/ 28
1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — II. Le Corbeau et le Renard. » p. 124
es joly ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si vostre ramage Se rapporte à vostre plumage, Vous estes le Phenix des hostes
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 254 » pp. 173-173
se de sa tristesse, le prit en pitié ; il plongea dans la rivière, en rapporta une cognée d’or et lui demanda si c’était celle q
yant répondu que ce n’était pas celle-là, il plongea de nouveau et en rapporta une d’argent. L’homme ayant déclaré que celle-là
non plus n’était pas la sienne, il plongea une troisième fois et lui rapporta sa propre cognée. L’homme affirma que c’était bie
t à lui aussi, et apprenant le sujet de ses pleurs, il plongea et lui rapporta aussi une cognée d’or, et lui demanda si c’était
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
nent le champ Deçà, delà, par tout ; si bien qu’au bout de l’an Il en rapporta davantage. D’argent, point de caché. Mais le pere
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IV. Jupiter et le Métayer. » p. 
Son champ ne s’en trouve pas mieux, Celuy de ses voisins fructifie et rapporte . Que fait-il ? Il recourt au Monarque des Dieux :
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
très cher ; peut-être trouveras-tu dans la suite quelque chose qui se rapporte à la viande et aux os. » L’âne ayant parcouru tou
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 276 » pp. 91-91
âne jouait constamment avec le chien. Allait-il dîner dehors, il lui rapportait quelque friandise, et, quand le chien s’approchai
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
l’aigle, prenant l’essor, saisit un lièvre dans ses serres et le lui rapporta en présent. Un renard, l’ayant aperçu, lui dit :
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
maison le Médisant, et tiens pour certain, qu’il ne manquera point de rapporter et tes paroles, et tes actions. Ne fay rien qui t
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
quoy que ce ne soit pas avec art, ny avec une parfaicte clarté ; Ils rapportent là dessus une infinité d’exemples generaux et par
aux, l’on en compte quelques-uns plus merveilleux que les autres. Ils rapportent entre plusieurs Histoires celle d’un certain Elep
dessus, comme si c’eust esté à dessein de la resouder. L’Elephant la rapporta tout aussi-tost à son Maistre, qui au premier ser
nt cét Animal de le chastier de sa faute, et luy commanda derechef de rapporter la Cruche au Potier, avecque des plaintes dequoy
’il avoit quelque chose par dessus l’ordinaire des bestes brutes ? On rapporte encore une Histoire non moins memorable que celle
cause de sa maigreur. Tels, et une infinité de semblables exemples se rapportent dans tous les Autheurs, touchant la nature des El
au Chien, et la punition au meurtrier. Mais je m’amuserois en vain à rapporter des exemples touchant la fidelité des Chiens, pui
x expliquer les voix des bestes, et les chants des oyseaux. A cela se rapporte aucunement ce que disent les Saincts Personnages,
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 21 » pp. 23-23
s sa maison, ayant trouvé une perdrix privée à vendre, l’acheta et la rapporta chez lui pour la nourrir avec les coqs. Mais ceux
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
n corps, lui rappela sa promesse et lui reprocha de ne lui avoir rien rapporté . « Ne t’en prends pas à moi, répondit-il, mais à
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
nent à leur proffit particulier les advantages qu’ils sont obligez de rapporter au bien du public. Ce fondement supposé, nous avo
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
pour servir nostre Prochain, et l’assister charitablement. A cecy se rapporte à peu près une Fable bien plaisante, qui dit, que
plusieurs autres fictions de ceste nature, qu’il me seroit facile de rapporter icy, pour vous faire voir les hauts mysteres que
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
t elle est pleine. Ce fût pour cela qu’un ancien Roy, à qui l’on vint rapporter qu’il avoit esté trompé d’une grande somme de den
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
Egypte, et en une infinité d’autres exemples anciens, que je pourrois rapporter icy. Mais il est mieux de ne les alleguer pas pou
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
t sorty. Discours sur la quarante-neufviesme Fable. Quelques-uns rapporteront le sujet de ceste Fable à la richesse, qui rend c
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
lice Diabolique et humaine, ou pour mieux dire, plus qu’inhumaine, il rapporte sept ou huict inventions estranges, pour se défai
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
l était caché. Les chasseurs ne prirent pas garde au geste, mais s’en rapportèrent aux paroles ; et le renard, les voyant s’éloigner
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
querois plustost de loisir, ou de temps que de matiere, si je voulois rapporter au long toutes les préeminences de la beauté de l
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
les. Car ce que nous avons dit de la destruction des Empires, se peut rapporter à la ruyne des Maisons particulieres, qui sont le
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
esme Fable. Je doute au commencement de ce Discours, si je le dois rapporter aux promesses des Arrogants et des Presomptueux,
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
rd à soy-mesme, et pareillement la façon de vivre, en tant qu’elle se rapporte à d’autres personnes. En suitte dequoy, il faut q
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
rince, delaisse ingrattement celuy qu’il se vante d’aymer, Esope nous rapporte icy l’exemple d’un homme, qui abandonne son Amy d
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
orage, Car l’esprit d’une fille est plus leger que l’eau. A quoy se rapportent encore ces autres vers : La femme ne vaut rien p
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
lents personnages d’Athenes, contre Hiperbolus. A cela se peut encore rapporter l’indifference d’Aristide, lors qu’un idiot de Vi
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
tupidité de celuy qui les reçoit. Car quelle apparence y a-t’il de se rapporter à un tiers de ce que l’on est, et d’apprendre ses
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
toute proportion ; encore est-il necessaire, à mon opinion, qu’il se rapporte à la gloire de Dieu, ou à l’utilité publique. Car
28 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
en définitive trouvé en possession non seulement des matériaux qui se rapportaient à Phèdre, mais encore de ceux qui lui étaient étr
m’avaient deux fois donné. En possession de tous les matériaux qui se rapportaient à Avianus et à ses imitateurs, je ne différai plu
sorte, il aurait tenu un langage inexact. En effet, Diodore de Sicile rapporte qu’Osiris confia à son fils Macédon le gouverneme
ement il prétend qu’elles n’avaient pas trait à Séjan, et qu’elles se rapportaient à l’époque de Caligula, contre qui elles auraient
, qu’à défaut de documents contraires, le plus sage parti est de s’en rapporter à Phèdre lui-même. Schwabe incline vers le même a
quæ de Gruler les inscriptions suivantes, qui ne me paraissent pas se rapporter aussi bien au protecteur du fabuliste ; d’abord :
ii de l’appendice. Souvent aussi il a recours à des traditions qui se rapportent à la vie problématique du vieil Ésope ; de cette
e. Au mois de mai 1829, M. Hase alla trouver M. Le Peletier qui avait rapporté le manuscrit à Paris. « Il en admira, dit M. Berg
a découverte de celui de Reims a montré qu’il avait eu raison de s’en rapporter à Avianus. Ce manuscrit, qui était à peu près ide
u, on est tout d’abord porté à penser que c’est à ce manuscrit que se rapporte l’abréviation MS., et ce qui confirme dans cette
chartrain, pour y décider leurs querelles et leurs procès : ils s’en rapportaient aux jugements et aux décisions des Druides… (Cæs.
13. Vid. Cicer., lib. I de Divin. ; Plin., lib. XXX, c. 1). Or, Pline rapporte que les Druides furent chassés de l’empire sous T
évidemment été apporté à Paris dans les beaux jours de la République, rapporté à Rome après la chute du premier Empire, et réint
qu’en matière de philologie, au lieu de recourir aux sources, on s’en rapporte aux assertions des savants même les plus justemen
ta lapidum vetustorum et aliarum in Dacia antiquitatum 189 et ensuite rapportée d’après lui par Gruter dans ses Inscriptiones ant
lé Phèdre, dont les fables n’étaient pas encore imprimées et qu’il en rapporte une comme un ouvrage de sa façon198. » Burmann l
robable que, dans sa fausse affirmation, sa seule faute a été de s’en rapporter à des souvenirs confus qu’il n’a pas pris immédia
style obscur et barbare comme lui. Quant au mot jocos, il ne peut se rapporter à l’œuvre d’un fabuliste, qui peut, sous une form
s il faut laisser le texte tel qu’il est, et, tel qu’il est, il ne se rapporte pas à Phèdre le philosophe. Au contraire, le mot
Junon, de Vénus, de Castor et de Prométhée, doivent nécessairement se rapporter à une époque où ces divinités étaient encore en h
am ad Fabellam talis exempli feror, est suivi d’une fable qui ne s’y rapporte pas ; celle qui en était la mise en action est ab
st pas non plus un conte, c’est un événement contemporain, que Phèdre rapporte comme celui dont la fable x du livre III contient
les philologues fait leur importance, c’est qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte connu de l’auteur ancien. Sur 67
1030, et, dans le Dictionnaire de Patrologie282, l’abbé Sevestre s’en rapporte à eux. Moreri283 et l’auteur de la notice qui lui
en marge un très grand nombre de gloses. Fol. xiii b. — Gloses qui se rapportent au même texte. Cinquième quaterne (Fol. xiv à xi
xii). Fol. cxcv a à cciii b. — Le dernier quaterne est le seul qui se rapporte à mon étude ; mais il a pour la restitution du te
de Xivrey, que, si ce feuillet a existé, il ne contenait rien qui se rapportât à Phèdre ; il va plus loin : non seulement, suiva
t, n’avait pas pris la peine d’en examiner le contenu ; il s’en était rapporté , en la copiant littéralement, à cette mention pla
vant, puisqu’il y a eu dissidence sur le point de savoir à qui ils se rapportent , on me permettra de faire connaître les divers do
re en tête des Fabulæ antiquæ, auxquelles elle ne lui semblait pas se rapporter , et que non seulement il ne considérait pas comme
ue parvenait à être connue, on finirait par voir celle de Romulus s’y rapporter tout entière ? Maintenant, la comparaison que j’a
n blanc un des bulletins de la bibliothèque, me disant que, si je lui rapportais sa signature, il me confierait le manuscrit. Je s
ttre sa signature au bas du bulletin. Seulement il fut entendu que je rapporterais le manuscrit au Consulat situé vis-à-vis de la Lé
xpositio ejusdem, De Preteritis et Supinis. Le titre Æsopi fabulæ se rapporte à la fois aux fables de l’Anonyme de Névelet que
me il existe deux éditions gothiques de 114 feuillets imprimés qui se rapportent à sa mention, je ne suis pas sans peine parvenu à
re précède, au lieu de les suivre, les deux fables auxquelles elle se rapporte . Fol. 34 a (e. v a). — Fin du livre I et table du
imprimé en 1674337. Mais sur ce catalogue je ne retrouvai rien qui se rapportât à la prétendue édition de Romulus de 1482. C’est
pas trouvé place. Il n’en renferme que 120, dont les 62 premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’ouvrage se termine
premier livre. Les fables sont toutes précédées d’une gravure qui s’y rapporte . Fol. 34 a, col. 1. —  Hier eyndet dat yerste boe
ue certains Romulus ont entre eux tant de ressemblance, autorise à la rapporter avec certitude à l’un plutôt qu’à l’autre. Si du
aii. » Malheureusement cette mention, en donnant le nom de Jenson, se rapportait clairement, non pas à l’homme lettré du xiiie  si
bué à Ésope, et les mots edito (lisez editus) a magistro Gauffredo se rapportent évidemment au copiste, à qui, avant la découverte
prendre une précaution superflue en rappelant à quel personnage il se rapporte . Aussi n’en dirai-je que deux mots. Né en 1057, à
emières sont la traduction de celles de Walther : les 18 suivantes se rapportent à celles d’Avianus, et les 49 dernières appartien
est placée entre la fable latine et la traduction auxquelles elle se rapporte . Pour faire mieux connaître cette disposition et
ouge ; en marge, de place en place, étaient peints des animaux qui se rapportaient aux fables elles-mêmes. Le deuxième feuillet avai
speri Aquitanici liber, Esopi fabulæ quædam. Ce dernier titre, qui se rapporte aux fables de Walther, indique qu’elles sont inco
erso du premier feuillet, est également suivi de deux sonnets qui s’y rapportent . Il en est de même des fables : après chacune d’e
précédent est complet, et les deux feuillets perdus ne pouvaient s’y rapporter . Le manuscrit avait renfermé à l’origine soixante
ute pour éviter un double emploi, accompagnée du texte auquel elle se rapporte . Elle se termine au milieu de la seconde colonne
Florentia. Regulæ grammatices. Les fables de Walther, auxquelles se rapportent les mots Æsopus, Fabulæ, se composent des soixant
us de virtute. De differentia vocum carmen. Les mots Æsopi fabulæ se rapportent aux fables de Walther qui occupent les feuillets 
tine qui est plutôt une paraphrase qu’une traduction et à laquelle se rapportent évidemment ces mots du titre général : cum inter
rtance est ce manuscrit qui renferme la même traduction. Si l’on s’en rapporte aux numéros des fables, il en existe soixante-qua
llet 74 b. Telle est la première pièce du manuscrit. Les autres ne se rapportent pas à la fable ésopique, pour abréger, je m’absti
ombre est de cinquante-trois seulement ; encore sont-elles loin de se rapporter toutes à Walther ; elles sont pour la plupart la
mble un peu suspecte, et je suppose plus exacte celle que Tanner477 a rapportée en ces termes : Eclipsin patitur sapientia, sol
r commise par Fabricius, qui, supposant à tort que le premier vers se rapportait à la fable De Lupo et Agno, le reconstitua ainsi 
eau et le Loup. II, 10. De ces quarante-deux fables, trente-sept se rapportent par les sujets à celles du Romulus ordinaire. Cel
que du collège de la Sainte-Trinité à Cambridge. Si l’on doit s’en rapporter au Catalogus librorum manuscriptorum Angliæ et Hy
même le mot Mythologiæ, appliqué ici à l’une des œuvres de Neckam, se rapporte à ses fables. Quoi qu’il en soit, n’ayant pas vu
r lui d’avoir complété sa critique, le mieux, à mon avis, est de s’en rapporter aux manuscrits. Or, Alfred le Grand remonte à une
leterre qui écrivit la traduction anglaise. Si, au contraire, on s’en rapporte au prologue de cette collection de 136 fables dér
our qu’on puisse à première vue savoir à quelle fable chacun d’eux se rapporte . Pour la commodité du lecteur, je vais, dans la n
la question à résoudre. Pour la trancher, je n’ai pas cru devoir m’en rapporter à son éditeur. M. de Roquefort dit bien qu’il a e
: Du Chat qui savoit tenir chandeille. Pour la fable à laquelle se rapporte le premier de ces deux titres, le doute n’est pas
e : je crois qu’à défaut d’autre élément d’appréciation, il faut s’en rapporter à l’âge des deux manuscrits qui renferment le Dér
ure à deux colonnes, sur parchemin, est du xive  siècle. Si l’on s’en rapportait au numérotage en chiffres romains dont il a été p
me origine que les 124 autres. Toutes ces dernières sans exception se rapportent à celles du Dérivé complet ; il y en a même deux
ine possède un exemplaire des fables de Romulus qui me paraît bien se rapporter à cette édition ; mais je n’oserais l’affirmer.
/ 28