est de voir lequel du
texte
du Dérivé complet et du texte du Romulus Roberti
re la question, c’est de voir lequel du texte du Dérivé complet et du
texte
du Romulus Roberti se rapproche le plus du Romulu
les aura prises dans le second. Or, voici ce qu’on lit dans les trois
textes
: Romulus primitif : In capite regis sedeo. Dé
ssance. Je passe à la fable du Renard et du Corbeau. Ici, à défaut du
texte
du Romulus anglo-latin, nous possédons celui du R
, qui en est le père et qui va nous permettre de savoir d’où vient le
texte
du Romulus Roberti. Romulus de Nilant : Quodam
maintenant à la fable du Loup régnant et du Singe. La comparaison des
textes
des deux Dérivés partiel et complet va encore nou
itué le Loup au Lion. Ce qui est en même temps constant, c’est que le
texte
du Romulus de Robert s’est tenu plus près du Romu
tin que celui du Dérivé complet. Ainsi, comme la version de Marie, le
texte
du Romulus de Robert a, dans la fable du Loup rég
intervenir. En ce qui touche les quinze autres fables, on n’a plus de
texte
latin qui permette de savoir si elles sont nées d
un auteur commun qui serait le Romulus anglo-latin. Mais, à défaut du
texte
latin, on peut, à l’aide de la version de Marie,
§ 2. — Manuscrits du Dérivé partiel. Ainsi que je l’ai dit, le
texte
du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin n’existe
particuliers à chacune d’elles, les fables de la version en prose du
texte
d’Avianus, qui finissent à l’antépénultième ligne
ernière fables, faire ressortir les différences qui existent entre le
texte
du manuscrit 347 C et celui de sa fautive édition
dont j’ai déjà cité quelques lignes à la page 294. Il fait honneur du
texte
latin des fables à l’empereur Romulus et signale
oberti. Il n’en a pas moins considéré ce Romulus comme un fragment du
texte
qu’il avait rencontré à Göttingen. Cette inexplic
ulus dont elles ont été, non pas la copie, mais l’imitation. Quant au
texte
sur lequel Marie a fait sa version, c’est un poin
a écrit un mensonge, on ne peut affirmer qu’elle l’a composée sur le
texte
latin ; car elle-même dans son épilogue déclare e
gine du Dérivé complet et qui est en contradiction flagrante avec les
textes
eux-mêmes : il a vu dans ce dérivé, non pas une i
ffrus in anglicam linguam eum transferri præcepit. Ce que démontre ce
texte
, c’est que le Dérivé de 136 fables, puisqu’il y e
avoir été la traduction latine il y a un abîme que la comparaison des
textes
rend infranchissable. En effet, si le Dérivé de 1
6 fables était la traduction latine de la version anglaise, entre son
texte
et celui du Romulus anglo-latin, il n’existerait
emblables. Or, c’est le contraire qui éclate aux yeux. Sans doute, le
texte
du Dérivé de 136 fables s’éloigne du Romulus prim
eret hyrundo, futurum inde volucribus cognoscens periculum. Dans le
texte
de Nilant se répètent sans changements très sensi
ion qui n’existe pas dans le Romulus primitif, mais qui appartient au
texte
de Nilant, et qu’il n’offrirait pas, s’il ne se r
de valeur à ceux qui voudront combattre ma thèse et prétendre que le
texte
de Nilant n’a pas donné naissance au Romulus angl
de la fable du Lion et de l’Âne chassant, on continue à comparer les
textes
, on voit clairement que celui de Nilant occupe un
est le frère aîné du Dérivé complet, c’est que, comme on l’a vu, son
texte
est moins éloigné que celui de cette collection d
l’a vu, son texte est moins éloigné que celui de cette collection du
texte
du Romulus anglo-latin. Mais ce serait tirer d’un
ité d’une dernière fable qui est étrangère à Avianus et dont voici le
texte
: De Vulpe. Lupus cucullatus ypocrita est. Unde
s ces suppressions ne s’en est pas tenu là ; il a cru devoir faire au
texte
quelques corrections. Enfin, on lui doit aussi de
ation de ma première édition je me suis procuré une copie complète du
texte
contenu dans le manuscrit 215 de la Bibliothèque
e c’est toujours le manuscrit de Bruxelles qui me paraît renfermer le
texte
le plus conforme aux leçons primitives, c’est enc
ethisi. Sauf les variantes que, lors même qu’ils renferment le même
texte
, les manuscrits ne manquent jamais de présenter,
t l’autre menteur. 82. III, 30. Comme ces sept fables présentent un
texte
, qui, malgré la similitude des sujets, n’est ni c
loire de la découverte de ce manuscrit, dont la collection a servi de
texte
aux traductions allemandes de Gérard et d’un autr
nce et Gérard de Minden avaient composé leurs traductions sur le même
texte
latin. Marie de France ayant déclaré qu’elle avai
Romulus de Nilant. En effet, lorsqu’on a simultanément devant soi le
texte
de ce dernier Romulus et celui de la collection h
ceux qui voudront en vérifier l’exactitude la peine de se reporter au
texte
qui sera publié dans le second volume de cet ouvr
ient d’ailleurs double emploi ; car, dans les notes placées au bas du
texte
, ils trouveront relevées une à une toutes les fau
s la nécessité de remplacer presque partout par d’autres mots ceux du
texte
dans lequel il puisait ses inspirations. Il faut
de doute sur l’origine de l’œuvre : il me paraît certain que c’est le
texte
du Romulus de Nilant qui en en a été la base dire
preuve en est immédiatement fournie, avant tout examen comparatif des
textes
, par la complète concordance que l’ordre des fabl
oudre le problème de leur filiation, il faille examiner de près leurs
textes
respectifs. C’est ce que je vais faire, en compar
ume de cet ouvrage, on les trouvera ajoutées, sous forme de notes, au
texte
du manuscrit du British Museum. § 3. — Éditio
omulus de græco in latinum transtulit. Lorsque du titre on passe au
texte
, on ne tarde pas à être convaincu que le seul Rom
on arrive à la moralité de la même fable, la similitude dans les deux
textes
antique et Bernois des expressions répudiées par
est que pour une seule et même fable ils aient eu recours à plusieurs
textes
. Ce qui me paraît beaucoup plus vraisemblable, c’
irectement issu de l’Æsopus ad Rufum, avait dû respecter davantage le
texte
du fabuliste romain. Cette opinion est corroborée
iée en 1708, M. Denise, quoiqu’il ait, en général, fait peu de cas du
texte
latin, n’en a pas moins maintenu, en ces termes,
i versibus senariis. Cette phrase lui indiquait non seulement que le
texte
des fables était en vers, mais encore que les ver
sein werden. — Wenn diese abschrift demnach für die feststellung des
textes
auch keinerlei bedeutung hat, so ist sie doch in
rcelli decantant in scolis pverorvm agmina cachinnantivm. h. Sur ce
texte
datant de la deuxième moitié du IVe s. ap. J.-C.,
pesso sopra chi ’l fa torna l’inganno. 1. [NdA] Nous corrigeons le
texte
de 1570 (« per quel ragionar ») selon la leçon de
i mieux mieux,
Pour ses ancestres n’en fist faire.
Je reviens à mon
texte
, et dis premierement
Qu’on ne sçauroit manquer d
reurs » 2. [NdE] On trouve « Laboureurs » et non « Bergers » dans le
texte
original (1631 et 1649)
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