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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 243 » pp. 112-112
aperçut et s’étonna de la voir si laborieuse, elle qui travaillait au temps même où les autres animaux, débarrassés de leurs
ù les autres animaux, débarrassés de leurs travaux, se donnent du bon temps . Sur le moment, la fourmi ne répondit rien ; mais
ent. La fourmi lui dit alors : « Ô escarbot, si tu avais travaillé au temps où je prenais de la peine et où tu m’injuriais, t
pas à présent de nourriture. » Pareillement les hommes qui, dans les temps d’abondance, ne se préoccupent pas de l’avenir, t
ccupent pas de l’avenir, tombent dans une misère extrême, lorsque les temps viennent à changer. Chambry 243.2 Aliter —
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. Ce fut
el temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. Ce fut en ce mesme temps qu’Esope composa ses Fables, qu’il laissa au Roy
rus, qui le fit un des plus grands de sa Cour. Les Roys avoient en ce temps -là paix ensemble, et en ce commun repos ils se vi
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
. On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les aisles du Temps la tristesse s’envole ; Le temps rameine les plai
uis on se console. Sur les aisles du Temps la tristesse s’envole ; Le temps rameine les plaisirs. Entre la Veuve d’une année,
ion meilleure Change en des nôces ces transports ; Mais aprés certain temps souffrez qu’on vous propose Un époux beau, bien f
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIII. Les Loups et les Brebis. » p. 153
ormes ordinaires,
 Et reglé par des Commissaires, 
Au bout de quelque temps que Messieurs les Louvats
 Se virent Loups parfai
Se virent Loups parfaits et friands de tuerie ;
 Ils vous prennent le temps que dans la Bergerie
 Messieurs les Bergers n’est
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
Loup, « comment t’es-tu laissé choir ? » « Ce n’est pas maintenant le temps de jaser », repliqua le Renard : « quand tu m’aur
, mais encore on le fait perir avecque langueur, au lieu de haster le temps de son secours, autant qu’il est possible à la di
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
mariage l’une à un jardinier, l’autre à un potier. Au bout de quelque temps , il alla voir la femme du jardinier, et lui deman
aux dieux, de l’orage et de la pluie pour arroser les légumes. Peu de temps après il se rendit chez la femme du potier et lui
ne leur manquait et qu’elle n’avait qu’un vœu à former, c’est que le temps restât clair et le soleil brillant, pour sécher l
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
r souverain
 Nous créa Besaciers tous de mesme maniere,
 Tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’huy.
 Il fit pour no
réa Besaciers tous de mesme maniere,
 Tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’huy.
 Il fit pour nos défauts la poche
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIII. Le Cheval s’estant voulu vanger du Cerf. » p. 269
XIII. Le Cheval s’estant voulu vanger du Cerf. De tout temps les Chevaux ne sont nez pour les hommes. Lors que
? Le Cheval s’apperçut qu’il avoit fait folie ; Mais il n’estoit plus temps  ; déja son écurie Estoit prête et toute bâtie. Il
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — III. Phœbus et Borée. » p. 46
eil virent un Voyageur Qui s’étoit muni par bonheur Contre le mauvais temps . (On entroit dans l’Automne, Quand la précaution
ge Ne se pût engouffrer dedans. Cela le preserva : le vent perdit son temps  : Plus il se tourmentoit, plus l’autre tenoit fer
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
bœuf aussi se présenta : lui non plus ne pouvait soutenir le mauvais temps . L’homme répondit de même qu’il ne le recevrait p
abri. Voici ce qui en est résulté : quand les hommes accomplissent le temps que leur a donné Zeus, ils sont purs et bons ; qu
s’entendent à commander ; mais quand ils achèvent leur existence, le temps du chien, ils deviennent irascibles et grondeurs.
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 143 » pp. 320-320
hangé en âne. Comment veux-tu d’un âne refaire un cheval ? » Dans les temps de sécurité et de relâche, il ne faut pas oublier
Dans les temps de sécurité et de relâche, il ne faut pas oublier les temps de malheur. Chambry 143.2 Aliter — Autre ve
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
alliance. Pourquoy non ? Puisque leur engeance Valoit la nostre en ce temps -là, Ayant courage, intelligence, Et belle hure ou
e On vous les rogne ; et pour les dents, Qu’on vous les lime en mesme temps . Vos baisers en seront moins rudes Et pour vous p
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
arderoit guere à estre vangé. Comme en effect, estant survenu quelque temps apres un si grand orage, que toute la forest en e
Icy nous aprenons que le Sage fait quelquesfois gloire de ceder au temps , et qu’il ne s’oppose pas tousjours orgueilleusem
nt le plus grand secret de la prudence, à sçavoir, de s’accommoder au temps . A quoy toutesfois les contre-disants auroient mo
eleve de ses conseils, comment ne donnera-t’il point quelque chose au temps pour le salut de la Republique ? Quand Phocion co
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
ourir aprés l’ombre Tant de fous, qu’on n’en sçait pas La pluspart du temps le nombre. Au Chien dont parle Esope il faut les
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
sein ? Auroit-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles ? A quelle utilité, pour
s des Princes de l’Europe. Emmenez avec vous les souffleurs tout d’un temps . Vous ne meritez pas plus de foy que ces gens. Je
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
it que Philipe, Roy de Macedoine, fut celuy de tous les hommes de son temps , qui s’ayda le plus adroittement de cette ruze. C
busches, principalement tandis qu’ils sont mal ensemble ? Car en quel temps un tiers a-t’il plus beau jeu pour profiter du do
à jouyr des avantages dont ils debattent : Bref, c’est estre en tout temps exposé aux aguets d’autruy, que de prendre des qu
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
d’épuiser une matiere, On n’en doit prendre que la fleur. Il s’en va temps que je reprenne Un peu de forces et d’haleine Pou
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIII. La Poule aux œufs d’or. » p. 87
de son bien. Belle leçon pour les gens chiches : Pendant ces derniers temps combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont p
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
 ; Mais en vain. Un cadet tente aussi l’aventure. Tous perdirent leur temps , le faisceau resista ; De ces dards joints ensemb
on, l’envie, avec les consultans, Dans la succession entrent en mesme temps . On en vient au partage, on conteste, on chicane.
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
t ensemble. D’ailleurs, ceux qui escrivent l’Histoire, le font, ou du temps mesme des évenements qu’ils representent, ou apre
temps mesme des évenements qu’ils representent, ou apres. Si c’est du temps mesme, ils sont, ou amis, ou ennemis, ou indiffer
n veux point d’autre preuve que l’Histoire de Papirius, qui vivoit au temps du grand Alexandre. Il fait une disgression sur l
de luy opposer un petit Papirius, ou quelques autres Capitaines de ce temps -là, c’est non seulement oster à la fortune du Mac
t leur naissance. Car ils les puisent dans les memoires escrits de ce temps -là mesme auquel elles sont arrivées, ou pour le m
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
r il le frappa droict au front de toute sa force, et s’enfuyt à mesme temps . Le Lion, qui de ce coup estoit presque demeuré s
naire vieillesse, il veut s’ayder de la ruse, et oublier pour quelque temps qu’il est Lion, c’est à dire, le plus genereux de
l’exemple de Tybere, qui n’exerça jamais tant de cruauté, que dés le temps qu’il se fust retiré dans l’Isle Caprée. Herode t
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — Fable I. La Cigale et la Fourmy. » p. 112373
’est pas presteuse ; C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. Nuit et jou
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
L’an suivant elle mit son nid en lieu plus haut. L’Escarbot prend son temps , fait faire aux œufs le saut : La mort de Jean La
rd, Le Monarque des Dieux s’avisa, pour bien faire, De transporter le temps où l’Aigle fait l’amour, En une autre saison, qua
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. Au temps que les Arbres parloient, un Paysan s’en alla dan
à couper les Arbres, elle se repentit alors, bien qu’il n’en fût plus temps , de sa trop grande facilité, et se fascha contre
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IV. Les deux Taureaux et une Grenoüille. » p. 485
s dépens, Il en écrasoit vingt par heure. Helas ! on voit que de tout temps Les petits ont pati des sottises des grands.
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
ne obole, Tu te romprois toutes les dents. Je ne crains que celles du temps . Cecy s’adresse à vous, esprits du dernier ordre
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
l’évenement et la praticque des choses, dépendent pour l’ordinaire du temps , à quoy le Sage s’accommode discrettement ; Comme
e ne l’est pas toutesfois, si l’on ne donne à propos, c’est à dire en temps et en lieu. Aussi est-ce l’advantage que la Prude
e de toutes les autres Vertus, c’est à dire de les faire praticquer à temps . Pour cela mesme les Poëtes ont fait Déesse, et n
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
nt serf de condition, mais le plus difforme de tous les hommes de son temps . Car il avoit la teste poinctuë, le nez plat, le
29 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
Avec un fier Lion, Seigneur du voisinage,
 Firent societé, dit-on, au temps jadis,
 Et mirent en commun le gain et le dommage
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
sent, De luy prêter sa hute, où la Lice s’enferme. Au bout de quelque temps sa Compagne revient. La Lice luy demande encore u
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 80 » pp. 52-52
26 Pg 30 Ma 38 Mb 24. Un laboureur se trouva confiné par le mauvais temps dans sa métairie. Ne pouvant sortir pour se procu
la nourriture, il mangea d’abord ses moutons ; puis, comme le mauvais temps persistait, il mangea aussi ses chèvres ; enfin,
32 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
nid Dans les bleds quand ils sont en herbe : C’est-à-dire environ le temps Que tout aime, et que tout pullule dans le monde 
t ce coup qu’il est bon de partir, mes enfans. Et les petits en mesme temps , Voletans, se culebutans, Délogerent tous sans tr
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
e on le menoit ainsi à la mort, il leur disoit en s’y en allant. « Au temps que les bestes parloient, le Rat ayant fait amiti
pour le mieux, que les Escarbots n’eussent à paroistre durant tout le temps que les Aigles pondroient leurs œufs. Cela vous d
t du haut d’un rocher, et voylà quelle fust la fin de sa vie. Quelque temps apres, la contagion s’estant mise parmy eux, ils
s, les principaux d’entre les Grecs, et les plus sçavans hommes de ce temps -là, estans advertis de la fin tragique d’Esope, s
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
lle et habites-tu le désert ? » Elle répondit : « Parce que, dans les temps anciens, le mensonge ne se rencontrait que chez u
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 339 » pp. 374-374
ους τοὺς φίλους πλεονεκτεῖν ὁ μῦθος ἐλέγχει. Codd. Ba 133 Bb 80. Au temps où la vigne jette ses pousses, un bouc en broutai
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277
vous a vuë :
 Je ne me souviens point que vous soyez venuë Depuis le temps de Thrace habiter parmi nous.
 Dites-moy, que pen
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
uvre écourté ne put estre entendu. Pretendre oster la queuë eust esté temps perdu ; La mode en fut continuée.
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 149 » p. 195
et, frappés de sa grande taille, ils s’enfuirent. Mais quand avec le temps ils se furent rendu compte de sa douceur, ils s’e
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 324 » p. 369
ut mieux durer en se contentant de peu que vivre dans le luxe quelque temps , pour subir ensuite un changement de fortune et m
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
tant allé au logis pour quelques affaires, Agatopus sçeut prendre son temps , et donna ce conseil à l’un de ses compagnons : «
ent ; « malheur sur toy », disoient-ils, « miserable Esope ». Quelque temps apres, leur Maistre estant de retour des bains, l
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. Au temps que l’on commençoit à semer le lin, l’Arondelle v
vis, s’alliennent ordinairement de nous, et se jettent la pluspart du temps en des lieux plus advantageux pour leur estime.  
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 174 » p. 399
dut subir le destin pour lequel on l’élevait, il faisait nuit, et le temps ne permettait pas de distinguer les deux volatile
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 131 » p. 111
l Plutus. Il répondit : « Si je détourne les yeux de lui, c’est qu’au temps où j’étais parmi les hommes, je le voyais presque
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
une rivière. Les ânes prirent au sérieux cette réponse, et depuis ce temps jusqu’à nos jours, quand ils voient quelque part
45 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
le tout en un moment.
 Pour se vanger de cette tromperie,
 A quelque temps de là la Cicogne le prie :
 Volontiers, luy dit-i
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. Quelque temps apres, Xanthus s’en estant allé aux estuves, y tr
tira du pot un seul grain, qu’il leur servit, Xanthus la prit à mesme temps , et sur la creance qu’il eust d’abord, qu’Esope n
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 205 » p. 148
on, étant tombé sur un lièvre endormi, allait le dévorer ; mais entre temps il vit passer un cerf : il laissa le lièvre et do
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — II. Le Berger et la Mer. » p. 207
Coridon ou Tircis, Fut Pierrot et rien davantage. Au bout de quelque temps il fit quelques profits ; Racheta des bestes à la
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 95 » pp. 62-62
De même certains hommes qui n’ont aucune valeur, s’ils tombent sur un temps de troubles publics, s’imaginent qu’ils sont des
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 139 » pp. 318-318
la force que donne la jeunesse ou la renommée : pour bien des gens le temps de la vieillesse s’est consumé en pénibles travau
51 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
oye aux Calendes, Et leur fait arpenter les Landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour écout
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 345 » pp. 225-225
devina ce qu’il en était, et, déterrant le lingot, l’emporta. Quelque temps après, l’avare vint aussi, et, trouvant la place
; il remplira pour toi le même office ; car à ce que je vois, même au temps où l’or était là, tu ne faisais pas usage de ton
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
urre, ils prirent le Renard pour leur Juge. La Tortuë partit en mesme temps , et le Liévre luy laissa prendre tel advantage qu
de l’exercice et de l’habitude, par qui la Vertu cultivée, a de tout temps rendu merveilleuses, et comme incroyables, les ac
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 58 » pp. 283-283
r le renard dans les champs de celui qui l’avait lancé. Or c’était le temps de la moisson, et l’homme suivait, en déplorant s
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 325 » pp. 213-213
es amis, cessons enfin de nous quereller. » C’est ainsi que, dans les temps où les meilleurs citoyens sont divisés, les gens
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
icy comme aux premiers jours.
 Pendant cela le miel se gaste.
 Il est temps desormais que le Juge se haste :
 N’a-t-il point
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
Qu’une maille rongée emporta tout l’ouvrage. Patience et longueur de temps Font plus que force ny que rage. L’autre exempl
58 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
fais aussi la Chirurgie. Mon galand ne songeoit qu’à bien prendre son temps , Afin de haper son malade. L’autre qui s’en douto
59 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
n. Le monde n’a jamais manqué de Charlatans. Cette science de tout temps Fut en Professeurs trés-fertile. Tantost l’un en
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
: « À présent, dit-il, je suis mince et maigre ; mais attends quelque temps  : mes maîtres vont célébrer des noces ; moi aussi
oi un manger plus agréable. » Le loup le crut et s’en alla. À quelque temps de là il revint, et trouva le chien endormi dans
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
nt ordinairement ceux qui veullent accabler l’Innocence, soit en tout temps des-agreable à Dieu et aux hommes ; si est-ce que
enrichir de la despoüille des innocens. C’estoit un grand crime en ce temps -là d’avoir quelque chose, ou d’estre en reputatio
62 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
ompette et le Heros. Dans l’abord il se met au large ; Puis prend son temps , fond sur le cou Du Lion qu’il rend presque fou.
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
de tous ensemble. Je laisse à part les larcins qui se font de nostre temps , et me contente pour ceste fois de changer les ex
. La gloire qui les suit apres tant de travaux, Se passe en moins de temps que la poudre qui vole Du pied de leurs chevaux.
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
t, il ne tarda guere a estre vangé : car sur le poinct qu’en ce mesme temps on faisoit un sacrifice de chevres à la campagne,
u’on n’est point obligé de garder sa parole aux meschants, en quelque temps qu’on la leur ait donnée, et qu’à ceste occasion
tombent à la mercy de ceux qu’ils ont outragez. Il est arrivé de tout temps une infinité d’exemples de ceste nature, dont je
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
renoncent souvent à la leur, et par consequent qu’ils joüent à mesme temps divers personnages. Pour ce qui est des delices,
mediocre ; Et que ceux-là sont bien plus heureux qui sçavent en tout temps se garantir des excés, que ces autres qui en peuv
ur à la journée, sans donner ordre à s’empescher de mourir de faim en temps d’hyver. En quoy, certes, elle presage le destin
66 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 75 » pp. 48-48
’est de jour que je chantais, lorsque j’ai été pris ; aussi depuis ce temps , je suis devenu prudent. » La chauve-souris repri
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
tre les impies, il lui posa une seconde question : « Après combien de temps reviens-tu d’habitude dans les villes ? – Au bout
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
découvrit à l’instant, et la laissa reposer. Xanthus survint en mesme temps avecque ses escoliers, et tout scandalisé de voir
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
ere qu’à force d’aller à cette chasse, il en tua plusieurs avecque le temps . Les Rats cependant, voyant qu’il ne se passoit g
70 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
stre tresor ? Où pris ? Tout joignant cette pierre. Eh sommes-nous en temps de guerre Pour l’apporter si loin ? N’eussiez-vou
71 (1180) Fables « Marie de France, n° 16. Le lion et la souris » p. 150
t ; petit d’onur, ceo dit, avereit de li s[e]’il la ocieit. Gueres de temps ne demurra que un humme, ceo dit, apparailla une
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
ssable, ny d’imparfaict, mais au contraire elle resiste à l’injure du temps , et n’est susceptible d’aucune tache, ny d’aucune
e gloire que maintenant. Mais je manquerois plustost de loisir, ou de temps que de matiere, si je voulois rapporter au long t
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
la rompre ; dequoy ils vindrent à bout aisément. Leur ayant en mesme temps imposé silence ; « Mes chers enfants », leur dit-
re. Or les Gots mesmes se dissiperent par leurs propres inimitiez, du temps de Genseric et de Gilimer, apres lesquels ravager
74 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 249 » pp. 169-169
plus besoin de manteau, il s’en alla le vendre aussi. Mais le mauvais temps étant survenu ensuite et l’atmosphère étant deven
75 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 310 » pp. 204-204
e tanneur le remettait toujours, promettant de déménager dans quelque temps . Comme leur débat se renouvelait sans cesse, il a
76 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 84 » pp. 61-61
ns que je t’ai faits, dans le dessein de t’enrichir ? Si en effet les temps viennent à changer et que cet or passe en d’autre
77 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150
ur. Le lion se mit à rire et le laissa aller. Or il arriva que peu de temps après il dut son salut à la reconnaissance du rat
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
nnestes, ausquelles il feinct plusieurs bestes brutes s’estre de leur temps fort sagement employées ; et ainsi les unes avoir
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
’elle reçeut ce message, qui luy donna si fort l’allarme, qu’en mesme temps elle courut droit à son Mary, et se mit à crier b
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
t’il. « Je bastis une Ville », luy respondit l’Oyseleur ; et en mesme temps s’en allant un peu plus loing, il se cacha. Cepen
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
e. Or quand mesme elle ne se dissoudroit pas, c’est une chose en tout temps dangereuse de se vouloir égaler à ceux qui sont e
82 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
nt qu’ils fussent éclos
 Les annonçoit aux Matelots.
 Il arriva qu’au tems que la chanvre se seme
 Elle vid un Manant en cou
83 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
à Ce que c’est qu’une fausse ou veritable gloire. Adieu : je perds le temps  : laissez-moy travailler. Ny mon grenier ny mon a
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
rant, et alors tu en sortiras facilement. » Cette fable montre que le temps résout les difficultés. Chambry 30.2 Aliter
85 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
erait pas le lendemain. Là-dessus, il se retira. Au bout d’un certain temps , le malade se leva et sortit, pâle et marchant av
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
je luy en diray en vôtre presence ». En effect, il l’appella en mesme temps , luy commandant d’achepter ce qu’il trouveroit de
87 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
consacrerois aux mensonges d’Esope : Le mensonge et les vers de tout temps sont amis. Mais je ne me crois pas si cheri du Pa
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
signe à sa femme de luy obeyr, à cause d’Esope, et commanda en mesme temps , qu’on luy apportast des fagots, ausquels il mit
l n’a point de sujet de se fâcher, pourquoy le fait-il ? » Et à mesme temps s’addressant à Xanthus, « Seigneur », luy dit-il,
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
tteries et des carresses ». Cette resolution prise, il arriva quelque temps apres, que voyant son Maistre de retour en la mai
nsant faire de grandes caresses. Le maistre du logis s’estant à mesme temps mis à crier, voila venir les valets, qui traicter
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
aux Ptolomées, les Perses aux arriere-nepveux de Darius ; et de nôtre temps les François à la Royale Tyge de Bourbon, les Esp
s au desir de la nouveauté, accusant sans cesse la presente image des temps , et trouvant à dire à des choses necessaire, voir
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
eois, et les Bourgeois à celle des Gentils-hommes, qui la pluspart du temps joüent le roolle des Gouverneurs de Province. De
nent enfin le rebut des compagnies et sont contraincts la pluspart du temps d’aller chez les Estrangers, pour chercher à debi
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
Fables d’Esope à la maniere des Humanistes, je m’arresterois quelque temps à m’enquerir, pourquoy nostre Autheur fait invoqu
ou tard la recompense suit la Vertu, et que ce n’est jamais perdre le temps , de la pratiquer. Ce qui toutesfois ne semble pas
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
à dire au Mariage de plusieurs femmes ensemble. Ce qui a esté de tout temps en usage parmy les nations du Leuant, je ne sçay
encement du Mariage, cette froideur se tournera sans doute avecque le temps en une haine mortelle. Comme au contraire, s’ils
ntir et souspirer devant la Beauté qu’il veut servir ? N’est-il point temps que le nom de Serviteur ou de Maistresse luy soit
telle femme, par des soupçons tous-jours violents, et la pluspart du temps legitimes ? Comment pourrons-nous souffrir son ch
94 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 202 » pp. 141-141
au son, pensant que c’était quelque gros animal. Il attendit quelque temps , puis, la voyant sortir de l’étang, il s’approcha
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
lle choppoient tous ceux qui passoient par là. J’ay remarqué en mesme temps qu’il est survenu un certain homme, qui plus advi
96 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 21 » pp. 23-23
qu’on la rebutait, parce qu’elle était de race étrangère. Mais peu de temps après ayant vu que les coqs se battaient entre eu
97 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
suffisance, alors qu’il était soumis à tant de travaux. Mais vint le temps de la guerre : le cheval dut porter un cavalier a
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
oint entrer en défiance de luy, qu’ils avoient esté bons amis de tout temps , et que pour cela il desiroit fort de l’entreteni
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
sne passant sur un buisson, se mit une espine au pied, et vid à mesme temps un Loup, à qui s’addressant ; « Helas ! mon amy »
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
tre, et luy dit, que le Renard estoit pris. Le Paysan s’arma en mesme temps d’une massuë, pour en assommer son Ennemy, qui le
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