Pb 37 Pd 23 Pe 5 Pg 19 Ma 28 Ca 17. Un aveugle avait l’habitude de
reconnaître
au toucher toute bête qu’on lui mettait entre les
un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se
reconnaît
souvent à leur extérieur.
s tout fier se panada, Croyant estre un beau personnage. Quelqu’un le
reconnut
; il se vit bafoüé, Berné, sifflé, moqué, joüé ;
t une petarrade : Tant qu’il vid sous le faix mourir son camarade, Et
reconnut
qu’il avoit tort. Du Baudet en cette aventure On
ment que je cherche, et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à
reconnaître
les gens hardis et lâches, j’entends hardis en pa
e, Ou de la lâcher aussi-tost, Pour mettre Apollon en défaut. Apollon
reconnut
ce qu’il avoit en teste. Mort ou vif, luy dit-il,
ace de l’oie, entonne un chant, prélude de son trépas. Sa voix le fit
reconnaître
et son chant le sauva de la mort. Cette fable mon
eur fait risette. » Cette fable fait voir que les gens malfaisants se
reconnaissent
à leur mine même et à première vue.
le avait des portées courtes. « Quand tu dis cela, répartit la truie,
reconnais
que tu n’enfantes que des aveugles. » Cette fable
qui, en butte à quelque revers, se chamaillent entre eux, peuvent se
reconnaître
dans cette fable. Chambry 228.2 Aliter — Au
utre tête Que celles qu’il voyoit d’ordinaire en ce lieu. Le Cerf est
reconnu
; chacun prend un épieu ; Chacun donne un coup à
oi, la Fortune, que tu t’en prendras. » Cette fable montre qu’il faut
reconnaître
qui vous fait du bien et le payer de retour.
s. » Les gens endormis et paresseux qui vivent du travail d’autrui se
reconnaîtront
en cette fable.
de nous aucun mal, vous nous faites méchamment la guerre ! » Le loup
reconnut
sa véracité et la laissa partir. Cette fable mont
er », répondit l’autre. Cette fable montre que les amis véritables se
reconnaissent
à l’épreuve du malheur. Chambry 255.2 Alite
a nuit ; enfin la ronce accroche les habits des passants, cherchant à
reconnaître
son étoffe. Cette fable montre que nous revenons
se donna l’alarme à soy-mesme en le salüant. Ce que son Maistre ayant
reconnu
; « D’où vient », luy dit-il, « que tu és si fort
tical, posé par Gude, peut être parfaitement exact ; il faut pourtant
reconnaître
qu’ici la dérogation n’est pas douteuse ; dans to
on œuvre, il prend lui-même la qualité d’affranchi d’Auguste, il faut
reconnaître
que c’est d’Octave qu’il entend parler. Dira-t-on
voir des attaques personnelles dans certaines fables où il pouvait se
reconnaître
, mais où pourtant il n’avait pas été particulière
t retiré sur un rocher du golfe de Naples, et dans l’hydre il pensait
reconnaître
Caligula, dont l’empereur se proposait de faire p
i, la première de ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était
reconnu
. Aussi, la seconde, quoique communiquée confident
v de l’appendice. Ce défaut complet d’originalité dans la pensée est
reconnu
par lui-même. Dans le prologue de son premier liv
de Phèdre, l’originalité de la pensée a été presque nulle. Il faut le
reconnaître
, ce qui fait la principale valeur littéraire de P
point la morgue et qui n’inspire que la sympathie. Il faut d’ailleurs
reconnaître
que, s’il a eu l’excusable faiblesse d’attacher t
Zurich, il a donnée des anciennes fables de Phèdre. Il faut pourtant
reconnaître
que la publication du manuscrit de Pithou par M.
s, des mots entiers et même des lignes. Cet accident n’empêche pas de
reconnaître
dans ce qui reste les variantes du manuscrit de P
nature 102, qu’il se l’était fait adresser. Il lui suffisait d’avoir
reconnu
que l’écriture était du ixe ou du xe siècle et
unter à ce manuscrit chacun de ceux qui manquaient. Il faut néanmoins
reconnaître
que, tout en se servant avec discernement des var
a moindre place au doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut
reconnaître
qu’il existait entre eux une parenté incontestabl
er une ligne entière à chacun des ïambes. Le savant philologue Orelli
reconnaît
que les deux manuscrits ont entre eux un air de f
erme, lui assigne le viiie siècle. Au contraire le Père Brotier crut
reconnaître
que celui de Pithou était du ixe siècle, et M. B
bibliothèque, il y a retrouvé lui-même le précieux manuscrit ; il l’a
reconnu
à sa parfaite conformité avec la description donn
que de Naples, qui fit la seconde découverte du manuscrit. Ayant bien
reconnu
que c’était celui que d’Orville avait déjà trouvé
é des fables nouvelles, n’en tirerai-je aucun argument. Mais j’aime à
reconnaître
que, si Jannelli a mal compris les premiers mots
idenda extitit. Il est difficile, après cette comparaison, de ne pas
reconnaître
que la dure épithète de plagiaire adressée à Cass
chants il s’exprimait sous l’influence d’une conviction, dont il faut
reconnaître
la sincérité : « Peuvent-ils davantage perdre le
avait pris la peine de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait
reconnu
l’erreur volontaire ou involontaire que Perotti a
nis scholasticæ 193. Mais, en défendant Phèdre, ils furent obligés de
reconnaître
. l’inexactitude de la déclaration de Perotti, et
ient entachés d’une égale fausseté. Les uns et les autres auraient pu
reconnaître
aisément leur erreur. Mais l’homme mêle ses passi
nne à Pérotti. Pour décider il faut la lire dans les deux Ouvrages et
reconnoître
son auteur en comparant les stiles. Une présompti
t s’occuper d’études critiques sur Claude et sur Néron ; mais il faut
reconnaître
qu’il n’y a pas loin de là aux allusions satiriqu
discussions antérieures avaient démontré : Schryver et Christ, il le
reconnaît
, se sont trompés en prétendant que Phèdre n’avait
est d’ailleurs ce que dit expressément Avianus, et, quand M. du Méril
reconnaît
avec raison que le mot resolvere ne signifie ni m
ppréciation d’autrui qu’il se fonde. Mais d’abord, le savant allemand
reconnaît
que l’auteur est un ancien, un émule de Phèdre ;
e Jannelli, il n’aurait pas hésité à déclarer que ces fables, dont il
reconnaissait
d’ailleurs l’ancienneté, étaient bien l’œuvre de
s petites fautes d’élégance que Phèdre a très bien pu commettre. Adry
reconnaît
que la fable iii, Auctor, n’est pas indigne de Ph
tagea le produit de son crime ». Enjambant ensuite la fable xix, Adry
reconnaît
que la xxe , Servus profugus, et Æsopus, « contie
ix qui présentent des qualités réelles. Il en conclut que l’on doit y
reconnaître
au moins deux mains différentes, et pour lui rien
me dans son scepticisme. Ainsi, en 1838, on voit, à Bautzen, Dressler
reconnaître
si bien dans les fables nouvelles la main de Phèd
ents plus ou moins maladroits. Mais les critiques qui n’ont pas voulu
reconnaître
la main de Phèdre dans les nouvelles fables ont c
évidente complaisance. Il examine d’abord l’ïambe antique, auquel il
reconnaît
cinq variétés, et, pour montrer leurs points de d
te du manuscrit de Naples en démontre au contraire l’exactitude. On y
reconnaît
les trois fables du manuscrit de Leyde, qui, sous
i Fabri. « Quel est, s’écrie-t-il, celui qui, sous ce dernier mot, ne
reconnaît
pas immédiatement le nom de Phèdre lui-même299 ?
. Mais je ne m’attarde pas à ces détails, d’autant plus qu’au fond je
reconnais
avec Tross que les fables du manuscrit de Wissemb
liothécaire actuel, M. Kershaw, à qui je l’ai montrée, a parfaitement
reconnu
l’écriture de l’archevêque. On conçoit aisément q
ere quingentorum annorum. Mais cette erreur avait été définitivement
reconnue
par M. Pertz, qui lui avait assigné le xe siècle
i est encore une interprétation erronée. Il faut donc, en définitive,
reconnaître
que les fables des divers Romulus ont été des par
qu’il n’ait été tiré que de l’œuvre de Phèdre. Cette objection, je le
reconnais
, trouve un point d’appui dans cette circonstance
uait deux fables heureusement conservées par le Romulus de Vienne. Je
reconnais
que ce premier indice à lui seul n’aurait pas été
British Museum n’avait pas attendu la visite du docteur allemand : il
reconnaît
lui-même qu’au mois d’août 1869 l’origine du manu
ts il porte cette notice, dans l’écriture de laquelle j’ai facilement
reconnu
la main de Douce lui-même : This copy (wanting
a cote A. Gr. B. 15, un exemplaire de l’édition de Sorg, que j’ai cru
reconnaître
à la répétition de la même gravure dans les deux
es un trait d’union, qu’en effet, comme dans les fables de Romulus on
reconnaît
« les sujets et les vers de Phèdre », de même cel
od continet omnis Fabula declarat, datque quod intus habet. Je
reconnais
avec eux qu’il ne peut être convenablement placé
es, avec lesquelles elle n’avait rien de commun. On ne peut davantage
reconnaître
le style de l’archevêque de Palerme dans les troi
s sévères, Gellert426 et Lessing427 adoptent un avis mixte ; Muratori
reconnaît
au fabuliste une remarquable facilité de versific
essler, sur la foi de Schwabe, est tombé dans la même erreur. Il faut
reconnaître
que le second était moins excusable que le premie
bula poetica ad terram || est alius. Quant à sa provenance, elle se
reconnaît
tant au nom italien de son premier propriétaire q
ictor, je suis naturellement amené à me poser une question qui, je le
reconnais
, n’a pas un grand intérêt, mais dont la solution
ux miniatures des manuscrits du même temps, on ne pourra se refuser à
reconnoître
leur supériorité ; et c’est pour que l’on puisse
læ, et je lui fis passer quelques fac simile, qui le mirent à même de
reconnaître
sa parfaite conformité, à diverses versions près,
dans lequel, il sera, en ce qui touche les fables de Walther, aisé de
reconnaître
une simple copie de celui de Göttingen, analysé à
té publiée, notamment par MM. Jacob Grimm446 et E. Voigt447, en ayant
reconnu
ici les leçons généralement bonnes, j’en ai pris
s sur bois. Elle ne porte aucun nom d’imprimeur ; mais à la marque on
reconnaît
quelle est sortie des presses de Jacques Arnollet
Il ne faut pas la comparer longtemps à celle d’Alexandre Neckam pour
reconnaître
que, par la versification, cette dernière, sans ê
des fables d’Alexandre Neckam. Ce qui avait sans doute empêché de les
reconnaître
, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le vé
Rufum et du Romulus primitif, je suis maintenant dans la nécessité de
reconnaître
que les Dérivés directs de ce Romulus ne nous son
quement l’une il avait cependant voulu la compléter par l’autre ». Je
reconnais
que cette supposition n’était guère acceptable, e
que c’est du Romulus ordinaire que j’aurais dû le faire descendre. Je
reconnais
qu’on pourra adopter sur cette question une solut
e de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister aucun doute ; car on
reconnaît
son écriture dans la cote Y. 9 encore apparente q
ent encore d’innombrables variantes, qui pourtant n’empêchent pas d’y
reconnaître
une seule et même œuvre. Il en est autrement de l
donné ensuite le nom de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai cru
reconnaître
un fragment du Romulus anglo-latin, et c’est à ce
probablement dans le Romulus primitif. C’est donc à bon droit, on le
reconnaîtra
, que j’ai mis le Romulus de Berne au nombre de se
tait la quatrième. C’était de ma part une erreur que je m’empresse de
reconnaître
. 176. Neapoli, 1812. Typis Dominici Sangiacomo.
e quel était ce Jacob qui lui avait commandé cet ouvrage, et à qui il
reconnaît
devoir le gouvernement de l’Ombrie, cujus volunta
C’est par erreur que, dans ma première édition, t. I, p. 686, je n’ai
reconnu
que 46 fables au second groupe. 396. Les Fabuli
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