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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 237 » p. 164
s leur demandèrent où était leur âne. « Il est mort, dit-il ; mais il reçoit autant de coups qu’il en a jamais reçus de son vi
l est mort, dit-il ; mais il reçoit autant de coups qu’il en a jamais reçus de son vivant. » Ainsi parfois les serviteurs, mê
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
μωρία. Codd. Mb 175 Pf 110 Ma 128 Me 157 Mf 131. Un homme qui avait reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Com
il. Dès lors l’homme jura le lendemain sans hésiter qu’il n’avait pas reçu le dépôt. Mais il tomba sur le Serment, qui l’emm
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 323 » p. 240
es. Prométhée exécuta cet ordre. Il enr ésulta que ceux qui n’ont pas reçu la forme humaine dès le début ont bien une forme
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
n forgeron, demanda aux outils de lui faire une aumône. Après l’avoir reçue des autres, elle vint à la lime et la pria de lui
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 18 » p. 301
ve laide et méchante était aimée de son maître. Avec l’argent qu’elle recevait de lui, elle s’ornait de brillantes parures et ri
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 196 » p. 334
l se fit sous son règne une assemblée générale des animaux, en vue de recevoir et de se donner mutuellement satisfaction, le lou
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 127 » pp. 313-313
tre qu’il ne faut pas s’étonner si les malfaiteurs et les méchants ne reçoivent pas plus vite le châtiment de leurs méfaits.
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 131 » p. 111
Ph 56 Ma 78 Me 72 Mf 63 Mj 72. Héraclès, admis au rang des dieux et reçu à la table de Zeus, saluait avec beaucoup de bonn
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 329 » p. 269
déclaré qu’il ne pouvait lui prêter main-forte que s’il consentait à recevoir un frein et à le prendre lui-même sur son dos, le
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
ervirons en freres. Faites-en les feux dés ce soir. Et cependant vien recevoir Le baiser d’amour fraternelle. Ami, reprit le Coq
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 57 » p. 311
que je t’ai fait, et pourtant tu as obtenu le plus grand ; car tu as reçu la raison, puissante chez les dieux et chez les h
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 162 » p. 123
s choucas ; mais les choucas, sensibles à l’outrage, refusèrent de le recevoir . Il arriva ainsi qu’il fut exclu de la société et
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 228 » pp. 347-347
e mon bien. » Le lion se mit à rire et dit : « Toi, en effet, tu l’as reçu justement d’un ami ! » Pillards et brigands insat
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
maginant par ce moyen d’avoir tiré raison de l’injure qu’il venoit de recevoir . Mais voila qu’à l’instant toutes les autres Abei
toutesfois que ces pauvres gents s’en ressentent ; Car alors s’ils en reçoivent le moindre déplaisir, il n’est pas à croire combi
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
ur de l’étable, égorgèrent d’abord les chiens. Tel est le salaire que reçoivent ceux qui trahissent leur patrie. Chambry 217.
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
buoit plus qu’eux. 
Cecy peut s’appliquer à la grandeur Royale.
 Elle reçoit et donne, et la chose est égale.
 Tout travaille
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 49 » pp. 95-95
fut de retour, il lui demanda comment les gens de sa maison l’avaient reçue . « Les bouviers, répondit-elle, et les bergers me
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
onné d’être ainsi payé de retour. Il faut rendre les services qu’on a reçus  ; [car le bien que vous ferez vous sera rendu].
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
oy de leur prosperité, autrement plus tu seras envieux, et plus tu en recevras de dommage. Soy soigneux de tes domestiques, afin
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
de séduire les hommes par son air tranquille ; puis, quand elle les a reçus sur ses eaux, de devenir sauvage et de les faire
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
t merité que des risées, en de semblables actions, ils sont dignes de recevoir des coups de pied, comme le Loup de cette Fable.
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
ne mine. Monsieur, ils sont à vous. Vraiment, dit le Seigneur, Je les reçois , et de bon cœur. Il déjeûne trés-bien, aussi fait
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 55 » pp. 28-28
modela cent avec du suif, et les consuma sur un autel, en disant : «  Recevez mon vœu, Ô dieux. » Mais les dieux, voulant le my
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
uvait soutenir le mauvais temps. L’homme répondit de même qu’il ne le recevrait pas, s’il ne lui donnait un certain nombre de ses
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. Esope se voya
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
a certaines personnes aussi, qui par je ne sçay quelle stupidité, ne reçoivent pas un bon conseil ; D’autres, par une fausse imp
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
ibly de vieillesse, qui n’estant plus bon aux exercices de la chasse, reçoit des traictemens indignes de luy, et passe ses vie
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
qui luy appartient, et reduit enfin au mesme destin de ce Cheval, qui reçoit bien le plaisir de voir abattu son Ennemy, mais i
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
e fait au Ciel, et non pas en terre. Nous ne pouvons point juger s’il reçoit des consolations interieures, ou s’il a de grands
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
r tous les animaux, comme plus vaillant qu’il est, et plus courageux, reçoit neantmoins la honte de s’enfuyr, en oyant chanter
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
emblent esteintes, et qui toutesfois ne le sont pas, leurs Escrits en reçoivent plus de vigueur et de vie. Ce fût ainsi qu’Homere
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
s, et l’autre en la patience que doivent avoir les Sages, lors qu’ils reçoivent un mauvais traictement des Vicieux. Quant au prem
 ? L’on peut respondre à cela, que l’injure aigrit la personne qui la reçoit  ; Mais quelle injure peut reçevoir le Vertueux ?
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
appeller. Il faut donc du moins, que les mauvais traictemens que nous recevons des hommes, nous laissent quelque sorte d’instruc
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
l faut qu’elle les oblige de gré à gré, et mesme qu’elle les convie à recevoir ses biens-faicts. Au reste, les Sages ne sont pas
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
ins avec modestie, et conserver inviolablement la verité de qui elles reçoivent toute leur grace. Que le Lecteur ne s’ennuye donc
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
sion que ce soit, et comme disent les Philosophes, une table rase qui reçoit toutes les especes qu’on luy presente, il est hor
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
fondée sur ce que le temperamment des femmes, comme estant créé pour recevoir , ne contient pas tant de vigueur ny d’activeté ;
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
es flatteries de telles gents, comme de la stupidité de celuy qui les reçoit . Car quelle apparence y a-t’il de se rapporter à
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
rtoit sur ses espaules, et qui luy estoit indifferent, s’échappa sans recevoir aucun mal. Discours sur la cent-neufviesme Fabl
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
n’ayme rien tant qu’à faire du bien ; Aussi oblige-t’elle ceux qui le reçoivent à ne le mettre point en oubly. Ils l’apprennent a
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
on se divertit à la chasse, où parmy l’exercice du corps, l’esprit ne reçoit pas une petite satisfaction. Tantost la pesche es
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
nt une amitié, et traictent avec cruauté ceux qui se confient en eux, reçoivent enfin la punition qui leur est deuë, voire mesme
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
s voulez, qu’un homme qui devroit donner des Loix aux Republiques, en reçoive d’une petite Niaise, qui ne sçaura pas seulement
44 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ssant, une hypothèse imaginée encore par Gude, qui suppose que Phèdre reçut son nom d’Auguste7. Cet empereur, on le sait, aim
a naissance de Linus et d’Orphée, qui par conséquent n’avaient pas pu recevoir le jour dans un pays déjà séparé de la Thrace. En
r, il le réalisa. Le bailliage de Tonnerre étant devenu vacant, il le reçut , en 1573, des mains du duc d’Uzès et de sa femme,
avisette, natif de la Lorraine. Gravisette, peut-être son beau-frère, reçut par conséquent, selon le testament de Bongars, en
muns. De ce nombre étoit le P. Sirmond : il étoit alors à Rome, où il reçut de la part de M. Pithou l’Exemplaire qui lui étoi
de son frère, converti au catholicisme, et enfin, en 1580, avait été reçu avocat au Parlement de Paris. C’est lui qui, ains
oyé à François Pithou, son ami, et que Pierre Pithou, l’ayant ensuite reçu de son frère, en aurait ainsi publié la première
alogue des manuscrits de ce dernier. Il est probable qu’après l’avoir reçu de lui, son frère l’avait gardé et laissé, en mou
et, après avoir contribué autant que personne à la défaite du païen, reçoit pour récompense la main de Bélisent et la couronn
l’Ombrie et de la marche d’Ancône. Envoyé tout jeune à Bologne, il y reçoit les leçons de Nicolas Volpe et de Vittorino de Fe
une épigramme, tantôt une épître à un ami. Un seul et même cahier les recevait les unes à la suite des autres. Il l’avait commen
Vale. Ex Mediolano, xviii Kal. Januarias MCCCCLXIV. » Quand Perotti reçut cette lettre, il n’avait que trente-trois ans, et
’état du manuscrit permettra plus loin de l’affirmer, qu’il n’eût pas reçu de son oncle l’exemplaire qui lui était destiné,
e Leyde les cours de Jacques Gronovius et de Burmann. Après avoir été reçu docteur en droit, cédant à son goût pour les étud
renvoie à sa préface ceux qui voudront savoir avec quelle joie il la reçut . Il suspendit sa publication et pria son élève de
nt de la riche bibliothèque Farnèse. Mais celle de Naples ayant enfin reçu une organisation fixe, et l’abbé Andrès ayant été
ncore les typographes du roi, en vertu d’un décret royal, les avaient reçues et les imprimaient, quand apparaît, lecteur, une
trats supérieurs, qui, comme protecteurs et patrons de mon œuvre, ont reçu mes éloges dans mes dissertations, je devais, lec
oulut sans doute la faire précéder d’une épître à l’ami qui allait la recevoir . De là vient le premier cahier de quatorze feuill
e proportion, il avait dû aussi y consacrer un cahier assez fort pour recevoir ultérieurement d’autres titres. Tel est le manusc
elle il portait le numéro 294. Il est probable qu’il l’avait lui-même reçu de la reine Christine, pour qui il avait dû l’ach
32 avaient été donnés aux cinq feuillets du précédent, celui-ci avait reçu , à raison de la position qu’il occupait, les nos 
rier de lui faire faire par eux une copie du manuscrit. La lettre fut reçue par l’adjoint, qui, après des recherches inutilem
undi, mercredi, jeudi et vendredi, de 2 à 5 heures de l’après-midi. «  Recevez , etc.   « Aug. Saum,                « Bibliothéca
partie des fables de Phèdre. C’est ainsi que cette idée généralement reçue fut accueillie par MM. Michaud frères et que Romu
s, et de là passe à celui du Roi dans Vieux Aberdeen. En 1781, il est reçu maître ès arts, et l’année suivante il devient pr
lamer à cet effet les bons offices du duc de Broglie. Dès que j’aurai reçu l’avis officiel d’agir auprès du gouvernement bav
é à procéder à votre travail en dehors de la bibliothèque. « Veuillez recevoir , monsieur, l’assurance de ma haute considération.
onse suivante : « Versailles, 1er juillet 1873. « Monsieur,   « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écr
rocurer les facilités qui pourraient vous aider dans votre travail. «  Recevez , monsieur, les assurances de ma parfaite considér
nteurs de la bureaucratie, le conservateur de la bibliothèque n’avait reçu aucune instruction. Bref, M. Lefebvre de Behaine
à ma disposition. Le lendemain matin, retourné à la bibliothèque, je reçus du conservateur le manuscrit tant désiré. Je m’em
, le seul qui ait été imprimé ; mais en revanche la publicité qu’il a reçue a été considérable. Il a fait, dès les premières
du premier feuillet en parchemin, déchiffrer la cote Cxlj qu’il avait reçue à Naples et qui signifie soit 141, soit C. 41, et
ne traduction en vers français de 8 syllabes, dont l’auteur inconnu a reçu de M. Robert le nom d’Ysopet I. En tête de la pre
uscrits, le premier dans l’ordre numérique est celui qui, après avoir reçu la cote Regius 7616.3 et plus anciennement la cot
iothèque nationale. Ce manuscrit, qui appartient au fonds français, a reçu successivement les cotes MMCXCII, 816.1, et 7304.
manuscrit. Dans ceux qui furent dressés en 1805 et en 1822, il avait reçu , sous le nº 714, la désignation que Haenel a aveu
diverses versions près, avec le manuscrit de Haenel. Bientôt après je reçus de M. Dressler la prière de lui envoyer une colla
tiques et les deux complémentaires. Les quatorze premières ont seules reçu leurs titres, écrits à l’encre rouge. L’espace mé
encre rouge. L’espace ménagé au-dessus de chacune des autres pour les recevoir n’a pas été rempli. La fable xlviii contient les
ublié450 ; il montre que les seuls manuscrits latins du fonds Palatin reçus à Paris étaient ceux portant les cotes 729, 854,
L’espace blanc qui, en tête des suivantes, avait été ménagé pour les recevoir , n’a pas été rempli. La fable xlviii, intitulée :
ticulier écrit à l’encre rouge. Toutefois l’espace blanc destiné à le recevoir n’a pas été rempli pour les onze dernières. Comme
les précédemment décrites : Ésope, couronné de lauriers, est assis et reçoit l’offrande du livre qui lui est faite à genoux pa
e copiste ayant laissé au bas des pages un espace blanc destiné à les recevoir , c’est là qu’elles se trouvent. Leur nombre est d
. L’espace blanc qui, au-dessus du prologue, avait été ménagé pour le recevoir , n’a pas été rempli. Elles sont ornées de miniatu
Publiée d’abord dans le nord de l’Italie, l’œuvre d’Accio Zuccho reçut bientôt dans le centre les mêmes honneurs. Elle f
lée Romulus de Marie. Dorénavant, acceptant la dénomination qu’elle a reçue de M. Gaston Paris498, je la désignerai par la qu
m de Henris, et, lorsqu’on songe que celui qui l’a porté le premier a reçu et mérité le surnom de Beau-Clerc, on est tout na
ux fables qui, M. Robert en ayant été, en 1825, le premier éditeur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une erreur : l
é le nº 572. Entré dans la Bibliothèque nationale, il y avait ensuite reçu , avant la classification actuelle, la cote 79892.
sus du prologue avait été ménagé un espace blanc, qui était destiné à recevoir une miniature et qui, à une époque relativement r
’avoir donné le jour au Romulus de Nilant, le Romulus anglo-latin l’a reçu de lui. J’arrive maintenant à la fable du Loup ré
siècle. Il a appartenu à plusieurs bibliothèques dans lesquelles il a reçu tour à tour les cotes 1225, 5787 et mcccxxxix. Au
du xve  siècle appartenant à la bibliothèque de Wolfenbüttel, où il a reçu , non pas, comme le dit par erreur M. Oesterley, l
. 75. Beaucousin (Christophe-Jean-François), né à Noyon en 1731, fut reçu avocat au Parlement de Paris en 1751, sut s’acqué
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