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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
Marie de France, n° 72 L’homme et le serpent Del vilein e de la serpent nus cunte ici cumfei
Marie de France, n° 72 L’homme et le serpent Del vilein e de la serpent nus cunte ici cumfeitement eurent ensemble cumpai
ici cumfeitement eurent ensemble cumpainie e leauté e fei plevie. La serpent al vilein preia e par amur li demanda que leit li
, quant vient a meisun, a sa femme cunte la raisun qu’il ot oï de la serpent . Ele li respunt hastivement, s’il [en] voleit sun
eit, puis si l’asie* a tere jus, si s’e traië un poi ensus ; quant la serpent vendra avant, sa hache tienge bien trenchant, si
le buket mist devant la piere, puis [si] se traist un poi ariere. La serpent vint*, si voleit beivre [et li vilains la volt de
al demein tutes* les berbiz al vilein furent en la faude trovees : la serpent les ot acurees. Sun enfant ocist el berçuel*, dun
l i aut. Plein buket prent de lait [tut] chaut ; devant la piere a la serpent en est venu dutusement. Sa cupe bat, merci cria,
re a la serpent en est venu dutusement. Sa cupe bat, merci cria, e la serpent li demanda quei il quert la u tut sun leit. « Mer
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
XVI. Le Serpent et la Lime. On conte qu’un serpent voisin d’un
XVI. Le Serpent et la Lime. On conte qu’un serpent voisin d’un Horloger, (C’estoit pour l’Horloger u
t ! et que pretends-tu faire ? Tu te prends à plus dur que toy, Petit Serpent à teste folle, Plutost que d’emporter de moy Seul
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 291 » pp. 196-196
Chambry 291 Chambry 291.1 Ὄφις καὶ καρκῖνος — Le serpent et le crabe. Ὄφις καὶ καρκῖνος ἐν ταὐτῷ διέτρ
ίθενται. Codd. Pa 198 Pb 192 Pf 108 Pg 122 Mb 168 Me 141 Mf 117. Un serpent et un crabe séjournaient dans le même endroit. Le
e séjournaient dans le même endroit. Le crabe se comportait envers le serpent en toute simplicité et bienveillance ; mais le se
tait envers le serpent en toute simplicité et bienveillance ; mais le serpent était toujours sournois et pervers. Le crabe l’ex
i : il n’était pas écouté. Aussi, indigné, il observa le moment où le serpent dormait, le saisit à la gorge et le tua. En le vo
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 168 » p. 128
Chambry 168 Κόραξ καὶ ὄφις — Le corbeau et le serpent . Κόραξ τροφῆς ἀπορῶν, ὡς ἐθέασατο ὄφιν ἔν τινι
e 88 Mf 74 Mg 95 Ml 84. Un corbeau à court de nourriture aperçut un serpent qui dormait au soleil ; il fondit sur lui et l’en
erpent qui dormait au soleil ; il fondit sur lui et l’enleva. Mais le serpent se retourna et le mordit, et le corbeau, sur le p
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLII. Du Serpent, et de la Lime. »
FABLE XLII. Du Serpent , et de la Lime. Le Serpent voulut ronger une Li
FABLE XLII. Du Serpent, et de la Lime. Le Serpent voulut ronger une Lime qu’il trouva dans une forg
ue sur la quarante-deuxiesme Fable. Quant à la vaine entreprise du Serpent , qui s’efforce de ronger une lime, elle nous appr
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 136 » pp. 128-128
Chambry 136 Chambry 136.1 Ἰκτῖνος καὶ ὄφις — Le milan et le serpent . Ἰκτῖνος ὄφιν ἁρπάσας ἀπέπτατο. Ὁ δὲ ἐπιστραφ
ε καὶ ἃ πρότερον ἐποίησε κακά. Cod. Ba 56. Un milan ayant enlevé un serpent s’envola dans les airs. Le serpent se retourna et
Ba 56. Un milan ayant enlevé un serpent s’envola dans les airs. Le serpent se retourna et le mordit ; tous les deux furent a
récipités du haut des airs, et le milan périt. « Pourquoi, lui dit le serpent , as-tu été si fou que de faire du mal à qui ne t’
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 331 » pp. 216-216
Chambry 331 Chambry 331.1 Σφὴξ καὶ ὄφις — La guêpe et le serpent . Σφὴξ ἐπὶ κεφαλὴν ὄφεως καθίσας καὶ συνεχῶς τ
8 Ch 116 Lb 120 Le 120. Un jour une guêpe se posta sur la tête d’un serpent , et le tourmenta, en le piquant sans relâche avec
t, et le tourmenta, en le piquant sans relâche avec son aiguillon. Le serpent , fou de douleur, ne pouvant se venger de son enne
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 82. La vipère et le champ » p. 93
Marie de France, n° 82 La vipère et le champ Une serpent trespassot ja par mi un champ, [si] translança. L
re ne blamez. Li uns de l’autre rien ne prent plus que li chans de la serpent .
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 82 » pp. 176-176
.1 Γεωργὸς καὶ ὄφις <ὑπὸ κρύους πεπηγώς> – Le laboureur et le serpent gelé. Γεωργός τις χειμῶνος ὥρᾳ ὄφιν εὑρὼν ὑπὸ
d. Pb 62 Pe 30 Ma 43. Un laboureur trouva dans la saison d’hiver un serpent raidi par le froid. Il en eut pitié, le ramassa e
d. Il en eut pitié, le ramassa et le mit dans son sein. Réchauffé, le serpent reprit son naturel, frappa et tua son bienfaiteur
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 289 » pp. 362-362
289 Chambry 289.1 Οὐρὰ καὶ μέλη ὄφεως — La queue et le corps du serpent . Οὐρά ποτε ὄφεως ἠξίου πρώτη προάγειν καὶ βαδ
ισταμένους ὁ μῦθος ἐλέγχει. Codd. Ba 116 Bb 69. Un jour la queue du serpent eut la prétention de conduire et de marcher la pr
corps, tant qu’enfin elle tomba dans un trou plein de pierres, où le serpent se meurtrit l’échine et tout le corps. Alors elle
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 81 » pp. 51-51
ργὸς καὶ ὄφις <τὸν παῖδα αὐτοῦ ἀποκτείνας> – Le laboureur et le serpent qui lui avait tué son fils. Γεωργοῦ παῖδα ὄφι
ς ἔχουσι. Codd. Pa 51 Pb 51 Pc 22 Pe 25 Pg 29 Ma 37 Mb 23 Ca 42. Un serpent , s’étant approché en rampant de l’enfant d’un lab
ussi, prenant une hache, il alla se mettre aux aguets près du trou du serpent , prêt à le frapper, aussitôt qu’il sortirait. Le
s du trou du serpent, prêt à le frapper, aussitôt qu’il sortirait. Le serpent ayant passé la tête dehors, le laboureur abattit
endit en deux le roc voisin. Dans la suite, craignant la vengeance du serpent , il l’engagea à se réconcilier avec lui ; mais le
engeance du serpent, il l’engagea à se réconcilier avec lui ; mais le serpent répondit : « Nous ne pouvons plus nourrir de bons
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 292 » p. 198
Chambry 292 Ὄφις πατούμενος καὶ Ζεύς — Le serpent foulé aux pieds. Ὄφις ὑπὸ πολλῶν πατούμενος ἀν
3 Lb 109 Le 109 Lf 123 Lh 59 Me 139 Mf 115 Mg 132 Mj 130 Ml 120. Un serpent , souvent foulé aux pieds par les hommes, alla s’e
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent . Un Laboureur ayant treuvé dans la neige une Co
paroles, en se plaignant du tort qu’elle luy faisoit. « Quoy ? maudit Serpent  », dit-il, « est-ce le remerciment que tu me fais
celuy qui te l’a donnée ! » Discours sur la huictiesme Fable. Le Serpent n’est pas tousjours le hieroglyphe de la Prudence
mme le requiert ce passage, où il est dit, « Soyez prudents comme des Serpents  ». La mesme Escriture nous apprend dés le commenc
et de nostre Autheur, et voyons ce stupide Villageois, qui emporte un Serpent transy de froid auprés de son foyer propre, pour
Croy-tu d’avanture qu’Æsculape se soit derechef desguisé en forme de Serpent , pour obliger ta famille ? Tu verras bien-tost, ô
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent . Uu Laboureur fasché contre un Serpent qu’il no
XVIII. Du Laboureur et du Serpent. Uu Laboureur fasché contre un Serpent qu’il nourrissoit, prit une cognée en main, et se
rrissoit, prit une cognée en main, et se mit à le poursuyvre. Mais le Serpent eschappa, non toutesfois sans estre blessé. Il ar
, et imputant la cause de ce malheur à l’offense qu’il avoit faite au Serpent , s’en alla vers luy, pour le prier de s’en reveni
r le prier de s’en revenir à son logis. Pardonne-moy luy respondit le Serpent , si je n’y puis retourner : car il n’est pas poss
e introduict en cette Fable le plus prudent des animaux, à sçavoir le Serpent , qui se despoüille bien veritablement de toute ra
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 290 » p. 197
Chambry 290 Ὄφις καὶ γαλῆ καὶ μύες — Le serpent , la belette et les rats. Ὄφις καὶ γαλῆ ἔν τινι
λωμα γινόμενοι. Codd. Pa 199 Pb 193 Pf 109 Mb 169 Me 142 Mf 118. Un serpent et une belette se battaient dans une maison. Les
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
XIII. Le Villageois et le Serpent Esope conte qu’un Manant Charitable autant que
Un jour d’Hyver se promenant A l’entour de son heritage, Apperçut un Serpent sur la neige étendu, Transi, gelé, perclus, immob
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 123 » pp. 221-221
Chambry 123 Chambry 123.1 Ζεὺς καὶ ὄφις — Zeus et le serpent . Τοῦ διὸς γαμοῦντος, πάντα τὰ ζῷα ἀνήνεγκαν δ
s animaux lui apportèrent des présents, chacun suivant ses moyens. Le serpent monta jusqu’à lui, en rampant, une rose à la bouc
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 287 » p. 192
121 Lh 58 Mg 130 Mj 128 Ml 132. Une poule, ayant trouvé des œufs de serpent , se mit à les couver soigneusement et, après les
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 285 » pp. 194-194
es, elle leur était même fort utile, car elle prenait et mangeait les serpents et autres reptiles, l’oiseleur répondit : « Si vr
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
lement que par la maxime que nous avons dite cy dessus en la Fable du Serpent et du Laboureur, c’est bien une action charitable
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
ille, qu’il vit de longues années, et que sa corne est redoutable aux serpents . Mais à quoi bon m’étendre davantage ? Il a été d
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ny les Tygres, dont la legereté est imperceptible à nos yeux, ny les Serpents , dont la seule veuë imprime de l’horreur à toute
23 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, dont l’empereur se proposait de faire pour les Romains un véritable serpent . Comme le Père Desbillons, Schwabe n’hésite pas à
èvre et le Lion. i, 5. 10. Le Soleil qui se marie. i, 6. 11. Le Serpent mourant de froid. iv a, 19. 12. L’Âne et le Sa
nard et la Cigogne. i, 26. 64. Le Loup et la Grue. i, 8. 65. Le Serpent et le Pauvre. 66. Le Chauve et la Mouche. iv
ans lesquels figurent des animaux. Fol. ccxi b. — Adam et Ève avec le serpent  ; Jésus-Christ ou un autre personnage. Fol. ccxii
i met bas. i, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Serpent et le Pauvre. I, 13. Le Cerf, le Loup et la Br
p. 11. IV, 1. La Courtisane et le Jeune homme. App. 29. IV, 2. Le Serpent mourant de froid. iv a, 19. IV, 3. La Puce et
t la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met bas. i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. iv a, 19. I, 11. L’Âne et le
s et les Grenouilles. II, 9. Le Loup et le Chevreau. II, 10. Le Serpent et le Pauvre. II, 11. Le Cerf, le Loup et la B
Chèvre et le Lion. i, 5. 7. Le Soleil qui se marie. i, 6. 8. Le Serpent mourant de froid. iv a, 19. 9. L’Âne et le San
ard et la Cigogne. i, 26. 50. Le Loup et la Grue. i, 8. 51. Le Serpent et le Pauvre. 52. Le Chauve et la Mouche. iv
t la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met bas. i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. iv a, 19. I, 11. L’Âne et l
et les Grenouilles. II, 10. Le Loup et le Chevreau. II, 11. Le Serpent et le Pauvre. II, 12. Le Cerf, le Loup et la B
Le Loup et la Grue. I, 8. 8. La Chienne qui met bas. I, 9. 9. Le Serpent mourant de froid. I, 10. 10. Le Rat de Ville e
en et l’Agneau. II, 6. 24. Le Loup et le Chevreau. II, 10. 25. Le Serpent et le Pauvre. II, 11. 26. Le Renard et la Cigog
. Le Loup et l’Âne liés ensemble. 7. 34. Le Paysan, son Fils et le Serpent . 8. 35. Le Loup à qui le Renard conseille de p
Le Loup et la Grue. I, 8. 9. La Chienne qui met bas. I, 9. 10. Le Serpent mourant de froid. I, 10. 11. L’Âne et le Sangli
es Grenouilles. II, 9. 29. Le Loup et le Chevreau. II, 10. 30. Le Serpent et le Pauvre. II, 11. 31. Le Cerf, le Loup et l
ue garist le Loup. 9. De deux Chienez. 10. Du Villain qui herberia le Serpent . 11. L’Asne qui salue le Sanglier. 12. De la Sour
fuioient. 29. De la Chieure et du Loup. 30. [Du V]ilain qui norrit le Serpent . 31. Du Serf, de la Brebis et du Loup. 32. De la
x. 46. Du Rossinol et de l’Ostoir. 47. Du Loup et du Mouton. 48. D’un Serpent qui rungoit au dens une lime. 49. De la Bataille
manuscrits n’en renferme que 56 et n’a pas les 12 suivantes : 1. Le Serpent et le Pauvre. 2. La Tête sans cervelle. 3. Le Lio
a Grue. 8. 7. 7. 7. 9. La Chienne qui met bas. 9. 8. 8. 8. 10. Le Serpent mourant de froid. 10. 9. 9. 11. L’Âne et le Sa
8. 27. 28. 28. 29. Le Loup et le Chevreau. 29. 28. 29. 29. 30. Le Serpent et le Pauvre. 30. 29. 30. 30. 31. Le Cerf, le L
qui garit le loup. 5. De deux chiennes. 6. Du villain qui heberga le serpent . 7. De lasne qui salue le sanglier. 8. De la sour
fuyrent. 23. De la chieuure et du loup. 24. Du villain qui nourrit le serpent . 25. Du cerf et de la brebis et du loup. 26. De l
ulx. 40. Du Rousignol et de lautour. 41. Du loup et du mouton. 42. Du serpent et de la lyme. 43. De la bataille des loups contr
Le renard y est toujours nommé un vulpi, l’hirondelle hyrundille, le serpent colubre, etc. » Le texte est orné de cinquante-h
n. 8. Dou lou et de la grue. 9. De la chine que ere pregnant. 10. Dou serpent qui occist son oste. 11. Dou cengler et de lasne.
. De la chieure qui ensoigne son cheuriat. 32. De celui qui norrit lo serpent . 33. Dou lou, de la berbiz et dou corbeal. 34. Do
. 7. Le Loup et la Grue. 8. 8. La Chienne qui met bas. 9. 9. Le Serpent mourant de froid. 10. 10. L’Âne et le Sanglier.
, l’Aigle et le Moineau. 15. Le Chien et la Brebis. I. 4. 16. Le Serpent et la Lime. III, 12. 17. Le Soleil qui se marie
a Grue. 8. 7. 8. I, 9. La Chienne qui met bas. 9. 8. 9. I, 10. Le Serpent mourant de froid. 10. 9. 10. I, 11. L’Âne et le
27. 27. 27. II, 9. Le Loup et le Chevreau. 28. 28. 28. II, 10. Le Serpent et le Pauvre. 29. 29. 29. II, 11. Le Cerf, le L
uilles. II, 9. II, 9. Le Loup et le Chevreau. II, 10. II, 10. Le Serpent et le Pauvre. II, 11. II, 11. Le Cerf, le Loup
s deux Coqs et l’Épervier. 6. 3. Le Limaçon et le Singe. 8. 4. Le Serpent mourant de froid. 11. 5. L’Âne et le Sanglier.
ieilli et son maître. 62. 29. Le Renard et la Cigogne. 63. 30. Le Serpent et le Pauvre. 65. 31. Le Chauve et la Mouche. 6
aître et l’Esclave. 91. Le Riche et sa Fille. 92. L’Homme et le Serpent . II, 10. 93. Le Mulot qui cherche Femme. 94.
. 62. Le Loup et le Hérisson poursuivis. 62. 63. Le Paysan et le Serpent . 115. 64. Le Rat qui cherche femme. 116. 65
itif. 13. 123. 82. Le Prêtre et le Loup. 124. 83. Le Champ et le Serpent . 125. 84. L’Hirondelle et les Moineaux. 15. 12
a Fourmi. III, 41. 88. La Corneille et le Bélier. III, 43. 89. Le Serpent et l’Homme. I, 10. 90. La Montagne en mal d’enf
les deux Voleurs. 114. Le Riche et sa Fille. 115. L’Homme et le Serpent . II, 10. 116. Le Mulot qui cherche femme. 11
s. 71. 104. 15. Le Cheval et le Cerf. 61. 105. 16. L’Enfant et le Serpent . 98. 108. 17. L’Âne malade et le Loup. 72. 10
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