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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
geable ornement, L’arrestant à chaque moment, Nuit à l’Office que luy rendent Ses pieds, de qui ses jours dépendent. Il se dédi
ile ; Et le beau souvent nous détruit. Ce Cerf blâme ses pieds qui le rendent agile : Il estime un bois qui luy nuit.
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
es les soings trop particuliers que l’on prend à nous deffendre, nous rendent eux-mesmes sans deffense. Ceste diversité d’envel
ttements, et ceste delicatesse de nourriture, n’est-ce pas ce qui les rend maladifs, et qui les tuë quelquefois ? Pourquoy a
peuvent tousjours avoir ? N’est-ce pas multiplier les perils, et les rendre plusieurs fois mortels ? Certes, les femmes de Sc
de serain et de vent ? N’est-ce point leur vouloir du mal que de leur rendre naturelles de si pernicieuses habitudes ; et ne p
ours, dont j’ay si souvent parlé dans cét Ouvrage, que je pourrois me rendre ennuyeux au Lecteur, par la necessité des redites
omplexion fait les hommes genereux, et entreprenants ; que l’exercice rend le sang meilleur, que la sobrieté de l’enfance se
d sont des charges magnifiques. C’est avecque cela qu’il desire de se rendre liberal à ceux qui luy ont esté avares, et à ses
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 18 » p. 301
e maîtresse. Elle faisait de continuels sacrifices à Aphrodite et lui rendait grâces de la rendre belle. Mais Aphrodite apparut
sait de continuels sacrifices à Aphrodite et lui rendait grâces de la rendre belle. Mais Aphrodite apparut en songe à l’esclav
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 218 » p. 153
oups cherchaient à surprendre un troupeau de moutons. Ne pouvant s’en rendre maîtres, à cause des chiens qui les gardaient, il
ce qui allait arriver, livrèrent les chiens, et les loups, s’en étant rendus maîtres, égorgèrent facilement le troupeau qui n’
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
notre vie. Tel est ce chetif animal Qui voulut en grosseur au Bœuf se rendre égal. J’oppose quelquefois, par une double image,
oute baignée. O ma cognée, ô ma pauvre cognée ! S’écrioit-il, Jupiter rend la moy : Je tiendray l’estre encore un coup de to
sée. Et Boquillons de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire rendre . Le Roi des Dieux ne sçait auquel entendre. Son f
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
tesmoins, ils déposerent contre la pauvre Brebis, qui fut condamnée à rendre le pain, que le Loup luy osta en mesme temps, et
ersecuteurs, et qu’ils apostent de faux tesmoins contre nous, afin de rendre nostre calamité plus certaine. Il faut donc estre
comparaison des Demons. Il est en effect tellement hideux, qu’il les rend plus execrables que les mauvais esprits : car enc
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
coururent donc ; les Oiseaux s’y envolerent, et les Poissons mesme se rendirent sur le bord de l’eau, pour estre de la partie. Le
tres, nous prenons insensiblement celle de les priser aussi, affin de rendre nostre passion excusable, ou de les faire devenir
e attache constamment nostre approbation, qu’elle a surprise, et nous rend ingenieux à excuser leurs manquements. Ce vice, q
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIV. L’Asne portant des Reliques. » p. 182
nité si folle : Ce n’est pas vous, c’est l’Idole A qui cet honneur se rend , Et que la gloire en est deuë. D’un Magistrat ign
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
’était assis, et fut bien étonné d’être ainsi payé de retour. Il faut rendre les services qu’on a reçus ; [car le bien que vou
re les services qu’on a reçus ; [car le bien que vous ferez vous sera rendu ]. Chambry 79.2 Aliter — Autre version.
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
emples, n’en pouvant alleguer que de superflus, puis que l’experience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la s
ature. Les laides s’embellissent en leur imagination : les belles s’y rendent divines : un don de Nature qui n’estoit que medio
une belle chose on n’en sçauroit trop avoir, et que la Nature a voulu rendre toutes ses perfections infinies. Si elle a le reg
r il est presque impossible qu’un homme achoppé à ceste passion, s’en rende jamais bien le maistre. Apres une Idole, il en ad
istre. Apres une Idole, il en adore une autre ; apres une fille il se rend esclave d’une femme mariée : puis il vient à cajo
e Flatteurs, et de Complaisants prés d’eux, qu’ils peuvent à peine se rendre capables d’une parfaite Vertu. Mais je passe inse
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XXI. L’Asne vestu de la peau du Lion. » p. 188358
moulin. Force gens font du bruit en France, Par qui cet Apologue est rendu familier. Un équipage cavalier Fait les trois qua
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
y.

 Mecenas fut un galand homme :
 Il a dit quelque part : Qu’on me rende impotent,
 Cu de jatte, gouteux, manchot, pourveu
era voir. Je composay celle-cy pour une raison qui me contraignoit de rendre la chose ainsi generale. Mais quelqu’un me fit co
13 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [65.]. DEL LEONE, ET DELLA VOLPE. » p. 10
ende Che l’uso lungo, e ’l pratticar frequente Ogni difficultà facile rende  ; Et fa parer domestiche e sicure Le cose horrend
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
ncipales furent celle-cy. « Mon fils, ayme Dieu sur toutes choses, et rends à ton Roy l’honneur que tu és obligé de luy rendr
r toutes choses, et rends à ton Roy l’honneur que tu és obligé de luy rendre . Montre toy redoutable à tes ennemis, de peur qu’
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 321 » p. 368
ant sur elle : « Cherche un autre nom, dit-elle ; car je t’aurai vite rendue molle. » Souvent les audacieux et les orgueilleux
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — X. Le Chameau, et les Bastons flotans. » p. 195177
iéme osa faire Un licou pour le Dromadaire. L’accoûtumance ainsi nous rend tout familier. Ce qui nous paroissoit terrible et
17 (1180) Fables « Marie de France — Épilogue. Épilogue »
a Deu omnipotent kë a tel ovre puisse entendre quë a lui pusse m’alme rendre .
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
ont les vents qui, tombant sur moi à l’improviste, me soulèvent et me rendent sauvage. » De même nous ne devons pas rendre resp
ste, me soulèvent et me rendent sauvage. » De même nous ne devons pas rendre responsable l’auteur d’une injustice, quand il ag
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
ent.
 Ces deux hommes estoient les gemeaux de l’éloge.
 Tous deux luy rendent grace, et pour prix de ses vers
 Ils l’avertissen

 N’en fait pas moins aux Echansons.
 Ce ne fut pas le pis ; car pour rendre complete
 La vengeance deuë au Poëte,
 Une poutre
20 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [93.]. DE GLI ARBORI, E DEL PRUNO. » p. 262
che son care a gli huomini, e a gli Dei Ho sol la cura, che lieta mi rende  ; Volessi abbandonar le cose mie Per macerarmi e
ché d’honor pieni, Ch’io lasci di Natura un tanto dono, Che felice mi rende in ogni tempo ; Per prender poi così noiosa cura,
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 11 » p. 393
vages pour le blanchir ; mais il ne put modifier sa couleur, et il le rendit malade à force de soins. La fable fait voir que l
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 292 » p. 198
e montre que ceux qui tiennent tête aux premiers qui les attaquent se rendent redoutables aux autres.
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 163 » pp. 101-101
l choisirait le plus beau de tous pour régner sur eux. Les oiseaux se rendirent au bord d’une rivière pour s’y laver. Or le chouc
t le plus beau de tous. Or le jour fixé arriva et tous les oiseaux se rendirent chez Zeus. Le choucas, avec sa parure bigarrée, s
en d’autrui, ils paraissent être des personnages ; mais quand ils ont rendu ce qu’ils doivent, on les retrouve tels qu’ils ét
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
par là des traicts de visage, et des proportions de corps, ce seroit rendre ces termes ridicules, puis que Dieu est incapable
mier est celuy que nous avons desja touché, à sçavoir, que l’une nous rend semblables à Dieu, l’autre nous est commune avecq
dessus tout ce qui est dans le monde : Or que la beauté du corps nous rende semblables aux animaux, cela se découvre assez en
25 (1180) Fables « Marie de France, n° 84. L’homme et les bœufs » p. 657
ne cerveise e le pein que par lur travail ot eü ; mes malement lur ad rendu  ; k’a grant hunte les demena. E li vileins lur de
26 (1180) Fables « Marie de France, n° 49. Le forgeron et la cognée » p. 
memes icele cuinee ad puis l’espine detrenchee ; mal guer[e]don li ad rendu , que de lui ot sun mance eü. Tut autresi est des
27 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [10.]. DELL’ANGUILLA, E ’L SERPENTE. » p. 
senza vendetta.     Così l’huomo, ch’è debole e innocente, Ognuno rende a fargli oltraggio audace : E ’l forte et di mal
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
is s’estant mis les doigts dans la bouche, pour se faire vomir, il ne rendit seulement que l’eau, pource qu’il n’avoit rien ma
ent-ils beu, que l’eau tiede leur provoquant le vomissement, leur fit rendre gorge, et par consequent les figues. Ainsi la cal
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVI. De deux Hommes, et d’un Asne. »
nt en memoire une infinité d’hommes pernicieux, qui font gloire de se rendre de mauvais offices, jusques là mesme, que de la l
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
aut laisser ; Et ne pas ressembler à l’Asne de la Fable, Qui, pour se rendre plus aimable Et plus cher à son Maistre, alla le
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
erçut un Serpent sur la neige étendu, Transi, gelé, perclus, immobile rendu , N’ayant pas à vivre un quart d’heure. Le Village
32 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [28.]. DEI LUPI E ’L CORVO. » p. 
  Di poca fede : e sol l’altrui lavoro Prezzano quanto a loro utile rende . L’huom disleale offende anchor l’amico. 3.
33 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [48.]. DELL’ASINO, CHE PORTAVA IL SIMOLACRO. » p. 182
enza richiede a sua natura. L’honor dato a l’huom sciocco insano il rende .
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
r les foudres de Jupiter, pour s’attribuër des honneurs divins, et se rendre digne de l’immortalité parmy les Mortels. Mais co
eu que les hommes extrémement grands et ambitieux qui ayent voulu se rendre Salmonées, c’est à dire, imitateurs du haut Jupit
quelque imparfait que soit un homme, il n’y a point d’estude où il se rende si sçavant, qu’en la cognoissance de soy-mesme. P
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
ut cela n’empesche pas qu’il n’y ait d’autres raisons qui les peuvent rendre malheureux. Car, ou ils aiment leurs femmes, ou i
point agreable ? Comment seront consolez leurs chagrins ? Comment se rendront ils supportable leur solitude ? N’ont-ils pas ass
si extravagant que de pouvoir estre grand Pere d’une fille, et de luy rendre cependant les soins et les respects que l’amour e
on plus delicate pour prouver la misere des hommes âgez, quand ils se rendent amoureux de telles femmes. Ceux qui se picquent d
; action d’autant plus odieuse, que c’est une chose contre Nature, de rendre infortunez ceux avec qui nous voulons passer le d
es conditions, et toutes les autres differences, qui ont accoûtumé de rendre monstrueuse ceste union. Passons maintenant à la
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — X. Le Loup et l’Agneau. » p. 155
ui cherchoit avanture, 
Et que la faim en ces lieux attiroit.
 Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
 Dit cet anim
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
stre teste grise
 Demeura sans cheveux, et se douta du tour.
 Je vous rends , leur dit-il, mille graces, les Belles,
 Qui m’av
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
. Car durant cet âge debile, les autres bestes luy sçeurent fort bien rendre la pareille. Le Sanglier l’assaillist donc de sa
e plus c’est que les autres à qui j’ay fait du plaisir, au lieu de me rendre le semblable, me hayssent, sans en avoir du sujet
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
t que d’ailleurs ils ne manquent pas d’excellentes conditions pour se rendre signalez. Ce qui ne peut proceder que d’une trop
ent par celle cy, et couvrent leur foiblesse d’une feinte, afin de se rendre de tout poinct considerables. Mais tant s’en faut
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
i merveilleux prodige ; Mais Xanthus aussi empesché qu’eux de leur en rendre raison, leur demanda terme pour y respondre. Il s
plement ces paroles aux habitans : Messieurs, je n’ay jamais appris à rendre raison, ny des Prodiges, ny des Augures ; mais il
ntenant vivans, il y en a un, qui de libres que vous estes, vous veut rendre serfs, et annuller les loix que vous avez de si l
leur dit il, « quand les principaux d’entre vous auront opiné à vous rendre tributaires du Roy de Lydie, vous n’aurez plus be
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 264 » p. 237
Comme il ne faisait rien, l’homme lui passa un licol, l’emmena et le rendit à son propriétaire. Celui-ci lui demandant si l’é
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
nous reposer en ceste haute Bonté, que nous n’ayons soing de nous en rendre dignes : Car c’est en abuser que de faire des fau
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXV. De la Grenoüille, et du Bœuf. »
logie de ceste Fable, c’est l’exemple des gens de peu, qui se veulent rendre égaux en despence et en mine, à ceux de haute con
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
s par un sort déplorable,
 Son Epoux en cherchoit le corps,
 Pour luy rendre en cette avanture
 Les honneurs de la sepulture.

45 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IV. Jupiter et le Métayer. » p. 
ainsi, Un d’eux le plus hardi, mais non pas le plus sage, Promit d’en rendre tant, pourveu que Jupiter Le laissast disposer de
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 162 » p. 123
t en grosseur les autres choucas, prit en mépris ceux de sa tribu, se rendit chez les corbeaux et demanda à partager leur vie.
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
rdien plutôt qu’un ennemi aux aguets ; et comme il avait besoin de se rendre à la ville, il laissa ses moutons près du loup et
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
it autant,
 Il en vint une fourmilliere ;
 Et leur troupe à la fin se rendit familiere
 Jusqu’à sauter sur l’épaule du Roy. 
L
49 (1180) Fables « Marie de France, n° 4. Le chien et la brebis » p. 478
pris ; ore li rendist einz qu’il fust pis. La cheitive ne l’ot* dunt rendre  : dunc li covient sa leine vendre. Yvern esteit,
50 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [43.]. DELLA GALLINA, ET LA RONDINE. » p. 192
i ;     Chi per natura è rio non cangia stile :     E per buon’opra rende pene e guai,     Et è superbo a quel, che gli è
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
Quelques-uns rapporteront le sujet de ceste Fable à la richesse, qui rend chagrins et embroüillez les Esprits de ceux qui l
je ne sçay quelle abstinence des aises du corps. D’ailleurs, ils ont rendu l’accés du Mont Parnasse penible, et fort mal ais
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
s Empires, repousse les forces estrangeres, maintient les intestines, rend les hommes sociables, et perfectionne les Arts ;
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
en la distribution qu’il a faite des biens du monde, il ne nous a pas rendu possesseurs des nostres propres, à condition de l
nion de tout le monde, ce seroit destruire la nature du don que de le rendre forcé ; et par consequent, il est permis d’infere
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 14 » pp. 7-7
en médecin, et, prenant avec elle les instruments de l’art, elle s’y rendit . Arrivée devant la métairie, elle leur demanda co
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 24 » p. 11
le à jouer de la flûte, prenant avec lui ses flûtes et ses filets, se rendit à la mer, et, se postant sur un rocher en saillie
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
honneurs immoderez, de rehausser l’excellence de leur protection, de rendre leur conduitte necessaire à l’appuy des affligez,
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
se met au large ; Puis prend son temps, fond sur le cou Du Lion qu’il rend presque fou. Le quadrupede écume, et son œil étin
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
ais treuver de grace auprés de leurs Maistres, si tant est qu’ils les rendent plustost qu’il ne leur est commandé, c’est à dire
ditions qui se pouvoient faire à un homme de qualité, à sçavoir de le rendre le plus grand de sa Cour, de luy donner à command
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
ccoustumé de briguer sous main l’honneur entier de l’advanture, et de rendre de mauvais offices à leurs Compagnons. Ils font p
rapiece ny ne se rallonge pas, comme les habits desrobez. Il se faut rendre de la mesme stature de celuy à qui l’on veut succ
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
ur de sa naissance, invita les petits oyseaux à un banquet, où ils se rendirent presque tous. Il leur dit d’abord, qu’ils estoien
ns hommes dénaturez, qui sous l’apparence d’une courtoisie empruntée, rendent de pernicieux offices aux Innocents, et font mour
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
ez à certain estat qui déroge à l’égalité naturelle, si est-ce que de rendre la disproportion entre les hommes plus grande qu’
. Ce qui arrive necessairement à ceux qui prennent d’autres devoirs à rendre , que ceux de la Nature et des Loix : Avecque cela
, qu’un homme libre, qui a les choses necessaires, se fait tort de se rendre esclave, pour avoir les superfluës, et concluds a
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
beaucoup déroger à sa Vertu. La mesme consequence que l’on tire pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, quand on parle
en au desadvantage d’un Ennemy, il est presque impossible qu’il ne se rende suspect d’infidelité, à cause de l’interest de sa
s les prennent dans des Livres qui en sont tirez. Tellement qu’ils se rendent suspects de mensonge, à cause que leurs originaux
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — L’ingratitude de Xanthus. Chapitre XIX. »
bien merité d’estre affranchy, pour les fidelles services que je t’ay rendu toute ma vie ». « Quoy ? » respondit Xanthus, en
64 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
Son cœur avec ; n’ayant autre déduit Que d’y ruminer jour et nuit, Et rendre sa chevance à luy-mesme sacrée. Qu’il allast ou q
65 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
N’apperçut ny corps ny ramure, Ny Cerf enfin. L’habitant des forests Rend déja grace aux Bœufs, attend dans cette étable Qu
66 (1180) Fables « Marie de France, n° 16. Le lion et la souris » p. 150
is, ocis sereit a grant dolur. Dit la suriz : « N’eiez poür ! Ore vus rendrai le guerdon que a mei feïstes le pardun, quand od
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
nt », dit-il, « est-ce le remerciment que tu me fais ? Ingrat ! tu me rends donc le mal pour le bien, et veux oster la vie à
té, qui les avoit créez si clairs et si beaux ? N’est-ce pas ce qui a rendu leur faute indigne de pardon ? N’est-ce pas ce qu
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
tune d’estre toy mesme affiné ? Cét animal, qui n’est qu’une Gruë, te rend la pareille de fort bonne grace, et te fait porte
t que d’esplucher leur vie, afin de trouver où mordre à leur tour, et rendre la pareille à l’aggresseur. Aussi voyons-nous d’o
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
t le haut poinct d’honneur à les decider publiquement, de peur de les rendre perpetuelles, et de les faire passer jusqu’aux en
rivoles. Tout cela est passé en mesme Loy de combattre : l’on a voulu rendre toutes ces disputes également mortelles ; Et quic
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
ui permettrez à vos Enfans de prononcer des termes dissolus, et de se rendre méchants plustost qu’ils ne seront hommes ? Est c
exemple ? Si vous estes gents de bien, vous aurez de la facilité à le rendre semblable à vous. Si vous estes Vicieux, et que v
71 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 106 » pp. 75-75
Ma 55 Mb 43 Me 50 Mf 45 Ca 63. Une biche qui avait un œil crevé se rendit sur le rivage de la mer et se mit à y paître, tou
72 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 109 » pp. 88-88
Hermès, voulant savoir en quelle estime il était parmi les hommes, se rendit , sous la figure d’un mortel, dans l’atelier d’un
73 (1180) Fables « Marie de France, n° 68. Le lion et le renard » p. 258
sanc en la pel mis sur vostre piz desque a demain : de vostre mal vus rendra sain. » Le lu pernent, kë ileoc fu ; vif l’escorc
74 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
ustifier : « Et qui, dit-il, parmi tous ceux qui sont ici réunis, t’a rendu un aussi grand service que moi, qui suis allé par
75 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
Globe ont écrit ? Pour nous faire éviter des maux inévitables ? Nous rendre dans les biens de plaisirs incapables ? Et causan
76 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
e importunité bien souvent est punie. Certain ajustement, dites-vous, rend jolie. J’en conviens : il est noir ainsi que vous
77 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 133 » pp. 113-113
uphin aussi fut projeté au même endroit. Le thon se retournant le vit rendre l’âme et dit : « Je ne suis plus chagrin de mouri
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
nts de bien, lors qu’il les approche pour les assister, à cause qu’il rend leur Vertu suspecte, et semble la vouloir faire d
79 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
i les assemble. L’aisné les ayant pris, et fait tous ses efforts, Les rendit en disant : Je le donne aux plus forts. Un second
80 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [25.]. DEL CANE, E ’L GALLO, E LA VOLPE. » p. 252
vita inganno ordisce, Quel, ch’egli ingannar pensa, esso tradisce ; E rende al finto dir finte parole. Chi con fraude camin
81 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [89.]. DEL LEONE INNAMORATO, E DEL CONTADINO. » p. 222
L’huomo, che brama col nimico pace,     Non lasci mai quel, che lo rende audace.
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
hemin à son effect, ainsi il n’y a point d’apparence qu’elle nous ait rendu tres-habiles en un effect, sans nous y convier pa
, en despit mesme de la nature. Mais nul n’a jamais veu qu’on se soit rendu plaisant, sans y avoir une grande disposition nat
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
ne de leur imprudence, quand par ses horribles cruautez il faillist à rendre sa Ville deserte de gents de bien, et la peupla p
é de leur entendement, à l’incontinence et à l’ambition. Que si Esope rend icy les Colombes capables de ces fautes, ce n’est
84 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [91.]. DEL TAGLIALEGNA, E MERCURIO. » p. 173
l gran Re del cielo esalta spesso L’huomo pien di bontade, e ricco il rende  ; E l’huom malvagio impoverisce, e prende Diletto
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
est que la force de leur memoire, joincte aux sens corporels, qui les rend capables de plusieurs choses, semblables aux cons
nt, ny mesme confusément ; Ainsi ceste puissante et universelle Cause rend les Animaux capables de tout ce qu’ils font, non
i l’avoit desjà trompé, porta sa Cruche dans la riviere, avant que la rendre à son Maistre, pour experimenter si l’eau échappo
s ; il praticque des vengeances ; il se plainct des tromperies, et se rend mesme capable de faire certaines choses, qui ne s
ils semblent en quelque façon s’éloigner de la nature brutale, et se rendre compagnons de la nostre, de mesme qu’ils le sont
ntierement dépourveus. Il n’y a nul homme, quel qu’il soit, qui ne se rende tres-suffisant en certaines choses particulieres,
elle et l’esperon ; comment nous leur dressons des pieges, et nous en rendons les Maistres. Ce qui ne seroit point, à la verité
à une heureuse fin : elle qui fait les Loix, et les Legislateurs, qui rend heureux les Amants, et qui favorise les Guerriers
86 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 16 » pp. 279-279
naire lui prescrivit d’infuser le poumon d’une chèvre ; ce remède lui rendrait la santé. En conséquence on immola la chèvre pour
87 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 50 » pp. 36-36
it dans sa main un petit moineau, et, le cachant sous son manteau, se rendit au temple. Là, se plaçant en face de l’oracle, il
88 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
Averti de la perte de son attelage, Tirésias prit avec lui Hermès, se rendit au faubourg pour observer un augure au sujet du v
89 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
squ’à régaler leurs amis, mais pas plus loin, et qui refusent de leur rendre aucun service. Chambry 150.2 Aliter — Autre
90 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 212 » pp. 143-143
. Un lion, qui tramait la mort d’un taureau énorme, projeta de s’en rendre maître par la ruse. Il lui dit qu’il avait sacrif
91 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
age et de la pluie pour arroser les légumes. Peu de temps après il se rendit chez la femme du potier et lui demanda comment el
92 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
oiseaux se moquèrent d’elle, la traitant de radoteuse. Alors elle se rendit chez les hommes et se présenta en suppliante. Ceu
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
re, puis que pour le soulager ils y vont laisser la vie, et qu’ils se rendent eux-mesmes la Medecine de son mal. Il n’y a que l
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
fin que j’en meure plus doucement ». Le Loup se mit incontinent à luy rendre ce bon office ; mais il eust à peine arraché l’es
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
tes, il n’y a point de Vertu dans le monde qui soit si grande, que de rendre le bien pour le mal. Que si on la veut trouver, i
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
le imprimé certains desirs d’imitation du fils envers le Pere, qui le rend docile, et susceptible de tout ce qu’il luy void
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
ladies et des affligez ; et bref, tous ces courages dénaturez, qui se rendent malfaisants à ceux pour qui la fortune n’a point
98 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [87.]. DEL CIGNO, E DELLA CICOGNA. » p. 95
on cui s’unisce con mirabil modo, Quando lascia la terra, e un Dio si rende . Se viver lieto eternamente vuoi     Non temer
99 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 254 » pp. 173-173
ta son aventure. L’un d’eux se mit en tête d’en obtenir autant. Il se rendit au bord de la rivière et lança à dessein sa hache
tant d’effronterie, non seulement garda la hache d’or, mais il ne lui rendit même pas la sienne. Cette fable montre que, autan
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
ny sa belle humeur, ny la raillerie à l’heure de sa mort, quoy qu’il rendit l’esprit sous un Arbre, à faute d’avoir une malhe
les raisons d’une puissante Philosophie, nous voulions nous exercer à rendre nostre pauvreté moins contemptible ; C’est ce que
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