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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ngleterre, en Allemagne et en Italie, mon livre a été, dans la presse savante , l’objet des appréciations les plus flatteuses. P
fut celle que M. Gaston Paris publia dans les numéros du Journal des Savants des mois de décembre 1884 et de janvier 1885. Dan
Un tel langage était bien encourageant, et il est probable que si le savant membre de l’Institut l’avait tenu au moment même
les sujets de ses fables, et par suite j’ai fini par penser, comme le savant critique, que je devais le distraire des dérivés
ne est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος. Partant de là, le savant Gude fait observer que les noms grecs, qui ont la
utant que lui voisins de la Grèce. Je pourrais maintenant analyser la savante dissertation, par laquelle Jannelli, dans son édi
s, et, couronnant dignement son œuvre, lui donna la liberté. Certains savants ont voulu attribuer son affranchissement à Tibère
In calamitate. L’erreur du traducteur français n’avait pas échappé au savant Pierre Burmann, qui, par une note insérée dans sa
, la vérité ; c’est faute de l’avoir ainsi envisagée, que beaucoup de savants ont renvoyé à une époque postérieure leur publica
ectes, les grands jurisconsultes, les grands littérateurs, les grands savants , rien n’a manqué à cette brillante période du pro
ion diplomatique de M. Berger de Xivrey73, publié dans le Journal des savants en décembre 183074, dit que cet éditeur ne paraît
gue française dont il est pourvu, est plus précieux que le second. Un savant troyen, très initié à tout ce qui touche l’histoi
ême. Quant à l’exemplaire de Berne, il a appartenu à Jacques Bongars, savant bibliophile, qui, pendant de longues années, fut
ent essayé de résoudre. Adry en a cherché sans succès la solution. Ce savant a imaginé une explication fantaisiste, qui lui a
Le Peletier. Envoyant apparaître la publication de Pierre Pithou, les savants éprouvèrent un premier sentiment de méfiance. L’a
et de leurs études. En 1599, Nicolas Rigault, jeune encore, mais déjà savant , songea à refaire le travail un peu précipité de
en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou. Mais, après ces deux savants , aucun de tous ceux qui écrivirent sur Phèdre, ne
u Père Desbillons : « MM. Le Pelletier (sic) ont hérité en partie des savants Pithou, dont ils étaient les parents par une Lesc
L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas connaître l’opinion du savant attendu. M. Berger de Xivrey, rendu plus tenace p
y, sachant combien cette partie du manuscrit avait donné de peine aux savants , l’avait évidemment choisie dans la pensée de fou
s. La même année, au mois de décembre, M. Daunou, dans le Journal des savants , faisait paraître sur cette publication une notic
ne aussi brillante facilité explique les immenses travaux de quelques savants de cette époque. Elle démontre aussi la fausseté
ces lacunes par des lignes ponctuées.” « Pithou, ainsi que les autres savants de son temps, ne mettait pas à la fidèle transcri
véler. Car, ainsi qu’on le verra, si M. Berger de Xivrey a fourni aux savants des éléments certains, qui doivent leur servir à
sté la propriété particulière d’une famille, était peu accessible aux savants . Il était donc naturel qu’ils se servissent de pr
, sur le manuscrit même, une étude approfondie de Phèdre. En 1769, un savant , attaché aux manuscrits de la bibliothèque du roi
 de Foncemagne n’avait voulu que satisfaire un sentiment de curiosité savante , et, comme l’abbé Pluche, il n’avait nullement so
bien relevées ; mais, malgré son exactitude scrupuleuse, ainsi que le savant Orelli l’a fait remarquer, il avait omis d’en sig
ithou qui n’était accessible à personne, mais celui de Reims que tout savant pouvait étudier dans l’abbaye de Saint-Remi. Les
ieux l’accès du manuscrit de Reims, et par suite il a dû moins que le savant allemand être exposé à se tromper. Ce n’est pas à
tendait qu’il était passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les mains du savant qui l’avait publié. Confondant de même les deux m
ait pas manqué de consacrer une ligne entière à chacun des ïambes. Le savant philologue Orelli reconnaît que les deux manuscri
r leurs âges respectifs. Cependant sur ce point les appréciations des savants ne sont pas en parfaite harmonie. Dans sa lettre
ement, sinon que “ce fut celle-là même qui fut publiée en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l’accompagna de ses not
Rome. Après la mort de Pierre Daniel, il fut, en 1603, acheté par le savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savan
603, acheté par le savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savant soit encore connu des bibliophiles, l’oubli injus
it pas qu’il confond ainsi le père avec le fils. En effet, l’illustre savant n’existait déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son
scrit de Daniel avaient jeté une certaine confusion dans l’esprit des savants , et que longtemps ils ne surent pas exactement s’
là ce que n’avaient pu m’apprendre ni Schwabe, ni Adry, ni les autres savants dont je consultai les travaux. Le Père Desbillons
portés à Paris. » J’avoue que j’avais peine à comprendre comment des savants sérieux avaient pu se résoudre à rester dans une
s vacances ; elle était fermée. J’appris que le conservateur était un savant bénédictin français, le cardinal Pitra. J’allai l
’abbaye de Bobio. M. Fleutelot n’a pas hésité à accepter l’opinion du savant cardinal130, et moi-même, dans la première éditio
J’ignorais que, dans sa Biographie universelle des musiciens 131, le savant Fétis avait examiné à fond la question et irrévoc
au lieu de recourir aux sources, on s’en rapporte aux assertions des savants même les plus justement estimés, et même, lorsqu’
ndant un demi-siècle, le manuscrit avait pu être à la disposition des savants français. Mais, sauf Rigault, nul ne s’en était s
variantes qui lui paraissaient les plus importantes. Quant aux autres savants , qui, après lui, voulurent en parler, ils ne prir
vement. » Adry avait remarqué que jusqu’à la xxie  fable les éditions savantes révélaient des variantes tirées du manuscrit de D
ces lignes, on croirait que le manuscrit n’existait plus. Comme aucun savant ne l’avait vu depuis cent cinquante ans, M. Berge
iquée encore. Ainsi l’illustre Daunou, en donnant dans le Journal des Savants 140 son appréciation sur la publication du manusc
-à-dire pendant un demi-siècle, il avait pu être à la disposition des savants français ; mais, sauf Rigault, nul ne s’en était
ait en somme à Grævius. Il faut avouer que de la part de cet illustre savant elle était au moins étrange. Il n’avait pas commi
thèque du duc de Parme. À cette époque, un jeune Hollandais, riche et savant , parcourait l’Europe. Il se nommait Jacques-Phili
t rencontré à Vienne Apostolo Zeno, et la lui avait révélée. Aussi ce savant s’était-il hâté de combler la lacune qu’il avait
tenant le manuscrit169. Aucun renseignement exact ne mettait donc les savants sur sa trace. Cependant, puisque la copie en étai
sque la copie en était perdue, il était important de le retrouver. Le savant abbé Andrès, auteur de l’Histoire générale de la
« Ce manuscrit de Perotti, environ dix ans après la découverte que le savant hollandais en avait faite, avait été transporté d
ndrès, ignorant à quelle besogne se livrait Cassitto, avait engagé un savant récemment attaché à la bibliothèque, Cataldi Jann
Perotti, dit-il, était entièrement achevé, et non seulement plusieurs savants avaient lu la copie des fables nouvellement décou
aient précédées d’une dissertation sur la vie de Phèdre, dissertation savante et consciencieuse, qui sur les 296 pages du volum
l ne faut pas oublier qu’il avait été blessé dans son amour-propre de savant , et l’amour-propre blessé ne pardonne pas. Il pub
tenaient ainsi l’un contre l’autre une polémique si acrimonieuse, les savants de la France et de l’Allemagne se livraient à des
et de l’Allemagne se livraient à des discussions plus pacifiques. Le savant Heyne, à qui Cassitto avait envoyé un exemplaire
ypographiques du Vatican et qui fut publié à Rome en 1831, le célèbre savant inséra l’épître à Veltrius, la dédicace au neveu
artie de leur intérêt ; mais il n’en a pas moins droit à l’estime des savants  ; car elle a démontré, à son grand honneur, l’exa
vent-ils davantage perdre le jugement et se tourmenter à plaisir, les savants qui pensent que le fabuliste Phèdre, édité par le
l me semble qu’il faut être bien prévenu contre un homme qui a été un savant philologue, pour lui maintenir l’épithète dont sa
tte explication, que je pourrais appeler géographique, avait paru aux savants et notamment à Lipse208, parfaitement satisfaisan
ude sur le véritable personnage que ce dernier avait eu en vue, et le savant Christ, pour qui l’observation de Gronovius n’ava
se fit pas attendre. Elle fut faite dès l’année suivante par un autre savant allemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous l
Christ avait eu trop de retentissement, pour ne pas allumer entre les savants une guerre générale : ranimée en Allemagne, la di
vre, établit bien qu’il est un écrivain romain227. » Vint ensuite le savant Eschenburg, qui, dans son Manuel de littérature c
ha, partageait le même sentiment et le motivait dans une dissertation savante , intitulée Lateinische Fabulisten, dans laquelle
ors il suppose que Martial veut parler de ces dissertations à la fois savantes et railleuses, par lesquelles le disciple d’Épicu
is il s’appuie surtout sur l’âge des manuscrits. Sans doute aucun des savants qui les avaient vus et qui en avaient attesté l’a
Il raconte lui-même quelles démarches il fit faire dans ce but par un savant antiquaire français, Ch. Millin, qui, si le manus
re, elle atténua les doutes, mais ne les dissipa pas entièrement. Les savants allemands surtout semblèrent systématiquement déc
donna à la discussion une vivacité nouvelle plus tard attestée par le savant Daunou236. « À l’égard de Phèdre, écrivait Eichs
e Schwabe, malgré toute sa persévérance, n’avait pu leur procurer. Le savant Daunou, dans l’article qu’il a consacré à cette é
le qu’il a consacré à cette édition et qui a paru dans le Journal des savants au mois de décembre 1830, lui a rendu sur tous ce
oique sa dissertation sur Phèdre n’ait pas réussi à émouvoir le monde savant , je vais la faire connaître. C’est dans son Histo
é, rédigé, pour en démontrer l’authenticité, trois dissertations fort savantes et malheureusement peu connues. Je ne m’occuperai
el, mais sur l’appréciation d’autrui qu’il se fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’auteur est un ancien, un
une si profonde influence ; il faut croire que c’est sa réputation de savant consciencieux qui les a troublés. Il me semble év
gne la chose avait été différente, et l’on comprend sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité
ent dû inspirer moins de confiance encore. Aussi voit-on, en 1832, le savant Jacobs les attribuer à quelque versificateur mode
eunesse. Il faut admettre qu’il en a été de Perotti comme de tous les savants , qu’il n’a été que fort tard initié aux rythmes c
it acheter en Angleterre et transporter à Leyde la bibliothèque de ce savant , dont ce manuscrit faisait partie et dans laquell
ollande, j’appris par M. du Rieu que le manuscrit était absent, qu’un savant français était venu le voir, qu’à la suite de son
ir du temps de Charles Martel, fournit de précieux renseignements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la Nouvelle
evue les livres de la bibliothèque de l’Université de cette ville, le savant Jacob Gronovius, au commencement du siècle dernie
forment un recueil différent de ceux déjà connus295. De la part d’un savant qui avait presque sous la main le manuscrit de Wi
prævalet sapientia. Tout cela était fort bien pensé et surtout fort savant  ; mais ce n’était pas ce qui m’importait. En suiv
issertation latine publiée en Allemagne, sous forme de lettre, par le savant Tross. Je me mis en quête de l’opuscule de Tross.
alogue soigneusement dressé, il n’avait pu le découvrir. Telle est la savante lettre latine que Tross écrivit de Hamm à M. Fleu
tions dans ses notes sur Phèdre publiées après sa mort en 1698 par le savant Pierre Burmann. D’autre part il est probable que
les. Néanmoins, comme elles ont été imaginées par des hommes vraiment savants , j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu
le second terme, Nilant le formulait, il mettait instinctivement les savants sur la voie de la vraie solution. Mais personne n
la nationalité de Romulus, sa dédicace à son fils avait été pour les savants le principal élément de discussion. Dans la vieil
fallait raisonnablement s’arrêter317. Bref, toutes les recherches des savants n’avaient servi qu’à accréditer cette idée qu’il
dans le Musée Britannique, le manuscrit Burnéien avait appartenu à un savant qui avait su se constituer une des plus remarquab
de Gude n’a pas subi le même sort. Gude, on le sait, fut un des plus savants antiquaires de l’Allemagne. En 1659, chargé de l’
ien signalés, mais qui ne prit copie que des fables. La compétence du savant à qui cette copie est due lui donne une valeur pr
un très petit nombre de variantes qui peuvent être mises au compte du savant copiste. Si cette copie n’a pas d’importance pour
composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier de la main du savant Florentin. Les fables de Romulus occupent les feu
dans le Catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford publié par le savant et vénérable Coxe327. Si M. Oesterley avait pris
percevoir. Dans un second voyage, j’ai, par l’entremise obligeante du savant Neu-Bauer, bibliothécaire à la Bodléienne, obtenu
de ses Fabulæ antiquæ, avait bien appelé sur lui l’attention du monde savant  ; Christ enfin et Funck, dans leurs jeux d’esprit
’analyse. 8º Édition de Lemaire de 1826. M. Gail, chargé par le savant Lemaire de faire figurer les fables de Phèdre dan
finissent les fables d’Ésope mises récemment du grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises
ci : « Fin des fables d’Esope mises récemment du grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises
empereur n’est pas indiqué, en revanche aucun doute n’apparaît sur le savant à qui il a recouru : c’est maître Romulus. Il est
s, bien longtemps après, l’empereur Tibère priant dans le même but un savant nommé Romulus d’écrire pour lui des fables latine
n savant nommé Romulus d’écrire pour lui des fables latines, enfin ce savant traduisant en latin les fables grecques d’Ésope.
ecit inde quemdam librum latinis uersibus. » D’après ce texte, Salon, savant chercheur, aurait été à Athènes, y aurait trouvé
primerie, exploitée, avant d’être à lui, par Angelo Ugoleto, frère du savant Thadée Ugoleto qui, dans une lettre latine adress
scrits latins de la Bibliothèque nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a cru qu’il n’existait à la Bibliothèque n
, le duc de Bavière Maximilien en fit présent au pape Grégoire XV. Le savant Léo Allatius se rendit à Heidelberg en qualité de
xtrait de la lettre latine adressée, à l’appui de cette thèse, par le savant Thadée Ugoleto au prêtre Parmesan Pérégrin Posthu
e termine à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de longues et savantes observations intitulées Anmerkungen, pages 158 à 
par l’abbé Domenico-Maria Manni, qui a fait précéder les fables d’une savante préface. Par suite de la division en deux de la f
Verona tip. Bibante, 1856. Édition en 1 volume in-8º préparée par le savant P. Sorio, qui s’est servi du manuscrit Mocenigo,
est rempli par une gravure sur bois représentant six personnages, un savant qui professe assis sur un siège élevé, un scribe
inférieur et quatre auditeurs placés à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé par le mot Esopus inscrit au-dessus de
fut chargé d’aller à Londres les examiner et en négocier l’achat. Le savant administrateur général de la Bibliothèque nationa
moins ancien des Fabulæ antiquæ, et, ce qui est peu flatteur pour le savant critique, il ajoute que Nilant ne s’est pas aperç
ente qu’il y avait inscrite. Il paraît qu’après la mort du fils de ce savant antiquaire Isaac Vossius ne s’était pas contenté
é comte de Salisbury ou de Romare par Richard Cœur-de-Lion517. » Les savantes observations de l’abbé de la Rue n’ont pas décour
on comprend que, contrairement à l’affirmation de M. de Roquefort, le savant Fauchet, qui a été propriétaire du manuscrit et q
Robert n’a pu dès lors être qu’un abrégé. Si je suis d’accord avec le savant membre de l’Institut pour voir dans ce dernier te
ire. 2º Manuscrit 347 B. Le manuscrit 347 B, qui a appartenu au savant Baluze, bibliothécaire de Colbert, est, comme le
ique. Par son compte-rendu de ma première édition dans le Journal des savants , M. Gaston Paris m’a appris que je m’étais trompé
Voyez p. 310 à 314.) 114. Tome II, p. 92, note 2. 115. Journal des savants . 1884. Page 673, note 1. 116. Phædri Augusti Li
our titre : Guidonis Augensis libri de musica ; ce qui a déterminé le savant bibliothécaire à lui donner le titre de Augens da
ular. Phædri et Aviani. Gottingæ, 1807, in-8º maj. 236. Journal des Savants , Déc. 1830, in-4º. (Voyez p. 749 et suivantes.)
re édition, tome II, page 247. 316. Voyez, dans le nº du Journal des savants de décembre 1884, la note 2 de la page 678. 317.
Les Fabulistes latins, 1re édition, t. I, p. 661. 397. Journal des Savants , janvier 1885, p. 47. 398. Voyez page 461 et s.
s Petri Vander Aa,… MDCCXVI. (Voy. p. 388, nº 46.) 498. Journal des savants . Janvier 1885, page 43. 499. Voyez son article s
506. Bibl. du British Museum, ms. Harléien 978. 507. Journal des savants . Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des savants.
. 507. Journal des savants. Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des savants . Janvier 1885, p. 41, note 2. 509. Journal des
Journal des savants. Janvier 1885, p. 41, note 2. 509. Journal des savants . — Janvier 1885, p. 44. 510. Poésies de Marie d
2 vol. in-8º. (Voyez tome II, p. 547 à 562.) 533. Voyez Journal des savants , janvier 1885, p. 41 et 42. 534. Voyez, dans l’é
t le xvie  siècle et qui est assez difficile à justifier, comme notre savant confrère Paulin Paris le faisait remarquer en 183
seriau…, 1820. 2 vol. in-8º (Voyez t. II, p. 401). 541. Journal des savants , janvier 1885, p. 43. 542. Dass in dieser latei
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