y dit-il, « vous m’obligeriez fort, si vous me vouliez resoudre d’une
question
que j’ay à vous faire ». « Quelle est donc ceste
oudre d’une question que j’ay à vous faire ». « Quelle est donc ceste
question
», respondit Xanthus ; « D’où vient », reprit le
e ? » Combien que ce fust le faict d’un Philosophe, de resoudre ceste
question
, si est ce que Xanthus ne sçeut qu’y respondre, s
homme, as-tu bien autant d’esprit qu’il en faut, pour satisfaire à ma
question
». Alors Esope prenant la parole ; « Quand une fe
conviez s’en vint heurter à la porte, et soudain Esope luy fist cette
question
, « Que remuë le chien ? » Il n’en fallût pas dire
utres qui heurta comme eux. Apres donc qu’Esope luy eût fait la mesme
question
, et qu’à ces paroles, « Que remuë le chien ? » il
ay demandé, Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu comprendre ma
question
. Les ayant donc pris pour des Ignorants, je leur
rce qu’il n’y avoit pas un de ses amis qui fust capable d’entendre la
question
de la Tour. Il s’affligea donc d’une estrange sor
s plûtost leuë, que sçachant par quel moyen il falloit resoudre ceste
question
, il se mit à rire, et fist rescrire à Nectenabo,
qui luy bastiroient sa Tour, et un homme qui respondroit à toutes ses
questions
. Lycerus renvoya donc les Ambassadeurs d’Egypte,
se visitoient souvent par lettres, s’envoyant les uns aux autres des
questions
Sophistiques : Ce qu’ils faisoient à telle condit
reçevoit de grands tributs, pource qu’il envoyoit à son nom plusieurs
questions
aux autres Roys, qui ne les pouvoient decider.
de mentir ? Est-il bien possible qu’en une nuict, le chat dont il est
question
, soit allé d’Egypte en Babylone ? » « Pourquoy no
la ville d’Eliopolis un bon nombre d’hommes sçavants, fort versez aux
questions
Sophistiques, il se mit à les entretenir sur la s
oyé de la part de mon Dieu, pour te demander l’esclaircissement d’une
question
dont je suis en doute », Esope l’ayant escouté sa
e l’oyant ainsi parler ; « Vrayment », dit-il, « voila une fort belle
question
, et dont les enfans de nostre pays rendroient rai
ndit un de l’assemblée, « je suis d’advis que nous luy proposions des
questions
, que nous-mesmes n’avons jamais sçeuës, ny ouyes
», adjoûta Esope ; « et s’il est ainsi, comme vous l’asseurez, vostre
question
est vuidée ». Sur cela, Nectenabo plus étonné que
as le corps ». Remarque sur la cent-dixiesme Fable. Il n’est pas
question
de redire icy les advantages que la beauté de l’a
εὐτελοῦς ἡττῶνται. Cod. Mb 235. Un jour la puce faisait au bœuf cette
question
: « Que t’a donc fait l’homme pour que tu les ser
au, l’ouvrit et la lut de manière à être entendu du chien. Il y était
question
de pâture, je veux dire de foi, d’orge et de pail
t de ce pied, fut cause qu’il le remit dans le pot. Comme il fut donc
question
de servir sur table, Esope ayant vuidé les pieds
en proviendroit, il arriva qu’ils prirent un Cerf. Comme il fut donc
question
de le partager, ainsi qu’il avoit esté conclu ent
Serment et qu’il marchait contre les impies, il lui posa une seconde
question
: « Après combien de temps reviens-tu d’habitude
condition, et augmente en quelque façon celle du Favory, quand il est
question
de luy communiquer un secret, encore telle espece
iez à faux, ne demandent qu’un pretexte pour nous attaquer, c’est une
question
de fait, qui a plus besoin d’exemples que de rais
en la cognoissance des choses, ne mette effrontément sur le tapis des
questions
sur des matieres où il n’est aucunement versé, et
ous avons des-obligées, comme dit fort à propos le Renard dont il est
question
. En effect, si c’est presque une foiblesse d’espe
tin se fûrent bien échauffez à boire, et qu’on eust proposé plusieurs
questions
d’une part et d’autre, il y en eut un parmy eux q
« ce nouveau serviteur est tout plein d’esprit ». En suitte de ceste
question
, il y en eust un qui demanda, pourquoy la Brebis
dans son domaine Des mines d’or fournit ce qu’on voulut. Comme il fut
question
de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’offrire
e de luy d’environ quatre pas, et y trouva le thresor, dont il estoit
question
: S’estant mis en mesme temps en devoir de le don
tmoins se rejoignirent enfin avec une parfaite concorde, quand il fût
question
de repousser la redoutable armée du Roy Xerxes ;
xigée par la force. Discours sur la quatriesme Fable. Il est icy
question
de retirer sa parole, quand on l’a donnée par for
lopin : Chacun veut avoir sa piece, avecque de grands profits. Il est
question
à la fin de decreter tout le bien pour quelques h
t legere au Seigneur de la maison. Suyvant quoy pour transferer ceste
question
des choses petites aux grandes, ceux qui gardent,
scendirent dans un Puis, où quand ils eurent bien beu, il ne fût plus
question
que de s’en tirer. Le Bouc en estoit des-jà fort
lustost aux Jurisconsultes, qu’aux Philosophes moraux de vuider ceste
question
; à sçavoir, si ceux qui ont esté en la compagnie
des Philosophes, comme ils furent un peu avant dans le vin, diverses
questions
s’émeurent entr’eux touchant plusieurs choses ; c
à ce propos d’avoir leu, qu’au commencement des choses, quand il fût
question
d’establir en châque lieu une forme de Gouverneme
dvancer la ruyne de leur Autheur, si ce n’est d’avanture quand il est
question
de s’opposer aux pieges d’un Ennemy, et de cherch
aux richesses, et de la pitoyable corruption du siecle. Que s’il est
question
de venir à la source de ce mal, l’on cognoistra q
etterent dans la Mer, qu’affin d’avoir ses richesses. Que s’il estoit
question
de confirmer ceste verité par des exemples ancien
e ils ne l’ayment, et ne le desirent que pour cela. Mais quand il est
question
de limiter cét usage, ils en font la taxe si haut
m’objecte, que ces gents là sont Barbares, premierement je mettray en
question
, si leur rusticité ne vaut pas mieux que nostre l
et par tout semblable à soy-mesme ; il faut necessairement qu’en une
question
de faict, de deux diverses opinions il y en ait t
ce mesme exemple avec beaucoup d’autres, en une dispute où il estoit
question
de sçavoir, si les Animaux ont l’usage du discour
n, soit au recit de ces Histoires, soit en proposant une si aggreable
question
. D’ailleurs, il estoit à propos d’aller au devant
encore plus expressément l’importance du bon conseil, lors qu’estant
question
de terminer quelque haute affaire, ou de sortir d
imitation, quand nous les aurions en horreur par nature. Que s’il est
question
maintenant de venir à l’impudicité, y a-t’il rien
En existait-il même une qui fût exempte de fautes ? Telles furent les
questions
qui se formulèrent dans ma pensée, et, quoique ma
qui les comprendrait tous. Alors s’est forcément posée devant moi la
question
de savoir quel classement j’allais adopter. Au pr
rage défectueux, et, convaincu que le nouveau donne seul à toutes les
questions
traitées leur exacte solution, je n’ai plus qu’un
it son nom latin ? Était-ce Phæder ou Phædrus ? Telle est la première
question
qui a longtemps divisé les critiques. Quelle que
inque in libellos resolvit. Mais ce qui a tranché indubitablement la
question
, c’est la publication qu’en 1830 M. Berger de Xiv
é à recourir au même préservatif. Pourquoi seul y avait-il pensé ? La
question
me semble facile à résoudre. Si, lorsqu’il avait
la composition et de la publication des fables de Phèdre. — Reste la
question
de savoir à quelle époque il écrivit et publia se
EVTYCHES. FILIO DVLCISSIMO54. Mais aucun des affranchis, dont il est
question
dans ces inscriptions, ne me paraît être celui do
re de voir, c’est que, même lorsque, comme Sénèque, ils traitaient de
questions
qui auraient dû appeler son nom sous leur plume,
frère le précieux manuscrit. Mais de qui le tenait-il ? Telle est la
question
qu’en présence du silence des frères Pithou, on a
ête la lettre au président de Thou. Seulement il n’y était pas encore
question
du Père Sirmond, et la phrase que je viens de cit
ait devenu celui de Daniel. Et, quand se posa devant lui l’inévitable
question
de savoir si ce manuscrit était encore au Vatican
onnante nonchalance : « Y est-il encore ? N’y est-il plus ? C’est une
question
dont M. l’abbé Maï pourrait peut-être donner la s
niverselle des musiciens 131, le savant Fétis avait examiné à fond la
question
et irrévocablement démontré qu’Arezzo avait bien
il enfin retrouvé ? Voici la réponse que Ginguené fait à cette double
question
: « Ce manuscrit de Perotti, environ dix ans aprè
es de Phèdre. J’arrive à la partie la plus aride de ma tâche, à la
question
de l’authenticité des fables contenues dans les d
èse, que j’ai provisoirement admise, était-elle exacte ? Telle est la
question
qui est débattue depuis la fin du xvie siècle et
avant même que la découverte du manuscrit de Naples n’eût éclairé la
question
, il était facile, avec un peu d’attention, de s’a
fable xvii du livre III. Avant de trancher avec tant d’assurance une
question
si importante, Schryver aurait dû remarquer qu’il
rté à croire à un oubli. La découverte de son manuscrit a jeté sur la
question
un jour lumineux. « Comme je l’ai écrit ailleurs
sonnalité de leur auteur. Cependant il considérait avec raison que la
question
ne serait pas définitivement tranchée, tant que d
reste, Docen, avec son bon sens et son impartialité, ajoutait que la
question
serait une fois tranchée, si l’on savait au juste
orieux. Il s’en rencontra un pourtant, qui essaya de faire revivre la
question
définitivement résolue : je veux parler de M. Édé
ous sont-elles parvenues sous la forme d’ïambes latins ? Telle est la
question
que M. du Méril se pose et qu’il s’empresse de ré
aï267. » Il me semble n’avoir pas voulu prendre la peine d’étudier la
question
; cela est regrettable, car son opinion aurait ét
sem. Le mot Item indique que dans la fable précédente il devait être
question
du même empereur. Or cette fable manque. Manque-t
tage de la source originale. C’est seulement des premières qu’il sera
question
dans ce deuxième livre, qui ne pourra être que tr
incredibilibus successibus regis David (fol. 1 a à 8 b). Arithmeticæ
question
es ludicræ (fol. 10 a à 19 b). Romuli epistola a
paraphrase des fables de Phèdre. Gude avait en apparence rendu cette
question
facile à résoudre : on pouvait croire en effet qu
opuscules du manuscrit, il prétend qu’il jette un jour complet sur la
question
du feuillet arraché de celui de Pithou. Il ne déc
qualificatif Attica le qualificatif Phrigia 314. Si, pour trancher la
question
, il n’existait pas d’autres textes que ceux que j
ge : « La découverte du plus ancien manuscrit de Romulus a modifié la
question
relative à sa personne, non à vrai dire pour ce q
evêtir du pseudonyme de Romulus ? on conçoit que la solution de cette
question
n’offre qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun d
té ou en partie l’imitation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il est
question
de la plus ancienne, de la qualifier de Romulus o
servé un air de famille saisissant qui trahit une origine commune. La
question
qui reste à résoudre est celle de savoir si l’une
s Fabulæ antiquæ existe-t-il une corrélation aussi étroite ? Voilà la
question
sur laquelle j’ai maintenant à m’expliquer. Il y
urnir la preuve palpable de cette assertion ; car il n’y va plus être
question
que des dérivés directs ou indirects du Romulus p
l’absence du Romulus primitif, on ne peut avec certitude trancher la
question
, j’ai trouvé plus simple et plus prudent de consi
raire que c’est celle sans date qui a paru la première, il y a là une
question
à trancher. Mais comme, pour la trancher, il faud
énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin, exprime des doutes sur la
question
de savoir si le Speculum morale n’est pas l’œuvre
dix-sept. C’est un vaste répertoire qui traite très explicitement de
questions
littéraires et artistiques de tout genre, en comm
réface de son édition des fables de La Fontaine, envisageant ainsi la
question
, il constate qu’en dehors des sujets les fables d
e pas se tromper, on peut, en se fondant sur cet exemple, trancher la
question
de filiation en faveur du Romulus ordinaire. Obli
rois avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont il sera bientôt
question
, et cependant je dois avouer qu’en général les ma
e préoccupation que de savoir de quel Walther il s’agissait. Était-il
question
de Walther de Winterborn ? Évidemment non. Ceux q
, c’est que l’exercice littéraire n’aura pas été poussé plus loin. La
question
de la paternité des fables élégiaques est, je cro
pposition, ce manuscrit n’a rien de commun avec celui dont il est ici
question
. Ce dernier en effet est un de ceux de Naples qui
auquel des deux avait-il fait ses emprunts ? Telles étaient les deux
questions
qui devaient se poser d’elles-mêmes à ma pensée.
u moins ancienne a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a été
question
à la page 488 de ce volume. Les fables, accompagn
Thomæ de Aquino Tractatus de Prædestinatione. Les fables dont il est
question
dans cette nomenclature sont celles de Walther qu
es de Walther, mais encore celle en vers d’Accio Zuccho, dont il sera
question
un peu plus loin. Les deux sonetti, l’un material
u si c’est de son plagiaire que Neckam a fait usage. Pour résoudre la
question
, il faut comparer les textes ; c’est ce que je va
je persister à faire de ce dérivé la source de l’autre ? Telle est la
question
à résoudre. En mettant précédemment le Romulus de
en comprenant au total 81, il s’ensuit que, sauf une dont il va être
question
au commencement du chapitre suivant, le manuscrit
s ancien que la collection du manuscrit 901 a été empruntée. Toute la
question
est de savoir quelle est la nature de cet emprunt
liminaire. Dans la première édition de cet ouvrage, il n’a pas été
question
de la collection que je vais maintenant examiner
te simple remarque qui ne m’avait donné la réponse à aucune des trois
questions
précédentes. En effet, on a pu voir que, parmi le
is dû le faire descendre. Je reconnais qu’on pourra adopter sur cette
question
une solution autre que celle à laquelle je me sui
tion de 136 fables dérivée du Romulus anglo-latin, dont il a déjà été
question
aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le
sion française qu’il faut donner la préférence ? Je n’ose trancher la
question
, et, laissant à de plus habiles le soin de la rés
composé. Combien en possédait-il ? Il est difficile de faire à cette
question
une réponse certaine. Dans ma première édition, j
irectement issue, embrassait, sauf les 24 fables dont il vient d’être
question
, toutes celles qu’on retrouve dans le Dérivé et m
glo-latin, ce qui en élève le nombre total à 114. Reste à examiner la
question
de savoir si le nombre de 114 ne devrait pas être
ardes, les Jongleurs et les Trouvères, voulant sans doute donner à la
question
une solution définitive, l’abbé de la Rue n’hésit
nt-elles les seules que Marie ait composées ? Telle est maintenant la
question
à résoudre. Pour la trancher, je n’ai pas cru dev
Il m’a donc paru prudent de demander aux manuscrits la solution de la
question
. Je m’empresse de dire qu’ils m’ont semblé lui do
rait au besoin ma démonstration. À l’égard des dix-huit dernières, la
question
relative à leur origine est un peu plus difficile
ier ne nous étant pas parvenues, il n’y a qu’une façon de résoudre la
question
, c’est de voir lequel du texte du Dérivé complet
berti ont été tirés de la même œuvre ? Sans nul doute. Aussi la seule
question
est-elle de savoir quelle est cette œuvre unique.
démontre ce texte, c’est que le Dérivé de 136 fables, puisqu’il y est
question
de la version anglaise, l’a, non précédée, mais s
é hexamétrique. C’est ici pour la première fois qu’il aura été
question
de la collection de fables en vers hexamètres don
nir à la fable du Loup régnant et du Singe dont il a été précédemment
question
, elle embrasse à elle seule cent soixante et un v
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