ngleterre, en Allemagne et en Italie, mon livre a été, dans la presse
savante
, l’objet des appréciations les plus flatteuses. P
fut celle que M. Gaston Paris publia dans les numéros du Journal des
Savants
des mois de décembre 1884 et de janvier 1885. Dan
Un tel langage était bien encourageant, et il est probable que si le
savant
membre de l’Institut l’avait tenu au moment même
les sujets de ses fables, et par suite j’ai fini par penser, comme le
savant
critique, que je devais le distraire des dérivés
ne est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος. Partant de là, le
savant
Gude fait observer que les noms grecs, qui ont la
utant que lui voisins de la Grèce. Je pourrais maintenant analyser la
savante
dissertation, par laquelle Jannelli, dans son édi
s, et, couronnant dignement son œuvre, lui donna la liberté. Certains
savants
ont voulu attribuer son affranchissement à Tibère
In calamitate. L’erreur du traducteur français n’avait pas échappé au
savant
Pierre Burmann, qui, par une note insérée dans sa
, la vérité ; c’est faute de l’avoir ainsi envisagée, que beaucoup de
savants
ont renvoyé à une époque postérieure leur publica
ectes, les grands jurisconsultes, les grands littérateurs, les grands
savants
, rien n’a manqué à cette brillante période du pro
ion diplomatique de M. Berger de Xivrey73, publié dans le Journal des
savants
en décembre 183074, dit que cet éditeur ne paraît
gue française dont il est pourvu, est plus précieux que le second. Un
savant
troyen, très initié à tout ce qui touche l’histoi
ême. Quant à l’exemplaire de Berne, il a appartenu à Jacques Bongars,
savant
bibliophile, qui, pendant de longues années, fut
ent essayé de résoudre. Adry en a cherché sans succès la solution. Ce
savant
a imaginé une explication fantaisiste, qui lui a
Le Peletier. Envoyant apparaître la publication de Pierre Pithou, les
savants
éprouvèrent un premier sentiment de méfiance. L’a
et de leurs études. En 1599, Nicolas Rigault, jeune encore, mais déjà
savant
, songea à refaire le travail un peu précipité de
en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou. Mais, après ces deux
savants
, aucun de tous ceux qui écrivirent sur Phèdre, ne
u Père Desbillons : « MM. Le Pelletier (sic) ont hérité en partie des
savants
Pithou, dont ils étaient les parents par une Lesc
L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas connaître l’opinion du
savant
attendu. M. Berger de Xivrey, rendu plus tenace p
y, sachant combien cette partie du manuscrit avait donné de peine aux
savants
, l’avait évidemment choisie dans la pensée de fou
s. La même année, au mois de décembre, M. Daunou, dans le Journal des
savants
, faisait paraître sur cette publication une notic
ne aussi brillante facilité explique les immenses travaux de quelques
savants
de cette époque. Elle démontre aussi la fausseté
ces lacunes par des lignes ponctuées.” « Pithou, ainsi que les autres
savants
de son temps, ne mettait pas à la fidèle transcri
véler. Car, ainsi qu’on le verra, si M. Berger de Xivrey a fourni aux
savants
des éléments certains, qui doivent leur servir à
sté la propriété particulière d’une famille, était peu accessible aux
savants
. Il était donc naturel qu’ils se servissent de pr
, sur le manuscrit même, une étude approfondie de Phèdre. En 1769, un
savant
, attaché aux manuscrits de la bibliothèque du roi
de Foncemagne n’avait voulu que satisfaire un sentiment de curiosité
savante
, et, comme l’abbé Pluche, il n’avait nullement so
bien relevées ; mais, malgré son exactitude scrupuleuse, ainsi que le
savant
Orelli l’a fait remarquer, il avait omis d’en sig
ithou qui n’était accessible à personne, mais celui de Reims que tout
savant
pouvait étudier dans l’abbaye de Saint-Remi. Les
ieux l’accès du manuscrit de Reims, et par suite il a dû moins que le
savant
allemand être exposé à se tromper. Ce n’est pas à
tendait qu’il était passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les mains du
savant
qui l’avait publié. Confondant de même les deux m
ait pas manqué de consacrer une ligne entière à chacun des ïambes. Le
savant
philologue Orelli reconnaît que les deux manuscri
r leurs âges respectifs. Cependant sur ce point les appréciations des
savants
ne sont pas en parfaite harmonie. Dans sa lettre
ement, sinon que “ce fut celle-là même qui fut publiée en 1564 par le
savant
P. Daniel, d’Orléans, qui l’accompagna de ses not
Rome. Après la mort de Pierre Daniel, il fut, en 1603, acheté par le
savant
antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savan
603, acheté par le savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce
savant
soit encore connu des bibliophiles, l’oubli injus
it pas qu’il confond ainsi le père avec le fils. En effet, l’illustre
savant
n’existait déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son
scrit de Daniel avaient jeté une certaine confusion dans l’esprit des
savants
, et que longtemps ils ne surent pas exactement s’
là ce que n’avaient pu m’apprendre ni Schwabe, ni Adry, ni les autres
savants
dont je consultai les travaux. Le Père Desbillons
portés à Paris. » J’avoue que j’avais peine à comprendre comment des
savants
sérieux avaient pu se résoudre à rester dans une
s vacances ; elle était fermée. J’appris que le conservateur était un
savant
bénédictin français, le cardinal Pitra. J’allai l
’abbaye de Bobio. M. Fleutelot n’a pas hésité à accepter l’opinion du
savant
cardinal130, et moi-même, dans la première éditio
J’ignorais que, dans sa Biographie universelle des musiciens 131, le
savant
Fétis avait examiné à fond la question et irrévoc
au lieu de recourir aux sources, on s’en rapporte aux assertions des
savants
même les plus justement estimés, et même, lorsqu’
ndant un demi-siècle, le manuscrit avait pu être à la disposition des
savants
français. Mais, sauf Rigault, nul ne s’en était s
variantes qui lui paraissaient les plus importantes. Quant aux autres
savants
, qui, après lui, voulurent en parler, ils ne prir
vement. » Adry avait remarqué que jusqu’à la xxie fable les éditions
savantes
révélaient des variantes tirées du manuscrit de D
ces lignes, on croirait que le manuscrit n’existait plus. Comme aucun
savant
ne l’avait vu depuis cent cinquante ans, M. Berge
iquée encore. Ainsi l’illustre Daunou, en donnant dans le Journal des
Savants
140 son appréciation sur la publication du manusc
-à-dire pendant un demi-siècle, il avait pu être à la disposition des
savants
français ; mais, sauf Rigault, nul ne s’en était
ait en somme à Grævius. Il faut avouer que de la part de cet illustre
savant
elle était au moins étrange. Il n’avait pas commi
thèque du duc de Parme. À cette époque, un jeune Hollandais, riche et
savant
, parcourait l’Europe. Il se nommait Jacques-Phili
t rencontré à Vienne Apostolo Zeno, et la lui avait révélée. Aussi ce
savant
s’était-il hâté de combler la lacune qu’il avait
tenant le manuscrit169. Aucun renseignement exact ne mettait donc les
savants
sur sa trace. Cependant, puisque la copie en étai
sque la copie en était perdue, il était important de le retrouver. Le
savant
abbé Andrès, auteur de l’Histoire générale de la
« Ce manuscrit de Perotti, environ dix ans après la découverte que le
savant
hollandais en avait faite, avait été transporté d
ndrès, ignorant à quelle besogne se livrait Cassitto, avait engagé un
savant
récemment attaché à la bibliothèque, Cataldi Jann
Perotti, dit-il, était entièrement achevé, et non seulement plusieurs
savants
avaient lu la copie des fables nouvellement décou
aient précédées d’une dissertation sur la vie de Phèdre, dissertation
savante
et consciencieuse, qui sur les 296 pages du volum
l ne faut pas oublier qu’il avait été blessé dans son amour-propre de
savant
, et l’amour-propre blessé ne pardonne pas. Il pub
tenaient ainsi l’un contre l’autre une polémique si acrimonieuse, les
savants
de la France et de l’Allemagne se livraient à des
et de l’Allemagne se livraient à des discussions plus pacifiques. Le
savant
Heyne, à qui Cassitto avait envoyé un exemplaire
ypographiques du Vatican et qui fut publié à Rome en 1831, le célèbre
savant
inséra l’épître à Veltrius, la dédicace au neveu
artie de leur intérêt ; mais il n’en a pas moins droit à l’estime des
savants
; car elle a démontré, à son grand honneur, l’exa
vent-ils davantage perdre le jugement et se tourmenter à plaisir, les
savants
qui pensent que le fabuliste Phèdre, édité par le
l me semble qu’il faut être bien prévenu contre un homme qui a été un
savant
philologue, pour lui maintenir l’épithète dont sa
tte explication, que je pourrais appeler géographique, avait paru aux
savants
et notamment à Lipse208, parfaitement satisfaisan
ude sur le véritable personnage que ce dernier avait eu en vue, et le
savant
Christ, pour qui l’observation de Gronovius n’ava
se fit pas attendre. Elle fut faite dès l’année suivante par un autre
savant
allemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous l
Christ avait eu trop de retentissement, pour ne pas allumer entre les
savants
une guerre générale : ranimée en Allemagne, la di
vre, établit bien qu’il est un écrivain romain227. » Vint ensuite le
savant
Eschenburg, qui, dans son Manuel de littérature c
ha, partageait le même sentiment et le motivait dans une dissertation
savante
, intitulée Lateinische Fabulisten, dans laquelle
ors il suppose que Martial veut parler de ces dissertations à la fois
savantes
et railleuses, par lesquelles le disciple d’Épicu
is il s’appuie surtout sur l’âge des manuscrits. Sans doute aucun des
savants
qui les avaient vus et qui en avaient attesté l’a
Il raconte lui-même quelles démarches il fit faire dans ce but par un
savant
antiquaire français, Ch. Millin, qui, si le manus
re, elle atténua les doutes, mais ne les dissipa pas entièrement. Les
savants
allemands surtout semblèrent systématiquement déc
donna à la discussion une vivacité nouvelle plus tard attestée par le
savant
Daunou236. « À l’égard de Phèdre, écrivait Eichs
e Schwabe, malgré toute sa persévérance, n’avait pu leur procurer. Le
savant
Daunou, dans l’article qu’il a consacré à cette é
le qu’il a consacré à cette édition et qui a paru dans le Journal des
savants
au mois de décembre 1830, lui a rendu sur tous ce
oique sa dissertation sur Phèdre n’ait pas réussi à émouvoir le monde
savant
, je vais la faire connaître. C’est dans son Histo
é, rédigé, pour en démontrer l’authenticité, trois dissertations fort
savantes
et malheureusement peu connues. Je ne m’occuperai
el, mais sur l’appréciation d’autrui qu’il se fonde. Mais d’abord, le
savant
allemand reconnaît que l’auteur est un ancien, un
une si profonde influence ; il faut croire que c’est sa réputation de
savant
consciencieux qui les a troublés. Il me semble év
gne la chose avait été différente, et l’on comprend sans peine qu’aux
savants
de ce pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité
ent dû inspirer moins de confiance encore. Aussi voit-on, en 1832, le
savant
Jacobs les attribuer à quelque versificateur mode
eunesse. Il faut admettre qu’il en a été de Perotti comme de tous les
savants
, qu’il n’a été que fort tard initié aux rythmes c
it acheter en Angleterre et transporter à Leyde la bibliothèque de ce
savant
, dont ce manuscrit faisait partie et dans laquell
ollande, j’appris par M. du Rieu que le manuscrit était absent, qu’un
savant
français était venu le voir, qu’à la suite de son
ir du temps de Charles Martel, fournit de précieux renseignements. Le
savant
P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la Nouvelle
evue les livres de la bibliothèque de l’Université de cette ville, le
savant
Jacob Gronovius, au commencement du siècle dernie
forment un recueil différent de ceux déjà connus295. De la part d’un
savant
qui avait presque sous la main le manuscrit de Wi
prævalet sapientia. Tout cela était fort bien pensé et surtout fort
savant
; mais ce n’était pas ce qui m’importait. En suiv
issertation latine publiée en Allemagne, sous forme de lettre, par le
savant
Tross. Je me mis en quête de l’opuscule de Tross.
alogue soigneusement dressé, il n’avait pu le découvrir. Telle est la
savante
lettre latine que Tross écrivit de Hamm à M. Fleu
tions dans ses notes sur Phèdre publiées après sa mort en 1698 par le
savant
Pierre Burmann. D’autre part il est probable que
les. Néanmoins, comme elles ont été imaginées par des hommes vraiment
savants
, j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu
le second terme, Nilant le formulait, il mettait instinctivement les
savants
sur la voie de la vraie solution. Mais personne n
la nationalité de Romulus, sa dédicace à son fils avait été pour les
savants
le principal élément de discussion. Dans la vieil
fallait raisonnablement s’arrêter317. Bref, toutes les recherches des
savants
n’avaient servi qu’à accréditer cette idée qu’il
dans le Musée Britannique, le manuscrit Burnéien avait appartenu à un
savant
qui avait su se constituer une des plus remarquab
de Gude n’a pas subi le même sort. Gude, on le sait, fut un des plus
savants
antiquaires de l’Allemagne. En 1659, chargé de l’
ien signalés, mais qui ne prit copie que des fables. La compétence du
savant
à qui cette copie est due lui donne une valeur pr
un très petit nombre de variantes qui peuvent être mises au compte du
savant
copiste. Si cette copie n’a pas d’importance pour
composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier de la main du
savant
Florentin. Les fables de Romulus occupent les feu
dans le Catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford publié par le
savant
et vénérable Coxe327. Si M. Oesterley avait pris
percevoir. Dans un second voyage, j’ai, par l’entremise obligeante du
savant
Neu-Bauer, bibliothécaire à la Bodléienne, obtenu
de ses Fabulæ antiquæ, avait bien appelé sur lui l’attention du monde
savant
; Christ enfin et Funck, dans leurs jeux d’esprit
’analyse. 8º Édition de Lemaire de 1826. M. Gail, chargé par le
savant
Lemaire de faire figurer les fables de Phèdre dan
finissent les fables d’Ésope mises récemment du grec en latin par le
savant
maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises
ci : « Fin des fables d’Esope mises récemment du grec en latin par le
savant
maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises
empereur n’est pas indiqué, en revanche aucun doute n’apparaît sur le
savant
à qui il a recouru : c’est maître Romulus. Il est
s, bien longtemps après, l’empereur Tibère priant dans le même but un
savant
nommé Romulus d’écrire pour lui des fables latine
n savant nommé Romulus d’écrire pour lui des fables latines, enfin ce
savant
traduisant en latin les fables grecques d’Ésope.
ecit inde quemdam librum latinis uersibus. » D’après ce texte, Salon,
savant
chercheur, aurait été à Athènes, y aurait trouvé
primerie, exploitée, avant d’être à lui, par Angelo Ugoleto, frère du
savant
Thadée Ugoleto qui, dans une lettre latine adress
scrits latins de la Bibliothèque nationale. Schwabe, sur la foi du
savant
Labbé, a cru qu’il n’existait à la Bibliothèque n
, le duc de Bavière Maximilien en fit présent au pape Grégoire XV. Le
savant
Léo Allatius se rendit à Heidelberg en qualité de
xtrait de la lettre latine adressée, à l’appui de cette thèse, par le
savant
Thadée Ugoleto au prêtre Parmesan Pérégrin Posthu
e termine à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de longues et
savantes
observations intitulées Anmerkungen, pages 158 à
par l’abbé Domenico-Maria Manni, qui a fait précéder les fables d’une
savante
préface. Par suite de la division en deux de la f
Verona tip. Bibante, 1856. Édition en 1 volume in-8º préparée par le
savant
P. Sorio, qui s’est servi du manuscrit Mocenigo,
est rempli par une gravure sur bois représentant six personnages, un
savant
qui professe assis sur un siège élevé, un scribe
inférieur et quatre auditeurs placés à droite et à gauche. Le nom du
savant
est révélé par le mot Esopus inscrit au-dessus de
fut chargé d’aller à Londres les examiner et en négocier l’achat. Le
savant
administrateur général de la Bibliothèque nationa
moins ancien des Fabulæ antiquæ, et, ce qui est peu flatteur pour le
savant
critique, il ajoute que Nilant ne s’est pas aperç
ente qu’il y avait inscrite. Il paraît qu’après la mort du fils de ce
savant
antiquaire Isaac Vossius ne s’était pas contenté
é comte de Salisbury ou de Romare par Richard Cœur-de-Lion517. » Les
savantes
observations de l’abbé de la Rue n’ont pas décour
on comprend que, contrairement à l’affirmation de M. de Roquefort, le
savant
Fauchet, qui a été propriétaire du manuscrit et q
Robert n’a pu dès lors être qu’un abrégé. Si je suis d’accord avec le
savant
membre de l’Institut pour voir dans ce dernier te
ire. 2º Manuscrit 347 B. Le manuscrit 347 B, qui a appartenu au
savant
Baluze, bibliothécaire de Colbert, est, comme le
ique. Par son compte-rendu de ma première édition dans le Journal des
savants
, M. Gaston Paris m’a appris que je m’étais trompé
Voyez p. 310 à 314.) 114. Tome II, p. 92, note 2. 115. Journal des
savants
. 1884. Page 673, note 1. 116. Phædri Augusti Li
our titre : Guidonis Augensis libri de musica ; ce qui a déterminé le
savant
bibliothécaire à lui donner le titre de Augens da
ular. Phædri et Aviani. Gottingæ, 1807, in-8º maj. 236. Journal des
Savants
, Déc. 1830, in-4º. (Voyez p. 749 et suivantes.)
re édition, tome II, page 247. 316. Voyez, dans le nº du Journal des
savants
de décembre 1884, la note 2 de la page 678. 317.
Les Fabulistes latins, 1re édition, t. I, p. 661. 397. Journal des
Savants
, janvier 1885, p. 47. 398. Voyez page 461 et s.
s Petri Vander Aa,… MDCCXVI. (Voy. p. 388, nº 46.) 498. Journal des
savants
. Janvier 1885, page 43. 499. Voyez son article s
506. Bibl. du British Museum, ms. Harléien 978. 507. Journal des
savants
. Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des savants.
. 507. Journal des savants. Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des
savants
. Janvier 1885, p. 41, note 2. 509. Journal des
Journal des savants. Janvier 1885, p. 41, note 2. 509. Journal des
savants
. — Janvier 1885, p. 44. 510. Poésies de Marie d
2 vol. in-8º. (Voyez tome II, p. 547 à 562.) 533. Voyez Journal des
savants
, janvier 1885, p. 41 et 42. 534. Voyez, dans l’é
t le xvie siècle et qui est assez difficile à justifier, comme notre
savant
confrère Paulin Paris le faisait remarquer en 183
seriau…, 1820. 2 vol. in-8º (Voyez t. II, p. 401). 541. Journal des
savants
, janvier 1885, p. 43. 542. Dass in dieser latei