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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — Fable I. La Cigale et la Fourmy. » p. 112373
I. La Cigale et la Fourmy. La Cigale ayant chanté Tout l’Esté, Se trouva fort dépourvuë Quand la bise fut venuë. Pas un se
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
en commun le gain et le dommage.
 Dans les lacqs de la Chevre un Cerf se trouva pris. Vers ses associez aussi-tost elle envoye.

3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
le,
 A des reliefs d’Ortolans.

 Sur un Tapis de Turquie
 Le couvert se trouva mis. 
Je laisse à penser la vie
 Que firent ces d
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 221 » p. 157
lle pourrait, disait-il, tomber par mégarde ; d’ailleurs le pré où il se trouvait était meilleur ; car le gazon y était tout fleuri
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 2 » p. 99
’il vendait un dieu pourvoyeur de biens et de profits. Un de ceux qui se trouvaient là lui dit : « Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 332 » pp. 217-217
f 123. Un taureau poursuivi par un lion se réfugia dans un antre où se trouvaient des chèvres sauvages. Frappé et encorné par elles
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
roirs éprouver l’avanture :
 Mais un canal formé par une source pure
 Se trouve en ces lieux écartez.
 Il s’y void, il se fâche ;
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
,
 En badinant sur les bords de la Seine.
 Le Ciel permit qu’un saule se trouva 
 Dont le branchage, aprés Dieu, le sauva.
 S’esta
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306
parlait ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’endroit où il se trouvait , il arriva qu’une d’elles le mordit, et lui, pour
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 271 » p. 191
âne et un renard, ayant lié société, sortirent pour chasser. Un lion se trouva sur leur chemin. Voyant le danger suspendu sur eu
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
étuy la couronne est tirée. Dans une chartre un Dragon la gardoit. Il se trouva que sur tous essayée, A pas un d’eux elle ne conv
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 7 » pp. 276-276
che, et le trait s’enfonça dans sa chair, et la coche avec ses plumes se trouva devant ses yeux. À cette vue, il s’écria : « C’es
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 153 » pp. 250-250
ῶν ἰδίων ἀγαθῶν λυπουμένους. Codd. Pa 131 Pg 89 Cd 72. Un noyer qui se trouvait au bord d’une route et que les passants frappaien
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152
assassiné un homme sur une route, et se voyant poursuivi par ceux qui se trouvaient là, abandonna sa victime ensanglantée et s’enfuit
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 89 » pp. 55-55
tresse avant le jour. Mais, quand elles eurent exécuté ce dessein, il se trouva qu’elles avaient aggravé leur malheur ; car la ma
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 105 » pp. 76-76
ne biche poursuivie par des chasseurs arriva à l’entrée d’un antre où se trouvait un lion. Elle y entra pour s’y cacher ; mais elle
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
et tantost le museau, Tantost entre au fond du nazeau. La rage alors se trouve à son faîte montée. L’invisible ennemy triomphe,
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
en auroit premedité la vengeance, le haut poinct de prosperité où il se trouve maintenant, luy fait pardonner aisément à ceux qu
Cour de la presence de ceste perfide. Elle la condamne seulement à ne se trouver plus avec les autres Oyseaux, et à ne paroistre j
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
de ne chercher jamais nostre asyle dans les maisons suspectes. Car il se trouve peu de gens qui ayent assez de Vertu, pour nous g
les hommes du monde, joüy à ton ayse des fruicts de ma loyauté ». Il se trouve peu d’exemples pareils à celuy cy, que j’ay bien
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
erce de leur vie, n’est-ce pas à eux une imprudence extraordinaire de se trouver en des compagnies honteuses, et tout à fait insup
que par une raison de civilité, plustost que de bien-vueillance, ils se trouvent obligez à leur permettre un libre accez dans leur
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
bond et courut en soupirant voir ce qui était arrivé. Un des gens qui se trouvaient là, le voyant courir, lui cria : « Hé ! l’ami, to
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 293 » pp. 47-47
crifiant une chèvre à la campagne invitèrent leurs voisins. Parmi eux se trouvait une pauvresse qui amena son enfant avec elle. Com
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 46 » pp. 34-34
et de leur consacrer des ex-voto, s’il se rétablissait. Sa femme, qui se trouvait justement près de lui, lui demanda : « Et où pren
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 107 » pp. 98-98
ς κατὰ τῶν ἀμεινόνων. Codd. Pg 62 Ma 71 Mb 57 et 242. Un chevreau qui se trouvait à l’intérieur d’une maison vit passer un loup. Il
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
près il se rendit chez la femme du potier et lui demanda comment elle se trouvait . Elle répondit que rien ne leur manquait et qu’el
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
y service de ceux qui se disent nos amis, veu la grande tromperie qui se trouve d’ordinaire parmy les hommes, n’est ce pas une es
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
personne des Amis qui essayent à nous exhorter ; à plus forte raison se trouveront -elles en la remonstrance d’un Pere à son fils. Ca
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
l’imprudente Cigale consomme vainement ses beaux jours à chanter, et se trouve reduite à la fin à mandier sa vie, pendant la rig
esme estant privé du plus agreable de nos sens, à sçavoir de la veuë, se trouva sur le declin de son âge, accueilly d’une pauvret
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 80 » pp. 52-52
νται. Codd. Pa 52 Pb 52 Pc 23 Pe 26 Pg 30 Ma 38 Mb 24. Un laboureur se trouva confiné par le mauvais temps dans sa métairie. Ne
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
’un, apres avoir parlé genereusement pour le bien de la Patrie, il ne se trouvera que trop de Complaisants prés de leur personne, q
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
r le conseil des Trompeurs, car ayans suivy celuy de la Corneille, il se trouva n’avoir esté que le cuisinier de ce vil animal, e
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
dient à persuader qu’ils ont une bonne qualité, quoy qu’en effect ils se trouvent dans le contraire défaut, et que d’ailleurs ils n
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
’Esope, se resolut de le croire, et ne faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de
e Philosophe Xanthus donne aux Samiens la liberté d’Esope », et ainsi se trouva veritable, ce qu’un peu auparavant Esope avoit di
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
t aux poüilles mesmes, quand ils sont en lieu de seureté ; mais s’ils se trouvent quelquesfois en pleine campagne, ils oublient alo
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
ù toutesfois il faut prendre garde qu’à la fin de ceste Fable le Loup se trouva trompé dans l’esperance qu’il eust d’abord de pro
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
pareillement une qualité fort souhaittable que la Force, lors qu’elle se trouve joincte à l’addresse ; puis que par elle nous ven
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
s n’en passent pas tous à si bon marché, que la Gruë d’Esope. Car ils se trouvent d’ordinaire embroüillez dans les propres menées d
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
asion de faire mourir leur partie dans les amoureux accouplements. Il se trouve mesme des gents qui recherchent pour cela des fin
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
ement le Vice ? Parlerons-nous maintenant de la Vengeance ? Celuy qui se trouve riche, n’a-t’il point beaucoup de peine à s’en ex
s. Que si maintenant l’on considere les riches comme Particuliers, il se trouvera qu’un Crassus, un Apicius, un Cabrias, et autres
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
e injustice de l’aymer derechef, puis que l’amitié estant un bien, il se trouveroit que nous aurions recompensé un forfaict, qui est
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
t desja qu’il en deust sortir quelque monstre horrible. Mais enfin il se trouva que la Montagne accoucha d’un Rat, ce qui les fit
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
ét arbre orgueilleux, pour s’estre roidy contre les coups de l’orage, se trouve entierement déplacé de son assiette, voire mesme
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
merveille, si elle s’augmente peu à peu avecque leur âge, et si elle se trouve presque invincible quand ils sont devenus grands 
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
mitiez ; c’est, à mon advis, une chose qui arrive rarement, et qui ne se trouve que parmy les hommes extraordinaires. Ces marques
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
mots Esope se sentant surpris, « Mon Maistre », respondit-il, « s’il se trouve que le gasteau ne soit bien cuict, je suis conten
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
rrasser les corps, et de se voir sur eux. Le mesme effet de Noblesse se trouve en l’Ours, qui ne met jamais la dent sur un corps
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
l’infidele Renard ; Car il fût puny de la façon qu’il le meritoit, et se trouva compagnon de la disgrace qu’il avoit procurée.  
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 40 » pp. 9-9
ement le long des jambes, des épaules et des cornes de son compagnon, se trouva à l’orifice du puits, et aussitôt s’éloigna. Comm
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
des Elemens, contre lesquels, comme dit autrefois un grand Roy, il ne se trouve point d’Armée invincible, ny de Puissance assez f
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
uoy, certes, elle presage le destin de ces infortunez Courtisans, qui se trouvent n’avoir rien amassé pendant leurs belles années,
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
cy par ce nom de liberté toute sorte d’affranchissement, veu qu’il ne se trouve personne dans le monde qui n’y soit avec quelque
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
s-jours jusques là ; Et toutesfois, ô la misere de nostre âge ! il ne se trouve presque personne qui fasse élection du meilleur,
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
ement, et avec les proportions convenables à nostre condition. Car de se trouver bien avant sur le declin de son âge, et appeller
54 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
lui-même exprimé un doute sur le point de savoir si, réuni à eux, il se trouvait bien à sa place. Eude, en effet, a rarement empru
di latinitate compositas elegis sum explicare conatus. » À la page 6 se trouve ce passage de Priscien : « Prisciani sophistæ ex
 ; je me bornerai à en donner le signalement. Deux de ces exemplaires se trouvent au British Museum. L’un appartient au département
 Je lègue audict collège toute ma bibliothèque et tous les livres qui se trouveront en ma maison. » Si donc Pierre avait rendu le ma
parchemin qu’il supposait nécessaire. Quand ensuite il le termina, il se trouva une feuille de trop, qui plus tard aura pu être a
’ignorance se répandait partout. » Dans la Bibliothèque de Saint-Remi se trouvait un second manuscrit ; le Père Sirmond le découvri
une courte notice, ainsi que de l’Aulularia qui y était jointe. Elle se trouve dans l’almanach de Reims, 1774.               « 
t il l’était pour tout le monde ; car l’exemplaire de la veuve Brocas se trouvait dans une bibliothèque publique dont l’accès était
r du traité De Monstris et Belluis, qui, dans le manuscrit de Pithou, se trouve également à la suite de ses Fables. Il est éviden
le est précédée de son titre De Leone et Asino, et au-dessus du titre se trouve la désignation générale de l’ouvrage dans les ter
et exaudi me, quia pauper et obscurus sum. » Au verso du feuillet 20 se trouve l’ех-libris que j’ai déjà signalé et dont l’écrit
il nous en a conservé soixante-quatre, sur lesquelles trente-deux ne se trouvent pas dans les trois premiers manuscrits déjà exami
sans qu’on ait pu savoir quelle filière le manuscrit avait suivie, il se trouvait dans la bibliothèque du duc de Parme. À cette épo
un simple roman. Ce qui est certain, c’est que longtemps on ignora où se trouvait le manuscrit de Perotti. D’Orville pourtant n’ava
nn, aux variantes placées par celui-ci à la fin de sa préface, et qui se trouvent toutes sans exception dans le manuscrit, aux lacu
e, devaient tantôt être altérées, et tantôt, par la forme et le fond, se trouver tout à fait travesties. Mais que cela ne surprenn
tête de l’exemplaire, que j’ai entre les mains, de l’édition Petronj, se trouve , sur la page blanche en regard du titre, une note
n devine plutôt qu’on ne voit qu’elle a été rouge. L’état dans lequel se trouvait le manuscrit en rendait la copie très longue et t
s pour se convaincre que c’est un autographe. Les pages blanches, qui se trouvent tant à la suite de l’index qu’à la fin du manuscr
le nº 27 et à la suite du nº 46, la fable Apes et Fuci, Vespa judice, se trouve deux fois répétée. Après l’avoir extraite une pre
gault et autres, et éclairés de leurs notes et de leurs scholies. Ils se trouvent livre II, fable lvi 188. » On le voit, Schryver
te ? Non ; la forme grecque conservée au nom de Phèdre, telle qu’elle se trouvait sans doute en tête de ses fables ; ces lacunes qu
r Mercure. Quant à l’idée, elle n’est pas plus ridicule que celle qui se trouve développée dans la fable ancienne Canum legati ad
e n’aurait peut-être pas le double défaut d’être obscure et de ne pas se trouver en harmonie avec son titre moral. En effet, elle
plus sûr, dit-il, s’il découvrait un manuscrit complet de Phèdre, où se trouveraient ces fables. Attendons comme M. Maï267. » Il me se
l’état identique dans lequel, par suite de ces opérations uniformes, se trouvent dans son manuscrit les fables soit anciennes, soi
. iv b, 4. 67. L’Aigle et le Milan. De ces fables les 30 qui ne se trouvent pas dans les manuscrits de Phèdre, sont celles qu
8º, 15. Le manuscrit qui renferme la collection des Fabulæ antiquæ se trouve aujourd’hui à la bibliothèque de Leyde. Il fait p
t, et ne s’était d’abord dessaisi que des quaternes, dans lesquels ne se trouvaient pas les fables ésopiques. Mais la partie qu’il av
rit une fausse apparence de désordre. L’analyse de tous ces fragments se trouve dans les Catalogues des manuscrits de la Grande-B
bant libr. IX. Au verso du fol. i, à la suite du récit qui précède, se trouve une liste de noms des abbés de Saint-Martial. Ell
ota frequentant. Fol. xxx b à xxxii b. — Opuscule cosmographique, où se trouvent beaucoup de mots arabes. Septième quaterne (Fol.
er prævalet sapientia. Suivant lui, le premier de ces deux vers, qui se trouvait dans les manuscrits de Pithou et de Reims, était
de Wissembourg, il avait d’abord été porté à croire qu’il ne pouvait se trouver dans la bibliothèque de Wolfenbüttel où tous les
une base plus sûre et plus précise. En effet, en tête de ces éditions se trouvent généralement deux épîtres dédicatoires, dans lesq
raduit en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cette ville où il se trouvait encore, sa traduction à son fils Tiberinus. Et ma
cédemment donné une analyse détaillée. Au verso du quatrième feuillet se trouvait notamment la dédicace de Romulus à son fils. Nila
e fables de Romulus et XXXII livres de l’histoire naturelle de Pline, se trouvait , au temps du docte Gude qui le copia (1660-1663),
De Hyrundine et ceteris auibus. xx.   À la suite de cette table se trouve la dédicace de Romulus ainsi conçue (fol. 61 b) :
et boue. xix. De Leonis fallaci conuersatione. xx.   À la suite se trouvent les fables elles-mêmes (fol. 105 a à 130 b). Enfi
ns les manuscrits, le livre IV, d’une part, offre trois fables qui ne se trouvent pas dans les éditions imprimées, savoir : la xiii
le est entièrement semblable à la première, et sans un barbarisme qui se trouve dans son titre, il serait presque impossible de l
complément nécessaire de l’édition d’Ulm. C’est au British Museum que se trouve l’exemplaire sur lequel j’ai fait en partie les r
, soit au total soixante. Fol. 1 a (a. i a). — En tête du frontispice se trouve le mot Exemplario  ; au-dessous dans un encadrem
a ii a) à 60 a (h vi a). — Prologue et fables. À la suite du Prologue se trouve cet avis : El prologo que se sigue es d’l interp
l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. » Plus bas se trouve cette dernière indication qui détermine le lieu,
et les diverses collections de fables. Sur la première page du volume se trouve le titre ainsi conçu : Esopus Leben und Fabeln :
ume in-12 de 400 pages, imprimé en caractères gothiques. Le titre qui se trouve en tête du frontispice est ainsi conçu : Esopus
8 et 6 ff. » Le volume se termine par la souscription suivante, qui se trouve au verso du sixième feuillet du cahier o, et qui
n’est pas paginé ; il est signé de a à m. En tête de la première page se trouve un titre ainsi conçu : Les | fables et la vie |
présentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son fils précédée de ce
 | mil y quinientos y sessentay dos. Un exemplaire de cette édition se trouve sous la cote 637. K. 5, au catalogue de la biblio
. À la fin du volume : Laus deo. Cette édition, dont un exemplaire se trouve à la bibliothèque du British Museum, n’est qu’une
1. Romulus du Miroir historial. Les fables du Miroir historial se trouvent à la Bibliothèque nationale, non seulement dans l
nale possède 2 manuscrits complets du Miroir doctrinal, dans lesquels se trouve le Romulus de Vincent de Beauvais. Ils portent le
s Miroirs historial et doctrinal de Vincent de Beauvais dans lesquels se trouve son Romulus. 2661-2664. (Ald. 131-134.) Membr. i
s. Impressvm. Per Johannem. || Mentellin. Deuxième volume. À la fin se trouve cette phrase : Explicit Secunda. Pars. Specvli.
d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va suivre, se trouve à la Bibliothèque nationale et figure sous la cot
me se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription qui se trouve sur la première colonne : Cy fine le xxviie liur
ions anciennes, mais encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope, qui se trouve entre les mains de Thomas Mactecoda, professeur d
être attaché au nom de Garicius, qui, ainsi que je m’en suis assuré, se trouve dans un manuscrit de la bibliothèque royale de Ma
remier, dépourvus de toute gravure (deux exemplaires de cette édition se trouvent , l’un dans la bibliothèque publique de la ville d
ta conventum augustinorum commorante (un exemplaire de cette édition se trouve à la bibliothèque publique de la ville de Rouen s
n’en est pas non plus toujours ainsi ; quelquefois le distique final se trouve rejeté à la fin de la fable lxii, et détruit ou s
distique qui la formule. Enfin je dois faire observer que cette fable se trouve justement dans le plus ancien des manuscrits de W
n de la soixantième, on lit ce distique un peu différent de celui qui se trouve dans les éditions imprimées : Fine fruor : versu
n’être entré qu’après sa mort dans celle du Roi. Il s’ensuit qu’il ne se trouve pas dans l’inventaire imprimé de 1645, et qu’il f
, relié en maroquin rouge avec l’écusson du Roi sur les plats. Au dos se trouve le titre suivant, dont les mots sont abrégés à ca
in moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquelles se trouvait le nom d’un des propriétaires successifs du volum
ure meretur,       Quam sua si placeant plus aliena sibi. Au-dessous se trouve cette souscription finale : Hactenus de vetusto
Hirundine et Avibus et la fable xxi De terra Attica non habente regem se trouvent ces mots à l’encre rouge : Explicit liber primus
dus. Ils montrent que Walther avait adopté la division en livres qui se trouve dans les manuscrits du Romulus ordinaire et que c
et une ; mais trois ont disparu avec les feuillets sur lesquels elles se trouvaient . Chaque miniature est placée entre la fable latin
les sont limitées aux soixante authentiques. En tête du feuillet 3 a, se trouve , écrit plus récemment que l’œuvre elle-même, un t
s’étendent du verso du feuillet 153 au verso du feuillet 169. En tête se trouve un préambule inepte, qui les attribue à Ésope et
Les fables se terminent, au verso du feuillet 64, par ce distique qui se trouve ordinairement à la fin de la fable 60 : Fine fru
rmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au nombre de douze se trouvent les fables de Walther qui commencent au feuillet 
la plume que relève un brillant coloris. Au recto du premier feuillet se trouve d’abord le titre suivant : Incipit liber Esopi Z
illet 22 b. Elles sont au nombre de 60. En marge du prologue en vers se trouve une sorte de préface ou commentaire en prose, qui
ouvent de Saint-Jacques de Liège. Sur le catalogue de ce couvent, qui se trouve actuellement à la bibliothèque royale de Bruxelle
l s’ensuit que les 13e et 14e feuillets renferment quatre fables, qui se trouvent après les 19 autres et qui devraient les précéder
oises, l’ayant occupée, s’emparèrent de la bibliothèque dans laquelle se trouvait le manuscrit, et, quoiqu’elle appartînt non pas a
on : Explicit liber Esopi deo gratias. Amen. À la fin du manuscrit se trouve un double feuillet qui en est indépendant et qui,
premier feuillet la vie abrégée d’Ésope. En tête du feuillet suivant se trouve ce titre : Phrygum philosophi Esopi moralitas de
i || fabu-|lae. Un exemplaire de cette édition in-4, coté X. H. 66, se trouve à la bibliothèque impériale de Vienne. 1490.
u-dessous de cette souscription imprimée au recto du dernier feuillet se trouvent deux lions, portant une sphère sur laquelle sont
nt grossies du même commentaire. En tête du verso du premier feuillet se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du d
onté d’une croix et divisé en quatre compartiments. Dans chacun d’eux se trouve sur fond noir une des quatre initiales P, L, I, B
it le 13 décembre 1881 M. Sieber, conservateur de la bibliothèque, ne se trouve pas mentionnée dans les bibliographies que je con
ure, au bas de laquelle on lit J. Le Forestier . La souscription qui se trouve au verso de l’avant-dernier feuillet est ainsi co
i M. ccccc. xvij mensis Madij. Un exemplaire de cette édition in-4º se trouve , sous la cote 7747, à la Grenville library, et un
n format. Au milieu de la page est une vignette au centre de laquelle se trouvent les initiales M. B., et au bas on lit ce qui suit
seconde traduction, qui paraît être du commencement du xive  siècle, se trouve avec des variantes nombreuses dans les quatre man
s des pages un espace blanc destiné à les recevoir, c’est là qu’elles se trouvent . Leur nombre est de soixante-deux résultant de la
elle Favole di Galfredo 463, que les deux premières de ces fables ne se trouvent , à sa connaissance, dans aucune des traductions i
t les deux autres sont blancs. Au bas de la première page de la table se trouve cet ex-libris : Questo libro è di Piero di Simon
hè de diletto faccia utilità , et qui, manquant dans l’édition Berti, se trouve au contraire avec des leçons différentes dans cel
texte latin et le Sonetto materiale. Au bas du recto du feuillet p 3 se trouve cette souscription : Impressum Veronae die || XX
ion italienne. Chacune est ornée d’une gravure au-dessous de laquelle se trouve le titre suivi du texte latin et ensuite d’un dou
est ornée d’une petite gravure sur bois. Au verso du dernier feuillet se trouve cette souscription : Brixiæ per Ludouicum Britan
ble qu’il y composa le poème intitulé : Laus sapientiae divinae. Il se trouve dans un manuscrit, qui a appartenu à l’abbaye de
horizontalement sur l’encre noire de l’écriture. Au-dessous du titre se trouve écrit à l’encre rouge le numéro de la fable. Le d
a bibliothèque de Chartres. La traduction des fables de Neckam qui se trouve dans les manuscrits de la Bibliothèque nationale,
et, à raison des deux localités dans les bibliothèques desquelles ils se trouvaient , donner à la collection elle-même le nom de Romul
ans le manuscrit latin 303 de la Bibliothèque impériale de Vienne que se trouve le texte que j’ai pensé pouvoir considérer, non c
l a appartenu à Antoine Loysel ; c’est ce qui ressort de ces mots qui se trouvent sur le recto du 2e feuillet : « Antonius Loysel. 
aux nombreux travaux dont elle a été l’objet et dont la nomenclature se trouve dans le Répertoire des sources historiques du moy
d’un préambule de dix vers et suivi d’un complément de douze, qui ne se trouvent pas dans les autres manuscrits, et que M. de Roqu
es expressions qui lui sont communes avec le Dérivé complet et qui ne se trouvent pas dans le Romulus de Nilant. C’est ainsi que, d
r, à la suite du Romulus Burnéien, que les fables, dont les sujets ne se trouvaient ni dans la collection de ce Romulus, ni dans cell
Incipiunt fabule Esopi prosaïce. Le feuillet en parchemin sur lequel se trouvent le prologue et la première fable, est moins ancie
blancs pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cependant ces mots se trouvent dans le manuscrit 1108, qui dès lors n’a pu être
de Göttingen, renferme le Dérivé complet du Romulus anglo-latin ; il se trouve également dans un autre manuscrit qui, dans la mê
econde version, probablement un peu moins ancienne que la précédente, se trouve dans un manuscrit de la fin du xve  siècle appart
conformer aux exigences de ce système de versification, l’auteur a dû se trouver dans la nécessité de remplacer presque partout pa
72. Cette orthographe du mot Have est justifiée par une mosaïque qui se trouve à l’entrée d’une des maisons de Pompéi. 73. Phæ
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
eusement au fonds du Navire, et apporta tant de pierres de celles qui se trouvent dans la Carene, qu’il fist hausser l’eau par cest
à donné certaines retenuës pour conserver leur provision, soit qu’ils se trouvent incapables de manger avec excez, comme nous faiso
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
s ce temps-là tant d’imitateurs, qu’en quelque âge que ce soit, il ne se trouvera point de Peuple bien policé, qui n’ait hazardeuse
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