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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
oya les conviez
 Pour la pluspart estropiez.
 La renommée eut soin de publier l’affaire.
 Chacun cria miracle ; on doubla le sa
2 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
Préface de la première édition Je me propose de publier , en faisant précéder les textes de leur histoire
ne devant m’arrêter qu’au commencement de la Renaissance, j’aurais dû publier , dans l’ordre de leurs apparitions successives, l
 ; en effet, il ne faut pas oublier que, parmi les fables que je vais publier , il en est beaucoup qui sont dues à des auteurs a
mes yeux, un prix tout particulier : ce fut celle que M. Gaston Paris publia dans les numéros du Journal des Savants des mois
st presque en état de paraître. L’auteur ne se décidera pourtant à le publier que si son premier livre rencontre un accueil fav
saurait prétendre un ouvrage qui a dû coûter si cher à préparer et à publier  ; c’est évidemment l’opinion du public compétent
employant, j’étais souvent obligé de me référer à ce que j’avais déjà publié , et ce regard en arrière me fit bientôt apercevoi
ion. Ainsi il rappelle que, dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter, publiées à Heidelberg, en 1601 selon Niceron et en 1603 se
comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des traductions françaises, publiée en 164727, Isaac Le Maître de Sacy l’a rendu par
devancier29, et moi-même, dans ma traduction littérale en vers libres publiée en 188130, quoique ayant l’intuition de leur erre
e Phèdre. — Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit et publia ses cinq livres. L’opinion la plus généralement a
es, c’est qu’aucun des cinq livres de Phèdre ne fut écrit ou au moins publié pendant la vie de Tibère. Croyant y trouver des a
ar cette manière de voir, est porté à penser que les fables ne furent publiées qu’après la mort de Tibère, pendant la vie duquel
nt à la vieillesse, il ne songea qu’au repos et ne s’occupa pas de la publier . Après avoir analysé les diverses opinions des cr
avait en général empêché les critiques d’admettre qu’ils eussent été publiés ou seulement écrits sous Tibère, c’est qu’ils y a
r, il avait pu, sans rien craindre, non seulement écrire, mais encore publier ses deux premiers livres. Quoi qu’il en soit, si
ie par l’édit rendu à cette époque, il rentra au barreau de Paris, et publia les 42 Novelles des empereurs Théodose le Jeune,
it et qui lui permirent d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de publier la loi des Wisigoths. Pendant cette tranquille pé
hou à son frère François. « Celui-ci, dit M. Berger de Xivrey, avait publié , en 1576, un manuscrit de la bibliothèque de Pier
quatre-vingt-seize. « Ainsi signé : P. Pithou. » Telle est l’édition publiée par Pierre Pithou. Je n’en connais que 14 exempla
dans son article sur l’édition diplomatique de M. Berger de Xivrey73, publié dans le Journal des savants en décembre 183074, d
vation. Tels sont les seuls exemplaires que je connaisse de l’édition publiée par Pierre Pithou. Je reviens maintenant à l’édit
oudront le lire au texte et à la traduction française, qui en ont été publiés par son biographe80. Après ce que j’ai dit de Pie
Pendant les guerres de religion il s’était exilé à Bâle, où il avait publié la traduction latine des Novelles de Justinien pa
gée, et c’est seulement en 1596 que la première édition de Phèdre fut publiée . Celui qui sut, dès 1564, exhumer l’Aulularia, co
que Pierre Pithou, l’ayant ensuite reçu de son frère, en aurait ainsi publié la première édition. On comprend, sans que j’aie
France que douze ans après. Dans la mauvaise édition de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggrava en ces termes l’err
ims dans la bibliothèque de Saint-Remi, et ne s’était empressé de les publier conjointement avec son frère en 1596. » La vérit
et ce ne fut qu’après une étude consciencieuse du manuscrit qu’il en publia une nouvelle édition. Ceux qui douteraient qu’il
méditations ultérieures. Il faut l’en remercier. L’année suivante, il publiait enfin le fameux monument chez l’imprimeur Ambrois
é commencée, j’ai été enfin admis à copier le texte de Phèdre, je l’y publierai diplomatiquement, et, en procédant ainsi, je tâch
upçonne M. Berger de Xivrey d’avoir commises. Sinon, l’édition que je publierai sera une simple reproduction de la sienne. Quant
général de sa compagnie, les fonctions de secrétaire, lorsque furent publiées les fables de Phèdre. Comme on l’a vu, Pierre Pit
s’en servit pour l’édition in-4º, imprimée par Robert Étienne, qu’il publia en 1617, sous ce titre : « Phædri Aug. liberti fa
abularum Æsopiarum libri V, nova editio. » Dans sa troisième édition, publiée en 1630, chez Sébastien Cramoisy, édition in-12 q
variantes du manuscrit de Reims, même pour sa première édition in-12, publiée à Paris chez Drouart à la fin de 1599. En effet,
manuscrit ; c’était même, pour servir au petit traité de paléographie publié en 1770 dans son Spectacle de la nature 102, qu’i
ncemagne placés en tête d’un exemplaire du Phèdre, in-4º, de Rigault, publié en 1617 par Robert Étienne. Cet exemplaire était
bliothèque, Dom Vincent, sur un exemplaire classique in-12 de Phèdre, publié en 1743 à Paris par la veuve Brocas, avait eu la
elles différaient du texte de l’édition bien connue de Pierre Danet, publiée en 1675 dans le format in-4º « par ordre du Roi t
te de recourir aux sources, s’en servir pour composer l’édition qu’il publia en 1783. Adry l’étudia à son tour, et en prit mêm
écieux exemplaire de l’édition classique de la veuve Brocas, et il en publia , avec un soin remarquable, toutes les variantes m
son tour. Malheureusement M. Berger de Xivrey, qui a pris la peine de publier les variantes signalées par Dom Vincent, n’a pas
is la veuve Brocas était le libraire classique de son temps ; elle ne publiait guère que des éditions à l’usage des élèves des c
ur le surplus, aux variantes, que, d’après le Père Sirmond, Rigault a publiées , et à celles que Gude a prises lui-même sur le ma
nt un peu dénaturées. En somme, il est encore possible aujourd’hui de publier le texte rigoureusement exact du manuscrit de Sai
’il avait mises en vers ïambiques et que Burmann avait découvertes et publiées , Dom Vincent avait craint qu’on ne s’imaginât qu’
passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les mains du savant qui l’avait publié . Confondant de même les deux manuscrits, certains
écédente, n’en est pas moins fausse. Ils avaient cru que Pithou avait publié les fables de Phèdre d’après un vieux codex, qui,
il est de cent ans environ le moins ancien. Mais les spécimens que je publie ne présentent pas des différences assez grandes p
comédie jointe au Phèdre, ne serait point le Querolus sive Aulularia, publié par P. Daniel en 1564, comédie que l’auteur des R
n’en porta d’autre jugement, sinon que “ce fut celle-là même qui fut publiée en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l
ersa bibliotheca Vaticana… procuratoribus Gallorum traditi fuere , et publié à Leipzig en 1815 chez le libraire Paul Gotthelf
n des classiques latins de Lemaire ; je consultai le Phèdre qui a été publié en 1826 dans cette collection et qui n’est avec q
es instructifs travaux, je l’aurais trouvée dans le troisième volume, publié à Rome en 1831, de sa collection des auteurs clas
ans le supplément ajouté par Orelli, en 1832, à son édition de Phèdre publiée à Zurich l’année précédente, soit dans la remarqu
emarquable notice de M. Jules Fleutelot, qui figure en tête du Phèdre publié en 1839 dans la collection des classiques latins
siques latins de M. Nisard, soit dans l’histoire de la fable ésopique publiée par M. Edelestand du Méril en 1854, soit enfin da
nçais, qui contient la chanson de geste intitulée Otinel et qui a été publié par MM. Guessard et Michelant en 1859. Malheureus
lement du xive  siècle. Elle a, comme je l’ai déjà dit, été, en 1859, publiée par MM. Guessard et Michelant qui ont pris la pei
tant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux dernières éditions publiées en 1617 et en 1630, supprimé l’indication par lui
p. 42. » Quant à Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une lettre écrite à Utrecht en 1658, dans laquell
portant la cote 268 dont je dois dire ici quelques mots. Lorsque j’ai publié la première édition de cet ouvrage, je ne l’avais
otti ne fut pas ingrat envers son oncle. Il s’occupa après sa mort de publier ses ouvrages, et ce fut lui qui, en 1489, fit imp
s connus de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dans ses Apes Urbanæ, publiées à Rome en 1633 et rééditées à Hambourg en 1711150
is Jacobilli151, qui, dans son Catalogus scriptorum provinciæ Umbriæ, publié à Foligno en 1658152, ne l’avait pas signalé dava
est vrai que Philippe avait relevé ces variantes dans l’édition qu’il publia , non pas, comme le dit le Père Desbillons163, che
l’édition, dans laquelle, en 1727, Burmann avait pris la peine de les publier à la fin de la préface, et c’est ce qu’il me para
opies distinctes. Burmann n’avait, des variantes du texte de Perotti, publié que celles qui concernaient les fables anciennes
anciennes, il peut reproduire plus ou moins fidèlement les variantes publiées par Burmann ; mais il n’en découvre aucune qui pu
ia à la hâte. Quoi qu’il en soit, Cassitto, à la fin de l’année 1808, publia les trente-deux fables nouvelles que contenait le
gé un savant récemment attaché à la bibliothèque, Cataldi Jannelli, à publier le manuscrit retrouvé de Perotti. Entré à la bibl
er sur lui à son tour par la supériorité du travail. Cassitto n’avait publié qu’un extrait du manuscrit ; il entreprit de le f
s’écroule. Si l’on a recours à la traduction en prose de M. Bagioli, publiée en 1812, on y trouve : « Une femme perdit son épo
e brochure de quelques petites pages qui contenaient ces mêmes fables publiées par J.-Ant. Cassitto. Cette apparition m’émut, no
e, mais même comme absolument nécessaire. Je m’aperçus que les fables publiées par Cassitto s’écartaient et différaient du genre
tant pour nous devancer, il osa les compléter, corriger, rectifier et publier , et il en confia la publication à un éditeur qui
s qu’il avait négligées comme illisibles ou immorales, Jannelli avait publié le manuscrit tel qu’il l’avait lu, laissant en bl
ses conjectures dans des notes courantes. Quelques semaines après, il publia une nouvelle édition qui ne contenait que les fab
to avait du moins averti les lecteurs qu’il ne s’était pas proposé de publier les fables sur la foi de leur texte, mais qu’il a
de comparer ensemble : 1º Le texte de la première édition de Cassitto publiée en 23 pages à la fin de l’année 1808 ; 2º Le tex
fin de l’année 1808 ; 2º Le texte de son édition imprimée en 1809 et publiée en 287 pages aux ides de février 1811 ; 3º Le tex
des de février 1811 ; 3º Le texte de la deuxième édition de Cassitto, publiée en 4 pages aux nones de février 1811. Désirant, s
amour-propre de savant, et l’amour-propre blessé ne pardonne pas. Il publia donc à Naples, vers le mois d’avril 1812, sous fo
re à l’authenticité, et partout, dès l’année 1812, on s’empressa d’en publier de nouvelles éditions. Adry en cite trois, publié
on s’empressa d’en publier de nouvelles éditions. Adry en cite trois, publiées à Paris au cours de cette année177, la première,
serait pas à sa vraie place. Je continue la nomenclature des éditions publiées en 1812. En Italie, où sans doute on était fier d
elli, une édition de luxe, dans le format in-folio, fut immédiatement publiée . Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir :
et socior. | M.DCCC.XII. Une édition plus modeste fut en même temps publiée dans le format in-12 avec ce frontispice : Phædr
magne, dès le commencement de la même année, il fut, comme en Italie, publié une édition in-folio, assez mal imprimée d’ailleu
bus. | Ex officina Caroli Schlotteri 178. Puis, comme en Italie, fut publiée une édition courante, in-8º, de 46 pages, qui ne
179. Les années suivantes, de nouvelles éditions continuèrent à être publiées . Mais je m’abstiens d’en donner ici la nomenclatu
ppe Dura, chez qui je trouvai un exemplaire de l’édition du manuscrit publiée en 1809 par Jannelli. Il me servit à lire sans ef
t là ce qui explique que son neveu n’ait pas, avec ses autres œuvres, publié son recueil de poésies. Il voulait auparavant y f
te, mais dont ils ignoraient l’existence. Vers 1830, à l’époque où il publiait les anciens classiques d’après les manuscrits du
e en marge d’un ancien oracle de Delphes et que Jannelli a eu soin de publier . Le cardinal Angelo Maï, lorsqu’il fit cette déco
e cardinal Angelo Maï, lorsqu’il fit cette découverte, n’avait encore publié que les deux premiers volumes de son ouvrage inti
res, imprimé avec les caractères typographiques du Vatican et qui fut publié à Rome en 1831, le célèbre savant inséra l’épître
collection des classiques du Vatican, le philologue Orelli, à Zurich, publiait une édition de Phèdre, dans laquelle il avait fai
division s’impose : la partie des fables de Phèdre qui a été d’abord publiée par Pierre Pithou et celle qui, deux siècles aprè
ord publiée par Pierre Pithou et celle qui, deux siècles après, a été publiée par Cassitto et Jannelli, ayant été puisées à des
que d’Auguste. » Il y avait vingt-quatre ans que Pierre Pithou avait publié son précieux manuscrit, et personne, depuis longt
on si cavalièrement exercée sur leur conscience : les ouvrages qu’ils publièrent en font foi. À défaut des manuscrits, qui auraien
ki, à Wissembourg en Transylvanie, sur la pierre d’un ancien tombeau, publiée par lui à Padoue, en 1593, dans ses Analecta lapi
s n’hésitèrent pas à l’accuser de plagiat. Ainsi, dans ses Adversaria publiés à Francfort en 1624, Barth réfutant Schryver prof
foi, formuler une affirmation fausse, que probablement, s’il avait pu publier lui-même son ouvrage, il aurait aperçue et rectif
e les engage à lire attentivement la première des trois dissertations publiées en 1811 par Jannelli205. Il est probable qu’après
nèque : G.-J. Vossius, dans son ouvrage intitulé De poetis latinis et publié en 1654 après sa mort209, en adoptant, comme Lips
macédonienne ; le Père Vavasseur, dans son livre De ludicra dictione publié en 1658210, en supposant que les fables de Phèdre
oque de Sénèque ; Bayle, dans son Dictionnaire historique et critique publié en 1697211, en affirmant que « Sénèque avait oubl
ppelât les fables de Phèdre » ; Fabricius, dans sa Bibliotheca Latina publiée à Hambourg en 1697212, en prétendant qu’il n’avai
en prose ; Cannegieter, dans sa Dissertatio de ætate et stilo Aviani, publiée à Amsterdam en 1731213, en considérant les Consol
llert, dans sa Dissertatio de poësi Apologorum eorumque scriptoribus, publiée à Leipzig en 1744214, en alléguant qu’il avait co
llemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous le nom de Funccius. Il publia , en 1747, sous le titre Apologia pro Phædro eiusq
Hollande, d’Orville, dans son commentaire sur le Chariton d’Aphrodise publié en 1750221, combattit l’opinion de Christ. En Fra
Voici comment il s’exprime dans la préface de sa traduction en vers, publiée en 1754, des fables et contes allemands de Geller
urellement. » Le Père Brotier, dans son édition des fables de Phèdre publiée à Paris en 1783, adoptant une des explications dé
. Le judicieux Père Desbillons dans son édition des fables de Phèdre, publiée à Mannheim en 1786, se fit à son tour le défenseu
ar ses fables attiré une si grande infortune, pouvait-il songer à les publier  ? Tout ce que nous venons de rappeler démontre as
ur les arguments par lesquels, dans son édition des fables de Phèdre, publiée en 1806, il a revendiqué pour le fabuliste romain
érielles n’auraient pas été produites. Il avait bien déjà à cet effet publié un fac-simile de l’écriture du manuscrit de Reims
arlement de Paris, devait en faire une étude spéciale destinée à être publiée avec un fac-simile de l’écriture. Malheureusement
il passa outre et rédigea la dissertation dont j’ai donné l’analyse. Publiée à Brunswick, en 1806, dans sa seconde édition des
erdues. » Elles furent enfin retrouvées. L’édition que Schwabe avait publiée en 1806, fut rééditée par le professeur Gail, en
lui-même satisfaction à son désir : il sollicita vivement M. Hase de publier le manuscrit. Celui-ci, trop affairé pour se char
econd document, destiné aussi à parler aux yeux des sceptiques : il a publié le fac-similé de l’écriture du manuscrit de Reims
x collections de ces fables en prose attribuées à deux Romulus furent publiées , l’une par Rimicius ou plutôt Rinucius Tettalus v
que Phèdre n’a composé que cinq livres, ne prouve rien. Phèdre ne les publia que les uns après les autres, et peut-être, alors
l avait voulu prendre la peine d’en lire la traduction par M. Bagioli publiée à Paris en 1812 et citée par lui-même, ne lui aur
y s’imposa aux érudits. En 1826, dans l’édition des fables de Phèdre, publiée par Gail sous la direction de Lemaire, Barbier, d
la lecture de Phèdre n’a pu se montrer favorable aux nouvelles fables publiées en Italie. Son opinion est partagée par tous les
e Naples, à extraire de l’Epitome de Perotti les fables inédites, eût publié le recueil tout entier : par là chacun aurait su
nt dans la plupart de leurs éditions de Phèdre ils n’ont pas cessé de publier les fables nouvelles à la suite des anciennes, ma
sixième. 1847. Fables de Phèdre tant anciennes que nouvelles publiées par Angelo Maï et les fables correspondantes de L
1. Phædri fabularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et suivie des imitatio
1873. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et un choix de fables
x-117 p. Phædri Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et des fables choisies
-deux des nouvelles. 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle édition publiée par M. l’abbé Frette. Paris, impr. Lahure, libr.
s des fables complètes de Phèdre, et des trente-deux nouvelles fables publiées d’après le manuscrit de Perotti ; avec le texte e
en, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français ; publiées sous la direction de M. Nisard. Paris, Dubochet (
iter que deux, celle qui, conservée à la Bibliothèque de Leyde, a été publiée par Nilant sous le titre de Fabulæ antiquæ, et ce
ournit de précieux renseignements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la Nouvelle Bibliothèque des manuscrits. C’e
e détails, dans les Archives de la Société des antiquaires allemands, publiées à Hanovre par M. Pertz289. Enfin M. du Rieu a réd
— Incipiunt Simphosii enigmata. L’opuscule placé sous ce titre a été publié dans le Jahrb. f. Philol. 1866, pages 266 et s.,
tola de ponderibus ad Symmachum. Riese, dans son Anthologia Latina, a publié ce petit poème, sous le nº 486. Fol. x b à xi b.
tura docet quicquid recitavit Iginus, etc. Cette pièce de vers a été publiée par Riese dans son Anthologia Latina 291. Fol. lx
ie, qui a fait du manuscrit de Leyde une étude complète, ne l’eût pas publiée . Si actuellement elle n’a pas encore vu le jour,
Le catalogue in-folio de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa, fait menti
ote 763, c. xiii, est un exemplaire de la deuxième édition de Phèdre, publiée par Rigaut et imprimée par Robert Estienne en 161
ore Haak en 1709293 et que j’ai déjà mentionnée. C’est cette édition, publiée dans le format in-12, qui a fait souvent donner l
nalyse des études antérieures. Schwabe, dans son édition de Phèdre publiée en 1806, nous apprend bien que le manuscrit de Wi
enbüttel, et qu’il avait été l’objet d’une longue dissertation latine publiée en Allemagne, sous forme de lettre, par le savant
nnaissance de la petite brochure, dans laquelle M. H. Oesterley avait publié le Romulus de Burney301. À l’époque où il m’avait
reproduites avec une scrupuleuse fidélité. C’est ainsi que j’ai pu le publier dans ma première édition. Mais, comme, malgré tou
t révélé l’existence que par deux citations dans ses notes sur Phèdre publiées après sa mort en 1698 par le savant Pierre Burman
distinction entre les deux auteurs, il s’était appuyé sur un ouvrage publié à Venise, en 1513, sous ce titre : Supplementum
r, sans trop savoir à qui je dédierais mon œuvre, et je ne l’ai point publiée . Aujourd’hui que votre domination est parvenue à
. Ainsi, dans le manuscrit latin Dïgbey 172 du xiiie  siècle que j’ai publié dans ma première édition, le prologue est annoncé
s, etc. Quant au manuscrit de Leyde Voss. lat. in-8º 46, que Nilant a publié , son titre est ainsi conçu : Incipit liber fabula
e manuscrit de Munich, d’après lequel, dans ma première édition, j’ai publié le Romulus primitif, présente une particularité s
it de Leyde Vossianus latinus, in-8º, 15, d’après lequel Nilant avait publié ses Fabulæ antiquæ, il y avait beaucoup d’autres
préambule la fameuse dédicace, il n’en avait pas moins eu soin de la publier en note à la page 65, et d’indiquer qu’elle était
ue je ferai plus loin de la vieille édition d’Ulm, et devant enfin la publier dans cet ouvrage avec les fables elles-mêmes, je
s in-8º, 15, contenait la dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait publiée lui-même dans la note B de la page 65 de son édit
nt est postérieur à Romulus324. » Il continue en disant que Nilant a publié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie
us ordinaire. En somme, j’aurais été dans la regrettable nécessité de publier côte à côte quatre textes assez peu dissemblables
ans ses nombreuses pérégrinations ; mais le temps lui manqua pour les publier , et il mourut le 26 novembre 1689, sans avoir pu
réflexions de M. H. Oesterley contribuèrent à m’inspirer le désir de publier le manuscrit de Munich. Il avait donné du plus vi
ur le contenu du manuscrit de Munich, et la raison, c’est que je l’ai publié dans ma première édition. § 4. — Manuscrit du
avait trouvée dans le Catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford publié par le savant et vénérable Coxe327. Si M. Oesterl
ions successives, doit être décrite avant toutes les autres. Elle fut publiée par le Dr Henri Steinhöwel, médecin né à Wyrms, q
tre même Steinhöwel n’a-t-il entendu faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-sept faute d’avoir connu les autres. Elle
ar Jean Schwitzer d’Arnheim, celui qui a gravé les cartes du Ptolémée publié en 1482. « Voyez la description de cet Ésope par
u verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la copie exacte de celui publié par Zeiner ; toutefois, quelques différences très
atalogue séparé. Ce catalogue, dans lequel il porte le nº 7805, a été publié en trois volumes in-8º, sous le titre de Biblioth
à moins d’avoir voulu se faire concurrence à lui-même, n’avait pas dû publier la collection de Romulus, qui, faisant double emp
avait jamais possédé parce qu’il n’existait pas : la première édition publiée par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’en ai ren
s qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les vieilles éditions publiées en Allemagne à la même époque, une simple réimpre
littérales de l’édition d’Ulm. Il n’en est pas ainsi de celle qui fut publiée à Bâle en 1501. Gomme un cadre neuf destiné à fai
elles avaient tué Phèdre, de même les traductions qui en avaient été publiées à l’époque de la Renaissance leur avaient porté u
découverte de Gude ne l’avait point empêché de rester. Cette édition, publiée à Brunswick par l’éditeur Vieweg, est trop connue
deuxième édition de Schwabe possédant les fables de Romulus, Gail les publia telles qu’elle les renfermait. Il n’avait voulu e
, être fait qu’une publication purement littérale. Aussi son édition, publiée à Berlin par le libraire Weidmann en 1870, se bor
ns les dernières années du xve  siècle, la traduction allemande a été publiée la première, c’est des éditions qui en ont été im
allemandes la plus ancienne paraît être celle qui, selon Hain340, fut publiée par Günther Zainer, imprimeur à Augsbourg et sans
ean Prüss de 1508. La traduction allemande de l’œuvre de S. Brant, publiée par Jean Prüss, forme un vol. in-fol. Elle est pr
e de Steinhöwel, suivie de la traduction allemande des fables latines publiées par Sébastien Brant. A. Édition de 1545. Il
même date de 1555, une autre édition de la traduction allemande a été publiée à Francfort. Le British Museum en possède un exem
exemplaire, m’a été révélée par la Bibliotheca librorum germanicorum, publiée en 1611 par Georges Brand in Freyhüt. 10º Éd
0º Édition de 1648. En 1648, les traductions allemandes des fables publiées par Steinhöwel et S. Brant furent éditées à Erfur
emberg ne furent pas les seules imprimées au xviie  siècle. Il en fut publié , à Bâle, en 1676, une autre formant un volume in-
s du Romulus ordinaire qu’une traduction française en était également publiée . Cette dernière était l’œuvre du frère Julien Mac
lien, qui sans doute n’était que la réimpression des précédentes, fut publiée dans le format in-folio par Mathis Huss et Jean S
m’a été révélée par le catalogue imprimé de la bibliothèque de Lyon, publié par M. Delandine350. Elle forme un volume in-4º,
Je me borne à citer, d’après Brunet354, l’édition de 1526, qui a été publiée à Lyon par Claude Nourry et Pierre de Vingle, et
12º Édition de 1532. La traduction en prose de J. Macho ne fut pas publiée seulement en France ; témoin l’édition peu connue
mprimeur William Caxton. Sa traduction fut imprimée de 1483 à 1484 et publiée en un volume in-folio de petit format, orné de gr
ues du célèbre imprimeur anglais, je leur signale l’ouvrage qui a été publié en 1863, à Londres, en deux beaux volumes in-4º,
la cote 12304. cc. 31. D. Réimpression de 1738. En 1738, a été publiée une septième réimpression de l’édition de sir Rog
ui, dès 1485, c’est-à-dire un an avant sa première édition latine, en publia à Gouda une édition néerlandaise en caractères go
ne faut pas la confondre avec celle qui a été ensuite, la même année, publiée à Anvers dans le format in-fol., dont Panzer357 e
85, après avoir transporté ses presses de Gouda à Anvers, Gérard Leeu publia une seconde édition en langue flamande des fables
us la cote 637. K. 2. 4º Édition de 1546. J’ai de cette édition publiée à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un à la Bi
te édition sous la cote jv. N. 3. 7º Édition de 1562. L’édition publiée en 1562 n’a été, pour ainsi dire, qu’une réimpres
leurs deux préambules. Me proposant de joindre aux textes, qui seront publiés à la fin de cet ouvrage, le Romulus du Miroir his
plus haut en reproduire le préambule. Au contraire, ne devant pas le publier ailleurs, je dois ici transcrire celui du Miroir
celui du premier qu’il ne reproduit même qu’en partie et que je dois publier avec le Romulus lui-même. Pour éviter tout double
le précédent. Dans l’inventaire des manuscrits latins de la Sorbonne publié en 1870, il est l’objet de cette simple mention :
général des manuscrits des Bibliothèques publiques des Départements, publié dans le format in-4º, donne, T. II, p. 83, du man
es. § 1er. — Éditions de Strasbourg. C’est à Strasbourg que fut publié pour la première fois le quadruple miroir de Vinc
re intitulé De virginitate 370. Deuxième édition. Mentellin a publié une seconde édition du Speculum Morale, ou plutôt
Vincentij historiale explicit. Deuxième édition. Mentellin a publié une autre édition du Speculum historiale en quatr
r historial. À Augsbourg, dans le monastère de Sainte-Afre, il en fut publié une édition formée de trois volumes, grand in-fol
ugsbourg ne paraît pas avoir été la seule édition du Miroir historial publiée en 1474. Maittaire376, d’après le P. Le Long, et
de Vincent de Beauvais fut entreprise à Bâle par Jean de Amerbach. Il publia , en un volume in-folio gothique, les cinq traités
6, dans le même format. Speculum historiale. L’année même où il publiait la première de ces deux éditions, Koburger faisai
lum doctrinale succéda le Speculum naturale que Hermann Liechtenstein publia , au mois de mai 1494, en un volume in-folio, enco
. — Édition de Douai. À Douai, une édition en 4 vol. in-folio, fut publiée avec ce frontispice : Bibliotheca mundi Vincenti
aise. La traduction due à Jean de Vignay en fut pour la première fois publiée à Lyon en 1479 par Bartholomieu Buyer, et l’éditi
la seule qui ait paru au xve  siècle. Le Miroir historial fut encore publié à Paris par Verard, de 1495 à 1496. Cette édition
ons anglaises de Caxton.     Toujours attentif aux grands ouvrages publiés en langue française et toujours ardent à les fair
ditions néerlandaises.     Le Miroir historial, qui avait seul été publié en français et en anglais, fut seul aussi traduit
y, m’avait signalé le catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford, publié dans cette ville, en 1852, par M. Henri O. Coxe.
et le Renard. III, 17. 45. Le Marchand et l’Âne. III, 18. Devant publier le texte de ces fables dans le second volume de c
partie de la collection du Romulus de Munich, ont été presque toutes publiées dans l’édition d’Ulm. Le Dr Steinhöwel en a intro
extravagantes. Quant aux six autres qui complètent ce groupe, je les publierai en les empruntant à son édition. Les Fabulæ extra
ttention de Jacob Grimm qui ne les avait pas trouvées indignes d’être publiées . Les huit qui dans l’édition d’Ulm portent les no
Cherrington. Dans la première édition de cet ouvrage j’ai analysé et publié l’œuvre de ce moine ; j’y avais été entraîné par
les en vers élégiaques cité par Barth dans ses Adversaria Commentaria publiés à Francfort en 1624402. Il déclare avoir lu dans
ne parurent pas seulement avec ce commentaire. Elles furent également publiées avec un autre tant dans des petits livres de clas
ore vivant en 1507, qui avait inspiré à son parent François l’idée de publier les fables élégiaques ou tout au moins d’en faire
de Libellus Zuccharinus avait été vulgairement donné à sa traduction, publiée pour la première fois en 1479. Scaliger avait pri
de l’auteur, je dirai que c’est ce Bernard dont Silvester Giraldus a publié des vers analogues tirés de la fable du Castor408
Grand. Mais, en s’appuyant sur une édition des fables, qui avait été publiée à Modène en 1481 et dont il avait vu un exemplair
a. En 1836, M. Endlicher, deux ans avant l’édition de Dressler, avait publié , ainsi que j’ai déjà eu l’occasion de le dire, un
st celui De Ornatu mundi. Ses œuvres, réunies par Beaugendre, ont été publiées en 1708 ; elles forment un volume in-folio. Tandi
par le catalogue de M. Endlicher, n’hésita-t-il pas, dans sa préface publiée en tête du Phèdre de la collection Nisard, à cons
s les manuscrits plus souvent que les autres, et qui, après avoir été publiées au xve  siècle, ont été de nos jours rééditées pa
dans les trois fables placées à la suite des siennes dans une édition publiée à Brescia en 1522. Je les joindrai néanmoins à ce
aminer figurent dans quelques-unes des éditions des fables de Walther publiées au xve  siècle. Elles ne sont pas les seules que
Walther publiées au xve  siècle. Elles ne sont pas les seules que je publierai . Les manuscrits nombreux qui contiennent son œuvr
comment il en a été parlé dans une Dissertation sur les bibliothèques publiée à Paris par MM. Chaubert et Hérissant en 1758 :
it suite, c’est dans l’édition que je donnerai de ces fables que j’en publierai le texte. Le manuscrit 1594 se termine par un épi
Explicit . 3º Manuscrit de Douai. Dans les catalogues d’Haenel publiés à Leipzig en 1830, le manuscrit de Douai est dési
nu l’erreur commise que pour rester fidèle à son modeste programme et publier , tels qu’ils étaient, les catalogues des biblioth
communale de Douai. Lorsque Dressler travaillait à l’édition qu’il a publiée en 1838, il s’est servi d’une copie de ce manuscr
s de faire d’heureuses corrections au texte des éditions précédemment publiées . Voici sur ce point les renseignements que, dans
7, M. Dressler, professeur érudit de l’Université de Bautzen, voulant publier une édition aussi complète que possible des fable
nouvelle édition des fables de Phèdre, la plus complète que l’on ait publiée jusqu’ici et dans laquelle il fit entrer les fabl
nt pas dans les éditions des Deux-Ponts, et qu’il en profita pour les publier dans la sienne. 4º Manuscrits de Laon. La b
général des manuscrits des bibliothèques publiques des départements, publié dans le format in-4º sous les auspices du ministè
cote 673 dans le Catalogue des Manuscrits de la bibliothèque de Lyon, publié par M. Delandine en 1812439, et dans l’inventaire
ndine en 1812439, et dans l’inventaire de cette bibliothèque copié et publié par Haenel440. Aujourd’hui il est conservé à Lyon
reste que les 24 derniers vers. Il ne faut pas, avec celle qui a été publiée par M. Robert442, confondre cette traduction, qui
71, avait pris copie du manuscrit avec l’intention bien arrêtée de le publier . Ce jeune professeur était M. Wendelin Foerster,
1479 les sonnets italiens d’Accio Zuccho furent pour la première fois publiés à Vérone, ils existaient depuis dix-sept années a
haut de la première colonne de la page 370. Quoiqu’elle ait déjà été publiée , notamment par MM. Jacob Grimm446 et E. Voigt447,
logue intitulé : Codices manuscripti latini bibliothecæ Nanianæ , et publié à Venise en 1776. Voici, d’après le Catalogue de
 A. N. II. 12 appartenait déjà à la bibliothèque à l’époque où Haenel publiait ses catalogues ; cet éditeur l’avait mentionné so
t joui au moyen âge, le nombre aussi grand des éditions qui en furent publiées à la fin du xve  siècle montre qu’elle avait cont
gr., t. I, p. 22, nº 31, Panzer signale encore une édition d’écolier, publiée , comme toutes celles destinées au même usage, dan
son Repert. bibliog., t. I, p. 34. nº 302. — Une autre édition in-4, publiée sans indication de lieu, est également indiquée p
s éditions. Jusque-là les fables de Walther avaient en général été publiées isolément. À partir de 1488, sans cesser de paraî
her qui, comme dans la plupart des éditions semblables antérieurement publiées , ne dépassent pas le nombre de soixante et qui so
lle n’est qu’une réimpression des premières éditions des huit auteurs publiées à Lyon. Je fais seulement observer que les soixan
imo cccc. xcvi. Die vero, xxiiij. Augusti. Cette édition, qui a été publiée dans le grand format in-4º, n’est qu’une copie de
ères gothiques, faite par Henri Quentell, de l’édition, qui avait été publiée par Henri Gran en 1494. Comme dans cette dernière
ernier feuillet est blanc. C’est encore une réimpression de l’édition publiée à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda. Il en
es premières qui se composent des soixante-deux le plus ordinairement publiées , commencent au feuillet a ii a et finissent au fe
édition est la réimpression de celle que le même imprimeur avait déjà publiée en 1503. 1517. Esopus constructus mora-
elles furent pour lui une vraie nouveauté, et c’est à ce titre qu’il publia dans sa première édition de Phèdre les six suivan
thèque Palatine, Névelet leur donna place dans sa Mythologia Æsopica, publiée à Francfort en 1610 dans le format in-8º, et rééd
1660. L’édition de 1660 n’étant que la réimpression de celle publiée par Nevelet en 1610, le frontispice est presque i
ition tirée à la fois de celle de Névelet et de celle de Nilant a été publiée à Padoue, en 1813, dans le format in-18. En voici
oduites dans le dix-septième volume d’une collection d’auteurs latins publiée à Bruxelles par l’imprimeur Tencé. Limitées aux s
s de Phèdre et d’Avianus. 1838. M. Dressler, dans son édition publiée à Bautzen en 1838, les ajouta aussi aux fables de
1882. La dernière édition que je connaisse est celle qui a été publiée par M. Wendelin Fœrster à la suite de la traducti
est actuellement conservée à Lyon dans le Palais des Arts. Elle a été publiée seulement en 1882 par le professeur Wendelin Fœrs
s tant du siècle dernier que du siècle actuel, ont été plusieurs fois publiés , et qui notamment ont été consciencieusement étud
lets et se terminent au recto du douzième. Ce sont celles qui ont été publiées par Rigoli en 1818. Manuscrit 1591. La trad
 176. et ressemble au contraire beaucoup à celui du manuscrit palatin publié à Lucques par Minutoli. La première fable, qui es
e trouve au contraire avec des leçons différentes dans celle de Manni publiée à Florence en 1778. Dans ce manuscrit, la fin des
l’œuvre de Zuccho, dans l’Inventario e stima della Libreria Riccardi publié à Florence en 1810, le contenu du volume est, à l
tte édition paraît avoir été calquée sur celle que l’abbé Berti avait publiée en 1811, d’après le manuscrit Mocenigo. La Biblio
s passages qui lui semblaient erronés, à l’aide du manuscrit Farsetti publié par Manni. Cette édition a été mentionnée et appr
ition in-8º de iii-172 pages, dans laquelle est pour la première fois publié le texte du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui co
dition in-8º en un volume de 166 pages. C’est la première qui ait été publiée du texte du manuscrit 92 de la Bibliothèque Palat
s ordinaire avait paru en Allemagne, de même ce fut en Italie que fut publiée la première traduction des fables de Walther.
 7729 possèdent chacune un exemplaire de cette édition. 1483. Publiée d’abord dans le nord de l’Italie, l’œuvre d’Accio
unio. de 1537. 1492. Esopo historiado. — Après avoir été publiée successivement à Vérone, à Rome et à Brescia, la
ris. » Malgré le luxe artistique avec lequel elle avait toujours été publiée , il paraît que la traduction de Francisco del Tup
st intitulé : Sermones diversi et quædam moralia. Dans le catalogue publié par M. Léopold Delisle470 après la fusion de tous
en trouva six dans un manuscrit de la Bibliothèque nationale, et les publia dans son édition des Fables inédites des xiie , x
texte entier dans un autre manuscrit de la Bibliothèque nationale, en publia , en 1854, la première édition complète. Elle renf
t de la combinaison de deux éléments distincts. Mais à peine avais-je publié ma première édition, qu’en relisant dans la colle
révélée par M. Duplessis, conservateur de cette bibliothèque, qui l’a publiée à Chartres, au mois de juillet 1834, dans un peti
lée la trouveront dans le Catalogus codicum philologicorum latinorum, publié par M. Étienne Endlicher en 1836, à Vienne, chez
trop rapprochés les uns des autres pour qu’il fût raisonnable de les publier tous. Il pouvait donc se faire que, malgré l’exac
dit qu’à la suite de l’édition des fables de cet Anonyme avaient été publiées 45 autres fables, précédées de la dédicace de Rom
ur le savant critique, il ajoute que Nilant ne s’est pas aperçu qu’il publiait deux fois la même œuvre. J’avoue la surprise que
t du Romulus de Leyde qu’au point de vue des services à en tirer pour publier du Romulus ordinaire une édition bien exacte, le
pensa qu’il aurait fait une besogne plus utile, s’il s’était borné à publier , en y ajoutant en note les variantes de son manus
peculum doctrinale 496, furent les seules sources qui lui servirent à publier , à Brunswick, en 1806, en même temps que l’œuvre
    Le catalogue in-fol. de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa au commence
ophile dans celle de l’Université de Leyde, où Nilant l’a trouvé et a publié le Romulus qu’il renfermait et auquel il a ainsi
 siècle. § 2. — Texte du Romulus anglo-latin.     Lorsque j’ai publié ma première édition, m’étant posé la question de
ualification dans le texte latin. Si, lorsqu’il s’est agi pour moi de publier ma première édition, je m’étais fait ces réflexio
anglaise est sorti le Dérivé latin de cent trente-six fables que j’ai publié . Dans les divers manuscrits où je l’ai trouvé, le
te du Romulus de Nilant. Mais dans le manuscrit de Leyde que Nilant a publié il n’y a que 45 fables. Je me suis demandé s’il n
oyer ceux qui désireront la mieux connaître à l’édition de ses œuvres publiée par M. de Roquefort510, à l’article que M. P. Cha
doie targier. Je passe maintenant aux fables. M. de Roquefort en a publié cent trois, que je vais indiquer par leurs titres
i remarqué deux qui contenaient des fables non comprises dans les 103 publiées par M. de Roquefort ; ce sont les manuscrits 2173
erniers, que M. de Roquefort a cru devoir emprunter à ce manuscrit et publier , mais qui sont probablement une addition étrangèr
oir connus et tout au moins, malgré leur ancienneté, s’est abstenu de publier . Le prologue, ainsi augmenté, est orné d’une très
, sous les nos 61 et 103, deux fables étrangères à celles qui ont été publiées . En voici le texte : fable lxi. N’a pas encor
érivé du Romulus anglo-latin est due à M. Robert, qui, en 1825, les a publiées dans son ouvrage sur les Fables inédites des xiie
Seulement, au lieu d’en faire une édition complète, il crut devoir ne publier , à la suite du Romulus Burnéien, que les fables,
té que des 134 fables contenues dans le manuscrit de Göttingen il n’a publié que 41. Cette manière de procéder était beaucoup
ore. Par ces rapprochements, on voit combien le dérivé partiellement publié par M. Oesterley diffère non seulement des trois
celui du Romulus primitif, mais qui paraît issu de ce dernier, je les publierai dans le second volume de cet ouvrage. § 3. — 
de l’ancienne langue allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été enfin publié par M. Seelmann dans les Niederdeutsche Denkmäler
nt en vérifier l’exactitude la peine de se reporter au texte qui sera publié dans le second volume de cet ouvrage. Ils m’excus
omulus de Nilant. Il en existe une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et dont j’avais cru à tort être le premier éditeu
ue in-fol. des manuscrits des bibliothèques anglaises et irlandaises, publié à Oxford en 1697. Ce manuscrit, qui appartient au
non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les auteurs du Catalogue publié à Oxford, ni le nº 1362 que, par suite de la clas
, de Tibulle, de Phèdre, de P. Syrus, avec la traduction en français, publiées sous la direction de M. Nisard. Paris, J.-J. Dubo
 »  Pomponius Mela, œuvres complètes, avec la traduction en français, publiées sous la direction de M. Nisard, professeur d’éloq
mitas fuit conflata. 29. Ainsi, dans sa traduction en vers libres, publiée en 1708, M. Denise, quoiqu’il ait, en général, fa
es peu communes Où je me plains de mes malheurs. Dans une traduction publiée à la Haye en 1725, l’éditeur a écrit : « J’ai cho
ire que la Révolution lui fit perdre, et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs éditions d’ouvrages anciens et modernes
le bibliothèque, riche en manuscrits. Ses ouvrages n’ont pas tous été publiés  ; le plus important, resté manuscrit, était intit
emaire, tome I, p. 189.) 79. Voyez la préface de l’édition de Phèdre publiée par M. Berger de Xivrey, pp. 33, 34 et 35. 80.
te 3.) 92. Voyez, dans l’édition diplomatique du manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de Xivrey, la p. 46 de la préface.
(Voyez p. 16.) 107. Voyez p. 89 de l’édition du manuscrit de Pithou, publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 108.
Pithou, p. 81. 109. Voyez p. 109 de l’édition du manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 110.
tion précitée. 111. Voyez p. 81 de l’édition du manuscrit de Pithou, publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 112.
xix. 119. Voyez p. 30 du tome I de son édition des Fables de Phèdre, publiée en 1806. 120. Le Meurtre du marquis de Monaldes
es par Louis Lacour, 1865, in-32. 121. Ce livre est un volume in-18, publié à Amsterdam, chez Jan Henri, libraire, en 1697.
itia litteraria, p. 30 du tome I de son édition des Fables de Phèdre, publiée en 1806. 126. Classicorum auctorum e Vaticanis
, de Properce, de Gallus et Maximien, avec la traduction en français, publiées sous la direction de M. Nisard… Paris, 1839, in-8
si l’on veut être plus complètement édifié, recourir à la biographie, publiée par le chanoine archiprêtre Giovan-Battista Risto
me d’une brochure in-4º de 79 pages. 133. Otinel, chanson de geste, publiée pour la première fois, d’après les manuscrits de
s Marinus Veltrius. (Voyez p. 247 de son édition du Codex Perottinus, publiée à Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phè
o, M.D.CCC.VI. 1 vol. in-4º. 158. Voyez p. 193 du tome Ier du Phèdre publié en 1826 sous la direction de Lemaire. 159. In P
oyez Disputatio III, p. xliii, dans son édition des Fables de Phèdre, publiée en 1786. 164. Le Frontispice portant le nom de G
44 à 46. 178. Bibliothèque des auteurs classiques grecs et romains, publiée par Guillaume Engelmann. Paris, Franck ; Leipsig,
yez la préface non paginée de son édition in-4º des Fables de Phèdre, publiée en 1727. 183. In Perottinum codicem MS. regiæ b
cripta sint. » (Voyez p. 7 de l’édition in-8º des 32 fables nouvelles publiées d’après Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.)
Romanis ingeniis opus. » (Voyez p. 3 de l’édition originale de Phèdre publiée à Troyes en 1596.) 208. « Phædrus, Tiberii libe
e livre III avait été, comme les deux premiers, écrit et probablement publié sous le règne de Tibère et avant la chute de Séja
ien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français, publiées sous la direction de M. Nisard… Paris, 1839… in-8
d’ouvrages, dont le premier fut une étude sur Ausone, et le dernier, publié en 1865, un an après sa mort, une édition de la C
graphie générale depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, publiée par MM. Firmin-Didot frères. Tome I. Paris, 1862.
édigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre, du diocèse de Chartres, publié par l’abbé Migne. Tome I. Aux ateliers catholique
284. Voyez tome VII, page 301. 285. Voyez, à la page 47, le volume, publié en 1874 par la Société de l’histoire de France, q
s siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre, publié par l’abbé Migne. 5 vol. in-4º. (Voyez, t. I, col
ædibus B. G. Teubneri, 1870. (Voyez nº 761.) 292. Ces notes ont étc publiées par M. O. Holder-Egger dans Neues Archiv der Gese
ria de Phædro, t. I, p. 165.) 305. Voyez, dans son édition de Phèdre publiée à Brunswick en 1806, la Notitia litteraria de Phæ
84, la note 2 de la page 678. 317. Voyez, dans son édition de Phèdre publiée en 1806, la Notitia litteraria de Phædro, tome I,
e notice particulière dans l’ouvrage bibliographique de Bale (Baleus) publié à Bâle de 1557 à 1559, avec Lilio Gregorio Gyrald
e. Parmi les nombreux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a publiés dans sa ville natale, il est convenable de citer
Leconte, M.DCCVIII, in-fol. (Voy. col. 1369.) 420. Sébastien Brant a publié cette épigramme dans son édition de Romulus de 15
la Bibliothèque de Carpentras, par C. G. A. Lambert, bibliothécaire, publié sous l’administration de M. le marquis de Jocas,
nts et imprimées par Wynkin de Worde. » Collection des auteurs latins publiée sous la direction de M. Nisard. Paris, Dubochet e
ti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la page 86 du T. I de l’ouvrage publié à Rome en 1889 sous ce double titre : Cataloghi d
son article sur Marie de France dans la Nouvelle Biographie générale publiée par MM. Firmin Didot frères. 500. Bibl. nat., m
r l’article relatif aux Traités divers sur les propriétés des choses, publié par M. Léopold Delisle dans le XXXe volume de l’H
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
s, Dieu le permettant ainsi, se leva du cercueil par trois fois, pour publier sa condemnation, et des-abuser luy-mesme les homm
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
s, et leurs alliez. Ils se servent mesme de la bouche des femmes pour publier leur propre loüange. Mais ce vice-là ne paroist p
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
’ils apprehendoient les incommoditez du dernier âge, où possible pour publier avecque plus d’efficace leurs sages maximes, et q
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
ignement que vous faites. La verité le fait advoüër ainsi, quand elle publie , qu’avec ce que Vous estes d’une Maison des plus
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
. La mesme chose se peut encore dire de ceux qui prennent le soing de publier les Histoires advenuës avant leur naissance. Car
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
bien plus loing, à sçavoir de la Metempsicose de Pythagore, qui ayant publié par toute l’Italie, que les ames humaines passoie
ement ce que disent les Saincts Personnages, à sçavoir que les bestes publient avecque leurs voix les loüanges de Dieu, comme si
re le loüe par leur voix, de la mesme façon qu’un excellent portraict publie la gloire de son autheur, ou qu’un luth qui est t
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
 ; « Monsieur le Sapin, à ce que je voy tu ne manques pas de vanité à publier ce qu’il y a de bon en toy, ny d’insolence à te m
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