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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 123 » pp. 221-221
eus se mariait, tous les animaux lui apportèrent des présents, chacun suivant ses moyens. Le serpent monta jusqu’à lui, en ramp
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IV. Jupiter et le Métayer. » p. 
oisson, pleine vinée. Monsieur le Receveur fut trés-mal partagé. L’an suivant voilà tout changé. Il ajuste d’une autre sorte La
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
. Sur ces entrefaictes, Esope ayant fortuitement apperçeu les lettres suivantes R. P. Q. F. I. T. A. gravées sur un tombeau se mi
y qui l’a icy caché. Que cela ne soit, escoute le contenu des lettres suivantes A. E. D. Q. I. T. A. d’où sont formées ces paroll
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
dvanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. Le jour suivant , apres que le Maistre d’Esope fut de retour en la
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60

 Ce sujet a esté traité d’une autre façon par Esope, comme la Fable suivante le fera voir. Je composay celle-cy pour une raiso
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
chien se coucha au pied de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’e
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
te au vent se perd. Il falut pour cet an vivre en mere affligée. L’an suivant elle mit son nid en lieu plus haut. L’Escarbot pr
8 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
pensées, m’a fait suspendre la continuation de mon entreprise. Mais, suivant un vieux proverbe, on finit toujours par tomber d
rs précités, Phèdre se soit déclaré le compatriote de deux Thraces19. Suivant lui, si Phèdre avait parlé de la sorte, il aurait
pas pu recevoir le jour dans un pays déjà séparé de la Thrace. Enfin, suivant le Père Desbillons, Phèdre en réalité n’a pas pré
qui l’ont suivi, jusqu’au père Brotier lui-même, se sont rappelé que, suivant Suétone26, Octave, père d’Auguste, étant préteur
dernier et la seconde à la fois contre son maître et contre Caligula. Suivant lui, la fable Ranæ ad Solem fut une satire transp
cette petite divergence d’opinion, et je reviens au Père Desbillons. Suivant lui, la première de ces deux fables avait exaspér
ils y avaient vu des allusions que Phèdre à cette époque n’aurait pu, suivant eux, impunément se permettre. Mais ces allusions
ntre encore dans les Inscriptiones antiquæ de Gruler les inscriptions suivantes , qui ne me paraissent pas se rapporter aussi bien
s surfaite, mais certainement impérissable, et voilà pourquoi Phèdre, suivant sa propre expression, vivra autant que la littéra
e faire revivre Phèdre était réservé à l’illustre Pierre Pithou, que, suivant un ancien bibliothécaire de l’Oratoire, le Père A
ut partager ses instants entre ses chères études et sa compagne, que, suivant son expression, il aimait comme lui-même. Mais, d
IƆ. XCVL. Cum privilegio. La deuxième page est remplie par les vers suivants adressés à Pithou par Florent Chrétien : petro p
le. C’est à quoi ce dernier fait allusion au commencement de l’épître suivante  : « p. pithoevs francisco fratri.   « Reddo ti
rançais des fables de Phèdre. C’est là du moins ce qu’indique la note suivante tracée au crayon en tête de l’exemplaire de la bi
e-Geneviève ; c’est là du moins ce qui paraît ressortir de la mention suivante écrite sur le titre, selon l’usage du temps : « E
ication fantaisiste, qui lui a été sans doute inspirée par le passage suivant de la Nouvelle Diplomatique des Bénédictins : « P
reuves, il s’est efforcé de justifier son hypothèse par l’explication suivante  : « MM. Pithou étaient très liés avec Daniel, et
n des variantes qu’il en extrait, il l’appelle vet. ex. Cat., ce qui, suivant Orelli, signifie vetus exemplar Catalaunense ou C
il désirait consulter un de ses amis qu’il ne devait voir que l’hiver suivant . L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas c
je continuai à venir travailler pendant quatre heures tous les jours suivants jusqu’au 25, jour où, ayant fini ma copie, j’amen
cise à leurs méditations ultérieures. Il faut l’en remercier. L’année suivante , il publiait enfin le fameux monument chez l’impr
de la dernière fable ; ce qui n’a lieu nulle part ailleurs, le titre suivant s’écrivant toujours à la suite des derniers mots 
désespoir des commentateurs : Quartum libellum dum Variæ perleges. Suivant lui, ce vers s’explique, si les fables qui suiven
emplaires, les uns portant ce millésime, les autres, celui de l’année suivante  ; ce qui, soit dit en passant, a fort embarrassé
, rentré à Saint-Remi, il s’empressa de le lui envoyer avec la lettre suivante  : « Monsieur,   « Aussitôt mon arrivée, je me su
manuscrit devait être de la fin du viie  siècle ou du commencement du suivant . J’en envoyai un spécimen à M. de Foncemagne. Je
s le temps, et je ne sais comment, de vérifier ce prologue et la page suivante . » Il y a donc là une lacune qui porte sur les 34
vent), n’est pas puisée ailleurs que dans le manuscrit de Reims106. » Suivant lui, Gude n’a pu puiser les variantes du manuscri
avant d’avoir été achevée, avait été si bien rattachée à la fin d’une suivante , que les mots Et vindicabit, qui commençaient la
le dernier vers manque, et les deux, qui devraient commencer la fable suivante , sont également absents. Cependant le tout est ré
tuation séparative, au commencement de la première fable la fin de la suivante . Enfin, pour en terminer avec tous ces points de
f. Les deux écritures semblent être à peu près de la même époque, et, suivant l’âge du copiste, le manuscrit le plus récent peu
arquis de Monaldeschi, dont elle fit son écuyer et son amant. L’année suivante , venue avec lui en France, elle le fit, en dévote
de mon incertitude, d’autant plus qu’il était accompagné d’une note, suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de la Serre, dans une l
titre se trouve la désignation générale de l’ouvrage dans les termes suivants  : Phedi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip. felicit
de lacune, plus considérable, s’ouvre au fol. 103. Ce feuillet et les suivants , jusques et y compris le feuillet 108, appartienn
indique une autre variante qui serait fournie par le second vers, et suivant laquelle, au lieu des mots mala videre , le manu
témoignage de Burmann, à qui il avait renvoyé le lecteur par la note suivante  : « Burmanni Syllog. Epp., t. IV, p. 42. » Quant
e fixer l’époque à laquelle il cessa sa compilation ; c’est la lettre suivante qu’un de ses amis, François Philelphe, l’un de se
le songea à lui destiner son recueil, était-il déjà grand garçon, et, suivant l’expression de ce dernier, adolescentem suavissi
is à vingt-six, et dont le vingt-sixième était énoncé dans les termes suivants  : Epitome fabularum Æsopi, Avieni et Phædri ad P
otti, et le défend contre l’épithète de plagiaire, dont il avait été, suivant lui, injustement gratifié. La deuxième dissertati
itutam Petronii aetatem obiecta dissolvuntur , à réfuter les opinions suivant lesquelles Pétrone aurait vécu à une autre époque
ns la quinzième des fables nouvelles, le même événement est présenté, suivant Jannelli, comme remontant à quelques années, per
au mois de mars 1811, Jannelli était irrité contre Cassitto. Le mois suivant parurent enfin les trois dissertations dont j’ai
| Stuttgartiæ et Tubingæ,  | apud J. G. Cottam, 1812 179. Les années suivantes , de nouvelles éditions continuèrent à être publié
ma requête que je rédigeai à l’instant même, et m’assura que le mardi suivant , si le manuscrit existait, il serait mis à ma dis
mon travail le même jour, et je dus pour l’achever revenir les jours suivants . C’est donc en parfaite connaissance de ce qu’il
re absolument opposé à toute interpolation des textes anciens. Enfin, suivant lui, on ne comprendrait pas qu’après avoir, dans
ème plus grand, qui, en lettres d’or et d’azur, porte l’avertissement suivant  : « In hoc pulcherrimo codice continentur nonnull
tis circulis sunt annotati. » Dans les autres on lit la nomenclature suivante des ouvrages contenus dans le manuscrit : 1º Chri
uvait, par suite, se vanter impunément d’en avoir composé les fables. Suivant lui, l’absence dans Avianus de toute fable pareil
untés aux prologues des livres III et ӀV des fables de Phèdre et qui, suivant lui, montrent clairement que Perotti a commis une
uatrième livre, les autres, le prologue du cinquième, on lit les vers suivants  : Hunc obtrectare si volet malignitas, Imitari d
ma jeunesse, de ce qui appartient à mon âge actuel203. » C’est donc, suivant sa propre déclaration, dans sa jeunesse qu’il ava
vaient été composées sous les règnes de Tibère et de Claude, Sénèque, suivant eux, n’aurait pas écrit que les fables ésopiques
qui forme un volume in-4º215, il réunit les nombreuses raisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’attribuer à un auteur
s, et leur réponse ne se fit pas attendre. Elle fut faite dès l’année suivante par un autre savant allemand, Funck (de Marbourg)
pages231. Le silence des auteurs latins, relativement à Phèdre, n’a, suivant Schwabe, rien qui doive étonner. Il est constant
il ne pouvait connaître que les deux premiers livres, les seuls qui, suivant lui, fussent alors composés et publiés232, et, co
mots : « Phædrus etiam partem aliquam quinque in libellos resolvit. » Suivant lui, le mot resolvere, qu’il torture à plaisir, s
ot en litige, extrait de sa trentième consolation à Polybe le passage suivant  : « Agedum illa, quæ multo ingenii tui labore cel
e Phèdre n’avait pas existé, que les fables, attribuées à cet auteur, suivant eux, imaginaire, n’étaient pas une œuvre ancienne
re grecque qu’il avait demandé ses inspirations ; car la fable était, suivant l’aveu même de Sénèque, un genre inconnu aux Roma
. Ces procédés avaient été recommandés par Quintilien dans les termes suivants  : « Igitur Æsopi fabellas, quæ fabulis nutricular
Elle se divise en deux parties. Dans la première est traitée la thèse suivante  : Fabulatorum qui ab Augusti ævo ad Perotti usqu
re. Juvénal, qui vivait sous Domitien et sous Trajan, fait l’allusion suivante à la disparition de l’oracle de Delphes : ..... 
és des anciennes. Sous ces rapports elles sont les mêmes ; or il est, suivant Sénèque lui-même, très malaisé de refaire exactem
hi mei quos putas versiculi, Sed Æsopi sunt, et Avieni, et Phædri. Suivant lui, Perotti affirme qu’il a puisé à trois source
de Phèdre, et, au lieu de le démontrer, il se borne à citer l’opinion suivante , que Heyne formulait lui-même, au mois de mai 181
mmencer par baser les doutes sur ce qu’elles en diffèrent. 4º C’est, suivant Adry, une opinion hasardée que de prétendre « que
l trouve absolument ridicule la fable iv, Mercurius et Mulieres, qui, suivant lui, pourrait tout au plus figurer à côté du cont
ennes ne contiennent pas autre chose. N’est-ce pas d’ailleurs assez ? Suivant lui, dans la fable xiv, Asinus ad lyram, « la réf
nt une excellente morale », mais elle ne lui paraît pas élégante, et, suivant lui, ce vers : Has propter causas, et quas longu
le savant Jacobs les attribuer à quelque versificateur moderne, qui, suivant lui, aura pris Phèdre pour modèle265. Je me hâte
ieu d’une ligne achevée par le premier des trois derniers d’une fable suivante , trahissent encore une lacune évidente, dont les
1877). In-8º de 25 feuilles. Fables de Phèdre, expliquées en français suivant la méthode des collèges, par deux traductions, l’
.     Fables classiques de Phèdre, vers pour vers, principalement suivant l’édition petit in-18 de Jules Delalain, par Dome
cxxxi a. — Chronologie depuis Adam jusqu’à Héraclius. Fol. cxxxi b et suivants . — Gloses sacrées et explication de divers mots g
mpressement auquel je me plais à rendre hommage, il me fit la réponse suivante  : « Strasbourg, le 4 juillet 1870. « Monsieur,  
nsi écrit pour Vulpes, mot qui rend le vers irréprochable, et, comme, suivant lui, l’adverbe deinde était à la fois plus confor
obatur quantum ingenium valet, Virtuti et semper prævalet sapientia. Suivant lui, le premier de ces deux vers, qui se trouvait
rase, dans laquelle le mot viribus est substitué au mot virtuti, est, suivant lui, la traduction un peu développée de ce vers u
é et surtout fort savant ; mais ce n’était pas ce qui m’importait. En suivant Gude dans son argumentation, j’avais été uniqueme
paraît remonter presque au xve  siècle. Du même âge est l’inscription suivante , qui apparaît en tête du premier feuillet : Liber
es très dissemblables qu’on y trouve et dont il donne la nomenclature suivante  : Fol. 1 a à 59 b. — Ouvrage intitulé : Juliani
— Livre d’un anonyme sur la nature de certains animaux. Fol. 109 a et suivants jusqu’à la fin. — Deux traités : 1º  De diuersis
et, pour en donner une idée, il cite, parmi les titres de fables, les suivants  : De mus parturiens , de naturale genus , de t
non plus le moins du monde à dédaigner, tamen minime esse spernendum. Suivant lui, à tout versificateur qui veut reconstituer l
ait rien qui se rapportât à Phèdre ; il va plus loin : non seulement, suivant lui, l’affirmation de Pithou ne permet pas de con
forment qu’une fable ; le no V, 6 n’est que l’introduction du morceau suivant  ; le no V, 8 est un morceau détaché de la préface
Les manuscrits s’y divisent en sept classes, basées sur leur origine. Suivant la classe à laquelle ils appartiennent, on les ap
bibliothécaire Ebert a donné, de sa main, au premier ouvrage le titre suivant  : Juliani episcopi toletani prognostica futuri s
en lettres semblables écrites avec la même encre, on lit l’hexamètre suivant qui sert de titre à un nouvel ouvrage : Hunc cec
scholies se terminent au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a été écrit par Ebert au haut de la page : Anony
e, en renvoyant à Ésope l’honneur de ses fables, avait, dans les vers suivants , déclaré faire un très large usage : Æsopi nomen
m mittit303. Se fondant sur ce texte, il avait raisonné de la manière suivante  : ou bien foi est due au manuscrit, et alors il f
eremitarum , et il avait extrait de la page 75 de ce livre le passage suivant  : « Harum (c’est des Fables d’Ésope qu’il s’agit)
ates qu’elle fixe, d’en donner ici, malgré sa longueur, la traduction suivante  : « À son très révérend père en Jésus-Christ, et
mulus ne pouvait avoir vécu après le xiie  siècle. Mais c’était tout. Suivant Schwabe, il était permis de supposer qu’il avait
ile à résoudre. En effet, il est malheureusement certain que, tout en suivant de près l’Æsopus ad Rufum, le texte du manuscrit
t pas à la fois à l’une et à l’autre. C’est ce qui ressort du tableau suivant  : fables communes à l’anonyme de nilant et à l’æ
considérés comme contenant le texte du Romulus ordinaire sont les six suivants  : 1º Le manuscrit du British Museum ; 2º La copie
dans Vieux Aberdeen. En 1781, il est reçu maître ès arts, et l’année suivante il devient professeur de l’Académie de Highgate.
aint-Bénigne le fameux manuscrit de Dijon. Ce manuscrit se composait, suivant lui, d’un cahier de parchemin in-folio, dont l’éc
la Légation, soit à mon hôtel. Il s’empressa de me répondre la lettre suivante  : « Munich, le 20 juin 1873. « Monsieur,   « J’a
stre des affaires étrangères, qui ne tarda pas à m’envoyer la réponse suivante  : « Versailles, 1er juillet 1873. « Monsieur,  
Immédiatement après, au bas du feuillet 34 b, on lit la souscription suivante  : Explicit liber tertius prosa Esopi. Au haut d
fables du livre I (fol. 62 a lig. 24 à 82 b), disposées dans l’ordre suivant  : 1º Texte latin en prose, 2º Gravure sur bois, 3
um Esopi viri clarissimi atque ingeniosi , et qui comprend les titres suivants (fol. 83 a) : De Ranis. i. De Columbis. ii.
mposé comme les trois premiers de vingt fables et précédé de la table suivante (fol. 131 a) : Incipiunt Capitula de libro Quart
, accompagnées d’une traduction allemande et terminées par la mention suivante  : Finis fabularum Esopi a rimitio noue translati
et traduites en langue allemande, et qui sont énumérées dans la table suivante (fol. 226 b à 227 a) : Fabularum Auiani finis.
, neuf. Ces cahiers sont pourvus des 16 lettres d’ordre ou signatures suivantes  : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o, p, q, et
 2 a à 21 a (a. ii a à c. vii a). — Vie d’Ésope annoncée par le titre suivant  : Vita Esopi fabulatoris clarissimi e greco lati
fables d’Avianus, qui au nombre de vingt-sept occupent les feuillets suivants et se terminent au fol. 100, sont accompagnées de
relativement nombreux. Parmi ceux que j’ai rencontrés, je signale les suivants  : British Museum, 167. F. 12 ; Grenville library,
un petit in-folio de 72 feuillets. Le premier est blanc et les trois suivants contiennent, sous forme de lettre, un premier pro
iècle par Jean de Capoue. Le premier feuillet porte au recto le titre suivant  : Directorium humane vite alias parabole antiquo
aux fables. Il se termine au bas du feuillet 82 a par la souscription suivante  : Explicit liber parabolarum antiquorum sapientu
16 cahiers pourvus de signatures et classés dans l’ordre des lettres suivantes  : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o, p, q. Il
n dédicace de Romulus, dont le commencement a subi le travestissement suivant  : Romulus tyberino filio, de civitate attica seu
réduites au nombre de dix-neuf par l’élimination des quatre facéties suivantes  : De sartore regis et eius sutoribus, De muliere
’ai vus, j’en pourrais signaler beaucoup. Je puis néanmoins citer les suivants  : 1º À la Bibliothèque nationale un exemplaire qu
Des 151 feuillets les 31 premiers sont dépourvus de numéros, les 113  suivants sont numérotés, et les 7 derniers ne le sont pas.
348 à 390. — Vingt-trois fables, dites Gesamlete fabeln. Pages 391 et suivantes . — Table des matières. Au bas du recto du dernier
ions plus récentes. Aux éditions qui précèdent il faut ajouter les suivantes qui figurent au catalogue de la Bibliothèque du B
la cote qu’il donnait à l’exemplaire 7806 a-t-il ajouté l’observation suivante  : « Of this very early and probably first edition
par cahiers de 8 et 6 ff. » Le volume se termine par la souscription suivante , qui se trouve au verso du sixième feuillet du ca
es, est ornée de gravures sur bois, commence par le titre ou sommaire suivant  : Ci commence le livre des subtilles hystoires
et et finit au bas du recto du dix-neuvième. L’édition porte le titre suivant  : Les subtilles fables de Esope auec celle de au
é achevée le 22 février 1502. M. Delandine351 en donne la description suivante  : « Cette édition est à longues lignes, sans titr
xiste une page blanche sur laquelle a été écrite au crayon la mention suivante  : « Très rare. Voyez l’Alexandréidos de Gualthier
120 b à 133 b. — Fables d’Alphonse au nombre de treize. Fol. 134 a et suivants . — Facéties du Pogge. En tête de chaque fable il
sh Museum en possède un exemplaire porté au catalogue avec la mention suivante  : The fables of Æ., R. F. Auienus, P. Alfunsi, a
s la cote 12 304. aaa.32, est mentionnée au Catalogue dans les termes suivants  : The Fables of Esope in English with all his li
laire inscrit au catalogue sous la cote 12305. bb. 14 avec la mention suivante  : The Fables of Esop in English. With all his li
o, dont les feuillets sont signés et paginés. Les signatures sont les suivantes  : a, b, c, d, e, f, g, hh, h, A, B, C, D, E, F, G
de forme circulaire, dans l’encadrement de laquelle figure la maxime suivante  : Res parva crescunt concordia. Au bas de la page
a table qui commence au fol. 211 b occupe en outre les cinq feuillets suivants . 5º Édition de 1547. Cette édition forme un
ition de 1533 ; aux 22 premières en effet ont été ajoutées les quatre suivantes  : Fa. xxiij. fabula de la dueña viuda y del ypocr
te ville. Il arriva vers 1244 à l’apogée de sa réputation, et mourut, suivant les uns, en 1256, suivant les autres, en 1264, et
244 à l’apogée de sa réputation, et mourut, suivant les uns, en 1256, suivant les autres, en 1264, et, suivant quelques-uns, en
et mourut, suivant les uns, en 1256, suivant les autres, en 1264, et, suivant quelques-uns, en 1270. Lessing conduit même son e
. L’inventaire imprimé de 1744 donne du manuscrit 4897 la désignation suivante  : « Codex membranaceus, olim D D. de Bethune. Ib
s opuscules, que le catalogue imprimé de 1871 énumère dans les termes suivants  : « Historiettes pieuses, parmi lesquelles la lég
orme un gros volume du grand format in-8º, est décrit dans les termes suivants  : « Codex membranaceus, olim Colbertinus. Ibi con
es de France, Arsenal, T. II, p. 231, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Vincent de Beauvais : « Speculum hystoriale fra
me catalogue, Arsenal, T. II, p. 232, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Vincent de Beauvais : Speculum doctrinale. — 
e France, Départements, T. VI, p. 40, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : « Speculum hystorie fratris Vincencii. Apologi
Le même catalogue, T. VI, p. 361, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Vincent de Beauvais : Speculum historiale. (L
. Le même catalogue, T. V, p. 140, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Vincent de Beauvais : Speculum historiale , li
Le catalogue précité, T. I, p. 282, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Vincentii Bellovacensis Speculi historialis li
dans le format in-4º, donne, T. II, p. 83, du manuscrit 170 l’analyse suivante  : Deux volumes in-folio sur beau vélin. —  Specul
Le même catalogue, T. II, p. 208, donne de ce manuscrit l’analyse suivante  : Deux volumes in-folio sur vélin. —  Vincentii (
exte de la dix-neuvième est-il incomplet ; il s’arrête après les mots suivants  : E diuerso autem auceps venit et. Les premiers
s cette ville en 1777367, signale, sous la cote VIII, dans les termes suivants un manuscrit du Miroir historial contenant le Rom
Ce manuscrit est un volume in-4º, dont les feuillets en papier sont, suivant un numérotage à l’encre rouge en chiffres romains
souscription imprimée en lettres capitales et conçue dans les termes suivants  : Explicit. specvlvm. historiale. fra||tris. vin
Amerbach. Il publia, en un volume in-folio gothique, les cinq traités suivants  : 1. Libri gratix, 2. Tractatus de laudibus Mariæ
beluacensis Incipit , etc. L’ouvrage est terminé par la souscription suivante qui révèle le lieu d’impression, la date et le no
res signés, mais non paginés, dont le premier porte au recto le titre suivant  : Le second volume || de Vincent mi||roir histor
res signés, mais non paginés, dont le premier porte au recto le titre suivant  : Le tiers volume de || Vincent miroir || histor
res signés, mais non paginés, dont le premier porte au recto le titre suivant  : Le quart volu||me de Vincent || miroir histori
de 8 feuillets préliminaires dont le premier porte au recto le titre suivant  : Le quint volume  || de Vincent mi||roir hystor
e Vienne substitue abstulit. Si nous passons aux extraits de la fable suivante , nous voyons qu’en général l’ordre des mots qui e
nt divers ouvrages dont le catalogue imprimé394 donne la nomenclature suivante  : Fol. 1. Petri Blesensis epistolae. Fol. 203. O
à l’Anonyme. » Et à l’exemple déjà fourni par M. Robert il ajoute le suivant , tiré de la fable Musca et Mula : Phèdre :  
un Grec d’Athènes, nommé Ésope, a composé un livre de fables et que, suivant les uns, l’empereur Tibère à maître Romulus ou, s
ables et que, suivant les uns, l’empereur Tibère à maître Romulus ou, suivant les autres, l’empereur Théodose à un certain Angl
. Il déclare avoir lu dans le commentaire joint aux fables le passage suivant  : « Æsopus magister Atheniensium fuit. Quidam ver
Atticus. L’idée ainsi exprimée par Morelli était basée sur la mention suivante qui terminait l’édition de 1481 : « Finit Esopus
, non pas à l’homme lettré du xiiie  siècle, mais à l’imprimeur, qui, suivant Morelli lui-même, posséda au xve  siècle une gran
participe qui qualifiait Ésope de causeur facile. Le même sens doit, suivant moi, être attaché au nom de Garicius, qui, ainsi
it été communiqué par son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la main même du copiste : « In principi
e et sans titre, au bas de la même page et finit au recto du feuillet suivant . Mais j’ignorais ce fait intéressant. Après de lo
ocède et sourt, Dieu gart de Paris la cyté ; » 2º par la souscription suivante  : Fabularum liber cū glosa finit feliciter  ; 4º
u moins, il ne sera plus possible de reculer ou de rapprocher la date suivant les besoins de telle ou telle thèse plus ou moins
t que la collection complète en comprend au moins soixante. En voici, suivant l’ordre le plus généralement suivi dans les manus
expérimentés ont en général la plus grande peine à s’accorder ; tant, suivant l’esprit dans lequel on les examine, les choses l
son vers ne sommeille point : Aesopus metrum non sopit. Au siècle suivant , vers 1333, les fables de Walther sont traduites
dée. Il signale en effet huit manuscrits, auxquels il donne les cotes suivantes  : 8023, 8259, 8460, 8509, 8509 A, 7616, 266 Saint
23. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8023 l’analyse suivante  : Codex partim chartaceus, partim membranaceus,
59. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8259 l’analyse suivante  : Codex chartaceus, olim Colbertinus. Ibi contin
60. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8460 l’analyse suivante  : Codex membranaceus, olim Puteanus. Ibi contine
09. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8509 l’analyse suivante  : Codex membranaceus, quo continentur Aesopi fab
par le relieur en tête du volume, on peut aisément lire l’annotation suivante dont il a dû être revêtu à Blois avant 1545 : Ta
gue imprimé des manuscrits latins donne du manuscrit 8509 A l’analyse suivante  : Codex membranaceus, olim Mazarinæus. Ibi conti
rouge avec l’écusson du Roi sur les plats. Au dos se trouve le titre suivant , dont les mots sont abrégés à cause de l’épaisseu
microscopique, qui le plus souvent se prolonge jusqu’à la marge de la suivante . Cette écriture paraît presque aussi ancienne que
paraît presque aussi ancienne que celle du texte. Au lieu du distique suivant qui se lit après la soixantième fable dans les éd
ais service. En effet, M. Robert ayant vu en tête des fables le titre suivant  : Incipit liber eusopi edito a magistro Gauffred
du commencement du xve  siècle. Les ouvrages qu’il renferme sont les suivants  : 1º le livre de Caton, 2º une épître en vers, 3º
e trouvait le nom d’un des propriétaires successifs du volume ; mais, suivant une habitude autrefois trop constante, un proprié
À la porte du dortoir, cette origine était rappelée par l’inscription suivante en hexamètres rythmiques, gravée sur une plaque d
nos 266 et 175, l’un ancien, l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante  : Boëtius, de consolatione philosophiæ (in fine
nos 793 et 548, l’un ancien, l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante  : Quædam de grammatica. Officium translationis S
tre vient le prologue de Walther, auquel le copiste a fait l’addition suivante  : Ut loquar uberius adsit michi virgo Maria.    
u manuscrit consacrée aux fables de Walther se termine par l’épilogue suivant  : c’est la substance de cest livre. Or vous ai
ue, M. Robert fait sur le traducteur et sur son œuvre les conjectures suivantes  : « C’étoit, dit-il, pour la reine de France, Jea
ait été achevé après ce mariage, c’est-à-dire vers 1333432. » Enfin, suivant M. Robert, c’est celui-là même qui fut présenté p
premier de ces deux manuscrits n’en renferme que 56 et n’a pas les 12  suivantes  : 1. Le Serpent et le Pauvre. 2. La Tête sans ce
Vache. En revanche, le manuscrit 1594 est dépourvu des quatre tables suivantes qui existent dans le manuscrit 1595 : 1. L’Incon
es. Les 59 premières sont la traduction de celles de Walther : les 18  suivantes se rapportent à celles d’Avianus, et les 49 derni
e, auquel il donna la cote 713, en indiqua le contenu dans les termes suivants  : 1º Boecius de disciplina scholarum ; 2º Senten
les auspices du ministère de l’instruction publique. Aux pages 242 et suivantes du tome I ils pourront satisfaire leur curiosité.
se de son originalité misanthropique, signaler en passant le distique suivant , qu’en ouvrant le manuscrit j’ai trouvé au recto
à donner un seul et même numéro au verso d’un feuillet et au recto du suivant . Il en résulte qu’elles commencent réellement au
honestum,       Ut nucleum celat arida testa bonum. 2º L’épimythion suivant de la fable i : Tu gallo stolidum, tu, iaspide d
. 4º Dix-neuf vers empruntés presque tous aux épimythions des fables suivantes , commençant par ce troisième de la fable iii : O
l’augmenter. L’état de ses acquisitions, en janvier 1764, se montait, suivant une note de sa main, à la somme de 50,787 livres.
rois puissant et de grant gloire, et dont les deux derniers sont les suivants  : Grace et amour confont rancure, Droiz et loiau
ommencement du xvie . Les 35 premiers feuillets contiennent, non pas, suivant la mention erronée du catalogue, seulement les 45
talogue, mais par celle de 1407 écrite en chiffres arabes. L’opuscule suivant , qui forme une collection d’exorcismes, commence
ie apostoli. Au-dessous une table des matières donne dans les termes suivants la nomenclature des ouvrages contenus dans le man
raît avoir été écrit par le même copiste, qui a, dans la souscription suivante , exactement donné la date de sa copie : « Est fin
baye de Saint-Mathieu hors Trèves, ainsi qu’il résulte de l’ex-libris suivant inscrit sur la face intérieure du premier des deu
s, dont l’énumération figure au-dessus de l’ex-libris dans les termes suivants  : Vocabularius parvus usque p. Esopus metrice. S
utem à leone : Quare non intrasti ? Respondit , et par les hexamètres suivants qu’offre dans Horace la première épître du livre 
prend plusieurs ouvrages, dont la nomenclature a été, dans les termes suivants , établie sur la première page : Liber consolatio
rouve, avant le distique final qui contient la vraie affabulation, le suivant que j’ai déjà signalé dans un autre manuscrit :
lusieurs manuscrits précédemment analysés, possède les deux distiques suivants , qui montrent la matrone d’Éphèse brisant les den
euillets en papier, dont l’écriture est de l’année 1460 et des années suivantes . Elles s’étendent du verso du feuillet 153 au ver
inepte, qui les attribue à Ésope et dans lequel se lisent les phrases suivantes  : « Causa efficiens est magister Esopus de civita
nées de gloses marginales et interlinéaires et précédées du préambule suivant  : « Magister Esopus, excellens boeta (sic) grecu
rit 4146. Ce manuscrit, qui a été écrit en 1436 et dans les années suivantes et dont l’origine est indiquée au catalogue impri
es de Walther sont le quatorzième. Elles occupent les feuillets 76 et suivants . L’écriture est de la main d’un copiste nommé Bur
iennent les fables de Walther. C’est ce qui résulte de la désignation suivante que j’emprunte au catalogue : Apologi vel fabula
renferme, accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther, qui, suivant le catalogue, sont intitulées Liber Esopi et sont
division en trois livres, qui trahit leur origine et qui montre que, suivant l’opinion adoptée, elles sont bien dérivées du Ro
comprennent les 60 fables primitives, auxquelles s’ajoutent les trois suivantes  : De Capone et Accipitre, De Pastore et Lupo, De
n du xve  siècle. Il contient quatre ouvrages désignés par les titres suivants  : Theodolus, Esopus, Liber parvi doctrinalis, Lib
lant coloris. Au recto du premier feuillet se trouve d’abord le titre suivant  : Incipit liber Esopi Zucarini editi a Zucone de
uté que pour un prince ; c’est ce que révèle tout de suite la mention suivante mise sur le recto du premier feuillet :   Les mo
ne mourut en 1348. Ce qui précède ressort manifestement de la mention suivante , qui dans l’épilogue est faite, de Lainsne fil do
n épilogue, qui, composé de 84 vers français, commence par les quatre suivants  : Or vous ai conté mainte fable, Ou maint bon mo
blié ; ainsi, après le vers : Si comme ruth la courtoise, on lit le suivant  : Qui fut dame sans nulle boise. Il s’ensuit qu
ssous de l’écu, on lit, sous la forme d’un vers pentamètre, la devise suivante  : Singula cum ualeant sunt meliora simul. 4
in-fol. de 65 feuillets en parchemin, qui renferme les trois ouvrages suivants  : 1º Fabulæ anonymi, 2º Præcepta rethorica, 3º Bo
e Walther et dont il n’est resté qu’un double feuillet comprenant les suivantes  : 1º De Leone et Mure, moins les trois premiers v
sur le recto duquel le contenu du volume est indiqué dans les termes suivants  : « In hoc libro continentur : Albertanus de cons
mprenant le prologue, les 57 premières fables et la 58e jusqu’au vers suivant  : Hic silet ; argus init stabulum bobusque minis
e du palais Brera renvoie pour plus amples renseignements à l’ouvrage suivant de Muratori : Antiq. Itat. medii ævi, t. III, Dis
, qui sont sur un premier feuillet en papier indiqués dans les termes suivants  : 1º Poetica quædam incerta et antiqua (fol. 1 a
feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrages énumérés dans les termes suivants  : 1º Catonis commentum (fol. 1 a à 5 b). 2º Pros
du feuillet 1 a au milieu du feuillet 30 b, est visé dans les termes suivants sur un premier feuillet en papier : Prosper Epis
titres particuliers à l’encre rouge. L’espace blanc qui, en tête des suivantes , avait été ménagé pour les recevoir, n’a pas été
ve  siècle. Les ouvrages qu’il contient sont énumérés dans les termes suivants sur le premier des deux feuillets en parchemin pl
et Uxore adultera, qui possède après le quatorzième vers le distique suivant , rarement conservé dans les autres manuscrits et
, comprennent les soixante ordinaires auxquelles s’ajoutent les trois suivantes  : De Domino, Accipitre et Capone, De Pastore et L
n lit : Explicit liber Esopi deo gratias. Amen. Les cinq feuillets suivants sont occupés par le poème d’Eva columba, en vers
plémentaire De Lupo et Pastore. Elles sont précédées du titre général suivant , qui est écrit à l’encre rouge : Liber moralis E
verso du premier feuillet la vie abrégée d’Ésope. En tête du feuillet suivant se trouve ce titre : Phrygum philosophi Esopi mo
bre. 1487. Panzer, t. I, p. 8, nº 31, signale dans les termes suivants une édition in-4 qui a été imprimée à Anvers en 1
tre M. cccc. xciiii. Il n’y a pas d’indication de lieu ; ni de mois. Suivant Hain, cette édition, sans indication de lieu et s
mercesque retenta laborum. Enfin au-dessous se lit la souscription suivante  : Impressum Mediolani per magistrum Philippum de
62 numéros ont été ajoutées cinq autres portant les numéros et titres suivants  : lxiij De Capone et Accipitre ; lxiiij De Pastor
grin Posthume Loticus, prêtre parmesan, et suivies de la souscription suivante  : Æsopi fabulae per Salonem Parmensem finiunt.
eto. L’avant-dernier feuillet, au bas du recto, porte la souscription suivante  : Impressum Venetiis per Alexandrum et Benedi||c
rs le bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit la souscription suivante  : Brixiæ Impendio Ludouici Britānici : et fra-||
es soixante authentiques, cinq complémentaires qui portent les titres suivants  : De Cornice et Hirundine, De Pastore et Lupo, De
ntiques, des deux qui y sont le plus souvent ajoutées sous les titres suivants  : De Capone et Accipitre, De Pastore et Lupo, et
sous 61 numéros, ont été, sous les numéros 62 à 67, ajoutées les six suivantes  : De Capone et Accipitre ; De Pastore et Lupo ; D
st à ce titre qu’il publia dans sa première édition de Phèdre les six suivantes  : 2. De Lupo et Agno, 6. De Leone, Vacca, Capra e
thentiques de Walther, placées sous 61 numéros et augmentées des cinq suivantes  : 62. De Capone et Accipitre et Domino ; 63. De P
ilologie an der universitāt Bonn. Le titre qui lui est spécial est le suivant  : Der Lyoner Yzopet || Altfranzösische übersetzun
tobre 1580. À la marge supérieure du feuillet 61 a, on lit la date suivante  : A di 20 di Mago 1523. Le manuscrit renferme
signé de a à q et porte au verso du dernier feuillet la souscription suivante  : Impresso || in Firenze per ser France-||sco Bo
useppe Vanni || con Lic. de’ Super. Édition in-8º de xliv-204 pages. Suivant M. Ghivizzani, le texte en dialecte toscan que po
ction. Le verso du même feuillet est entièrement occupé par le sonnet suivant  : (S) api chio son Esopo : o tu lettore :      
x fables. Les quatre fables ajoutées aux soixante de Walther sont les suivantes  : De Capone et Accipitre ; De Pastore et Lupo ; D
ommence une Concionetta qui se termine au milieu du recto du feuillet suivant . Puis immédiatement vient une Canzon morale, qui
1 à 64, sous les nos lxiii, lxix (sic), lxv, lxvi, portent les titres suivants  : De Capone et Accipitre ; De Pastore et Lupo ; D
sur un feuillet supplémentaire inséré à la fin du volume, la mention suivante  : Este libro ansi en quadernado. costo. 28. mīs
66 b (y. iiiiii b). — Le tout est ensuite terminé par la souscription suivante  : « Francisci de Tuppo Parthenopei utriusque iuri
e cette bibliothèque (t. I, p. 14, 2e col.) la décrit dans les termes suivants  : « Vita (et Favole). (Latine et Italice ex trans
son temps appartenait au comte d’Arundel on pouvait lire l’indication suivante , qui a permis de fixer l’époque de sa naissance :
Wigorn, où les moines de l’endroit l’inhumèrent dans leur cloître et, suivant Bale475 et Pits476, mirent sur son tombeau l’insc
et, suivant Bale475 et Pits476, mirent sur son tombeau l’inscription suivante  : Eclipsi ni patitur sapientia, sol sepelitur ;
hrasant, en avait tiré une phrase prosaïque qui était probablement la suivante conservée dans le Romulus ordinaire : Ossa lupus
cinq n’avaient pas été empruntées au Romulus ordinaire ; ce sont les suivantes  : Le Taureau et le Moucheron ; Le Vautour et l’Ai
dinaire, la fable du Loup et de l’Agneau, avait écrit les quatre vers suivants  : Sic iterum tonat ore Lupus : Mihi damna minari
ongé, composé de 126 feuillets en parchemin. Il renferme les ouvrages suivants  : 1. Johannis de Hauvilla liber de potentia labo
’opuscules, tels que fabliaux et romans, dont plusieurs sont revêtus, suivant M. Robert487, de la date de leur transcription, q
Comme dans la collection de la Bibliothèque nationale, le traducteur, suivant l’usage du temps, a employé les vers de huit syll
t-une, elle possède toutes celles du Romulus primitif, sauf les trois suivantes , savoir : iii, 32, L’Âne et le Loup ; iii, 39, L’
it que, sauf une dont il va être question au commencement du chapitre suivant , le manuscrit 303 les a toutes. Chapitre II.
t in-8º et dont l’écriture est du xive  siècle, renferme les ouvrages suivants  : 1º Catonis sententiæ (fol. 1 a à 14 b). 2º Poë
ion poétique. Ce sont celles qui dans le manuscrit portent les titres suivants  : De Leone quem feræ in regem legerunt, De Vulpe
III, 14. En revanche, les Fabulæ antiquæ comprennent les 32 fables suivantes , qui n’existent pas dans le Romulus de Nilant, sa
mots Cui Iuno iterum , qui sont séparés du commencement de la fable suivante par l’espace blanc jugé nécessaire à son achèveme
et dépassent de 5 celles du manuscrit de Leyde. Ces 5 fables sont les suivantes  : i, 6. Le Buffle, le Loup et le Lion ; iii, 4. L
le torna. Li roi Henris qui mult l’ama Le translata puis en englois. Suivant elle, c’est donc le roi d’Angleterre qui écrivit
ervé la fable de l’Homme en mal d’enfant. On arrive ainsi au résultat suivant  : 136 – 24 = 112 + 1 = 113. En outre, il faut rem
de maintenir le nombre de 114 ; en conséquence, j’établis de la façon suivante la liste des fables du Romulus anglo-latin : R
lle déclare avoir fait sa traduction est Guillaume de Dampierre, qui, suivant M. de Roquefort, était mort avant l’année 1246513
i, suivant M. de Roquefort, était mort avant l’année 1246513, et qui, suivant M. P. Chabaille, périt en 1251, à Trasegnies, dan
et le style de cette femme, comme le témoignage des auteurs du siècle suivant , doivent la faire reléguer à cette dernière époqu
écrit ses fables vers le milieu du xiiie  siècle. C’était d’ailleurs, suivant M. de Roquefort, la thèse professée par tous les
ibliothèque du président de Thou ; c’est ce qui ressort de la mention suivante , qu’au bas du recto du premier feuillet il avait
abbaye de Saint-Germain-des-Prés. C’est ce qui ressort de l’ex libris suivant  : « Ex bibliotheca mss. Coisliniana, Olim Segueri
is des fables de Walther, j’ai donné du manuscrit 24310, pages 531 et suivantes , une analyse à laquelle je renvoie. J’ai dit alor
nombre de 54 ; ce sont celles qui, dans mon tableau, portent les nos suivants  : 1 à 18, 23, 26 à 36, 48 à 49, 54, 57 à 58, 76,
ier, au verso duquel le contenu du volume est indiqué dans les termes suivants  : 1º L’image du Monde par Gautier de Metz qui le
e il n’a été privé que de la fin d’une fable et du commencement de la suivante . Le manuscrit, en somme, n’a jamais possédé que 6
uite il en manque 47, dont les numéros, d’après mon tableau, sont les suivants  : 22, 24 à 25, 46 à 48, 57 à 65 et 72 à 103. Elle
nçois qui contient LXXXI chapitres. Puis au commencement du feuillet suivant vient le prologue en quarante vers. Les fables qu
n ont disparu, sont les quarante portant dans mon tableau les numéros suivants  : 3, 10 à 18, 26 à 31, et 80 à 103. Il faut natur
six premières pages du quatrième volume sont numérotés de la manière suivante  : 256 rº, col. 1 ; 256 rº, col. 2 ; 256 rº, col. 
es. Sur la première page, l’auteur de la seconde série a par la note suivante nommé l’auteur de la première et indiqué les sour
il en manque 36, qui sont celles portant dans mon tableau les numéros suivants  : 6, 12, 54 à 55, 61 à 65, et 76 à 102. 4º Bi
liothèque royale de Bruxelles. Manuscrit 10296. Ce manuscrit, suivant l’usage adopté à Bruxelles, porte autant de cotes
u milieu de la première colonne du feuillet 157 a par la souscription suivante  : Explicit liber de naturis rerū. Deo gracias. A
aphe du duc Charles d’Orléans, dont la signature mise au-dessous est, suivant son usage, accompagnée du double signe xl et 40.
crivait à la fin du xiie  siècle ou, au plus tard, au commencement du suivant , n’appelle pas, dans sa traduction de la même fab
uls manuscrits du Dérivé complet que j’aie pu découvrir sont les sept suivants  : 1º Le manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la v
du xive  siècle. Sur le recto du premier feuillet on lit l’ex libris suivant , écrit sans doute par un des moines du couvent bé
du xive  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages disposés dans l’ordre suivant  : 1º [Æsopi fabulæ.] 2º Exemplum de tribus latro
s homo ingeniosus studiose collegit. Puis vient, au haut de la page suivante , le Dérivé d’Avianus sans titre général, mais ave
de dignitate , il a allongé l’affabulation primitive par les emprunts suivants faits à la fable xxxvii de Walther : Unde dicit
parer au prologue de Gérard. Il extrait du prologue de Marie les vers suivants  : Romulus qui fu emperère, A sun fill escrit è m
i rimé en franceiz. Puis il rapproche de ces deux extraits les vers suivants du prologue de Gérard : De Koning de van erst Ro
s manquants n’en possédaient pas plus de treize, qui auraient été les suivantes  : Dérivé complet. 1. La Vache, la Chèvre,
a traduite, quel est le premier vers qui s’offre aux yeux ? C’est le suivant  : Magnus Romanæ regnator Romulus urbis. Je pass
uc filum mihi adduxeris. Or, tout cela se retrouve dans les deux vers suivants du Dérivé hexamétrique : Cuique doli fallax resp
one regnante, qui, commençant par le vers précité, se complète par le suivant  : Ut nostræ nullum gentis post læderet unquam.
mme dans le premier des deux vers précédents et comme dans le passage suivant de la même fable : Bestia non aliud fuerat que i
i, dans la nomenclature générale établie plus haut, donné les numéros suivants  : I, 1 ; I, 2 ; I, 3 ; I, 4 ; I, 5 ; I, 6 ; I, 7 
és du Romulus primitif. Il ne comprend en effet que les treize fables suivantes , puisées dans les trois livres de son modèle :
drupèdes et les Oiseaux. III, 4. Ces fables sont précédées du titre suivant , qui montre que c’est bien d’un Romulus qu’elles
l’audace D’inventer des tableaux pour peindre ma disgrâce. En 1834, suivant la voie tracée par ses devanciers, M. Ernest Panc
nt-Jacques, au Lys d’Or. 1756, 2 vol. in-12. (Voyez tome I, p. 198 et suivante .) 71. Vie de Pierre Pithou, avec quelques mémoi
debat Ambrosius Firminus Didot, MDCCCXXX, in-8º. 74. Voyez p. 749 et suivantes . 75. Beaucousin (Christophe-Jean-François), né à
Pithou. Paris, Саvelier, 1756, 2 vol. in-12. (Voyez tome II, p. 88 et suivantes .) 81. Voyez Dissertation sur les quatre manuscri
dans le Magasin encyclopédique, VIe année (1800), tome II, p. 441 et suivantes . 82. Querolus, antiqua comœdia inedita, quæ in
dans le Magasin encyclopédique, sixième année, tome II, les p. 441 et suivantes . 89. Examen des nouvelles fables de Phèdre, qui
94. Voyez même édition, p. 53 de la préface. 95. Voyez les p. 54 et suivantes de la préface. 96. Je suis bien loin d’être le
ez, dans le Magasin encyclopédique, VIe année, tome II, les p. 441 et suivantes .) 98. Ludovici Trossii ad Julium Fleutelot coll
t naître ou du moins vivre en Normandie, en Allemagne, en Angleterre. Suivant Montfaucon (Bibliotheca Bibliothecarum, 1, 91), i
Temple du Goût. M.DCC.LIV. (Voyez le Discours préliminaire, p. 54 et suivantes .) 223. « Phædrus fuit item alter philosophus Ep
libri V… Schwabe. Brunswigæ, MDCCCVI, in-8º. (Voyez tome I, p. 229 et suivantes .) 230. Voyez même édition aux tome et pages sus-
º maj. 236. Journal des Savants, Déc. 1830, in-4º. (Voyez p. 749 et suivantes .) 237. Ienaische Litt. Z. Intelligenzblatt, 30 
ci, sumptibus et typis A. F. Hurez. MDCCCXXI, in-18. (Voyez p. 145 et suivantes .) 273. Grammatica clarissimi poete et oratoris
ob de Vérone pour lequel il avait composé dans sa jeunesse l’épitaphe suivante  : Invida fata, mihi fidum rapuistis amicum,     
MDCCXII. In-fol. (Voyez p. 386.) 289. Voyez tome VIII, pages 574 et suivantes . 290. Le diacre Paul, historien lombard, naquit
ans le XXXe volume de l’Histoire littéraire de la France, page 334 et suivantes . Voici comment il s’exprime à la page 353 sur le
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
i sert quelquesfois de divertissement aux hommes faits. Au contraire, suivant la petite portée de son esprit, il estimera la ch
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
t, ayant pris garde à sa Mere, qui faisoit d’estranges plaintes en le suivant , il pria les Officiers de la Justice, qu’il luy f
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
ir ce malencontre ». Il voulut là dessus passer outre : mais Esope le suivant , « Arreste un peu », luy dit-il. A ces mots le ma
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se mit à parler a
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
à un autre, et ne m’apperçois pas que j’anticipe le sens de la Fable suivante , qui en veut aux hommes extraordinairement compla
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
ctenabo confesse devoir à Lycerus mille talents de tribut » ; Le jour suivant comme il fut de retour vers le Roy, la premiere c
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
tumé de rendre monstrueuse ceste union. Passons maintenant à la Fable suivante .  
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