oya les conviez
Pour la pluspart estropiez.
La renommée eut soin de
publier
l’affaire.
Chacun cria miracle ; on doubla le sa
Préface de la première édition Je me propose de
publier
, en faisant précéder les textes de leur histoire
ne devant m’arrêter qu’au commencement de la Renaissance, j’aurais dû
publier
, dans l’ordre de leurs apparitions successives, l
; en effet, il ne faut pas oublier que, parmi les fables que je vais
publier
, il en est beaucoup qui sont dues à des auteurs a
mes yeux, un prix tout particulier : ce fut celle que M. Gaston Paris
publia
dans les numéros du Journal des Savants des mois
st presque en état de paraître. L’auteur ne se décidera pourtant à le
publier
que si son premier livre rencontre un accueil fav
saurait prétendre un ouvrage qui a dû coûter si cher à préparer et à
publier
; c’est évidemment l’opinion du public compétent
employant, j’étais souvent obligé de me référer à ce que j’avais déjà
publié
, et ce regard en arrière me fit bientôt apercevoi
ion. Ainsi il rappelle que, dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter,
publiées
à Heidelberg, en 1601 selon Niceron et en 1603 se
comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des traductions françaises,
publiée
en 164727, Isaac Le Maître de Sacy l’a rendu par
devancier29, et moi-même, dans ma traduction littérale en vers libres
publiée
en 188130, quoique ayant l’intuition de leur erre
e Phèdre. — Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit et
publia
ses cinq livres. L’opinion la plus généralement a
es, c’est qu’aucun des cinq livres de Phèdre ne fut écrit ou au moins
publié
pendant la vie de Tibère. Croyant y trouver des a
ar cette manière de voir, est porté à penser que les fables ne furent
publiées
qu’après la mort de Tibère, pendant la vie duquel
nt à la vieillesse, il ne songea qu’au repos et ne s’occupa pas de la
publier
. Après avoir analysé les diverses opinions des cr
avait en général empêché les critiques d’admettre qu’ils eussent été
publiés
ou seulement écrits sous Tibère, c’est qu’ils y a
r, il avait pu, sans rien craindre, non seulement écrire, mais encore
publier
ses deux premiers livres. Quoi qu’il en soit, si
ie par l’édit rendu à cette époque, il rentra au barreau de Paris, et
publia
les 42 Novelles des empereurs Théodose le Jeune,
it et qui lui permirent d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de
publier
la loi des Wisigoths. Pendant cette tranquille pé
hou à son frère François. « Celui-ci, dit M. Berger de Xivrey, avait
publié
, en 1576, un manuscrit de la bibliothèque de Pier
quatre-vingt-seize. « Ainsi signé : P. Pithou. » Telle est l’édition
publiée
par Pierre Pithou. Je n’en connais que 14 exempla
dans son article sur l’édition diplomatique de M. Berger de Xivrey73,
publié
dans le Journal des savants en décembre 183074, d
vation. Tels sont les seuls exemplaires que je connaisse de l’édition
publiée
par Pierre Pithou. Je reviens maintenant à l’édit
oudront le lire au texte et à la traduction française, qui en ont été
publiés
par son biographe80. Après ce que j’ai dit de Pie
Pendant les guerres de religion il s’était exilé à Bâle, où il avait
publié
la traduction latine des Novelles de Justinien pa
gée, et c’est seulement en 1596 que la première édition de Phèdre fut
publiée
. Celui qui sut, dès 1564, exhumer l’Aulularia, co
que Pierre Pithou, l’ayant ensuite reçu de son frère, en aurait ainsi
publié
la première édition. On comprend, sans que j’aie
France que douze ans après. Dans la mauvaise édition de Phèdre qu’il
publia
en 1809, Boinvilliers aggrava en ces termes l’err
ims dans la bibliothèque de Saint-Remi, et ne s’était empressé de les
publier
conjointement avec son frère en 1596. » La vérit
et ce ne fut qu’après une étude consciencieuse du manuscrit qu’il en
publia
une nouvelle édition. Ceux qui douteraient qu’il
méditations ultérieures. Il faut l’en remercier. L’année suivante, il
publiait
enfin le fameux monument chez l’imprimeur Ambrois
é commencée, j’ai été enfin admis à copier le texte de Phèdre, je l’y
publierai
diplomatiquement, et, en procédant ainsi, je tâch
upçonne M. Berger de Xivrey d’avoir commises. Sinon, l’édition que je
publierai
sera une simple reproduction de la sienne. Quant
général de sa compagnie, les fonctions de secrétaire, lorsque furent
publiées
les fables de Phèdre. Comme on l’a vu, Pierre Pit
s’en servit pour l’édition in-4º, imprimée par Robert Étienne, qu’il
publia
en 1617, sous ce titre : « Phædri Aug. liberti fa
abularum Æsopiarum libri V, nova editio. » Dans sa troisième édition,
publiée
en 1630, chez Sébastien Cramoisy, édition in-12 q
variantes du manuscrit de Reims, même pour sa première édition in-12,
publiée
à Paris chez Drouart à la fin de 1599. En effet,
manuscrit ; c’était même, pour servir au petit traité de paléographie
publié
en 1770 dans son Spectacle de la nature 102, qu’i
ncemagne placés en tête d’un exemplaire du Phèdre, in-4º, de Rigault,
publié
en 1617 par Robert Étienne. Cet exemplaire était
bliothèque, Dom Vincent, sur un exemplaire classique in-12 de Phèdre,
publié
en 1743 à Paris par la veuve Brocas, avait eu la
elles différaient du texte de l’édition bien connue de Pierre Danet,
publiée
en 1675 dans le format in-4º « par ordre du Roi t
te de recourir aux sources, s’en servir pour composer l’édition qu’il
publia
en 1783. Adry l’étudia à son tour, et en prit mêm
écieux exemplaire de l’édition classique de la veuve Brocas, et il en
publia
, avec un soin remarquable, toutes les variantes m
son tour. Malheureusement M. Berger de Xivrey, qui a pris la peine de
publier
les variantes signalées par Dom Vincent, n’a pas
is la veuve Brocas était le libraire classique de son temps ; elle ne
publiait
guère que des éditions à l’usage des élèves des c
ur le surplus, aux variantes, que, d’après le Père Sirmond, Rigault a
publiées
, et à celles que Gude a prises lui-même sur le ma
nt un peu dénaturées. En somme, il est encore possible aujourd’hui de
publier
le texte rigoureusement exact du manuscrit de Sai
’il avait mises en vers ïambiques et que Burmann avait découvertes et
publiées
, Dom Vincent avait craint qu’on ne s’imaginât qu’
passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les mains du savant qui l’avait
publié
. Confondant de même les deux manuscrits, certains
écédente, n’en est pas moins fausse. Ils avaient cru que Pithou avait
publié
les fables de Phèdre d’après un vieux codex, qui,
il est de cent ans environ le moins ancien. Mais les spécimens que je
publie
ne présentent pas des différences assez grandes p
comédie jointe au Phèdre, ne serait point le Querolus sive Aulularia,
publié
par P. Daniel en 1564, comédie que l’auteur des R
n’en porta d’autre jugement, sinon que “ce fut celle-là même qui fut
publiée
en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l
ersa bibliotheca Vaticana… procuratoribus Gallorum traditi fuere , et
publié
à Leipzig en 1815 chez le libraire Paul Gotthelf
n des classiques latins de Lemaire ; je consultai le Phèdre qui a été
publié
en 1826 dans cette collection et qui n’est avec q
es instructifs travaux, je l’aurais trouvée dans le troisième volume,
publié
à Rome en 1831, de sa collection des auteurs clas
ans le supplément ajouté par Orelli, en 1832, à son édition de Phèdre
publiée
à Zurich l’année précédente, soit dans la remarqu
emarquable notice de M. Jules Fleutelot, qui figure en tête du Phèdre
publié
en 1839 dans la collection des classiques latins
siques latins de M. Nisard, soit dans l’histoire de la fable ésopique
publiée
par M. Edelestand du Méril en 1854, soit enfin da
nçais, qui contient la chanson de geste intitulée Otinel et qui a été
publié
par MM. Guessard et Michelant en 1859. Malheureus
lement du xive siècle. Elle a, comme je l’ai déjà dit, été, en 1859,
publiée
par MM. Guessard et Michelant qui ont pris la pei
tant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux dernières éditions
publiées
en 1617 et en 1630, supprimé l’indication par lui
p. 42. » Quant à Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait
publié
une lettre écrite à Utrecht en 1658, dans laquell
portant la cote 268 dont je dois dire ici quelques mots. Lorsque j’ai
publié
la première édition de cet ouvrage, je ne l’avais
otti ne fut pas ingrat envers son oncle. Il s’occupa après sa mort de
publier
ses ouvrages, et ce fut lui qui, en 1489, fit imp
s connus de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dans ses Apes Urbanæ,
publiées
à Rome en 1633 et rééditées à Hambourg en 1711150
is Jacobilli151, qui, dans son Catalogus scriptorum provinciæ Umbriæ,
publié
à Foligno en 1658152, ne l’avait pas signalé dava
est vrai que Philippe avait relevé ces variantes dans l’édition qu’il
publia
, non pas, comme le dit le Père Desbillons163, che
l’édition, dans laquelle, en 1727, Burmann avait pris la peine de les
publier
à la fin de la préface, et c’est ce qu’il me para
opies distinctes. Burmann n’avait, des variantes du texte de Perotti,
publié
que celles qui concernaient les fables anciennes
anciennes, il peut reproduire plus ou moins fidèlement les variantes
publiées
par Burmann ; mais il n’en découvre aucune qui pu
ia à la hâte. Quoi qu’il en soit, Cassitto, à la fin de l’année 1808,
publia
les trente-deux fables nouvelles que contenait le
gé un savant récemment attaché à la bibliothèque, Cataldi Jannelli, à
publier
le manuscrit retrouvé de Perotti. Entré à la bibl
er sur lui à son tour par la supériorité du travail. Cassitto n’avait
publié
qu’un extrait du manuscrit ; il entreprit de le f
s’écroule. Si l’on a recours à la traduction en prose de M. Bagioli,
publiée
en 1812, on y trouve : « Une femme perdit son épo
e brochure de quelques petites pages qui contenaient ces mêmes fables
publiées
par J.-Ant. Cassitto. Cette apparition m’émut, no
e, mais même comme absolument nécessaire. Je m’aperçus que les fables
publiées
par Cassitto s’écartaient et différaient du genre
tant pour nous devancer, il osa les compléter, corriger, rectifier et
publier
, et il en confia la publication à un éditeur qui
s qu’il avait négligées comme illisibles ou immorales, Jannelli avait
publié
le manuscrit tel qu’il l’avait lu, laissant en bl
ses conjectures dans des notes courantes. Quelques semaines après, il
publia
une nouvelle édition qui ne contenait que les fab
to avait du moins averti les lecteurs qu’il ne s’était pas proposé de
publier
les fables sur la foi de leur texte, mais qu’il a
de comparer ensemble : 1º Le texte de la première édition de Cassitto
publiée
en 23 pages à la fin de l’année 1808 ; 2º Le tex
fin de l’année 1808 ; 2º Le texte de son édition imprimée en 1809 et
publiée
en 287 pages aux ides de février 1811 ; 3º Le tex
des de février 1811 ; 3º Le texte de la deuxième édition de Cassitto,
publiée
en 4 pages aux nones de février 1811. Désirant, s
amour-propre de savant, et l’amour-propre blessé ne pardonne pas. Il
publia
donc à Naples, vers le mois d’avril 1812, sous fo
re à l’authenticité, et partout, dès l’année 1812, on s’empressa d’en
publier
de nouvelles éditions. Adry en cite trois, publié
on s’empressa d’en publier de nouvelles éditions. Adry en cite trois,
publiées
à Paris au cours de cette année177, la première,
serait pas à sa vraie place. Je continue la nomenclature des éditions
publiées
en 1812. En Italie, où sans doute on était fier d
elli, une édition de luxe, dans le format in-folio, fut immédiatement
publiée
. Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir :
et socior. | M.DCCC.XII. Une édition plus modeste fut en même temps
publiée
dans le format in-12 avec ce frontispice : Phædr
magne, dès le commencement de la même année, il fut, comme en Italie,
publié
une édition in-folio, assez mal imprimée d’ailleu
bus. | Ex officina Caroli Schlotteri 178. Puis, comme en Italie, fut
publiée
une édition courante, in-8º, de 46 pages, qui ne
179. Les années suivantes, de nouvelles éditions continuèrent à être
publiées
. Mais je m’abstiens d’en donner ici la nomenclatu
ppe Dura, chez qui je trouvai un exemplaire de l’édition du manuscrit
publiée
en 1809 par Jannelli. Il me servit à lire sans ef
t là ce qui explique que son neveu n’ait pas, avec ses autres œuvres,
publié
son recueil de poésies. Il voulait auparavant y f
te, mais dont ils ignoraient l’existence. Vers 1830, à l’époque où il
publiait
les anciens classiques d’après les manuscrits du
e en marge d’un ancien oracle de Delphes et que Jannelli a eu soin de
publier
. Le cardinal Angelo Maï, lorsqu’il fit cette déco
e cardinal Angelo Maï, lorsqu’il fit cette découverte, n’avait encore
publié
que les deux premiers volumes de son ouvrage inti
res, imprimé avec les caractères typographiques du Vatican et qui fut
publié
à Rome en 1831, le célèbre savant inséra l’épître
collection des classiques du Vatican, le philologue Orelli, à Zurich,
publiait
une édition de Phèdre, dans laquelle il avait fai
division s’impose : la partie des fables de Phèdre qui a été d’abord
publiée
par Pierre Pithou et celle qui, deux siècles aprè
ord publiée par Pierre Pithou et celle qui, deux siècles après, a été
publiée
par Cassitto et Jannelli, ayant été puisées à des
que d’Auguste. » Il y avait vingt-quatre ans que Pierre Pithou avait
publié
son précieux manuscrit, et personne, depuis longt
on si cavalièrement exercée sur leur conscience : les ouvrages qu’ils
publièrent
en font foi. À défaut des manuscrits, qui auraien
ki, à Wissembourg en Transylvanie, sur la pierre d’un ancien tombeau,
publiée
par lui à Padoue, en 1593, dans ses Analecta lapi
s n’hésitèrent pas à l’accuser de plagiat. Ainsi, dans ses Adversaria
publiés
à Francfort en 1624, Barth réfutant Schryver prof
foi, formuler une affirmation fausse, que probablement, s’il avait pu
publier
lui-même son ouvrage, il aurait aperçue et rectif
e les engage à lire attentivement la première des trois dissertations
publiées
en 1811 par Jannelli205. Il est probable qu’après
nèque : G.-J. Vossius, dans son ouvrage intitulé De poetis latinis et
publié
en 1654 après sa mort209, en adoptant, comme Lips
macédonienne ; le Père Vavasseur, dans son livre De ludicra dictione
publié
en 1658210, en supposant que les fables de Phèdre
oque de Sénèque ; Bayle, dans son Dictionnaire historique et critique
publié
en 1697211, en affirmant que « Sénèque avait oubl
ppelât les fables de Phèdre » ; Fabricius, dans sa Bibliotheca Latina
publiée
à Hambourg en 1697212, en prétendant qu’il n’avai
en prose ; Cannegieter, dans sa Dissertatio de ætate et stilo Aviani,
publiée
à Amsterdam en 1731213, en considérant les Consol
llert, dans sa Dissertatio de poësi Apologorum eorumque scriptoribus,
publiée
à Leipzig en 1744214, en alléguant qu’il avait co
llemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous le nom de Funccius. Il
publia
, en 1747, sous le titre Apologia pro Phædro eiusq
Hollande, d’Orville, dans son commentaire sur le Chariton d’Aphrodise
publié
en 1750221, combattit l’opinion de Christ. En Fra
Voici comment il s’exprime dans la préface de sa traduction en vers,
publiée
en 1754, des fables et contes allemands de Geller
urellement. » Le Père Brotier, dans son édition des fables de Phèdre
publiée
à Paris en 1783, adoptant une des explications dé
. Le judicieux Père Desbillons dans son édition des fables de Phèdre,
publiée
à Mannheim en 1786, se fit à son tour le défenseu
ar ses fables attiré une si grande infortune, pouvait-il songer à les
publier
? Tout ce que nous venons de rappeler démontre as
ur les arguments par lesquels, dans son édition des fables de Phèdre,
publiée
en 1806, il a revendiqué pour le fabuliste romain
érielles n’auraient pas été produites. Il avait bien déjà à cet effet
publié
un fac-simile de l’écriture du manuscrit de Reims
arlement de Paris, devait en faire une étude spéciale destinée à être
publiée
avec un fac-simile de l’écriture. Malheureusement
il passa outre et rédigea la dissertation dont j’ai donné l’analyse.
Publiée
à Brunswick, en 1806, dans sa seconde édition des
erdues. » Elles furent enfin retrouvées. L’édition que Schwabe avait
publiée
en 1806, fut rééditée par le professeur Gail, en
lui-même satisfaction à son désir : il sollicita vivement M. Hase de
publier
le manuscrit. Celui-ci, trop affairé pour se char
econd document, destiné aussi à parler aux yeux des sceptiques : il a
publié
le fac-similé de l’écriture du manuscrit de Reims
x collections de ces fables en prose attribuées à deux Romulus furent
publiées
, l’une par Rimicius ou plutôt Rinucius Tettalus v
que Phèdre n’a composé que cinq livres, ne prouve rien. Phèdre ne les
publia
que les uns après les autres, et peut-être, alors
l avait voulu prendre la peine d’en lire la traduction par M. Bagioli
publiée
à Paris en 1812 et citée par lui-même, ne lui aur
y s’imposa aux érudits. En 1826, dans l’édition des fables de Phèdre,
publiée
par Gail sous la direction de Lemaire, Barbier, d
la lecture de Phèdre n’a pu se montrer favorable aux nouvelles fables
publiées
en Italie. Son opinion est partagée par tous les
e Naples, à extraire de l’Epitome de Perotti les fables inédites, eût
publié
le recueil tout entier : par là chacun aurait su
nt dans la plupart de leurs éditions de Phèdre ils n’ont pas cessé de
publier
les fables nouvelles à la suite des anciennes, ma
sixième. 1847. Fables de Phèdre tant anciennes que nouvelles
publiées
par Angelo Maï et les fables correspondantes de L
1. Phædri fabularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle édition
publiée
avec des notes en français et suivie des imitatio
1873. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition,
publiée
avec des notes en français et un choix de fables
x-117 p. Phædri Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle édition,
publiée
avec des notes en français et des fables choisies
-deux des nouvelles. 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle édition
publiée
par M. l’abbé Frette. Paris, impr. Lahure, libr.
s des fables complètes de Phèdre, et des trente-deux nouvelles fables
publiées
d’après le manuscrit de Perotti ; avec le texte e
en, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français ;
publiées
sous la direction de M. Nisard. Paris, Dubochet (
iter que deux, celle qui, conservée à la Bibliothèque de Leyde, a été
publiée
par Nilant sous le titre de Fabulæ antiquæ, et ce
ournit de précieux renseignements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et
publiée
dans la Nouvelle Bibliothèque des manuscrits. C’e
e détails, dans les Archives de la Société des antiquaires allemands,
publiées
à Hanovre par M. Pertz289. Enfin M. du Rieu a réd
— Incipiunt Simphosii enigmata. L’opuscule placé sous ce titre a été
publié
dans le Jahrb. f. Philol. 1866, pages 266 et s.,
tola de ponderibus ad Symmachum. Riese, dans son Anthologia Latina, a
publié
ce petit poème, sous le nº 486. Fol. x b à xi b.
tura docet quicquid recitavit Iginus, etc. Cette pièce de vers a été
publiée
par Riese dans son Anthologia Latina 291. Fol. lx
ie, qui a fait du manuscrit de Leyde une étude complète, ne l’eût pas
publiée
. Si actuellement elle n’a pas encore vu le jour,
Le catalogue in-folio de la Bibliothèque de l’Université de Leyde,
publié
dans cette ville par Pierre Vander Aa, fait menti
ote 763, c. xiii, est un exemplaire de la deuxième édition de Phèdre,
publiée
par Rigaut et imprimée par Robert Estienne en 161
ore Haak en 1709293 et que j’ai déjà mentionnée. C’est cette édition,
publiée
dans le format in-12, qui a fait souvent donner l
nalyse des études antérieures. Schwabe, dans son édition de Phèdre
publiée
en 1806, nous apprend bien que le manuscrit de Wi
enbüttel, et qu’il avait été l’objet d’une longue dissertation latine
publiée
en Allemagne, sous forme de lettre, par le savant
nnaissance de la petite brochure, dans laquelle M. H. Oesterley avait
publié
le Romulus de Burney301. À l’époque où il m’avait
reproduites avec une scrupuleuse fidélité. C’est ainsi que j’ai pu le
publier
dans ma première édition. Mais, comme, malgré tou
t révélé l’existence que par deux citations dans ses notes sur Phèdre
publiées
après sa mort en 1698 par le savant Pierre Burman
distinction entre les deux auteurs, il s’était appuyé sur un ouvrage
publié
à Venise, en 1513, sous ce titre : Supplementum
r, sans trop savoir à qui je dédierais mon œuvre, et je ne l’ai point
publiée
. Aujourd’hui que votre domination est parvenue à
. Ainsi, dans le manuscrit latin Dïgbey 172 du xiiie siècle que j’ai
publié
dans ma première édition, le prologue est annoncé
s, etc. Quant au manuscrit de Leyde Voss. lat. in-8º 46, que Nilant a
publié
, son titre est ainsi conçu : Incipit liber fabula
e manuscrit de Munich, d’après lequel, dans ma première édition, j’ai
publié
le Romulus primitif, présente une particularité s
it de Leyde Vossianus latinus, in-8º, 15, d’après lequel Nilant avait
publié
ses Fabulæ antiquæ, il y avait beaucoup d’autres
préambule la fameuse dédicace, il n’en avait pas moins eu soin de la
publier
en note à la page 65, et d’indiquer qu’elle était
ue je ferai plus loin de la vieille édition d’Ulm, et devant enfin la
publier
dans cet ouvrage avec les fables elles-mêmes, je
s in-8º, 15, contenait la dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait
publiée
lui-même dans la note B de la page 65 de son édit
nt est postérieur à Romulus324. » Il continue en disant que Nilant a
publié
ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie
us ordinaire. En somme, j’aurais été dans la regrettable nécessité de
publier
côte à côte quatre textes assez peu dissemblables
ans ses nombreuses pérégrinations ; mais le temps lui manqua pour les
publier
, et il mourut le 26 novembre 1689, sans avoir pu
réflexions de M. H. Oesterley contribuèrent à m’inspirer le désir de
publier
le manuscrit de Munich. Il avait donné du plus vi
ur le contenu du manuscrit de Munich, et la raison, c’est que je l’ai
publié
dans ma première édition. § 4. — Manuscrit du
avait trouvée dans le Catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford
publié
par le savant et vénérable Coxe327. Si M. Oesterl
ions successives, doit être décrite avant toutes les autres. Elle fut
publiée
par le Dr Henri Steinhöwel, médecin né à Wyrms, q
tre même Steinhöwel n’a-t-il entendu faire aucun choix et n’en a-t-il
publié
que dix-sept faute d’avoir connu les autres. Elle
ar Jean Schwitzer d’Arnheim, celui qui a gravé les cartes du Ptolémée
publié
en 1482. « Voyez la description de cet Ésope par
u verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la copie exacte de celui
publié
par Zeiner ; toutefois, quelques différences très
atalogue séparé. Ce catalogue, dans lequel il porte le nº 7805, a été
publié
en trois volumes in-8º, sous le titre de Biblioth
à moins d’avoir voulu se faire concurrence à lui-même, n’avait pas dû
publier
la collection de Romulus, qui, faisant double emp
avait jamais possédé parce qu’il n’existait pas : la première édition
publiée
par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’en ai ren
s qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les vieilles éditions
publiées
en Allemagne à la même époque, une simple réimpre
littérales de l’édition d’Ulm. Il n’en est pas ainsi de celle qui fut
publiée
à Bâle en 1501. Gomme un cadre neuf destiné à fai
elles avaient tué Phèdre, de même les traductions qui en avaient été
publiées
à l’époque de la Renaissance leur avaient porté u
découverte de Gude ne l’avait point empêché de rester. Cette édition,
publiée
à Brunswick par l’éditeur Vieweg, est trop connue
deuxième édition de Schwabe possédant les fables de Romulus, Gail les
publia
telles qu’elle les renfermait. Il n’avait voulu e
, être fait qu’une publication purement littérale. Aussi son édition,
publiée
à Berlin par le libraire Weidmann en 1870, se bor
ns les dernières années du xve siècle, la traduction allemande a été
publiée
la première, c’est des éditions qui en ont été im
allemandes la plus ancienne paraît être celle qui, selon Hain340, fut
publiée
par Günther Zainer, imprimeur à Augsbourg et sans
ean Prüss de 1508. La traduction allemande de l’œuvre de S. Brant,
publiée
par Jean Prüss, forme un vol. in-fol. Elle est pr
e de Steinhöwel, suivie de la traduction allemande des fables latines
publiées
par Sébastien Brant. A. Édition de 1545. Il
même date de 1555, une autre édition de la traduction allemande a été
publiée
à Francfort. Le British Museum en possède un exem
exemplaire, m’a été révélée par la Bibliotheca librorum germanicorum,
publiée
en 1611 par Georges Brand in Freyhüt. 10º Éd
0º Édition de 1648. En 1648, les traductions allemandes des fables
publiées
par Steinhöwel et S. Brant furent éditées à Erfur
emberg ne furent pas les seules imprimées au xviie siècle. Il en fut
publié
, à Bâle, en 1676, une autre formant un volume in-
s du Romulus ordinaire qu’une traduction française en était également
publiée
. Cette dernière était l’œuvre du frère Julien Mac
lien, qui sans doute n’était que la réimpression des précédentes, fut
publiée
dans le format in-folio par Mathis Huss et Jean S
m’a été révélée par le catalogue imprimé de la bibliothèque de Lyon,
publié
par M. Delandine350. Elle forme un volume in-4º,
Je me borne à citer, d’après Brunet354, l’édition de 1526, qui a été
publiée
à Lyon par Claude Nourry et Pierre de Vingle, et
12º Édition de 1532. La traduction en prose de J. Macho ne fut pas
publiée
seulement en France ; témoin l’édition peu connue
mprimeur William Caxton. Sa traduction fut imprimée de 1483 à 1484 et
publiée
en un volume in-folio de petit format, orné de gr
ues du célèbre imprimeur anglais, je leur signale l’ouvrage qui a été
publié
en 1863, à Londres, en deux beaux volumes in-4º,
la cote 12304. cc. 31. D. Réimpression de 1738. En 1738, a été
publiée
une septième réimpression de l’édition de sir Rog
ui, dès 1485, c’est-à-dire un an avant sa première édition latine, en
publia
à Gouda une édition néerlandaise en caractères go
ne faut pas la confondre avec celle qui a été ensuite, la même année,
publiée
à Anvers dans le format in-fol., dont Panzer357 e
85, après avoir transporté ses presses de Gouda à Anvers, Gérard Leeu
publia
une seconde édition en langue flamande des fables
us la cote 637. K. 2. 4º Édition de 1546. J’ai de cette édition
publiée
à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un à la Bi
te édition sous la cote jv. N. 3. 7º Édition de 1562. L’édition
publiée
en 1562 n’a été, pour ainsi dire, qu’une réimpres
leurs deux préambules. Me proposant de joindre aux textes, qui seront
publiés
à la fin de cet ouvrage, le Romulus du Miroir his
plus haut en reproduire le préambule. Au contraire, ne devant pas le
publier
ailleurs, je dois ici transcrire celui du Miroir
celui du premier qu’il ne reproduit même qu’en partie et que je dois
publier
avec le Romulus lui-même. Pour éviter tout double
le précédent. Dans l’inventaire des manuscrits latins de la Sorbonne
publié
en 1870, il est l’objet de cette simple mention :
général des manuscrits des Bibliothèques publiques des Départements,
publié
dans le format in-4º, donne, T. II, p. 83, du man
es. § 1er. — Éditions de Strasbourg. C’est à Strasbourg que fut
publié
pour la première fois le quadruple miroir de Vinc
re intitulé De virginitate 370. Deuxième édition. Mentellin a
publié
une seconde édition du Speculum Morale, ou plutôt
Vincentij historiale explicit. Deuxième édition. Mentellin a
publié
une autre édition du Speculum historiale en quatr
r historial. À Augsbourg, dans le monastère de Sainte-Afre, il en fut
publié
une édition formée de trois volumes, grand in-fol
ugsbourg ne paraît pas avoir été la seule édition du Miroir historial
publiée
en 1474. Maittaire376, d’après le P. Le Long, et
de Vincent de Beauvais fut entreprise à Bâle par Jean de Amerbach. Il
publia
, en un volume in-folio gothique, les cinq traités
6, dans le même format. Speculum historiale. L’année même où il
publiait
la première de ces deux éditions, Koburger faisai
lum doctrinale succéda le Speculum naturale que Hermann Liechtenstein
publia
, au mois de mai 1494, en un volume in-folio, enco
. — Édition de Douai. À Douai, une édition en 4 vol. in-folio, fut
publiée
avec ce frontispice : Bibliotheca mundi Vincenti
aise. La traduction due à Jean de Vignay en fut pour la première fois
publiée
à Lyon en 1479 par Bartholomieu Buyer, et l’éditi
la seule qui ait paru au xve siècle. Le Miroir historial fut encore
publié
à Paris par Verard, de 1495 à 1496. Cette édition
ons anglaises de Caxton. Toujours attentif aux grands ouvrages
publiés
en langue française et toujours ardent à les fair
ditions néerlandaises. Le Miroir historial, qui avait seul été
publié
en français et en anglais, fut seul aussi traduit
y, m’avait signalé le catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford,
publié
dans cette ville, en 1852, par M. Henri O. Coxe.
et le Renard. III, 17. 45. Le Marchand et l’Âne. III, 18. Devant
publier
le texte de ces fables dans le second volume de c
partie de la collection du Romulus de Munich, ont été presque toutes
publiées
dans l’édition d’Ulm. Le Dr Steinhöwel en a intro
extravagantes. Quant aux six autres qui complètent ce groupe, je les
publierai
en les empruntant à son édition. Les Fabulæ extra
ttention de Jacob Grimm qui ne les avait pas trouvées indignes d’être
publiées
. Les huit qui dans l’édition d’Ulm portent les no
Cherrington. Dans la première édition de cet ouvrage j’ai analysé et
publié
l’œuvre de ce moine ; j’y avais été entraîné par
les en vers élégiaques cité par Barth dans ses Adversaria Commentaria
publiés
à Francfort en 1624402. Il déclare avoir lu dans
ne parurent pas seulement avec ce commentaire. Elles furent également
publiées
avec un autre tant dans des petits livres de clas
ore vivant en 1507, qui avait inspiré à son parent François l’idée de
publier
les fables élégiaques ou tout au moins d’en faire
de Libellus Zuccharinus avait été vulgairement donné à sa traduction,
publiée
pour la première fois en 1479. Scaliger avait pri
de l’auteur, je dirai que c’est ce Bernard dont Silvester Giraldus a
publié
des vers analogues tirés de la fable du Castor408
Grand. Mais, en s’appuyant sur une édition des fables, qui avait été
publiée
à Modène en 1481 et dont il avait vu un exemplair
a. En 1836, M. Endlicher, deux ans avant l’édition de Dressler, avait
publié
, ainsi que j’ai déjà eu l’occasion de le dire, un
st celui De Ornatu mundi. Ses œuvres, réunies par Beaugendre, ont été
publiées
en 1708 ; elles forment un volume in-folio. Tandi
par le catalogue de M. Endlicher, n’hésita-t-il pas, dans sa préface
publiée
en tête du Phèdre de la collection Nisard, à cons
s les manuscrits plus souvent que les autres, et qui, après avoir été
publiées
au xve siècle, ont été de nos jours rééditées pa
dans les trois fables placées à la suite des siennes dans une édition
publiée
à Brescia en 1522. Je les joindrai néanmoins à ce
aminer figurent dans quelques-unes des éditions des fables de Walther
publiées
au xve siècle. Elles ne sont pas les seules que
Walther publiées au xve siècle. Elles ne sont pas les seules que je
publierai
. Les manuscrits nombreux qui contiennent son œuvr
comment il en a été parlé dans une Dissertation sur les bibliothèques
publiée
à Paris par MM. Chaubert et Hérissant en 1758 :
it suite, c’est dans l’édition que je donnerai de ces fables que j’en
publierai
le texte. Le manuscrit 1594 se termine par un épi
Explicit . 3º Manuscrit de Douai. Dans les catalogues d’Haenel
publiés
à Leipzig en 1830, le manuscrit de Douai est dési
nu l’erreur commise que pour rester fidèle à son modeste programme et
publier
, tels qu’ils étaient, les catalogues des biblioth
communale de Douai. Lorsque Dressler travaillait à l’édition qu’il a
publiée
en 1838, il s’est servi d’une copie de ce manuscr
s de faire d’heureuses corrections au texte des éditions précédemment
publiées
. Voici sur ce point les renseignements que, dans
7, M. Dressler, professeur érudit de l’Université de Bautzen, voulant
publier
une édition aussi complète que possible des fable
nouvelle édition des fables de Phèdre, la plus complète que l’on ait
publiée
jusqu’ici et dans laquelle il fit entrer les fabl
nt pas dans les éditions des Deux-Ponts, et qu’il en profita pour les
publier
dans la sienne. 4º Manuscrits de Laon. La b
général des manuscrits des bibliothèques publiques des départements,
publié
dans le format in-4º sous les auspices du ministè
cote 673 dans le Catalogue des Manuscrits de la bibliothèque de Lyon,
publié
par M. Delandine en 1812439, et dans l’inventaire
ndine en 1812439, et dans l’inventaire de cette bibliothèque copié et
publié
par Haenel440. Aujourd’hui il est conservé à Lyon
reste que les 24 derniers vers. Il ne faut pas, avec celle qui a été
publiée
par M. Robert442, confondre cette traduction, qui
71, avait pris copie du manuscrit avec l’intention bien arrêtée de le
publier
. Ce jeune professeur était M. Wendelin Foerster,
1479 les sonnets italiens d’Accio Zuccho furent pour la première fois
publiés
à Vérone, ils existaient depuis dix-sept années a
haut de la première colonne de la page 370. Quoiqu’elle ait déjà été
publiée
, notamment par MM. Jacob Grimm446 et E. Voigt447,
logue intitulé : Codices manuscripti latini bibliothecæ Nanianæ , et
publié
à Venise en 1776. Voici, d’après le Catalogue de
A. N. II. 12 appartenait déjà à la bibliothèque à l’époque où Haenel
publiait
ses catalogues ; cet éditeur l’avait mentionné so
t joui au moyen âge, le nombre aussi grand des éditions qui en furent
publiées
à la fin du xve siècle montre qu’elle avait cont
gr., t. I, p. 22, nº 31, Panzer signale encore une édition d’écolier,
publiée
, comme toutes celles destinées au même usage, dan
son Repert. bibliog., t. I, p. 34. nº 302. — Une autre édition in-4,
publiée
sans indication de lieu, est également indiquée p
s éditions. Jusque-là les fables de Walther avaient en général été
publiées
isolément. À partir de 1488, sans cesser de paraî
her qui, comme dans la plupart des éditions semblables antérieurement
publiées
, ne dépassent pas le nombre de soixante et qui so
lle n’est qu’une réimpression des premières éditions des huit auteurs
publiées
à Lyon. Je fais seulement observer que les soixan
imo cccc. xcvi. Die vero, xxiiij. Augusti. Cette édition, qui a été
publiée
dans le grand format in-4º, n’est qu’une copie de
ères gothiques, faite par Henri Quentell, de l’édition, qui avait été
publiée
par Henri Gran en 1494. Comme dans cette dernière
ernier feuillet est blanc. C’est encore une réimpression de l’édition
publiée
à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda. Il en
es premières qui se composent des soixante-deux le plus ordinairement
publiées
, commencent au feuillet a ii a et finissent au fe
édition est la réimpression de celle que le même imprimeur avait déjà
publiée
en 1503. 1517. Esopus constructus mora-
elles furent pour lui une vraie nouveauté, et c’est à ce titre qu’il
publia
dans sa première édition de Phèdre les six suivan
thèque Palatine, Névelet leur donna place dans sa Mythologia Æsopica,
publiée
à Francfort en 1610 dans le format in-8º, et rééd
1660. L’édition de 1660 n’étant que la réimpression de celle
publiée
par Nevelet en 1610, le frontispice est presque i
ition tirée à la fois de celle de Névelet et de celle de Nilant a été
publiée
à Padoue, en 1813, dans le format in-18. En voici
oduites dans le dix-septième volume d’une collection d’auteurs latins
publiée
à Bruxelles par l’imprimeur Tencé. Limitées aux s
s de Phèdre et d’Avianus. 1838. M. Dressler, dans son édition
publiée
à Bautzen en 1838, les ajouta aussi aux fables de
1882. La dernière édition que je connaisse est celle qui a été
publiée
par M. Wendelin Fœrster à la suite de la traducti
est actuellement conservée à Lyon dans le Palais des Arts. Elle a été
publiée
seulement en 1882 par le professeur Wendelin Fœrs
s tant du siècle dernier que du siècle actuel, ont été plusieurs fois
publiés
, et qui notamment ont été consciencieusement étud
lets et se terminent au recto du douzième. Ce sont celles qui ont été
publiées
par Rigoli en 1818. Manuscrit 1591. La trad
176. et ressemble au contraire beaucoup à celui du manuscrit palatin
publié
à Lucques par Minutoli. La première fable, qui es
e trouve au contraire avec des leçons différentes dans celle de Manni
publiée
à Florence en 1778. Dans ce manuscrit, la fin des
l’œuvre de Zuccho, dans l’Inventario e stima della Libreria Riccardi
publié
à Florence en 1810, le contenu du volume est, à l
tte édition paraît avoir été calquée sur celle que l’abbé Berti avait
publiée
en 1811, d’après le manuscrit Mocenigo. La Biblio
s passages qui lui semblaient erronés, à l’aide du manuscrit Farsetti
publié
par Manni. Cette édition a été mentionnée et appr
ition in-8º de iii-172 pages, dans laquelle est pour la première fois
publié
le texte du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui co
dition in-8º en un volume de 166 pages. C’est la première qui ait été
publiée
du texte du manuscrit 92 de la Bibliothèque Palat
s ordinaire avait paru en Allemagne, de même ce fut en Italie que fut
publiée
la première traduction des fables de Walther.
7729 possèdent chacune un exemplaire de cette édition. 1483.
Publiée
d’abord dans le nord de l’Italie, l’œuvre d’Accio
unio. de 1537. 1492. Esopo historiado. — Après avoir été
publiée
successivement à Vérone, à Rome et à Brescia, la
ris. » Malgré le luxe artistique avec lequel elle avait toujours été
publiée
, il paraît que la traduction de Francisco del Tup
st intitulé : Sermones diversi et quædam moralia. Dans le catalogue
publié
par M. Léopold Delisle470 après la fusion de tous
en trouva six dans un manuscrit de la Bibliothèque nationale, et les
publia
dans son édition des Fables inédites des xiie , x
texte entier dans un autre manuscrit de la Bibliothèque nationale, en
publia
, en 1854, la première édition complète. Elle renf
t de la combinaison de deux éléments distincts. Mais à peine avais-je
publié
ma première édition, qu’en relisant dans la colle
révélée par M. Duplessis, conservateur de cette bibliothèque, qui l’a
publiée
à Chartres, au mois de juillet 1834, dans un peti
lée la trouveront dans le Catalogus codicum philologicorum latinorum,
publié
par M. Étienne Endlicher en 1836, à Vienne, chez
trop rapprochés les uns des autres pour qu’il fût raisonnable de les
publier
tous. Il pouvait donc se faire que, malgré l’exac
dit qu’à la suite de l’édition des fables de cet Anonyme avaient été
publiées
45 autres fables, précédées de la dédicace de Rom
ur le savant critique, il ajoute que Nilant ne s’est pas aperçu qu’il
publiait
deux fois la même œuvre. J’avoue la surprise que
t du Romulus de Leyde qu’au point de vue des services à en tirer pour
publier
du Romulus ordinaire une édition bien exacte, le
pensa qu’il aurait fait une besogne plus utile, s’il s’était borné à
publier
, en y ajoutant en note les variantes de son manus
peculum doctrinale 496, furent les seules sources qui lui servirent à
publier
, à Brunswick, en 1806, en même temps que l’œuvre
Le catalogue in-fol. de la Bibliothèque de l’Université de Leyde,
publié
dans cette ville par Pierre Vander Aa au commence
ophile dans celle de l’Université de Leyde, où Nilant l’a trouvé et a
publié
le Romulus qu’il renfermait et auquel il a ainsi
siècle. § 2. — Texte du Romulus anglo-latin. Lorsque j’ai
publié
ma première édition, m’étant posé la question de
ualification dans le texte latin. Si, lorsqu’il s’est agi pour moi de
publier
ma première édition, je m’étais fait ces réflexio
anglaise est sorti le Dérivé latin de cent trente-six fables que j’ai
publié
. Dans les divers manuscrits où je l’ai trouvé, le
te du Romulus de Nilant. Mais dans le manuscrit de Leyde que Nilant a
publié
il n’y a que 45 fables. Je me suis demandé s’il n
oyer ceux qui désireront la mieux connaître à l’édition de ses œuvres
publiée
par M. de Roquefort510, à l’article que M. P. Cha
doie targier. Je passe maintenant aux fables. M. de Roquefort en a
publié
cent trois, que je vais indiquer par leurs titres
i remarqué deux qui contenaient des fables non comprises dans les 103
publiées
par M. de Roquefort ; ce sont les manuscrits 2173
erniers, que M. de Roquefort a cru devoir emprunter à ce manuscrit et
publier
, mais qui sont probablement une addition étrangèr
oir connus et tout au moins, malgré leur ancienneté, s’est abstenu de
publier
. Le prologue, ainsi augmenté, est orné d’une très
, sous les nos 61 et 103, deux fables étrangères à celles qui ont été
publiées
. En voici le texte : fable lxi. N’a pas encor
érivé du Romulus anglo-latin est due à M. Robert, qui, en 1825, les a
publiées
dans son ouvrage sur les Fables inédites des xiie
Seulement, au lieu d’en faire une édition complète, il crut devoir ne
publier
, à la suite du Romulus Burnéien, que les fables,
té que des 134 fables contenues dans le manuscrit de Göttingen il n’a
publié
que 41. Cette manière de procéder était beaucoup
ore. Par ces rapprochements, on voit combien le dérivé partiellement
publié
par M. Oesterley diffère non seulement des trois
celui du Romulus primitif, mais qui paraît issu de ce dernier, je les
publierai
dans le second volume de cet ouvrage. § 3. —
de l’ancienne langue allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été enfin
publié
par M. Seelmann dans les Niederdeutsche Denkmäler
nt en vérifier l’exactitude la peine de se reporter au texte qui sera
publié
dans le second volume de cet ouvrage. Ils m’excus
omulus de Nilant. Il en existe une autre moins ancienne que j’ai déjà
publiée
et dont j’avais cru à tort être le premier éditeu
ue in-fol. des manuscrits des bibliothèques anglaises et irlandaises,
publié
à Oxford en 1697. Ce manuscrit, qui appartient au
non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les auteurs du Catalogue
publié
à Oxford, ni le nº 1362 que, par suite de la clas
, de Tibulle, de Phèdre, de P. Syrus, avec la traduction en français,
publiées
sous la direction de M. Nisard. Paris, J.-J. Dubo
» Pomponius Mela, œuvres complètes, avec la traduction en français,
publiées
sous la direction de M. Nisard, professeur d’éloq
mitas fuit conflata. 29. Ainsi, dans sa traduction en vers libres,
publiée
en 1708, M. Denise, quoiqu’il ait, en général, fa
es peu communes Où je me plains de mes malheurs. Dans une traduction
publiée
à la Haye en 1725, l’éditeur a écrit : « J’ai cho
ire que la Révolution lui fit perdre, et mourut le 20 mars 1818. Il a
publié
plusieurs éditions d’ouvrages anciens et modernes
le bibliothèque, riche en manuscrits. Ses ouvrages n’ont pas tous été
publiés
; le plus important, resté manuscrit, était intit
emaire, tome I, p. 189.) 79. Voyez la préface de l’édition de Phèdre
publiée
par M. Berger de Xivrey, pp. 33, 34 et 35. 80.
te 3.) 92. Voyez, dans l’édition diplomatique du manuscrit de Pithou
publiée
par M. Berger de Xivrey, la p. 46 de la préface.
(Voyez p. 16.) 107. Voyez p. 89 de l’édition du manuscrit de Pithou,
publiée
par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 108.
Pithou, p. 81. 109. Voyez p. 109 de l’édition du manuscrit de Pithou
publiée
par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 110.
tion précitée. 111. Voyez p. 81 de l’édition du manuscrit de Pithou,
publiée
par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 112.
xix. 119. Voyez p. 30 du tome I de son édition des Fables de Phèdre,
publiée
en 1806. 120. Le Meurtre du marquis de Monaldes
es par Louis Lacour, 1865, in-32. 121. Ce livre est un volume in-18,
publié
à Amsterdam, chez Jan Henri, libraire, en 1697.
itia litteraria, p. 30 du tome I de son édition des Fables de Phèdre,
publiée
en 1806. 126. Classicorum auctorum e Vaticanis
, de Properce, de Gallus et Maximien, avec la traduction en français,
publiées
sous la direction de M. Nisard… Paris, 1839, in-8
si l’on veut être plus complètement édifié, recourir à la biographie,
publiée
par le chanoine archiprêtre Giovan-Battista Risto
me d’une brochure in-4º de 79 pages. 133. Otinel, chanson de geste,
publiée
pour la première fois, d’après les manuscrits de
s Marinus Veltrius. (Voyez p. 247 de son édition du Codex Perottinus,
publiée
à Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phè
o, M.D.CCC.VI. 1 vol. in-4º. 158. Voyez p. 193 du tome Ier du Phèdre
publié
en 1826 sous la direction de Lemaire. 159. In P
oyez Disputatio III, p. xliii, dans son édition des Fables de Phèdre,
publiée
en 1786. 164. Le Frontispice portant le nom de G
44 à 46. 178. Bibliothèque des auteurs classiques grecs et romains,
publiée
par Guillaume Engelmann. Paris, Franck ; Leipsig,
yez la préface non paginée de son édition in-4º des Fables de Phèdre,
publiée
en 1727. 183. In Perottinum codicem MS. regiæ b
cripta sint. » (Voyez p. 7 de l’édition in-8º des 32 fables nouvelles
publiées
d’après Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.)
Romanis ingeniis opus. » (Voyez p. 3 de l’édition originale de Phèdre
publiée
à Troyes en 1596.) 208. « Phædrus, Tiberii libe
e livre III avait été, comme les deux premiers, écrit et probablement
publié
sous le règne de Tibère et avant la chute de Séja
ien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français,
publiées
sous la direction de M. Nisard… Paris, 1839… in-8
d’ouvrages, dont le premier fut une étude sur Ausone, et le dernier,
publié
en 1865, un an après sa mort, une édition de la C
graphie générale depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours,
publiée
par MM. Firmin-Didot frères. Tome I. Paris, 1862.
édigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre, du diocèse de Chartres,
publié
par l’abbé Migne. Tome I. Aux ateliers catholique
284. Voyez tome VII, page 301. 285. Voyez, à la page 47, le volume,
publié
en 1874 par la Société de l’histoire de France, q
s siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre,
publié
par l’abbé Migne. 5 vol. in-4º. (Voyez, t. I, col
ædibus B. G. Teubneri, 1870. (Voyez nº 761.) 292. Ces notes ont étc
publiées
par M. O. Holder-Egger dans Neues Archiv der Gese
ria de Phædro, t. I, p. 165.) 305. Voyez, dans son édition de Phèdre
publiée
à Brunswick en 1806, la Notitia litteraria de Phæ
84, la note 2 de la page 678. 317. Voyez, dans son édition de Phèdre
publiée
en 1806, la Notitia litteraria de Phædro, tome I,
e notice particulière dans l’ouvrage bibliographique de Bale (Baleus)
publié
à Bâle de 1557 à 1559, avec Lilio Gregorio Gyrald
e. Parmi les nombreux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a
publiés
dans sa ville natale, il est convenable de citer
Leconte, M.DCCVIII, in-fol. (Voy. col. 1369.) 420. Sébastien Brant a
publié
cette épigramme dans son édition de Romulus de 15
la Bibliothèque de Carpentras, par C. G. A. Lambert, bibliothécaire,
publié
sous l’administration de M. le marquis de Jocas,
nts et imprimées par Wynkin de Worde. » Collection des auteurs latins
publiée
sous la direction de M. Nisard. Paris, Dubochet e
ti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la page 86 du T. I de l’ouvrage
publié
à Rome en 1889 sous ce double titre : Cataloghi d
son article sur Marie de France dans la Nouvelle Biographie générale
publiée
par MM. Firmin Didot frères. 500. Bibl. nat., m
r l’article relatif aux Traités divers sur les propriétés des choses,
publié
par M. Léopold Delisle dans le XXXe volume de l’H
s, Dieu le permettant ainsi, se leva du cercueil par trois fois, pour
publier
sa condemnation, et des-abuser luy-mesme les homm
s, et leurs alliez. Ils se servent mesme de la bouche des femmes pour
publier
leur propre loüange. Mais ce vice-là ne paroist p
’ils apprehendoient les incommoditez du dernier âge, où possible pour
publier
avecque plus d’efficace leurs sages maximes, et q
ignement que vous faites. La verité le fait advoüër ainsi, quand elle
publie
, qu’avec ce que Vous estes d’une Maison des plus
. La mesme chose se peut encore dire de ceux qui prennent le soing de
publier
les Histoires advenuës avant leur naissance. Car
bien plus loing, à sçavoir de la Metempsicose de Pythagore, qui ayant
publié
par toute l’Italie, que les ames humaines passoie
ement ce que disent les Saincts Personnages, à sçavoir que les bestes
publient
avecque leurs voix les loüanges de Dieu, comme si
re le loüe par leur voix, de la mesme façon qu’un excellent portraict
publie
la gloire de son autheur, ou qu’un luth qui est t
; « Monsieur le Sapin, à ce que je voy tu ne manques pas de vanité à
publier
ce qu’il y a de bon en toy, ny d’insolence à te m