lui le plus ancien, j’étudierai les imitations de son œuvre, tant en
prose
qu’en vers, qui nous ont été conservées par de no
tière. Mais il a eu des imitateurs directs, qui ont mis ses ïambes en
prose
, et l’on trouve dans leurs imitations des mots et
aductions latines, qui elles-mêmes avaient été la base de versions en
prose
et en vers ; mais, destinée singulière des choses
le copiste, sans se préoccuper des vers, les avait écrits comme de la
prose
. « Les vers, dit-il, n’y sont pas distingués », e
é observés ni par l’un ni par l’autre. Ils les ont écrits comme de la
prose
. Dom Vincent, en voyant dans l’édition de Pithou
s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et les a écrits comme de la
prose
. Ce qui me confirme dans cette hypothèse, c’est q
rs les copistes. Le verso du feuillet 18 est occupé par une prière en
prose
latine rimée. Angelo Maï dit que c’est la prière
onstruit par Jannelli s’écroule. Si l’on a recours à la traduction en
prose
de M. Bagioli, publiée en 1812, on y trouve : « U
En quatrième lieu, les titres des fables que Perotti avait rédigés en
prose
dans un style incompatible avec celui de Phèdre,
bles nouvelles, pris pour des vers de Phèdre ce qui n’était que de la
prose
arrangée par Perotti. Et pour qu’on ne puisse l’a
les nouvelles, leur texte latin en regard, la traduction française en
prose
ajoutée au bas, et les notes latines de Jannelli
es | de Phèdre | traduites en vers italiens | par M. Petronj | et en
prose
française | par M. Bagioli | avec les notes latin
quatorze feuillets. Le premier feuillet est rempli par une épître en
prose
, dont voici le titre : NICOLAVS PEROTTVS PONTIFE
qui constituent son recueil, sont écrites en vers, sauf une épître en
prose
qui y porte le nº 67. En définitive, si aux 157 n
De asparagis et lacte, et si d’autre part on en retranche l’épître en
prose
que je viens d’indiquer, on arrive toujours à un
en a supprimé les promythions et les épimythions, et, les mettant en
prose
, il en a fait des titres qu’il a substitués à ceu
e que dans le manuscrit de Naples. Le texte commence par la lettre en
prose
à Titus Mannus Veltrius de Viterbe, que suivent l
urg en 1697212, en prétendant qu’il n’avait songé qu’aux apologues en
prose
; Cannegieter, dans sa Dissertatio de ætate et st
les contenues dans le manuscrit de Dijon ne sont que la traduction en
prose
de fables originairement écrites en vers ïambique
composées par lui en vers, qui ont ensuite été grossièrement mises en
prose
, et qui, sauf quelques fragments conservés dans l
rose, et qui, sauf quelques fragments conservés dans la traduction en
prose
et mis en œuvre par Perotti, ont été enfin entièr
De là vient que les fables de Romulus semblent être la traduction en
prose
de celles qu’on attribue à Phèdre. Mais en défini
de Romulus contient non pas l’œuvre de Romulus, mais la traduction en
prose
de fables qu’il avait auparavant traduites en ver
. « Resolvere, dit-il, ne peut évidemment signifier ici, ni mettre en
prose
, ni développer des fables ; c’est donc une simple
l reconnaît avec raison que le mot resolvere ne signifie ni mettre en
prose
, ni développer, et signale ainsi l’erreur de Chri
proprement dites, mais de ces paraphrases, qui consistent à mettre en
prose
un texte d’abord écrit en vers, dont les ïambes p
rop concis. De là sortit un genre tout nouveau de fables composées en
prose
. L’ensemble en était grossier ; mais dans les dét
aux de vers, disjecti membra poetæ. Deux collections de ces fables en
prose
attribuées à deux Romulus furent publiées, l’une
’elles présentent sont au surplus prouvées par les interprétations en
prose
, écrites au moyen âge. On y trouve beaucoup de fa
érait comme excellent l’exercice qui consistait à les faire mettre en
prose
et paraphraser par les élèves, et il est probable
ral, au moyen âge le nom d’Ésope aux collections de fables latines en
prose
, il a dû par Ésope vouloir désigner Romulus. Il f
éparant du texte même de chaque fable la moralité et la traduisant en
prose
, il en a fait un titre nouveau, destiné à remplac
e était elle-même due à un compilateur, qui s’était borné à mettre en
prose
celles qu’il avait empruntées au poète romain. Lo
mea et Vulpe, De Lupo et Bubulco, De Cornice et Ove, se retrouvent en
prose
parmi celles de Romulus. Je pourrais faire valoir
umérotés, contenant le texte des fables anciennes et la traduction en
prose
en regard. 1683. Les fables de Phèdre
ste et les fables restituées par Gude accompagnés d’une traduction en
prose
française en regard, et les sentences non traduit
les Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en
prose
française par M. Biagioli…, et précédée[s] d’une
. In-16 de 148 pages contenant, sous le texte latin, la traduction en
prose
italienne des Fables de Phèdre et de celles resti
e Phèdre et des cinq fables restituées par Gude avec la traduction en
prose
italienne placée en regard. 1818. Tut
rs que, pour atteindre son but, il n’a pas fait grand effort ; car sa
prose
est la copie presque littérale des vers de l’aute
quam bonis alienis, suis quin potius vivere malle. » J’ai divisé la
prose
en autant de lignes qu’il y a de vers imités, et
teur permet de douter de la ressemblance. Fol. xliv a. — Opuscule, en
prose
latine rimée, en l’honneur du Christ. Fol. xliv b
nri, venaient un long avertissement au lecteur, puis les 67 fables en
prose
désignées par le titre de Fabule antiquæ, ensuite
du moyen âge, toutes les fables latines connues avaient été mises en
prose
et réunies en une sorte de Corpus, qui avait été
en que le manuscrit de Wissembourg renfermait des fables ésopiques en
prose
; mais il avoue qu’il ignore si ces fables sont i
de Phèdre, ou si au contraire il n’en renfermait que la paraphrase en
prose
. Sa deuxième citation avait à cet égard dissipé l
copiste, peu habitué aux ïambes et les considérant comme de la simple
prose
, détruisait les vers et les altérait à sa fantais
sté vers le xiie siècle un écrivain, nommé Romulus, qui avait mis en
prose
une partie des fables de Phèdre. C’est ainsi que
originaire ou de Romulus primitif, et, si c’est un de ses dérivés en
prose
, d’ajouter au terme générique une dénomination sp
11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19 et 20. La quatrième est la mise en
prose
d’une des nouvelles. Enfin le livre III et dernie
u’elles soient plus récentes, ni qu’aucun des auteurs des versions en
prose
se soit aidé de la traduction en vers ïambiques.
onnaître que les fables des divers Romulus ont été des paraphrases en
prose
, ou plutôt les copies un peu modifiées d’une prem
e, ou plutôt les copies un peu modifiées d’une première paraphrase en
prose
faite, au moyen âge, sur les fables latines de Ph
ication des conseils de Quintilien, qui engageait à faire traduire en
prose
les fables ésopiques originairement écrites, non
traduire en prose les fables ésopiques originairement écrites, non en
prose
grecque, mais en vers latins ? J’ai peine à croir
ruction des élèves, qui, pour s’exercer, les auraient paraphrasées en
prose
, je ne puis supposer que la collection de l’Æsopu
i s’était étudié à approprier les fables de Phèdre, en les mettant en
prose
, aux idées religieuses du moyen âge, pour les fai
x deux prologues ; enfin chaque fable en vers et sa correspondante en
prose
s’abritent aussi sous le même. Tous paraissent em
vre III, comme Walther n’a pas traduit en vers élégiaques la fable en
prose
De Junone et Venere, elle a été mise avec celle D
a lig. 24 à 82 b), disposées dans l’ordre suivant : 1º Texte latin en
prose
, 2º Gravure sur bois, 3º Traduction allemande de
involontairement entraîné par sa publication simultanée des fables en
prose
de Romulus et de leur paraphrase en vers élégiaqu
ès avoir, dans les trois premiers livres, fait suivre chaque fable en
prose
de sa traduction en vers, et avoir été conduit ai
les de l’Anonyme de Nevelet, les dix-sept fables d’Ésope traduites en
prose
latine et dites extravagantes, la traduction en p
pe traduites en prose latine et dites extravagantes, la traduction en
prose
latine de dix-sept autres par Ranutio d’Arezzo, l
n vers est la première ; elle est immédiatement suivie de la fable en
prose
, au-dessous de laquelle est placée la gravure. Pa
et des deux fables c’est toujours celle en vers qui précède celle en
prose
. Fol. 43 a (g. i a). — Dans le titre courant par
t trouvé dans la nécessité de placer la gravure au milieu du texte en
prose
. Fol. 60 a (i. iv a). — Fin du livre III, sans so
is suivants contiennent, sous forme de lettre, un premier prologue en
prose
dont le titre est ainsi conçu : Incipit epistola
es fables en vers sont, il est vrai, plus gros que ceux des fables en
prose
; mais la forme gothique de ceux de la première e
480, Gérard Leeu s’était occupé d’imprimer la collection de fables en
prose
de Nicole de Pergame et il en avait fait une prem
imus. Pour chaque fable, la gravure, le texte en vers et le texte en
prose
se suivent dans le même ordre que pour le prologu
de ce livre intitulée De Leonis fallaci conversatione n’existe qu’en
prose
. Ensuite vient ce titre de la table du quatrième
acune d’abord une gravure, puis le texte en vers, enfin une morale en
prose
. Fol. 92 b. — Fin des fables d’Avianus. Fol. 93 a
d’abord la gravure, puis la fable en vers élégiaques, enfin celle en
prose
. Fol. 23 b (d. i b). — Incipit Esopi fabularum l
es il a ajouté, sans doute pour la symétrie, une traduction latine en
prose
. Il s’ensuit que le livre III comprend 42 fables.
er la lacune et rétablir la symétrie, a fait précéder chaque fable en
prose
d’un quatrain et quelquefois d’un sixain en vers
symétrie, Brant a fait l’inverse : il a ajouté à chacune une fable en
prose
. Fol. 109 b (q. iii b). — À ce feuillet commencen
toujours d’une première partie en vers élégiaques et d’une seconde en
prose
. En voici la nomenclature : 1. Ex hesiodo contra
aris par Alain Lotrian. 12º Édition de 1532. La traduction en
prose
de J. Macho ne fut pas publiée seulement en Franc
xxiv-352 pages et orné de gravures362. Chapitre II. Dérivés en
prose
du Romulus ordinaire. Première collection. R
29 fables de Romulus dix-sept ont leur origine dans la traduction en
prose
des fables connues de Phèdre, savoir : dans les f
mulus d’Oxford que j’ai décrit plus haut398, c’est un dérivé latin en
prose
qui est en même temps un abrégé ; seulement le Ro
lus ordinaire n’ont pas seulement servi de base à des compilations en
prose
; elles ont encore inspiré des collections de fab
nt de faire, c’était de découvrir, parmi les collections de fables en
prose
latine dérivées de celle qui avait été la premièr
bles amusantes. Romulus, pour lui complaire, commence par traduire en
prose
latine les fables grecques d’Ésope, puis il les m
ce dernier, pour ne pas contrarier un si haut personnage, traduit en
prose
latine ses fables grecques. La Bibliothèque Ambro
ulus anglo-latin. De ce début il résulterait que, comme les fables en
prose
dont elles sont issues, les fables en vers élégia
es circonstances qui l’avaient déterminé à traduire en vers latins la
prose
grecque d’Ésope : « Salo quidam sapiens homo fuit
e vous me demandez si Romulus a composé les fables latines d’Ésope en
prose
ou en vers élégiaques, comme on le pense générale
struit que son temps le comportait, a, cela est hors de doute, mis en
prose
les fables d’Ésope, comme nous le voyons dans bea
que les fables de Walther n’étaient que la paraphrase poétique de la
prose
de Romulus, et que les deux premières fables comp
et 3 autres blancs qui les suivent. Il renferme 43 fables écrites en
prose
française, dont la moralité est suivie d’une autr
t l’écriture est à deux colonnes. Il contient de nombreux ouvrages en
prose
et en vers et notamment les fables de Walther, qu
du prologue en vers se trouve une sorte de préface ou commentaire en
prose
, qui donne le vrai nom de l’auteur. En voici le t
es lignes est du xive siècle. Il renferme plusieurs ouvrages tant en
prose
qu’en vers, parmi lesquels les fables de Walther
nu debout sur sa cuisse. Les fables sont précédées de ce préambule en
prose
latine commun à la plupart des petites éditions c
r commencent au recto du deuxième feuillet, précédées du préambule en
prose
et accompagnées de la glose interlinéaire communs
r feuillet commencent les fables de Walther précédées du préambule en
prose
et accompagnées du commentaire qu’on rencontre sp
té à supposer que l’édition contenait avec le texte une traduction en
prose
italienne. Chaque fable est ornée d’une gravure s
(a iª). Frontispice ci-dessus décrit. F. 1 b (a i b ). Préambule en
prose
qui est, comme celui de la plupart des petites éd
formation en vers élégiaques de fables appartenant aux collections en
prose
. Elles occupent les pages 71 à 149. Cette édition
es. Il a été fait au moyen âge des traductions allemandes, tant en
prose
qu’en vers, des fables de Walther. En ce qui touc
u’en vers, des fables de Walther. En ce qui touche les traductions en
prose
, je n’en veux signaler qu’une. Dans la bibliothèq
rand format, pouvant être considéré comme contenant une traduction en
prose
des fables de Walther, qui, ainsi que la plupart
n âge et au commencement de la Renaissance, ont été traduites tant en
prose
qu’en vers. 1º Traductions en prose faites au m
ance, ont été traduites tant en prose qu’en vers. 1º Traductions en
prose
faites au moyen âge. Les traductions qui ont é
et dont l’écriture est du xive siècle. Les cinquante-trois fables en
prose
italienne qu’il possède sont contenues dans douze
nte-trois. Manuscrit 1764. Ce manuscrit renferme deux fables en
prose
intitulées, l’une : Della Capra che pasciera nel
rouvent, à sa connaissance, dans aucune des traductions italiennes en
prose
. Manuscrit 92 du fonds Palatin464. Ce manus
ii. di Septembre. Le volume contient non seulement la traduction en
prose
des fables de Walther, mais encore celle en vers
raduit chaque fable latine, sont suivis de la fable correspondante en
prose
italienne. Quoique la traduction en langage vulga
: Esopo favole volgarizzate da Accio Zucco. Les leçons du texte en
prose
italienne ont la plus grande ressemblance avec ce
volume renferme de la page 1 à la page 261, le texte de 97 fables en
prose
italienne puisé dans divers manuscrits anciens, d
ppo. À son tour Francisco del Tuppo fit paraître une traduction en
prose
italienne des fables de Walther. 1485. La
s. Leurs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en
prose
italienne « dont certains passages, dit Brunet469
um. Anno Dn̄i. MDXXXII. mense nouēbri. Section VIII. Fables en
prose
dérivées des fables en vers de Walther. § 1.
directement issu de Phèdre, firent éclore à leur tour des dérivés en
prose
. J’ai trouvé un de ces dérivés dans le manuscrit
s été, au moyen âge, le seul lettré qui ait mis en vers élégiaques la
prose
du Romulus ordinaire. Alexandre Neckam, son compa
la et Muribus, De Bubulco et Lupo. À la suite de la dernière fable en
prose
, le copiste a ajouté les deux fables de l’Anonyme
e l’absence dans le manuscrit de Berlin de la fable correspondante en
prose
. La fable, ainsi rejetée à la fin du manuscrit, e
lection à laquelle il a attaché son nom. Chapitre II. Dérivés en
prose
latine. — Romulus anglo-latin et ses dérivés.
able des matières conçue en ces termes : I. Sermones de Voragine, en
Prose
. II. Histoire de la guerre de Troye par Darès le
cois par Marie de france. Page 198. IX. Le Petit Liure de Moralité en
Prose
. Page 217 vº. X. Le Lucidaire en prose. Page 226.
Le Petit Liure de Moralité en Prose. Page 217 vº. X. Le Lucidaire en
prose
. Page 226. À la suite de cette nomenclature la m
endre. 5º Fables d’Ésope par Marie de France. 6º Traité des péchez en
prose
. L’œuvre de Marie de France s’étend du feuillet
ont contenues plusieurs vies des saints et des saintes, en rime et en
prose
, lequel est à Mons. Charles de Croy, comte de Chi
its de la Bibliothèque nationale 347 B et 347 C, vingt-deux fables en
prose
latine, qu’il a éditées532, auxquelles on a donné
ns titres particuliers à chacune d’elles, les fables de la version en
prose
du texte d’Avianus, qui finissent à l’antépénulti
s le volume que je consacrerai à Avianus, je m’occuperai du dérivé en
prose
latine intitulé Apologi Aviani, j’aurai l’occasio
ns titres particuliers à chacune d’elles, les fables de la version en
prose
latine d’Avianus qui, se terminant au milieu de l
es 136 fables du Dérivé complet vient sans interruption la version en
prose
latine de seize fables d’Avianus, dont voici les
Dérivé sont, comme dans le manuscrit 1108, suivies de seize autres en
prose
dérivées d’Avianus et de l’épimythion d’une dix-s
dérivées d’Avianus et de l’épimythion d’une dix-septième également en
prose
étrangère à ce fabuliste. Par erreur, les deux pr
s, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin et le Dérivé d’Avianus en
prose
latine qui en est le complément habituel. Le prem
1re col. au feuillet 65 b, 2e col. et qui est suivi d’une version en
prose
des fables d’Avianus aussi complète que celle du
x tables des matières, celle du Dérivé complet et celle des fables en
prose
tirées d’Avianus. La première de ces deux tables
u feuillet 123 a au feuillet 126 a, une bonne partie de ces fables en
prose
dérivées d’Avianus qui, dans les manuscrits, vien
crit à l’encre rouge. Enfin elles sont suivies des dix-sept fables en
prose
qui ont déjà été mentionnées dans l’analyse du ma
ns du Romulus de Nilant. Ce n’est pas seulement à une imitation en
prose
que le Romulus de Nilant a donné naissance ; il a
roi des animaux, le Dérivé hexamétrique a, comme les deux Dérivés en
prose
du Romulus anglo-latin et comme la traduction de
Dérivé hexamétrique n’est pas la seule collection poétique née de la
prose
du Romulus de Nilant. Il en existe une autre moin
teur n’en a pas inventé les sujets ; il en a trouvé des rédactions en
prose
, les a traduites et les a ajoutées aux autres. Où
les Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en
prose
française par M. Bagioli, avec les notes latines
les Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en
prose
française par M. Bagioli. Paris, M.D.CCC.XII, in-
les Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en
prose
française par M. Bagioli avec les notes latines d