ulle trace ;
Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez-la plus bas ;
Suivez
le fil de la riviere.
Un autre repartit : Non, n
s bas ;
Suivez le fil de la riviere.
Un autre repartit : Non, ne le
suivez
pas ;
Rebroussez plutost en arriere.
Quelle que
νται. Codd. Pa 155 Pf 84 Ma 105 Me 107 Mf 90 Mj 101 Ca 105. Un loup
suivait
un troupeau de moutons sans lui faire de mal. Le
mme d’un ennemi et le surveillait peureusement. Mais comme le loup le
suivait
toujours sans faire la moindre tentative d’enlève
. Mais quelqu’un me fit connoistre que j’eusse beaucoup mieux fait de
suivre
mon original, et que je laissois passer un des pl
s : ils ne nous ont laissé pour nostre part que la gloire de les bien
suivre
. Je joints toutefois ma Fable à celle d’Esope : n
t en son patois. Le Meusnier n’en a cure. Il fait monter son fils, il
suit
, et d’aventure Passent trois bons Marchands. Cet
ise,
Jeune homme qui menez Laquais à barbe grise. C’estoit à vous de
suivre
, au vieillard de monter.
Messieurs, dit le Meusn
J’en veux faire à ma teste. Il le fit, et fit bien.
Quant à vous,
suivez
Mars, ou l’Amour, ou le Prince ; Allez, venez, co
e. Est-ce donc là, dit-il, ce qu’on m’avoit promis ?
Ce Mulet qui me
suit
, du danger se retire,
Et moy j’y tombe, et je pe
Ils entendirent du bruit.
Le Rat de ville détale,
Son camarade le
suit
.
Le bruit cesse, on se retire,
Rat en campagn
e
La gorge à qui s’en sert si bien. Ainsi dans les dangers qui nous
suivent
en croupe,
Le doux parler ne nuit de rien.
épondit le renard, viens chez moi, je t’offre à dîner. » Le lièvre le
suivit
. Or à l’intérieur le renard n’avait rien à dîner
nt il jouissait. Mais dans la suite l’ayant vu chargé d’un fardeau et
suivi
de l’ânier qui le frappait avec un gourdin, il s’
quitter sa taniere.
Elle approcha, mais en tremblant.
Une autre la
suivit
, une autre en fit autant,
Il en vint une fourmil
elui qui l’avait lancé. Or c’était le temps de la moisson, et l’homme
suivait
, en déplorant sa récolte perdue. Il faut être ind
ouvaient pas atteindre le loup et par suite s’en retournaient, lui le
suivait
jusqu’à ce qu’il le joignît, et qu’il eût, en tan
affin de justifier ton émulation ? Croy-moy, ne t’amuse pas à ce qui
suit
la Vertu, mais desrobe la Vertu mesme. Car en ce
comme dit un des meilleurs Esprits de nostre âge. La gloire qui les
suit
apres tant de travaux, Se passe en moins de temps
ilepsie, et de se laisser tomber dans un trou pour avoir du repos. Il
suivit
le conseil, se laissa tomber et se froissa tout l
emblable. L’un ameine un Chasseur, l’autre un Pâtre en sa Fable. J’ay
suivi
leur projet quant à l’évenement, Y cousant en che
es mêmes succès, mais nous dire qu’il n’y a si beau temps qui ne soit
suivi
de l’orage. Chambry 23.2 Aliter — Autre ver
l’ayant aperçu, l’enleva dans ses serres, et la grenouille enchaînée
suivit
et servit, elle aussi, de dîner au milan. Même mo
des marques d’une pernicieuse volonté, quand mesme elle ne seroit pas
suivie
d’un mal extraordinairement grand, ou qui auroit
d de mesme à la pluspart de ces pauvres Infortunez, qui s’obstinent à
suivre
la Cour, où ils blanchissent avant que devenir li
ble, Partant rien aux sœurs d’agreable. A la Coquette l’attirail, Qui
suit
les personnes beuveuses. La Biberonne eut le best
inier. Chapitre IX. Le jour d’apres, Xanthus commanda à Esope de le
suivre
, et le mena en un Jardin, pour y achepter des her
est possible, comment ils perdent les biens eternels et solides, pour
suivre
une ombre de felicité. Quelques-uns mettent Dieu
s. Ces différences provenaient-elles des divers manuscrits, isolément
suivis
par les éditeurs ? Étaient-elles dues au contrair
ait à ne pas se préoccuper de la filiation des textes et à ne pas les
suivre
dans le labyrinthe de leurs transformations succe
penche, et, mes goûts littéraires l’emportant, je m’abstins, pour les
suivre
, de solliciter de mes électeurs en 1890 le renouv
, à l’œuvre de l’auteur primitif ; Le deuxième, à celles qui, l’ayant
suivie
pas à pas, peuvent fournir, pour l’amélioration d
ffer, son illustre biographe, et presque tous les critiques qui l’ont
suivi
, jusqu’au père Brotier lui-même, se sont rappelé
un moraliste convaincu, qui eut, en restant pauvre, le rare mérite de
suivre
ses propres préceptes, et, en rêvant sans cesse l
vait confié à Cujas. Pendant cinq ans, à Bourges et à Valence, Pithou
suivit
les cours de ce fameux jurisconsulte, qui conçut
aux vraiment scientifiques et lui laissait en même temps le loisir de
suivre
ses goûts pour les études littéraires. En 1567, p
ission extraordinaire auprès de la reine Élisabeth, il consentit à le
suivre
en Angleterre. Mais la prospérité de ce pays lui
e. La lettre de M. de Steiger avait surexcité ma curiosité. L’été qui
suivit
la date de cette lettre, faisant un voyage nouvea
oniis MDCX. (Ces poèmes, qui remplissent les 67 premières pages, sont
suivis
de l’éloge de Henri IV par le même auteur, pages
nitentia, et ce membre de phrase, laissé inachevé, est immédiatement
suivi
des trois derniers vers d’une autre fable, qui, à
-ci, dit-il97, les lacunes ne sont point indiquées ; tous les mots se
suivent
, lors même qu’il est évident que plusieurs vers s
diquent nullement des lacunes observées dans le manuscrit, où tout se
suit
aussi bien que dans le manuscrit de Reims. De plu
Variæ perleges. Suivant lui, ce vers s’explique, si les fables qui
suivent
appartiennent au livre IV. La fable Poeta ad Part
ment fausses, imaginées par Pithou et par tous les éditeurs qui l’ont
suivi
. M. Berger de Xivrey avait bien vu ce qu’il y ava
dront reconstituer le texte du manuscrit de Reims n’ont qu’une voie à
suivre
, c’est de prendre pour base le manuscrit de Pierr
dont, comme je l’établirai, il ne différait que très peu. Le procédé,
suivi
par M. Berger de Xivrey, offre des inconvénients
amental, par opposition à celui de Reims découvert plus tard. Si l’on
suivait
cette première idée, on ne devrait tenir compte,
mme, dans l’exemplaire de l’édition de 1743, le cinquième livre était
suivi
des fables dont Gude avait emprunté le sujet à Ro
servation : « Ici finit le cinquième livre ; et ces autres fables qui
suivent
ne sont pas dans notre manuscrit. Il n’y a point
rée à chaque vers, avait naturellement supposé qu’il n’avait fait que
suivre
la disposition du texte reproduit. C’était une fa
anuscrit fût relié seul. Nous avons déjà vu que celui de Pithou était
suivi
d’un traité De Monstris ; à celui de Saint-Remi a
H. lit., t. II, p. 73). C’est aussi le sentiment de Tillemont qui l’a
suivi
(Till., Hist. emp., t. V, p. 662, art. 67). « Mai
Fables et celui du Querolus, et que, si, parce que cette comédie les
suivait
dans le manuscrit de Reims, Dom Vincent a cru pou
mi custos, mi heros, mi pater misericors. Sans intervalle, elle est
suivie
du psaume LXXXV en grec, qui commence au premier
e siècle, sans qu’on ait pu savoir quelle filière le manuscrit avait
suivie
, il se trouvait dans la bibliothèque du duc de Pa
8 juillet 1696, il avait d’abord été confié à Hoogstraten, puis avait
suivi
à l’Université de Leyde les cours de Jacques Gron
eur sont habituelles. Mais cela n’était rien encore, comparé à ce qui
suivit
. Dans sa première édition, sauf treize petites po
II. La préface en cinq pages est signée de Renouard. Les fables sont
suivies
des variantes du manuscrit sous ce titre : Perot
NO VELTRIO VITERBIENSI CONCIVI SVO SAL. P. D. Les neuf feuillets qui
suivent
cette épître sont occupés par un index ou table d
j’ai déjà parlé et dont j’aurai encore à m’occuper, est immédiatement
suivie
de compositions très diverses, qui sont numérotée
à l’origine qu’à titre de passe-temps littéraire. Mais, lorsque nous
suivons
librement nos goûts, nous n’oublions pas complète
mmence par la lettre en prose à Titus Mannus Veltrius de Viterbe, que
suivent
la table des matières et la dédicace poétique à P
se reporta au commentaire de Perotti, dans lequel il put lire ce qui
suit
: « Arbor Palladis. Olea Palladi sacra. Allusit
ine transtulimus : Olim quas vellent esse in tutela sua.” Et ce qui
suit
forme un total de douze vers qui finissent ainsi
onga judicatis memoria. Enfin, si l’on examine la petite poésie, qui
suit
immédiatement, qui, dans le manuscrit de Pithou,
de Gabrias et de Phèdre, c’est pour indiquer qu’en agissant ainsi, il
suivra
leur exemple. Il est même supposable que c’est av
termine par ce vers : Sed jam ad Fabellam talis exempli feror, est
suivi
d’une fable qui ne s’y rapporte pas ; celle qui e
gnorées des auteurs qui furent les contemporains de Phèdre, ou qui le
suivirent
à Rome, et l’on devrait les retrouver dans leurs
morale ne devrait pas être faite par l’âne lui-même. » Mais Phèdre a
suivi
là un procédé qui lui est familier ; on le trouve
rie fausse n’obtient qu’un triomphe temporaire ; tôt ou tard elle est
suivie
d’une réaction, et cette réaction commençait déjà
eusement son abstention n’a pas été imitée par les éditeurs qui l’ont
suivi
. Dübner notamment, dans la préface de sa petite é
at regula, cet autre, dans lequel, contrairement à la règle toujours
suivie
par Prudence, il remplace par un spondée l’ïambe
nous en est rien parvenu. Car, dans ce manuscrit, le copiste n’a fait
suivre
d’aucune fable le titre du livre II et a fait com
nander poeta, une partie de la fable Viatores et Latro, les trois qui
suivent
cette dernière et l’épilogue. Il y a dans le manu
nd format, à 2 col., composés, le premier, de 6 feuillets non paginés
suivis
de feuillets paginés de 1 à 803, et, le second, d
inés de 1 à 803, et, le second, de feuillets paginés de 805 à 1752 et
suivis
de 6 non paginés occupés par un Index poeticus un
ssu. In-12 de 241 pages numérotées, précédées de 10 non numérotées et
suivies
de 3 dernières pages occupées par l’Index. 17
sententiis, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle édition
suivie
de notes grammaticales, etc. Par une société de p
abellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et
suivie
des imitations de La Fontaine et de Florian, par
e 107 pages, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et
suivi
de longues notes en langue italienne. 1854.
æ, typis Petri L. Gilberti bibliopolæ. In-12 de 112 pages numérotées,
suivies
de 4 pages intitulées : Indice. 1855. Ph
avec des notes grammaticales, prosodiques, critiques et historiques,
suivie
d’un appendice contenant des rapprochements litté
ée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un commentaire et de notes,
suivie
des imitations de La Fontaine, etc., et de thèmes
tations de La Fontaine en regard, précédée d’une notice sur Phèdre et
suivie
d’un lexique par E. Darras, professeur à l’École
s trois Evesques. In-24 de 122 feuillets numérotés, précédés de 10 et
suivis
de 6 non numérotés, contenant le texte des fables
z F. Larchier, proche l’hôpital. Avec Permission. In-12 de 153 pages,
suivies
de 6 pages de table non numérotées. Les Fables de
lin, vis-à-vis le grand Collège. Avec permission. In-12 de 153 pages,
suivies
de 6 pages de table non numérotées. Réimpression
gmentée de la traduction des nouvelles fables attribuées à Phèdre, et
suivie
des fables imitées par La Fontaine. Paris, Delala
le Morelli. Con Licenza de’ Superiori. In-8º de 229 pages numérotées,
suivies
d’un errata de 3 pages non numérotées. Le volume
ivisée en 113 paragraphes et les fables elles-mêmes, dont chacune est
suivie
: 1º de notes ; 2º de cinq traductions italiennes
r le frontispice, l’avis au lecteur, la vie de Phèdre et la table, et
suivies
de 2 consacrées aux variantes. Fedro recato in v
xie siècle, en a profité pour y écrire le précieux renseignement qui
suit
: Hic est liber sanctissimi domini nostri Marcia
, dies CCXI, menses VII. Voici quelques spécimens des problèmes qui
suivent
; je les emprunte à M. Pertz : Bos qui tota die
e l’éditeur qui expose que, dans le manuscrit Vossianus Q. 75, il est
suivi
du Martyrologium Bedae, et qu’il est, dans le man
ême et Saint-Martial de Limoges par O. Holder-Egger. Cette notice est
suivie
du texte même des notes marginales qui, dans le m
nformant d’ailleurs en cela aux principes du bon sens, ne fait jamais
suivre
d’un épimythion, c’est-à-dire d’une maxime finale
, et notamment dans ceux qui, tout en paraphrasant Phèdre, en avaient
suivi
pas à pas le texte, et, cherchant dans cet antiqu
pleræque satis ampla paraphrasi explicantur, il y avait trouvé ce qui
suit
: Tunc vero Corvus ingemuit stupore deceptus… ;
outes ont bien leur origine dans l’œuvre de Phèdre, dont le copiste a
suivi
la division. À l’appui de sa thèse il puise un no
— Table des chapitres au nombre de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est
suivie
de cette souscription en lettres rouges : Finiun
ncre rouge : Finit liber de monstruis (sic). Ces mots sont eux-mêmes
suivis
de ces autres : Incipit liber secundus de bellui
milieu de la page par ces mots à l’encre rouge : Finit de belluis ,
suivis
de ce titre du troisième livre en grosses capital
tête de ce Dérivé figure un prologue dans lequel on peut lire ce qui
suit
: Liber igitur iste primo græce conscriptus est a
rum Æsopi Atheniensis 313, et voici comment débute le prologue qui le
suit
: Romulus urbis Romæ Imperator Tiberino filio suo
ons de fables latines datant du moyen âge. C’est un exemple que je ne
suivrai
pas. On ne peut raisonnablement appeler Romulus l
je montrerai que la collection de l’anonyme de Nilant a, en général,
suivi
de plus près le modèle primitif ; mais il n’en es
mulus, étant donnée l’ignorance du copiste, il est probable qu’il eût
suivi
les divisions adoptées par son modèle, c’est-à-di
dans l’Æsopus ad Rufum les expressions du fabuliste antique. D’où il
suit
que ce n’est qu’en altérant cet Æsopus que l’aute
seconde fois, il n’y séjourna pas plus que la première, et, toujours
suivi
du même compagnon de route, il se rendit dans le
Je désirais trop vivement parvenir à mes fins pour ne pas
suivre
la voie qui m’était tracée et je me hâtai d’adres
si je lui rapportais sa signature, il me confierait le manuscrit. Je
suivis
son conseil et me hâtai de me rendre chez le char
s en nombre à celles des manuscrits du premier groupe, mais encore se
suivraient
absolument dans le même ordre, si la fable du Ren
re, la fable lx de Walther ordinairement intitulée De Cive et Milite,
suivie
des deux fables qui y sont le plus souvent ajouté
a traduction allemande, et de laquelle j’extrais littéralement ce qui
suit
(feuillet 2 a) : Das Leben des hochberümten fab
ne à 26 b sont occupés par la vie d’Ésope en latin, qui est elle-même
suivie
de la traduction allemande due au Dr Steinhöwel.
que tibi moueant risum et acuant satis ingenium. Cette dédicace est
suivie
d’abord d’une traduction allemande, puis du prolo
Il est probable qu’après avoir, dans les trois premiers livres, fait
suivre
chaque fable en prose de sa traduction en vers, e
imitif, sont, comme celles de Romulus, ornées de gravures sur bois et
suivies
une à une de leur traduction en langue allemande
e correction maladroite. Les imprimeurs, qui dans les autres éditions
suivaient
le texte de l’édition d’Ulm, ont remarqué que la
de fables que je viens d’analyser sont, pour la commodité du lecteur,
suivis
d’une table alphabétique générale en allemand (fo
l. 26ª à 26b (d.iiª à d.iib). Prologue des fables en vers élégiaques,
suivi
d’une gravure commune à ce prologue et à la dédic
dans l’édition de Zeiner. Chaque fable de Romulus est précédée et non
suivie
de la fable correspondante en vers, et en est sép
fabularum Esopi. Fol. 39ª à 51ª (e.viiª à g.iiiª). Fin du livre II,
suivi
de la table du livre III, annoncée ainsi : Incip
à 65ª (g.iiiª à i.iª). Livre III. Fol. 65ª (i.iª). Fin du livre III,
suivi
de la table du livre IV annoncée en ces termes :
ion de l’autre. Remarquons, en terminant, que les fables n’y sont pas
suivies
de l’Histoire de Sigismonde, qui d’ailleurs n’est
préambule : la fable en vers est la première ; elle est immédiatement
suivie
de la fable en prose, au-dessous de laquelle est
ns les fables x et xiii du livre I la gravure précède, au lieu de les
suivre
, les deux fables auxquelles elle se rapporte. Fol
règle adoptée dans l’édition, la fable correspondante de Romulus qui
suit
immédiatement, porte ce titre : Eiusdem fabule p
tre méthodique. Les fables de Romulus sont tantôt précédées et tantôt
suivies
de leurs gravures. Le désordre est complet : ains
acune d’elles. Fol. 86 b (n. ii b). — Fin des fabulæ novæ. Elles sont
suivies
d’une table qui commence sur la même page et qui
ption, la dernière est en tête de la dernière fable qui est elle-même
suivie
de cette souscription finale : Finis diuersarum
Incipit prologus in speculum stultorum , et qui sur la même page est
suivi
de cette souscription : Explicit prologus. Cett
ec le titre : Prologus et la souscription : Explicit prologus que
suivent
les mots : Incipit liber. Le fol. 5 est occup
hibet consilium alteri. et sibi ipsi nescit consulere. L’ouvrage qui
suit
cette table a été, comme la table elle-même, impr
tur. Fol. 67 a à 80 a. — Fabule extrauagantes. Ces 17 fables sont
suivies
chacune de sa gravure. Les titres courants sont t
ur chaque fable, la gravure, le texte en vers et le texte en prose se
suivent
dans le même ordre que pour le prologue. Fol. 30
le : il s’était dans son travail typographique attaché au contraire à
suivre
ses devanciers : il avait adopté le même format e
ravure pareille à celle des éditions antérieures. Le même ordre a été
suivi
pour les fables elles-mêmes : d’abord la gravure,
ques. Il a procédé de même pour les dix-sept fabulæ extravagantes qui
suivent
les fables de Romulus. Fol. 71 b (k. vii b). — F
Sebastianus Brant : Onophrio Thedigene filio suo salutem. Elle est
suivie
d’une dissertation sur l’utilité des fables qui p
mêmes caractères que ceux de la précédente édition. Elles ne sont pas
suivies
de l’histoire de Sigismonde. B. Édition sans d
qui paraît avoir rivalisé d’ardeur avec eux, ou, tout au moins, avoir
suivi
leurs traditions. Trois fois, en 1491, en 1496 et
ont les six premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui
suivent
, contiennent l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets
l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numérotés contiennent ce qui
suit
: Fol. 1 a. — Titre ainsi conçu : In disem Buch
feuillets 111 a à 178 a contiennent la traduction de l’œuvre de Brant
suivie
de cette souscription : Ein ende beyder teyl dis
i la traduction littérale : « Ici finissent les fables réunies. — Ici
suit
une deuxième partie de fables belles et agréables
ouvrage pour l’instruction de son fils Onophrius. Les fables de Brant
suivent
cette préface, et sur un feuillet final on lit, t
ux fois, dans le format in-4º, la traduction allemande de Steinhöwel,
suivie
de la traduction allemande des fables latines pub
volume in-8º de 452 pages chiffrées, précédées de quatre feuillets et
suivies
de six autres non paginés. Ces six derniers sont
ous la cote 7806, un exemplaire auquel j’ai emprunté l’analyse qui va
suivre
. Le volume se compose de 72 feuillets non paginés
e premier liure de esope et cōmēce le registre des fables du second.
Suit
la table au-dessous de laquelle on lit ce titre :
Fol. 23 b à 28 a. — Deuxième livre orné de 9 gravures seulement et
suivi
de ces deux phrases : Cy finist le second liure
on lesquelles ne sont pas trouueeӡ ne escriptes es liures de romule.
Suit
la table des matières. Fol. 51 a dernière ligne à
ernière ligne à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8 gravures et
suivies
de ce double avis : Cy finissent les fables de e
à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnées de dix gravures seulement et
suivies
de ce double avis : Cy finissent les fables de a
l. 68 b à 72 a. — Sept fables du Pogge avec cinq gravures. Elles sont
suivies
de cette souscription : Cy finissent les fables
est toujours le même. C’est la vie d’Ésope qui est en tête. Elle est
suivie
des fables de Romulus précédées elles-mêmes de la
le portrait d’Ésope en pied, et au-dessous du portrait on lit ce qui
suit
: On les vend à Anuers en lescu de | Basle, par
é par feuillet. Les feuillets chiffrés sont au nombre de 134, et sont
suivis
de cinq autres non chiffrés, mais signés de r vii
servations que dans l’édition de 1550, auxquelles a été ajouté ce qui
suit
: whereunto is added the Fables of Auian and als
n volume in-8º de 550 pages numérotées, précédées de six feuillets et
suivies
d’un dernier non numérotés. En voici le frontispi
in-8º de 550 pages chiffrées, précédées de huit premiers feuillets et
suivies
d’un dernier non chiffrés. Voici ce qu’on lit au-
partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l’analyse qui
suit
: Fol. 1 a. — Titulus : Dye hystorien ende fabul
beghint dat register der fabulen | van dierste boeck van esopus , et
suivie
de cet autre : Hier beghint dat prologus oft pre
opus. En̄ beghint dat registere der | fabulen van dat andere boeck.
Suit
la table des fables du livre II. Fol. 34 a, col.
vā Eso-|pus fabulen. En̄ beghint dӡ register vā | den derden boeck.
Suit
la table du livre III qui se termine à la col. 2.
tes, qui ne sont ornées que de 15 gravures et ne sont ni précédées ni
suivies
d’aucune table. Fol. 73 b, col. 2. — Hier naeuol
rnées de 27 gravures et terminées par la souscription et le titre qui
suivent
: Hier eynden die fabulen en̄ historien | vā aui
du livre I : Aqui se acaba el primero libro. Elle est immédiatement
suivie
de ce titre du livre II : Aqui comiença el segun
dans un petit volume signé, qui se compose de 211 feuillets chiffrés,
suivis
de 5 autres sans numérotage consacrés à la table
sa venus y de su gallina. Ces fables sont, au verso du feuillet 71,
suivies
des mots : Deo gracias , au-dessous desquels on
ns un vol. in-8, de 373 pages numérotées, précédées de 5 feuillets et
suivies
de 9 pages de table non numérotées. Il en existe
s un volume in-8 de 343 pages numérotées, précédées de 4 feuillets et
suivies
de 9 pages de table, non numérotés. Il en existe
Cette édition consiste dans un volume in-8 de 364 pages numérotées,
suivies
de 4 pages de table non numérotées. Il en existe
une simple copie et pour constituer un véritable dérivé, elles l’ont
suivi
d’aussi près que les autres collections dont j’au
ial, Vincent de Beauvais a, sauf pour la fable du Cerf à la Fontaine,
suivi
l’ordre des fables du Romulus ordinaire, et qu’au
um facta esset. À la fin de sa copie il a ajouté les trois titres qui
suivent
: De Cane latrante contra furem , De Securi ,
e et Ciconia qui se invicem invitaverunt ; mais il ne les a pas fait
suivre
des fables qui y correspondent. Le manuscrit, ava
la fable de la Fourmi et du Grillon : « cantasti, hyeme salta », que
suit
l’épimythion. Immédiatement après vient l’épilogu
ronicis. || Capitulum I. extractus de speculo historiali. Elles sont
suivies
, au recto du fol. cvij, de l’épilogue, à la fin d
ume, la première colonne se termine par cette souscription en 10 vers
suivis
de la date de l’édition : Codicis insignis quin
. Amen. Comme dans les éditions antérieures, cette souscription est
suivie
d’un court traité intitulé : De Virginitate 383.
très peu d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va
suivre
, se trouve à la Bibliothèque nationale et figure
e est encadré. Le verso du premier feuillet et les cinq feuillets qui
suivent
sont occupés par la table. Puis viennent 243 feui
ême un dérivé mixte, issu d’éléments variés. Mais, en m’astreignant à
suivre
mon plan avec cette inflexibilité, je me serais,
t impossible, quand on a les trois auteurs sous les yeux, « de ne pas
suivre
, de ne pas toucher au doigt la filiation des text
autre par un autre, et qu’ensuite les deux éditions originales furent
suivies
de réimpressions qui prolongèrent leur divergence
me et achevé au mois de mars 1504. Dans cet exemplaire j’ai lu ce qui
suit
: « Esopus etiam Phrigius ille fabulator philosop
ence par cette invocation : Sancti Spiritus assit nobis gratia. Amen,
suivie
de ce titre : Incipit Esopus , et se termine par
insi : Jam tot in ecclesias insurrexere procellæ. Ce petit poème est
suivi
de l’épigramme, qui, dans la pensée du scribe éta
end au moins soixante. En voici, suivant l’ordre le plus généralement
suivi
dans les manuscrits et dans les éditions du xve
t les fables De Capone et Accipitre et De Pastore et Lupo. Elles sont
suivies
de ces mots : Deo gratias Amen , qui terminent l
ns tous les autres manuscrits que j’ai déjà examinés. Les fables sont
suivies
de trois ouvrages poétiques, dont le premier para
bas du fol. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8023 et 8460, est
suivie
de ce dernier vers, ou plutôt de cette espèce de
e postérieur a effacé ce nom, de sorte qu’il ne reste plus que ce qui
suit
: Quis scripsit scribat, semper cum domino vivat
e Fine sui , etc., qui d’ordinaire termine la soixantième fable, est
suivi
de cet autre : Perdere quisque suam sortem de iu
e fable porte un titre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est
suivie
de ces mots écrits avec la même encre : Deo grat
es 89 premiers feuillets numérotés contiennent les fables de Walther,
suivies
chacune d’une traduction en vers français de 8 sy
Auxilium mittunt celitus ista duo. Le prologue ainsi accru est
suivi
d’une traduction, en tête de laquelle le copiste,
re mainte foiz : Sus saiche cruse est bonne noiz. Puis se succèdent,
suivies
chacune de sa traduction, les fables latines de W
En la nommer grand déport a. La collection des fables d’Avianus, qui
suit
ce prologue, comprend, comme la précédente, le te
aque fable latine est précédée d’une miniature appropriée au sujet et
suivie
d’une traduction française en vers de huit syllab
emier feuillet neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et
suivis
d’un dernier feuillet qui est resté entièrement b
t lui. Cette miniature est la seule. Le prologue et les fables qui la
suivent
ne présentent d’autre ornement que celui de leur
e. Les fables du manuscrit 1595, comme celles du manuscrit 1594, sont
suivies
d’un épilogue en vers français, qui commence au f
s d’Avianus, ni les prologue et épilogue dont elles sont précédées et
suivies
dans le manuscrit 1594. La raison me paraît en êt
. Cette traduction se compose de 39 fables précédées d’un prologue et
suivies
d’un épilogue. Le prologue, comme celui du manusc
et bleue, de traits rouges. Comme dans le manuscrit 1594, elles sont
suivies
de la traduction de dix-huit fables d’Avianus. To
mss. 1595 et 19123, ne se compose que de 26 vers. Elles sont en outre
suivies
d’un épilogue, qui n’a également que 18 vers. Com
uillets écrits, 3 blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qui les
suivent
. Il renferme 43 fables écrites en prose française
l renferme 43 fables écrites en prose française, dont la moralité est
suivie
d’une autre affabulation contenue dans un distiqu
it jure magistro (sic). Les fables de Walther sont dans le manuscrit
suivies
de celles d’Avianus, qui occupent les feuillets 1
u xviiie siècle, dont je ne puis mieux parler qu’en extrayant ce qui
suit
de sa biographie écrite par M. Delandine : « Pier
sur une seule colonne. Le manuscrit a renfermé les fables de Walther,
suivies
chacune de sa traduction en vers français de huit
latin a romãt. Un grattage a fait disparaître le nom du traducteur.
Suivent
, sous ce titre : Li prolougues , vingt-huit vers
oit la poinne qui lo fait. Fol. 6 a, 6 b et 7 a. — De Cane et Ove.
Suivent
les dix vers de la fable latine, la miniature et
ol. 7 a, 7 b et 8 a. — De Cane portante carnem in ore. Ce titre est
suivi
de six vers de la fable latine, de la miniature e
re-vingt-douze vers latins dont elle se compose sont, comme toujours,
suivis
d’une miniature appropriée à la fable et d’une tr
française, mais encore du texte latin, précédée d’une introduction et
suivie
d’un glossaire. Sa publication me dispense de don
du commencement du feuillet 81 b au milieu du feuillet 82 b. Ils sont
suivis
de l’ouvrage lui-même, dont le premier chapitre e
auteur, et dans lequel, presque dès les premiers mots, on lit ce qui
suit
: « Causa autem efficiens fuisse dicitur Esopus q
signées par les mots Esopus metrice, sont au nombre de 60. Elles sont
suivies
d’une soixante et unième fable, dans laquelle il
elles, et qui, précédé de ce titre : Hic incipiunt dicta Ysopi , est
suivi
de cette souscription : Expliciunt dicta Ysopi ,
entiques. La fable lx n’a pas le distique final qui habituellement la
suit
; il a été rejeté à la fin d’une soixante et uniè
est lui-même, vers le milieu de la première colonne du feuillet 19 b,
suivi
de ces trois vers léonins : Explicit esopus ; pe
présent, à cette indication, et je passe à celles de Walther qui les
suivent
. Limitées aux soixante authentiques, elles commen
tres particuliers, mais sont accompagnées de gloses interlinéaires et
suivies
chacune d’un commentaire. Celui qui s’applique au
ème vers dans le texte primitif. Enfin la soixante-deuxième fable est
suivie
de cette souscription : Explicit liber Exopi. de
iter ordinate. Elles sont accompagnées de gloses interlinéaires, et
suivies
chacune d’un commentaire d’une écriture plus fine
sont accompagnées de courtes gloses tant en marge qu’en interligne et
suivies
de cette mention qui paraît être de la même main
ut prodesse volunt aut delectare poete. » Les fables élégiaques qui
suivent
, sont très incomplètes ; mais le manuscrit n’en e
sur l’état artistique et scientifique du temps, mais encore elle est
suivie
d’une traduction en vers allemands, qui est l’œuv
lées en ces termes : Æsopi fabulae versibus elegiacis expressae , et
suivies
de quatorze autres ouvrages. J. Manuscrit 1430
nt les premiers feuillets, et qui du feuillet 61 au feuillet 102 sont
suivies
de celles d’Avianus. Les unes et les autres sont
logue latin, qui commence au verso du premier feuillet, est également
suivi
de deux sonnets qui s’y rapportent. Il en est de
il avait pris la peine d’écrire et de signer de sa propre main ce qui
suit
: dvx Iste liber est mei Jarandi de nobilibus
ment étrangère à Walther. Elles se terminent au feuillet 25 b et sont
suivies
de cette mention finale, qui fixe l’âge exact du
gument intitulé : Argumentum fabularum Esopi è greco in latinum , et
suivies
d’une sorte d’épilogue terminé par ce dernier ver
thèque nationale, peut-être même un peu plus fines, et respectivement
suivies
de leur traduction en vers français. L’épimythion
rit 1594, M. Robert n’avait pas pu lire complètement. Ce prologue est
suivi
de dix-neuf fables latines, accompagnées de leur
elles ce titre général : Ci commence le liure Auionnet. Elles sont
suivies
de l’épilogue en 86 vers que j’ai déjà transcrits
dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais chacune d’elles est
suivie
d’une glose très différente de celle des autres m
2 à 23, elles sont précédées de ce titre : Incipit liber Exopi , et
suivies
de ce vers final qu’on employait souvent au moyen
s se composent des soixante authentiques, et des deux complémentaires
suivies
elles-mêmes de la fable en vers hexamètres De Pue
contente de rappeler qu’il renferme les soixante fables authentiques
suivies
des deux complémentaires. E. Manuscrit 10624.
une main moins ancienne que celle du copiste primitif a écrit ce qui
suit
: « C’est le liure des fables de Ysope mora||lise
tre bien connu : Finito libro sit laus et gloria Christi (sic), que
suit
le mot Amen . Cette souscription, due à une main
s ainsi conçu : Hæc mouet, ut fiat esca Leonis Equus. Celles qui la
suivent
sont complètes. Ces 19 fables occupent 12 feuill
itre : Æsopi fabulæ carmine. Les soixante fables authentiques sont
suivies
des deux qui en sont le complément le plus fréque
plus fréquent. La dernière, qui est la fable De Pastore et Lupo, est
suivie
de cette phrase finale : Explicit liber Esopi. D
l est incontestablement l’auteur, mais encore les deux fables qui les
suivent
le plus souvent. Elles sont accompagnées d’une gl
à 57 a. Elles se terminent par cette première souscription : Amen ,
suivie
de cette seconde : Explicit liber Exopi. Deo gra
iculiers à l’encre rouge, ne sont accompagnées d’aucune glose et sont
suivies
de cette souscription : Explicit liber exopi. de
mence au haut du feuillet 7 a, consiste dans les 60 fables de Walther
suivies
des deux complémentaires, qui, dans le manuscrit,
se lit cette souscription : Explicit liber esopi deo gratias. amen ,
suivie
elle-même de cette autre : Manus scriptoris salv
titulées : De Capone et Accipitre et : De Pastore et Lupo , et que
suit
le distique final ordinairement placé après la so
Explicit liber exopi. Deo gracias. Amen. Elles sont immédiatement
suivies
d’un Commentaire latin qui, commençant au feuille
, De pueris ludentibus. Comme elle n’entrera pas dans l’appendice qui
suivra
les fables de Walther, je la transcris ici : Lu
été coupé et un cahier de 12 ffos également dépourvus d’écriture, que
suivent
d’abord les quarante-deux fables d’Avianus, puis
s soixante autres. Comme dans le précédent manuscrit, les fables sont
suivies
de celle en vers hexamètres dont j’ai donné copie
imée à Rome en 1473, dans le format in-4º. Les fables de Walther sont
suivies
de cette mention finale : M.cccc.lxxiii. impress
les fables élégiaques qui sont au nombre de soixante. La dernière est
suivie
de cette mention : Libellus Esopi fabulatoris ma
aucune glose ; elles consistent dans les soixante-deux plus usuelles,
suivies
de celle intitulée De Puero suspenso, au-dessous
gauche). Le recto du second feuillet porte ce simple titre : Esopi ,
suivi
du prologue dans lequel les fables sont attribuée
euillet, en tête du recto, porte cet autre titre : Liber Esopi , que
suit
immédiatement le commentaire commençant par ces m
ents de son défunt époux. Je ne dis rien ici des fables d’Avianus qui
suivent
celles de Walther, et je me borne à transcrire la
s indication de lieu ni de nom d’imprimeur, par le simple mot Amen ,
suivi
de la date de : M. D. VIII. Le verso de ce feuill
mêmes ne sont accompagnées d’aucune glose et qui ne sont précédées ni
suivies
d’aucune table. Les fables se composent des soixa
ucune table. Les fables se composent des soixante-deux plus usuelles,
suivies
de celle intitulée tantôt : De puero suspenso ,
ue de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume Loticus, prêtre parmesan, et
suivies
de la souscription suivante : Æsopi fabulae per
bule. En outre, chaque distique tant de la préface que des fables est
suivi
d’une explication latine qui est plutôt une parap
accompagnées de la glose qui lui en attribue la paternité. Elles sont
suivies
de cette souscription spéciale : Fabularum liber
50 b), annoncées par ce titre : Incipit liber primus fabularum que
suit
ce préambule en distiques élégiaques, inspiré par
ivisées en trois livres. Au recto du dernier feuillet la dernière est
suivie
de cette souscription : Fabularum Aesopi finis.
de laquelle se trouvent les initiales M. B., et au bas on lit ce qui
suit
: Mediolani, apud Besutios fratres. || Anno salu
Avibus et Pavone. Elles se terminent au bas du feuillet 40 a et sont
suivies
d’une table des matières. Il existe à la biblioth
r les soixante fables de Walther augmentées de celles dont les titres
suivent
: 61. De Capone et Accipitre et Domino ; 62. De P
alther qui, commençant à la page 96, se termine à la page 137. Il est
suivi
, pages 138 à 157, de longues et savantes observat
illet 61. Les titres sont écrits à l’encre rouge, et chaque fable est
suivie
de sa moralité, sans démarcation qui les sépare.
soixante-quatre ; mais, par erreur, le nº 40 a été donné à celle qui
suit
la trente-huitième. Il s’ensuit qu’il n’en possèd
le que renferme le dernier est celle Del Pastore e del Lupo. Elle est
suivie
de cette souscription : Finito el libro d’Ysopo
on Berti et manque complètement dans l’édition Manni. Les fables sont
suivies
du Libro di Cato, qui lui-même est terminé par ce
voit, il n’y a pas de préambule : le titre général est immédiatement
suivi
de la première fable, qui commence par ces mots :
es et souscriptions sont à l’encre rouge. Puis commencent les fables,
suivies
chacune d’une morale, qui porte pour titre le mot
traduite. Les fables se terminent au verso du feuillet 81. Elles sont
suivies
d’un opuscule également en langue italienne vulga
autre morale, par lesquels Zuccho a traduit chaque fable latine, sont
suivis
de la fable correspondante en prose italienne. Qu
é avec soin par Giovanni Aluise et par ses associés. » Ce sonnet est
suivi
de ce sixain en vers élégiaques conçu dans le mêm
nes avec leur traduction italienne. Chacune d’elles est immédiatement
suivie
de deux sonnets intitulés, l’un : Sonetto materi
qui finit au haut du recto du feuillet p 7, et qui est immédiatement
suivi
d’un Ave Maria affectant la forme d’un sonnet ita
ont annoncées par ce titre : Lepidissimi Aesopi fabulae. Elles sont
suivies
de ces formules finales : Intret in has hædes (
pi || fabv||lae. Fol. 4 a (a 4 rº) à 4 b (a 4 vº). — Prologue latin
suivi
d’un Sonetto materiale et d’un Sonetto morale en
une est ornée d’une gravure au-dessous de laquelle se trouve le titre
suivi
du texte latin et ensuite d’un double Sonetto en
Fol. 96 b (m 8 vº) à 99 b (n 3 vº). — Concionetta et Canzon morale
suivis
du mot Finis. Fol. 99 b (n 3 vº) à 100 b (n 4 vº)
quatre. Chaque fable latine est accompagnée d’une gravure sur bois et
suivie
des deux sonnets qui en contiennent la traduction
xante-quatre. Chaque fable latine est ornée d’une gravure sur bois et
suivie
des deux sonnets italiens qui en sont la traducti
rale. Puis commencent les fables, illustrées chacune d’une gravure et
suivies
chacune des deux sonnets qui la paraphrasent. Au
sa chaire et entouré de ses élèves. Les fables, au nombre de 64, sont
suivies
de cette souscription : Impressae Venetiis per A
a. Le verso du premier feuillet est rempli par le sonnet italien qui
suit
: Perche l’ingegno mio troppo e legiero Orn
une pièce de vers italiens, intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et
suivie
au verso du dernier feuillet d’une souscription a
rothonotario et Logotheta be||nemerito Felicitate. » Ce préambule est
suivi
d’une épître à « Honorato de Aragonia », après la
n dernier de 8, contenant les fables et les table et registre qui les
suivent
. J’ai rencontré des exemplaires de cette édition
lle est divisée en chapitres, dans chacun desquels le texte latin est
suivi
de la paraphrase italienne et n’en est séparé que
grandes gravures toujours encadrées, placées après le texte latin et
suivies
elles-mêmes de leur paraphrase italienne divisée
nt au nombre de 64 sous 66 numéros. Le distique Fine fruor, etc., qui
suit
la dernière, fait l’objet d’une paraphrase spécia
pularité éphémère, que l’indifférence et l’oubli devaient promptement
suivre
. Pendant plusieurs siècles, tout ce qu’on sut, c’
e de la première fable de Neckam, j’ai déjà montré qu’il avait plutôt
suivi
le texte du Romulus ordinaire que celui de Phèdre
tre de la septième. Le reste n’a pas été perdu, et l’espace blanc qui
suit
ce titre démontre que le copiste n’a pas continué
. La fin des quarante fables et le commencement de l’épilogue qui les
suit
sont indiqués dans le manuscrit, au bas de la 2e
ncent les fables Ysopet et les moralités qui sont dessus. Elles sont
suivies
de l’épilogue, à la suite duquel se lit cette phr
a pas groupés en sixains. Les fables sont précédées d’un prologue et
suivies
d’un épilogue, dans lesquels le traducteur ne se
é qui ne permet aucun doute sur leur origine, que chacune d’elles est
suivie
du distique élégiaque qui dans le texte latin for
i qu’on l’a vu, que les feuillets 132 à 137, et sont au nombre de 80,
suivies
d’un double épilogue. La collection en comprenant
Les fables de ce dérivé sont au nombre de 60. Mais 56 seulement sont
suivies
des fables correspondantes de l’Anonyme. Les 4 de
udæo et Pincerna et : De Cive et Milite. Enfin elles sont elles-mêmes
suivies
de la fable qui est ordinairement la trente-huiti
la et Ovis sodales fuerunt Leonis. Ici on voit le Romulus ordinaire
suivre
Phèdre de plus près que celui de Florence ; mais,
che et de la Mule précède celle de la Mouche et de la Fourmi, elle la
suit
dans le même livre du Romulus de Florence. Mais,
ici changer de procédé. En conséquence voici, établis d’après l’ordre
suivi
dans le manuscrit lui-même, les titres des fables
l’original n’avaient pas échappé à Nilant ni aux commentateurs qui le
suivirent
. Mais ces derniers, ne se préoccupant du Romulus
lles sont précédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et
suivies
de l’épilogue à Rufus. Elles ne portent pas de ti
fol. 39, s’arrête aux mots iacentem in itinere , qui sont également
suivis
d’un grand espace laissé en blanc pour permettre
tif, et sont divisées en trois livres précédés de la même dédicace et
suivis
du même épilogue. Le premier comprend 18 fables ;
e me mets ici en contradiction avec moi-même ; mais, en lisant ce qui
suit
, on comprendra qu’il n’en est rien. Le Romulus de
ulus anglo-latin ne serait pas complète, si elle n’était pas au moins
suivie
d’un coup d’œil sur l’œuvre de la femme, qui, au
, dans un des manuscrits, sont précédés d’un préambule de dix vers et
suivis
d’un complément de douze, double addition écrite
n’est pas tout : l’ordre des fables variant dans chaque manuscrit, je
suivrai
celui qui a été adopté par M. de Roquefort. Enfin
ème et la quatrième ne viennent qu’après l’épilogue, qui est lui-même
suivi
du mot Explicit et qui semble ainsi les mettre ne
avait fait sa traduction anglaise, et qui fut plus tard indirectement
suivi
par Marie. Les cent trois fables, que dans tous l
me, ainsi que je l’ai déjà dit, précédé d’un préambule de dix vers et
suivi
d’un complément de douze, qui ne se trouvent pas
6. Ainsi qu’on l’a vu par la copie que j’en ai donnée, l’épilogue qui
suit
les fables ne se compose que de vingt-deux vers.
éral de bonnes leçons, mais où il manque des vers. » Cette notice est
suivie
de cette mention ajoutée par une main plus récent
o du feuillet 74, par le prologue composé de 40 vers. Ce prologue est
suivi
non pas, comme l’affirme M. de Roquefort, qui, qu
rante vers du prologue, pourvues chacune d’un titre spécial, mais non
suivies
de l’épilogue, qui fait défaut. E. Manuscrit 2
illet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordinaires les précèdent et les
suivent
. Elles ne sont accompagnées d’aucun titre ; mais
iatement après la quatre-vingt-dix-huitième fable et qui lui-même est
suivi
du mot Explicit. Il s’ensuit que le manuscrit ne
de litres particuliers, mais sont précédées du prologue ordinaire et
suivies
de l’épilogue composé seulement de 22 vers. H.
présentait le renard saillissant l’ourse. Les fables, qui ne sont pas
suivies
de l’épilogue, se terminent par la souscription
occupé par une nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit,
suivie
de cette observation : « L’écriture ci-dessus est
i pas vu en d’autres textes aussi anciens. Voyez fo 56 ro. Le copiste
suit
le dialecte du nord de la France. » Quand on lit
, contrairement à l’indication de M. de Roquefort528, les fables sont
suivies
de l’épilogue ordinaire, écrit par la même main q
euillet suivant vient le prologue en quarante vers. Les fables qui le
suivent
sont pourvues de titres spéciaux écrits à l’encre
ndiqué les sources des deux séries : « N a . Toutes les variantes qui
suivent
sont de la main de M. le comte de Caylus. Il les
uoique aucun feuillet ne paraisse manquer à la fin, elles ne sont pas
suivies
de l’épilogue. B. Manuscrit Harley 978. Le
s le manuscrit Cott. Vesp. EV. » Ici paraphe pareil au précédent, que
suivent
les mots : « Avril 1862531 ». Les fables de Marie
t au haut du feuillet 40 a par ce titre : Ici cumence le ysope , que
suit
le prologue en 40 vers, ne sont pas pourvues de t
table de la vie des saints qui est la première des œuvres réunies, et
suivis
de 4 feuillets blancs, dont le premier (f. 386) p
nt les quarante vers du prologue. Elles sont au nombre de 88, d’où il
suit
que, pour être complète, la collection devait en
71 à 75 et 80 à 81. Elles sont pourvues chacune d’un titre spécial et
suivies
d’un épilogue en 26 vers. Indépendamment des diff
rt de cet exemple que le Romulus Roberti, plus que celui de Nilant, a
suivi
de près le Romulus primitif. Quant aux trois fabl
lant, a suivi de près le Romulus primitif. Quant aux trois fables qui
suivent
la première, comme elles sont, dans le Romulus Ro
interposée entre lui et les deux Dérivés partiel et complet. D’où il
suit
enfin que, loin d’avoir donné le jour au Romulus
Marie a été faite sur une première version qui, sans nul doute, avait
suivi
pas à pas le Romulus anglo-latin, il faut en indu
. Je vais en donner une plus détaillée. Si je me conformais à l’ordre
suivi
par le rédacteur du Catalogue, je devrais d’abord
bas de la première colonne du feuillet 194 b (en réalité 195 b), sont
suivies
de ce mauvais pentamètre léonin écrit à l’encre n
ouble emploi. On en va pouvoir juger par les extraits comparatifs qui
suivent
et que j’emprunte à la fable du Corbeau et du Ren
squ’il y est question de la version anglaise, l’a, non précédée, mais
suivie
. Mais de là à en avoir été la traduction latine i
plète. Chaque fable est surmontée d’un titre écrit à l’encre rouge et
suivie
d’un dessin à la plume grossièrement exécuté et e
5. De Puero et Fure. 16. De Viatore et Satyro. Ces seize fables sont
suivies
de ces deux ineptes distiques placés au bas du fe
ius Filio. Les fables du Dérivé sont, comme dans le manuscrit 1108,
suivies
de seize autres en prose dérivées d’Avianus et de
nus de fabulis deo gracias , etc. Les deux collections de fables sont
suivies
de deux tables des matières intitulées, l’une :
étend du feuillet 36 a, 1re col. au feuillet 65 b, 2e col. et qui est
suivi
d’une version en prose des fables d’Avianus aussi
haut de la première colonne du feuillet 37 a. Elle est immédiatement
suivie
de la table de la seconde série de fables qui est
t pourvue d’un titre toujours écrit à l’encre rouge. Enfin elles sont
suivies
des dix-sept fables en prose qui ont déjà été men
e plus conforme aux leçons primitives, c’est encore ce dernier que je
suivrai
. 7º Manuscrit 15. A. VII de la Bibliothèque du
é un manuscrit incomplet ou laissé sa besogne imparfaite, il l’a fait
suivre
de cette souscription : Expliciunt ethisi. Sau
den, et l’on verra que ce dernier les a dans sa version littéralement
suivies
. En résumé, voici ce qui s’est passé : le Romulus
i maintenant on se reporte au Dérivé hexamétrique, on y trouve ce qui
suit
: Sed muris collum per fraudem Rana ligavit Acqu
ts vers les recherches historiques et hagiographiques, et, pour mieux
suivre
ses goûts, se retira à Foligno, d’où sa famille é
vres du docteur Tross des indications plus détaillées à la notice qui
suit
la préface de la Chronique de Saxe, et, pour leur
n ædibus B. G. Teubneri, MDCCCLXXV, in-8º. À la page 16 on lit ce qui
suit
: Itaque sic habeto : fuit corpus quoddam fabular
apprennent de celles qui n’en ont point ce qu’elles doivent eviter ou
suivre
, pour la conduitte et l’instruction de leur vie.
frequentations, et se dégager de ces pratiques. Car la confusion qui
suit
les pompes de ces gents-là, est partagée à ceux q
Médisant ne le peut aucunement noircir d’infamie. Car le des-honneur
suit
l’action, et ne s’attache point à la personne off
esque tous-jours de leurs compagnons, et les tragiques évenements qui
suivent
leurs entreprises. Voila donc la principale raiso
cide ; mais les Delphiens qui le guettoient ne manquerent point de le
suivre
, si bien que l’ayans atteint, ils s’en saisirent
nt, il n’y a point de doute que le devoir de leur charge les oblige à
suivre
un autre genre de vie. Ce sont eux que Plutarque
r gloire par dessus toutes les nations de leur temps. Les Scythes qui
suivent
la loy naturelle, et tiennent une sorte de gouver
ient par l’exercice, et par le raisonnement. Il est donc bon que nous
suivions
cét instinct, si nous voulons reüssir agreablemen
se qu’elle appartient à la Justice. Ainsi, quand mesme elle ne seroit
suivie
d’aucun avantage temporel, nous ne laisserions pa
’il remarque en luy. Cela nous apprend que tost ou tard la recompense
suit
la Vertu, et que ce n’est jamais perdre le temps,
t un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. Esope se mit donc à
suivre
Xanthus, comme il s’en alloit en sa maison. Alors
aict à la Brebis, et de luy tondre la laine, ce qui est cause qu’elle
suit
paisiblement, et se laisse prendre par les pieds,
fois plus desirable que celle-là. Car estant veritable que le remords
suit
ordinairement le peché, l’on peut dire aussi, san
rmes. Ce fut une pretieuse marque d’Honneur deuë à sa Vertu que vous
suivez
; et ce n’est point aussi le Hazard, mais le Meri
oüer un si lasche tour à son amy. Aussi voyons-nous, que la vengeance
suit
incontinent son peché, et que les cris du Renard
ourtant je t’y servirai encore. » Alors, comme un chien de chasse, il
suivit
la trace du cerf, ourdissant des fourberies, et i
et se tiendra tres-volontiers au gaing present, plustost que d’aller
suivre
une avanture incertaine, et béer apres la conques
bien vestus ; à pied, s’ils sont de qualité d’aller en carrosse ; mal
suivis
, si leur naissance merite des Pages ; bref, il n’
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