I. La Cigale et la Fourmy. La Cigale ayant chanté Tout l’Esté,
Se trouva
fort dépourvuë Quand la bise fut venuë. Pas un se
en commun le gain et le dommage.
Dans les lacqs de la Chevre un Cerf
se trouva
pris. Vers ses associez aussi-tost elle envoye.
le,
A des reliefs d’Ortolans.
Sur un Tapis de Turquie
Le couvert
se trouva
mis.
Je laisse à penser la vie
Que firent ces d
lle pourrait, disait-il, tomber par mégarde ; d’ailleurs le pré où il
se trouvait
était meilleur ; car le gazon y était tout fleuri
’il vendait un dieu pourvoyeur de biens et de profits. Un de ceux qui
se trouvaient
là lui dit : « Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant
f 123. Un taureau poursuivi par un lion se réfugia dans un antre où
se trouvaient
des chèvres sauvages. Frappé et encorné par elles
roirs éprouver l’avanture :
Mais un canal formé par une source pure
Se trouve
en ces lieux écartez.
Il s’y void, il se fâche ;
,
En badinant sur les bords de la Seine.
Le Ciel permit qu’un saule
se trouva
Dont le branchage, aprés Dieu, le sauva.
S’esta
parlait ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’endroit où il
se trouvait
, il arriva qu’une d’elles le mordit, et lui, pour
âne et un renard, ayant lié société, sortirent pour chasser. Un lion
se trouva
sur leur chemin. Voyant le danger suspendu sur eu
étuy la couronne est tirée. Dans une chartre un Dragon la gardoit. Il
se trouva
que sur tous essayée, A pas un d’eux elle ne conv
che, et le trait s’enfonça dans sa chair, et la coche avec ses plumes
se trouva
devant ses yeux. À cette vue, il s’écria : « C’es
ῶν ἰδίων ἀγαθῶν λυπουμένους. Codd. Pa 131 Pg 89 Cd 72. Un noyer qui
se trouvait
au bord d’une route et que les passants frappaien
assassiné un homme sur une route, et se voyant poursuivi par ceux qui
se trouvaient
là, abandonna sa victime ensanglantée et s’enfuit
tresse avant le jour. Mais, quand elles eurent exécuté ce dessein, il
se trouva
qu’elles avaient aggravé leur malheur ; car la ma
ne biche poursuivie par des chasseurs arriva à l’entrée d’un antre où
se trouvait
un lion. Elle y entra pour s’y cacher ; mais elle
et tantost le museau, Tantost entre au fond du nazeau. La rage alors
se trouve
à son faîte montée. L’invisible ennemy triomphe,
en auroit premedité la vengeance, le haut poinct de prosperité où il
se trouve
maintenant, luy fait pardonner aisément à ceux qu
Cour de la presence de ceste perfide. Elle la condamne seulement à ne
se trouver
plus avec les autres Oyseaux, et à ne paroistre j
de ne chercher jamais nostre asyle dans les maisons suspectes. Car il
se trouve
peu de gens qui ayent assez de Vertu, pour nous g
les hommes du monde, joüy à ton ayse des fruicts de ma loyauté ». Il
se trouve
peu d’exemples pareils à celuy cy, que j’ay bien
erce de leur vie, n’est-ce pas à eux une imprudence extraordinaire de
se trouver
en des compagnies honteuses, et tout à fait insup
que par une raison de civilité, plustost que de bien-vueillance, ils
se trouvent
obligez à leur permettre un libre accez dans leur
bond et courut en soupirant voir ce qui était arrivé. Un des gens qui
se trouvaient
là, le voyant courir, lui cria : « Hé ! l’ami, to
crifiant une chèvre à la campagne invitèrent leurs voisins. Parmi eux
se trouvait
une pauvresse qui amena son enfant avec elle. Com
et de leur consacrer des ex-voto, s’il se rétablissait. Sa femme, qui
se trouvait
justement près de lui, lui demanda : « Et où pren
ς κατὰ τῶν ἀμεινόνων. Codd. Pg 62 Ma 71 Mb 57 et 242. Un chevreau qui
se trouvait
à l’intérieur d’une maison vit passer un loup. Il
près il se rendit chez la femme du potier et lui demanda comment elle
se trouvait
. Elle répondit que rien ne leur manquait et qu’el
y service de ceux qui se disent nos amis, veu la grande tromperie qui
se trouve
d’ordinaire parmy les hommes, n’est ce pas une es
personne des Amis qui essayent à nous exhorter ; à plus forte raison
se trouveront
-elles en la remonstrance d’un Pere à son fils. Ca
l’imprudente Cigale consomme vainement ses beaux jours à chanter, et
se trouve
reduite à la fin à mandier sa vie, pendant la rig
esme estant privé du plus agreable de nos sens, à sçavoir de la veuë,
se trouva
sur le declin de son âge, accueilly d’une pauvret
νται. Codd. Pa 52 Pb 52 Pc 23 Pe 26 Pg 30 Ma 38 Mb 24. Un laboureur
se trouva
confiné par le mauvais temps dans sa métairie. Ne
’un, apres avoir parlé genereusement pour le bien de la Patrie, il ne
se trouvera
que trop de Complaisants prés de leur personne, q
r le conseil des Trompeurs, car ayans suivy celuy de la Corneille, il
se trouva
n’avoir esté que le cuisinier de ce vil animal, e
dient à persuader qu’ils ont une bonne qualité, quoy qu’en effect ils
se trouvent
dans le contraire défaut, et que d’ailleurs ils n
’Esope, se resolut de le croire, et ne faillist point le lendemain de
se trouver
en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de
e Philosophe Xanthus donne aux Samiens la liberté d’Esope », et ainsi
se trouva
veritable, ce qu’un peu auparavant Esope avoit di
t aux poüilles mesmes, quand ils sont en lieu de seureté ; mais s’ils
se trouvent
quelquesfois en pleine campagne, ils oublient alo
ù toutesfois il faut prendre garde qu’à la fin de ceste Fable le Loup
se trouva
trompé dans l’esperance qu’il eust d’abord de pro
pareillement une qualité fort souhaittable que la Force, lors qu’elle
se trouve
joincte à l’addresse ; puis que par elle nous ven
s n’en passent pas tous à si bon marché, que la Gruë d’Esope. Car ils
se trouvent
d’ordinaire embroüillez dans les propres menées d
asion de faire mourir leur partie dans les amoureux accouplements. Il
se trouve
mesme des gents qui recherchent pour cela des fin
ement le Vice ? Parlerons-nous maintenant de la Vengeance ? Celuy qui
se trouve
riche, n’a-t’il point beaucoup de peine à s’en ex
s. Que si maintenant l’on considere les riches comme Particuliers, il
se trouvera
qu’un Crassus, un Apicius, un Cabrias, et autres
e injustice de l’aymer derechef, puis que l’amitié estant un bien, il
se trouveroit
que nous aurions recompensé un forfaict, qui est
t desja qu’il en deust sortir quelque monstre horrible. Mais enfin il
se trouva
que la Montagne accoucha d’un Rat, ce qui les fit
ét arbre orgueilleux, pour s’estre roidy contre les coups de l’orage,
se trouve
entierement déplacé de son assiette, voire mesme
merveille, si elle s’augmente peu à peu avecque leur âge, et si elle
se trouve
presque invincible quand ils sont devenus grands
mitiez ; c’est, à mon advis, une chose qui arrive rarement, et qui ne
se trouve
que parmy les hommes extraordinaires. Ces marques
mots Esope se sentant surpris, « Mon Maistre », respondit-il, « s’il
se trouve
que le gasteau ne soit bien cuict, je suis conten
rrasser les corps, et de se voir sur eux. Le mesme effet de Noblesse
se trouve
en l’Ours, qui ne met jamais la dent sur un corps
l’infidele Renard ; Car il fût puny de la façon qu’il le meritoit, et
se trouva
compagnon de la disgrace qu’il avoit procurée.
ement le long des jambes, des épaules et des cornes de son compagnon,
se trouva
à l’orifice du puits, et aussitôt s’éloigna. Comm
des Elemens, contre lesquels, comme dit autrefois un grand Roy, il ne
se trouve
point d’Armée invincible, ny de Puissance assez f
uoy, certes, elle presage le destin de ces infortunez Courtisans, qui
se trouvent
n’avoir rien amassé pendant leurs belles années,
cy par ce nom de liberté toute sorte d’affranchissement, veu qu’il ne
se trouve
personne dans le monde qui n’y soit avec quelque
s-jours jusques là ; Et toutesfois, ô la misere de nostre âge ! il ne
se trouve
presque personne qui fasse élection du meilleur,
ement, et avec les proportions convenables à nostre condition. Car de
se trouver
bien avant sur le declin de son âge, et appeller
lui-même exprimé un doute sur le point de savoir si, réuni à eux, il
se trouvait
bien à sa place. Eude, en effet, a rarement empru
di latinitate compositas elegis sum explicare conatus. » À la page 6
se trouve
ce passage de Priscien : « Prisciani sophistæ ex
; je me bornerai à en donner le signalement. Deux de ces exemplaires
se trouvent
au British Museum. L’un appartient au département
Je lègue audict collège toute ma bibliothèque et tous les livres qui
se trouveront
en ma maison. » Si donc Pierre avait rendu le ma
parchemin qu’il supposait nécessaire. Quand ensuite il le termina, il
se trouva
une feuille de trop, qui plus tard aura pu être a
’ignorance se répandait partout. » Dans la Bibliothèque de Saint-Remi
se trouvait
un second manuscrit ; le Père Sirmond le découvri
une courte notice, ainsi que de l’Aulularia qui y était jointe. Elle
se trouve
dans l’almanach de Reims, 1774. «
t il l’était pour tout le monde ; car l’exemplaire de la veuve Brocas
se trouvait
dans une bibliothèque publique dont l’accès était
r du traité De Monstris et Belluis, qui, dans le manuscrit de Pithou,
se trouve
également à la suite de ses Fables. Il est éviden
le est précédée de son titre De Leone et Asino, et au-dessus du titre
se trouve
la désignation générale de l’ouvrage dans les ter
et exaudi me, quia pauper et obscurus sum. » Au verso du feuillet 20
se trouve
l’ех-libris que j’ai déjà signalé et dont l’écrit
il nous en a conservé soixante-quatre, sur lesquelles trente-deux ne
se trouvent
pas dans les trois premiers manuscrits déjà exami
sans qu’on ait pu savoir quelle filière le manuscrit avait suivie, il
se trouvait
dans la bibliothèque du duc de Parme. À cette épo
un simple roman. Ce qui est certain, c’est que longtemps on ignora où
se trouvait
le manuscrit de Perotti. D’Orville pourtant n’ava
nn, aux variantes placées par celui-ci à la fin de sa préface, et qui
se trouvent
toutes sans exception dans le manuscrit, aux lacu
e, devaient tantôt être altérées, et tantôt, par la forme et le fond,
se trouver
tout à fait travesties. Mais que cela ne surprenn
tête de l’exemplaire, que j’ai entre les mains, de l’édition Petronj,
se trouve
, sur la page blanche en regard du titre, une note
n devine plutôt qu’on ne voit qu’elle a été rouge. L’état dans lequel
se trouvait
le manuscrit en rendait la copie très longue et t
s pour se convaincre que c’est un autographe. Les pages blanches, qui
se trouvent
tant à la suite de l’index qu’à la fin du manuscr
le nº 27 et à la suite du nº 46, la fable Apes et Fuci, Vespa judice,
se trouve
deux fois répétée. Après l’avoir extraite une pre
gault et autres, et éclairés de leurs notes et de leurs scholies. Ils
se trouvent
livre II, fable lvi 188. » On le voit, Schryver
te ? Non ; la forme grecque conservée au nom de Phèdre, telle qu’elle
se trouvait
sans doute en tête de ses fables ; ces lacunes qu
r Mercure. Quant à l’idée, elle n’est pas plus ridicule que celle qui
se trouve
développée dans la fable ancienne Canum legati ad
e n’aurait peut-être pas le double défaut d’être obscure et de ne pas
se trouver
en harmonie avec son titre moral. En effet, elle
plus sûr, dit-il, s’il découvrait un manuscrit complet de Phèdre, où
se trouveraient
ces fables. Attendons comme M. Maï267. » Il me se
l’état identique dans lequel, par suite de ces opérations uniformes,
se trouvent
dans son manuscrit les fables soit anciennes, soi
. iv b, 4. 67. L’Aigle et le Milan. De ces fables les 30 qui ne
se trouvent
pas dans les manuscrits de Phèdre, sont celles qu
8º, 15. Le manuscrit qui renferme la collection des Fabulæ antiquæ
se trouve
aujourd’hui à la bibliothèque de Leyde. Il fait p
t, et ne s’était d’abord dessaisi que des quaternes, dans lesquels ne
se trouvaient
pas les fables ésopiques. Mais la partie qu’il av
rit une fausse apparence de désordre. L’analyse de tous ces fragments
se trouve
dans les Catalogues des manuscrits de la Grande-B
bant libr. IX. Au verso du fol. i, à la suite du récit qui précède,
se trouve
une liste de noms des abbés de Saint-Martial. Ell
ota frequentant. Fol. xxx b à xxxii b. — Opuscule cosmographique, où
se trouvent
beaucoup de mots arabes. Septième quaterne (Fol.
er prævalet sapientia. Suivant lui, le premier de ces deux vers, qui
se trouvait
dans les manuscrits de Pithou et de Reims, était
de Wissembourg, il avait d’abord été porté à croire qu’il ne pouvait
se trouver
dans la bibliothèque de Wolfenbüttel où tous les
une base plus sûre et plus précise. En effet, en tête de ces éditions
se trouvent
généralement deux épîtres dédicatoires, dans lesq
raduit en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cette ville où il
se trouvait
encore, sa traduction à son fils Tiberinus. Et ma
cédemment donné une analyse détaillée. Au verso du quatrième feuillet
se trouvait
notamment la dédicace de Romulus à son fils. Nila
e fables de Romulus et XXXII livres de l’histoire naturelle de Pline,
se trouvait
, au temps du docte Gude qui le copia (1660-1663),
De Hyrundine et ceteris auibus. xx. À la suite de cette table
se trouve
la dédicace de Romulus ainsi conçue (fol. 61 b) :
et boue. xix. De Leonis fallaci conuersatione. xx. À la suite
se trouvent
les fables elles-mêmes (fol. 105 a à 130 b). Enfi
ns les manuscrits, le livre IV, d’une part, offre trois fables qui ne
se trouvent
pas dans les éditions imprimées, savoir : la xiii
le est entièrement semblable à la première, et sans un barbarisme qui
se trouve
dans son titre, il serait presque impossible de l
complément nécessaire de l’édition d’Ulm. C’est au British Museum que
se trouve
l’exemplaire sur lequel j’ai fait en partie les r
, soit au total soixante. Fol. 1 a (a. i a). — En tête du frontispice
se trouve
le mot Exemplario ; au-dessous dans un encadrem
a ii a) à 60 a (h vi a). — Prologue et fables. À la suite du Prologue
se trouve
cet avis : El prologo que se sigue es d’l interp
l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. » Plus bas
se trouve
cette dernière indication qui détermine le lieu,
et les diverses collections de fables. Sur la première page du volume
se trouve
le titre ainsi conçu : Esopus Leben und Fabeln :
ume in-12 de 400 pages, imprimé en caractères gothiques. Le titre qui
se trouve
en tête du frontispice est ainsi conçu : Esopus
8 et 6 ff. » Le volume se termine par la souscription suivante, qui
se trouve
au verso du sixième feuillet du cahier o, et qui
n’est pas paginé ; il est signé de a à m. En tête de la première page
se trouve
un titre ainsi conçu : Les | fables et la vie |
présentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus bas
se trouve
la dédicace de Romulus à son fils précédée de ce
| mil y quinientos y sessentay dos. Un exemplaire de cette édition
se trouve
sous la cote 637. K. 5, au catalogue de la biblio
. À la fin du volume : Laus deo. Cette édition, dont un exemplaire
se trouve
à la bibliothèque du British Museum, n’est qu’une
1. Romulus du Miroir historial. Les fables du Miroir historial
se trouvent
à la Bibliothèque nationale, non seulement dans l
nale possède 2 manuscrits complets du Miroir doctrinal, dans lesquels
se trouve
le Romulus de Vincent de Beauvais. Ils portent le
s Miroirs historial et doctrinal de Vincent de Beauvais dans lesquels
se trouve
son Romulus. 2661-2664. (Ald. 131-134.) Membr. i
s. Impressvm. Per Johannem. || Mentellin. Deuxième volume. À la fin
se trouve
cette phrase : Explicit Secunda. Pars. Specvli.
d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va suivre,
se trouve
à la Bibliothèque nationale et figure sous la cot
me se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription qui
se trouve
sur la première colonne : Cy fine le xxviie liur
ions anciennes, mais encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope, qui
se trouve
entre les mains de Thomas Mactecoda, professeur d
être attaché au nom de Garicius, qui, ainsi que je m’en suis assuré,
se trouve
dans un manuscrit de la bibliothèque royale de Ma
remier, dépourvus de toute gravure (deux exemplaires de cette édition
se trouvent
, l’un dans la bibliothèque publique de la ville d
ta conventum augustinorum commorante (un exemplaire de cette édition
se trouve
à la bibliothèque publique de la ville de Rouen s
n’en est pas non plus toujours ainsi ; quelquefois le distique final
se trouve
rejeté à la fin de la fable lxii, et détruit ou s
distique qui la formule. Enfin je dois faire observer que cette fable
se trouve
justement dans le plus ancien des manuscrits de W
n de la soixantième, on lit ce distique un peu différent de celui qui
se trouve
dans les éditions imprimées : Fine fruor : versu
n’être entré qu’après sa mort dans celle du Roi. Il s’ensuit qu’il ne
se trouve
pas dans l’inventaire imprimé de 1645, et qu’il f
, relié en maroquin rouge avec l’écusson du Roi sur les plats. Au dos
se trouve
le titre suivant, dont les mots sont abrégés à ca
in moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquelles
se trouvait
le nom d’un des propriétaires successifs du volum
ure meretur, Quam sua si placeant plus aliena sibi. Au-dessous
se trouve
cette souscription finale : Hactenus de vetusto
Hirundine et Avibus et la fable xxi De terra Attica non habente regem
se trouvent
ces mots à l’encre rouge : Explicit liber primus
dus. Ils montrent que Walther avait adopté la division en livres qui
se trouve
dans les manuscrits du Romulus ordinaire et que c
et une ; mais trois ont disparu avec les feuillets sur lesquels elles
se trouvaient
. Chaque miniature est placée entre la fable latin
les sont limitées aux soixante authentiques. En tête du feuillet 3 a,
se trouve
, écrit plus récemment que l’œuvre elle-même, un t
s’étendent du verso du feuillet 153 au verso du feuillet 169. En tête
se trouve
un préambule inepte, qui les attribue à Ésope et
Les fables se terminent, au verso du feuillet 64, par ce distique qui
se trouve
ordinairement à la fin de la fable 60 : Fine fru
rmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au nombre de douze
se trouvent
les fables de Walther qui commencent au feuillet
la plume que relève un brillant coloris. Au recto du premier feuillet
se trouve
d’abord le titre suivant : Incipit liber Esopi Z
illet 22 b. Elles sont au nombre de 60. En marge du prologue en vers
se trouve
une sorte de préface ou commentaire en prose, qui
ouvent de Saint-Jacques de Liège. Sur le catalogue de ce couvent, qui
se trouve
actuellement à la bibliothèque royale de Bruxelle
l s’ensuit que les 13e et 14e feuillets renferment quatre fables, qui
se trouvent
après les 19 autres et qui devraient les précéder
oises, l’ayant occupée, s’emparèrent de la bibliothèque dans laquelle
se trouvait
le manuscrit, et, quoiqu’elle appartînt non pas a
on : Explicit liber Esopi deo gratias. Amen. À la fin du manuscrit
se trouve
un double feuillet qui en est indépendant et qui,
premier feuillet la vie abrégée d’Ésope. En tête du feuillet suivant
se trouve
ce titre : Phrygum philosophi Esopi moralitas de
i || fabu-|lae. Un exemplaire de cette édition in-4, coté X. H. 66,
se trouve
à la bibliothèque impériale de Vienne. 1490.
u-dessous de cette souscription imprimée au recto du dernier feuillet
se trouvent
deux lions, portant une sphère sur laquelle sont
nt grossies du même commentaire. En tête du verso du premier feuillet
se trouve
ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du d
onté d’une croix et divisé en quatre compartiments. Dans chacun d’eux
se trouve
sur fond noir une des quatre initiales P, L, I, B
it le 13 décembre 1881 M. Sieber, conservateur de la bibliothèque, ne
se trouve
pas mentionnée dans les bibliographies que je con
ure, au bas de laquelle on lit J. Le Forestier . La souscription qui
se trouve
au verso de l’avant-dernier feuillet est ainsi co
i M. ccccc. xvij mensis Madij. Un exemplaire de cette édition in-4º
se trouve
, sous la cote 7747, à la Grenville library, et un
n format. Au milieu de la page est une vignette au centre de laquelle
se trouvent
les initiales M. B., et au bas on lit ce qui suit
seconde traduction, qui paraît être du commencement du xive siècle,
se trouve
avec des variantes nombreuses dans les quatre man
s des pages un espace blanc destiné à les recevoir, c’est là qu’elles
se trouvent
. Leur nombre est de soixante-deux résultant de la
elle Favole di Galfredo 463, que les deux premières de ces fables ne
se trouvent
, à sa connaissance, dans aucune des traductions i
t les deux autres sont blancs. Au bas de la première page de la table
se trouve
cet ex-libris : Questo libro è di Piero di Simon
hè de diletto faccia utilità , et qui, manquant dans l’édition Berti,
se trouve
au contraire avec des leçons différentes dans cel
texte latin et le Sonetto materiale. Au bas du recto du feuillet p 3
se trouve
cette souscription : Impressum Veronae die || XX
ion italienne. Chacune est ornée d’une gravure au-dessous de laquelle
se trouve
le titre suivi du texte latin et ensuite d’un dou
est ornée d’une petite gravure sur bois. Au verso du dernier feuillet
se trouve
cette souscription : Brixiæ per Ludouicum Britan
ble qu’il y composa le poème intitulé : Laus sapientiae divinae. Il
se trouve
dans un manuscrit, qui a appartenu à l’abbaye de
horizontalement sur l’encre noire de l’écriture. Au-dessous du titre
se trouve
écrit à l’encre rouge le numéro de la fable. Le d
a bibliothèque de Chartres. La traduction des fables de Neckam qui
se trouve
dans les manuscrits de la Bibliothèque nationale,
et, à raison des deux localités dans les bibliothèques desquelles ils
se trouvaient
, donner à la collection elle-même le nom de Romul
ans le manuscrit latin 303 de la Bibliothèque impériale de Vienne que
se trouve
le texte que j’ai pensé pouvoir considérer, non c
l a appartenu à Antoine Loysel ; c’est ce qui ressort de ces mots qui
se trouvent
sur le recto du 2e feuillet : « Antonius Loysel.
aux nombreux travaux dont elle a été l’objet et dont la nomenclature
se trouve
dans le Répertoire des sources historiques du moy
d’un préambule de dix vers et suivi d’un complément de douze, qui ne
se trouvent
pas dans les autres manuscrits, et que M. de Roqu
es expressions qui lui sont communes avec le Dérivé complet et qui ne
se trouvent
pas dans le Romulus de Nilant. C’est ainsi que, d
r, à la suite du Romulus Burnéien, que les fables, dont les sujets ne
se trouvaient
ni dans la collection de ce Romulus, ni dans cell
Incipiunt fabule Esopi prosaïce. Le feuillet en parchemin sur lequel
se trouvent
le prologue et la première fable, est moins ancie
blancs pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cependant ces mots
se trouvent
dans le manuscrit 1108, qui dès lors n’a pu être
de Göttingen, renferme le Dérivé complet du Romulus anglo-latin ; il
se trouve
également dans un autre manuscrit qui, dans la mê
econde version, probablement un peu moins ancienne que la précédente,
se trouve
dans un manuscrit de la fin du xve siècle appart
conformer aux exigences de ce système de versification, l’auteur a dû
se trouver
dans la nécessité de remplacer presque partout pa
72. Cette orthographe du mot Have est justifiée par une mosaïque qui
se trouve
à l’entrée d’une des maisons de Pompéi. 73. Phæ
eusement au fonds du Navire, et apporta tant de pierres de celles qui
se trouvent
dans la Carene, qu’il fist hausser l’eau par cest
à donné certaines retenuës pour conserver leur provision, soit qu’ils
se trouvent
incapables de manger avec excez, comme nous faiso
s ce temps-là tant d’imitateurs, qu’en quelque âge que ce soit, il ne
se trouvera
point de Peuple bien policé, qui n’ait hazardeuse