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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
es lieux, que je suis convié pour ceste fois à l’abreger, et à redire seulement icy pour la satisfaction du Lecteur, que l’excess
r, que l’excessive Ambition d’avoir ou d’entreprendre, ne déchoit pas seulement de ce qu’elle desire, mais elle dissipe d’ordinai
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
seroit une chose superfluë de s’estendre beaucoup là dessus. Je diray seulement , que celuy qui se confie à son Ennemy, monstre qu
raison en une chose qui n’en a point, que de la poursuyvre pour cela seulement qu’on l’a commencée ; Et si au contraire il a eu
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 148 » pp. 249-249
meau que son propre maître contraignait à danser dit : « Ce n’est pas seulement quand je danse que je manque de grâce, j’en manqu
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
r que toy, Petit Serpent à teste folle, Plutost que d’emporter de moy Seulement le quart d’une obole, Tu te romprois toutes les d
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
vint blême de peur, et, claquant des dents, il dit : « C’est la piste seulement que je cherche, et non le lion lui-même. » Cette
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
rps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. Esope ne fût pas seulement serf de condition, mais le plus difforme de tous
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
tant mis les doigts dans la bouche, pour se faire vomir, il ne rendit seulement que l’eau, pource qu’il n’avoit rien mangé tout c
e mettre tout de bon leurs doigts dans la bouche, mais de les tourner seulement ça et là, tout à l’entour des machoires : Ce que
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
. Le laboureur revenant l’aperçut et dit : « Ah ! tête scélérate ! si seulement tu renonçais aux rapines et au brigandage pour te
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
des loüanges si excessives, ny des blâmes si desobligeants ; et diray seulement , que supposé qu’en tout le genre humain l’Ame soi
conditions de l’esprit, soit pour la force du corps. Ce qui n’est pas seulement ordinaire en nostre espece, mais en celle de tous
et égalent quelquesfois ceux qu’on estime les plus illustres, non pas seulement en esprit et en sçavoir, mais encore en ce qui re
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
trouve remply d’or. Quand je t’ay fait du bien, M’as-tu valu, dit-il, seulement une obole ? Va, sors de mon logis : cherche d’aut
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 53 » p. 30
le malheur, il faut prendre soi-même de la peine pour s’en tirer, et seulement alors implorer le secours de la divinité.
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
ut dire le mesme des qualitez intellectuelles, et des vertus, excepté seulement qu’elles ne sont pas sujettes à un trafiq mercena
il en neglige l’occasion avec tant de brutalité, qu’il ne laisse pas seulement naistre en soy-mesme le desir de la posseder, soi
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
é par violence. Ce qui sera bien aisé à conclure, si nous considerons seulement , que le vray don est incapable de la contraincte,
essaisit de ses propres commoditez, pour en obliger un autre, et cela seulement à condition de faire paroistre à nostre amy l’eff
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
c fait bonne chere, elle voulut traicter le Rat à son tour ; “Suy-moy seulement ”, luy dit-elle, “et n’aye point de peur, car j’at
avoit fait cela exprés, pour se vanger de l’Aigle, qui ne l’avoit pas seulement offensé, mais commis une impieté contre luy-mesme
ondit qu’il falloit expier la mort d’Esope. Sçachant donc bien qu’eux seulement en étoient coupables, ils luy dresserent une pyra
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
s, et des possessions terriennes en abondance. Mais luy ne voulut pas seulement achever d’ouyr les Ambassadeurs, et les renvoya s
articulierement au judicieux Traicté qu’en a fait Plutarque. Je diray seulement , qu’il suffit de considerer les qualitez de la pe
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
XX. L’Avare qui a perdu son tresor. L’Usage seulement fait la possession. Je demande à ces gens, de qui
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
, Court à son compagnon ; luy dit que c’est merveille, Qu’il n’ait eu seulement que la peur pour tout mal. Et bien, ajoûta-t-il,
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
, ny par contraincte, ny par necessité non plus ; mais de mon bon gré seulement . Mais avant que passer outre, permets, je te prie
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
ue faisoient les Troyens quand la pauvre Cassandre
 Ouvroit la bouche seulement .
 Il en prit aux uns comme aux autres.
 Maint ois
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
age. Soy soigneux de tes domestiques, afin qu’ils ne te craignent pas seulement , comme leur maistre, mais qu’ils te reverent auss
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
voyant pas les choses toutes pures, mais par les yeux du profit tant seulement , n’est point capable de les examiner avec tant de
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
laisser venir à ton Festin des gents du commun, et des ignorants mais seulement des hommes doctes ? » « Et quoy ? » continua Xant
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
Ciel, où s’addressent toutes leurs pensées. C’est là qu’ils aspirent seulement , comme à leur future patrie, se développant avec
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
ceux qui l’écoutent. Ce n’est pas servir de guide, que de parler tant seulement  ; Il faut prendre par la main celuy qu’on veut ad
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
vi leur projet quant à l’évenement, Y cousant en chemin quelque trait seulement . Voicy comme à peu prés Esope le raconte. Un Pâ
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
doux Bertaud, C’est hayr que d’aymer ainsi. Or ce n’est pas en cela seulement que les excessives caresses des Meres sont dommag
Vertu. A ces raisons l’on en peut adjouster quelques autres, propres seulement à ce sujet. Premierement, qu’un fils peu caressé
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
antir du tort qu’on luy fait, et n’en peut demander justice qu’à Dieu seulement . D’ailleurs, les demons par la mesme raison qu’il
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
ceux qui se picqueroient d’estre bien à cheval, et qui n’auroient pas seulement l’assiette ferme, ou ces autres qui s’attribuëroi
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
e, à la maniere des autres femmes, et des hommes mesmes, qui trouvent seulement loüable et beau ce qui est en leur possession ; L
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
fait point repousser les outrages par les outrages, mais l’introduit seulement avec une voix posée, tançant ses Ennemis de l’ass
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
re homme, non pour aucune haine qu’ils ayent conçeuë contre luy, mais seulement par une envieuse qualité, qui les empesche de con
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
c intention d’étre recompensé, qu’il faut obliger les meschants, mais seulement à dessein de faire une bonne action, et de respec
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
mmes pour publier leur propre loüange. Mais ce vice-là ne paroist pas seulement aux entreprises Martiales : Il triomphe bien souv
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
u venu trahir le Fils de l’Homme avec un baiser ? » Or ce ne sont pas seulement les baisers que ces courages malins employent à l
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
sera mes défauts, par la sincerité de mon intention, et qu’il prendra seulement pour luy ce qu’il trouvera de plus propre à conte
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
ion que celle des Riches ? Ne veulent-ils point s’égaler à Dieu, tant seulement à cause de leurs thresors ? Ne sont-ce pas eux qu
Esgaux par Envie. A quoy s’il faut joindre les raisons, nous n’avons seulement qu’à jetter les yeux sur les Histoires presentes,
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ligations. Mais je laisse en arriere tous ces exemples, pour alleguer seulement celuy qui est arrivé à la personne mesme de nostr
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
e ; Mais pource que l’entrée estoit fort estroicte, le Renard en eust seulement la veuë, et n’en peût jamais gouster : comme au c
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
nore sa Royale Cour de la presence de ceste perfide. Elle la condamne seulement à ne se trouver plus avec les autres Oyseaux, et
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
tion estant faite pour la ruyne de Rome, ne perdit toutesfois que luy seulement , et ses miserables complices. Ces experiences pou
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
. C’est à faire à un autre genre d’écrire que celuy cy. Je parcourray seulement les grands Estats, pour faire veoir combien la di
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
profession nous appelle : mais ils croyoient que ces dangers estoient seulement reglez par le commandement du Prince et du Genera
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
si manifeste, qu’elle n’a besoin de preuve, ny d’experience. Il faut seulement sçavoir, s’il est le plus asseuré ; en quoy je di
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
ne faute insupportable, et digne de toute reprehension. Cela soit dit seulement pour les Monarchies Electives : car quant à celle
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
s cause-t’elle tous-jours de la risée. Or cela ne doit pas s’entendre seulement de l’humaine vanité, mais aussi de l’adresse que
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
perfection. Mais le tres juste et tres raisonnable Christianisme, n’a seulement point permis de rompre avecque sa femme, pour en
ix aux Republiques, en reçoive d’une petite Niaise, qui ne sçaura pas seulement conter son âge ? Le vieil Scipion n’avoit-il pas
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
x, qui ne vivent que pour l’orgueil, ou pour le luxe, et songent tant seulement à faire voir leur magnificence à leurs semblables
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
n commet le soing de l’Eternité des actions. Mais ce ne sont pas tant seulement ces gens-là que la corruption du siecle a gaignez
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
pas ce que je desire sçavoir de toy », respondit Xanthus ; « Je veux seulement que tu me dies ton païs, ou le lieu d’où tu és so
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
l trouvoit une Androgine, elle n’échapperoit pas de ses soins, pource seulement qu’elle seroit à demy femme. Venons maintenant à
51 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
été qu’en partie exploré. Lorsque je l’ai commencée, je me proposais seulement d’en faire la préface de la publication projetée
emporains ou du moins de ceux dont les écrits nous sont parvenus, n’a seulement paru se douter de son existence. Aussi ses œuvres
’esclave et quels événements l’avaient amené à Rome. Ce que l’on peut seulement affirmer, c’est qu’il y avait été conduit bien je
voit dans les fables i et vi du livre Ier de mordantes personnalités. Seulement il prétend qu’elles n’avaient pas trait à Séjan,
lons, il n’ose pas fixer une date à l’ouvrage de Phèdre46. Il affirme seulement que les deux fables Ranæ ad Solem et Ranæ regem p
Ranæ regem petentes une allusion satirique au gouvernement de Tibère. Seulement il croit qu’il n’était pas désigné par le solivea
énéral empêché les critiques d’admettre qu’ils eussent été publiés ou seulement écrits sous Tibère, c’est qu’ils y avaient vu des
acié et mis à mort. Mais il n’était pas pour cela exempt de craintes. Seulement il ne faut s’y tromper : ce qu’il craignait, ce n
Phèdre. — Aucun document ne renseigne sur la date de sa mort. Il est seulement certain qu’il parvint à une grande vieillesse ; s
sive laudandum est opus, Invenit ille, nostra perfecit manus. C’est seulement à partir de la deuxième partie de son livre IV, q
ct., c. xxviiii, et Macrob., lib. I, Comment. in Somn. Scip. » C’est seulement à la page 7 que commence le texte de Phèdre. Il e
éger cette analyse, je m’abstiens de les transcrire. Je me permettrai seulement de faire connaître les particularités qui indique
vais été d’Évian l’examiner. Mais l’idée d’éclaircir ce point m’étant seulement venue pendant le siège de Paris, j’ai dû en atten
e les dates. C’est en 1562 que la bibliothèque fut saccagée, et c’est seulement en 1596 que la première édition de Phèdre fut pub
s de 1617 et de 1630, portait en tête la lettre au président de Thou. Seulement il n’y était pas encore question du Père Sirmond,
rses éditions de Rigault. Or, pour prendre quelques exemples au début seulement du premier livre, les variantes queris et gravis,
s de Phèdre qu’ils ne cherchaient pas dans ce manuscrit, en signalent seulement sept dans leur édition de la chanson de geste, in
ent tenu aucun compte, sont au contraire ici scrupuleusement séparés. Seulement , comme dans tous les manuscrits de la même époque
chartula, il s’exprime ainsi : « Ce n’était qu’un fragment contenant seulement les 21 premières fables du IIe livre139. » À lire
e l’auteur de cette notice adopte les indications de ses devanciers ; seulement , comme il est rare qu’une idée fausse soit parfai
pénible besogne, si j’avais su qu’un autre l’eût exécutée ou s’y fût seulement engagé. Pourtant, après avoir lu et relu la broch
vant elle m’avait semblé utile, dorénavant je la considérais non plus seulement comme fort opportune, mais même comme absolument
reusement les accusations de Jannelli étaient fondées, je vais donner seulement les trois versions de 5 vers, appartenant à la fa
ublié une édition in-folio, assez mal imprimée d’ailleurs et composée seulement de douze pages. Sur la première on lit : Q. D. B
e ce distique ; mais le lecteur français veut être respecté. Je ferai seulement observer que cette épigramme confirme l’opinion q
ts, qui contient cette épître, et, à la suite, la table des matières. Seulement il est probable qu’il ne donna ni à Pirrho Perott
d’éclaircir. Maintenant je ne dois pas perdre de vue que ce n’est pas seulement sa fausse déclaration, et que c’est encore sa déd
avail serait aussi fastidieux qu’inutile ; je ne l’entreprendrai pas. Seulement , puisque j’ai parlé d’une ancienne fable de Phèdr
bien de l’affranchi d’Auguste que Martial avait parlé et qu’il était seulement regrettable que ce flatteur de Domitien l’eût qua
on ; mais leur parole devait suffire. Ne pas y croire, ce n’était pas seulement avoir à leur égard une méfiance injurieuse, c’éta
stence de fabulistes tombés dans le même oubli : il ne s’agit pas ici seulement d’une réticence peu significative en elle-même ;
ent se dérober aux recherches d’un simple amateur, plus vieux que lui seulement de quelques années : la vanité elle-même a ses bo
s fables ; c’est donc une simple opposition à coarctavit, qui indique seulement un recueil plus considérable que celui de Babrius
thou offrait des pages déchirées au milieu et à la fin. En manquât-il seulement sept ou huit, que cela suffirait pour qu’il eût c
ue bien « qu’on y trouve quelques expressions familières à Phèdre » ; seulement il se hâte d’en tirer une conclusion contraire à
ii, De oraculo Apollinis, « très belle et sublime même ». Il remarque seulement que le vers Delicta vindicate ; castigate impios
urs, aucun argument contre l’authenticité de la fable, qu’il regrette seulement « de ne pas trouver en meilleure compagnie ». La
f269. Mais, lorsqu’on a pu avoir sous les yeux les deux manuscrits ou seulement l’un d’eux, la confiance est encore plus grande.
tard initié aux rythmes compliqués de la poésie latine, et que c’est seulement après être parvenu à l’âge mûr qu’il a composé se
la réimpression partielle de la deuxième édition de Schwabe, comprend seulement  : La vie de Phèdre, les trois Dissertations du Pè
tudio sulla favola di Fedro (pages 7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une partie des fables anciennes (pages 97 à 138).
ts, s’écartent nécessairement davantage de la source originale. C’est seulement des premières qu’il sera question dans ce deuxièm
a été facile de m’en assurer. La bibliothèque de Leyde n’a pas hérité seulement des manuscrits de Vossius, elle a aussi acquis se
lles a été donné le nom de Romulus. Il s’ensuit que, selon moi, c’est seulement en recourant à elles qu’on peut se faire une idée
la question du feuillet arraché de celui de Pithou. Il ne déclare pas seulement , comme M. Berger de Xivrey, que, si ce feuillet a
e : Romulus qui fu emperere, Le Romulus anglo-latin n’avait pas été seulement traduit en anglais. Il avait encore servi de base
n’ai mis en latin qu’à votre instigation, deviendra pour vous non pas seulement un visiteur passager, mais plutôt un ami intime.
, c’est que, dans les manuscrits, on le voit servir de titre, non pas seulement aux collections qui n’ont été que des copies alté
comme dans le Romulus ordinaire, dans quatre livres, mais dans trois seulement . On saura, quand on aura entièrement parcouru ce
division n’existe pas, ou, comme dans le Romulus de Nilant, elle est seulement en trois livres ; on en peut conclure que cette d
lles. Enfin le livre III et dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement existent dans les anciennes de Phèdre. Elles port
i bonum fuit, si ad quos habebas uiueres. On le voit, ce ne sont pas seulement les expressions de l’auteur ancien, ce sont encor
uoiqu’il eût été rationnel de la supprimer, la dédicace à Rufus a été seulement altérée320. Le doute à cet égard devient impossi
mettre une restitution que dès lors je ne tenterai pas. Ce qu’on peut seulement tenir pour à peu près certain, c’est que toutes l
soixante-sept fables de l’anonyme de Nilant, il y en a cinquante-deux seulement qui soient communes aux deux collections et par c
ehaine eut la complaisance de mettre sa signature au bas du bulletin. Seulement il fut entendu que je rapporterais le manuscrit a
ogue, mais de l’épilogue, et qu’enfin le manuscrit renfermait non pas seulement les trois premiers livres, mais la totalité des f
a cru pouvoir risquer sur l’auteur des gravures sur bois. Je remarque seulement la révélation relative à l’existence d’un exempla
rimeur d’Augsbourg s’est borné à copier l’édition d’Ulm. Ce n’est pas seulement le fond que l’édition d’Augsbourg a copié ; c’est
dont les six premiers comprennent huit feuillets et les deux derniers seulement six, soit au total soixante. Fol. 1 a (a. i a). —
nne n’avait songé à le vulgariser par une nouvelle publication. C’est seulement en 1806 que Schwabe, dans sa deuxième édition des
icace est ornée d’une gravure. Fol. 19 a à 23 b. — Premier livre orné seulement de 8 gravures. Fol. 23 b. —  Cy finist le premier
les de esope. Fol. 23 b à 28 a. — Deuxième livre orné de 9 gravures seulement et suivi de ces deux phrases : Cy finist le seco
us. Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnées de dix gravures seulement et suivies de ce double avis : Cy finissent les
ulcunes aultres fables du Poge florentin. Les fables d’Alphonse sont seulement au nombre de treize. Fol. s. iii a. —  La premièr
la date de 1515352 ; mais Brunet plus judicieux affirme qu’il indique seulement le nombre des cahiers, et il assigne à l’édition
ion de 1532. La traduction en prose de J. Macho ne fut pas publiée seulement en France ; témoin l’édition peu connue de 1532,
a traduction anglaise de Caxton une réimpression partielle comprenant seulement les fables qui précèdent celles d’Avianus. En voi
ispice on lit, formulées dans les mêmes termes dont l’orthographe est seulement plus moderne, les mêmes observations que dans l’é
ives, mais un peu moins grossièrement exécutées, non paginé et pourvu seulement de signatures de a à r. Les signatures portent su
t vierde boec. Fol. 52 a à 59 b. — Fables du livre IV, accompagnées seulement de 19 gravures. À la fin on lit : Hier eyndet da
(G 4 rº) à 116 b (K 4 vº). — Texte espagnol des Fabulæ collectæ, qui, seulement au nombre de 22, sont arrêtées au bas de la derni
é par les uns en trente-trois livres et par les autres en trente-deux seulement . Comme son titre l’indique, il traite des science
milieu de la deuxième colonne du feuillet 107 verso. Les fables sont seulement au nombre de 27. Le copiste a omis les deux fable
u recto du folio 41. Elles sont au nombre de 29. Elles sont précédées seulement de la partie ainsi conçue de leur préambule : De
§ 2. — Allemagne du Sud. Bibliothèque royale de Munich. C’est seulement par des extraits textuellement tirés du catalogue
sur chaque face, une écriture à deux colonnes. Ce manuscrit contient seulement les quatorze premiers livres du Miroir historial
398, c’est un dérivé latin en prose qui est en même temps un abrégé ; seulement le Romulus ordinaire, au lieu d’en être la source
ment le Romulus ordinaire, au lieu d’en être la source unique, en est seulement la principale ; car cet abrégé présente en même t
e Walther l’Anglais.     Les fables du Romulus ordinaire n’ont pas seulement servi de base à des compilations en prose ; elles
s, offrent moins de variété. Il semble qu’à l’origine deux manuscrits seulement , pourvus de commentaires dissemblables, ont dû êt
rtaine déviation : l’empereur Romulus n’est plus le traducteur ; il a seulement donné l’ordre de traduire, et ce n’est plus seule
aducteur ; il a seulement donné l’ordre de traduire, et ce n’est plus seulement pour l’instruction de Tiberius, c’est pour celle
cette traduction. Les fables de l’Anonyme de Névelet ne parurent pas seulement avec ce commentaire. Elles furent également publi
ècle, commencent au feuillet 63 et finissent au feuillet 101. Ce sont seulement les soixante fables primitivement connues. Chacun
5º les fables de Walther, 6º le livre de Tobie. Les fables, dont j’ai seulement à m’occuper, commencent au recto du fol. 28 vers
’ancien fonds, portait le nº 597, est un volume in-8º, qui se compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin, écrits par un
nait les fables d’un auteur alors inconnu ; il en transcrivit non pas seulement cinq, comme le dit Schwabe, et comme Dressler le
du moyen âge, en a fait l’objet d’une étude spéciale. Il n’offre pas seulement , comme les précédents, un intérêt purement littér
t 62 fables, on en devrait conclure que le manuscrit 1594 en renferme seulement une qui lui soit étrangère. Mais il n’en est pas
nulle faus[se]té, Et pour ce l’é-ie translaté : Pour les dames tant seulement L’ai du latin trait en romant, Esquelles excellan
thèque nationale, qui, veufs du texte latin de Walther, en renferment seulement la traduction française. De ces manuscrits, le pr
ence au fol. 35 b et se termine au fol. 36 a. Cet épilogue se compose seulement de 18 vers, comprenant les 16 premiers du même ép
illets contiennent, non pas, suivant la mention erronée du catalogue, seulement les 45 premières fables de Walther, mais les 60 a
signé par le mot Esopus n’est en réalité pourvu d’aucun titre. Il est seulement précédé de cette maxime : Prudencia non sapit fa
u feuillet 110 b. Devant analyser ailleurs les premières, je m’arrête seulement aux secondes. En tête de la page où elles commenc
et les autres en papier. Les fables de Walther, au nombre de soixante seulement , y remplissent les feuillets 2 a à 36 b. Elles ne
n copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manuscrit 4409. Une partie seulement des fables de Walther se rencontre dans un manusc
e plus inextricable, les fables ne portent pas de titres ; elles sont seulement accompagnées de gloses marginales, d’une écriture
ol. dont l’écriture sur papier, due à une main du xve  siècle, occupe seulement 27 feuillets. Aussi ne renferme-t-il pas d’autre
en Autriche que quatre manuscrits des fables de Walther ; encore deux seulement sont-ils complets. Ils appartiennent à la bibliot
nuocat : Verbula sicca, deus, et narrat : Cum rigido. » Ce n’est pas seulement le prologue qui est ainsi accompagné d’un comment
présente que quelques courts fragments des fables de Walther contenus seulement dans le dernier feuillet, savoir : 1º la fin de l
scrit forme un volume in-4º, dont les feuillets en papier contiennent seulement les 60 fables de Walther et les deux complémentai
reste de la page est rempli par une fable en vers élégiaques composée seulement de quatorze vers. Je regrette de ne pouvoir la re
tore et Lupo. Elles ne sont pas annoncées par un titre général, sont seulement pourvues de titres particuliers à l’encre rouge,
xante-deuxième fable se termine au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement ses trois derniers vers, au-dessous desquels se l
istique qu’il m’ait été donné de rencontrer. C’est un in-fol. composé seulement de dix-sept feuillets en parchemin, mais rendu ex
nt, le premier et le deuxième, dix feuillets chacun, et le troisième, seulement quatre. Il ne renferme que les fables de Walther
dont le cinquième consiste, non pas dans les fables de Walther, mais seulement dans leurs affabulations. Elles sont précédées d’
 : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont au nombre de soixante seulement et se terminent au recto du feuillet F ii, c’est-
sion des premières éditions des huit auteurs publiées à Lyon. Je fais seulement observer que les soixante fables de Walther y son
es premières éditions lyonnaises. Les feuillets, non paginés, portent seulement des signatures ; c’est au feuillet portant la sig
re premiers cahiers comprennent chacun huit feuillets et le cinquième seulement quatre, soit au total trente-six. Le recto du pre
ceux signés a, c, e et f huit feuillets chacun, et ceux signés b et d seulement quatre feuillets chacun. Au verso du trente-neuvi
fournie par M. Fleutelot458, accompagnées d’aucune traduction et sont seulement pourvues du commentaire, qui, copié sur celui des
feuillets, il s’ensuit qu’il n’en possède en tout que 32. Il contient seulement les fables de Walther et celles d’Avianus. Les pr
nt de huit feuillets chacun, et les cahiers b, c, e, f et g de quatre seulement , soit au total de 44 feuillets. Le recto du premi
des huit auteurs, elle renferme les fables de Walther, mais pourvues seulement de notes marginales. Elles sont, au verso du feui
ellement conservée à Lyon dans le Palais des Arts. Elle a été publiée seulement en 1882 par le professeur Wendelin Fœrster, dans
ttribués à la fable des Grenouilles demandant un roi, les fables sont seulement au nombre de 63. Celle qui porte le nº 64 est int
lles elles ressemblent beaucoup, les fables de cet Esopo volgare sont seulement au nombre de quarante-six. Manuscrit 200 du fo
nos 15 et 16, elles sont, sous 63 numéros, au nombre de soixante-deux seulement . La Bibliothèque Bodléienne, sous la cote Mortara
réambule, commencent à la page 20. Leur nombre est de cinquante-trois seulement  ; encore sont-elles loin de se rapporter toutes à
janvier 1491, il faut considérer l’impression du volume comme achevée seulement en 1492. En effet, on ne doit pas oublier qu’à Ve
atio, ou Cronica. Les fables, quoique réparties sous 66 numéros, sont seulement au nombre de 64, par le motif qu’il a été attribu
commence ainsi : Lupus osse devorato fauce inhæso. Et ce n’est pas seulement par le style, par le tour des phrases, par le cho
e, Bien ait qui li donra bufle. Les fables qui viennent ensuite sont seulement au nombre de quarante, écrites à la suite les une
e copie un peu altérée du vrai texte ; et, partant de là, je donnerai seulement le nom de Romulus de Vienne à la collection que j
lle, pour ne pas prolonger une démonstration superflue, j’emprunterai seulement deux exemples : Phèdre : Defectus annis et dese
ux Romulus ne sont pas issus l’un de l’autre, et qu’ils appartiennent seulement à un auteur commun. Cette communauté d’origine l
ulus de Vienne. Les fables de ce dérivé sont au nombre de 60. Mais 56 seulement sont suivies des fables correspondantes de l’Anon
’était que ce Romulus de Nilant. Pour m’en rendre compte, je n’ai pas seulement recouru au manuscrit de la bibliothèque de l’Univ
logue à Rufus. Elles ne portent pas de titres. Les dix-sept premières seulement sont accompagnées d’un numéro d’ordre, qui pour c
complet, le roi ne serait plus l’auteur de la traduction ; il aurait seulement donné l’ordre de l’exécuter. « In anglicam lingua
pas interrompre mon exposé, je ne veux pas les reproduire ici ; c’est seulement en analysant les manuscrits qui les renferment qu
qui, quoi qu’il en dise, n’a pas étudié le manuscrit525, de 88 fables seulement , mais de l’œuvre complète de Marie, qui, ainsi qu
emplacés par celui-ci : Amen, Amen, priies por moi. Les fables sont seulement au nombre de 94, c’est-à-dire qu’il en manque neu
sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue composé seulement de 22 vers. H. Manuscrit 24310. Lorsque pré
ssède non 93, comme un numérotage inexact porterait à le croire, mais seulement  92. Les manquantes sont celles qui, dans mon tabl
général, elles n’ont pas davantage de titres particuliers. Elles sont seulement au nombre de 61, de sorte qu’il en manque 42, qui
titre spécial formulé en latin. Elles ne sont pas au complet et sont seulement au nombre de 67, de sorte qu’il en manque 36, qui
nies, et suivis de 4 feuillets blancs, dont le premier (f. 386) porte seulement en tête cet ex-libris : « En ce livre sont conten
que revient l’honneur d’avoir le premier songé à les faire paraître. Seulement , au lieu d’en faire une édition complète, il crut
ne valeur plus grande à celui qui les renferme. Sur les 45 fables, 37  seulement sont la paraphrase de celles d’Avianus ; ce sont
commence en tête de la première colonne du feuillet 37 b et qui sont seulement au nombre de 134. La collection, pour être complè
ollegit. Immédiatement après viennent les fables dérivées d’Avianus. Seulement , au lieu de n’en présenter que seize augmentées d
 126 de la Bibliothèque de l’Université de Göttingen. Ce n’est pas seulement le manuscrit Théol. 140 qui, à la Bibliothèque de
ets 77 a à 83 a. Malheureusement, elles sont incomplètes et s’élèvent seulement au nombre de 56. Elles sont précédées de leur pro
tre III. Dérivés en vers latins du Romulus de Nilant. Ce n’est pas seulement à une imitation en prose que le Romulus de Nilant
men. Ce n’est pas tout. Dans la même fable, le Romulus ordinaire dit seulement que la Grenouille, avec la ficelle qu’elle a dema
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
apprendre quelque chose d’un homme. Or est-il que tu ne t’accuses pas seulement , mais encore ton Dieu ». En suitte de celuy-cy, u
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
ques en ce que la parfaite amitié ne se propose pour but que la Vertu seulement , et que toute autre sorte de bien-veillance ne pe
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
que les biens du monde ne sont pas aymables pour l’amour d’eux, mais seulement à cause de leur usage ; Qu’au reste ils ne l’ayme
ur de l’honneur, nous venons insensiblement à bien faire pour l’amour seulement de ce qui est bien ; et comme cela, la Gloire ser
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
de mettre en jeu des Creatures capables de discours, mais il a voulu seulement estaller les serieuses maximes de la Moralle, sou
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