Chambry 110 Ἑρμῆς καὶ γῆ — Hermès et la
terre
. Ζεὺς πλάσας ἄνδρα καὶ γυναῖκα ἐκέλευσεν Ἑρμῆν
s, ayant façonné l’homme et la femme dit à Hermès de les mener sur la
terre
et de leur montrer à quel endroit ils devaient cr
ur la terre et de leur montrer à quel endroit ils devaient creuser la
terre
pour se procurer des aliments. Hermès ayant rempl
rre pour se procurer des aliments. Hermès ayant rempli sa mission, la
terre
fit d’abord résistance ; mais Hermès insista en d
II. Le Pot de
terre
et le Pot de fer. Le Pot de fer proposa Au Pot
Le Pot de terre et le Pot de fer. Le Pot de fer proposa Au Pot de
terre
un voyage. Celuy-cy s’en excusa ; Disant qu’il fe
n contre l’autre jettez, Au moindre hoquet qu’ils treuvent. Le pot de
terre
en souffre : il n’eut pas fait cent pas Que par s
ῦ ἅρπαγος πλησίον παροικοῦντι. Codd. Ba 147 Bb 90 Mb 222. Un pot de
terre
et un pot de cuivre étaient emportés par le coura
ot de cuivre étaient emportés par le courant d’une rivière. Le pot de
terre
dit au pot de cuivre : « Nage loin de moi, pas à
De deux pots flottans sur l’eau. Deux pots, dont l’un estoit de
terre
, et l’autre de fer, furent laissez fortuitement s
e bord d’une riviere, et emportez par la violence de l’eau. Le pot de
terre
apprehendant pour lors d’estre cassé ; « N’aye pe
r que cela ne nous arrive ». « Voila qui est bon, respondit le pot de
terre
, mais si je viens à me briser contre toy, ou par
os et l’eau ; mais Zeus voulant faire apparaître un autre élément, la
terre
, l’engagea à avaler la mer par trois fois. La ter
autre élément, la terre, l’engagea à avaler la mer par trois fois. La
terre
se mit à l’œuvre une première fois, et elle dégag
173. Un âne et un chien faisaient route ensemble. Ils trouvèrent à
terre
une lettre cachetée. L’âne la ramassa, rompit le
e le chien cherchait, celui-ci reprit la parole : « Jette ce papier à
terre
, ami ; car il est tout à fait insignifiant. »
ivage de la mer et se mit à y paître, tournant son œil intact vers la
terre
pour surveiller l’arrivée des chasseurs, et l’œil
à elle-même : « Vraiment je suis bien malheureuse ; je surveillais la
terre
que je croyais pleine d’embûches, et la mer, où j
bêchant, tomba sur un magot d’or. Aussi chaque jour il couronnait la
Terre
, persuadé que c’était à elle qu’il devait cette f
Fortune lui apparut et lui dit : « Pourquoi, mon ami, imputes-tu à la
Terre
les dons que je t’ai faits, dans le dessein de t’
cultivés chétifs et malingres, « C’est que, répondit le jardinier, la
terre
est pour les uns une mère, pour les autres une ma
L’Oracle et l’Impie. Vouloir tromper le Ciel, c’est folie à la
Terre
. Le Dedale des cœurs en ses détours n’enserre Rie
α καὶ τὸ ἴσον ἀποδίδωσι ζυγοστατοῦσα. Codd. Ba 144 Bb 88. Un rat de
terre
, pour son malheur, se lia d’amitié avec une greno
a patte du rat à sa propre patte. Et tout d’abord ils allèrent sur la
terre
manger du blé ; ensuite ils s’approchèrent du bor
uz el tens d’esté, est il si chauz qu’il ne lest rien fructifïer, [e]
terre
e herbe fet sechier, e s[i]’il ad esforcement e c
enonçais aux rapines et au brigandage pour te mettre au travail de la
terre
! » Ainsi les méchants ont beau faire profession
x voir ce qu’il y a dans le ciel, et tu ne vois pas ce qui est sur la
terre
! » On pourrait appliquer cette fable aux hommes
fois leur accroissement que bien tard, au contraire de celles, que la
terre
produict de soy-mesme, qui ne laissent pas d’estr
yt les enfans de son Mary, comme estrangers. Il en est de mesme de la
terre
, elle est Mere de ce qu’elle a produict, mais mar
κ ἔστιν ἀλήθεια. Cod. Ba 40. Un jour Hermès conduisait par toute la
terre
un chariot rempli de mensonges, de fourberies et
qu’on puisse nommer perdu, soit qu’on en espere la recognoissance sur
terre
, soit qu’on l’attende infaillible du Ciel.
bleau, et se cassa le bout des ailes. Il arriva ainsi qu’elle tomba à
terre
et fut prise par quelqu’un qui était là. Pareille
quand il iroit en guerre, De sa marche avertis ils s’enfuiroient sous
terre
. Qu’il n’y sçavoit que ce moyen. Chacun fut de l’
onc un foudre de guerre. Il n’est, je le vois bien, si poltron sur la
terre
, Qui ne puisse trouver un plus poltron que soy.
oitié du thresor ». Esope se mit alors à foüiller prés d’une motte de
terre
, esloignée de luy d’environ quatre pas, et y trou
reprit Esope ; « Sçache donc, que celuy qui cacha ce thresor dans la
terre
, comme sçavant qu’il estoit, s’avisa d’y faire gr
inct, qu’on s’expose aujourd’huy à des havres incognus, on queste des
terres
nouvelles ; l’on fend les glaces du Nort et du Su
ques onces d’un chetif metail. J’obmets le commerce que l’on fait par
Terre
, qui n’est pas moins dangereux, ny moins penible
it rien à ces courages ambitieux, apres avoir découvert ces nouvelles
terres
, de rendre esclaves tous les Mexicains, et les Pe
e. Ils sont les premiers à confesser, que l’or est une creature de la
terre
, qu’avoir des richesses c’est avoir des ennemis,
e peut-on gaigner le Ciel sans estre dépoüillé des inclinations de la
terre
, parmy lesquelles, certes, il n’y en a point de p
gé de retourner au Ciel, que de béer si avidement apres des lopins de
terre
: Il y a plus d’apparence que cela nous conduira
u donc, ô Avare ? une chose qui est en la possession des demons ? une
terre
plus pesante ; c’est à dire plus terre que la com
la possession des demons ? une terre plus pesante ; c’est à dire plus
terre
que la commune ? Si tu n’as besoin que d’un Viati
e nos enfants ? Elle seule leur apprendra le mépris des vanitez de la
terre
; Elle les des-enchantera des abus du Peuple ; El
prendre : elle m’a fait aquatique et ne me permet pas de marcher sur
terre
». Ceci prouve que nous aussi, quand nous contrac
us qu’il ne luy en falloit, et qu’il aymoit beaucoup mieux baleyer la
terre
de sa queuë, qu’en couvrir les fesses d’un Singe.
chose en preuves abonde. Entre les pattes d’un Lion, Un Rat sortit de
terre
assez à l’étourdie. Le Roy des animaux en cette o
ia : « Que je suis malheureux, moi qui, me méfiant des embûches de la
terre
, me suis réfugié sur cette mer, pour y trouver en
Le Lion et le Moucheron. Va-t-en chetif insecte, excrement de la
terre
. C’est en ces mots que le Lion Parloit un jour au
derniers venus n’y trouvent à glaner.
La feinte est un païs plein de
terres
desertes.
Tous les jours nos Auteurs y font des
ssieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’enfant met pied à
terre
, et puis le vieillard monte ; Quand trois filles
as si prevoyants qu’Agathocles, qui se faisoit servir en vaisselle de
terre
, pour apprendre à n’oublier que son pere la faiso
ain tous ces courages ambitieux couvrirent la Mer de vaisseaux, et la
terre
d’un prodigieux nombre de Soldats, si pas un de c
en falloit pour leur sepulture, apres avoir voulu conquerir toute la
terre
durant leur vie. Mais si laissant à part toutes c
leuve un crocodile le dévora. La fable montre qu’aucun élément, ni la
terre
, ni l’air, ni l’eau, n’offre de sûreté aux crimin
Mg 50. Le long d’une route étroite Hercule cheminait. Il aperçut à
terre
un objet qui ressemblait à une pomme, et voulut l
veux qu’on tourne ses yeux, non pas vers le ciel, mais en bas vers la
terre
, et je force les gens à craindre et à trembler, e
vie ; Ne possedoit pas l’or, mais l’or le possedoit. Il avoit dans la
terre
une somme enfoüie ; Son cœur avec ; n’ayant autre
qu’il ne faut jamais Vendre la peau de l’Ours qu’on ne l’ait mis par
terre
.
er bataille : celle qui serait victorieuse aurait la possession de la
terre
et de l’eau. Elles avaient fixé le jour, quand le
murs estoit déja posté.
La pluspart s’en alloient chercher une autre
terre
,
Quand Menenius leur fit voir
Qu’ils estoient a
sque jusqu’icy l’on ne m’a cruë en rien ;
Dés que vous verrez que la
terre
Sera couverte, et qu’à leurs bleds
Les gens n’e
servir de leçon à la pluspart des hommes. Parmi ce que de gens sur la
terre
nous sommes, Il en est peu qui fort souvent Ne se
Lh 44 Me 117 Mf 99 Mg 113 Ml 113. Une chauve-souris, étant tombée à
terre
, fut prise par une belette. Se voyant sur le poin
int reprit alors : « Eh bien ! cette corneille jure par le ciel et la
terre
qu’il ne tient qu’à toi que je recouvre mes bœufs
un homme, il se glissa sous lui, le soutint et le transporta vers la
terre
ferme. Comme il arrivait au Pirée, entrepôt marit
ure patrie, se développant avec allegresse des fausses voluptez de la
terre
, où il n’y a que du dégoust, et de la revolution.
les faut jamais engager dans vos guerres, Ni les faire entrer sur vos
terres
.
t, qu’ils peussent bastir une tour, qui ne touchast ny le Ciel, ny la
terre
, et par mesme moyen qu’il luy fit venir aussi que
otte Devineresse. Depuis, quand le lin fust sur le point de sortir de
terre
, et de reverdir, elle les advisa derechef d’en ar
re ? Ceux-là mesmes ne furent-ils pas chastiez par les François en la
Terre
saincte, et par Othoman en l’Asie Mineure, quoy q
e nom d’Eternelle, pour le perpetuer à Venise . Cette Merveille de la
Terre
, et pareillement cette Reine de la Mer, dequoy n’
sente pour cét effet les Ames rampantes par les Serpens attachez à la
terre
; La Ruze et la Cruauté par le Renard et le Loup
t encore voler, sentans l’ardeur de la flamme, se laisserent cheoir à
terre
, où toutesfois ils ne furent pas long-temps : car
é son ressentiment. J’obmets ce qui advint à Richard, au retour de la
Terre
saincte, et me contente de conclure ce discours p
u lieu que l’autre estoit de basse naissance, ne faisoit que ramper à
terre
, ne se nourrissoit que de quelques chetifs grains
on vol, et mesprise au contraire les routes que la Fourmy fait sur la
terre
, representant la grandeur de sa race, et les haut
qu’elle paroisse plus abjette. Car ce ne sont pas les grandeurs de la
terre
qui establissent nostre condition devant Dieu, ma
VI. De la Tortuë, et de l’Aigle. La Tortuë ennuyée de ramper sur
terre
, commença de promettre monts et merveilles à quic
s, mais à celle de Dieu : Son espreuve se fait au Ciel, et non pas en
terre
. Nous ne pouvons point juger s’il reçoit des cons
de le vendre. Autant en est il des meubles precieux des denrées, des
terres
, des heritages, et de toute autre possession, soi
vous a gaigné le cœur du plus grand et du plus vertueux Prince de la
terre
. C’est elle aussi, MONSIEUR, qui vous empesche d’
s larmes : Il arriva cependant qu’un certain paysan, qui labouroit la
terre
assez prés de là, fust surpris de l’amour de cest
illir, et qu’ils s’enflerent au delà de leurs bornes sur les vieilles
terres
de l’Empire. Or les Gots mesmes se dissiperent pa
fait Dieux (bien que faussement) ceux qui ont charge de la Mer, de la
Terre
, et du Ciel : on a fait Dieu, et non pas Déesse,
aissa tomber. Zeus se leva pour secouer la crotte, et jeta les œufs à
terre
sans y penser. Depuis ce temps-là, dit-on, pendan
at. Car de grace, ces Conquerants qui béent apres la possession de la
terre
entiere, qu’engendrent-ils enfin que des vermisse
mptement sur un arbre, pour éviter le danger, et l’autre se jetta par
terre
, pource qu’il se vid sans esperance de se pouvoir
e à celle des Riches. Je veux neantmoins que tous les avantages de la
terre
leur manquent, est-ce à dire pour cela qu’il leur
debout », repartit Xanthus, « le Soleil m’eust bruslé la teste, et la
terre
les pieds, joinct que l’acrimonie de l’urine m’eu
e jusques-là que de refuser les presents du plus grand Monarque de la
terre
, il fût attrappé sur ses vieux jours d’une extrêm
e de Soldats qu’on luy debittoit pour les plus vaillants hommes de la
terre
, et ceux-là estoient tous percez de coups, estrop
entent ce corps énorme et prodigieux, de l’étenduë de neuf arpents de
terre
, c’est affin de nous donner à cognoistre le grand
i vous considerez la forme exterieure d’une bouteille, ou d’un pot de
terre
, et si vous n’avez pas plustost égard au goust in
emords ? De plus, avec la certitude que vous avez de vous repentir en
terre
de la vengeance, et d’estre recompensez au Ciel d
corps de ce grand homme, jusques à ce que des survenants le mirent en
terre
; et peu de temps apres il accusa les assassins d
ns, à l’exception de legs particuliers à quelques personnes et de ses
terres
seigneuriales qu’il laissa à Pierre Pithou, son n
ub alstris (sic) minus producuntur monstra. Quæ ab ipsis per plurimos
terre
(sic) angulos eradicata funditus et subversa legi
A Paris, chez Claude Thiboust, libraire juré de l’Université, sur la
terre
de Cambray, devant le College des trois Evesques.
ieurs dans les grandes bibliothèques de l’Allemagne, qui est la vraie
terre
classique des éditions incunables de Romulus impr
r, Prengne les deux, c’est le mellieur. Et pour ce que saiche est ma
terre
, Au iardin vueil faire requerre Dieu qui tout pue
21. Des Colons et de l’Escoufle. 22. Du Chien et du Larron. 23. De la
Terre
qui enfanta une Souris. 24. Du Filz a l’Ecoufle q
; De ianuier ist bien douce chose ; La rose près est de l’ortie ; La
terre
qui bien est gargnie Porte bon blef et pour ce vu
er. 5. D’un Cheualier chauue. 6. Du Vilain qui trouua le tresor en sa
terre
. 7. Du Singe qui disoit que ses Singios estoient
e de Bourgoingne Ou n’a ne mente ne vergoingne, Fille du roy de celle
terre
, Ceste matiere ay voulu querre, Pour [y] trouer e
es deux vers : (A)u temp pascour que toutes riens s’esgaye Et que la
terre
de mainte couleur gaye..... Elle est composée de
ième, a enlevé de cette dernière ces deux premiers vers : Jupiter en
terre
enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’
es qui voulloient auoir ung Roy. 16. Du chien et du larron. 17. De la
terre
qui enfanta une souris. 18. Du filz de lescouffle
ante-quatre vers, commençant par ce premier : La rate san uai per la
terre
, et finissant par ce dernier : Portoit la poinn
oi. 25. Dou larron et dou chien. 26. Dou lou et de la true. 27. De la
terre
qui anfante la rate. 28. Dou lou et de laigneal.
que molt fut angoisseus : Sa fame prist par les cheueus, Si la rue a
terre
et traïne. Le pié li met sor la poitrine. Ha ! fa
ent deporte ; D’un filet par le pié l’enserre, Puis le lais aler a la
terre
, Auant et arriere est saillie ; Li chas le voit,
od etiam de me timorem habebunt. — Cui respondit Leo : Non miror quod
terres
bestias quæ te non noverunt. Quæ si te nossent si
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