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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
t que dura son mal il n’eut autre discours. Enfin se sentant prest de terminer ses jours, Mes chers enfans, dit-il, je vais où s
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 83 » pp. 42-42
Lf 22 Lh 12 Me 34 Mf 31 Mg 34 Mj 32. Un laboureur, sur le point de terminer sa vie, voulut que ses enfants acquissent de l’ex
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 129 » pp. 315-315
un jour l’occasion vint où la mule se vit forcée de courir. La course terminée , elle se renfrogna et se souvint soudain de son p
4 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
Gude fait observer que les noms grecs, qui ont la même désinence, se terminent en er dans la langue latine. C’est ainsi que des
collège de Roncourt, qui était alors en vogue. Ses études classiques terminées , il avait résolu de lui faire embrasser la carriè
s maintenant à l’éditeur lui-même. « Dès que l’Édition de Phèdre fut terminée , dit Grosley, M. Pithou, qui l’avoit fait faire à
paraître sur cette publication une notice justement élogieuse, qui se terminait ainsi : « Cette édition préparée, disposée, exécu
quantité de parchemin qu’il supposait nécessaire. Quand ensuite il le termina , il se trouva une feuille de trop, qui plus tard
thou et qui contenait le même nombre de fables dans le même ordre, se terminait par ces mots : Phædri Augusti liberti Liber qui
t à la deuxième partie du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se termine cette deuxième partie. Remarquant à la fin de la
la seconde, étaient sur la même ligne que les mots Mutatus statim qui terminaient la première. Enfin, comme dans le manuscrit de Pi
mmencement de la première fable la fin de la suivante. Enfin, pour en terminer avec tous ces points de ressemblance, j’ajoute qu
première. J’ai expliqué que dans l’un et dans l’autre la ligne ne se terminait pas à la fin de chaque vers, et que chaque vers n
edi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip. feliciter. La première page se termine par ce vers de la fable Cervus ad fontem : Utili
fables. En y regardant d’un peu plus près, il aurait vu que, s’il se terminait à la xxie , il ne commençait pas à la première, q
’était permis de rester à la bibliothèque que jusqu’à midi, je ne pus terminer mon travail le même jour, et je dus pour l’acheve
IV, il y en a une qui saute aux yeux : le prologue du livre V, qui se termine par ce vers : Sed jam ad Fabellam talis exempli
d’histoire naturelle » sans intérêt. Il ne s’aperçoit pas qu’elle se termine par cette conclusion morale qui ne manque pas de
que plusieurs vers lui ont paru calqués trop exactement sur ceux qui terminent l’ancienne fable de Simonide préservé par les Die
rs vers de la fable Leo regnans, qui, dans le manuscrit de Pithou, se terminent au milieu d’une ligne achevée par le premier des
37, 38, 39, 40, 43, 44, 51, 52, 53, 56, 58, 59, 60, 61, 65 et 67. Je termine ici ce premier aperçu des Fabulæ antiquæ. Pour mi
aul, auteur de l’hymne à saint Jean plus connue encore290. La page se termine par quelques maximes des sept Sages, en partie fo
et qui semble être de la main d’Adémar, occupe tout le quaterne et se termine au verso du fol. xxix. C’est sans doute sur elle
L’écriture ne paraît pas être d’Adémar. L’ouvrage est entier ; il se termine au recto du fol. cvi. Fol. cvi b. — Page blanche.
quam etiam secularis philosofie inlustrarunt disciplinis , etc. Il se termine par ces mots : Theodorus monachus et abbas Adria
m salutem. Etsi te studio grammaticæ artis inductum , etc. L’œuvre se termine au bas du recto du feuillet clxxxviii par la sous
sequuntur ex Plinio excerpta, Libro II, Cap. xv, xvi. Cet extrait se termine au haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces
accompagné des noms des abbés de Saint-Martial écrits en marge, et se termine au fol. cxciv a. Fol. cxciv b. — Liste des noms d
rchemin s’est encrassé et les lettres se sont effacées. Les fables se terminent au fol. cciii b vers le milieu de la page. Fol. c
38ª à 144ª et le recto du feuillet 187.) Dans ma première édition, je terminais cette analyse en exprimant le regret que M. Rober
s, qui n’ont ici aucun intérêt et que je m’abstiens de reproduire. Il termine sa lettre, en expliquant que, si Lessing a gardé
tani prognostica futuri seculi. Fol. 59 b. — Fin du premier ouvrage terminé par cette souscription en capitales à l’encre rou
a ajouté celui-ci : Scholia in canticum canticorum. Ces scholies se terminent au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre su
e est tout entière occupée par le prologue transcrit par Tross. Il se termine à la première ligne du verso du même feuillet. La
t capitula de marinis belluis. Fol. 120 b. — Fin du deuxième livre, terminé au milieu de la page par ces mots à l’encre rouge
u moment où ce même Nicolas V l’était devenu, elle n’était pas encore terminée , et qu’elle n’avait été achevée qu’après des reta
bles de Romulus commencent en tête du verso du premier feuillet et se terminent au verso du sixième, au bas de la première colonn
r, et, au bout de trois jours, le dimanche 13 juillet, ma copie était terminée . Le manuscrit forme un volume in-fol. de petit fo
une mention, qu’il avait signée et dont voici la traduction : « J’ai terminé la copie de ces fables d’Ésope le 30 juin 1495, l
rologus piscium (23 chap.). » — Fol. 71. « Prologus arborum (29 chap.  terminés par ces mots : scriptura scribe in buxo). » Fol.
symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier livre est terminé par une sorte d’avis ainsi formulé : Finit quart
filio. xvi. De Milite, vulpe et armigero. xvii.   Ces fables se terminent par cette observation : Finite sunt extrauagante
s sont ornées de gravures, accompagnées d’une traduction allemande et terminées par la mention suivante : Finis fabularum Esopi
s d’une table alphabétique générale en allemand (fol. 273 a à 278 b), terminée par ces mots : Geendet säliglich von Johanne Zei
um Tituli sancti Chrisogoni presbiterum Cardinalem. La vie d’Ésope se termine au recto du feuillet 25. Puis viennent les fables
bula prima de Vulpe et vua. Fol. 65ª à 73ª (i.iª à k.iª). Livre IV, terminé par cette souscription : Finit, quartus Esopi ne
lieu du texte de la fable v. Fol. 67 a (k. iii a). — Fin du livre IV, terminé par cette souscription : Finit quartus Esopi nec
us, qui au nombre de vingt-sept occupent les feuillets suivants et se terminent au fol. 100, sont accompagnées de 27 gravures pla
me un grand nombre de gravures sur bois appropriées aux fables. Il se termine au bas du feuillet 82 a par la souscription suiva
laradas por aplasibles exemptos. Les fables qui viennent après, se terminent au bas du recto du dernier feuillet par cette sou
itre qui la précède. Fol. 60 b à 67 a. — Fables du livre IV. Elles se terminent au haut du recto du fol. 67 a (k. iii a) par cett
turarum, que Gérard Leeu avait imprimé sans réclames ni signatures et terminé à Gouda le 31 août 1482. J’avais été accidentelle
ur Henri Steinhöwel, etc. » Fol. 34 a, ligne 13. — La vie d’Ésope se termine par ces mots : tod auch vergan. Puis on lit ce
ement : des fables réunies). » Fol. 153 b, portant le nº cxix. Là se terminent les diverses collections de fables. Fol. 154 a à
jeune Guiscard. » Tel est le contenu du volume, dont les matières se terminent , sans souscription, à la ligne 23 du feuillet 167
mitlauffenden alten fabeln , ou « vieilles fables courantes », qui se terminent au folio 109 (72) b. Fol. 110 (73) a. —  Hye vahe
ptique des points communs dans la matière du livre. » Cette table se termine au folio 170 a. C. Édition sans date (Hain 334
re. » Fol. 112 a à 115 a. — La table qui remplit ces feuillets n’est terminée par aucune mention finale. D. Édition de 1483.
geburt MCCCC vnd in dem Lxxxiii Jar. Ce qui signifie : « Imprimé et terminé dans la très glorieuse et impériale ville d’Augsb
te dans le format in-folio et illustrée de gravures sur bois. Elle se termine par ces mots : Esopus der hochberümbt fabeldicht
uliste, avec addition de quelques fables de Rimicius et d’Avianus, se termine ici. Imprimé et achevé dans la ville impériale d’
bst Nach Cristi gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français : « Imprimé et terminé dans la ville impériale d’Augsbourg par Jean Scho
te avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus. Imprimé et terminé dans ta ville impériale d’Augsbourg par Hannsen S
abeln Aniani. —  Die Erste Fabel Adelfonsi. Puis viennent 24 fables terminées au fol. 203 b par cette souscription : Ende der
t La dixhuytiesme hystoire. Elle est ornée de 23 gravures sur bois et terminée par cette souscription : Cy finist la vie de eso
ucune table, qui comme le précédent contient douze gravures et qui se termine par cette souscription : Cy finist le quart liur
e fables attribuées à Alphonse, accompagnées chacune d’une gravure et terminées par ce double avis : Cy finissent les fable (sic
des signatures de a—o iiij, par cahiers de 8 et 6 ff. » Le volume se termine par la souscription suivante, qui se trouve au ve
oupe qui, dans l’édition d’Ulm, en renferme vingt-trois. Le volume se termine par cette souscription : Cy finissent les subti
, et de poge florentin, auec plusieurs beaulx dits mouraulx. Elle se termine par cette souscription : Ci finissent les fables
les Fables de Auian. Delfonce (sic). Et de Poge florentin , et qui se termine par cette souscription : Imprimees a Paris par l
veufue de feu Barnabe Chaussard : près nostre-dame de Confort. Il se termine par cette souscription : Cy finissent les subtil
auecque les Fables de Auian, de Alphonce et de Poge florentin , et se termine par ces mots : Imprime à Paris par Alain Lotrian
re Bonte, en la | rue de Chambre. 1532. Au fol. 128 a, l’ouvrage se termine par une souscription ainsi conçue : Cy finissent
s 62 premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’ouvrage se termine par cette souscription finale : Fin des fables d
e l’imprimerie d’A|mable Tauernier. 14º Édition de 1572. Pour terminer la nomenclature des éditions françaises, je n’ai
ions contemporaines et peut-être encore plus grossière. L’ouvrage est terminé par un épilogue dont Caxton est l’auteur. À la su
à 25 b. — Vie d’Ésope divisée en 28 épisodes, ornée de 28 gravures et terminée , vers le bas du fol. 25 b, col. 1, par ces mots :
dӡ register vā | den derden boeck. Suit la table du livre III qui se termine à la col. 2. Fol. 42 b, col 2. —  Hier beghint da
vā esopus. Fol. 42 b, col. 2 à 52 a, col. 1. — Fables du livre III, terminées par cette souscription : Hier eyndet dӡ derde bo
ianus. Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’Avianus, ornées de 27 gravures et terminées par la souscription et le titre qui suivent : Hi
s fabulæ collectæ, réduites au nombre de 14, ornées de 14 gravures et terminées par cette intéressante souscription finale : Hie
ur bois pareilles à celles des premières éditions allemandes. Elle se termine par cette souscription : Aqui se acaba la vida d
(g 5 rº). — Texte espagnol du livre II des fables de Romulus, qui est terminé par cette souscription : Aqui se acaba el segund
. Fol. 43 a (g. 5 rº) à 52 b (h 2vº). — Texte espagnol du livre III terminé par cette souscription : Aqui se acaba el tercer
o. Fol. 52 b (h 2 vº) à 61 b (A 5 vº). — Texte espagnol du livre IV terminé par cette souscription : Aqui se acaba el. iiij.
abulador. Fol. 117 a (K 5 rº) à 119 a (K 7 rº). — Registre et table terminés par ces mots : Aqui se acaba la tabula , au-dess
ida de Ysopo , etc. Fol. 1 b (a 1 vº) à 16 b (b 8 vº). — Vie d’Ésope, terminée par cette souscription : Aqui se acaba la vida d
rdinaire, elle a été disposée sur deux colonnes. La dernière fable se termine au milieu de la deuxième colonne du feuillet 107 
les du Miroir historial commencent en tête du recto du folio 38 et se terminent au bas du recto du folio 41. Elles sont au nombre
ngenium. Les fables des Miroirs historial et doctrinal sont en outre terminées par une sorte d’épilogue. Celui du second Miroir
erme, commencent au haut de la première col. du feuillet 284 rº et se terminent au milieu de la première col. du feuillet 286 rº.
nscrive ici. Je me contente de dire que ce manuscrit que le copiste a terminé , d’après sa propre déclaration, en 1350 et qui vi
es, signatures ni pagination. L’ouvrage qui embrasse 400 feuillets se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuille
pit primvs liber specvli moralis || [I] N omnibus operi. L’ouvrage se termine au verso de l’avant-dernier feuillet, qui n’a que
circonstance que la dernière colonne de l’avant-dernier feuillet est terminée par une souscription en 13 lignes, dont voici la
gne : Speculum historiale Vincentii Beluacensis fra. Le contenu se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuille
, la deuxième colonne du recto qui ne se compose que de 13 lignes, se termine par celle-ci : Explicit scd’a pars speculi histo
lio 3 : I. De cōtemporalitate. ix. regnorū. Le dernier feuillet est terminé à la deuxième colonne du verso par cette ligne :
t forma. Enfin, au verso du dernier feuillet, la première colonne se termine par cette souscription : Speculum Vincentij hist
t. Specvlvm. Historiale. Fra-||tris. Vincentii. Le premier volume se termine par cette souscription en lettres capitales : Ex
uatrième volume. Au verso du dernier feuillet, la deuxième colonne se termine par une souscription imprimée en lettres capitale
verso du dernier feuillet du troisième volume, la première colonne se termine par cette souscription en 10 vers suivis de la da
ssion et le nom de l’imprimeur sont exprimés dans trois distiques qui terminent le volume. En outre, la date est indiquée par cet
es, qui ne porte ni signatures, ni réclames, ni pagination, et qui se termine par les mots Speculum morale finit . M’abstenant
eculum historiale. L’ouvrage est précédé d’une table alphabétique, et terminé par cette souscription : Speculum historiale per
lit : Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii. L’ouvrage se termine par cette souscription : Anno incarnate deitatis
peculum doctrinale. C’est par le Speculum doctrinale que Koburger termina la publication du Speculum quadruplex. L’édition
peculum doctrinale Vincentii beluacensis Incipit , etc. L’ouvrage est terminé par la souscription suivante qui révèle le lieu d
nçant par le Speculum morale, il en fit, en 1493, un volume in-folio, terminé par ces mots : Opus preclarum quod speculum mora
aractères gothiques, composé de 255 feuillets signés et numérotés, et terminé par cette souscription : Operis preclari Speculi
aractères gothiques, composé de 423 feuillets signés et numérotés, et terminé par cette souscription : Opus preclarum Speculi
io en caractères gothiques avec signatures et feuillets numérotés, et terminée par cette souscription presque identique : Operi
ir sa grande entreprise achevée. Peu de temps avant qu’elle n’eût été terminée , la mort l’avait frappé. § 9. — Édition de Ve
en 1479 par Bartholomieu Buyer, et l’édition in-4º qui la renferme se termine par cette souscription : Imprime a Lyon sur le R
o du dernier feuillet les huit premiers livres du Miroir historial se terminent par cette souscription placée sur la deuxième col
arrive forcément au chiffre de 354. Le contenu du deuxième volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscripti
e, donne un total de 330 feuillets. Le contenu du troisième volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscripti
llets et 2 de 6 ; ce qui donne 276 feuillets. Le contenu du volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscripti
a 38 cahiers de 8 feuillets chacun. Le contenu du cinquième volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscripti
et numérotés. Les livres du Miroir historial qu’ils contiennent sont terminés par cette souscription : Cy finist le premier vo
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés eux-mêmes par cette souscription : Cy finist le.
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés par cette souscription : Cy finist le. xxiie. li
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés par cette souscription : Cy fine le xxviie liure
esopi cati , sont pourvues de titres également à l’encre rouge, et se terminent par cette souscription : Esopus explicit etc. Fi
ée ainsi exprimée par Morelli était basée sur la mention suivante qui terminait l’édition de 1481 : « Finit Esopus Mutine impress
assit nobis gratia. Amen, suivie de ce titre : Incipit Esopus , et se termine par les mots : Explicit Esopus , qui ont été écri
et enfin tout au bas ce nom d’éditeur : J. le forestier , et qui se terminait par cette souscription : Fabularum liber cum glo
les sont attribuées à un poète qui se serait nommé Garritus. Elles se terminent par ce vers que les moines du moyen âge aimaient
verso du feuillet 68. Les 60 premières seules y figurent. Elles sont terminées par ce mauvais distique, qui, comme tous ceux de
ore et Lupo. Elles sont suivies de ces mots : Deo gratias Amen , qui terminent le recto du seizième feuillet. Le verso de ce feu
iques, dont le premier paraît complet, à en juger par ces mots qui le terminent  : Explicit doctrina magistri Johannis Faceti, et
les qui sont le plus souvent ajoutées aux soixante premières. Elle se termine vers le bas du fol. 45 recto, et, comme dans les
ont accompagnées d’aucun commentaire marginal ni interlinéaire, et se terminent par cette phrase usuelle : Explicit liber Esopi,
ntitulées De Capone et Accipitre et De Lupo et Pastore. Les fables se terminent au verso du feuillet 20, sur lequel on lit : Exp
i in Policratico suo. Le distique Fine sui , etc., qui d’ordinaire termine la soixantième fable, est suivi de cet autre : P
cette souscription finale : Hactenus de vetusto codice. La copie se termine au milieu du recto du fol. 14. J. Manuscrit 14
commencent sans titre général au milieu du verso du feuillet 40 et se terminent au verso du feuillet 66. Elles sont au nombre de 
. La première partie du manuscrit consacrée aux fables de Walther se termine par l’épilogue suivant : c’est la substance de c
nerai de ces fables que j’en publierai le texte. Le manuscrit 1594 se termine par un épilogue, qui commence au milieu du recto
ivies d’un épilogue en vers français, qui commence au fol. 35 b et se termine au fol. 36 a. Cet épilogue se compose seulement d
Ly livres fait chier a tenir Sy convient Esopet fenir. L’épilogue se termine par le mot Amen , au-dessous duquel se lit cette
rgogne n’y ont pas été ajoutés. La collection des fables d’Avianus se termine au feuillet 131 b par ces mots : Explicit les fa
mpli par les trois séries de fables que je viens d’analyser. Elles se terminent au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas
e La Fontaine s’y rattache. Sans vouloir entreprendre cette tâche, je terminerai mon étude sur les manuscrits parisiens du fabulis
me. 43. De la bataille des loups contre les brebis. Ces 43 fables se terminent au feuillet 101 b par le mot Explicit . 3º M
nt des fables, dont chacune a le sien écrit à l’encre rouge. Elles se terminent au bas du recto du vingtième feuillet. À la suite
dernières fables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire. Elles se terminent , d’après la pagination, au recto du feuillet 97 e
x feuillets. Ces fragments comprennent : 1º Ce distique par lequel se termine le préambule : Verborum leuitas morum fert pondu
rs ouvrages. Les fables de Walther commencent au feuillet 105 b et se terminent au feuillet 123 b. Elles ne sont qu’au nombre de
Elles ne sont précédées d’aucun titre général, mais sont en revanche terminées par cette souscription hexamétrique : Finito lib
précieux par cette version peu connue, commence par un prologue et se termine par une fable intitulée (en roman) Dou chevalier
ide. Les douze vers latins, dont cette première fable se compose, se terminent au commencement du fol. 2 a. Fol. 2 a. — Miniatur
. Fol. 2 b. —  De Lupo et Agno. Les 16 vers de cette fable latine se terminent au commencement du feuillet 3 a. Fol. 3 a, 3 b, 4
Entre lo lou et laignelat, et, au verso du quatrième feuillet, se terminent par ce dernier : Auuec genz que de deu non cure.
ses pièces que le Catalogue analyse en ces termes : « Les prières qui terminent le volume occupent six feuillets. La première, co
es fables, sont comptés comme tels. Les fables et leur commentaire se terminent , au milieu du recto du feuillet 76, non par la da
ate par ce titre : Exorcismus salis et aque contra maleficia , et se termine au haut du feuillet 78 a par cette souscription :
appendice que j’ajouterai aux soixante fables de Walther. Le tout est terminé par cet hexamètre léonin : Explicit Esopus ; pec
lacum fluentem. Il en est ainsi jusqu’à la fin de l’ouvrage, qui se termine par cette souscription : Explicit liber iste fer
le onzième dans celles de Walther, qui, partant du feuillet 99 a, se terminent au milieu du feuillet 110 b. Devant analyser aill
ques qui montrent la veuve brisant les dents de son défunt mari et se termine par ces trois vers : Quos coluit uiuos nescit ui
s feuillets 205 à 219, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent par les mots Finis Esopi . C. Manuscrit 609.
er exempla ; deinde eumdem librum metrice composuit. » Les fables se terminent , au verso du feuillet 64, par ce distique qui se
ace nécessaire à la fable latine. Malheureusement il n’a pas non plus terminé la copie de l’œuvre allemande, de sorte qu’à la s
le cinquième, celles de Walther qui commencent au feuillet 68 a et se terminent au feuillet 123 b. Ces dernières sont accompagnée
strer les fables. Il ne comprend que les 60 fables authentiques et se termine par le mot Finis . C. Manuscrit Harl. 2745.
effet laissé en blanc par le copiste. Mais à la fin des fables qui se terminent au bas du recto du feuillet 18, il a écrit : Exp
imées de la traduction d’Accio Zuccho, il y a soixante-quatre fables, terminées par une Canzona. Le verso du feuillet 56 est remp
ntibus et Lepore , et très certainement étrangère à Walther. Elles se terminent au feuillet 25 b et sont suivies de cette mention
abularum Esopi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’épilogue terminé par ce dernier vers du Livre II des Géorgiques :
lla. Immédiatement après a été écrite cette intéressante mention qui termine le manuscrit : « Vita Esopi et fabule per Rimiciu
u feuillet 2 a sans titre, ne sont pourvues d’aucun commentaire et se terminent au recto du fol. 18 par ces mots usuels : Explic
ert n’avait pas pu entièrement déchiffrer. Les fables de Walther sont terminées par cette souscription : C’est la substance de c
ts qu’on trouvera aux pages 480 et 482 de ce volume. Les 60 fables se terminent par cette souscription à l’encre rouge : Explici
es fables de Walther qui commencent au feuillet 116 b du volume et se terminent au feuillet 136 b. Elles sont au nombre de soixan
e le temps a malheureusement effacée. Les fables, au nombre de 62, se terminent par ces mots : Explicit liber exopi : Deo gratia
s viennent les fables de Walther, qui commencent au feuillet 32 et se terminent par les mots : Explicit liber Isopi. 6º Bi
récédés de la dédicace à son fils, commencent au feuillet i a et sont terminés au bas du feuillet xi b par cet hexamètre usuel :
. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’Avianus, qui se terminent vers le haut du feuillet xxiii a. Immédiatement a
rencontre quelquefois à la fin des manuscrits de Walther. Le tout est terminé par cette souscription : Explicit Esopus. Deo gr
e titres particuliers, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent vers le haut de la troisième colonne du feuillet 
ne sont chargées d’aucune glose ni marginale, ni interlinéaire, et se terminent au recto du feuillet 190. La fin en est indiquée
 feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets blancs, qui le terminent et dont le second a été ajouté par le relieur. A
par ce vers : Hæc Augustini ex sacris epigrammata dictis. Elles se terminent au recto du feuillet 25 par ce pentamètre :     
au commencement ont été pourvues de titres à l’encre rouge. Elles se terminent au verso du feuillet 41 par cette souscription :
Jesu d. Ignatii, Pollentini. Au feuillet 23 b l’œuvre de Walther se termine par cette souscription : Bononie G. Monet. Scrip
sont complètes. Ces 19 fables occupent 12 feuillets. La dernière se termine au milieu du recto du douzième feuillet. Le reste
pourvues de titres à l’encre rouge, et la soixantième et dernière est terminée au milieu du recto du feuillet xxxiv, non seuleme
u accréditée. Les fables occupent les feuillets 24 a à 57 a. Elles se terminent par cette première souscription : Amen , suivie
double emploi, accompagnée du texte auquel elle se rapporte. Elle se termine au milieu de la seconde colonne du feuillet 68 b
es. Elles sont pourvues de titres particuliers à l’encre rouge, et se terminent vers le bas du feuillet 16 b par ces mots usuels 
, sont précédées chacune d’un titre particulier à l’encre rouge et se terminent par cette souscription : Explicit liber Esopi.
rs hexamètres, commence, sans titre, au haut du feuillet 1 a, mais se termine , au bas du feuillet 6 a, par cette souscription q
ble xlviii ne comprend que trente vers. La soixante-deuxième fable se termine au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement s
Pastore et Lupo. Elles sont revêtues de titres à l’encre rouge et se terminent au bas du verso du feuillet 76 par cette souscrip
 Cui suadere volens vir suus inquit ei. Cette dernière fable, qui se termine au verso du feuillet xvie , est close par le mot
let qui ne porte que le distique final : Fine fruor , etc., elles se terminent par cette souscription : Deo gratias. Amen.
Esopi , pourvues de titres particuliers également à l’encre rouge et terminées par cette souscription : Explicit liber Esopi. D
titulées : De Capone et Domino et : De Pastore et Lupo. Elles se terminent a la huitième ligne du verso du dix-neuvième feui
ontrent lui arrachant les cheveux. La fable lxi De Pastore et Lupo se termine au recto du feuillet 22. Pour en remplir le verso
Æsopus moralisatus cum bono commento et glossa interlineari , et se termine par cette souscription : Impressus in nobili Arg
nnues, l’une sous le nº 295 et l’autre sous le nº 296. La première se termine par ces mots : Explect9 Esop9 ꝑ dominicū de uiua
le auteur des fables de Walther. Intitulée : Esopi fabulae , elle se termine ainsi : Finit Esopus Mutine impressus impensa et
un double portrait d’Ésope sur les deux faces du premier feuillet, et terminée , au verso du dernier, par une gravure qui le reco
ipitre et Capone, De Lupo et Pastore et De Pueris ludentibus. Elle se termine par ces mots : Impressum Brixie (Brescia) per Bo
r fabularum Esopi. Elles sont au nombre de soixante seulement et se terminent au recto du feuillet F ii, c’est-à-dire à la page
émontre une fois de plus qu’elles en sont bien dérivées. L’édition se termine par cette souscription qui en précise la date :
mencent par ce titre : Incipit liber fabularum Esopi. Le volume se termine par cette souscription : Auctores octo opusculor
ieu, et le quatrième, un lion avec le nom de saint Marc. L’édition se termine par ces mots : Impressus Dauentrie per me Jacobu
nscrire la souscription par laquelle au verso du feuillet d viii b se termine le volume : Opera et impensa Francisci Ugoleli E
néaire communs à la plupart des petites éditions classiques. Elles se terminent au bas du feuillet 44 a, sans indication de lieu
recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il contient sont terminés par cette souscription générale : Finis. — Excud
dulci.       Si bene perpendis, noster hic autor agit. Les fables se terminent au recto du feuillet H viij (fol. 64 a). 1547
n, à la fin de la soixantième fable, du distique qui ordinairement la termine . Immédiatement après les fables, accompagnés comm
undine ; De Coco et Cane cor rapiente ; de Avibus et Pavone. Elles se terminent au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une tab
à 95. Puis vient le texte de Walther qui, commençant à la page 96, se termine à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de
ose italienne qu’il possède sont contenues dans douze feuillets et se terminent au recto du douzième. Ce sont celles qui ont été
novelle si vuole maggiormente dilettare l’animo del leggitore. Il se termine par ces mots : e in vile et aspro vasello si nas
e pastore colui che parla ciò che egli à in cuore. Amen. Le tout se termine au feuillet 62. Les deux derniers sont blancs. Le
s en langue vulgaire qu’il renferme commencent au feuillet 30 a et se terminent au feuillet 48 b. Il leur a été donné un titre gé
et del Granchio  ; elle n’existe dans aucun autre manuscrit. Elle se termine au feuillet 74 b. Telle est la première pièce du
78. Dans ce manuscrit, la fin des fables est ainsi annoncée : Qui si termina lo pocciolo Ysopacto, et sempre sia Dio laudato e
ion Manni. Les fables sont suivies du Libro di Cato, qui lui-même est terminé par cette souscription : Finito el libro di Cato
una stagione chon grande sollecitudine chauando , etc. Les fables se terminent au bas du recto du feuillet 59 par cette souscrip
ras||lacione de Esopo de gramaticha || in volgare. Cette préface est terminée par ces mots : Compie el prologo dello traslator
st précédée de l’épimythion latin de la fable traduite. Les fables se terminent au verso du feuillet 81. Elles sont suivies d’un
ce titre : Qui comenza le dodexe fatige de Hercule , etc., et qui se termine au recto du feuillet 97 par cette souscription :
.LXXVIIII. Au verso du même feuillet commence une Concionetta qui se termine au milieu du recto du feuillet suivant. Puis immé
, sont au nombre de 64. La soixantième, qui porte le nº 62, n’est pas terminée par le distique Fine fruor, etc. Les fables 61 à 
et, on ne doit pas oublier qu’à Venise, à cette époque, l’année ne se terminait que le 1er mars. Panzer, Annal. typ., t. III, p. 
st une gravure qui occupe le reste de la page. Cette édition in-12 se termine au verso du dernier feuillet par cette souscripti
l s’ensuit que le volume se compose de quatre-vingts feuillets. Il se termine par une pièce de vers italiens, intitulée : Epil
o ; De Mercatore et ejus Uxore et : De Rustico et Plutone. Elles sont terminées par cette souscription : « Francisci Tuppi Parthe
e aussi grande que la page. Fol. 43 a (f. iii a). — La vie d’Ésope se termine au recto du feuillet 41 par cette souscription :
irmatio, 3º Epilogus. Fol. 166 b (y. iiiiii b). — Le tout est ensuite terminé par la souscription suivante : « Francisci de Tup
Dictus erat Nequam, vitam duxit tamen æquam. Cette épitaphe, qui se terminait par un mauvais jeu de mots, me semble un peu susp
par les mots Aesopi fabulae, commencent à la fin du fol. 110 a et se terminent au fol. 118 b. Il y en a quarante-deux ; la colle
nc complète. Elle est précédée de ce titre : Hic incipit Esopus , et terminée par cette phrase finale : Expliciunt fabule Ysop
composé. 1º Première traduction. L’auteur en est inconnu. Il l’a terminée par un épilogue, où il déclare qu’il n’a été que
L’épilogue lui-même, vers le bas de la 1re col. du feuillet 184 a, se termine par ces mots : Requies sit eis. Amen. B. Ma
i commencent sans dédicace préalable au recto du feuillet 7 et qui se terminent au verso du feuillet 23. Il ne porte que ce simpl
ue des fables des trois manuscrits de Vienne et de Berlin. Je vais terminer l’étude du Romulus de Vienne et de ses deux Dériv
co in latinum ad Tyberium filium suum de civitate Attica, et elles se terminent au milieu du verso du feuillet 20, où l’épilogue
um hystoria || que in greco a Darete hystoriographo facta est , et se termine au milieu du recto du vingtième feuillet par cett
its et qui me semble avoir été une addition du copiste. Les fables se terminent par le mot Amen en tête du recto du feuillet 40
itre ainsi conçu : Incipit liber fabularum Esopi Atheniensis , et se termine par cette souscription : Explicit liber Esopi.
après celles de ce dernier. Enfin, du nº 113 au nº 136, le Dérivé se termine par vingt-quatre autres fables que les manuscrits
ables, composées en vers de huit syllabes, précédées d’un prologue et terminées par un épilogue. Le prologue, qui est une sorte d
ent trois fables, que dans tous les cas il faut attribuer à Marie, se terminent par un épilogue de vingt-deux vers, que, pour ne
a Bibliothèque nationale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers et se termine par ces deux derniers, que M. de Roquefort a cru
illets. Ainsi les fables de Marie commencent au feuillet 198 rº et se terminent au feuillet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles
prologue ordinaire en quarante vers, se succèdent sans titres et sont terminées par l’épilogue ordinaire, auquel toutefois manque
ure. Les fables de Marie commencent en tête du feuillet 159 a et se terminent au milieu de la deuxième colonne du feuillet 186 
au Chevalier. Les fables de Marie commencent au feuillet 58 a et se terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordin
t 15 a par ce titre à l’encre rouge : Ci commences de Ysopes , et se terminent au haut de la deuxième colonne du feuillet 24 b p
issant l’ourse. Les fables, qui ne sont pas suivies de l’épilogue, se terminent par la souscription Explicit Esopes , écrite en
prologue en 40 vers à la première colonne du feuillet 55 b et qui se terminent par l’épilogue en 22 vers au bas de la première c
st appelé le royal auteur de la traduction anglaise. La collection se termine par cette souscription : Explicit Ysopes. K
nt les suivants : 22, 24 à 25, 46 à 48, 57 à 65 et 72 à 103. Elles se terminent au bas de la première colonne du feuillet 49 a pa
ne portent pas de titres, sont pourvues de l’épilogue ordinaire et se terminent au milieu du feuillet 273 rº, col. 1 ; il s’ensui
e prologue en 40 vers, ne sont pas pourvues de titres spéciaux, et se terminent au milieu de la première colonne du feuillet 67 b
par ce titre : Incipit Prologus in libro de natura rerum , et qui se termine au milieu de la première colonne du feuillet 157 
es vingt-deux fables du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin, qui se terminent vers le bas de la deuxième colonne du verso du de
ce titre : Incipit p̱log9 sup̱ libm de naturis rer/. L’ouvrage se termine à la septième ligne de la première colonne du feu
 ;       Uti sic scuto non scelus esse puto. Enfin la collection se termine au haut du feuillet 57 a par la moralité d’une de
s, sed parvula Vulpes       Plenius angusta sub brevitate sapit. Je termine cette analyse par une dernière observation : par
énéral ; mais les fables y sont pourvues de titres particuliers et se terminent au bas d’une page par cette souscription : Expli
e titre : Incipit Registrum Esopi in librum faubularum (sic), et se termine par cette souscription : Explicit registrum fabu
m Auiani , et qui, au bas de la deuxième colonne du feuillet 37 a, se termine par cette souscription : Explicit registrum fabu
  Verba solent, odium lingua fidemque parare (sic). Les fables sont terminées par cette souscription : Explicit liber fabularu
n qu’il contient commence à la première colonne du feuillet 1 a et se termine à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute
ianus. Elles commencent à la première colonne du feuillet 26 a et se terminent à la deuxième du feuillet 28 b. Depuis la publica
rance dont il a donné la preuve fait peu regretter qu’il ne l’ait pas terminée  ; car, si le manuscrit du British Museum est défe
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57
meubles pièce à pièce. Quand il eut tout emporté, la cure aussi étant terminée , il réclama le salaire convenu. La vieille se ref
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
it faire de veritable avec un Vicieux, et par consequent on n’en aura terminé qu’une fausse, qui n’est pas une action meschante
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
e alteration, que nous voulons signifier par ce mot de fiévre, qui se terminera par une migraine, par quelque douleur particulier
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
expressément l’importance du bon conseil, lors qu’estant question de terminer quelque haute affaire, ou de sortir d’un grand pe
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