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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ait plus de meurtrisseure en ma playe, si est-ce que le souvenir m’en reste encore. Discours sur la vingt-huictiesme Fable.
loir plus entrer en grace avec luy, et qu’il se treuve encore quelque reste d’animosité dans cette retenuë ; Je luy respondra
u’il est, c’est à dire, de qui nous ne devons plus estre en doute. Au reste , ce n’est pas une vengeance de ne l’aymer plus, p
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 124 » pp. 312-312
s’envolèrent chez les dieux. Cette fable montre que l’espérance seule reste avec les hommes, qui leur promet les biens enfuis
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 324 » p. 369
cueille pas, je me flétris ; mais toi, tu es toujours en fleur et tu restes toujours aussi jeune. » Il vaut mieux durer en se
4 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [28.]. DEI LUPI E ’L CORVO. » p. 
NdE] Ce « nel », qui n’est pas corrigé dans les éditions successives, reste difficile à expliquer : peut-être faudrait-il le
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
alendes, Et leur fait arpenter les Landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour écouter D’où v
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
se peuvent plaindre, de quelque façon que nous en usions. De dire au reste que ce soit nous faire tort à nous-mesmes, cela n
ideration nous doit estre un peu de bien au pris de nostre repos ? Il reste maintenant à faire-voir, que ce n’est pas une inj
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
isé, il lui retira une autre partie de sa charge, et enfin prenant le reste , il l’ôta à l’âne et le fit passer sur le mulet.
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
t l’esprit de dispute et de querelle ; si on le laisse tranquille, il reste tel qu’il était d’abord ; si on le combat, voilà
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
, tandis que je m’en retourneray à la Cuisine, pour y donner ordre au reste  ». « Va t’en où tu voudras », luy respondit-elle,
10 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — [M. Grunii Corococtæ porcelli testamentum] »
uem mecum atuleram de Tebeste usque ad Terrestre liget sibi collum de reste . Et uolo mihi fieri monumentum ex litteris aureis
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
anda la cause. Quand il sut ce qui était arrivé : « Eh bien ! dit-il, reste ici jusqu’à ce que tu redeviennes tel que tu étai
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
beaucoup d’amour, sans faire beaucoup d’excez, ny sans joüer de leur reste en des actions pleines d’effort, y employant ce p
ns pleines d’effort, y employant ce peu de vigueur naturelle qui leur reste . Or est-il que tels efforts leur sont des pertes
la jouyssance, et ne s’enflamme que par la beauté. Toute l’excuse qui reste doncques à telles gents, s’ils veulent parler ver
âge, il me suffira d’en avoir dit mon advis, laissant à part quant au reste , l’inégalité des conditions, et toutes les autres
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 248 » pp. 66-66
rez pas aux dieux. » Cette fable montre que l’impiété du faux serment reste la même, quelque habileté qu’on mette à la sophis
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
tiers, et dit fort franchement
 Que Castor et Pollux acquitassent le reste .
 Faites-vous contenter par ce couple celeste.
 J
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 222 » pp. 155-155
ontre qu’auprès des gens décidés à faire le mal la plus juste défense reste sans effet. Chambry 222.2 Aliter — Λύκος κα
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
preuve, que les petits qui se treuvent coûpables servent d’exemple au reste du peuple, afin de le détourner des meschantes ac
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
uvoit mal, et que c’estoit la cause qu’il se reposoit ; luy disant au reste , qu’il l’obligeroit fort de s’en aller prier les
es laideurs que pourroient avoir les autres pestes mises ensemble. Au reste , ils tiennent que ses entrailles sont à demy rong
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
ller piller les bleds ; ce qu’ils ne voulurent faire, non plus que le reste . Alors l’Arondelle quittant la compagnie de tous
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
i haut prix, qu’il semble que tout le monde leur en doive beaucoup de reste , et qu’ils soient unicques en leur espece. Tels e
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
oy j’ayme beaucoup mieux estre pauvre avec asseurance, qu’en avoir de reste , et vivre dans ce chagrin ». Discours sur la di
n est delivré des contraintes qui gesnent les Courtisans. La santé au reste y est parfaitement conservée, loing des dissoluti
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
’usois-tu de moderation en ta Convoitise ? Asseurément tu en avois de reste naguere, si tu eusses esté sage ; mais maintenant
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
trouvent seulement loüable et beau ce qui est en leur possession ; Le reste , ils le jugent imparfaict, et de tout poinct defe
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
e le donner à Xanthus : « Tiens », luy dit-il, « voila dequoy : il ne reste plus, sinon que tu me tiennes promesse ». « Je ne
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
lement qu’elles ne sont pas sujettes à un trafiq mercenaire, comme le reste , mais elles ont un prix indefiny, et qui n’est me
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
e espece de courage pour l’executer. Quelle est donc la voye qui leur reste pour se venger de leur Ennemy ? C’est asseurément
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
celle de se comporter avecque les grands Seigneurs. Laissons donc le reste à la prudence du Lecteur, et voyons un nouveau su
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
se, et de tourner contre nous-mesmes l’exercice de leurs desseins. Au reste , nous nous pouvons persuader que toutes nos faveu
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
st vray en effet », répondit Esope, « et ils sont si prests, qu’il ne reste plus qu’à leur monstrer le lieu où tu veux qu’on
nabo, « et pour ne t’en point mentir, je me confesse vaincu. Il ne me reste plus qu’à te faire certaines demandes, pour voir
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
ynent de fonds en comble pour se vanger. Eux cependant joüent de leur reste , comme ils se voyent ainsi persecutez ; Et faisan
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
faire la Cour, et se distraire de la Vertu, pour les acquerir ; Qu’au reste , la possession en est necessairement limitée par
sez precieuse pour vous faire élongner du Ciel ? Je voy bien qu’il me reste à destruire le principal de vos charmes, qui est
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
ylone, à condition neantmoins qu’il y retourneroit, et y passeroit le reste de ses jours. Or apres qu’il eust bien voyagé par
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
nnemy, par la seule apprehension qu’il se donne de leurs brocards. Au reste leurs amis mesme vivent avec eux, comme s’ils dev
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
lustost telle que la requierent les diverses inclinations. De dire au reste de poinct en poinct les regles de ceste beauté, c
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ue de soy il n’est ny amy, ny homme de valeur et de fermeté. C’est au reste avec une grande sagesse qu’Esope fait ordonner de
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
ré à gré, et mesme qu’elle les convie à recevoir ses biens-faicts. Au reste , les Sages ne sont pas tous-jours d’humeur d’acqu
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
vous devez tous, ce me semble, vous contenter, et ne toucher plus au reste , vous, dis-je, que le vin a mis en si belle humeu
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
ir la cognoissance des choses, et la veritable force de l’ame ; Qu’au reste , ceste derniere faculté n’alloit pas tousjours co
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
as estre appellé naturel ; ce qui seroit un miracle aussi bien que le reste . Voyez donc, je vous prie, l’extravagante plainte
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
inct de la mediocrité, et par consequent le siege de la Vertu ; Qu’au reste , plus on est ferme, plus on est sage, et que c’es
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
ra-ce point de passer du bien à l’extremité de toute misere ? S’il ne reste aux vieillards pour le soulagement de leurs chagr
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
einte, qui par quelque ressemblance represente la verité. Elle est au reste Raisonnable, Morale, et Meslée, ou Propre, ou tre
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
eoit comme impossible de s’en venger ; s’aidant du commun remede, qui reste seul aux miserables, et à ceux qui ne peuvent fai
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
bon goust, qu’à son ennemie ses pastez et ses vins delicieux ; qu’au reste elle joüyssoit de tous ces biens par un honneste
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
ir esté affranchy par le commandement des Samiens, il ne fist tout le reste de ses jours que voyager dans la Cour des Princes
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
sont vantez de sçavoir tout, et qu’ainsi ils ne m’ont rien laissé de reste  ». Ces subtilitez d’Esope plurent si fort aux Esc
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
elles ne nous estoient transmises de nos Ancestres voluptueux. Il ne reste maintenant qu’à faire voir que les riches sont pl
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
bles pour l’amour d’eux, mais seulement à cause de leur usage ; Qu’au reste ils ne l’ayment, et ne le desirent que pour cela.
48 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
précéder les textes de leur histoire et de leur critique, tout ce qui reste des œuvres des fabulistes latins antérieurs à la
vers s’y déroule. Plaisir sans fatigue, telle est l’impression qui en reste . Lorsque, sorti de l’enfance, l’homme lettré, au
quand on songe que le deuxième livre ne comprend que huit fables, on reste convaincu qu’il ne nous est pas entièrement parve
 Dates de la composition et de la publication des fables de Phèdre. —  Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit
lheureusement on est obligé de le croire sur son affirmation ; car il reste si peu de chose, soit de la deuxième partie du li
ues et la morale de chaque fable, et les caractères italiques pour le reste . À la suite de la dernière fable arrivent les var
qu’elle n’aurait pas été épargnée par les obus allemands plus que le reste de la grande bibliothèque strasbourgeoise. La let
ême des lignes. Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de Pithou. À la suite
trois derniers vers d’une autre fable, qui, à en juger par ce qui en reste , devait être fort licencieuse. Puis vient la fabl
mam lineam abscissi sequentis proxime folii vestigia extant.” Il n’en reste plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’explique
compléter. Cela est fort juste ; mais en faut-il conclure que tout le reste du manuscrit appartienne au quatrième livre ? Ici
xemplaire du Querolus. Ces deux morceaux sont aujourd’hui tout ce qui reste de ces deux manuscrits. » Après avoir attribué à
ilia toutes les sympathies du pape Alexandre VII, et où elle passa le reste de son existence peu édifiante à regretter son ab
et c’est ce qu’ils n’ont pas fait ; car, jetant sur eux comme sur le reste un coup d’œil trop superficiel, ils intitulent la
e Mulier parturiens ad virum : Onus naturæ melius quo deponeret. Le reste remplit la troisième page. Les vers, dont les ma
voir examiné les graves erreurs relatives au nombre des fables, il me reste à relever, au sujet des prétendues variantes tiré
et comme ses talents rendent dans la capitale sa présence utile, il y reste auprès du souverain pontife. Puis, il est success
de lettres ont complètement disparu et que de beaucoup d’autres il ne reste que des fragments ; Qu’il a fallu beaucoup de tem
été traduites par des écoliers, ils auraient traduit son nom comme le reste  ; nous le connaîtrions aujourd’hui sous le nom de
aveu, que quarante-deux, et dans aucune l’ïambe n’est employé. Il ne reste donc plus que Phèdre254. 10º L’assertion d’Avianu
écrivain éminent n’a-t-il pas son cachet et n’est-ce pas par là qu’il reste inimitable257 ? 13º Enfin, relativement aux imper
octava et nona sunt in crines duas et inchoant super auriculam. Le reste est dans le même goût, c’est-à-dire aussi inintel
u Méril aurait pu s’apercevoir qu’elle était aussi fantaisiste que le reste de la dédicace, et, s’il voulait la prendre au sé
de famille saisissant qui trahit une origine commune. La question qui reste à résoudre est celle de savoir si l’une des deux
b 36. 14º Édition de 1838. La dernière édition allemande qui me reste à signaler est celle que j’ai aperçue dans la Bib
the fables of Poge the Florentine. 3º Édition de 1692. Il me reste à faire mention d’une traduction anglaise, qui, é
|| de Vincent mi||roir historial || nouvellement imprime a Paris. Le reste des feuillets préliminaires est occupé par la tab
s il n’en a pas moins conservé souvent les expressions de son modèle. Reste à savoir quel a été son modèle. Si, comme cela es
lieu en l’an 1177. L’auteur et la date étant ainsi déterminés, il ne reste plus, devant la réalité, de place pour les hypoth
stante, un propriétaire postérieur a effacé ce nom, de sorte qu’il ne reste plus que ce qui suit : Quis scripsit scribat, se
in de Walther avait été allongé, et que l’allongement était, comme le reste , traduit dans la fable française. Il n’en est pas
seaux, 4º le commencement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 28 derniers vers, 5º la traduction de la
uuene, 7º le commencement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 24 derniers vers. Il ne faut pas, avec ce
oixante et unième, ordinairement intitulée De Capone et Accipitre. Le reste du feuillet est blanc ; ce qui montre que le scri
mière est datée de 1515. » 8º Manuscrit de Marseille. Il ne me reste plus, pour en finir avec les manuscrits des bibli
cette souscription usuelle : Explicit esopus. deo gracias. Amen. Le reste de la page est blanc. C. Manuscrit 185 Helmst.
vianus. Les unes et les autres sont accompagnées d’un commentaire. Le reste du manuscrit ne se rapportant pas aux fabulistes
anuscrit : Deo laus et eius genitrici. Mli. lzl’aprilibus 1477. Le reste du volume est consacré à l’œuvre de Rimicius. Au
gine, être au nombre de 134 ; mais, le premier ayant disparu, il n’en reste que 133 anciens, augmentés de deux neufs laissés
vous liure. L’écriture de cet épilogue est en aussi bon état que le reste et permet de reconstituer les vers 66, 67, 68 et 
regem eligente, 5º De Ranis regem habere volentibus, fable dont il ne reste que le premier vers, 6º De Rustico et Angue, 7º D
ia, 10º De Capite et Lupo, 11º De Graculo et Pauone, fable dont il ne reste que les sept premiers vers. Les nombreuses varian
s. La dernière se termine au milieu du recto du douzième feuillet. Le reste de la page est rempli par une fable en vers élégi
mprend au total que trente-six. Au-dessous du titre, est, occupant le reste de la page, une gravure sur bois, qui représente
emier feuillet, surmonte une grande gravure sur bois qui en occupe le reste . Cette édition forme un volume in-4º de 70 feuill
cé au haut du recto du premier feuillet est une gravure qui occupe le reste de la page. Cette édition in-12 se termine au ver
fables de Neckam que les six premières et le titre de la septième. Le reste n’a pas été perdu, et l’espace blanc qui suit ce
l., dont les derniers feuillets ont disparu, et auquel pourtant il en reste encore 443 en parchemin, écrits sur deux colonnes
sion dans l’ordre des mots. Elles sont insignifiantes, et, si dans le reste de la fable elles n’étaient pas plus graves, la c
e lui ferai-je pas une seconde fois le même honneur. Maintenant il me reste à examiner de quelle source il émane. J’ai affirm
araison des textes. Section III. Nomenclature des fables. Il me reste maintenant à dresser la liste des fables du Romul
1849, 1852, 1856, 1858 à 1860, 1862, 1863, 1865, 1867, 1872, 1875. Le reste étant disponible fut acquis par le gouvernement i
rtenir au Romulus anglo-latin, ce qui en élève le nombre total à 114. Reste à examiner la question de savoir si le nombre de 
nt 24 vers. Les 13 derniers sont d’une écriture moins ancienne que le reste . Ils occupent la moitié de la première colonne du
ion d’un feuillet. La première fable, qui vient ensuite et dont il ne reste que les dix-sept derniers vers, est celle de l’Er
ons qui l’ont gravement déprécié. Ainsi du titre de la fable xl il ne reste que ces mots : D’un homme qui vit… Une main pud
erçant sur la fable lx, a fait disparaître la fin du titre dont il ne reste que ces mots : De l’ourse cui le verpil… , et la
leu qui aprint a. I. vilain. III. sens , est-elle incomplète, et n’en reste-t -il que les quinze premiers vers. M. de Roquefort
dont, par suite de la disparition des deux premiers feuillets, il ne reste plus que les huit derniers vers. Dépourvues de le
ultum suavis, sed medio modo se habens. non esset multum gravis (le reste a été omis). ergo eum bestiæ ergo bestiæ
cas, de lui assigner une époque moins éloignée que le xiie . Il ne me reste plus qu’à examiner sommairement ce que vaut le Dé
du feuillet 16 a, puis celles du Dérivé hexamétrique qui occupent le reste du volume. Si peu intéressant que soit ce Dérivé,
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
finité de choses que les bestes, et les enfants font avecque nous. Il reste maintenant à parler de celuy qui fist deux parts
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