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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 110 » p. 102
Chambry 110 Ἑρμῆς καὶ γῆ — Hermès et la terre . Ζεὺς πλάσας ἄνδρα καὶ γυναῖκα ἐκέλευσεν Ἑρμῆν
s, ayant façonné l’homme et la femme dit à Hermès de les mener sur la terre et de leur montrer à quel endroit ils devaient cr
ur la terre et de leur montrer à quel endroit ils devaient creuser la terre pour se procurer des aliments. Hermès ayant rempl
rre pour se procurer des aliments. Hermès ayant rempli sa mission, la terre fit d’abord résistance ; mais Hermès insista en d
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378
II. Le Pot de terre et le Pot de fer. Le Pot de fer proposa Au Pot
Le Pot de terre et le Pot de fer. Le Pot de fer proposa Au Pot de terre un voyage. Celuy-cy s’en excusa ; Disant qu’il fe
n contre l’autre jettez, Au moindre hoquet qu’ils treuvent. Le pot de terre en souffre : il n’eut pas fait cent pas Que par s
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 355 » p. 378
ῦ ἅρπαγος πλησίον παροικοῦντι. Codd. Ba 147 Bb 90 Mb 222. Un pot de terre et un pot de cuivre étaient emportés par le coura
ot de cuivre étaient emportés par le courant d’une rivière. Le pot de terre dit au pot de cuivre : « Nage loin de moi, pas à
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
De deux pots flottans sur l’eau. Deux pots, dont l’un estoit de terre , et l’autre de fer, furent laissez fortuitement s
e bord d’une riviere, et emportez par la violence de l’eau. Le pot de terre apprehendant pour lors d’estre cassé ; « N’aye pe
r que cela ne nous arrive ». « Voila qui est bon, respondit le pot de terre , mais si je viens à me briser contre toy, ou par
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 19 » p. 8
os et l’eau ; mais Zeus voulant faire apparaître un autre élément, la terre , l’engagea à avaler la mer par trois fois. La ter
autre élément, la terre, l’engagea à avaler la mer par trois fois. La terre se mit à l’œuvre une première fois, et elle dégag
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
173. Un âne et un chien faisaient route ensemble. Ils trouvèrent à terre une lettre cachetée. L’âne la ramassa, rompit le
e le chien cherchait, celui-ci reprit la parole : « Jette ce papier à terre , ami ; car il est tout à fait insignifiant. »
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 106 » pp. 75-75
ivage de la mer et se mit à y paître, tournant son œil intact vers la terre pour surveiller l’arrivée des chasseurs, et l’œil
à elle-même : « Vraiment je suis bien malheureuse ; je surveillais la terre que je croyais pleine d’embûches, et la mer, où j
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 84 » pp. 61-61
bêchant, tomba sur un magot d’or. Aussi chaque jour il couronnait la Terre , persuadé que c’était à elle qu’il devait cette f
Fortune lui apparut et lui dit : « Pourquoi, mon ami, imputes-tu à la Terre les dons que je t’ai faits, dans le dessein de t’
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 155 » p. 119
cultivés chétifs et malingres, « C’est que, répondit le jardinier, la terre est pour les uns une mère, pour les autres une ma
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIX. L’Oracle et l’Impie. » p. 36
L’Oracle et l’Impie. Vouloir tromper le Ciel, c’est folie à la Terre . Le Dedale des cœurs en ses détours n’enserre Rie
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 246 » pp. 384-384
α καὶ τὸ ἴσον ἀποδίδωσι ζυγοστατοῦσα. Codd. Ba 144 Bb 88. Un rat de terre , pour son malheur, se lia d’amitié avec une greno
a patte du rat à sa propre patte. Et tout d’abord ils allèrent sur la terre manger du blé ; ensuite ils s’approchèrent du bor
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 6. Le mariage du soleil » p. 314
uz el tens d’esté, est il si chauz qu’il ne lest rien fructifïer, [e] terre e herbe fet sechier, e s[i]’il ad esforcement e c
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
enonçais aux rapines et au brigandage pour te mettre au travail de la terre  ! » Ainsi les méchants ont beau faire profession
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 65 » p. 40
x voir ce qu’il y a dans le ciel, et tu ne vois pas ce qui est sur la terre  ! » On pourrait appliquer cette fable aux hommes
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
fois leur accroissement que bien tard, au contraire de celles, que la terre produict de soy-mesme, qui ne laissent pas d’estr
yt les enfans de son Mary, comme estrangers. Il en est de mesme de la terre , elle est Mere de ce qu’elle a produict, mais mar
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 113 » pp. 309-309
κ ἔστιν ἀλήθεια. Cod. Ba 40. Un jour Hermès conduisait par toute la terre un chariot rempli de mensonges, de fourberies et
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
qu’on puisse nommer perdu, soit qu’on en espere la recognoissance sur terre , soit qu’on l’attende infaillible du Ciel.  
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 302 » pp. 201-201
bleau, et se cassa le bout des ailes. Il arriva ainsi qu’elle tomba à terre et fut prise par quelqu’un qui était là. Pareille
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — II. Conseil tenu par les Rats. » p. 613
quand il iroit en guerre, De sa marche avertis ils s’enfuiroient sous terre . Qu’il n’y sçavoit que ce moyen. Chacun fut de l’
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIV. Le Lievre et les Grenoüilles. » p. 138
onc un foudre de guerre. Il n’est, je le vois bien, si poltron sur la terre , Qui ne puisse trouver un plus poltron que soy.
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
oitié du thresor ». Esope se mit alors à foüiller prés d’une motte de terre , esloignée de luy d’environ quatre pas, et y trou
reprit Esope ; « Sçache donc, que celuy qui cacha ce thresor dans la terre , comme sçavant qu’il estoit, s’avisa d’y faire gr
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
inct, qu’on s’expose aujourd’huy à des havres incognus, on queste des terres nouvelles ; l’on fend les glaces du Nort et du Su
ques onces d’un chetif metail. J’obmets le commerce que l’on fait par Terre , qui n’est pas moins dangereux, ny moins penible
it rien à ces courages ambitieux, apres avoir découvert ces nouvelles terres , de rendre esclaves tous les Mexicains, et les Pe
e. Ils sont les premiers à confesser, que l’or est une creature de la terre , qu’avoir des richesses c’est avoir des ennemis,
e peut-on gaigner le Ciel sans estre dépoüillé des inclinations de la terre , parmy lesquelles, certes, il n’y en a point de p
gé de retourner au Ciel, que de béer si avidement apres des lopins de terre  : Il y a plus d’apparence que cela nous conduira
u donc, ô Avare ? une chose qui est en la possession des demons ? une terre plus pesante ; c’est à dire plus terre que la com
la possession des demons ? une terre plus pesante ; c’est à dire plus terre que la commune ? Si tu n’as besoin que d’un Viati
e nos enfants ? Elle seule leur apprendra le mépris des vanitez de la terre  ; Elle les des-enchantera des abus du Peuple ; El
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 203 » p. 145
prendre : elle m’a fait aquatique et ne me permet pas de marcher sur terre  ». Ceci prouve que nous aussi, quand nous contrac
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
us qu’il ne luy en falloit, et qu’il aymoit beaucoup mieux baleyer la terre de sa queuë, qu’en couvrir les fesses d’un Singe.
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
chose en preuves abonde. Entre les pattes d’un Lion, Un Rat sortit de terre assez à l’étourdie. Le Roy des animaux en cette o
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 28 » p. 25
ia : « Que je suis malheureux, moi qui, me méfiant des embûches de la terre , me suis réfugié sur cette mer, pour y trouver en
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
Le Lion et le Moucheron. Va-t-en chetif insecte, excrement de la terre . C’est en ces mots que le Lion Parloit un jour au
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
derniers venus n’y trouvent à glaner.
 La feinte est un païs plein de terres desertes.
 Tous les jours nos Auteurs y font des
ssieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’enfant met pied à terre , et puis le vieillard monte ; Quand trois filles
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
as si prevoyants qu’Agathocles, qui se faisoit servir en vaisselle de terre , pour apprendre à n’oublier que son pere la faiso
ain tous ces courages ambitieux couvrirent la Mer de vaisseaux, et la terre d’un prodigieux nombre de Soldats, si pas un de c
en falloit pour leur sepulture, apres avoir voulu conquerir toute la terre durant leur vie. Mais si laissant à part toutes c
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
leuve un crocodile le dévora. La fable montre qu’aucun élément, ni la terre , ni l’air, ni l’eau, n’offre de sûreté aux crimin
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
Mg 50. Le long d’une route étroite Hercule cheminait. Il aperçut à terre un objet qui ressemblait à une pomme, et voulut l
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 347 » p. 271
veux qu’on tourne ses yeux, non pas vers le ciel, mais en bas vers la terre , et je force les gens à craindre et à trembler, e
33 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
vie ; Ne possedoit pas l’or, mais l’or le possedoit. Il avoit dans la terre une somme enfoüie ; Son cœur avec ; n’ayant autre
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
qu’il ne faut jamais Vendre la peau de l’Ours qu’on ne l’ait mis par terre .
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 118 » p. 90
er bataille : celle qui serait victorieuse aurait la possession de la terre et de l’eau. Elles avaient fixé le jour, quand le
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
murs estoit déja posté.
 La pluspart s’en alloient chercher une autre terre ,
 Quand Menenius leur fit voir
 Qu’ils estoient a
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
sque jusqu’icy l’on ne m’a cruë en rien ;
 Dés que vous verrez que la terre 
 Sera couverte, et qu’à leurs bleds
 Les gens n’e
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
servir de leçon à la pluspart des hommes. Parmi ce que de gens sur la terre nous sommes, Il en est peu qui fort souvent Ne se
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
Lh 44 Me 117 Mf 99 Mg 113 Ml 113. Une chauve-souris, étant tombée à terre , fut prise par une belette. Se voyant sur le poin
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
int reprit alors : « Eh bien ! cette corneille jure par le ciel et la terre qu’il ne tient qu’à toi que je recouvre mes bœufs
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
un homme, il se glissa sous lui, le soutint et le transporta vers la terre ferme. Comme il arrivait au Pirée, entrepôt marit
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
ure patrie, se développant avec allegresse des fausses voluptez de la terre , où il n’y a que du dégoust, et de la revolution.
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
les faut jamais engager dans vos guerres, Ni les faire entrer sur vos terres .
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
t, qu’ils peussent bastir une tour, qui ne touchast ny le Ciel, ny la terre , et par mesme moyen qu’il luy fit venir aussi que
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
otte Devineresse. Depuis, quand le lin fust sur le point de sortir de terre , et de reverdir, elle les advisa derechef d’en ar
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
re ? Ceux-là mesmes ne furent-ils pas chastiez par les François en la Terre saincte, et par Othoman en l’Asie Mineure, quoy q
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
e nom d’Eternelle, pour le perpetuer à Venise . Cette Merveille de la Terre , et pareillement cette Reine de la Mer, dequoy n’
sente pour cét effet les Ames rampantes par les Serpens attachez à la terre  ; La Ruze et la Cruauté par le Renard et le Loup 
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
t encore voler, sentans l’ardeur de la flamme, se laisserent cheoir à terre , où toutesfois ils ne furent pas long-temps : car
é son ressentiment. J’obmets ce qui advint à Richard, au retour de la Terre saincte, et me contente de conclure ce discours p
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
u lieu que l’autre estoit de basse naissance, ne faisoit que ramper à terre , ne se nourrissoit que de quelques chetifs grains
on vol, et mesprise au contraire les routes que la Fourmy fait sur la terre , representant la grandeur de sa race, et les haut
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
qu’elle paroisse plus abjette. Car ce ne sont pas les grandeurs de la terre qui establissent nostre condition devant Dieu, ma
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
VI. De la Tortuë, et de l’Aigle. La Tortuë ennuyée de ramper sur terre , commença de promettre monts et merveilles à quic
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
s, mais à celle de Dieu : Son espreuve se fait au Ciel, et non pas en terre . Nous ne pouvons point juger s’il reçoit des cons
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
de le vendre. Autant en est il des meubles precieux des denrées, des terres , des heritages, et de toute autre possession, soi
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
vous a gaigné le cœur du plus grand et du plus vertueux Prince de la terre . C’est elle aussi, MONSIEUR, qui vous empesche d’
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
s larmes : Il arriva cependant qu’un certain paysan, qui labouroit la terre assez prés de là, fust surpris de l’amour de cest
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
illir, et qu’ils s’enflerent au delà de leurs bornes sur les vieilles terres de l’Empire. Or les Gots mesmes se dissiperent pa
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
fait Dieux (bien que faussement) ceux qui ont charge de la Mer, de la Terre , et du Ciel : on a fait Dieu, et non pas Déesse,
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
aissa tomber. Zeus se leva pour secouer la crotte, et jeta les œufs à terre sans y penser. Depuis ce temps-là, dit-on, pendan
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
at. Car de grace, ces Conquerants qui béent apres la possession de la terre entiere, qu’engendrent-ils enfin que des vermisse
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
mptement sur un arbre, pour éviter le danger, et l’autre se jetta par terre , pource qu’il se vid sans esperance de se pouvoir
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
e à celle des Riches. Je veux neantmoins que tous les avantages de la terre leur manquent, est-ce à dire pour cela qu’il leur
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
debout », repartit Xanthus, « le Soleil m’eust bruslé la teste, et la terre les pieds, joinct que l’acrimonie de l’urine m’eu
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
e jusques-là que de refuser les presents du plus grand Monarque de la terre , il fût attrappé sur ses vieux jours d’une extrêm
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
e de Soldats qu’on luy debittoit pour les plus vaillants hommes de la terre , et ceux-là estoient tous percez de coups, estrop
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
entent ce corps énorme et prodigieux, de l’étenduë de neuf arpents de terre , c’est affin de nous donner à cognoistre le grand
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
i vous considerez la forme exterieure d’une bouteille, ou d’un pot de terre , et si vous n’avez pas plustost égard au goust in
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
emords ? De plus, avec la certitude que vous avez de vous repentir en terre de la vengeance, et d’estre recompensez au Ciel d
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
corps de ce grand homme, jusques à ce que des survenants le mirent en terre  ; et peu de temps apres il accusa les assassins d
69 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ns, à l’exception de legs particuliers à quelques personnes et de ses terres seigneuriales qu’il laissa à Pierre Pithou, son n
ub alstris (sic) minus producuntur monstra. Quæ ab ipsis per plurimos terre (sic) angulos eradicata funditus et subversa legi
A Paris, chez Claude Thiboust, libraire juré de l’Université, sur la terre de Cambray, devant le College des trois Evesques.
ieurs dans les grandes bibliothèques de l’Allemagne, qui est la vraie terre classique des éditions incunables de Romulus impr
r, Prengne les deux, c’est le mellieur. Et pour ce que saiche est ma terre , Au iardin vueil faire requerre Dieu qui tout pue
21. Des Colons et de l’Escoufle. 22. Du Chien et du Larron. 23. De la Terre qui enfanta une Souris. 24. Du Filz a l’Ecoufle q
 ; De ianuier ist bien douce chose ; La rose près est de l’ortie ; La terre qui bien est gargnie Porte bon blef et pour ce vu
er. 5. D’un Cheualier chauue. 6. Du Vilain qui trouua le tresor en sa terre . 7. Du Singe qui disoit que ses Singios estoient
e de Bourgoingne Ou n’a ne mente ne vergoingne, Fille du roy de celle terre , Ceste matiere ay voulu querre, Pour [y] trouer e
es deux vers : (A)u temp pascour que toutes riens s’esgaye Et que la terre de mainte couleur gaye..... Elle est composée de
ième, a enlevé de cette dernière ces deux premiers vers : Jupiter en terre enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’
es qui voulloient auoir ung Roy. 16. Du chien et du larron. 17. De la terre qui enfanta une souris. 18. Du filz de lescouffle
ante-quatre vers, commençant par ce premier : La rate san uai per la terre , et finissant par ce dernier : Portoit la poinn
oi. 25. Dou larron et dou chien. 26. Dou lou et de la true. 27. De la terre qui anfante la rate. 28. Dou lou et de laigneal.
que molt fut angoisseus : Sa fame prist par les cheueus, Si la rue a terre et traïne. Le pié li met sor la poitrine. Ha ! fa
ent deporte ; D’un filet par le pié l’enserre, Puis le lais aler a la terre , Auant et arriere est saillie ; Li chas le voit,
od etiam de me timorem habebunt. — Cui respondit Leo : Non miror quod terres bestias quæ te non noverunt. Quæ si te nossent si
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