er, et ils dirent à l’olivier : « Règne sur nous. » Et l’olivier leur
répondit
: « Moi, que je renonce à la grasse liqueur si ap
irent au figuier : « Viens régner sur nous. » Et le figuier lui aussi
répondit
: « Moi, que je renonce à la douceur qui est en m
t les arbres dirent à l’épine : « Viens régner sur nous. » Et l’épine
répondit
aux arbres : « Si vraiment vous m’oignez pour rég
tenait ses yeux baissés. « Qui es-tu ? » demanda-t-il. « La Vérité »,
répondit
-elle. « Et pour quel motif as-tu quitté la ville
our quel motif as-tu quitté la ville et habites-tu le désert ? » Elle
répondit
: « Parce que, dans les temps anciens, le mensong
i sortait et lui demanda qui il était et où il allait. Celui-ci ayant
répondu
qu’il était le Serment et qu’il marchait contre l
ans les villes ? – Au bout de quarante ans, parfois même de trente »,
répondit
-il. Dès lors l’homme jura le lendemain sans hésit
re, et, avisant une statue de Zeus, il demanda : « Combien ? » On lui
répondit
: « Une drachme. » Il sourit et demanda : « Combi
te estime chez les hommes. Aussi s’informa-t-il du prix. Le sculpteur
répondit
: « Eh bien ! si tu achètes les deux premières, j
15 Mf 97 Mj 106. Un malade, questionné sur son état par le médecin,
répondit
qu’il avait sué plus que de raison. « Cela va bie
ème fois le médecin vint le voir, et le questionna sur sa maladie. Il
répondit
qu’il avait eu la diarrhée. « Cela va bien encore
arents étant venu le voir et lui demandant comment il allait : « Moi,
répondit
-il, je meurs à force d’aller bien. » Il en est so
« mais avec tout cela, ajoutait-il, j’ai peur du coq. » Prométhée lui
répondit
: « Pourquoi m’accuses-tu à la légère ? N’as-tu p
eille ne saurait-elle rester tant soit peu sans bouger ? — Tu vois »,
répondit
l’éléphant, tandis qu’un cousin voltigeait par ha
mi vient sur l’entrefaite. Fuyons, dit alors le Vieillard. Pourquoy ?
répondit
le paillard ; Me fera-t-on porter double bast, do
lui demanda : « Qui t’a lié et nourri de la sorte ? — Un chasseur, »
répondit
le chien. « Ah ! Dieu garde de cela le loup qui m
charriait dans ses eaux, lui demanda son nom. « Je m’appelle Dure »,
répondit
-elle. Alors précipitant son courant sur elle : «
l tenait dans sa main était vivant ou inanimé. Il voulait, si le dieu
répondait
« inanimé », faire voir le moineau vivant ; s’il
oir étranglé. Mais le dieu, reconnaissant son artificieuse intention,
répondit
: « Assez, l’homme ; car il dépend de toi que ce
lui demanda comment elle allait et où en étaient leurs affaires. Elle
répondit
que tout marchait à souhait et qu’elle n’avait qu
chez la femme du potier et lui demanda comment elle se trouvait. Elle
répondit
que rien ne leur manquait et qu’elle n’avait qu’u
Malade enquis par son Medecin de l’estat de sa santé ; « Je brusle »,
répondit
-il, et « suis tout en eau, à force d’avoir sué ».
is il luy eust fait la mesme demande, et que ce pauvre homme luy eust
répondu
qu’il n’en pouvoit plus, si fort il estoit travai
ants et vigoureux, et les cultivés chétifs et malingres, « C’est que,
répondit
le jardinier, la terre est pour les uns une mère,
sacrificateur l’immolerait au dieu, s’il le trouvait là : « Eh bien !
répondit
l’agneau, je préfère être victime du dieu que de
cheron s’il avait vu des pas de lion et où gîtait la bête. « Je vais,
répondit
le bûcheron, te montrer le lion lui-même. » Le ch
supérieurs en force qu’ils portaient même l’estomac. À quoi celui-ci
répondit
: « Mais, mes amis, si je ne vous fournissais pas
son propos. Il n’arrive rien dans le monde Qu’il ne faille qu’elle en
réponde
. Nous la faisons de tous Echos. Elle est prise à
nt, il l’accusa de troubler l’eau et de l’empêcher de boire. L’agneau
répondit
qu’il ne buvait que du bout des lèvres, et que d’
sé tu as insulté mon père. — Je n’étais pas même né à cette époque, »
répondit
l’agneau. Alors le loup reprit : « Quelle que soi
it quelqu’un de la troupe ; Mais tournez-vous, de grace, et l’on vous
répondra
. A ces mots il se fit une telle huée, Que le pauv
le toit des hommes et à vivre avec eux, comme elle-même. Le rossignol
répondit
: « Je ne veux point raviver le souvenir de mes a
uerre avec les aigles, appelèrent à leur secours les renards. Ceux-ci
répondirent
: « Nous serions venus à votre aide, si nous ne s
lui livrant ? et il allait la tuer ! – Raison de plus pour t’immoler,
répondit
-il, puisque tu n’épargnes même pas ceux de ta tri
x et des hommes. Je te félicite de ta beauté et de ton parfum. – Moi,
répondit
la rose, je ne vis que peu de jours, amarante, et
x-tu dire pourquoi on t’appelle le « profiteur ? » — Si tu en doutes,
répondit
le renard, viens chez moi, je t’offre à dîner. »
était meilleur ; car le gazon y était tout fleuri. Mais la chèvre lui
répondit
: « Ce n’est pas pour moi que tu m’appelles au pâ
s aussi doux qu’éclatans ; Est luy seul l’honneur du Printemps. Junon
répondit
en colere : Oyseau jaloux, et qui devrois te tair
le vends-tu, au lieu de tirer parti de ses secours ? — C’est que moi,
répondit
-il, j’ai besoin d’un secours immédiat, et que lui
ard lui en demanda la cause. Alors le singe lui montrant les tombeaux
répondit
: « Comment ne pas pleurer, en voyant les cippes
hommes, par la raison qu’il ne mangeait pas de cadavre. Le renard lui
répondit
: « Plût aux dieux que tu déchirasses les morts,
plaisamment tous les dieux, il détournait les yeux du seul Plutus. Il
répondit
: « Si je détourne les yeux de lui, c’est qu’au t
rit à l’égard d’une hyène femelle une posture contre nature. Celle-ci
répondit
: « Si tu fais cela, camarade, songe que tu subir
repue de tous mes membres, en me piquant à tort et à travers ? » Elle
répondit
: « C’est notre façon de vivre ; ne ma tue pas ;
pitoyablement sa chair et je bois son sang à pleine bouche. » Le bœuf
répondit
: « J’ai de la reconnaissance à la race des homme
it cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta temerité.
Sire,
répond
l’Agneau, que votre Majesté
Ne se mette pas en c
l demanda au taureau s’il désirait qu’enfin il s’en allât. Le taureau
répondit
: « Quand tu es venu, je ne t’ai pas senti, et qu
u’il avait du plaisir à entendre le bruit de ses dents. Le cheval lui
répondit
: « Hé ! l’ami, si les loups pouvaient user de l’
lui demandant si l’épreuve qu’il avait faite ainsi était probante, il
répondit
: « Moi, je n’ai nul besoin d’une autre épreuve :
nt de la même tribu, ils ne les avaient pas avertis du piège, ceux-ci
répondirent
: « Nous avons plus d’intérêt à nous garder du mé
La Nature envers vous me semble bien injuste. Vostre compassion, luy
répondit
l’Arbuste,
Part d’un bon naturel ; mais quittez
ésenta et demanda si la truie était féconde. « Oui, elle est féconde,
répondit
-il, elle l’est même extraordinairement : aux Myst
omme resta nu et dit : « Moi seul, tu m’as laissé sans faveur. » Zeus
répondit
: « Tu ne prends pas garde au présent que je t’ai
r, lui cria-t-on, que fit-elle ? — Elle se mit en colère contre vous,
répondit
-il, qui négligez les affaires de l’état, pour vou
x, n’es-tu pas venue à mon festin ? — Logis familial, logis idéal ! »
répondit
la tortue. Zeus indigné contre elle la condamna à
r s’adresser à Hermès, à qui il promit un sacrifice. Mais ce dieu lui
répondit
: « Misérable, comment me fierais-je à toi, qui a
it pas bravement combattu et poussé les chèvres dehors, « Sache bien,
répondit
le lion, que tu m’aurais fait peur à moi-même, si
sens inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé les mains ; il
répondit
qu’il venait de descendre d’un mûrier. Comme il d
où nous pourrons boire sans danger. » Et lui, emporté par le courant,
répondit
: « J’ai un message pour Milet, et je veux l’y po
ouverai moi-même de quoi manger. — Mais si je te donne de quoi boire,
répondit
la brebis, c’est moi qui ferai les frais de ton r
evant la métairie, elle leur demanda comment elles allaient : « Bien,
répondirent
-elles, si tu t’en vas d’ici. » C’est ainsi que le
arbres nous sommes exposés aux coups brutaux de la hache. » Zeus leur
répondit
: « C’est vous-mêmes qui êtes les auteurs de votr
re, le gourmanda d’avoir peur, lui lion, d’une souris. À quoi le lion
répondit
: « Ce n’est pas que j’aie eu peur de la souris,
nt rien, se frappent et pleurent avec tant de violence. » La mère lui
répondit
: « Ne t’étonne pas, mon enfant, si ces femmes fo
n’était pas la seule qui eût le malheur de perdre ses petits. « Ah !
répondit
-elle, je me désole moins d’avoir perdu mes enfant
oufflait dessus. Le satyre lui demanda pourquoi il en usait ainsi. Il
répondit
qu’il se chauffait les mains à cause du froid. Ap
ssus. Le satyre lui demanda de nouveau pourquoi il agissait ainsi. Il
répondit
qu’il refroidissait son manger, parce qu’il était
de troubler la rivière et de les forcer à boire de l’eau trouble. Il
répondit
: « Mais si la rivière n’est pas ainsi troublée,
nt à moins de frais, n’ayant qu’une seule demeure. Mais le foulon lui
répondit
: « C’est pour moi totalement impossible : car ce
t à sa mère : « Prie les dieux, mère, et ne pleure pas. » La mère lui
répondit
: « Lequel des dieux, mon enfant, aura pitié de t
me un taureau, lui dirent : « Pourquoi te sauves-tu ? — Je sais bien,
répondit
-il, que je vis dans l’abondance et que j’ai toute
signer parfois à garder le logis toute la journée. — C’est pour cela,
répondit
le Printemps, que les hommes ont plaisir à être d
u bûcheron s’il n’avait pas vu un renard passer par là. De la voix il
répondit
qu’il n’en avait pas vu ; mais de la main il fit
, il ne lui témoignait même pas d’un mot sa reconnaissance, le renard
répondit
: « Je t’aurais dit merci, si tes gestes et tes p
ses enfants. Ceux-ci lui demandant quelle espèce d’oiseau c’était, il
répondit
: « Autant que je sache, moi, c’est un choucas ;
il se mit à supplier la chèvre de ne pas le dire au maître. La chèvre
répondit
: « Quand bien même je garderais le silence, comm
ieu de la secourir, elles n’avaient fait que chanter. Les grenouilles
répondirent
: « Sache bien, camarade, que notre aide ne se do
ans rien faire, jouissait du fruit de ses travaux ! Le chien de garde
répondit
: « Eh mais ! ce n’est pas moi qu’il faut blâmer,
ec du pain et à le jeter au chien qui l’avait mordu. À quoi le blessé
répondit
: « Mais, si je fais cela, je serai fatalement mo
hrodite qu’elle déchirerait la chienne à belles dents. La chienne lui
répondit
ironiquement : « C’est bien fait à toi de nous ju
rs en seront moins rudes Et pour vous plus délicieux ; Car ma fille y
répondra
mieux Estant sans ces inquietudes. Le Lion consen
emanda comment les gens de sa maison l’avaient reçue. « Les bouviers,
répondit
-elle, et les bergers me regardaient de travers. —
» dit l’ivrogne. « C’est moi qui viens apporter à manger aux morts »,
répondit
la femme. Et lui : « Ne m’apporte pas à manger, m
e lion lui enjoignit de dire aussitôt quel était ce remède. Le renard
répondit
: « C’est d’écorcher vif un loup, et de te revêti
le tour pour écarter les voleurs avec leurs aiguillons. Le laboureur
répondit
: « Mais j’ai deux bœufs qui me font tout sans ri
ne chatte, l’ayant vu, lui demanda qui il était et d’où il venait. Il
répondit
: « Le maître vient de m’acheter. – Et tu oses, b
nces, De verser sur les corps certaines influences. Du reste, en quoy
répond
au sort toujours divers Ce train toujours égal do
tative et de trouver une nouvelle ruse pour amener le cerf. Le renard
répondit
: « C’est une commission pénible et difficile que
résenta impudemment. Le cerf, plein de colère et le poil hérissé, lui
répondit
: « Misérable, tu ne m’y prendras plus ; si tu t’
tres bêtes pour en faire des rois et leur monter la tête. » Le renard
répondit
: « Es-tu si couard et si lâche ? Est-ce ainsi qu
ne dit à l’autre : « Amie, descendons ensemble dans ce puits. — Mais,
répondit
l’autre, si l’eau de ce puits vient à se desséche
t-il, comment vont les habitants des enfers ? — Ils sont tranquilles,
répondit
-il, parce qu’ils ont bu l’eau du Léthé. Mais dern
e leurs travaux, se donnent du bon temps. Sur le moment, la fourmi ne
répondit
rien ; mais plus tard, quand vint l’hiver et que
r une autre belette, et la pria de ne point la manger. Celle-ci ayant
répondu
qu’elle détestait toutes les souris, la chauve-so
Cependant jusqu’icy d’un langage nouveau J’ay fait parler le Loup, et
répondre
l’Agneau. J’ay passé plus avant ; les Arbres et l
lion dit : « Tu vois comme nous sommes plus forts que vous. » Le lion
répondit
en souriant : « Si les lions savaient sculpter, t
e vous, et, en dehors de ce cuivre, je ne possède rien. » Mais on lui
répondit
: « Raison de plus pour que tu meures, puisque, n
deux : C’est mon voisin, c’est mon compere. L’Oyseau de Jupiter, sans
répondre
un seul mot, Choque de l’aîle l’Escarbot, L’étour
nda : « Et où prendras-tu de quoi payer tout cela ? — Penses-tu donc,
répondit
-il, que je vais me rétablir pour que les dieux me
Mort parut et lui demanda pour quel motif il l’appelait. Le vieillard
répondit
: « C’est pour que tu me soulèves mon fardeau… »
qui passait en volant de gauche à droite, et il le lui dit. Tirésias
répondit
que cet oiseau ne les concernait pas. À la deuxiè
i reprocha de ne lui avoir rien rapporté. « Ne t’en prends pas à moi,
répondit
-il, mais à la nature du lieu : il est possible d’
pourquoi, n’ayant souffert aucun mal, il s’en allait sans raison. Il
répondit
: « Ce n’est pas sans raison que j’en use ainsi ;
du loup, retira l’os, puis réclama le salaire convenu. « Hé ! l’ami,
répondit
le loup, ne te suffit-il pas d’avoir retiré ta tê
me d’Athènes, il demanda au singe s’il était Athénien. Le singe ayant
répondu
que oui, et qu’il avait même à Athènes des parent
t un renard lui cria d’avoir confiance et de ne pas fuir. Le lion lui
répondit
: « Tu ne m’en imposeras pas ; s’il a un messager
us voyager à l’avenir avec des amis qui se dérobent dans le danger »,
répondit
l’autre. Cette fable montre que les amis véritabl
ette huppée, l’ayant aperçu de loin, lui demanda ce qu’il faisait. Il
répondit
qu’il fondait une ville, puis il s’éloigna et se
ais-tu pas, toi aussi, des provisions ? – Je n’en avais pas le temps,
répondit
la cigale : je chantais mélodieusement. » Les fou
oir prés d’icy rencontrée. Lors une d’or à l’homme estant montrée, Il
répondit
: Je n’y demande rien. Une d’argent succede à la
présenta : lui non plus ne pouvait soutenir le mauvais temps. L’homme
répondit
de même qu’il ne le recevrait pas, s’il ne lui do
r aigrement, en adjoustant les coups aux menaces, le pauvre Chien luy
répondit
, qu’il meritoit bien qu’on luy pardonnast, puis q
u ne m’as point aidé, et maintenant que je viens de te frapper, tu me
réponds
en me comblant de bienfaits. » Cette fable montre
la nature par les rapports qu’il avait avec sa mère et ses sœurs. Il
répondit
qu’en cela aussi il servait l’intérêt de ses maît
ins particuliers qu’il avait pris d’elles, elles se retournèrent pour
répondre
: « Raison de plus pour nous d’être en défiance ;
oiter. Le loup, s’étant approché, lui demanda pourquoi il boitait. Il
répondit
qu’il avait, en franchissant une clôture, mis le
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