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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
tache, ny d’aucune defectuosité. C’est aussi par elle que nous sommes semblables à Dieu, comme il est dit dans l’Escriture, « Fais
est celuy que nous avons desja touché, à sçavoir, que l’une nous rend semblables à Dieu, l’autre nous est commune avecque les best
tout ce qui est dans le monde : Or que la beauté du corps nous rende semblables aux animaux, cela se découvre assez en ce que la
Et ne sert de rien de dire, qu’ils n’ont pas les traits de leur corps semblables aux nostres, puis qu’il est certain que nous ne l
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIII. La Poule aux œufs d’or. » p. 87
ans son corps elle avoit un tresor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable A celle dont les œufs ne lui rapportoient rien, S
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
d’un Pere à son fils. Car comme l’intention de la Nature est, que le semblable produise son semblable ; aussi a-t’elle imprimé c
Car comme l’intention de la Nature est, que le semblable produise son semblable  ; aussi a-t’elle imprimé certains desirs d’imitat
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
in.
 Que les parens sont malheureux, qu’il faille 
Toûjours veiller à semblable canaille !
 Qu’ils ont de maux, et que je plains
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
esperance. Mais enfin reprenant courage, il aboya je ne sçay quoy de semblable . « Malheureux que tu és », dit-il, « que n’usois-
de leur dessein, et ne leur laissant attrapper que l’ombre, les rend semblables au Chien d’Esope, en leur faisant perdre le vray
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 128 » pp. 314-314
leil dessèche tous les marécages ; s’il prend femme et fait un enfant semblable à lui, que n’aurons-nous pas à souffrir ? » Beauc
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
luy a tesmoigné son mespris par la moderation de sa colere : En cela semblable aux grands courages, qui n’aspirent qu’aux vengea
qu’il avoit de le perdre, luy en ostoient pour jamais la resolution. Semblable estoit le mespris d’Achille contre Thersite, et d
s, et de desployer toutes leurs forces, contre une resistance presque semblable à leur portée. Car si elle estoit excessive, au l
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
x appliqué, c’est, à mon advis, celuy de ne hanter jamais qu’avec nos semblables , principalement si nous vivons en une estime loüa
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
, et t’abat à coups de coignée, combien voudrois-tu donner pour estre semblable à moy, et en aussi grande seureté ? » Discours
Neron Heliogabale, Sardanapale, Darius, Candaules, Xerxes, et autres semblables , ont esté, sans doute, les plus opulents, et les
iers, il se trouvera qu’un Crassus, un Apicius, un Cabrias, et autres semblables , ont esté presque tous débordez en leurs mœurs, e
-voyons-nous que la Goutte ; le Calcul, l’Hydropisie, l’Apoplexie, et semblables monstres de maux, n’ont pris naissance que chez l
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
accuse que toy, Ou plutost la commune loy, Qui veut qu’on trouve son semblable Beau, bien fait, et sur tous aimable. Tu fis de t
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 288 » pp. 87-87
t qu’elle avait dans le ventre une masse d’or, il la tua et la trouva semblable aux autres poules. Il avait espéré trouver la ric
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
tre terre,
 Quand Menenius leur fit voir
 Qu’ils estoient aux membres semblables  ;
 Et par cet Apologue insigne entre les Fables,

13 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
que en sa parole ait tel cointise, par mi tute sa mesprisun, que seit semblable a la reisun. Li sages hum en grant destreit turne
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
agnifiques, comme des Mausolées, des Colosses, et quantité d’ouvrages semblables . Car on a presque tousjours veu finir le Seigneur
grande Pyramide d’Egypte, où nul n’a sçeu mettre la derniere main. Le semblable aussi n’arriva-t’il pas en l’entreprise du Mont A
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
entre ses mains ; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjours de semblables villes, tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ».
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
us solide amitié parmy les hommes, que celle qui s’establit entre les semblables . Mais je veux que ce soit une amitié de dépendanc
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
t-il, « je me plais à le blasmer incessamment ». A ces paroles furent semblables celles de cét autre, qui voyant qu’une personne s
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
ens ! dit le pere, il faut que je vous montre Ce que ma force peut en semblable rencontre. On crut qu’il se moquoit ; on soûrit,
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
re. Car au lieu qu’en discours ils n’ont merité que des risées, en de semblables actions, ils sont dignes de recevoir des coups de
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
eur. Mais quand mesme il y auroit des hommes assez heroïques pour une semblable action, nous ne pourrions les employer, sans choc
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
tales delices, la coustume leur en augmente le desir. De cette façon, semblables à Tantale, ils béent incessamment aprés la posses
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
l, je le laisse à juger aux Experts. Voyons-le avec Esope en un sujet semblable . L’un ameine un Chasseur, l’autre un Pâtre en sa
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
ventre en volant, si mesme ceste nature exige de moy quelque chose de semblable  ? » « Quoy », adjoûta Xanthus, « cela te met-il s
emarquerez une si excellente beauté, que vous n’en avez jamais veu de semblable  ». Les servantes croyant ces paroles veritables,
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
ccoustuma si bien un cheval, et deux de ses chiens à un fantosme tout semblable à ce monstre, qu’ils n’apprehenderent point de l’
ndre si bien le demeurant des avantages, comme, le temps, le lieu, et semblables circonstances, qu’on égale, voire mesme que l’on
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
oient pas user ainsi, estants chargez de balles de marchandise, et de semblable attirail, dont il n’estoit pas possible de se déf
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
d’autre exemple que celuy de Themistocles, de Coriolanus, et de leurs semblables , qui apres des services immortels ont esté cruell
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
it aucunement les adresses, joinct qu’il n’estoit pas accoustumé à de semblables alarmes. Un peu apres, le Valet qui les avoit ain
son hoste, il luy demanda tout aussi-tost, s’il estoit souvent en de semblables dangers ? A quoy ayant fait response, qu’il y est
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
uxe, et songent tant seulement à faire voir leur magnificence à leurs semblables . Elle allegue la sublimité de son vol, et mespris
dans une tumultueuse impatience, et ne cesse de se plaindre ; En cela semblable à la pluspart des Courtisans, et des hommes intem
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
par ceste invention, et nous enseigne de ne faire amitié qu’avec nos semblables , encore veut-il que nous les ayons bien esprouvez
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
st que les autres à qui j’ay fait du plaisir, au lieu de me rendre le semblable , me hayssent, sans en avoir du sujet. J’ay doncqu
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
equent plus d’Envieux, puis que selon Aristote, l’envie est entre les semblables . Il y a encore une seconde raison, pour laquelle
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
este, ils le jugent imparfaict, et de tout poinct defectueux, en cela semblables à ceste Lamie, qui portoit les pechez d’autruy da
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
s jeunes gents aux belles actions, par une honneste jalousie de leurs semblables . De ceste nature estoient les jeux Olympiques et
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
oy ils ne vindrent à bout, qu’à l’ayde de leur bonne intelligence. Le semblable presque fut veu en l’entreprise que les Romain fi
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
ux Esope s’est imaginé diverses peintures de ceste maniere, et toutes semblables à celle-cy. Elle nous apprend qu’un seul ne peut
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
oing les conseils des malicieux, et si elle cognoist que leur nature, semblable à celle du feu, ne se peut soustenir sans destrui
de ceux qui n’en peuvent faire que d’injustes, non pas mesme à leurs semblables  ? Mais passons maintenant à un autre Discours, po
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
oincte aux sens corporels, qui les rend capables de plusieurs choses, semblables aux consequences et au raisonnement des hommes. I
onde. Plusieurs autres exemples se disent des Elephants, qui les font semblables non seulement à l’esprit de l’homme, mais encore
c’estoit la veritable cause de sa maigreur. Tels, et une infinité de semblables exemples se rapportent dans tous les Autheurs, to
memoire la définition de l’homme ; Car il doit estre en quelque chose semblable , et en quelque chose aussi different des autres C
de Charlatans, qui pour gaigner de l’argent, dressent les bestes à de semblables tours de souplesse. Voylà tout ce que l’on peut d
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
tion du Monde jusques à nos jours. Les Annales sont toutes pleines de semblables cruautez. Je voy des enfants qui s’opposent mécha
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
emercier, si ta main, tes actions, tes mœurs, et ta vie, eussent esté semblables à tes paroles ». Discours sur la cinquantiesme
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
leur inspire secrettement. S’ils ont doncques si peu de plaisir en de semblables conversations, et s’ils voyent d’ailleurs combien
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
 ? Si vous estes gents de bien, vous aurez de la facilité à le rendre semblable à vous. Si vous estes Vicieux, et que vostre inte
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
oute ce qu’ils perdent en la durée de leur vigueur. L’on peut dire le semblable des actions morales, en matiere desquelles nous a
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
t anciennement un Anacarsis, un Crates, un Diogene, et ainsi de leurs semblables , ou comme le sont encore aujourd’huy nos Religieu
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
omme si ç’eust esté du pain, et comme s’il n’en eust jamais gousté de semblable . Cét essay, non plus que le precedent, ne servit
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
et passer des choses extrêmes aux moyennes, toute espece d’imitation semblable ne s’addresse pas à la Divinité. La disproportion
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
ar quel enchantement, Une chose mauvaise a pû devenir bonne. Tels et semblables sont les discours qu’on a tenus contre les femmes
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
ée, ny tonduë ; joint que l’on n’a pas accoustumé de la traisner à de semblables choses. Sçachant donc qu’elle n’a rien de bon sur
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
t donnent impunément le titre de bonté à ce qui est une pure malice ; Semblables en cela au Renard de ceste Fable, qui ose bien di
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
que celuy-là. Les Tyrans de Sicile n’ont jamais inventé de tourments semblables à ceux qu’elle nous donne ; De sorte que le Poëte
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
rta le tout en son nid : et d’autant qu’il estoit fait de foin, et de semblable matiere seiche et legere, joinct qu’il faisoit fo
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
i doux, et si débonnaire ! Que je serois content, si j’en trouvois un semblable  ! Si cela m’advenoit, je ne donnerois pas ma fort
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
que infaillible de mensonge. Car toute verité estant une, et par tout semblable à soy-mesme ; il faut necessairement qu’en une qu
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
beyr au peuple, j’affranchiray Esope tout maintenant, et il sera fait semblable à toy ». Alors n’estant pas possible à Xanthus de
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
t : et toutesfois toy qui n’és qu’un homme, te veux comparer à un Roy semblable aux Dieux ». « Tu as raison », reprit Nectenabo,
55 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
r de grands dangers d’erreur ; car les deux manuscrits sont tellement semblables que rarement une leçon tirée de l’un n’appartient
il commence par supposer que Perotti a eu dans les mains un manuscrit semblable , sinon à celui de Pithou, du moins à ceux de Romu
t signale ainsi l’erreur de Christ, il en commet une autre à peu près semblable , en disant que par le mot resolvere Avianus a vou
t de côté. Au contraire, les fables nouvelles nous offrent des récits semblables  : tels sont, par exemple, l’anecdote du soldat de
ouge, elles sont un peu plus petites, mais toujours élégantes et très semblables à celles que présente le très ancien Virgile des
dans le manuscrit de Pithou ; les échanges de lettres sont également semblables . Souvent inquit s’écrit inquid, et atque, adque ;
umero quinque. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en lettres semblables écrites avec la même encre, on lit l’hexamètre su
cts ou indirects. Je pourrais faire sur d’autres fables des remarques semblables  ; mais je ne veux pas me livrer en cet endroit à
er groupe sont presque identiques : ils sont divisés en quatre livres semblables tant par le nombre que par l’ordre des fables. Le
en assurer, des recherches sérieuses à l’occasion d’une demande toute semblable à la vôtre, qui m’a été adressée au mois d’août d
e depuis longtemps de réunir des matériaux importants pour un ouvrage semblable , j’ai eu connaissance d’une copie de Romulus, que
læ antiquæ et le Romulus de ce philologue ne seraient que des dérivés semblables de la collection du Romulus ordinaire, M. Oesterl
I et le commencement du livre III sont signalés par ces deux formules semblables aux deux précédentes : Explicit liber secundus.
caractères gothiques et le nombre des feuillets, elle est entièrement semblable à la première, et sans un barbarisme qui se trouv
vante : « Très rare. Voyez l’Alexandréidos de Gualthier en caractères semblables . » Le volume n’est pas paginé ; il est signé de 
acéties du Pogge. En tête de chaque fable il y a une gravure sur bois semblable à celle des autres éditions contemporaines et peu
impression de l’édition de sir Roger L’Estrange, dont le frontispice, semblable dans sa partie supérieure à ceux des éditions pré
vi et xxxvii, je ne peux en indiquer l’origine ni même en signaler de semblables dans d’autres collections. Peut-être quelques-une
orium bibliographicum, t. I, p. 241, nº 1916), une autre réimpression semblable fut la même année exécutée dans le format in-4, a
onsacré aux fables de Walther qui, comme dans la plupart des éditions semblables antérieurement publiées, ne dépassent pas le nomb
effet il n’en a fait paraître que le texte latin avec un commentaire semblable à celui qui l’accompagne dans la plupart des édit
à fond noir. Les fables sont elles-mêmes ornées de gravures encadrées semblables à celles des éditions précédentes du même imprime
recte le mérite d’une exactitude plus grande, fut loin de jouir d’une semblable fortune. Sans doute cette dernière ne fut pas déd
anuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87 présentent parfois des leçons semblables qui n’existent pas dans le manuscrit de Vienne 30
lus de Florence se compose des mêmes fables que le Romulus ordinaire. Semblables par le nombre et peu différentes par la rédaction
ltat. La comparaison faite sur les deux autres fables en donnerait un semblable , et compléterait au besoin ma démonstration. À l’
Roberti se rencontrent des expressions et même des lambeaux de phrase semblables , qui n’existent pas dans le Romulus de Nilant, c’
liste des vingt-deux fables, accompagnée des numéros que portent les semblables dans le Romulus primitif et dans la traduction de
rat aliud dicere. Souvent aussi c’est le pronom relatif qui subit une semblable transposition, comme dans ces deux vers de la fab
ui, au lieu du Lion, met en scène un Boucher ; mais le fond est resté semblable . On peut enfin ajouter que, dans les deux collect
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