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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
y dit-il, « vous m’obligeriez fort, si vous me vouliez resoudre d’une question que j’ay à vous faire ». « Quelle est donc ceste
oudre d’une question que j’ay à vous faire ». « Quelle est donc ceste question  », respondit Xanthus ; « D’où vient », reprit le
e ? » Combien que ce fust le faict d’un Philosophe, de resoudre ceste question , si est ce que Xanthus ne sçeut qu’y respondre, s
homme, as-tu bien autant d’esprit qu’il en faut, pour satisfaire à ma question  ». Alors Esope prenant la parole ; « Quand une fe
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
conviez s’en vint heurter à la porte, et soudain Esope luy fist cette question , « Que remuë le chien ? » Il n’en fallût pas dire
utres qui heurta comme eux. Apres donc qu’Esope luy eût fait la mesme question , et qu’à ces paroles, « Que remuë le chien ? » il
ay demandé, Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu comprendre ma question . Les ayant donc pris pour des Ignorants, je leur
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
rce qu’il n’y avoit pas un de ses amis qui fust capable d’entendre la question de la Tour. Il s’affligea donc d’une estrange sor
s plûtost leuë, que sçachant par quel moyen il falloit resoudre ceste question , il se mit à rire, et fist rescrire à Nectenabo,
qui luy bastiroient sa Tour, et un homme qui respondroit à toutes ses questions . Lycerus renvoya donc les Ambassadeurs d’Egypte,
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
se visitoient souvent par lettres, s’envoyant les uns aux autres des questions Sophistiques : Ce qu’ils faisoient à telle condit
reçevoit de grands tributs, pource qu’il envoyoit à son nom plusieurs questions aux autres Roys, qui ne les pouvoient decider.
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
de mentir ? Est-il bien possible qu’en une nuict, le chat dont il est question , soit allé d’Egypte en Babylone ? » « Pourquoy no
la ville d’Eliopolis un bon nombre d’hommes sçavants, fort versez aux questions Sophistiques, il se mit à les entretenir sur la s
oyé de la part de mon Dieu, pour te demander l’esclaircissement d’une question dont je suis en doute », Esope l’ayant escouté sa
e l’oyant ainsi parler ; « Vrayment », dit-il, « voila une fort belle question , et dont les enfans de nostre pays rendroient rai
ndit un de l’assemblée, « je suis d’advis que nous luy proposions des questions , que nous-mesmes n’avons jamais sçeuës, ny ouyes 
», adjoûta Esope ; « et s’il est ainsi, comme vous l’asseurez, vostre question est vuidée ». Sur cela, Nectenabo plus étonné que
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CX. Du Renard, et du Leopard. »
as le corps ». Remarque sur la cent-dixiesme Fable. Il n’est pas question de redire icy les advantages que la beauté de l’a
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 359 » p. 273
εὐτελοῦς ἡττῶνται. Cod. Mb 235. Un jour la puce faisait au bœuf cette question  : « Que t’a donc fait l’homme pour que tu les ser
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
au, l’ouvrit et la lut de manière à être entendu du chien. Il y était question de pâture, je veux dire de foi, d’orge et de pail
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
t de ce pied, fut cause qu’il le remit dans le pot. Comme il fut donc question de servir sur table, Esope ayant vuidé les pieds
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
en proviendroit, il arriva qu’ils prirent un Cerf. Comme il fut donc question de le partager, ainsi qu’il avoit esté conclu ent
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
Serment et qu’il marchait contre les impies, il lui posa une seconde question  : « Après combien de temps reviens-tu d’habitude
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
condition, et augmente en quelque façon celle du Favory, quand il est question de luy communiquer un secret, encore telle espece
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
iez à faux, ne demandent qu’un pretexte pour nous attaquer, c’est une question de fait, qui a plus besoin d’exemples que de rais
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
en la cognoissance des choses, ne mette effrontément sur le tapis des questions sur des matieres où il n’est aucunement versé, et
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
ous avons des-obligées, comme dit fort à propos le Renard dont il est question . En effect, si c’est presque une foiblesse d’espe
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
tin se fûrent bien échauffez à boire, et qu’on eust proposé plusieurs questions d’une part et d’autre, il y en eut un parmy eux q
« ce nouveau serviteur est tout plein d’esprit ». En suitte de ceste question , il y en eust un qui demanda, pourquoy la Brebis
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
dans son domaine Des mines d’or fournit ce qu’on voulut. Comme il fut question de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’offrire
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
e de luy d’environ quatre pas, et y trouva le thresor, dont il estoit question  : S’estant mis en mesme temps en devoir de le don
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
tmoins se rejoignirent enfin avec une parfaite concorde, quand il fût question de repousser la redoutable armée du Roy Xerxes ;
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
xigée par la force. Discours sur la quatriesme Fable. Il est icy question de retirer sa parole, quand on l’a donnée par for
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
lopin : Chacun veut avoir sa piece, avecque de grands profits. Il est question à la fin de decreter tout le bien pour quelques h
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
t legere au Seigneur de la maison. Suyvant quoy pour transferer ceste question des choses petites aux grandes, ceux qui gardent,
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
scendirent dans un Puis, où quand ils eurent bien beu, il ne fût plus question que de s’en tirer. Le Bouc en estoit des-jà fort
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
lustost aux Jurisconsultes, qu’aux Philosophes moraux de vuider ceste question  ; à sçavoir, si ceux qui ont esté en la compagnie
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
des Philosophes, comme ils furent un peu avant dans le vin, diverses questions s’émeurent entr’eux touchant plusieurs choses ; c
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
à ce propos d’avoir leu, qu’au commencement des choses, quand il fût question d’establir en châque lieu une forme de Gouverneme
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
dvancer la ruyne de leur Autheur, si ce n’est d’avanture quand il est question de s’opposer aux pieges d’un Ennemy, et de cherch
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
aux richesses, et de la pitoyable corruption du siecle. Que s’il est question de venir à la source de ce mal, l’on cognoistra q
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
etterent dans la Mer, qu’affin d’avoir ses richesses. Que s’il estoit question de confirmer ceste verité par des exemples ancien
e ils ne l’ayment, et ne le desirent que pour cela. Mais quand il est question de limiter cét usage, ils en font la taxe si haut
m’objecte, que ces gents là sont Barbares, premierement je mettray en question , si leur rusticité ne vaut pas mieux que nostre l
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
et par tout semblable à soy-mesme ; il faut necessairement qu’en une question de faict, de deux diverses opinions il y en ait t
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ce mesme exemple avec beaucoup d’autres, en une dispute où il estoit question de sçavoir, si les Animaux ont l’usage du discour
n, soit au recit de ces Histoires, soit en proposant une si aggreable question . D’ailleurs, il estoit à propos d’aller au devant
encore plus expressément l’importance du bon conseil, lors qu’estant question de terminer quelque haute affaire, ou de sortir d
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
imitation, quand nous les aurions en horreur par nature. Que s’il est question maintenant de venir à l’impudicité, y a-t’il rien
33 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
En existait-il même une qui fût exempte de fautes ? Telles furent les questions qui se formulèrent dans ma pensée, et, quoique ma
qui les comprendrait tous. Alors s’est forcément posée devant moi la question de savoir quel classement j’allais adopter. Au pr
rage défectueux, et, convaincu que le nouveau donne seul à toutes les questions traitées leur exacte solution, je n’ai plus qu’un
it son nom latin ? Était-ce Phæder ou Phædrus ? Telle est la première question qui a longtemps divisé les critiques. Quelle que
inque in libellos resolvit. Mais ce qui a tranché indubitablement la question , c’est la publication qu’en 1830 M. Berger de Xiv
é à recourir au même préservatif. Pourquoi seul y avait-il pensé ? La question me semble facile à résoudre. Si, lorsqu’il avait
la composition et de la publication des fables de Phèdre. — Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit et publia se
EVTYCHES. FILIO DVLCISSIMO54. Mais aucun des affranchis, dont il est question dans ces inscriptions, ne me paraît être celui do
re de voir, c’est que, même lorsque, comme Sénèque, ils traitaient de questions qui auraient dû appeler son nom sous leur plume,
frère le précieux manuscrit. Mais de qui le tenait-il ? Telle est la question qu’en présence du silence des frères Pithou, on a
ête la lettre au président de Thou. Seulement il n’y était pas encore question du Père Sirmond, et la phrase que je viens de cit
ait devenu celui de Daniel. Et, quand se posa devant lui l’inévitable question de savoir si ce manuscrit était encore au Vatican
onnante nonchalance : « Y est-il encore ? N’y est-il plus ? C’est une question dont M. l’abbé Maï pourrait peut-être donner la s
niverselle des musiciens 131, le savant Fétis avait examiné à fond la question et irrévocablement démontré qu’Arezzo avait bien
il enfin retrouvé ? Voici la réponse que Ginguené fait à cette double question  : « Ce manuscrit de Perotti, environ dix ans aprè
es de Phèdre. J’arrive à la partie la plus aride de ma tâche, à la question de l’authenticité des fables contenues dans les d
èse, que j’ai provisoirement admise, était-elle exacte ? Telle est la question qui est débattue depuis la fin du xvie  siècle et
avant même que la découverte du manuscrit de Naples n’eût éclairé la question , il était facile, avec un peu d’attention, de s’a
fable xvii du livre III. Avant de trancher avec tant d’assurance une question si importante, Schryver aurait dû remarquer qu’il
rté à croire à un oubli. La découverte de son manuscrit a jeté sur la question un jour lumineux. « Comme je l’ai écrit ailleurs
sonnalité de leur auteur. Cependant il considérait avec raison que la question ne serait pas définitivement tranchée, tant que d
reste, Docen, avec son bon sens et son impartialité, ajoutait que la question serait une fois tranchée, si l’on savait au juste
orieux. Il s’en rencontra un pourtant, qui essaya de faire revivre la question définitivement résolue : je veux parler de M. Édé
ous sont-elles parvenues sous la forme d’ïambes latins ? Telle est la question que M. du Méril se pose et qu’il s’empresse de ré
aï267. » Il me semble n’avoir pas voulu prendre la peine d’étudier la question  ; cela est regrettable, car son opinion aurait ét
sem. Le mot Item indique que dans la fable précédente il devait être question du même empereur. Or cette fable manque. Manque-t
tage de la source originale. C’est seulement des premières qu’il sera question dans ce deuxième livre, qui ne pourra être que tr
incredibilibus successibus regis David (fol. 1 a à 8 b). Arithmeticæ question es ludicræ (fol. 10 a à 19 b). Romuli epistola a
paraphrase des fables de Phèdre. Gude avait en apparence rendu cette question facile à résoudre : on pouvait croire en effet qu
opuscules du manuscrit, il prétend qu’il jette un jour complet sur la question du feuillet arraché de celui de Pithou. Il ne déc
qualificatif Attica le qualificatif Phrigia 314. Si, pour trancher la question , il n’existait pas d’autres textes que ceux que j
ge : « La découverte du plus ancien manuscrit de Romulus a modifié la question relative à sa personne, non à vrai dire pour ce q
evêtir du pseudonyme de Romulus ? on conçoit que la solution de cette question n’offre qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun d
té ou en partie l’imitation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il est question de la plus ancienne, de la qualifier de Romulus o
servé un air de famille saisissant qui trahit une origine commune. La question qui reste à résoudre est celle de savoir si l’une
s Fabulæ antiquæ existe-t-il une corrélation aussi étroite ? Voilà la question sur laquelle j’ai maintenant à m’expliquer. Il y
urnir la preuve palpable de cette assertion ; car il n’y va plus être question que des dérivés directs ou indirects du Romulus p
l’absence du Romulus primitif, on ne peut avec certitude trancher la question , j’ai trouvé plus simple et plus prudent de consi
raire que c’est celle sans date qui a paru la première, il y a là une question à trancher. Mais comme, pour la trancher, il faud
énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin, exprime des doutes sur la question de savoir si le Speculum morale n’est pas l’œuvre
dix-sept. C’est un vaste répertoire qui traite très explicitement de questions littéraires et artistiques de tout genre, en comm
réface de son édition des fables de La Fontaine, envisageant ainsi la question , il constate qu’en dehors des sujets les fables d
e pas se tromper, on peut, en se fondant sur cet exemple, trancher la question de filiation en faveur du Romulus ordinaire. Obli
rois avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont il sera bientôt question , et cependant je dois avouer qu’en général les ma
e préoccupation que de savoir de quel Walther il s’agissait. Était-il question de Walther de Winterborn ? Évidemment non. Ceux q
, c’est que l’exercice littéraire n’aura pas été poussé plus loin. La question de la paternité des fables élégiaques est, je cro
pposition, ce manuscrit n’a rien de commun avec celui dont il est ici question . Ce dernier en effet est un de ceux de Naples qui
auquel des deux avait-il fait ses emprunts ? Telles étaient les deux questions qui devaient se poser d’elles-mêmes à ma pensée.
u moins ancienne a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a été question à la page 488 de ce volume. Les fables, accompagn
Thomæ de Aquino Tractatus de Prædestinatione. Les fables dont il est question dans cette nomenclature sont celles de Walther qu
es de Walther, mais encore celle en vers d’Accio Zuccho, dont il sera question un peu plus loin. Les deux sonetti, l’un material
u si c’est de son plagiaire que Neckam a fait usage. Pour résoudre la question , il faut comparer les textes ; c’est ce que je va
je persister à faire de ce dérivé la source de l’autre ? Telle est la question à résoudre. En mettant précédemment le Romulus de
en comprenant au total 81, il s’ensuit que, sauf une dont il va être question au commencement du chapitre suivant, le manuscrit
s ancien que la collection du manuscrit 901 a été empruntée. Toute la question est de savoir quelle est la nature de cet emprunt
liminaire. Dans la première édition de cet ouvrage, il n’a pas été question de la collection que je vais maintenant examiner
te simple remarque qui ne m’avait donné la réponse à aucune des trois questions précédentes. En effet, on a pu voir que, parmi le
is dû le faire descendre. Je reconnais qu’on pourra adopter sur cette question une solution autre que celle à laquelle je me sui
tion de 136 fables dérivée du Romulus anglo-latin, dont il a déjà été question aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le
sion française qu’il faut donner la préférence ? Je n’ose trancher la question , et, laissant à de plus habiles le soin de la rés
composé. Combien en possédait-il ? Il est difficile de faire à cette question une réponse certaine. Dans ma première édition, j
irectement issue, embrassait, sauf les 24 fables dont il vient d’être question , toutes celles qu’on retrouve dans le Dérivé et m
glo-latin, ce qui en élève le nombre total à 114. Reste à examiner la question de savoir si le nombre de 114 ne devrait pas être
ardes, les Jongleurs et les Trouvères, voulant sans doute donner à la question une solution définitive, l’abbé de la Rue n’hésit
nt-elles les seules que Marie ait composées ? Telle est maintenant la question à résoudre. Pour la trancher, je n’ai pas cru dev
Il m’a donc paru prudent de demander aux manuscrits la solution de la question . Je m’empresse de dire qu’ils m’ont semblé lui do
rait au besoin ma démonstration. À l’égard des dix-huit dernières, la question relative à leur origine est un peu plus difficile
ier ne nous étant pas parvenues, il n’y a qu’une façon de résoudre la question , c’est de voir lequel du texte du Dérivé complet
berti ont été tirés de la même œuvre ? Sans nul doute. Aussi la seule question est-elle de savoir quelle est cette œuvre unique.
démontre ce texte, c’est que le Dérivé de 136 fables, puisqu’il y est question de la version anglaise, l’a, non précédée, mais s
é hexamétrique.     C’est ici pour la première fois qu’il aura été question de la collection de fables en vers hexamètres don
nir à la fable du Loup régnant et du Singe dont il a été précédemment question , elle embrasse à elle seule cent soixante et un v
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