II. Conseil
tenu
par les Rats. Un Chat nommé Rodilardus, Faisoi
; Pendant tout le sabat qu’il fit avec sa Dame, Le demeurant des Rats
tint
Chapitre en un coin Sur la necessité presente. Dé
On se quitta. J’ay maints Chapitres vûs, Qui pour neant se sont ainsi
tenus
; Chapitres, non de Rats, mais Chapitres de Moine
t de grace : Je dois faire aujourd’huy vingt postes sans manquer. Les
tiens
et toy pouvez vaquer Sans nulle crainte à vos aff
nouvelle, Que celle De cette paix. Et ce m’est une double joye De la
tenir
de toy. Je voy deux Levriers, Qui, je m’assure, s
beau sire amis ? » — « Un autre humme, ceo m’est avis, sur le lit vus
tint
embracee. » Dunc dis la femme tut curucee : « Bie
« n’en dust mie, que ceo est vostre vielle folie ; tu vels mençoinge
tenir
a veire. » — « Jel vi », fet il, « sil dei bien c
t li pastur ; li chiens le hüent tut entur : veit le gupil, ki le cok
tient
; mar le guaina si par eus vient ! « Va », fet li
t fust s’[en] est muntez. Quant li gupilz s’est reguardez, mut par se
tient
enfantillé, que li cocs l’ad si enginné ; de malt
trot. Voilà mes gens frappez comme d’un coup de foudre. Le marché ne
tint
pas ; il fallut le resoudre : D’interests contre
, plus froid que n’est un marbre, Se couche sur le nez, fait le mort,
tient
son vent ; Ayant quelque part oüy dire Que l’Ours
e as humes fere veeit, cum l’empereür vit servir, e ses festes li vit
tenir
, cum tuz le tiendrent a seignur. A la forest se m
meisun establi il chescun par nun. Dunc prist femme, si ot enfanz, e
tient
festes riches e granz. Dui humme erent al bois al
i tendra cel covenant. Cil vot mustrer raisnablement que bien li deit
tenir
covent, quant pur lui ne fu mespreisez ne pur l’a
nc nel cunut ne vel vit mes. Li vileins li ad dit aprés qu’il ne deit
tenir
sun esgart, kar il nel vit fors de l’une part ; p
ndra sain. » Le lu pernent, kë ileoc fu ; vif l’escorcent, tant l’unt
tenu
; al lïun unt la pel bailé. [E] cil s’en vet a gr
il, « vei depescez Autre feiz seez chastïez que autre ne deiz par mal
tenir
, que sur tei deive revertir. » Tel purchace le ma
fermir leur contenance, s’ils n’ont autant de cœur que de mine ils ne
tiennent
rien. On les descouvre aussi tost ; et n’est poin
lice et l’impieté sous le voile d’une fausse devotion, est capable de
tenir
les personnes plus long temps abusées, à cause qu
ela s’est remarqué manifestement en la vie de Jeanne de la Croix, qui
tint
l’Espagne comme enchantée durant une longue suitt
ls quë eles unt e que volent en l’eir lamunt : bataille deivent od li
tenir
. Quant ensemble durent venir, [e] la chalve suriz
e veut dunc ajuster, a sun busuin li veut faillir e od autres se veut
tenir
; si sis sires vient el desus, ne peot lesser sun
on : S’estant mis en mesme temps en devoir de le donner à Xanthus : «
Tiens
», luy dit-il, « voila dequoy : il ne reste plus,
ens », luy dit-il, « voila dequoy : il ne reste plus, sinon que tu me
tiennes
promesse ». « Je ne suis pas si fol de le faire »
de posseder tout l’or, que tu sçaurois jamais trouver ». « A cela ne
tienne
», reprit Esope ; « Sçache donc, que celuy qui ca
e ne vueille faire essay d’un autre homme que de toy : Car les femmes
tiennent
cela de leur sexe d’estre naturellement volages,
ens jamais d’estre homme de bien. Chasse de ta maison le Médisant, et
tiens
pour certain, qu’il ne manquera point de rapporte
vus* recunt, passoit un chien desur un punt ; un fourmage en sa buche
tient
; quant en mi le puncel [par]vient, en l’ewe vit
Tenoit en son bec un fromage. Maistre Renard par l’odeur alleché Luy
tint
à peu prés ce langage : Et bon jour, Monsieur du
que tuz cunuissent sun talent. Forment li peise del leal, quë hume ne
tient
ses fez a mal.
mple. Là, se plaçant en face de l’oracle, il demanda si l’objet qu’il
tenait
dans sa main était vivant ou inanimé. Il voulait,
ion, répondit : « Assez, l’homme ; car il dépend de toi que ce que tu
tiens
soit mort ou vivant. » Cette fable montre que la
urait pas essayé d’en faire autant. » Cette fable montre que ceux qui
tiennent
tête aux premiers qui les attaquent se rendent re
n allant en guerre. Le Lion dans sa teste avoit une entreprise. Il
tint
conseil de guerre, envoya ses Prevosts ; Fit aver
e, Alla consulter Apollon. Dés qu’il fut en son sanctuaire, Ce que je
tiens
, dit-il, est-il en vie ou non ? Il tenoit un moin
a, plumes e pennes d’un poün, si s’esguarda tut envirun : plus vil se
tient
nul oisel pu ceo qu’il ne se vit si bel. Tutes se
; ses cornes prist a reguarder, mut li sembla bele sa teste. Plus se
tint
vil que nule beste, quant autresi n’esteit cornuz
plus que tous les cordonniers. Cette fable s’applique à un homme qui
tient
des propos mensongers.
voyageur qui passait dans un désert rencontra une femme solitaire qui
tenait
ses yeux baissés. « Qui es-tu ? » demanda-t-il. «
ur ceo chastie le sené que hum ne deie mal cunseil creire ne mençunge
tenir
pur veire. Tute gent seivent cunseiller ; mes tuz
son chien, qui s’en était aperçu, ne lui eût dit : « Comment toi, qui
tiens
à la vie de tes moutons, fais-tu entrer ce loup a
l, dont la peau Est plus dure que la mienne, Je ne vois rien qui vous
tienne
. Nous vous mettrons à couvert, Repartit le Pot de
nd, Pourveu que Dieu lui preste vie. Mais le lascher en attendant, Je
tiens
pour moi que c’est folie ; Car de le ratraper il
de celuy qui le requiert sont à sa bien-seance, si ce n’est qu’on le
tienne
de long-temps pour si Vertueux, ou qu’on ayt espr
il est bon au mauvais de se conserver par cét autre moyen, qui est de
tenir
les deux Puissances en jalousie, et noüer une int
ir esgard tous les Poëtes, qui traittent de matieres Comiques, ou qui
tiennent
du Tragique, ou mesme de l’Epique. Or bien qu’il
aux operations representées par ce monstre imaginaire, dont le devant
tient
du Lyon, le milieu de la Chevre, et le derriere d
vray qu’à le prendre moralement cela peut s’entendre des hommes, qui
tiennent
de la Divinité, et qui neantmoins se changent, pa
ont les Autheurs, inventent des Fables, qui à le prendre à la lettre,
tiennent
du des-honneste, et de l’impie mesme ; A cause de
ut pas nous affliger des accidents qui nous surviennent : ce qu’on ne
tient
pas de sa nature dès sa naissance, on ne saurait
ela mesme ils luy donnent la Lune pour modelle, et veulent qu’elle en
tienne
plus que d’aucun Astre. Or soit qu’ils ne la croy
ise a pû devenir bonne. Tels et semblables sont les discours qu’on a
tenus
contre les femmes, et que l’on tient encore aujou
lables sont les discours qu’on a tenus contre les femmes, et que l’on
tient
encore aujourd’huy, sur le débris de leur affecti
ups, ce n’est pas que j’aie peur de vous, mais je crains celui qui se
tient
à l’entrée de la caverne. » C’est ainsi que souve
y, c’est donc ton frere :
Je n’en ay point. C’est donc quelqu’un des
tiens
:
Car vous ne m’épargnez guéres,
Vous, vos berg
sa façon
Je vécusse, et non à la mienne.
Il n’est teste chauve qui
tienne
;
Je vous suis obligé, Belles, de la leçon.
purra bien depescer. Li aigles ad mut grant desirer de la welke qu’il
tient
manger ; haut la porte, cheïr la leit. La corneil
n litière, il lâcha un escarbot sous ses yeux. Alors, incapable de se
tenir
, en voyant l’escarbot voltiger autour de sa litiè
s enfans
Que le Nort eust porté jusques-là dans ses flancs.
L’Arbre
tient
bon, le Roseau plie ;
Le vent redouble ses effor
ville, il laissa ses moutons près du loup et partit. Le loup, pensant
tenir
l’occasion, se jeta sur le troupeau et en mit en
e
Jusqu’à sauter sur l’épaule du Roy.
Le bon Sire le souffre, et se
tient
toûjours coy.
Jupin en a bien-tost la cervelle r
Elle se haste avec lenteur. Luy cependant méprise une telle victoire,
Tient
la gageure à peu de gloire ; Croit qu’il y va de
» — « Fui », fet ele, « leis më ester ! Si jeo t’en oi ja mes parler,
tenir
te purras pur bricun : jeo te baterai od mun bast
nt la statue, l’âne, s’imaginant que c’était lui qu’on adorait, ne se
tint
plus d’orgueil ; il se mit à braire et il refusa
S’il vous y survient quelque affaire Employez-moy ; car mes parens Y
tiennent
tous les premiers rangs ; Un mien cousin est Juge
meuz savereit sur li saillir meuz savereit des piez ferir. Pur fol se
tient
que a lui ne veit ne que od sa voiz ne crie e bre
sible ; ce mal là te vient de race, car tes pere et mere, et tous les
tiens
generallement, me hayssent au mourir. Ne trouve d
e punir, que d’estre bien en ses affaires. Or quoy que le procedé que
tiennent
ordinairement ceux qui veullent accabler l’Innoce
fait de peur du Loup, adjoustant à cela, qu’on n’estoit pas obligé de
tenir
promesse à ceux qui l’avoient exigée par la force
à sçavoir que ce n’est pas un crime d’y consentir, il suffit de s’en
tenir
à la loy naturelle, qui porte tout le monde à sa
r encore plus de perfidie ! » C’est ainsi que certains hommes, qui se
tiennent
en garde contre leurs ennemis, tombent, sans qu’i
pos, et luy fait compliment
Sur son embonpoint qu’il admire :
Il ne
tiendra
qu’à vous, beau Sire,
D’estre aussi gras que moy
a pas préveu Que je sçauray souffler de sorte, Qu’il n’est bouton qui
tienne
: il faudra, si je veux, Que le manteau s’en aill
conversent en cest munt. Del bugle ot fet sun senescal que a pruz le
tient
e leal ; al lu bailla sa pruvosté. Tut treis [s’e
t : tuz jurs le veulent defuler ne li seivent honur garder ; s’il nes
tient
aukes en destreit, ne f[e]runt pur lui tort ne dr
hors s’en eissi ; amunt garda e vit l’egle cum il vola. Mut par l’en
tient
a orguillus ; en sun quor fu mut envïus. As autre
ant fuir, s’écria : « Toi, sache bien que, partout où tu seras, je te
tiendrai
à l’œil : car ce n’est pas à moi que tu as pris l
isner à ses escoliers, fist venir Esope, et luy commanda qu’il eust à
tenir
prest le festin. Esope s’en alla donc au Marché,
sme temps qu’Esope composa ses Fables, qu’il laissa au Roy Cresus, et
tient
on qu’elles se monstrent encore aujourd’huy en sa
epentir, pour r’atrapper dans leurs pieges ceux qu’ils y ont une fois
tenus
. Mais qui sera l’homme si ennemy de soy-mesme, qu
ttirer la ruine.
L’arbre tombant ils seront devorez :
Qu’ils s’en
tiennent
pour assurez.
S’il m’en restoit un seul j’adouci
pû sans peine y puiser à toute heure. A toute heure ? Bons Dieux ! Ne
tient
-il qu’à cela ? L’argent vient-il comme il s’en va
e laquelle nous pourrons tous deux sortir d’icy ? C’est qu’il te faut
tenir
debout, et t’appuyer contre le mur de tes deux pi
Il y en a de sages et de bien considerez, de ceux-là mesmes que nous
tenons
pour grands Personnages, et à qui l’âge doit avoi
’accommoder à la brutalité du Peuple. Car s’ils eussent veritablement
tenu
leurs Jupiters et leurs Mercures aussi puissans q
ns perissables ; leur ordinaire est de les mespriser bien fort, et se
tenir
au dessus de ceste basse occupation. Cela se veri
que c’est une chose ordinairement praticquée parmy les Juges, de les
tenir
pour Coûpables, et par consequent de leur faire p
de l’observer à la ruyne mesme des autres vertus ? Ceste patience ne
tient
-elle pas de la bassesse ? n’a-t’elle point quelqu
us semblaient fâcheuses tournent à notre avantage, et celles que nous
tenions
pour salutaires se montrent préjudiciables. C
chesse d’un seul coup, et il s’était privé même du petit profit qu’il
tenait
. Cette fable montre qu’il faut se contenter de ce
beaux, si bien dorez ?
Je me suis proposé d’en faire vos retraites.
Tenez
donc ; voicy deux buchetes ;
Accommodez-vous, ou
es chiens, Il fit fort peu de resistance. Amour, amour, quand tu nous
tiens
, On peut bien dire, Adieu prudence. [Par tes cons
Lui crioit : Attends-moy, je te suis ; et mon ame, Aussi-bien que la
tienne
, est preste à s’envoler. Le mary fait seul le voy
enfundra. Les serganz saillirent aprés, aval l’ewe curent adés pur li
tenir
, que ele ne passast e que li floz ne l’en* portas
nventer. Mais ces autres qui sont veritablement sages et genereux, se
tiennent
au dessus de cette methode, et mettant la vraye a
s nations de leur temps. Les Scythes qui suivent la loy naturelle, et
tiennent
une sorte de gouvernement eslogné de toute ruse e
t aperçu son ombre dans l’eau, il crut que c’était un autre chien qui
tenait
un morceau de viande plus gros. Aussi, lâchant le
abolit ses lois. Ceux qui semblent légiférer selon la justice ne s’en
tiennent
pas eux-mêmes aux lois qu’ils établissent et décr
araison à faire entre nous ; ma voix n’agace pas les maîtres comme la
tienne
. » Cette fable convient aux critiques malveillant
Mais je veux que ce soit une amitié de dépendance, où l’un des partis
tienne
quelque maniere de prerogative, ou de superiorité
merites ? Nomme-t-on pas aussi Moûches les parasites ? Cessez donc de
tenir
un langage si vain : N’ayez plus ces hautes pensé
montre qu’il faut généreusement payer de retour ses bienfaiteurs, et
tenir
prudemment les méchants à l’écart.
, elle se sauva de la mort. Cette fable montre qu’il ne faut pas s’en
tenir
toujours aux mêmes moyens, mais songer qu’en s’ac
sentant mal, s’écria : « Mère, je vomis mes entrailles. – Non pas les
tiennes
, mon petit, dit la mère, mais celles que tu as ma
Je vous arreste à cette rime, Dira mon Censeur à l’instant. Je ne la
tiens
pas legitime, Ni d’une assez grande vertu. Remett
stre mut dreiturers, en justise redz e fiers. » A cel cunseil se sunt
tenu
, e si unt esgardé e veü que de l’egle ferunt [lu
sans avoir égard aux circonstances, on se voit enlever même ce qu’on
tient
dans la main. Chambry 108.2 Aliter — Autre
les conseils. De là vient cét endurcissement d’esprit, qui nous fait
tenir
pour suspects nos meilleurs amis, jusques à les a
r répliqua : « Mais je serais stupide, si je lâchais la pâture que je
tiens
pour courir après ce qui n’est pas encore en vue.
hommes font facilement des promesses qu’ils n’ont pas l’intention de
tenir
effectivement. Chambry 46.2 Aliter — Autre
s : « Eh bien ! cette corneille jure par le ciel et la terre qu’il ne
tient
qu’à toi que je recouvre mes bœufs. » On pourrait
ité à disner des Orateurs, et des Philosophes, commanda à Esope de se
tenir
à la porte, et de ne laisser entrer que les Docte
xcuse fort à propos sur la trace des autres bestes, nous enseignant à
tenir
tous-jours en haleine nostre conjecture, en matie
s les deux, bien que toutesfois il ne fût nullement en volonté de luy
tenir
sa promesse. Comme en effect, il courut droit à s
ns les voluptez charnelles. Leur fin, comme toute pure et celeste, ne
tient
rien des songes et des chimeres de ceste vie. Ils
ble envers telles gents, que d’avoir de la mauvaise fortune. Ils vous
tiennent
noircis de tous les vices du monde, si vous ne po
en à peine, apres avoir tout perdu. Le Plongeon depuis ce temps-là se
tient
toujours au bord de la Mer, en attendant qu’elle
mene
Souvent, sans déroger, trafique de sa peine :
Enfin qu’on doit
tenir
nostre art en quelque prix.
Les Grands se font h
mande, Le menace, s’il ne se taist, De le donner au Loup. L’Animal se
tient
prest ; Remerciant les Dieux d’une telle avanture
age a cumpainun, si nule rien deveient partir, le sage se set al meuz
tenir
, par parole l’autre deceit ; sa mençunge pur vert
rois grands maux ? » « Quels maux ? » demanda Esope. « Si je me fusse
tenu
debout », repartit Xanthus, « le Soleil m’eust br
porte plus promptement que les autres, estimant par ce bon office, de
tenir
des-ja des erres de son futur mariage. Mais apres
FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. L’on
tient
qu’autresfois le Sapin s’estant mis à mespriser l
ncre la resistance des plus retenuës ? Quel moyen y a-t’il donc de se
tenir
ferme dans la Vertu, et d’avoir un milieu presque
er par maniere de dire, toutes les Furies à son secours ? Que s’il ne
tient
qu’à divertir la punition du crime ; Bon Dieu ! c
frayeur, il s’approcha et la rassura, en lui promettant, si elle lui
tenait
trois propos vrais, de la laisser aller. Alors la
te. Un ours leur apparut soudain. L’un monta vite sur un arbre et s’y
tint
caché ; l’autre, sur le point d’être pris, se lai
rement une volonté de pecher, tout à fait noire et déterminée, ce qui
tient
du desespoir en quelque façon. Or est-il que les
uy mit par écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut les
tint
en peine. Car que donner ? Il faloit de l’argent.
que je puis. Enfin si dans ces Vers je ne plais et n’instruis, Il ne
tient
pas à moy, c’est toujours quelque chose. Comme la
-il, « hommes Delphiens. Il y avoit une fois un Liévre, qui se voyant
tenu
de prés par une Aigle, et ne sçachant où se cache
nt donc plus quel conseil prendre, elle s’envola vers Jupiter (car on
tient
qu’elle est en sa protection) et mit à ses genoux
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