onneste labeur, et tirer de là le soustien de leurs familles. L’autre
sens
qu’on peut donner à la Fable, c’est la reprehensi
le pût accommoder, et qui n’incommodast extrémement le donneur. En ce
sens
là, certes, je trouve fort loüable le refus de cé
uris. Quand je songe à cette Fable, Dont le recit est menteur, Et le
sens
est veritable ; Je me figure un Auteur, Qui dit :
void. Le Renard au contraire à fonds les examine, Les tourne de tout
sens
; et quand il s’apperçoit Que leur fait n’est que
t pleine de tromperie. Discours sur la cent-troisiesme Fable. Le
sens
Moral de ceste Fable a esté deux ou trois fois ex
à boucher l’oreille à ses persuasions. Cecy semble contenir le mesme
sens
mystique, que la Fable d’Ulysse, qui pour n’ouyr
ra reduite À l’eau du Styx. Pour un pauvre Animal, Grenoüilles, à mon
sens
, ne raisonnoient pas mal.
connoist les divers talens : Il n’est rien d’inutile aux personnes de
sens
.
luy portoient. Remarque sur la quarante-sixiesme Fable. Quand le
sens
de ceste Fable ne seroit pas clair, et applicable
Je croy qu’il n’est pas besoin apres cela d’autre application, ny de
sens
moral, puis qu’un si grand Personnage que Meneniu
rt jeo puis aler [e] ester a lung tens. » Cil [li] respundi par grant
sens
: « Va la ester e si me crei, u tute gent eient p
lta in mano. Spesso la gola altrui guida a mal fine. 4. [NdE] Le
sens
de la phrase semblerait plutôt appeler le verbe «
,
Que chacun d’eux pourroit soudoyer une armée.
Le Chiaoux homme de
sens
Luy dit : Je sçais par renommée
Ce que chaque E
.
Un jour que celui-cy plein du jus de la treille,
Avoit laissé ses
sens
au fond d’une bouteille,
Sa femme l’enferma dans
aya de le faire retourner ; mais comme l’âne tirait vigoureusement en
sens
inverse, l’ânier le lâcha et dit : « Je te cède l
e peot hum suvent pruver – si fols parole une folie e autre vient que
sens
li die, ne l[’en] creit pas, einz s’en aïre ; la
victime ensanglantée et s’enfuit. Mais des voyageurs qui venaient en
sens
inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé
muler, ne sçait pas regner », bien que toutesfois ce ne fût pas en ce
sens
là que Louys XI. avoit accoustumé d’user de ceste
t-quatorziesme Fable. De ceste Fable, il s’en peut tirer plusieùrs
sens
Moraux, dont le plus judicieux, et le mieux appli
ut le long de son corps. Le lion s’éveilla et se tourna dans tous les
sens
, cherchant celui qui l’avait affronté. Un renard,
ion et d’action ensemble celles qui peuvent estre expliquées selon le
sens
Allegorique Speculatif, et selon l’Actif aussi. E
Il y a une autre sorte de Fables à qui l’on peut proprement donner un
sens
tout à fait moral, comme à celle de Narcisse, qui
nne aymée. De la derniere espece de Fables, à qui l’on peut donner un
sens
Speculatif et moral, est celle de Venus et de Mar
me tue ou me maltraite de quelque façon que ce soit. Quant à toi, tu
sens
mauvais, aussi bien de ton vivant qu’après ta mor
arfaictement sçeu la Moralle, il est vray-semblable aussi, qu’en bons
sens
et en vivacité d’esprit, il a de beaucoup surpass
un cavalier armé de pied en cap, et celui-ci le poussa dans tous les
sens
et le lança même au milieu des ennemis, où le che
s’accoustumer à une vie molle et faineante, de ne refuser rien à ses
sens
, et de vivre pour la seule satisfaction de son co
al. Par le Plongeon il represente le Voluptueux, qui donne tout à ses
sens
, et se lance teste baissée dans des fleuves de de
Il se plaignit d’estre malade. Continuez vôtre Ambassade, Dit-il ; je
sens
un feu qui me brûle au dedans, Et veux chercher i
elle procede de nostre arrogance, qui nous fait imaginer toute autre
sens
moindre que le nostre ; quelques-fois aussi c’est
u’il y a deux ou trois Fables dans ce livre, qui contiennent le mesme
sens
de celle-cy, à sçavoir que la Nature a doüé châqu
uple s’étonna comme il se pouvoit faire Qu’un homme seul eust plus de
sens
Qu’une multitude de gens.
ment la chose en la pire partie. Or ne devons-nous pas croire, que le
sens
et l’experience manquant aux jeunes gents, Dieu l
e Fable ressemble aucunement à la precedente, en l’explication de son
sens
moral. Car la Grenoüille y est mocquée par le Ren
avisa d’y faire graver ces lettres, qui joinctes ensemble, forment un
sens
qui est tel. Recedens passus quatuor, fodiens inn
epresenter par la pierre precieuse, qui semble estre plus belle à nos
sens
que toute autre chose, et plus rare aussi à nostr
s un homme abruty dans l’oysiveté, qui ne s’étudie qu’à contenter les
sens
corporels, et ne donne rien aux operations de l’a
. Car, à le bien considerer, il n’est fondé, ny sur aucun plaisir des
sens
, ny sur aucune esperance de fortune, ou de gloire
que je considere ceste Fable, elle me semble susceptible de plusieurs
sens
differents, comme nous voyons qu’une mesme matier
adis ! » - « Nenil, nenil », fet ele, « mestre, ceo ne purreit en nul
sens
estre. Autrement poüm nus entreamer : si tu me ve
vons amplement touché ce Discours, il sera bien à propos de donner un
sens
exprés à cét endroict, pour en tirer un enseignem
t de mon Discours à un autre, et ne m’apperçois pas que j’anticipe le
sens
de la Fable suivante, qui en veut aux hommes extr
me vanger d’elle ». Discours sur la cent-dixhuictiesme Fable. Le
sens
de ceste Fable est clair de soy-mesme, et bien di
stez ; et bien estonné de voir veritablement qu’elle n’avoit point de
sens
: « O la belle teste ! » se mit-il à dire : « il
s asseurée, il fait tort à nostre bonne conduite, et en tous les deux
sens
, il tesmoigne une manifeste poltronnerie, joincte
quant de luy ; « ô pauvre Bouc », luy dit-il, « si tu avois autant de
sens
dans la teste, que tu as de barbe au menton, tu n
que les souveraines, et qu’aux Estats successifs, comme le nostre, le
sens
mystique de ceste Fable n’ait lieu que pour les c
qu’il recognût à sa mine qu’il n’avoit point de soucy, ny beaucoup de
sens
, il s’en approcha le conviant à venir disner avec
us, ou plustost si ce n’est que la force de leur memoire, joincte aux
sens
corporels, qui les rend capables de plusieurs cho
t de l’instinct naturel, qui est en eux, et qui se sert de leurs cinq
sens
, de leur imagination, et de leur memoire, si ce n
la force et l’addresse du corps, joincte à la perfection de tous les
sens
; et en ce cas là, nous n’aurions jamais appris à
ux, puis qu’il les introduict parlants quelquesfois ensemble, avec un
sens
aussi mysterieux qu’utile. Ayant doncques à disco
es hors de sa Province, et mesme estant privé du plus agreable de nos
sens
, à sçavoir de la veuë, se trouva sur le declin de
es plus honnestes. Toutes les raisons mises cy-devant, et tournées au
sens
contraire, peuvent servir à ceste verité, à sçavo
roit donné des loüanges immortelles ; ou, pour le prendre en un autre
sens
, qui aboutit neantmoins à celuy-cy, cela signifie
en faire de mesme des brebis ». Les Samiens comprirent incontinent le
sens
de la Fable, et resolurent entr’eux de retenir Es
, c’est que, pour soutenir cette thèse, ils aient si fort dénaturé le
sens
des vers de Phèdre. Oui, ces vers offrent une ant
de 172728, avait eu soin de la signaler et de restituer le véritable
sens
. Mais il est vraisemblable que la note de Pierre
n’hésite plus à confesser que, pour donner au vers de Phèdre son vrai
sens
, il faut le traduire ainsi : « Adoptant certains
: « Adoptant certains sujets pour mon malheur. » Si l’on accepte ce
sens
, il faut admettre qu’il déclare que ce sont ses é
s ses fables n’a été qu’un imitateur, s’est acquis une renommée à mon
sens
surfaite, mais certainement impérissable, et voil
lles, ce qui fait que jocus ne peut se distinguer de locus que par le
sens
. « L’e y est assez souvent substitué à l’i, le b
t des corrections, indiquait par des étoiles les lieux où, d’après le
sens
, il devait y avoir des lacunes, sans rendre compt
est intitulée : « Item Cæsar ad Atriensem. » Ce mot Item ou manque de
sens
, ou, ce qui est plus probable, suppose une fable
ontreuse fable, rendu sa fraude immédiatement évidente. Il est, à mon
sens
, très probable que, dans sa fausse affirmation, s
s l’avoir composé qu’il songea à en faire un livre d’éducation, je me
sens
de plus en plus convaincu de sa sincérité. Si mai
peu latines, et qu’il prétend n’avoir pas été employées dans le même
sens
par les meilleurs Auteurs du Siécle d’Auguste. De
à Séjan. Quant aux mots improbi jocos Phædri, si l’on en recherche le
sens
, on acquiert la conviction qu’ils ne sauraient co
, qui peuvent lui mériter la même épithète employée dans son meilleur
sens
. Quant au mot jocos, il faut avouer qu’il n’est g
t mal racontée » ; ces deux reproches ne me paraissent pas fondés. Le
sens
s’en comprend bien, et la leçon qu’elle donne est
comme, suivant lui, l’adverbe deinde était à la fois plus conforme au
sens
et à la mesure que l’adverbe dehinc, et qu’enfin
siècle par un copiste moins ignorant, qui, dans le désir de donner un
sens
à ce qui était incohérent, a quelquefois métamorp
l’épilogue. Ces deux morceaux sont particulièrement importants, en ce
sens
que quelques changements fort légers suffisent à
it de Wissembourg porte la cote 148 Gud. Pour m’en faire connaître le
sens
, M. von Heinemann a bien voulu me donner, sur l’o
mulus était un nom supposé, auquel, par une sorte d’accord tacite, un
sens
avait été attribué. « Ce mot, dit-il311, ne signi
ion ait été commise par le copiste du manuscrit Burnéien, pour que le
sens
des premiers mots du prologue ait été altéré, et
ouver l’indication du lieu de sa naissance, ils en ont mal compris le
sens
, et qu’en supposant que ce personnage eût existé,
érait pas comme issues de Romulus, mais qui, dans sa conviction à mon
sens
erronée, avaient encore dû lui servir de base. Ma
me interdiu. Rom. Interdiu ligor. Wiss. In die ligor. En
sens
inverse on trouve dans les manuscrits du Romulus
elligible par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot, mais
sens
pour sens, et souvent, pour la meilleure intellig
par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot, mais sens pour
sens
, et souvent, pour la meilleure intelligence du te
sbourg est la même que la première d’Ulm, mais elles se présentent en
sens
inverse ; la deuxième dans les deux éditions est
troisième ; enfin la seizième, dans les deux éditions, se présente en
sens
inverse. Dans les fables d’Avianus, il y a aussi
eproduction de celles de la première ; mais elles les reproduisent en
sens
inverse. Dans la seconde les lettres initiales, g
den alten fabeln die man zu sch-|reibet Esopo. Phrase, dont voici le
sens
: « Ici finit le IVe livre du très illustre fabul
Die vorrede Romuli philosophi in das buch Esopi. Mots dont voici le
sens
: « Ici finit la vie d’Ésope. — La préface de Rom
1348, au nom de Miles de Voisins, garde pour le Roi de la prévôté de
Sens
. Rel. peau blanche, aux armes de Cîteaux. — (Cite
res commettaient de bonne foi les moines du moyen âge. La forme et le
sens
du mot Garritus me portent à penser, avec ceux do
re, mais un participe qui qualifiait Ésope de causeur facile. Le même
sens
doit, suivant moi, être attaché au nom de Gariciu
mprunté à l’hysope, dénomination d’une certaine herbe analogue, en ce
sens
que l’hysope est suave et exhale des parfums vari
ithèses, de continuels rapprochements ou de nombreuses oppositions de
sens
ou de sons, voilà ce qui distingue particulièreme
’aide desquels on auroit pu corriger des vers qui semblent manquer de
sens
ou qui n’offrent que des tournures ridicules431.
ucun bien aprendre y pourront. Dou latin, des vers y aura Pourquoy le
sens
plustost saura Par le latin sera trouués, Dont le
ontinue la revue des manuscrits de la France par celui qui est, à mon
sens
, le plus précieux de tous. Il est signalé sous la
velle contenue dans l’extrait qui précède. Mais je n’avais pas, à mon
sens
, à en discuter d’autres que celles qui avaient ét
pas aperçu le véritable intérêt qu’offrait le Romulus de Leyde. À mon
sens
, lorsqu’on examine les textes latins du moyen âge
que je persiste à attribuer la traduction anglaise. Il ne peut, à mon
sens
, s’élever de débat sérieux que sur le point de sa
en latin translatées ; Mieruelle en orent li pluisour Qu’il mist son
sens
en teil labor ; Mais n’i a fable, ne folie. U il
ixante-troisième, intitulée : D’un leu qui aprint a. I. vilain. III.
sens
, est-elle incomplète, et n’en reste-t-il que les
i Aviani, j’aurai l’occasion de revenir sur ce double signe et sur le
sens
qu’il convient d’y attacher ; je m’abstiens donc
phrases dont la construction grammaticale est irrégulière et dont le
sens
est inintelligible, et de mots barbares qui non s
xés sur l’absence totale de valeur du Dérivé hexamétrique, qui, à mon
sens
, n’a guère d’intérêt qu’au point de vue de l’hist
datée de 1813, M. de Joly, changeant la forme, mais adoptant le même
sens
, a écrit : J’eus q
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