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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 54 » p. 37
Pb 37 Pd 23 Pe 5 Pg 19 Ma 28 Ca 17. Un aveugle avait l’habitude de reconnaître au toucher toute bête qu’on lui mettait entre les
un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se reconnaît souvent à leur extérieur.
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IX. Le Geay paré des plumes du Paon. » p. 101472
s tout fier se panada, Croyant estre un beau personnage. Quelqu’un le reconnut  ; il se vit bafoüé, Berné, sifflé, moqué, joüé ;
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVI. Le Cheval et l’Asne. » p. 181
t une petarrade : Tant qu’il vid sous le faix mourir son camarade, Et reconnut qu’il avoit tort. Du Baudet en cette aventure On
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
ment que je cherche, et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à reconnaître les gens hardis et lâches, j’entends hardis en pa
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIX. L’Oracle et l’Impie. » p. 36
e, Ou de la lâcher aussi-tost, Pour mettre Apollon en défaut. Apollon reconnut ce qu’il avoit en teste. Mort ou vif, luy dit-il,
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 174 » p. 399
ace de l’oie, entonne un chant, prélude de son trépas. Sa voix le fit reconnaître et son chant le sauva de la mort. Cette fable mon
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 275 » p. 190
eur fait risette. » Cette fable fait voir que les gens malfaisants se reconnaissent à leur mine même et à première vue.
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 343 » pp. 223-223
le avait des portées courtes. « Quand tu dis cela, répartit la truie, reconnais que tu n’enfantes que des aveugles. » Cette fable
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 228 » pp. 347-347
qui, en butte à quelque revers, se chamaillent entre eux, peuvent se reconnaître dans cette fable. Chambry 228.2 Aliter — Au
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
utre tête Que celles qu’il voyoit d’ordinaire en ce lieu. Le Cerf est reconnu  ; chacun prend un épieu ; Chacun donne un coup à
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 84 » pp. 61-61
oi, la Fortune, que tu t’en prendras. » Cette fable montre qu’il faut reconnaître qui vous fait du bien et le payer de retour.
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 346 » pp. 415-415
s. » Les gens endormis et paresseux qui vivent du travail d’autrui se reconnaîtront en cette fable.
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
de nous aucun mal, vous nous faites méchamment la guerre ! » Le loup reconnut sa véracité et la laissa partir. Cette fable mont
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 255 » pp. 65-65
er », répondit l’autre. Cette fable montre que les amis véritables se reconnaissent à l’épreuve du malheur. Chambry 255.2 Alite
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 251 » pp. 171-171
a nuit ; enfin la ronce accroche les habits des passants, cherchant à reconnaître son étoffe. Cette fable montre que nous revenons
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
se donna l’alarme à soy-mesme en le salüant. Ce que son Maistre ayant reconnu  ; « D’où vient », luy dit-il, « que tu és si fort
17 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
tical, posé par Gude, peut être parfaitement exact ; il faut pourtant reconnaître qu’ici la dérogation n’est pas douteuse ; dans to
on œuvre, il prend lui-même la qualité d’affranchi d’Auguste, il faut reconnaître que c’est d’Octave qu’il entend parler. Dira-t-on
voir des attaques personnelles dans certaines fables où il pouvait se reconnaître , mais où pourtant il n’avait pas été particulière
t retiré sur un rocher du golfe de Naples, et dans l’hydre il pensait reconnaître Caligula, dont l’empereur se proposait de faire p
i, la première de ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était reconnu . Aussi, la seconde, quoique communiquée confident
 v de l’appendice. Ce défaut complet d’originalité dans la pensée est reconnu par lui-même. Dans le prologue de son premier liv
de Phèdre, l’originalité de la pensée a été presque nulle. Il faut le reconnaître , ce qui fait la principale valeur littéraire de P
point la morgue et qui n’inspire que la sympathie. Il faut d’ailleurs reconnaître que, s’il a eu l’excusable faiblesse d’attacher t
Zurich, il a donnée des anciennes fables de Phèdre. Il faut pourtant reconnaître que la publication du manuscrit de Pithou par M. 
s, des mots entiers et même des lignes. Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de P
nature 102, qu’il se l’était fait adresser. Il lui suffisait d’avoir reconnu que l’écriture était du ixe ou du xe  siècle et
unter à ce manuscrit chacun de ceux qui manquaient. Il faut néanmoins reconnaître que, tout en se servant avec discernement des var
a moindre place au doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut reconnaître qu’il existait entre eux une parenté incontestabl
er une ligne entière à chacun des ïambes. Le savant philologue Orelli reconnaît que les deux manuscrits ont entre eux un air de f
erme, lui assigne le viiie  siècle. Au contraire le Père Brotier crut reconnaître que celui de Pithou était du ixe  siècle, et M. B
bibliothèque, il y a retrouvé lui-même le précieux manuscrit ; il l’a reconnu à sa parfaite conformité avec la description donn
que de Naples, qui fit la seconde découverte du manuscrit. Ayant bien reconnu que c’était celui que d’Orville avait déjà trouvé
é des fables nouvelles, n’en tirerai-je aucun argument. Mais j’aime à reconnaître que, si Jannelli a mal compris les premiers mots
idenda extitit. Il est difficile, après cette comparaison, de ne pas reconnaître que la dure épithète de plagiaire adressée à Cass
chants il s’exprimait sous l’influence d’une conviction, dont il faut reconnaître la sincérité : « Peuvent-ils davantage perdre le
avait pris la peine de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait reconnu l’erreur volontaire ou involontaire que Perotti a
nis scholasticæ 193. Mais, en défendant Phèdre, ils furent obligés de reconnaître . l’inexactitude de la déclaration de Perotti, et
ient entachés d’une égale fausseté. Les uns et les autres auraient pu reconnaître aisément leur erreur. Mais l’homme mêle ses passi
nne à Pérotti. Pour décider il faut la lire dans les deux Ouvrages et reconnoître son auteur en comparant les stiles. Une présompti
t s’occuper d’études critiques sur Claude et sur Néron ; mais il faut reconnaître qu’il n’y a pas loin de là aux allusions satiriqu
discussions antérieures avaient démontré : Schryver et Christ, il le reconnaît , se sont trompés en prétendant que Phèdre n’avait
est d’ailleurs ce que dit expressément Avianus, et, quand M. du Méril reconnaît avec raison que le mot resolvere ne signifie ni m
ppréciation d’autrui qu’il se fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’auteur est un ancien, un émule de Phèdre ;
e Jannelli, il n’aurait pas hésité à déclarer que ces fables, dont il reconnaissait d’ailleurs l’ancienneté, étaient bien l’œuvre de
s petites fautes d’élégance que Phèdre a très bien pu commettre. Adry reconnaît que la fable iii, Auctor, n’est pas indigne de Ph
tagea le produit de son crime ». Enjambant ensuite la fable xix, Adry reconnaît que la xxe , Servus profugus, et Æsopus, « contie
ix qui présentent des qualités réelles. Il en conclut que l’on doit y reconnaître au moins deux mains différentes, et pour lui rien
me dans son scepticisme. Ainsi, en 1838, on voit, à Bautzen, Dressler reconnaître si bien dans les fables nouvelles la main de Phèd
ents plus ou moins maladroits. Mais les critiques qui n’ont pas voulu reconnaître la main de Phèdre dans les nouvelles fables ont c
évidente complaisance. Il examine d’abord l’ïambe antique, auquel il reconnaît cinq variétés, et, pour montrer leurs points de d
te du manuscrit de Naples en démontre au contraire l’exactitude. On y reconnaît les trois fables du manuscrit de Leyde, qui, sous
i Fabri. « Quel est, s’écrie-t-il, celui qui, sous ce dernier mot, ne reconnaît pas immédiatement le nom de Phèdre lui-même299 ? 
. Mais je ne m’attarde pas à ces détails, d’autant plus qu’au fond je reconnais avec Tross que les fables du manuscrit de Wissemb
liothécaire actuel, M. Kershaw, à qui je l’ai montrée, a parfaitement reconnu l’écriture de l’archevêque. On conçoit aisément q
ere quingentorum annorum. Mais cette erreur avait été définitivement reconnue par M. Pertz, qui lui avait assigné le xe  siècle
i est encore une interprétation erronée. Il faut donc, en définitive, reconnaître que les fables des divers Romulus ont été des par
qu’il n’ait été tiré que de l’œuvre de Phèdre. Cette objection, je le reconnais , trouve un point d’appui dans cette circonstance
uait deux fables heureusement conservées par le Romulus de Vienne. Je reconnais que ce premier indice à lui seul n’aurait pas été
British Museum n’avait pas attendu la visite du docteur allemand : il reconnaît lui-même qu’au mois d’août 1869 l’origine du manu
ts il porte cette notice, dans l’écriture de laquelle j’ai facilement reconnu la main de Douce lui-même : This copy (wanting
a cote A. Gr. B. 15, un exemplaire de l’édition de Sorg, que j’ai cru reconnaître à la répétition de la même gravure dans les deux
es un trait d’union, qu’en effet, comme dans les fables de Romulus on reconnaît « les sujets et les vers de Phèdre », de même cel
od continet omnis       Fabula declarat, datque quod intus habet. Je reconnais avec eux qu’il ne peut être convenablement placé
es, avec lesquelles elle n’avait rien de commun. On ne peut davantage reconnaître le style de l’archevêque de Palerme dans les troi
s sévères, Gellert426 et Lessing427 adoptent un avis mixte ; Muratori reconnaît au fabuliste une remarquable facilité de versific
essler, sur la foi de Schwabe, est tombé dans la même erreur. Il faut reconnaître que le second était moins excusable que le premie
bula poetica ad terram || est alius. Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au nom italien de son premier propriétaire q
ictor, je suis naturellement amené à me poser une question qui, je le reconnais , n’a pas un grand intérêt, mais dont la solution
ux miniatures des manuscrits du même temps, on ne pourra se refuser à reconnoître leur supériorité ; et c’est pour que l’on puisse
læ, et je lui fis passer quelques fac simile, qui le mirent à même de reconnaître sa parfaite conformité, à diverses versions près,
dans lequel, il sera, en ce qui touche les fables de Walther, aisé de reconnaître une simple copie de celui de Göttingen, analysé à
té publiée, notamment par MM. Jacob Grimm446 et E. Voigt447, en ayant reconnu ici les leçons généralement bonnes, j’en ai pris
s sur bois. Elle ne porte aucun nom d’imprimeur ; mais à la marque on reconnaît quelle est sortie des presses de Jacques Arnollet
Il ne faut pas la comparer longtemps à celle d’Alexandre Neckam pour reconnaître que, par la versification, cette dernière, sans ê
des fables d’Alexandre Neckam. Ce qui avait sans doute empêché de les reconnaître , c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le vé
Rufum et du Romulus primitif, je suis maintenant dans la nécessité de reconnaître que les Dérivés directs de ce Romulus ne nous son
quement l’une il avait cependant voulu la compléter par l’autre ». Je reconnais que cette supposition n’était guère acceptable, e
que c’est du Romulus ordinaire que j’aurais dû le faire descendre. Je reconnais qu’on pourra adopter sur cette question une solut
e de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister aucun doute ; car on reconnaît son écriture dans la cote Y. 9 encore apparente q
ent encore d’innombrables variantes, qui pourtant n’empêchent pas d’y reconnaître une seule et même œuvre. Il en est autrement de l
donné ensuite le nom de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai cru reconnaître un fragment du Romulus anglo-latin, et c’est à ce
probablement dans le Romulus primitif. C’est donc à bon droit, on le reconnaîtra , que j’ai mis le Romulus de Berne au nombre de se
tait la quatrième. C’était de ma part une erreur que je m’empresse de reconnaître . 176. Neapoli, 1812. Typis Dominici Sangiacomo.
e quel était ce Jacob qui lui avait commandé cet ouvrage, et à qui il reconnaît devoir le gouvernement de l’Ombrie, cujus volunta
C’est par erreur que, dans ma première édition, t. I, p. 686, je n’ai reconnu que 46 fables au second groupe. 396. Les Fabuli
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