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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 187 » pp. 332-332
monde. Or lui, secouant sa sonnette, faisait le glorieux sur la place publique . Une vieille chienne lui dit : « Qu’as-tu à te pa
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 95 » pp. 62-62
ommes qui n’ont aucune valeur, s’ils tombent sur un temps de troubles publics , s’imaginent qu’ils sont des personnages. Cha
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
Mettre son Asne sur les bancs : Sinon, il consentoit d’estre en place publique Guindé, la hard au col, étranglé court et net, Ay
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
nt, faisant en outre à cause de luy des jeux solemnels, et des danses publiques , pour une marque de leur commune allegresse. Il l
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
de ces lieux, les mœurs des habitans, Et le gouvernement de la chose publique Aquatique. Un point sans plus tenoit le galand em
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
euvent encore estre fortifiées de l’experience, tant particuliere que publique . Voyons quelles Republiques ont esté les plus fle
on a jetté dans les prisons, et qui ont esté l’object de l’execration publique  ? Les Tyrans toutesfois ne sont autre chose que l
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
nné de voir une Aigle, qui prenant son vol d’en-haut, arracha l’aneau public , et le laissa choir au sein d’un Esclave. Cela fi
t’en remettes à moy. Pour cét effet, quand tu seras demain à la place publique , dy simplement ces paroles aux habitans : Messieu
dire, il s’y accorda, et ainsi Esope fût declaré affranchy par un cry public qu’un trompette de la ville fit en ces termes. « 
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
b 71 Ce 78 Cf 82 Cg 10 Ch 85 Mh 75. Un devin, installé sur la place publique , y faisait recette. Soudain un quidam vint à lui
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
porelle, comme un animal monstrueux, et par consequent dommageable au public  ; Ce qu’il fist un peu apres, avec un extrême sen
is encore que luy-mesme, et le Lion, fussent deffrayez aux despens du public , portant chacun une inscription, avec ces mots.
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
leur Peuple, comme s’il les devoit tousjours chasser, mettent le bien public dans l’indifference, et n’ont pour object que leu
les festins, et dans les amours des femmes, mais encore aux affaires publiques , et en la forme du gouvernement. Or ces delices q
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
articulier les advantages qu’ils sont obligez de rapporter au bien du public . Ce fondement supposé, nous avons eu raison de di
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
algré le Heros de Jupiter issu, Faisant chere et vivant sur la bourse publique . Ils arriverent dans un pré Tout bordé de ruissea
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
principallement de celle qui se figure un charitable pretexte du bien public , pour conclure la mort des Innocents avec la sati
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
ent elle se rencontre dans les Cours des Grands, et dans les affaires publiques . Car outre l’importunité des uns et des autres, o
de son administration, de veiller, sans recompense, pour les affaires publiques , et de s’incommoder pour les querelles des partic
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
urs qui s’enveloppent dans de grands partis, entreprennent des fermes publiques , et prestent de l’argent aux Roys, le tout sous l
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
fût vain, Alexandre altier, colere, et yvrogne. Aristote sacrifia en public à la Courtisane Hermie : Ciceron manqua de cœur e
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
urent remarquer fort judicieusement, lors qu’ils establirent des jeux publics , pour émouvoir les jeunes gents aux belles action
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
azarder la vie, la liberté, c’est plustost pour la deffense des biens publics , que non pas des nostres, principalement si on le
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
cquise. Si ton compagnon en la conduitte d’une armée, ou d’une charge publique a merité de la gloire, ne la luy desrobe pas avec
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
ordinaire, on le saisit aussi-tost, et le mena-t’on droit à la place publique , où sur l’apparence qu’il avoit inventé une fourb
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
de party pendant les Guerres Civiles de Rome, non par le zele du bien public , mais pour satisfaire à son ambition démesurée. C
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
’Auguste contre Antoine, sans y comprendre plusieurs autres calamitez publiques , dont ils n’eurent pas le moyen de s’exempter. Qu
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
eurs de Province. De là viennent tant de desordres que nous voyons en public  : et dans nos maisons : De là les dissentions et
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
es font hayr d’un chacun, et les immolent quelquesfois à la vengeance publique .  
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
les poursuivoient, avecques des livres diffamatoires, et des outrages publics . Il me semble que ces grands personnages ne disoi
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
ent, ou pour l’amour d’eux mesmes, ou pour le zele qu’ils ont au bien public , et à la Vertu ? Quant à ce dernier poinct, il y
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
, que le jaloux Vulcan prit dans ses filets, et rendit ainsi sa honte publique à la face de tous les Dieux, comme le raconte le
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
à mon opinion, qu’il se rapporte à la gloire de Dieu, ou à l’utilité publique . Car s’il n’y va que de nostre interest propre, i
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
la Mer, afin qu’il eût sujet de s’en attrister, fût à la fin pendu en public , par le commandement d’un Satrape du Roy de Perse
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
leur Maistre de Camp. Voyez plusieurs bons Esprits exposez à la risée publique , déchirez, persecutez, necessiteux : Bref, voyez
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
r jamais donné lieu à des actions scandaleuses, et dignes de la hayne publique  ? Voylà les reflexions que fera le Vertueux en so
32 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
pour me les procurer toutes, j’ai visité la plupart des bibliothèques publiques de l’Europe. Copiant moi-même ou faisant copier t
es latins connus et inconnus, j’ai pris le parti de faire profiter le public de mes travaux par une publication qui les compre
en mesure de la continuer, j’attendrai, avant de la reprendre, que le public m’ait montré dans quelle mesure il s’intéresse à
oûter si cher à préparer et à publier ; c’est évidemment l’opinion du public compétent à laquelle il attache du prix. Si le re
le, je m’étais engagé dans une autre voie : j’étais entré dans la vie publique , et, pendant six années, mon double mandat de con
maintenant des choses, j’éprouve le très vif regret d’avoir livré au public un premier ouvrage défectueux, et, convaincu que
endant il y a peu d’auteurs latins qui aient autant que lui occupé le public de leur personne. Sans cesse il s’interrompt, pou
ce prince patient et stupide, qui, au Forum et dans les autres lieux publics , tolérait toute espèce d’injures44. Sax, précisan
désigné Tibère, qui, pour mieux se soustraire au fardeau des affaires publiques , s’était lâchement retiré sur un rocher du golfe
ion. Je passe au troisième. Comme les deux premiers, ce fut encore au public qu’il le destina. Le prologue en fournit partout
orité à son œuvre, et pour imiter ces artistes qui, afin d’amorcer le public , signent leurs ouvrages du nom de Praxitèle : Æs
pensée qu’en 1580 il consentit à entrer plus franchement dans la vie publique . Il accepta au parlement de Paris les fonctions d
énager un amusement de son goût, et mettre ce voyage à profit pour le Public , il avait retiré le Phèdre des mains de Patisson,
car l’exemplaire de la veuve Brocas se trouvait dans une bibliothèque publique dont l’accès était facile. Aussi voit-on le Père
étruit, et aujourd’hui elle ne se rencontre ni dans les bibliothèques publiques , ni chez les marchands de livres anciens. En l’ab
qui paraissait d’autant plus déplorable que ni Burmann n’avait dit au public dans sa préface, ni d’Orville n’avait écrit en tê
février 1811, après une vaine attente, il dut se décider à livrer au public , telle que deux ans auparavant elle avait été imp
hèdre tirées du manuscrit de Perotti n’avait pas encore été livrée au public , il semblait que Cassitto n’avait pu rien emprunt
elon lui, maintes faussetés aussi impudentes qu’absurdes. Pour que le public soit bien fixé sur les faits, il en entreprend le
ent été dirigées par Jannelli, avant même qu’elle n’eût été livrée au public , contre la troisième édition de Cassitto, n’avaie
, comme à Rome, le temps des vacances n’était pas encore passé, et le public n’était pas admis à travailler. Il m’engagea à de
fautes d’un manuscrit posthume. S’il avait voulu donner le change au public , il aurait pris les précautions habiles que tout
et qu’il s’empresse de résoudre. Il paraît qu’à Rome, dans les écoles publiques , les maîtres recouraient à des procédés d’éducati
poser, je ne les crois pas nécessaires et je les néglige. Le bon sens public a d’ailleurs réagi contre les doutes que Heyne et
notice littéraire par M. Deltour, inspecteur général de l’Instruction publique . Paris, impr. et libr. Delalain frères. In-18 de
la bibliothèque de la ville, ni dans celles des autres établissements publics , et que le sort en était complètement inconnu ».
ils à votre disposition. « La bibliothèque de la ville est ouverte au public les lundi, mercredi, jeudi et vendredi, de 2 à 5 
« Ce manuscrit, malgré les. efforts faits pour attirer l’attention du public , n’a pas encore été utilisé complètement pour la
ait émis l’avis qu’elle n’avait été qu’un appât offert à la crédulité publique , et qu’elle devait par les critiques sérieux être
més les ordres monastiques, il n’était pas passé dans la bibliothèque publique de Dijon, et pour cela je me suis par lettre adre
sieur,   « J’ai l’honneur de vous faire connaître que la bibliothèque publique ne possède pas le plus ancien manuscrit des fable
penser que ce manuscrit précieux n’entra jamais dans la bibliothèque publique de la ville. J’ai fait, pour m’en assurer, des re
première édition. § 4. — Manuscrit du Mans.     La bibliothèque publique de la ville du Mans possède un manuscrit, qui, ma
du à Oxford, et, quoique la Bibliothèque du Corpus Christi ne fût pas publique , j’ai pu, grâce à l’intervention obligeante d’un
ignale entre autres l’exemplaire que j’en ai trouvé à la bibliothèque publique de Stuttgard. Il porte cette mention manuscrite :
avure dans les deux dernières fables d’Avianus. Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il faut en croire son catalogue, en po
us de valeur que l’autre. L’exemplaire que j’ai vu à la bibliothèque publique de Maëstricht est relié avec deux autres ouvrages
mbridge, un exemplaire sous la cote O. 3. 4. 2 ; 7º À la bibliothèque publique d’Innsbruck, un exemplaire sons la cote 293 ; 8º 
ue d’Innsbruck, un exemplaire sons la cote 293 ; 8º À la bibliothèque publique de La Haye, un exemplaire mutilé qui, dans la deu
de Leyde, un exemplaire sous la cote Prenktab ; 10º À la bibliothèque publique de Grætz, un dernier exemplaire. 6º Édition de
édition originale, dont les deux textes ne pouvaient convenir au même public , et il paraît qu’en ce qui concerne le texte alle
rivée du roi de Wurtemberg, à Stuttgart, l’autre dans la bibliothèque publique de Linz, sous la cote D. iv. 9, relié avec un exe
emande. Elle fut l’objet de quelques réimpressions et la bibliothèque publique d’Ulm abrite de l’une d’elles un exemplaire acqui
m Meyn | in dem Roseneck bey Niclas Bassee. | 1572. La bibliothèque publique de Versailles possède, sous la cote E 717 d, un e
ette édition. B. Édition de 1586. J’ai trouvé à la bibliothèque publique de Nancy, sous la cote NN 1, un exemplaire de l’é
tio d’Arezzo et les vingt-sept d’Avianus. Il existe à la bibliothèque publique de Linz un exemplaire de cette édition sous la co
i me reste à signaler est celle que j’ai aperçue dans la Bibliothèque publique de Grætz. Elle a été imprimée à Stuttgart en 1838
’un au British Museum sons la cote B. 20 e, l’autre à la Bibliothèque publique de Gand sous la cote Rés. 351. § 7. — Édition
n publiée à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un à la Bibliothèque publique de Carpentras sous la cote 524 et l’autre à la Bo
n. Des exemplaires de l’édition de Plantin existent à la bibliothèque publique de Grenoble sous la cote 2504 F, à celle d’Avigno
ous la cote 15915 un exemplaire de cette édition dans la bibliothèque publique de Bordeaux. 10º Édition de 1683. L’édition
in, imprimée à Anvers, et dont un exemplaire existe à la bibliothèque publique de Versailles sous la cote E 713 d. Elle forme un
re considérable de manuscrits qui en est resté dans les bibliothèques publiques . Je n’essaierai pas de les mentionner tous, et, p
qui m’aura été fournie par les catalogues imprimés des bibliothèques publiques . § 1er. — France. 1º Bibliothèque national
112. H. L.). Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publiques de France, Arsenal, T. II, p. 231, donne de ce ma
rit 92 (86). Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publiques de France, Départements, T. VI, p. 40, donne de c
nuscrit 170. Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publiques des Départements, publié dans le format in-4º, do
les d’Ésope, comme nous le voyons dans beaucoup de bibliothèques tant publiques que particulières ; mais je ne veux pas en dire l
à Francfort, Névelet n’osa en gratifier personne. Il les présenta au public comme l’œuvre d’un anonyme ; de là vint le nom d’
x exemplaires de cette édition se trouvent, l’un dans la bibliothèque publique de la ville de Rouen sous la cote O. 638, l’autre
mmorante (un exemplaire de cette édition se trouve à la bibliothèque publique de la ville de Rouen sous la cote O. 2261 (a)) ;
ria carmina, membr. 8 436. Orelli en avait conclu que la bibliothèque publique de cette ville possédait un manuscrit de Phèdre.
mme et publier, tels qu’ils étaient, les catalogues des bibliothèques publiques . Mais, quoique cette hypothèse ne soit pas dénuée
publier dans la sienne. 4º Manuscrits de Laon. La bibliothèque publique de Laon possède deux manuscrits des fables de Wal
la nomenclature au Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques des départements, publié dans le format in-4º sou
dans le format in-4º sous les auspices du ministère de l’instruction publique . Aux pages 242 et suivantes du tome I ils pourron
rreur que, dans le Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques des départements, l’auteur du catalogue de celle
est donnée dans le Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques des départements438. 5º Manuscrit de Besançon
n454 et par Brunet455. J’en ai trouvé un exemplaire à la bibliothèque publique de Stuttgart. 1476. Aesopi fabulae lati
une gravure qui le recouvre entièrement et qui représente un édifice public . 2º Dernières éditions. Jusque-là les fabl
hèque royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 620 et la bibliothèque publique de Nuremberg sous la cote 139, possèdent chacune
thèque impériale de Vienne sous la cote VII. H. ii et la bibliothèque publique de Linz sous la cote B. 131. b., possèdent chacun
de cette édition in-4º, que je n’ai trouvée dans aucune bibliothèque publique , et qui est cependant mentionnée par Panzer (t. I
tion figure, sous la cote 28, parmi les incunables de la bibliothèque publique de Nevers. —  Auctores octo opusculorum cum comme
xxxxiiij. die nona mensis iunii. Sous la cote 10973 la bibliothèque publique de Dijon possède un exemplaire de cette édition.
1054, A. Gr. b. 59, A. Gr. b. 60 et A. Gr. b. 536, et la bibliothèque publique de Linz, sous la cote B. 100. B, possèdent des ex
de 39 feuillets, existent l’un, sous la cote B. 73, à la bibliothèque publique de Linz, et l’autre, sous la cote 364, à la bibli
. Il s’en trouve, sous la cote 14680, un exemplaire à la bibliothèque publique d’Arras. — Esopus moralisatus cum bono commento
vu, rencontré deux traductions dans les manuscrits des bibliothèques publiques . La plus ancienne et en même temps la plus intére
qui la contenait dépendait d’une bibliothèque privée inaccessible au public , j’aurais encore été dans la nécessité de la pass
, par Ant. Fr. Delandine. Paris, Renouard, et Lyon, à la bibliothèque publique et chez les principaux libraires. 2 vol. in-8º.
Paris, chez Renouard, Schœl, Lenormand, et à Lyon, à la Bibliothèque publique et chez les principaux libraires, 1812. 3 vol. in
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
des exemples touchant la fidelité des Chiens, puis que les Histoires publiques , et toutes les maisons des particuliers sont plai
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