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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
onneste labeur, et tirer de là le soustien de leurs familles. L’autre sens qu’on peut donner à la Fable, c’est la reprehensi
le pût accommoder, et qui n’incommodast extrémement le donneur. En ce sens là, certes, je trouve fort loüable le refus de cé
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
uris. Quand je songe à cette Fable, Dont le recit est menteur, Et le sens est veritable ; Je me figure un Auteur, Qui dit :
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIV. Le Renard et le Buste. » p. 27
void. Le Renard au contraire à fonds les examine, Les tourne de tout sens  ; et quand il s’apperçoit Que leur fait n’est que
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
t pleine de tromperie. Discours sur la cent-troisiesme Fable. Le sens Moral de ceste Fable a esté deux ou trois fois ex
à boucher l’oreille à ses persuasions. Cecy semble contenir le mesme sens mystique, que la Fable d’Ulysse, qui pour n’ouyr
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XII. Le Soleil et les Grenoüilles. » p. 314
ra reduite À l’eau du Styx. Pour un pauvre Animal, Grenoüilles, à mon sens , ne raisonnoient pas mal.
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIX. Le Lion s’en allant en guerre. » p. 
connoist les divers talens : Il n’est rien d’inutile aux personnes de sens .
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
luy portoient. Remarque sur la quarante-sixiesme Fable. Quand le sens de ceste Fable ne seroit pas clair, et applicable
Je croy qu’il n’est pas besoin apres cela d’autre application, ny de sens moral, puis qu’un si grand Personnage que Meneniu
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 100. Le vieillard et le chevalier » p. 691
rt jeo puis aler [e] ester a lung tens. » Cil [li] respundi par grant sens  : « Va la ester e si me crei, u tute gent eient p
9 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [51.]. DELLE MOSCHE NEL MELE. » p. 80
lta in mano. Spesso la gola altrui guida a mal fine. 4. [NdE] Le sens de la phrase semblerait plutôt appeler le verbe «
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
,
 Que chacun d’eux pourroit soudoyer une armée.
 Le Chiaoux homme de sens 
 Luy dit : Je sçais par renommée 
Ce que chaque E
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246
.
 Un jour que celui-cy plein du jus de la treille,
 Avoit laissé ses sens au fond d’une bouteille,
 Sa femme l’enferma dans
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 278 » pp. 186-186
aya de le faire retourner ; mais comme l’âne tirait vigoureusement en sens inverse, l’ânier le lâcha et dit : « Je te cède l
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
e peot hum suvent pruver – si fols parole une folie e autre vient que sens li die, ne l[’en] creit pas, einz s’en aïre ; la
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152
victime ensanglantée et s’enfuit. Mais des voyageurs qui venaient en sens inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
muler, ne sçait pas regner », bien que toutesfois ce ne fût pas en ce sens là que Louys XI. avoit accoustumé d’user de ceste
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
t-quatorziesme Fable. De ceste Fable, il s’en peut tirer plusieùrs sens Moraux, dont le plus judicieux, et le mieux appli
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 214 » pp. 146-146
ut le long de son corps. Le lion s’éveilla et se tourna dans tous les sens , cherchant celui qui l’avait affronté. Un renard,
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
ion et d’action ensemble celles qui peuvent estre expliquées selon le sens Allegorique Speculatif, et selon l’Actif aussi. E
Il y a une autre sorte de Fables à qui l’on peut proprement donner un sens tout à fait moral, comme à celle de Narcisse, qui
nne aymée. De la derniere espece de Fables, à qui l’on peut donner un sens Speculatif et moral, est celle de Venus et de Mar
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 342 » pp. 222-222
me tue ou me maltraite de quelque façon que ce soit. Quant à toi, tu sens mauvais, aussi bien de ton vivant qu’après ta mor
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
arfaictement sçeu la Moralle, il est vray-semblable aussi, qu’en bons sens et en vivacité d’esprit, il a de beaucoup surpass
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
un cavalier armé de pied en cap, et celui-ci le poussa dans tous les sens et le lança même au milieu des ennemis, où le che
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
s’accoustumer à une vie molle et faineante, de ne refuser rien à ses sens , et de vivre pour la seule satisfaction de son co
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
al. Par le Plongeon il represente le Voluptueux, qui donne tout à ses sens , et se lance teste baissée dans des fleuves de de
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
Il se plaignit d’estre malade. Continuez vôtre Ambassade, Dit-il ; je sens un feu qui me brûle au dedans, Et veux chercher i
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
elle procede de nostre arrogance, qui nous fait imaginer toute autre sens moindre que le nostre ; quelques-fois aussi c’est
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
u’il y a deux ou trois Fables dans ce livre, qui contiennent le mesme sens de celle-cy, à sçavoir que la Nature a doüé châqu
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
uple s’étonna comme il se pouvoit faire Qu’un homme seul eust plus de sens Qu’une multitude de gens.
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
ment la chose en la pire partie. Or ne devons-nous pas croire, que le sens et l’experience manquant aux jeunes gents, Dieu l
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
e Fable ressemble aucunement à la precedente, en l’explication de son sens moral. Car la Grenoüille y est mocquée par le Ren
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
avisa d’y faire graver ces lettres, qui joinctes ensemble, forment un sens qui est tel. Recedens passus quatuor, fodiens inn
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
epresenter par la pierre precieuse, qui semble estre plus belle à nos sens que toute autre chose, et plus rare aussi à nostr
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
s un homme abruty dans l’oysiveté, qui ne s’étudie qu’à contenter les sens corporels, et ne donne rien aux operations de l’a
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
. Car, à le bien considerer, il n’est fondé, ny sur aucun plaisir des sens , ny sur aucune esperance de fortune, ou de gloire
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
que je considere ceste Fable, elle me semble susceptible de plusieurs sens differents, comme nous voyons qu’une mesme matier
35 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
adis ! » - « Nenil, nenil », fet ele, « mestre, ceo ne purreit en nul sens estre. Autrement poüm nus entreamer : si tu me ve
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
vons amplement touché ce Discours, il sera bien à propos de donner un sens exprés à cét endroict, pour en tirer un enseignem
t de mon Discours à un autre, et ne m’apperçois pas que j’anticipe le sens de la Fable suivante, qui en veut aux hommes extr
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
me vanger d’elle ». Discours sur la cent-dixhuictiesme Fable. Le sens de ceste Fable est clair de soy-mesme, et bien di
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
stez ; et bien estonné de voir veritablement qu’elle n’avoit point de sens  : « O la belle teste ! » se mit-il à dire : « il
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
s asseurée, il fait tort à nostre bonne conduite, et en tous les deux sens , il tesmoigne une manifeste poltronnerie, joincte
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
quant de luy ; « ô pauvre Bouc », luy dit-il, « si tu avois autant de sens dans la teste, que tu as de barbe au menton, tu n
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
que les souveraines, et qu’aux Estats successifs, comme le nostre, le sens mystique de ceste Fable n’ait lieu que pour les c
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
qu’il recognût à sa mine qu’il n’avoit point de soucy, ny beaucoup de sens , il s’en approcha le conviant à venir disner avec
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
us, ou plustost si ce n’est que la force de leur memoire, joincte aux sens corporels, qui les rend capables de plusieurs cho
t de l’instinct naturel, qui est en eux, et qui se sert de leurs cinq sens , de leur imagination, et de leur memoire, si ce n
la force et l’addresse du corps, joincte à la perfection de tous les sens  ; et en ce cas là, nous n’aurions jamais appris à
ux, puis qu’il les introduict parlants quelquesfois ensemble, avec un sens aussi mysterieux qu’utile. Ayant doncques à disco
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
es hors de sa Province, et mesme estant privé du plus agreable de nos sens , à sçavoir de la veuë, se trouva sur le declin de
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
es plus honnestes. Toutes les raisons mises cy-devant, et tournées au sens contraire, peuvent servir à ceste verité, à sçavo
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
roit donné des loüanges immortelles ; ou, pour le prendre en un autre sens , qui aboutit neantmoins à celuy-cy, cela signifie
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
en faire de mesme des brebis ». Les Samiens comprirent incontinent le sens de la Fable, et resolurent entr’eux de retenir Es
48 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, c’est que, pour soutenir cette thèse, ils aient si fort dénaturé le sens des vers de Phèdre. Oui, ces vers offrent une ant
de 172728, avait eu soin de la signaler et de restituer le véritable sens . Mais il est vraisemblable que la note de Pierre
n’hésite plus à confesser que, pour donner au vers de Phèdre son vrai sens , il faut le traduire ainsi : « Adoptant certains
 : « Adoptant certains sujets pour mon malheur. » Si l’on accepte ce sens , il faut admettre qu’il déclare que ce sont ses é
s ses fables n’a été qu’un imitateur, s’est acquis une renommée à mon sens surfaite, mais certainement impérissable, et voil
lles, ce qui fait que jocus ne peut se distinguer de locus que par le sens . « L’e y est assez souvent substitué à l’i, le b
t des corrections, indiquait par des étoiles les lieux où, d’après le sens , il devait y avoir des lacunes, sans rendre compt
est intitulée : « Item Cæsar ad Atriensem. » Ce mot Item ou manque de sens , ou, ce qui est plus probable, suppose une fable
ontreuse fable, rendu sa fraude immédiatement évidente. Il est, à mon sens , très probable que, dans sa fausse affirmation, s
s l’avoir composé qu’il songea à en faire un livre d’éducation, je me sens de plus en plus convaincu de sa sincérité. Si mai
peu latines, et qu’il prétend n’avoir pas été employées dans le même sens par les meilleurs Auteurs du Siécle d’Auguste. De
à Séjan. Quant aux mots improbi jocos Phædri, si l’on en recherche le sens , on acquiert la conviction qu’ils ne sauraient co
, qui peuvent lui mériter la même épithète employée dans son meilleur sens . Quant au mot jocos, il faut avouer qu’il n’est g
t mal racontée » ; ces deux reproches ne me paraissent pas fondés. Le sens s’en comprend bien, et la leçon qu’elle donne est
comme, suivant lui, l’adverbe deinde était à la fois plus conforme au sens et à la mesure que l’adverbe dehinc, et qu’enfin
siècle par un copiste moins ignorant, qui, dans le désir de donner un sens à ce qui était incohérent, a quelquefois métamorp
l’épilogue. Ces deux morceaux sont particulièrement importants, en ce sens que quelques changements fort légers suffisent à
it de Wissembourg porte la cote 148 Gud. Pour m’en faire connaître le sens , M. von Heinemann a bien voulu me donner, sur l’o
mulus était un nom supposé, auquel, par une sorte d’accord tacite, un sens avait été attribué. « Ce mot, dit-il311, ne signi
ion ait été commise par le copiste du manuscrit Burnéien, pour que le sens des premiers mots du prologue ait été altéré, et
ouver l’indication du lieu de sa naissance, ils en ont mal compris le sens , et qu’en supposant que ce personnage eût existé,
érait pas comme issues de Romulus, mais qui, dans sa conviction à mon sens erronée, avaient encore dû lui servir de base. Ma
me interdiu. Rom. Interdiu ligor. Wiss. In die ligor. En sens inverse on trouve dans les manuscrits du Romulus
elligible par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot, mais sens pour sens, et souvent, pour la meilleure intellig
par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot, mais sens pour sens , et souvent, pour la meilleure intelligence du te
sbourg est la même que la première d’Ulm, mais elles se présentent en sens inverse ; la deuxième dans les deux éditions est
troisième ; enfin la seizième, dans les deux éditions, se présente en sens inverse. Dans les fables d’Avianus, il y a aussi
eproduction de celles de la première ; mais elles les reproduisent en sens inverse. Dans la seconde les lettres initiales, g
den alten fabeln die man zu sch-|reibet Esopo. Phrase, dont voici le sens  : « Ici finit le IVe livre du très illustre fabul
Die vorrede Romuli philosophi in das buch Esopi. Mots dont voici le sens  : « Ici finit la vie d’Ésope. — La préface de Rom
1348, au nom de Miles de Voisins, garde pour le Roi de la prévôté de Sens . Rel. peau blanche, aux armes de Cîteaux. — (Cite
res commettaient de bonne foi les moines du moyen âge. La forme et le sens du mot Garritus me portent à penser, avec ceux do
re, mais un participe qui qualifiait Ésope de causeur facile. Le même sens doit, suivant moi, être attaché au nom de Gariciu
mprunté à l’hysope, dénomination d’une certaine herbe analogue, en ce sens que l’hysope est suave et exhale des parfums vari
ithèses, de continuels rapprochements ou de nombreuses oppositions de sens ou de sons, voilà ce qui distingue particulièreme
’aide desquels on auroit pu corriger des vers qui semblent manquer de sens ou qui n’offrent que des tournures ridicules431. 
ucun bien aprendre y pourront. Dou latin, des vers y aura Pourquoy le sens plustost saura Par le latin sera trouués, Dont le
ontinue la revue des manuscrits de la France par celui qui est, à mon sens , le plus précieux de tous. Il est signalé sous la
velle contenue dans l’extrait qui précède. Mais je n’avais pas, à mon sens , à en discuter d’autres que celles qui avaient ét
pas aperçu le véritable intérêt qu’offrait le Romulus de Leyde. À mon sens , lorsqu’on examine les textes latins du moyen âge
que je persiste à attribuer la traduction anglaise. Il ne peut, à mon sens , s’élever de débat sérieux que sur le point de sa
en latin translatées ; Mieruelle en orent li pluisour Qu’il mist son sens en teil labor ; Mais n’i a fable, ne folie. U il
ixante-troisième, intitulée : D’un leu qui aprint a. I. vilain. III. sens , est-elle incomplète, et n’en reste-t-il que les
i Aviani, j’aurai l’occasion de revenir sur ce double signe et sur le sens qu’il convient d’y attacher ; je m’abstiens donc
phrases dont la construction grammaticale est irrégulière et dont le sens est inintelligible, et de mots barbares qui non s
xés sur l’absence totale de valeur du Dérivé hexamétrique, qui, à mon sens , n’a guère d’intérêt qu’au point de vue de l’hist
datée de 1813, M. de Joly, changeant la forme, mais adoptant le même sens , a écrit :                               J’eus q
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