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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
ulle trace ;
 Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez-la plus bas ;
 Suivez le fil de la riviere.
 Un autre repartit : Non, n
s bas ;
 Suivez le fil de la riviere.
 Un autre repartit : Non, ne le suivez pas ;
 Rebroussez plutost en arriere.
 Quelle que
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
νται. Codd. Pa 155 Pf 84 Ma 105 Me 107 Mf 90 Mj 101 Ca 105. Un loup suivait un troupeau de moutons sans lui faire de mal. Le
mme d’un ennemi et le surveillait peureusement. Mais comme le loup le suivait toujours sans faire la moindre tentative d’enlève
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
. Mais quelqu’un me fit connoistre que j’eusse beaucoup mieux fait de suivre mon original, et que je laissois passer un des pl
s : ils ne nous ont laissé pour nostre part que la gloire de les bien suivre . Je joints toutefois ma Fable à celle d’Esope : n
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
t en son patois. Le Meusnier n’en a cure. Il fait monter son fils, il suit , et d’aventure Passent trois bons Marchands. Cet
ise,
 Jeune homme qui menez Laquais à barbe grise. C’estoit à vous de suivre , au vieillard de monter.
 Messieurs, dit le Meusn
J’en veux faire à ma teste. Il le fit, et fit bien.

 Quant à vous, suivez Mars, ou l’Amour, ou le Prince ; Allez, venez, co
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IV. Les deux Mulets. » p. 491
e. Est-ce donc là, dit-il, ce qu’on m’avoit promis ?
 Ce Mulet qui me suit , du danger se retire,
 Et moy j’y tombe, et je pe
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352

Ils entendirent du bruit.
 Le Rat de ville détale,
 Son camarade le suit .

 Le bruit cesse, on se retire,
 Rat en campagn
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XII. Le Cigne et le Cuisinier. » p. 399
e
 La gorge à qui s’en sert si bien. Ainsi dans les dangers qui nous suivent en croupe,
 Le doux parler ne nuit de rien.
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
épondit le renard, viens chez moi, je t’offre à dîner. » Le lièvre le suivit . Or à l’intérieur le renard n’avait rien à dîner
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 265 » p. 183
nt il jouissait. Mais dans la suite l’ayant vu chargé d’un fardeau et suivi de l’ânier qui le frappait avec un gourdin, il s’
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
quitter sa taniere.
 Elle approcha, mais en tremblant. 
Une autre la suivit , une autre en fit autant,
 Il en vint une fourmil
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 58 » pp. 283-283
elui qui l’avait lancé. Or c’était le temps de la moisson, et l’homme suivait , en déplorant sa récolte perdue. Il faut être ind
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 315 » p. 267
ouvaient pas atteindre le loup et par suite s’en retournaient, lui le suivait jusqu’à ce qu’il le joignît, et qu’il eût, en tan
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
affin de justifier ton émulation ? Croy-moy, ne t’amuse pas à ce qui suit la Vertu, mais desrobe la Vertu mesme. Car en ce
comme dit un des meilleurs Esprits de nostre âge. La gloire qui les suit apres tant de travaux, Se passe en moins de temps
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 16 » pp. 279-279
ilepsie, et de se laisser tomber dans un trou pour avoir du repos. Il suivit le conseil, se laissa tomber et se froissa tout l
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
emblable. L’un ameine un Chasseur, l’autre un Pâtre en sa Fable. J’ay suivi leur projet quant à l’évenement, Y cousant en che
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 23 » pp. 13-13
es mêmes succès, mais nous dire qu’il n’y a si beau temps qui ne soit suivi de l’orage. Chambry 23.2 Aliter — Autre ver
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 246 » pp. 384-384
l’ayant aperçu, l’enleva dans ses serres, et la grenouille enchaînée suivit et servit, elle aussi, de dîner au milan. Même mo
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
des marques d’une pernicieuse volonté, quand mesme elle ne seroit pas suivie d’un mal extraordinairement grand, ou qui auroit
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
d de mesme à la pluspart de ces pauvres Infortunez, qui s’obstinent à suivre la Cour, où ils blanchissent avant que devenir li
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
ble, Partant rien aux sœurs d’agreable. A la Coquette l’attirail, Qui suit les personnes beuveuses. La Biberonne eut le best
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
inier. Chapitre IX. Le jour d’apres, Xanthus commanda à Esope de le suivre , et le mena en un Jardin, pour y achepter des her
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
est possible, comment ils perdent les biens eternels et solides, pour suivre une ombre de felicité. Quelques-uns mettent Dieu
23 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
s. Ces différences provenaient-elles des divers manuscrits, isolément suivis par les éditeurs ? Étaient-elles dues au contrair
ait à ne pas se préoccuper de la filiation des textes et à ne pas les suivre dans le labyrinthe de leurs transformations succe
penche, et, mes goûts littéraires l’emportant, je m’abstins, pour les suivre , de solliciter de mes électeurs en 1890 le renouv
, à l’œuvre de l’auteur primitif ; Le deuxième, à celles qui, l’ayant suivie pas à pas, peuvent fournir, pour l’amélioration d
ffer, son illustre biographe, et presque tous les critiques qui l’ont suivi , jusqu’au père Brotier lui-même, se sont rappelé
un moraliste convaincu, qui eut, en restant pauvre, le rare mérite de suivre ses propres préceptes, et, en rêvant sans cesse l
vait confié à Cujas. Pendant cinq ans, à Bourges et à Valence, Pithou suivit les cours de ce fameux jurisconsulte, qui conçut
aux vraiment scientifiques et lui laissait en même temps le loisir de suivre ses goûts pour les études littéraires. En 1567, p
ission extraordinaire auprès de la reine Élisabeth, il consentit à le suivre en Angleterre. Mais la prospérité de ce pays lui
e. La lettre de M. de Steiger avait surexcité ma curiosité. L’été qui suivit la date de cette lettre, faisant un voyage nouvea
oniis MDCX. (Ces poèmes, qui remplissent les 67 premières pages, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le même auteur, pages 
nitentia, et ce membre de phrase, laissé inachevé, est immédiatement suivi des trois derniers vers d’une autre fable, qui, à
-ci, dit-il97, les lacunes ne sont point indiquées ; tous les mots se suivent , lors même qu’il est évident que plusieurs vers s
diquent nullement des lacunes observées dans le manuscrit, où tout se suit aussi bien que dans le manuscrit de Reims. De plu
Variæ perleges. Suivant lui, ce vers s’explique, si les fables qui suivent appartiennent au livre IV. La fable Poeta ad Part
ment fausses, imaginées par Pithou et par tous les éditeurs qui l’ont suivi . M. Berger de Xivrey avait bien vu ce qu’il y ava
dront reconstituer le texte du manuscrit de Reims n’ont qu’une voie à suivre , c’est de prendre pour base le manuscrit de Pierr
dont, comme je l’établirai, il ne différait que très peu. Le procédé, suivi par M. Berger de Xivrey, offre des inconvénients
amental, par opposition à celui de Reims découvert plus tard. Si l’on suivait cette première idée, on ne devrait tenir compte,
mme, dans l’exemplaire de l’édition de 1743, le cinquième livre était suivi des fables dont Gude avait emprunté le sujet à Ro
servation : « Ici finit le cinquième livre ; et ces autres fables qui suivent ne sont pas dans notre manuscrit. Il n’y a point
rée à chaque vers, avait naturellement supposé qu’il n’avait fait que suivre la disposition du texte reproduit. C’était une fa
anuscrit fût relié seul. Nous avons déjà vu que celui de Pithou était suivi d’un traité De Monstris ; à celui de Saint-Remi a
H. lit., t. II, p. 73). C’est aussi le sentiment de Tillemont qui l’a suivi (Till., Hist. emp., t. V, p. 662, art. 67). « Mai
Fables et celui du Querolus, et que, si, parce que cette comédie les suivait dans le manuscrit de Reims, Dom Vincent a cru pou
mi custos, mi heros, mi pater misericors. Sans intervalle, elle est suivie du psaume LXXXV en grec, qui commence au premier
e  siècle, sans qu’on ait pu savoir quelle filière le manuscrit avait suivie , il se trouvait dans la bibliothèque du duc de Pa
8 juillet 1696, il avait d’abord été confié à Hoogstraten, puis avait suivi à l’Université de Leyde les cours de Jacques Gron
eur sont habituelles. Mais cela n’était rien encore, comparé à ce qui suivit . Dans sa première édition, sauf treize petites po
II. La préface en cinq pages est signée de Renouard. Les fables sont suivies des variantes du manuscrit sous ce titre : Perot
NO VELTRIO VITERBIENSI CONCIVI SVO SAL. P. D. Les neuf feuillets qui suivent cette épître sont occupés par un index ou table d
j’ai déjà parlé et dont j’aurai encore à m’occuper, est immédiatement suivie de compositions très diverses, qui sont numérotée
à l’origine qu’à titre de passe-temps littéraire. Mais, lorsque nous suivons librement nos goûts, nous n’oublions pas complète
mmence par la lettre en prose à Titus Mannus Veltrius de Viterbe, que suivent la table des matières et la dédicace poétique à P
se reporta au commentaire de Perotti, dans lequel il put lire ce qui suit  : « Arbor Palladis. Olea Palladi sacra. Allusit
ine transtulimus : Olim quas vellent esse in tutela sua.” Et ce qui suit forme un total de douze vers qui finissent ainsi 
onga judicatis memoria. Enfin, si l’on examine la petite poésie, qui suit immédiatement, qui, dans le manuscrit de Pithou,
de Gabrias et de Phèdre, c’est pour indiquer qu’en agissant ainsi, il suivra leur exemple. Il est même supposable que c’est av
termine par ce vers : Sed jam ad Fabellam talis exempli feror, est suivi d’une fable qui ne s’y rapporte pas ; celle qui e
gnorées des auteurs qui furent les contemporains de Phèdre, ou qui le suivirent à Rome, et l’on devrait les retrouver dans leurs
morale ne devrait pas être faite par l’âne lui-même. » Mais Phèdre a suivi là un procédé qui lui est familier ; on le trouve
rie fausse n’obtient qu’un triomphe temporaire ; tôt ou tard elle est suivie d’une réaction, et cette réaction commençait déjà
eusement son abstention n’a pas été imitée par les éditeurs qui l’ont suivi . Dübner notamment, dans la préface de sa petite é
at regula, cet autre, dans lequel, contrairement à la règle toujours suivie par Prudence, il remplace par un spondée l’ïambe
nous en est rien parvenu. Car, dans ce manuscrit, le copiste n’a fait suivre d’aucune fable le titre du livre II et a fait com
nander poeta, une partie de la fable Viatores et Latro, les trois qui suivent cette dernière et l’épilogue. Il y a dans le manu
nd format, à 2 col., composés, le premier, de 6 feuillets non paginés suivis de feuillets paginés de 1 à 803, et, le second, d
inés de 1 à 803, et, le second, de feuillets paginés de 805 à 1752 et suivis de 6 non paginés occupés par un Index poeticus un
ssu. In-12 de 241 pages numérotées, précédées de 10 non numérotées et suivies de 3 dernières pages occupées par l’Index. 17
sententiis, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle édition suivie de notes grammaticales, etc. Par une société de p
abellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et suivie des imitations de La Fontaine et de Florian, par
e 107 pages, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en langue italienne. 1854.
æ, typis Petri L. Gilberti bibliopolæ. In-12 de 112 pages numérotées, suivies de 4 pages intitulées : Indice. 1855. Ph
avec des notes grammaticales, prosodiques, critiques et historiques, suivie d’un appendice contenant des rapprochements litté
ée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un commentaire et de notes, suivie des imitations de La Fontaine, etc., et de thèmes
tations de La Fontaine en regard, précédée d’une notice sur Phèdre et suivie d’un lexique par E. Darras, professeur à l’École
s trois Evesques. In-24 de 122 feuillets numérotés, précédés de 10 et suivis de 6 non numérotés, contenant le texte des fables
z F. Larchier, proche l’hôpital. Avec Permission. In-12 de 153 pages, suivies de 6 pages de table non numérotées. Les Fables de
lin, vis-à-vis le grand Collège. Avec permission. In-12 de 153 pages, suivies de 6 pages de table non numérotées. Réimpression
gmentée de la traduction des nouvelles fables attribuées à Phèdre, et suivie des fables imitées par La Fontaine. Paris, Delala
le Morelli. Con Licenza de’ Superiori. In-8º de 229 pages numérotées, suivies d’un errata de 3 pages non numérotées. Le volume
ivisée en 113 paragraphes et les fables elles-mêmes, dont chacune est suivie  : 1º de notes ; 2º de cinq traductions italiennes
r le frontispice, l’avis au lecteur, la vie de Phèdre et la table, et suivies de 2 consacrées aux variantes. Fedro recato in v
xie  siècle, en a profité pour y écrire le précieux renseignement qui suit  : Hic est liber sanctissimi domini nostri Marcia
, dies CCXI, menses VII. Voici quelques spécimens des problèmes qui suivent  ; je les emprunte à M. Pertz : Bos qui tota die
e l’éditeur qui expose que, dans le manuscrit Vossianus Q. 75, il est suivi du Martyrologium Bedae, et qu’il est, dans le man
ême et Saint-Martial de Limoges par O. Holder-Egger. Cette notice est suivie du texte même des notes marginales qui, dans le m
nformant d’ailleurs en cela aux principes du bon sens, ne fait jamais suivre d’un épimythion, c’est-à-dire d’une maxime finale
, et notamment dans ceux qui, tout en paraphrasant Phèdre, en avaient suivi pas à pas le texte, et, cherchant dans cet antiqu
pleræque satis ampla paraphrasi explicantur, il y avait trouvé ce qui suit  : Tunc vero Corvus ingemuit stupore deceptus… ;
outes ont bien leur origine dans l’œuvre de Phèdre, dont le copiste a suivi la division. À l’appui de sa thèse il puise un no
— Table des chapitres au nombre de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de cette souscription en lettres rouges : Finiun
ncre rouge : Finit liber de monstruis (sic). Ces mots sont eux-mêmes suivis de ces autres : Incipit liber secundus de bellui
milieu de la page par ces mots à l’encre rouge : Finit de belluis , suivis de ce titre du troisième livre en grosses capital
tête de ce Dérivé figure un prologue dans lequel on peut lire ce qui suit  : Liber igitur iste primo græce conscriptus est a
rum Æsopi Atheniensis 313, et voici comment débute le prologue qui le suit  : Romulus urbis Romæ Imperator Tiberino filio suo
ons de fables latines datant du moyen âge. C’est un exemple que je ne suivrai pas. On ne peut raisonnablement appeler Romulus l
je montrerai que la collection de l’anonyme de Nilant a, en général, suivi de plus près le modèle primitif ; mais il n’en es
mulus, étant donnée l’ignorance du copiste, il est probable qu’il eût suivi les divisions adoptées par son modèle, c’est-à-di
dans l’Æsopus ad Rufum les expressions du fabuliste antique. D’où il suit que ce n’est qu’en altérant cet Æsopus que l’aute
seconde fois, il n’y séjourna pas plus que la première, et, toujours suivi du même compagnon de route, il se rendit dans le
          Je désirais trop vivement parvenir à mes fins pour ne pas suivre la voie qui m’était tracée et je me hâtai d’adres
si je lui rapportais sa signature, il me confierait le manuscrit. Je suivis son conseil et me hâtai de me rendre chez le char
s en nombre à celles des manuscrits du premier groupe, mais encore se suivraient absolument dans le même ordre, si la fable du Ren
re, la fable lx de Walther ordinairement intitulée De Cive et Milite, suivie des deux fables qui y sont le plus souvent ajouté
a traduction allemande, et de laquelle j’extrais littéralement ce qui suit (feuillet 2 a) : Das Leben des hochberümten fab
ne à 26 b sont occupés par la vie d’Ésope en latin, qui est elle-même suivie de la traduction allemande due au Dr Steinhöwel.
que tibi moueant risum et acuant satis ingenium. Cette dédicace est suivie d’abord d’une traduction allemande, puis du prolo
Il est probable qu’après avoir, dans les trois premiers livres, fait suivre chaque fable en prose de sa traduction en vers, e
imitif, sont, comme celles de Romulus, ornées de gravures sur bois et suivies une à une de leur traduction en langue allemande
e correction maladroite. Les imprimeurs, qui dans les autres éditions suivaient le texte de l’édition d’Ulm, ont remarqué que la
de fables que je viens d’analyser sont, pour la commodité du lecteur, suivis d’une table alphabétique générale en allemand (fo
l. 26ª à 26b (d.iiª à d.iib). Prologue des fables en vers élégiaques, suivi d’une gravure commune à ce prologue et à la dédic
dans l’édition de Zeiner. Chaque fable de Romulus est précédée et non suivie de la fable correspondante en vers, et en est sép
fabularum Esopi. Fol. 39ª à 51ª (e.viiª à g.iiiª). Fin du livre II, suivi de la table du livre III, annoncée ainsi : Incip
à 65ª (g.iiiª à i.iª). Livre III. Fol. 65ª (i.iª). Fin du livre III, suivi de la table du livre IV annoncée en ces termes :
ion de l’autre. Remarquons, en terminant, que les fables n’y sont pas suivies de l’Histoire de Sigismonde, qui d’ailleurs n’est
préambule : la fable en vers est la première ; elle est immédiatement suivie de la fable en prose, au-dessous de laquelle est
ns les fables x et xiii du livre I la gravure précède, au lieu de les suivre , les deux fables auxquelles elle se rapporte. Fol
règle adoptée dans l’édition, la fable correspondante de Romulus qui suit immédiatement, porte ce titre : Eiusdem fabule p
tre méthodique. Les fables de Romulus sont tantôt précédées et tantôt suivies de leurs gravures. Le désordre est complet : ains
acune d’elles. Fol. 86 b (n. ii b). — Fin des fabulæ novæ. Elles sont suivies d’une table qui commence sur la même page et qui
ption, la dernière est en tête de la dernière fable qui est elle-même suivie de cette souscription finale : Finis diuersarum
Incipit prologus in speculum stultorum , et qui sur la même page est suivi de cette souscription : Explicit prologus. Cett
ec le titre : Prologus et la souscription : Explicit prologus que suivent les mots : Incipit liber. Le fol. 5 est occup
hibet consilium alteri. et sibi ipsi nescit consulere. L’ouvrage qui suit cette table a été, comme la table elle-même, impr
tur. Fol. 67 a à 80 a. —  Fabule extrauagantes. Ces 17 fables sont suivies chacune de sa gravure. Les titres courants sont t
ur chaque fable, la gravure, le texte en vers et le texte en prose se suivent dans le même ordre que pour le prologue. Fol. 30
le : il s’était dans son travail typographique attaché au contraire à suivre ses devanciers : il avait adopté le même format e
ravure pareille à celle des éditions antérieures. Le même ordre a été suivi pour les fables elles-mêmes : d’abord la gravure,
ques. Il a procédé de même pour les dix-sept fabulæ extravagantes qui suivent les fables de Romulus. Fol. 71 b (k. vii b). —  F
Sebastianus Brant : Onophrio Thedigene filio suo salutem. Elle est suivie d’une dissertation sur l’utilité des fables qui p
mêmes caractères que ceux de la précédente édition. Elles ne sont pas suivies de l’histoire de Sigismonde. B. Édition sans d
qui paraît avoir rivalisé d’ardeur avec eux, ou, tout au moins, avoir suivi leurs traditions. Trois fois, en 1491, en 1496 et
ont les six premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui suivent , contiennent l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets
l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numérotés contiennent ce qui suit  : Fol. 1 a. — Titre ainsi conçu : In disem Buch
feuillets 111 a à 178 a contiennent la traduction de l’œuvre de Brant suivie de cette souscription : Ein ende beyder teyl dis
i la traduction littérale : « Ici finissent les fables réunies. — Ici suit une deuxième partie de fables belles et agréables
ouvrage pour l’instruction de son fils Onophrius. Les fables de Brant suivent cette préface, et sur un feuillet final on lit, t
ux fois, dans le format in-4º, la traduction allemande de Steinhöwel, suivie de la traduction allemande des fables latines pub
volume in-8º de 452 pages chiffrées, précédées de quatre feuillets et suivies de six autres non paginés. Ces six derniers sont
ous la cote 7806, un exemplaire auquel j’ai emprunté l’analyse qui va suivre . Le volume se compose de 72 feuillets non paginés
e premier liure de esope et cōmēce le registre des fables du second. Suit la table au-dessous de laquelle on lit ce titre :
Fol. 23 b à 28 a. — Deuxième livre orné de 9 gravures seulement et suivi de ces deux phrases : Cy finist le second liure
on lesquelles ne sont pas trouueeӡ ne escriptes es liures de romule. Suit la table des matières. Fol. 51 a dernière ligne à
ernière ligne à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8 gravures et suivies de ce double avis : Cy finissent les fables de e
à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnées de dix gravures seulement et suivies de ce double avis : Cy finissent les fables de a
l. 68 b à 72 a. — Sept fables du Pogge avec cinq gravures. Elles sont suivies de cette souscription : Cy finissent les fables
est toujours le même. C’est la vie d’Ésope qui est en tête. Elle est suivie des fables de Romulus précédées elles-mêmes de la
le portrait d’Ésope en pied, et au-dessous du portrait on lit ce qui suit  : On les vend à Anuers en lescu de | Basle, par
é par feuillet. Les feuillets chiffrés sont au nombre de 134, et sont suivis de cinq autres non chiffrés, mais signés de r vii
servations que dans l’édition de 1550, auxquelles a été ajouté ce qui suit  : whereunto is added the Fables of Auian and als
n volume in-8º de 550 pages numérotées, précédées de six feuillets et suivies d’un dernier non numérotés. En voici le frontispi
in-8º de 550 pages chiffrées, précédées de huit premiers feuillets et suivies d’un dernier non chiffrés. Voici ce qu’on lit au-
partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l’analyse qui suit  : Fol. 1 a. — Titulus : Dye hystorien ende fabul
beghint dat register der fabulen | van dierste boeck van esopus , et suivie de cet autre : Hier beghint dat prologus oft pre
opus. En̄  beghint dat registere der | fabulen van dat andere boeck. Suit la table des fables du livre II. Fol. 34 a, col.
vā Eso-|pus fabulen. En̄ beghint dӡ register vā | den derden boeck. Suit la table du livre III qui se termine à la col. 2.
tes, qui ne sont ornées que de 15 gravures et ne sont ni précédées ni suivies d’aucune table. Fol. 73 b, col. 2. —  Hier naeuol
rnées de 27 gravures et terminées par la souscription et le titre qui suivent  : Hier eynden die fabulen en̄ historien | vā aui
du livre I : Aqui se acaba el primero libro. Elle est immédiatement suivie de ce titre du livre II : Aqui comiença el segun
dans un petit volume signé, qui se compose de 211 feuillets chiffrés, suivis de 5 autres sans numérotage consacrés à la table
sa venus y de su gallina. Ces fables sont, au verso du feuillet 71, suivies des mots : Deo gracias , au-dessous desquels on
ns un vol. in-8, de 373 pages numérotées, précédées de 5 feuillets et suivies de 9 pages de table non numérotées. Il en existe
s un volume in-8 de 343 pages numérotées, précédées de 4 feuillets et suivies de 9 pages de table, non numérotés. Il en existe
Cette édition consiste dans un volume in-8 de 364 pages numérotées, suivies de 4 pages de table non numérotées. Il en existe
une simple copie et pour constituer un véritable dérivé, elles l’ont suivi d’aussi près que les autres collections dont j’au
ial, Vincent de Beauvais a, sauf pour la fable du Cerf à la Fontaine, suivi l’ordre des fables du Romulus ordinaire, et qu’au
um facta esset. À la fin de sa copie il a ajouté les trois titres qui suivent  : De Cane latrante contra furem , De Securi ,
e et Ciconia qui se invicem invitaverunt  ; mais il ne les a pas fait suivre des fables qui y correspondent. Le manuscrit, ava
la fable de la Fourmi et du Grillon : « cantasti, hyeme salta », que suit l’épimythion. Immédiatement après vient l’épilogu
ronicis. || Capitulum I. extractus de speculo historiali. Elles sont suivies , au recto du fol. cvij, de l’épilogue, à la fin d
ume, la première colonne se termine par cette souscription en 10 vers suivis de la date de l’édition : Codicis insignis quin
. Amen. Comme dans les éditions antérieures, cette souscription est suivie d’un court traité intitulé : De Virginitate 383.
très peu d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va suivre , se trouve à la Bibliothèque nationale et figure
e est encadré. Le verso du premier feuillet et les cinq feuillets qui suivent sont occupés par la table. Puis viennent 243 feui
ême un dérivé mixte, issu d’éléments variés. Mais, en m’astreignant à suivre mon plan avec cette inflexibilité, je me serais,
t impossible, quand on a les trois auteurs sous les yeux, « de ne pas suivre , de ne pas toucher au doigt la filiation des text
autre par un autre, et qu’ensuite les deux éditions originales furent suivies de réimpressions qui prolongèrent leur divergence
me et achevé au mois de mars 1504. Dans cet exemplaire j’ai lu ce qui suit  : « Esopus etiam Phrigius ille fabulator philosop
ence par cette invocation : Sancti Spiritus assit nobis gratia. Amen, suivie de ce titre : Incipit Esopus , et se termine par
insi : Jam tot in ecclesias insurrexere procellæ. Ce petit poème est suivi de l’épigramme, qui, dans la pensée du scribe éta
end au moins soixante. En voici, suivant l’ordre le plus généralement suivi dans les manuscrits et dans les éditions du xve  
t les fables De Capone et Accipitre et De Pastore et Lupo. Elles sont suivies de ces mots : Deo gratias Amen , qui terminent l
ns tous les autres manuscrits que j’ai déjà examinés. Les fables sont suivies de trois ouvrages poétiques, dont le premier para
bas du fol. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8023 et 8460, est suivie de ce dernier vers, ou plutôt de cette espèce de
e postérieur a effacé ce nom, de sorte qu’il ne reste plus que ce qui suit  : Quis scripsit scribat, semper cum domino vivat
e Fine sui , etc., qui d’ordinaire termine la soixantième fable, est suivi de cet autre : Perdere quisque suam sortem de iu
e fable porte un titre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mots écrits avec la même encre : Deo grat
es 89 premiers feuillets numérotés contiennent les fables de Walther, suivies chacune d’une traduction en vers français de 8 sy
      Auxilium mittunt celitus ista duo. Le prologue ainsi accru est suivi d’une traduction, en tête de laquelle le copiste,
re mainte foiz : Sus saiche cruse est bonne noiz. Puis se succèdent, suivies chacune de sa traduction, les fables latines de W
En la nommer grand déport a. La collection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue, comprend, comme la précédente, le te
aque fable latine est précédée d’une miniature appropriée au sujet et suivie d’une traduction française en vers de huit syllab
emier feuillet neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est resté entièrement b
t lui. Cette miniature est la seule. Le prologue et les fables qui la suivent ne présentent d’autre ornement que celui de leur
e. Les fables du manuscrit 1595, comme celles du manuscrit 1594, sont suivies d’un épilogue en vers français, qui commence au f
s d’Avianus, ni les prologue et épilogue dont elles sont précédées et suivies dans le manuscrit 1594. La raison me paraît en êt
. Cette traduction se compose de 39 fables précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue. Le prologue, comme celui du manusc
et bleue, de traits rouges. Comme dans le manuscrit 1594, elles sont suivies de la traduction de dix-huit fables d’Avianus. To
mss. 1595 et 19123, ne se compose que de 26 vers. Elles sont en outre suivies d’un épilogue, qui n’a également que 18 vers. Com
uillets écrits, 3 blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qui les suivent . Il renferme 43 fables écrites en prose française
l renferme 43 fables écrites en prose française, dont la moralité est suivie d’une autre affabulation contenue dans un distiqu
it jure magistro (sic). Les fables de Walther sont dans le manuscrit suivies de celles d’Avianus, qui occupent les feuillets 1
u xviiie  siècle, dont je ne puis mieux parler qu’en extrayant ce qui suit de sa biographie écrite par M. Delandine : « Pier
sur une seule colonne. Le manuscrit a renfermé les fables de Walther, suivies chacune de sa traduction en vers français de huit
latin a romãt. Un grattage a fait disparaître le nom du traducteur. Suivent , sous ce titre : Li prolougues , vingt-huit vers
oit la poinne qui lo fait. Fol. 6 a, 6 b et 7 a. —  De Cane et Ove. Suivent les dix vers de la fable latine, la miniature et
ol. 7 a, 7 b et 8 a. —  De Cane portante carnem in ore. Ce titre est suivi de six vers de la fable latine, de la miniature e
re-vingt-douze vers latins dont elle se compose sont, comme toujours, suivis d’une miniature appropriée à la fable et d’une tr
française, mais encore du texte latin, précédée d’une introduction et suivie d’un glossaire. Sa publication me dispense de don
du commencement du feuillet 81 b au milieu du feuillet 82 b. Ils sont suivis de l’ouvrage lui-même, dont le premier chapitre e
auteur, et dans lequel, presque dès les premiers mots, on lit ce qui suit  : « Causa autem efficiens fuisse dicitur Esopus q
signées par les mots Esopus metrice, sont au nombre de 60. Elles sont suivies d’une soixante et unième fable, dans laquelle il
elles, et qui, précédé de ce titre : Hic incipiunt dicta Ysopi , est suivi de cette souscription : Expliciunt dicta Ysopi ,
entiques. La fable lx n’a pas le distique final qui habituellement la suit  ; il a été rejeté à la fin d’une soixante et uniè
est lui-même, vers le milieu de la première colonne du feuillet 19 b, suivi de ces trois vers léonins : Explicit esopus ; pe
présent, à cette indication, et je passe à celles de Walther qui les suivent . Limitées aux soixante authentiques, elles commen
tres particuliers, mais sont accompagnées de gloses interlinéaires et suivies chacune d’un commentaire. Celui qui s’applique au
ème vers dans le texte primitif. Enfin la soixante-deuxième fable est suivie de cette souscription : Explicit liber Exopi. de
iter ordinate. Elles sont accompagnées de gloses interlinéaires, et suivies chacune d’un commentaire d’une écriture plus fine
sont accompagnées de courtes gloses tant en marge qu’en interligne et suivies de cette mention qui paraît être de la même main
ut prodesse volunt aut delectare poete. » Les fables élégiaques qui suivent , sont très incomplètes ; mais le manuscrit n’en e
sur l’état artistique et scientifique du temps, mais encore elle est suivie d’une traduction en vers allemands, qui est l’œuv
lées en ces termes : Æsopi fabulae versibus elegiacis expressae , et suivies de quatorze autres ouvrages. J. Manuscrit 1430
nt les premiers feuillets, et qui du feuillet 61 au feuillet 102 sont suivies de celles d’Avianus. Les unes et les autres sont
logue latin, qui commence au verso du premier feuillet, est également suivi de deux sonnets qui s’y rapportent. Il en est de
il avait pris la peine d’écrire et de signer de sa propre main ce qui suit  : dvx Iste liber est mei Jarandi de nobilibus
ment étrangère à Walther. Elles se terminent au feuillet 25 b et sont suivies de cette mention finale, qui fixe l’âge exact du
gument intitulé : Argumentum fabularum Esopi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’épilogue terminé par ce dernier ver
thèque nationale, peut-être même un peu plus fines, et respectivement suivies de leur traduction en vers français. L’épimythion
rit 1594, M. Robert n’avait pas pu lire complètement. Ce prologue est suivi de dix-neuf fables latines, accompagnées de leur
elles ce titre général : Ci commence le liure Auionnet. Elles sont suivies de l’épilogue en 86 vers que j’ai déjà transcrits
dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais chacune d’elles est suivie d’une glose très différente de celle des autres m
 2 à 23, elles sont précédées de ce titre : Incipit liber Exopi , et suivies de ce vers final qu’on employait souvent au moyen
s se composent des soixante authentiques, et des deux complémentaires suivies elles-mêmes de la fable en vers hexamètres De Pue
contente de rappeler qu’il renferme les soixante fables authentiques suivies des deux complémentaires. E. Manuscrit 10624.
une main moins ancienne que celle du copiste primitif a écrit ce qui suit  : « C’est le liure des fables de Ysope mora||lise
tre bien connu : Finito libro sit laus et gloria Christi (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une main
s ainsi conçu : Hæc mouet, ut fiat esca Leonis Equus. Celles qui la suivent sont complètes. Ces 19 fables occupent 12 feuill
itre : Æsopi fabulæ carmine. Les soixante fables authentiques sont suivies des deux qui en sont le complément le plus fréque
plus fréquent. La dernière, qui est la fable De Pastore et Lupo, est suivie de cette phrase finale : Explicit liber Esopi. D
l est incontestablement l’auteur, mais encore les deux fables qui les suivent le plus souvent. Elles sont accompagnées d’une gl
à 57 a. Elles se terminent par cette première souscription : Amen , suivie de cette seconde : Explicit liber Exopi. Deo gra
iculiers à l’encre rouge, ne sont accompagnées d’aucune glose et sont suivies de cette souscription : Explicit liber exopi. de
mence au haut du feuillet 7 a, consiste dans les 60 fables de Walther suivies des deux complémentaires, qui, dans le manuscrit,
se lit cette souscription : Explicit liber esopi deo gratias. amen , suivie elle-même de cette autre : Manus scriptoris salv
titulées : De Capone et Accipitre et : De Pastore et Lupo , et que suit le distique final ordinairement placé après la so
Explicit liber exopi. Deo gracias. Amen. Elles sont immédiatement suivies d’un Commentaire latin qui, commençant au feuille
, De pueris ludentibus. Comme elle n’entrera pas dans l’appendice qui suivra les fables de Walther, je la transcris ici : Lu
été coupé et un cahier de 12 ffos également dépourvus d’écriture, que suivent d’abord les quarante-deux fables d’Avianus, puis
s soixante autres. Comme dans le précédent manuscrit, les fables sont suivies de celle en vers hexamètres dont j’ai donné copie
imée à Rome en 1473, dans le format in-4º. Les fables de Walther sont suivies de cette mention finale : M.cccc.lxxiii. impress
les fables élégiaques qui sont au nombre de soixante. La dernière est suivie de cette mention : Libellus Esopi fabulatoris ma
aucune glose ; elles consistent dans les soixante-deux plus usuelles, suivies de celle intitulée De Puero suspenso, au-dessous
gauche). Le recto du second feuillet porte ce simple titre : Esopi , suivi du prologue dans lequel les fables sont attribuée
euillet, en tête du recto, porte cet autre titre : Liber Esopi , que suit immédiatement le commentaire commençant par ces m
ents de son défunt époux. Je ne dis rien ici des fables d’Avianus qui suivent celles de Walther, et je me borne à transcrire la
s indication de lieu ni de nom d’imprimeur, par le simple mot Amen , suivi de la date de : M. D. VIII. Le verso de ce feuill
mêmes ne sont accompagnées d’aucune glose et qui ne sont précédées ni suivies d’aucune table. Les fables se composent des soixa
ucune table. Les fables se composent des soixante-deux plus usuelles, suivies de celle intitulée tantôt : De puero suspenso ,
ue de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume Loticus, prêtre parmesan, et suivies de la souscription suivante : Æsopi fabulae per
bule. En outre, chaque distique tant de la préface que des fables est suivi d’une explication latine qui est plutôt une parap
accompagnées de la glose qui lui en attribue la paternité. Elles sont suivies de cette souscription spéciale : Fabularum liber
 50 b), annoncées par ce titre : Incipit liber primus fabularum que suit ce préambule en distiques élégiaques, inspiré par
ivisées en trois livres. Au recto du dernier feuillet la dernière est suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi finis.
de laquelle se trouvent les initiales M. B., et au bas on lit ce qui suit  : Mediolani, apud Besutios fratres. || Anno salu
Avibus et Pavone. Elles se terminent au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une table des matières. Il existe à la biblioth
r les soixante fables de Walther augmentées de celles dont les titres suivent  : 61. De Capone et Accipitre et Domino ; 62. De P
alther qui, commençant à la page 96, se termine à la page 137. Il est suivi , pages 138 à 157, de longues et savantes observat
illet 61. Les titres sont écrits à l’encre rouge, et chaque fable est suivie de sa moralité, sans démarcation qui les sépare.
soixante-quatre ; mais, par erreur, le nº 40 a été donné à celle qui suit la trente-huitième. Il s’ensuit qu’il n’en possèd
le que renferme le dernier est celle Del Pastore e del Lupo. Elle est suivie de cette souscription : Finito el libro d’Ysopo
on Berti et manque complètement dans l’édition Manni. Les fables sont suivies du Libro di Cato, qui lui-même est terminé par ce
voit, il n’y a pas de préambule : le titre général est immédiatement suivi de la première fable, qui commence par ces mots :
es et souscriptions sont à l’encre rouge. Puis commencent les fables, suivies chacune d’une morale, qui porte pour titre le mot
traduite. Les fables se terminent au verso du feuillet 81. Elles sont suivies d’un opuscule également en langue italienne vulga
autre morale, par lesquels Zuccho a traduit chaque fable latine, sont suivis de la fable correspondante en prose italienne. Qu
é avec soin par Giovanni Aluise et par ses associés. » Ce sonnet est suivi de ce sixain en vers élégiaques conçu dans le mêm
nes avec leur traduction italienne. Chacune d’elles est immédiatement suivie de deux sonnets intitulés, l’un : Sonetto materi
qui finit au haut du recto du feuillet p 7, et qui est immédiatement suivi d’un Ave Maria affectant la forme d’un sonnet ita
ont annoncées par ce titre : Lepidissimi Aesopi fabulae. Elles sont suivies de ces formules finales : Intret in has hædes (
pi || fabv||lae. Fol. 4 a (a 4 rº) à 4 b (a 4 vº). — Prologue latin suivi d’un Sonetto materiale et d’un Sonetto morale en
une est ornée d’une gravure au-dessous de laquelle se trouve le titre suivi du texte latin et ensuite d’un double Sonetto en
Fol. 96 b (m 8 vº) à 99 b (n 3 vº). — Concionetta et Canzon morale suivis du mot Finis. Fol. 99 b (n 3 vº) à 100 b (n 4 vº)
quatre. Chaque fable latine est accompagnée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets qui en contiennent la traduction
xante-quatre. Chaque fable latine est ornée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets italiens qui en sont la traducti
rale. Puis commencent les fables, illustrées chacune d’une gravure et suivies chacune des deux sonnets qui la paraphrasent. Au
sa chaire et entouré de ses élèves. Les fables, au nombre de 64, sont suivies de cette souscription : Impressae Venetiis per A
a. Le verso du premier feuillet est rempli par le sonnet italien qui suit  : Perche l’ingegno mio troppo e legiero     Orn
une pièce de vers italiens, intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et suivie au verso du dernier feuillet d’une souscription a
rothonotario et Logotheta be||nemerito Felicitate. » Ce préambule est suivi d’une épître à « Honorato de Aragonia », après la
n dernier de 8, contenant les fables et les table et registre qui les suivent . J’ai rencontré des exemplaires de cette édition
lle est divisée en chapitres, dans chacun desquels le texte latin est suivi de la paraphrase italienne et n’en est séparé que
grandes gravures toujours encadrées, placées après le texte latin et suivies elles-mêmes de leur paraphrase italienne divisée
nt au nombre de 64 sous 66 numéros. Le distique Fine fruor, etc., qui suit la dernière, fait l’objet d’une paraphrase spécia
pularité éphémère, que l’indifférence et l’oubli devaient promptement suivre . Pendant plusieurs siècles, tout ce qu’on sut, c’
e de la première fable de Neckam, j’ai déjà montré qu’il avait plutôt suivi le texte du Romulus ordinaire que celui de Phèdre
tre de la septième. Le reste n’a pas été perdu, et l’espace blanc qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas continué
. La fin des quarante fables et le commencement de l’épilogue qui les suit sont indiqués dans le manuscrit, au bas de la 2e 
ncent les fables Ysopet et les moralités qui sont dessus. Elles sont suivies de l’épilogue, à la suite duquel se lit cette phr
a pas groupés en sixains. Les fables sont précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue, dans lesquels le traducteur ne se
é qui ne permet aucun doute sur leur origine, que chacune d’elles est suivie du distique élégiaque qui dans le texte latin for
i qu’on l’a vu, que les feuillets 132 à 137, et sont au nombre de 80, suivies d’un double épilogue. La collection en comprenant
Les fables de ce dérivé sont au nombre de 60. Mais 56 seulement sont suivies des fables correspondantes de l’Anonyme. Les 4 de
udæo et Pincerna et : De Cive et Milite. Enfin elles sont elles-mêmes suivies de la fable qui est ordinairement la trente-huiti
la et Ovis sodales fuerunt Leonis. Ici on voit le Romulus ordinaire suivre Phèdre de plus près que celui de Florence ; mais,
che et de la Mule précède celle de la Mouche et de la Fourmi, elle la suit dans le même livre du Romulus de Florence. Mais,
ici changer de procédé. En conséquence voici, établis d’après l’ordre suivi dans le manuscrit lui-même, les titres des fables
l’original n’avaient pas échappé à Nilant ni aux commentateurs qui le suivirent . Mais ces derniers, ne se préoccupant du Romulus
lles sont précédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et suivies de l’épilogue à Rufus. Elles ne portent pas de ti
fol. 39, s’arrête aux mots iacentem in itinere , qui sont également suivis d’un grand espace laissé en blanc pour permettre
tif, et sont divisées en trois livres précédés de la même dédicace et suivis du même épilogue. Le premier comprend 18 fables ;
e me mets ici en contradiction avec moi-même ; mais, en lisant ce qui suit , on comprendra qu’il n’en est rien. Le Romulus de
ulus anglo-latin ne serait pas complète, si elle n’était pas au moins suivie d’un coup d’œil sur l’œuvre de la femme, qui, au
, dans un des manuscrits, sont précédés d’un préambule de dix vers et suivis d’un complément de douze, double addition écrite
n’est pas tout : l’ordre des fables variant dans chaque manuscrit, je suivrai celui qui a été adopté par M. de Roquefort. Enfin
ème et la quatrième ne viennent qu’après l’épilogue, qui est lui-même suivi du mot Explicit et qui semble ainsi les mettre ne
avait fait sa traduction anglaise, et qui fut plus tard indirectement suivi par Marie. Les cent trois fables, que dans tous l
me, ainsi que je l’ai déjà dit, précédé d’un préambule de dix vers et suivi d’un complément de douze, qui ne se trouvent pas
6. Ainsi qu’on l’a vu par la copie que j’en ai donnée, l’épilogue qui suit les fables ne se compose que de vingt-deux vers.
éral de bonnes leçons, mais où il manque des vers. » Cette notice est suivie de cette mention ajoutée par une main plus récent
o du feuillet 74, par le prologue composé de 40 vers. Ce prologue est suivi non pas, comme l’affirme M. de Roquefort, qui, qu
rante vers du prologue, pourvues chacune d’un titre spécial, mais non suivies de l’épilogue, qui fait défaut. E. Manuscrit 2
illet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordinaires les précèdent et les suivent . Elles ne sont accompagnées d’aucun titre ; mais
iatement après la quatre-vingt-dix-huitième fable et qui lui-même est suivi du mot Explicit. Il s’ensuit que le manuscrit ne
de litres particuliers, mais sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue composé seulement de 22 vers. H.
présentait le renard saillissant l’ourse. Les fables, qui ne sont pas suivies de l’épilogue, se terminent par la souscription
occupé par une nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit, suivie de cette observation : « L’écriture ci-dessus est
i pas vu en d’autres textes aussi anciens. Voyez fo 56 ro. Le copiste suit le dialecte du nord de la France. » Quand on lit
, contrairement à l’indication de M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire, écrit par la même main q
euillet suivant vient le prologue en quarante vers. Les fables qui le suivent sont pourvues de titres spéciaux écrits à l’encre
ndiqué les sources des deux séries : « N a . Toutes les variantes qui suivent sont de la main de M. le comte de Caylus. Il les
uoique aucun feuillet ne paraisse manquer à la fin, elles ne sont pas suivies de l’épilogue. B. Manuscrit Harley 978. Le
s le manuscrit Cott. Vesp. EV. » Ici paraphe pareil au précédent, que suivent les mots : « Avril 1862531 ». Les fables de Marie
t au haut du feuillet 40 a par ce titre : Ici cumence le ysope , que suit le prologue en 40 vers, ne sont pas pourvues de t
table de la vie des saints qui est la première des œuvres réunies, et suivis de 4 feuillets blancs, dont le premier (f. 386) p
nt les quarante vers du prologue. Elles sont au nombre de 88, d’où il suit que, pour être complète, la collection devait en
71 à 75 et 80 à 81. Elles sont pourvues chacune d’un titre spécial et suivies d’un épilogue en 26 vers. Indépendamment des diff
rt de cet exemple que le Romulus Roberti, plus que celui de Nilant, a suivi de près le Romulus primitif. Quant aux trois fabl
lant, a suivi de près le Romulus primitif. Quant aux trois fables qui suivent la première, comme elles sont, dans le Romulus Ro
interposée entre lui et les deux Dérivés partiel et complet. D’où il suit enfin que, loin d’avoir donné le jour au Romulus
Marie a été faite sur une première version qui, sans nul doute, avait suivi pas à pas le Romulus anglo-latin, il faut en indu
. Je vais en donner une plus détaillée. Si je me conformais à l’ordre suivi par le rédacteur du Catalogue, je devrais d’abord
bas de la première colonne du feuillet 194 b (en réalité 195 b), sont suivies de ce mauvais pentamètre léonin écrit à l’encre n
ouble emploi. On en va pouvoir juger par les extraits comparatifs qui suivent et que j’emprunte à la fable du Corbeau et du Ren
squ’il y est question de la version anglaise, l’a, non précédée, mais suivie . Mais de là à en avoir été la traduction latine i
plète. Chaque fable est surmontée d’un titre écrit à l’encre rouge et suivie d’un dessin à la plume grossièrement exécuté et e
5. De Puero et Fure. 16. De Viatore et Satyro. Ces seize fables sont suivies de ces deux ineptes distiques placés au bas du fe
ius Filio. Les fables du Dérivé sont, comme dans le manuscrit 1108, suivies de seize autres en prose dérivées d’Avianus et de
nus de fabulis deo gracias , etc. Les deux collections de fables sont suivies de deux tables des matières intitulées, l’une :
étend du feuillet 36 a, 1re col. au feuillet 65 b, 2e col. et qui est suivi d’une version en prose des fables d’Avianus aussi
haut de la première colonne du feuillet 37 a. Elle est immédiatement suivie de la table de la seconde série de fables qui est
t pourvue d’un titre toujours écrit à l’encre rouge. Enfin elles sont suivies des dix-sept fables en prose qui ont déjà été men
e plus conforme aux leçons primitives, c’est encore ce dernier que je suivrai . 7º Manuscrit 15. A. VII de la Bibliothèque du
é un manuscrit incomplet ou laissé sa besogne imparfaite, il l’a fait suivre de cette souscription : Expliciunt ethisi. Sau
den, et l’on verra que ce dernier les a dans sa version littéralement suivies . En résumé, voici ce qui s’est passé : le Romulus
i maintenant on se reporte au Dérivé hexamétrique, on y trouve ce qui suit  : Sed muris collum per fraudem Rana ligavit Acqu
ts vers les recherches historiques et hagiographiques, et, pour mieux suivre ses goûts, se retira à Foligno, d’où sa famille é
vres du docteur Tross des indications plus détaillées à la notice qui suit la préface de la Chronique de Saxe, et, pour leur
n ædibus B. G. Teubneri, MDCCCLXXV, in-8º. À la page 16 on lit ce qui suit  : Itaque sic habeto : fuit corpus quoddam fabular
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
apprennent de celles qui n’en ont point ce qu’elles doivent eviter ou suivre , pour la conduitte et l’instruction de leur vie.
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
frequentations, et se dégager de ces pratiques. Car la confusion qui suit les pompes de ces gents-là, est partagée à ceux q
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
Médisant ne le peut aucunement noircir d’infamie. Car le des-honneur suit l’action, et ne s’attache point à la personne off
esque tous-jours de leurs compagnons, et les tragiques évenements qui suivent leurs entreprises. Voila donc la principale raiso
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
cide ; mais les Delphiens qui le guettoient ne manquerent point de le suivre , si bien que l’ayans atteint, ils s’en saisirent
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
nt, il n’y a point de doute que le devoir de leur charge les oblige à suivre un autre genre de vie. Ce sont eux que Plutarque
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
r gloire par dessus toutes les nations de leur temps. Les Scythes qui suivent la loy naturelle, et tiennent une sorte de gouver
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
ient par l’exercice, et par le raisonnement. Il est donc bon que nous suivions cét instinct, si nous voulons reüssir agreablemen
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
se qu’elle appartient à la Justice. Ainsi, quand mesme elle ne seroit suivie d’aucun avantage temporel, nous ne laisserions pa
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
’il remarque en luy. Cela nous apprend que tost ou tard la recompense suit la Vertu, et que ce n’est jamais perdre le temps,
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
t un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. Esope se mit donc à suivre Xanthus, comme il s’en alloit en sa maison. Alors
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
aict à la Brebis, et de luy tondre la laine, ce qui est cause qu’elle suit paisiblement, et se laisse prendre par les pieds,
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
fois plus desirable que celle-là. Car estant veritable que le remords suit ordinairement le peché, l’on peut dire aussi, san
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
rmes. Ce fut une pretieuse marque d’Honneur deuë à sa Vertu que vous suivez  ; et ce n’est point aussi le Hazard, mais le Meri
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
oüer un si lasche tour à son amy. Aussi voyons-nous, que la vengeance suit incontinent son peché, et que les cris du Renard
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
ourtant je t’y servirai encore. » Alors, comme un chien de chasse, il suivit la trace du cerf, ourdissant des fourberies, et i
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
et se tiendra tres-volontiers au gaing present, plustost que d’aller suivre une avanture incertaine, et béer apres la conques
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
bien vestus ; à pied, s’ils sont de qualité d’aller en carrosse ; mal suivis , si leur naissance merite des Pages ; bref, il n’
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