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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XII. Le Soleil et les Grenoüilles. » p. 314
Tyran tout le peuple en liesse Noyoit son soucy dans les pots. Esope seul trouvoit que les gens estoient sots De témoigner
Que ferons-nous, s’il lui vient des enfans ? Dirent-elles au Sort, un seul Soleil à peine Se peut souffrir. Une demi-douzain
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, e
i la lentille estoit cuite, Esope prit la Cueiller, et tira du pot un seul grain, qu’il leur servit, Xanthus la prit à mesme
ance qu’il eust d’abord, qu’Esope ne luy avoit presenté ce grain tout seul , que pour voir s’il estoit cuict, l’ayant froissé
uy respondit Esope : « Quoy ? » reprit Xanthus, « n’y en a-t’il qu’un seul grain de cuict ? » « Nenny sans mentir », respond
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306
it que les arrêts des dieux étaient injustes, puisque, pour perdre un seul impie, ils avaient fait périr aussi des innocents
arriva qu’une d’elles le mordit, et lui, pour avoir été mordu par une seule , les écrasa toutes. Alors Hermès lui apparut, et
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 126 » pp. 106-106
Ma 77 Ca 79. Zeus, célébrant ses noces, régalait tous les animaux. Seule , la tortue fit défaut. Intrigué de son absence, i
Intrigué de son absence, il la questionna le lendemain : « Pourquoi, seule des animaux, n’es-tu pas venue à mon festin ? — L
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
Si ce qu’on dit d’Esope est vray, C’estoit l’Oracle de la Grece : Luy seul avoit plus de sagesse Que tout l’Areopage. En voi
arriva. Petits et grands, tout approuva Le partage et le choix. Esope seul trouva Qu’aprés bien du temps et des peines, Les
e Testament. Le peuple s’étonna comme il se pouvoit faire Qu’un homme seul eust plus de sens Qu’une multitude de gens.
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — X. Le Lion abattu par l’Homme. » p. 284
einture, 
Où l’Artisan avoit tracé
 Un Lion d’immense stature
 Par un seul homme terrassé.
 Les regardans en tiroient gloire
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 195 » pp. 257-257
Un renard reprochait à une lionne de ne jamais mettre au monde qu’un seul petit. « Un seul, dit-elle, mais un lion. » Il ne
hait à une lionne de ne jamais mettre au monde qu’un seul petit. « Un seul , dit-elle, mais un lion. » Il ne faut pas mesurer
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
s suons, nous peinons comme bestes de somme :
 Et pour qui ? Pour luy seul  ; nous n’en profitons pas :
 Nostre soin n’abouti
soldat,
 Distribuë en cent lieux ses graces souveraines,
 Entretient seule tout l’Estat.
 Menenius le sceut bien dire.
 La C
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — Fable I. La Cigale et la Fourmy. » p. 112373
Tout l’Esté, Se trouva fort dépourvuë Quand la bise fut venuë. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle al
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
-il, « tu peux aller aux estuves, si tu veux, car je n’y ay veu qu’un seul homme ». Ces paroles obligerent Xanthus de s’y ac
e, comme eux, l’a ostée de sa place, et l’a mise ailleurs, Pour ceste seule raison, j’ay dit que je n’avois veu qu’un homme a
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
mon voisin, c’est mon compere. L’Oyseau de Jupiter, sans répondre un seul mot, Choque de l’aîle l’Escarbot, L’étourdit, l’o
absence Ses œufs, ses tendres œufs, sa plus douce esperance : Pas un seul ne fut épargné. L’Aigle estant de retour, et voya
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 72 » p. 291
bouvier restait là sans rien faire, invoquant parmi tous les dieux le seul Héraclès, qu’il honorait particulièrement. Héracl
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapi
sponse, et le menant à son Maistre : « Seigneur », dit-il, « voicy le seul Philosophe qui est venu à ton festin ». Ceste nou
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
oit faire plus grand plaisir que de le venir voir, et que sa presence seule luy seroit plus agreable, que celle de tous les a
qu’ils se rendent eux-mesmes la Medecine de son mal. Il n’y a que le seul Renard de sage : il n’y a que luy de judicieux. L
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
l’Edit du nouvel Empereur ; Les Animaux, et toute espece lige De son seul appetit, creurent que cette fois Il falloit subir
chargé : l’on luy mit par écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut les tint en peine. Car que donner ? Il fal
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
nt encores grossiers, et mal policez, ils déferoient la Couronne à la seule beauté corporelle, comme insensibles aux charmes
entre les mains de plusieurs, et les autres s’attribuërent à eux tous seuls le pouvoir de commander, et ses derniers se nomme
avisez n’ont jamais creu que la Souveraineté se peust acquerir par le seul merite du corps, mais qu’au contraire, elle estoi
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 124 » pp. 312-312
biens s’envolèrent chez les dieux. Cette fable montre que l’espérance seule reste avec les hommes, qui leur promet les biens
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
de, qu’ils ont le plus obligée. Mais ce ne sont pas les Maistres tous seuls qui tombent en ceste prodigieuse mescognoissance.
es ne peuvent doncques mieux faire que de s’appliquer au service d’un seul Dieu, qui n’est point inégal en ses affections, e
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
ol, chetive creature, Forme des sons aussi doux qu’éclatans ; Est luy seul l’honneur du Printemps. Junon répondit en colere 
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 131 » p. 111
avoir salué complaisamment tous les dieux, il détournait les yeux du seul Plutus. Il répondit : « Si je détourne les yeux d
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
Je révais à cette avanture,
 Quand un autre Dragon qui n’avoit qu’un seul chef,
 Et bien plus d’une queuë à passer se prese
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIII. Les Loups et les Brebis. » p. 153
ost fait, qu’à peine ils le sentirent.
 Tout fut mis en morceaux ; un seul n’en échapa.
 Nous pouvons conclure de là 
Qu’il
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IV. Jupiter et le Métayer. » p. 
che du Roy des airs, pleut, vente et fait en somme Un climat pour luy seul  : ses plus proches voisins Ne s’en sentoient non
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
ela sembla si beau, Qu’il fut élû : chacun luy fit hommage. Le Renard seul regretta son suffrage ; Sans toutefois montrer so
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
’occupe autant Que cent Monarques pourroient faire. Croit-il estre le seul qui ne soit pas content ? N’ay-je en l’esprit que
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5
xte qu’il était gêné. Ne pouvant le persuader, il amena une truie, la seule qu’il possédât, et la mit en vente en présence du
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 53 » p. 30
tenons la protection des dieux ; si nous nous abandonnons, les démons seuls peuvent nous sauver. Si l’on tombe dans le malheu
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 57 » p. 311
tesse, à l’autre des ailes ; mais que l’homme resta nu et dit : « Moi seul , tu m’as laissé sans faveur. » Zeus répondit : « 
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 128 » pp. 314-314
es, s’écria : « Insensées, à quel propos vous réjouissez-vous ? À lui seul , le Soleil dessèche tous les marécages ; s’il pre
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 343 » pp. 223-223
ie et la chienne disputaient de fécondité. La chienne prétendait que, seule de tous les quadrupèdes, elle avait des portées c
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
a n’est nullement propre, je l’estime si peu, que j’aymerois mieux un seul grain d’orge, que toute la pierrerie du monde ».
est là qu’il demeure attaché par ses luxurieux appetits, qui sont les seules delices de sa vie. Que s’il arrive fortuitement q
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
une tierce vient à jouyr du prix de leur contestation, et tire toute seule l’avantage de la querelle des autres. L’on dit qu
, que de tous les Princes qui disputoient la domination entr’eux, luy seul y trouva son compte, et gaigna le principal advan
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
les, qui nous oblige à souffrir patiemment leurs injures, vient de la seule raison, ou si l’instinct de la nature mesme est c
mmenceray par la moins noble partie, et prouveray, si je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’expliquer en ter
force de nostre sang, ou, pour m’expliquer en termes plus exprés, le seul instinct, est capable de ceste action, au moins d
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 348 » pp. 227-227
ne autre hirondelle, pour la consoler, lui dit qu’elle n’était pas la seule qui eût le malheur de perdre ses petits. « Ah ! r
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
nt à leur défaillir, ils ne doivent tirer leur satisfaction que de la seule Vertu, et s’attendre à l’espoir d’une meilleure v
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
d’Apollon, nos Maistres pour mieux dire,
 Se rencontrant un jour tout seuls et sans témoins ;
 (Comme ils se confioient leurs
ndrons à bout. Ils descendent tous deux.
 L’Asne se prélassant marche seul devant eux.
 Un quidan les rencontre, et dit : Es
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 56 » pp. 29-29
ent plus intimes et qu’ils vivraient à moins de frais, n’ayant qu’une seule demeure. Mais le foulon lui répondit : « C’est po
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
t devorez :
 Qu’ils s’en tiennent pour assurez.
 S’il m’en restoit un seul j’adoucirois ma plainte.
 Au partir de ce lieu qu
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
à l’action de mediocrité, pource que la Vertu ne consiste qu’en elle seule , ont outre passé le poinct du milieu, et sont ven
cét autre, qui s’estend au delà de ses limites. Ce défaut procede du seul déreglement de nôtre desir, qui se porte tous-jou
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 118 » p. 90
rade, que notre aide ne se donne point par les bras, mais par la voix seule . » Cette fable montre que, quand on a besoin des
41 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
n ame, Aussi-bien que la tienne, est preste à s’envoler. Le mary fait seul le voyage. La Belle avoit un pere homme prudent e
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
e celuy qui fait tout, et rien qu’avec dessein, Qui les sçait que luy seul  ? Comment lire en son sein ? Auroit-il imprimé su
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
malade n’était pas en danger, mais que son mal serait long à guérir ; seul l’ignorant lui dit de prendre toutes ses disposit
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 211 » p. 259
s physiques que j’ai pu modeler ? Mais c’est ton âme qui faiblit à ce seul objet. » Le lion déplorait donc son sort et s’acc
45 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
ent leur temps, le faisceau resista ; De ces dards joints ensemble un seul ne s’éclata. Foibles gens ! dit le pere, il faut
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
res choses merveilleuses, il n’est rien si aisé que de l’attribuër au seul instinct de leur nature : Car comme ceste sage Me
raisonnent, pour n’estre pas si relevés que les hommes. C’est donc au seul instinct naturel que toutes ces choses se doivent
oient capables de raisonner ; Ce qui toutesfois ne vient pas de ceste seule experience. La source, à mon advis, en est tirée
nous dirons avec les Chrestiens, et avec les Peripateticiens, que le seul homme est capable de discourir, et que toutes les
nt la legereté est imperceptible à nos yeux, ny les Serpents, dont la seule veuë imprime de l’horreur à toute nôtre espece, n
pposons que tels Historiens ne se soient trompez, non pas mesme en un seul poinct de la verité, encore n’est-ce pas une preu
chose, et pour l’autre, que les animaux les redoublent sans choix, ou seuls , ou accompagnez, ou en la presence de ceux de leu
genieux que luy. C’est pour cela mesme qu’il faict partir Ulysse tout seul , pour executer maintes entreprises mal-aisées, co
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
e laisser aller, alléguant qu’il n’était pas capable de remplir à lui seul le ventre d’un épervier, que celui-ci devait, s’i
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
dit à l’autre qu’il voulait passer sur le continent, afin que, étant seul , son camarade eût de la nourriture en suffisance,
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 338 » pp. 340-340
monta dans la montagne pour y chasser. Tous les animaux s’enfuirent ; seul , le lion le provoqua au combat. L’homme lui lança
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
i que les autres oiseaux furent pris et mangés par les hommes, et que seule , l’hirondelle, leur protégée, nicha même sans cra
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
nt, et d’accuser la Fortune des disgraces dont ils sont eux-mesmes la seule cause. Ceste proposition n’a pas besoin de grande
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
ger tendit des lacs, et le prit. Or d’autant que le Coq avoit esté le seul tesmoin de cette prise, il le supplia tres-instam
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
olle et faineante, de ne refuser rien à ses sens, et de vivre pour la seule satisfaction de son corps, sans trouver sa fin av
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
probité. Car il est si penible en ses commencements, qu’un homme tout seul en peut estre diverty facilement. Que si toutes c
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
e supercherie à un homme de ne le point attaquer ouvertement, ny tout seul , mais en fougue, et avec une pluralité d’ennemis.
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
voir promptement.
 Il sort de table, et la cohorte
 N’en perd pas un seul coup de dent.
 Ces deux hommes estoient les gemea
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
si juste et honneste consideration, qu’à peine s’en treuvera t’il un seul parmy des miliers ; Et pour le premier, l’experie
des Courtisans sont interessez, et qu’ils ayment leur Maistre pour le seul advantage qu’ils en esperent. Que si cela est, co
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
son que je puis alleguer de cela, c’est que la faute consistant en la seule volonté, il semble qu’elle ne soit pas moindre au
59 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
te et ses petits, avec le Maistre d’un champ. Ne t’attens qu’à toy seul , c’est un commun Proverbe. Voicy comme Esope le m
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
à leurs plus sensibles amertumes ? Mais quant à l’Envie, elle est la seule chose du monde qui n’est susceptible d’aucun repo
ition, et surveillante comme l’Avarice : Bref, ils luy donnent à elle seule tous les defauts et toutes les laideurs que pourr
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 210 » pp. 149-149
enjoignit au renard de faire le partage. Celui-ci entassa tout sur un seul lot, ne se réservant que quelques bribes ; après
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
e, pour inventer plusieurs fourbes à son dommage ; joinct qu’un homme seul ne pourra rien contre deux, et qu’il n’osera dire
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
ura pas d’accord, disant qu’il n’estoit pas raisonnable qu’il fust le seul qui demeurast inutile, tandis que tous les autres
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
es factions que les meschants trament contre nous, viennent de nostre seule prosperité : Ceux qui vivent dans une mediocre fo
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
estre vertueux, ils se sont tenus pour contens de la possession d’une seule femme legitime, et n’ont souffert tout au plus qu
oints de ma satisfaction, et l’évenement me feroit cognoistre qu’elle seule me vengeroit de ses injures par les continuels él
sé, une femme qui leur soit fidele, ils peuvent bien l’attribuer à la seule Vertu, mais non pas à son amour, puis qu’ils sont
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
tentement de celuy qu’il ayme, si sa reflection va premierement à luy seul  ? N’est-ce pas destruire les fondements de l’amit
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
hévre qui est à sa porte. Mais luy bien advisé, ne se départ pas d’un seul poinct du commandement de sa Mere, et regarde par
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
qui establissent nostre condition devant Dieu, mais plustost c’est la seule vertu ; et celuy-là est le plus considerable en s
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
eur propre faute, ou par l’envie, et la malignité d’autruy, ou par le seul malheur de leur vie. Or toutes ces trois raisons
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
rit, mais il est impossible qu’on ne le descouvre bien tost aprés. Le seul Hypocrite, qui cache la malice et l’impieté sous
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
s là il y en a une si grande quantité, qu’à peine en trouvera-t’on un seul qui ne participe de ceste humeur. L’on en void to
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
nt d’ebloüyr les esprits foibles, et de se debiter pour hardis par la seule invention des injures. C’est cela mesme qui les r
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
uitement un sien Compagnon, qui luy demanda, comment il avoit osé luy seul assaillir un Trouppeau, où il y avoit tant de val
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
nclination des voyages, puis qu’il avoit passé tant d’années dans une seule Ville, mais à une certaine humeur libertine, qui
emiers à la loüer sur toutes les choses du monde ; et cela pour ceste seule raison, qu’elle leur aura possible fait les doux
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
ment s’acquitera-t’il religieusement de ce qu’il doit à un homme tout seul  ? Apres avoir violé les loix qui obligent la crea
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
âge, ne furent-ils pas bien mal-heureux de la laisser perdre, pour la seule dispute du tien et du mien, d’avoir esté obligez
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
nt point de confidence avec l’ennemy, et n’auroient failly que par la seule lascheté, qui neantmoins de soy n’est pas punissa
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
s’estudier de tout son possible à dire la verité, puis qu’elle est le seul objet de l’entendement, et que c’est oster beauco
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
ste maniere, et toutes semblables à celle-cy. Elle nous apprend qu’un seul ne peut rien contre plusieurs : Que les Grands do
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
re qu’on se vangera de vos vengeances, et que ce ne sera pas un homme seul , mais une race entiere. Les amis de ceste race, e
llée un moment, au prix de l’Eternité ; Nenny, sans mentir ; Et ceste seule consideration doit suffire pour vous faire haïr e
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
l qu’ils ne cognoissent pas, devient quelquesfois leur ennemy, par la seule apprehension qu’il se donne de leurs brocards. Au
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
e, et le danger, balançoient des deux costez. La Chauve-souris fût la seule qui abandonna ses compagnons, pour se jetter dans
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
, ils ressemblent proprement à ce Bouc mal-advisé, qui pour boire une seule fois dans un Puits, se met au hazard de se des-al
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
mpliments ; et pour le dire en un mot, qu’ils ne leur laissent pas un seul moment de repos sans pretendre à les entretenir ;
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
loire, les Quadrupedes et les Reptiles l’adoreront, et vous serez les seuls , ô dénaturez, qui permettrez à vos Enfans de pron
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
ntenance de ceux qui marchent trop viste parmy les ruës, qui sont les seuls que l’on voit broncher ordinairement. Il en arriv
87 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
it un lièvre. Ce lièvre, se voyant dénué de tout secours, recourut au seul être que le hasard offrit à ses yeux ; c’était un
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
er ; or est il qu’il a esté accordé entre nous, que je boirois la Mer seule , et non les Rivieres qui entrent dedans. Que cét
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
tres. Ils sont faschez de ce que Dieu ne fait pas un miracle pour eux seuls , et dequoy la Nature ne se détraque point de son
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
sse de tromperies. A quoy le Chat respondit ; qu’il n’en avoit qu’une seule , mais qu’il s’en tenoit bien asseuré. Comme ils e
91 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
pouvait, lui quadrupède, poursuivre un volatile. Il dut se contenter, seule ressource des impuissants et des faibles, de maud
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
rises de l’Aigle, et de vouloir aspirer aux choses, où elle est toute seule capable de réussir. Cela neantmoins ne se doit, n
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
une Judith, une Zenobie, une Cleopatre, et pour dire beaucoup en une seule parole, tesmoin la nation entiere des Amazones. E
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
nt toy-mesme qui me tiens de si fâcheux langages ? N’est-ce pas à toy seule que j’ay envoyé les viandes, qu’Esope te doit avo
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
lut que toutes les autres Bestes eussent à se retirer, disant que luy seul viendroit bien à bout de cette guerre. Cependant
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
ur lequel ils mirent le pauvre Vieillard, et le laisserent aller tout seul . Voila cependant qu’en passant chemin, l’air se c
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
seigneur , Cette mesme Gloire est le vray Prix où vous aspirez ; Elle seule vous tient lieu d’un tresor inestimable ; Vous ne
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
ls-hommes sont enchantez jusques là dans ceste façon de vivre, que la seule pensée de la quitter leur est insupportable. Rien
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
omme impossible de s’en venger ; s’aidant du commun remede, qui reste seul aux miserables, et à ceux qui ne peuvent faire ce
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
u’à peine parmy tant de milliers de Croniques, s’en trouvera-t’il une seule où l’imposture n’ait autant de part que la verité
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