t que dura son mal il n’eut autre discours. Enfin se sentant prest de
terminer
ses jours, Mes chers enfans, dit-il, je vais où s
Lf 22 Lh 12 Me 34 Mf 31 Mg 34 Mj 32. Un laboureur, sur le point de
terminer
sa vie, voulut que ses enfants acquissent de l’ex
un jour l’occasion vint où la mule se vit forcée de courir. La course
terminée
, elle se renfrogna et se souvint soudain de son p
Gude fait observer que les noms grecs, qui ont la même désinence, se
terminent
en er dans la langue latine. C’est ainsi que des
collège de Roncourt, qui était alors en vogue. Ses études classiques
terminées
, il avait résolu de lui faire embrasser la carriè
s maintenant à l’éditeur lui-même. « Dès que l’Édition de Phèdre fut
terminée
, dit Grosley, M. Pithou, qui l’avoit fait faire à
paraître sur cette publication une notice justement élogieuse, qui se
terminait
ainsi : « Cette édition préparée, disposée, exécu
quantité de parchemin qu’il supposait nécessaire. Quand ensuite il le
termina
, il se trouva une feuille de trop, qui plus tard
thou et qui contenait le même nombre de fables dans le même ordre, se
terminait
par ces mots : Phædri Augusti liberti Liber qui
t à la deuxième partie du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se
termine
cette deuxième partie. Remarquant à la fin de la
la seconde, étaient sur la même ligne que les mots Mutatus statim qui
terminaient
la première. Enfin, comme dans le manuscrit de Pi
mmencement de la première fable la fin de la suivante. Enfin, pour en
terminer
avec tous ces points de ressemblance, j’ajoute qu
première. J’ai expliqué que dans l’un et dans l’autre la ligne ne se
terminait
pas à la fin de chaque vers, et que chaque vers n
edi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip. feliciter. La première page se
termine
par ce vers de la fable Cervus ad fontem : Utili
fables. En y regardant d’un peu plus près, il aurait vu que, s’il se
terminait
à la xxie , il ne commençait pas à la première, q
’était permis de rester à la bibliothèque que jusqu’à midi, je ne pus
terminer
mon travail le même jour, et je dus pour l’acheve
IV, il y en a une qui saute aux yeux : le prologue du livre V, qui se
termine
par ce vers : Sed jam ad Fabellam talis exempli
d’histoire naturelle » sans intérêt. Il ne s’aperçoit pas qu’elle se
termine
par cette conclusion morale qui ne manque pas de
que plusieurs vers lui ont paru calqués trop exactement sur ceux qui
terminent
l’ancienne fable de Simonide préservé par les Die
rs vers de la fable Leo regnans, qui, dans le manuscrit de Pithou, se
terminent
au milieu d’une ligne achevée par le premier des
37, 38, 39, 40, 43, 44, 51, 52, 53, 56, 58, 59, 60, 61, 65 et 67. Je
termine
ici ce premier aperçu des Fabulæ antiquæ. Pour mi
aul, auteur de l’hymne à saint Jean plus connue encore290. La page se
termine
par quelques maximes des sept Sages, en partie fo
et qui semble être de la main d’Adémar, occupe tout le quaterne et se
termine
au verso du fol. xxix. C’est sans doute sur elle
L’écriture ne paraît pas être d’Adémar. L’ouvrage est entier ; il se
termine
au recto du fol. cvi. Fol. cvi b. — Page blanche.
quam etiam secularis philosofie inlustrarunt disciplinis , etc. Il se
termine
par ces mots : Theodorus monachus et abbas Adria
m salutem. Etsi te studio grammaticæ artis inductum , etc. L’œuvre se
termine
au bas du recto du feuillet clxxxviii par la sous
sequuntur ex Plinio excerpta, Libro II, Cap. xv, xvi. Cet extrait se
termine
au haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces
accompagné des noms des abbés de Saint-Martial écrits en marge, et se
termine
au fol. cxciv a. Fol. cxciv b. — Liste des noms d
rchemin s’est encrassé et les lettres se sont effacées. Les fables se
terminent
au fol. cciii b vers le milieu de la page. Fol. c
38ª à 144ª et le recto du feuillet 187.) Dans ma première édition, je
terminais
cette analyse en exprimant le regret que M. Rober
s, qui n’ont ici aucun intérêt et que je m’abstiens de reproduire. Il
termine
sa lettre, en expliquant que, si Lessing a gardé
tani prognostica futuri seculi. Fol. 59 b. — Fin du premier ouvrage
terminé
par cette souscription en capitales à l’encre rou
a ajouté celui-ci : Scholia in canticum canticorum. Ces scholies se
terminent
au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre su
e est tout entière occupée par le prologue transcrit par Tross. Il se
termine
à la première ligne du verso du même feuillet. La
t capitula de marinis belluis. Fol. 120 b. — Fin du deuxième livre,
terminé
au milieu de la page par ces mots à l’encre rouge
u moment où ce même Nicolas V l’était devenu, elle n’était pas encore
terminée
, et qu’elle n’avait été achevée qu’après des reta
bles de Romulus commencent en tête du verso du premier feuillet et se
terminent
au verso du sixième, au bas de la première colonn
r, et, au bout de trois jours, le dimanche 13 juillet, ma copie était
terminée
. Le manuscrit forme un volume in-fol. de petit fo
une mention, qu’il avait signée et dont voici la traduction : « J’ai
terminé
la copie de ces fables d’Ésope le 30 juin 1495, l
rologus piscium (23 chap.). » — Fol. 71. « Prologus arborum (29 chap.
terminés
par ces mots : scriptura scribe in buxo). » Fol.
symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier livre est
terminé
par une sorte d’avis ainsi formulé : Finit quart
filio. xvi. De Milite, vulpe et armigero. xvii. Ces fables se
terminent
par cette observation : Finite sunt extrauagante
s sont ornées de gravures, accompagnées d’une traduction allemande et
terminées
par la mention suivante : Finis fabularum Esopi
s d’une table alphabétique générale en allemand (fol. 273 a à 278 b),
terminée
par ces mots : Geendet säliglich von Johanne Zei
um Tituli sancti Chrisogoni presbiterum Cardinalem. La vie d’Ésope se
termine
au recto du feuillet 25. Puis viennent les fables
bula prima de Vulpe et vua. Fol. 65ª à 73ª (i.iª à k.iª). Livre IV,
terminé
par cette souscription : Finit, quartus Esopi ne
lieu du texte de la fable v. Fol. 67 a (k. iii a). — Fin du livre IV,
terminé
par cette souscription : Finit quartus Esopi nec
us, qui au nombre de vingt-sept occupent les feuillets suivants et se
terminent
au fol. 100, sont accompagnées de 27 gravures pla
me un grand nombre de gravures sur bois appropriées aux fables. Il se
termine
au bas du feuillet 82 a par la souscription suiva
laradas por aplasibles exemptos. Les fables qui viennent après, se
terminent
au bas du recto du dernier feuillet par cette sou
itre qui la précède. Fol. 60 b à 67 a. — Fables du livre IV. Elles se
terminent
au haut du recto du fol. 67 a (k. iii a) par cett
turarum, que Gérard Leeu avait imprimé sans réclames ni signatures et
terminé
à Gouda le 31 août 1482. J’avais été accidentelle
ur Henri Steinhöwel, etc. » Fol. 34 a, ligne 13. — La vie d’Ésope se
termine
par ces mots : tod auch vergan. Puis on lit ce
ement : des fables réunies). » Fol. 153 b, portant le nº cxix. Là se
terminent
les diverses collections de fables. Fol. 154 a à
jeune Guiscard. » Tel est le contenu du volume, dont les matières se
terminent
, sans souscription, à la ligne 23 du feuillet 167
mitlauffenden alten fabeln , ou « vieilles fables courantes », qui se
terminent
au folio 109 (72) b. Fol. 110 (73) a. — Hye vahe
ptique des points communs dans la matière du livre. » Cette table se
termine
au folio 170 a. C. Édition sans date (Hain 334
re. » Fol. 112 a à 115 a. — La table qui remplit ces feuillets n’est
terminée
par aucune mention finale. D. Édition de 1483.
geburt MCCCC vnd in dem Lxxxiii Jar. Ce qui signifie : « Imprimé et
terminé
dans la très glorieuse et impériale ville d’Augsb
te dans le format in-folio et illustrée de gravures sur bois. Elle se
termine
par ces mots : Esopus der hochberümbt fabeldicht
uliste, avec addition de quelques fables de Rimicius et d’Avianus, se
termine
ici. Imprimé et achevé dans la ville impériale d’
bst Nach Cristi gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français : « Imprimé et
terminé
dans la ville impériale d’Augsbourg par Jean Scho
te avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus. Imprimé et
terminé
dans ta ville impériale d’Augsbourg par Hannsen S
abeln Aniani. — Die Erste Fabel Adelfonsi. Puis viennent 24 fables
terminées
au fol. 203 b par cette souscription : Ende der
t La dixhuytiesme hystoire. Elle est ornée de 23 gravures sur bois et
terminée
par cette souscription : Cy finist la vie de eso
ucune table, qui comme le précédent contient douze gravures et qui se
termine
par cette souscription : Cy finist le quart liur
e fables attribuées à Alphonse, accompagnées chacune d’une gravure et
terminées
par ce double avis : Cy finissent les fable (sic
des signatures de a—o iiij, par cahiers de 8 et 6 ff. » Le volume se
termine
par la souscription suivante, qui se trouve au ve
oupe qui, dans l’édition d’Ulm, en renferme vingt-trois. Le volume se
termine
par cette souscription : Cy finissent les subti
, et de poge florentin, auec plusieurs beaulx dits mouraulx. Elle se
termine
par cette souscription : Ci finissent les fables
les Fables de Auian. Delfonce (sic). Et de Poge florentin , et qui se
termine
par cette souscription : Imprimees a Paris par l
veufue de feu Barnabe Chaussard : près nostre-dame de Confort. Il se
termine
par cette souscription : Cy finissent les subtil
auecque les Fables de Auian, de Alphonce et de Poge florentin , et se
termine
par ces mots : Imprime à Paris par Alain Lotrian
re Bonte, en la | rue de Chambre. 1532. Au fol. 128 a, l’ouvrage se
termine
par une souscription ainsi conçue : Cy finissent
s 62 premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’ouvrage se
termine
par cette souscription finale : Fin des fables d
e l’imprimerie d’A|mable Tauernier. 14º Édition de 1572. Pour
terminer
la nomenclature des éditions françaises, je n’ai
ions contemporaines et peut-être encore plus grossière. L’ouvrage est
terminé
par un épilogue dont Caxton est l’auteur. À la su
à 25 b. — Vie d’Ésope divisée en 28 épisodes, ornée de 28 gravures et
terminée
, vers le bas du fol. 25 b, col. 1, par ces mots :
dӡ register vā | den derden boeck. Suit la table du livre III qui se
termine
à la col. 2. Fol. 42 b, col 2. — Hier beghint da
vā esopus. Fol. 42 b, col. 2 à 52 a, col. 1. — Fables du livre III,
terminées
par cette souscription : Hier eyndet dӡ derde bo
ianus. Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’Avianus, ornées de 27 gravures et
terminées
par la souscription et le titre qui suivent : Hi
s fabulæ collectæ, réduites au nombre de 14, ornées de 14 gravures et
terminées
par cette intéressante souscription finale : Hie
ur bois pareilles à celles des premières éditions allemandes. Elle se
termine
par cette souscription : Aqui se acaba la vida d
(g 5 rº). — Texte espagnol du livre II des fables de Romulus, qui est
terminé
par cette souscription : Aqui se acaba el segund
. Fol. 43 a (g. 5 rº) à 52 b (h 2vº). — Texte espagnol du livre III
terminé
par cette souscription : Aqui se acaba el tercer
o. Fol. 52 b (h 2 vº) à 61 b (A 5 vº). — Texte espagnol du livre IV
terminé
par cette souscription : Aqui se acaba el. iiij.
abulador. Fol. 117 a (K 5 rº) à 119 a (K 7 rº). — Registre et table
terminés
par ces mots : Aqui se acaba la tabula , au-dess
ida de Ysopo , etc. Fol. 1 b (a 1 vº) à 16 b (b 8 vº). — Vie d’Ésope,
terminée
par cette souscription : Aqui se acaba la vida d
rdinaire, elle a été disposée sur deux colonnes. La dernière fable se
termine
au milieu de la deuxième colonne du feuillet 107
les du Miroir historial commencent en tête du recto du folio 38 et se
terminent
au bas du recto du folio 41. Elles sont au nombre
ngenium. Les fables des Miroirs historial et doctrinal sont en outre
terminées
par une sorte d’épilogue. Celui du second Miroir
erme, commencent au haut de la première col. du feuillet 284 rº et se
terminent
au milieu de la première col. du feuillet 286 rº.
nscrive ici. Je me contente de dire que ce manuscrit que le copiste a
terminé
, d’après sa propre déclaration, en 1350 et qui vi
es, signatures ni pagination. L’ouvrage qui embrasse 400 feuillets se
termine
à la deuxième colonne du recto du dernier feuille
pit primvs liber specvli moralis || [I] N omnibus operi. L’ouvrage se
termine
au verso de l’avant-dernier feuillet, qui n’a que
circonstance que la dernière colonne de l’avant-dernier feuillet est
terminée
par une souscription en 13 lignes, dont voici la
gne : Speculum historiale Vincentii Beluacensis fra. Le contenu se
termine
à la deuxième colonne du recto du dernier feuille
, la deuxième colonne du recto qui ne se compose que de 13 lignes, se
termine
par celle-ci : Explicit scd’a pars speculi histo
lio 3 : I. De cōtemporalitate. ix. regnorū. Le dernier feuillet est
terminé
à la deuxième colonne du verso par cette ligne :
t forma. Enfin, au verso du dernier feuillet, la première colonne se
termine
par cette souscription : Speculum Vincentij hist
t. Specvlvm. Historiale. Fra-||tris. Vincentii. Le premier volume se
termine
par cette souscription en lettres capitales : Ex
uatrième volume. Au verso du dernier feuillet, la deuxième colonne se
termine
par une souscription imprimée en lettres capitale
verso du dernier feuillet du troisième volume, la première colonne se
termine
par cette souscription en 10 vers suivis de la da
ssion et le nom de l’imprimeur sont exprimés dans trois distiques qui
terminent
le volume. En outre, la date est indiquée par cet
es, qui ne porte ni signatures, ni réclames, ni pagination, et qui se
termine
par les mots Speculum morale finit . M’abstenant
eculum historiale. L’ouvrage est précédé d’une table alphabétique, et
terminé
par cette souscription : Speculum historiale per
lit : Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii. L’ouvrage se
termine
par cette souscription : Anno incarnate deitatis
peculum doctrinale. C’est par le Speculum doctrinale que Koburger
termina
la publication du Speculum quadruplex. L’édition
peculum doctrinale Vincentii beluacensis Incipit , etc. L’ouvrage est
terminé
par la souscription suivante qui révèle le lieu d
nçant par le Speculum morale, il en fit, en 1493, un volume in-folio,
terminé
par ces mots : Opus preclarum quod speculum mora
aractères gothiques, composé de 255 feuillets signés et numérotés, et
terminé
par cette souscription : Operis preclari Speculi
aractères gothiques, composé de 423 feuillets signés et numérotés, et
terminé
par cette souscription : Opus preclarum Speculi
io en caractères gothiques avec signatures et feuillets numérotés, et
terminée
par cette souscription presque identique : Operi
ir sa grande entreprise achevée. Peu de temps avant qu’elle n’eût été
terminée
, la mort l’avait frappé. § 9. — Édition de Ve
en 1479 par Bartholomieu Buyer, et l’édition in-4º qui la renferme se
termine
par cette souscription : Imprime a Lyon sur le R
o du dernier feuillet les huit premiers livres du Miroir historial se
terminent
par cette souscription placée sur la deuxième col
arrive forcément au chiffre de 354. Le contenu du deuxième volume se
termine
au verso du dernier feuillet par cette souscripti
e, donne un total de 330 feuillets. Le contenu du troisième volume se
termine
au verso du dernier feuillet par cette souscripti
llets et 2 de 6 ; ce qui donne 276 feuillets. Le contenu du volume se
termine
au recto du dernier feuillet par cette souscripti
a 38 cahiers de 8 feuillets chacun. Le contenu du cinquième volume se
termine
au recto du dernier feuillet par cette souscripti
et numérotés. Les livres du Miroir historial qu’ils contiennent sont
terminés
par cette souscription : Cy finist le premier vo
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial
terminés
eux-mêmes par cette souscription : Cy finist le.
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial
terminés
par cette souscription : Cy finist le. xxiie. li
ts signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial
terminés
par cette souscription : Cy fine le xxviie liure
esopi cati , sont pourvues de titres également à l’encre rouge, et se
terminent
par cette souscription : Esopus explicit etc. Fi
ée ainsi exprimée par Morelli était basée sur la mention suivante qui
terminait
l’édition de 1481 : « Finit Esopus Mutine impress
assit nobis gratia. Amen, suivie de ce titre : Incipit Esopus , et se
termine
par les mots : Explicit Esopus , qui ont été écri
et enfin tout au bas ce nom d’éditeur : J. le forestier , et qui se
terminait
par cette souscription : Fabularum liber cum glo
les sont attribuées à un poète qui se serait nommé Garritus. Elles se
terminent
par ce vers que les moines du moyen âge aimaient
verso du feuillet 68. Les 60 premières seules y figurent. Elles sont
terminées
par ce mauvais distique, qui, comme tous ceux de
ore et Lupo. Elles sont suivies de ces mots : Deo gratias Amen , qui
terminent
le recto du seizième feuillet. Le verso de ce feu
iques, dont le premier paraît complet, à en juger par ces mots qui le
terminent
: Explicit doctrina magistri Johannis Faceti, et
les qui sont le plus souvent ajoutées aux soixante premières. Elle se
termine
vers le bas du fol. 45 recto, et, comme dans les
ont accompagnées d’aucun commentaire marginal ni interlinéaire, et se
terminent
par cette phrase usuelle : Explicit liber Esopi,
ntitulées De Capone et Accipitre et De Lupo et Pastore. Les fables se
terminent
au verso du feuillet 20, sur lequel on lit : Exp
i in Policratico suo. Le distique Fine sui , etc., qui d’ordinaire
termine
la soixantième fable, est suivi de cet autre : P
cette souscription finale : Hactenus de vetusto codice. La copie se
termine
au milieu du recto du fol. 14. J. Manuscrit 14
commencent sans titre général au milieu du verso du feuillet 40 et se
terminent
au verso du feuillet 66. Elles sont au nombre de
. La première partie du manuscrit consacrée aux fables de Walther se
termine
par l’épilogue suivant : c’est la substance de c
nerai de ces fables que j’en publierai le texte. Le manuscrit 1594 se
termine
par un épilogue, qui commence au milieu du recto
ivies d’un épilogue en vers français, qui commence au fol. 35 b et se
termine
au fol. 36 a. Cet épilogue se compose seulement d
Ly livres fait chier a tenir Sy convient Esopet fenir. L’épilogue se
termine
par le mot Amen , au-dessous duquel se lit cette
rgogne n’y ont pas été ajoutés. La collection des fables d’Avianus se
termine
au feuillet 131 b par ces mots : Explicit les fa
mpli par les trois séries de fables que je viens d’analyser. Elles se
terminent
au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas
e La Fontaine s’y rattache. Sans vouloir entreprendre cette tâche, je
terminerai
mon étude sur les manuscrits parisiens du fabulis
me. 43. De la bataille des loups contre les brebis. Ces 43 fables se
terminent
au feuillet 101 b par le mot Explicit . 3º M
nt des fables, dont chacune a le sien écrit à l’encre rouge. Elles se
terminent
au bas du recto du vingtième feuillet. À la suite
dernières fables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire. Elles se
terminent
, d’après la pagination, au recto du feuillet 97 e
x feuillets. Ces fragments comprennent : 1º Ce distique par lequel se
termine
le préambule : Verborum leuitas morum fert pondu
rs ouvrages. Les fables de Walther commencent au feuillet 105 b et se
terminent
au feuillet 123 b. Elles ne sont qu’au nombre de
Elles ne sont précédées d’aucun titre général, mais sont en revanche
terminées
par cette souscription hexamétrique : Finito lib
précieux par cette version peu connue, commence par un prologue et se
termine
par une fable intitulée (en roman) Dou chevalier
ide. Les douze vers latins, dont cette première fable se compose, se
terminent
au commencement du fol. 2 a. Fol. 2 a. — Miniatur
. Fol. 2 b. — De Lupo et Agno. Les 16 vers de cette fable latine se
terminent
au commencement du feuillet 3 a. Fol. 3 a, 3 b, 4
Entre lo lou et laignelat, et, au verso du quatrième feuillet, se
terminent
par ce dernier : Auuec genz que de deu non cure.
ses pièces que le Catalogue analyse en ces termes : « Les prières qui
terminent
le volume occupent six feuillets. La première, co
es fables, sont comptés comme tels. Les fables et leur commentaire se
terminent
, au milieu du recto du feuillet 76, non par la da
ate par ce titre : Exorcismus salis et aque contra maleficia , et se
termine
au haut du feuillet 78 a par cette souscription :
appendice que j’ajouterai aux soixante fables de Walther. Le tout est
terminé
par cet hexamètre léonin : Explicit Esopus ; pec
lacum fluentem. Il en est ainsi jusqu’à la fin de l’ouvrage, qui se
termine
par cette souscription : Explicit liber iste fer
le onzième dans celles de Walther, qui, partant du feuillet 99 a, se
terminent
au milieu du feuillet 110 b. Devant analyser aill
ques qui montrent la veuve brisant les dents de son défunt mari et se
termine
par ces trois vers : Quos coluit uiuos nescit ui
s feuillets 205 à 219, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se
terminent
par les mots Finis Esopi . C. Manuscrit 609.
er exempla ; deinde eumdem librum metrice composuit. » Les fables se
terminent
, au verso du feuillet 64, par ce distique qui se
ace nécessaire à la fable latine. Malheureusement il n’a pas non plus
terminé
la copie de l’œuvre allemande, de sorte qu’à la s
le cinquième, celles de Walther qui commencent au feuillet 68 a et se
terminent
au feuillet 123 b. Ces dernières sont accompagnée
strer les fables. Il ne comprend que les 60 fables authentiques et se
termine
par le mot Finis . C. Manuscrit Harl. 2745.
effet laissé en blanc par le copiste. Mais à la fin des fables qui se
terminent
au bas du recto du feuillet 18, il a écrit : Exp
imées de la traduction d’Accio Zuccho, il y a soixante-quatre fables,
terminées
par une Canzona. Le verso du feuillet 56 est remp
ntibus et Lepore , et très certainement étrangère à Walther. Elles se
terminent
au feuillet 25 b et sont suivies de cette mention
abularum Esopi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’épilogue
terminé
par ce dernier vers du Livre II des Géorgiques :
lla. Immédiatement après a été écrite cette intéressante mention qui
termine
le manuscrit : « Vita Esopi et fabule per Rimiciu
u feuillet 2 a sans titre, ne sont pourvues d’aucun commentaire et se
terminent
au recto du fol. 18 par ces mots usuels : Explic
ert n’avait pas pu entièrement déchiffrer. Les fables de Walther sont
terminées
par cette souscription : C’est la substance de c
ts qu’on trouvera aux pages 480 et 482 de ce volume. Les 60 fables se
terminent
par cette souscription à l’encre rouge : Explici
es fables de Walther qui commencent au feuillet 116 b du volume et se
terminent
au feuillet 136 b. Elles sont au nombre de soixan
e le temps a malheureusement effacée. Les fables, au nombre de 62, se
terminent
par ces mots : Explicit liber exopi : Deo gratia
s viennent les fables de Walther, qui commencent au feuillet 32 et se
terminent
par les mots : Explicit liber Isopi. 6º Bi
récédés de la dédicace à son fils, commencent au feuillet i a et sont
terminés
au bas du feuillet xi b par cet hexamètre usuel :
. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’Avianus, qui se
terminent
vers le haut du feuillet xxiii a. Immédiatement a
rencontre quelquefois à la fin des manuscrits de Walther. Le tout est
terminé
par cette souscription : Explicit Esopus. Deo gr
e titres particuliers, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se
terminent
vers le haut de la troisième colonne du feuillet
ne sont chargées d’aucune glose ni marginale, ni interlinéaire, et se
terminent
au recto du feuillet 190. La fin en est indiquée
feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets blancs, qui le
terminent
et dont le second a été ajouté par le relieur. A
par ce vers : Hæc Augustini ex sacris epigrammata dictis. Elles se
terminent
au recto du feuillet 25 par ce pentamètre :
au commencement ont été pourvues de titres à l’encre rouge. Elles se
terminent
au verso du feuillet 41 par cette souscription :
Jesu d. Ignatii, Pollentini. Au feuillet 23 b l’œuvre de Walther se
termine
par cette souscription : Bononie G. Monet. Scrip
sont complètes. Ces 19 fables occupent 12 feuillets. La dernière se
termine
au milieu du recto du douzième feuillet. Le reste
pourvues de titres à l’encre rouge, et la soixantième et dernière est
terminée
au milieu du recto du feuillet xxxiv, non seuleme
u accréditée. Les fables occupent les feuillets 24 a à 57 a. Elles se
terminent
par cette première souscription : Amen , suivie
double emploi, accompagnée du texte auquel elle se rapporte. Elle se
termine
au milieu de la seconde colonne du feuillet 68 b
es. Elles sont pourvues de titres particuliers à l’encre rouge, et se
terminent
vers le bas du feuillet 16 b par ces mots usuels
, sont précédées chacune d’un titre particulier à l’encre rouge et se
terminent
par cette souscription : Explicit liber Esopi.
rs hexamètres, commence, sans titre, au haut du feuillet 1 a, mais se
termine
, au bas du feuillet 6 a, par cette souscription q
ble xlviii ne comprend que trente vers. La soixante-deuxième fable se
termine
au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement s
Pastore et Lupo. Elles sont revêtues de titres à l’encre rouge et se
terminent
au bas du verso du feuillet 76 par cette souscrip
Cui suadere volens vir suus inquit ei. Cette dernière fable, qui se
termine
au verso du feuillet xvie , est close par le mot
let qui ne porte que le distique final : Fine fruor , etc., elles se
terminent
par cette souscription : Deo gratias. Amen.
Esopi , pourvues de titres particuliers également à l’encre rouge et
terminées
par cette souscription : Explicit liber Esopi. D
titulées : De Capone et Domino et : De Pastore et Lupo. Elles se
terminent
a la huitième ligne du verso du dix-neuvième feui
ontrent lui arrachant les cheveux. La fable lxi De Pastore et Lupo se
termine
au recto du feuillet 22. Pour en remplir le verso
Æsopus moralisatus cum bono commento et glossa interlineari , et se
termine
par cette souscription : Impressus in nobili Arg
nnues, l’une sous le nº 295 et l’autre sous le nº 296. La première se
termine
par ces mots : Explect9 Esop9 ꝑ dominicū de uiua
le auteur des fables de Walther. Intitulée : Esopi fabulae , elle se
termine
ainsi : Finit Esopus Mutine impressus impensa et
un double portrait d’Ésope sur les deux faces du premier feuillet, et
terminée
, au verso du dernier, par une gravure qui le reco
ipitre et Capone, De Lupo et Pastore et De Pueris ludentibus. Elle se
termine
par ces mots : Impressum Brixie (Brescia) per Bo
r fabularum Esopi. Elles sont au nombre de soixante seulement et se
terminent
au recto du feuillet F ii, c’est-à-dire à la page
émontre une fois de plus qu’elles en sont bien dérivées. L’édition se
termine
par cette souscription qui en précise la date :
mencent par ce titre : Incipit liber fabularum Esopi. Le volume se
termine
par cette souscription : Auctores octo opusculor
ieu, et le quatrième, un lion avec le nom de saint Marc. L’édition se
termine
par ces mots : Impressus Dauentrie per me Jacobu
nscrire la souscription par laquelle au verso du feuillet d viii b se
termine
le volume : Opera et impensa Francisci Ugoleli E
néaire communs à la plupart des petites éditions classiques. Elles se
terminent
au bas du feuillet 44 a, sans indication de lieu
recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il contient sont
terminés
par cette souscription générale : Finis. — Excud
dulci. Si bene perpendis, noster hic autor agit. Les fables se
terminent
au recto du feuillet H viij (fol. 64 a). 1547
n, à la fin de la soixantième fable, du distique qui ordinairement la
termine
. Immédiatement après les fables, accompagnés comm
undine ; De Coco et Cane cor rapiente ; de Avibus et Pavone. Elles se
terminent
au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une tab
à 95. Puis vient le texte de Walther qui, commençant à la page 96, se
termine
à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de
ose italienne qu’il possède sont contenues dans douze feuillets et se
terminent
au recto du douzième. Ce sont celles qui ont été
novelle si vuole maggiormente dilettare l’animo del leggitore. Il se
termine
par ces mots : e in vile et aspro vasello si nas
e pastore colui che parla ciò che egli à in cuore. Amen. Le tout se
termine
au feuillet 62. Les deux derniers sont blancs. Le
s en langue vulgaire qu’il renferme commencent au feuillet 30 a et se
terminent
au feuillet 48 b. Il leur a été donné un titre gé
et del Granchio ; elle n’existe dans aucun autre manuscrit. Elle se
termine
au feuillet 74 b. Telle est la première pièce du
78. Dans ce manuscrit, la fin des fables est ainsi annoncée : Qui si
termina
lo pocciolo Ysopacto, et sempre sia Dio laudato e
ion Manni. Les fables sont suivies du Libro di Cato, qui lui-même est
terminé
par cette souscription : Finito el libro di Cato
una stagione chon grande sollecitudine chauando , etc. Les fables se
terminent
au bas du recto du feuillet 59 par cette souscrip
ras||lacione de Esopo de gramaticha || in volgare. Cette préface est
terminée
par ces mots : Compie el prologo dello traslator
st précédée de l’épimythion latin de la fable traduite. Les fables se
terminent
au verso du feuillet 81. Elles sont suivies d’un
ce titre : Qui comenza le dodexe fatige de Hercule , etc., et qui se
termine
au recto du feuillet 97 par cette souscription :
.LXXVIIII. Au verso du même feuillet commence une Concionetta qui se
termine
au milieu du recto du feuillet suivant. Puis immé
, sont au nombre de 64. La soixantième, qui porte le nº 62, n’est pas
terminée
par le distique Fine fruor, etc. Les fables 61 à
et, on ne doit pas oublier qu’à Venise, à cette époque, l’année ne se
terminait
que le 1er mars. Panzer, Annal. typ., t. III, p.
st une gravure qui occupe le reste de la page. Cette édition in-12 se
termine
au verso du dernier feuillet par cette souscripti
l s’ensuit que le volume se compose de quatre-vingts feuillets. Il se
termine
par une pièce de vers italiens, intitulée : Epil
o ; De Mercatore et ejus Uxore et : De Rustico et Plutone. Elles sont
terminées
par cette souscription : « Francisci Tuppi Parthe
e aussi grande que la page. Fol. 43 a (f. iii a). — La vie d’Ésope se
termine
au recto du feuillet 41 par cette souscription :
irmatio, 3º Epilogus. Fol. 166 b (y. iiiiii b). — Le tout est ensuite
terminé
par la souscription suivante : « Francisci de Tup
Dictus erat Nequam, vitam duxit tamen æquam. Cette épitaphe, qui se
terminait
par un mauvais jeu de mots, me semble un peu susp
par les mots Aesopi fabulae, commencent à la fin du fol. 110 a et se
terminent
au fol. 118 b. Il y en a quarante-deux ; la colle
nc complète. Elle est précédée de ce titre : Hic incipit Esopus , et
terminée
par cette phrase finale : Expliciunt fabule Ysop
composé. 1º Première traduction. L’auteur en est inconnu. Il l’a
terminée
par un épilogue, où il déclare qu’il n’a été que
L’épilogue lui-même, vers le bas de la 1re col. du feuillet 184 a, se
termine
par ces mots : Requies sit eis. Amen. B. Ma
i commencent sans dédicace préalable au recto du feuillet 7 et qui se
terminent
au verso du feuillet 23. Il ne porte que ce simpl
ue des fables des trois manuscrits de Vienne et de Berlin. Je vais
terminer
l’étude du Romulus de Vienne et de ses deux Dériv
co in latinum ad Tyberium filium suum de civitate Attica, et elles se
terminent
au milieu du verso du feuillet 20, où l’épilogue
um hystoria || que in greco a Darete hystoriographo facta est , et se
termine
au milieu du recto du vingtième feuillet par cett
its et qui me semble avoir été une addition du copiste. Les fables se
terminent
par le mot Amen en tête du recto du feuillet 40
itre ainsi conçu : Incipit liber fabularum Esopi Atheniensis , et se
termine
par cette souscription : Explicit liber Esopi.
après celles de ce dernier. Enfin, du nº 113 au nº 136, le Dérivé se
termine
par vingt-quatre autres fables que les manuscrits
ables, composées en vers de huit syllabes, précédées d’un prologue et
terminées
par un épilogue. Le prologue, qui est une sorte d
ent trois fables, que dans tous les cas il faut attribuer à Marie, se
terminent
par un épilogue de vingt-deux vers, que, pour ne
a Bibliothèque nationale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers et se
termine
par ces deux derniers, que M. de Roquefort a cru
illets. Ainsi les fables de Marie commencent au feuillet 198 rº et se
terminent
au feuillet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles
prologue ordinaire en quarante vers, se succèdent sans titres et sont
terminées
par l’épilogue ordinaire, auquel toutefois manque
ure. Les fables de Marie commencent en tête du feuillet 159 a et se
terminent
au milieu de la deuxième colonne du feuillet 186
au Chevalier. Les fables de Marie commencent au feuillet 58 a et se
terminent
au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordin
t 15 a par ce titre à l’encre rouge : Ci commences de Ysopes , et se
terminent
au haut de la deuxième colonne du feuillet 24 b p
issant l’ourse. Les fables, qui ne sont pas suivies de l’épilogue, se
terminent
par la souscription Explicit Esopes , écrite en
prologue en 40 vers à la première colonne du feuillet 55 b et qui se
terminent
par l’épilogue en 22 vers au bas de la première c
st appelé le royal auteur de la traduction anglaise. La collection se
termine
par cette souscription : Explicit Ysopes. K
nt les suivants : 22, 24 à 25, 46 à 48, 57 à 65 et 72 à 103. Elles se
terminent
au bas de la première colonne du feuillet 49 a pa
ne portent pas de titres, sont pourvues de l’épilogue ordinaire et se
terminent
au milieu du feuillet 273 rº, col. 1 ; il s’ensui
e prologue en 40 vers, ne sont pas pourvues de titres spéciaux, et se
terminent
au milieu de la première colonne du feuillet 67 b
par ce titre : Incipit Prologus in libro de natura rerum , et qui se
termine
au milieu de la première colonne du feuillet 157
es vingt-deux fables du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin, qui se
terminent
vers le bas de la deuxième colonne du verso du de
ce titre : Incipit p̱log9 sup̱ libm de naturis rer/. L’ouvrage se
termine
à la septième ligne de la première colonne du feu
; Uti sic scuto non scelus esse puto. Enfin la collection se
termine
au haut du feuillet 57 a par la moralité d’une de
s, sed parvula Vulpes Plenius angusta sub brevitate sapit. Je
termine
cette analyse par une dernière observation : par
énéral ; mais les fables y sont pourvues de titres particuliers et se
terminent
au bas d’une page par cette souscription : Expli
e titre : Incipit Registrum Esopi in librum faubularum (sic), et se
termine
par cette souscription : Explicit registrum fabu
m Auiani , et qui, au bas de la deuxième colonne du feuillet 37 a, se
termine
par cette souscription : Explicit registrum fabu
Verba solent, odium lingua fidemque parare (sic). Les fables sont
terminées
par cette souscription : Explicit liber fabularu
n qu’il contient commence à la première colonne du feuillet 1 a et se
termine
à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute
ianus. Elles commencent à la première colonne du feuillet 26 a et se
terminent
à la deuxième du feuillet 28 b. Depuis la publica
rance dont il a donné la preuve fait peu regretter qu’il ne l’ait pas
terminée
; car, si le manuscrit du British Museum est défe
meubles pièce à pièce. Quand il eut tout emporté, la cure aussi étant
terminée
, il réclama le salaire convenu. La vieille se ref
it faire de veritable avec un Vicieux, et par consequent on n’en aura
terminé
qu’une fausse, qui n’est pas une action meschante
e alteration, que nous voulons signifier par ce mot de fiévre, qui se
terminera
par une migraine, par quelque douleur particulier
expressément l’importance du bon conseil, lors qu’estant question de
terminer
quelque haute affaire, ou de sortir d’un grand pe