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1 (1180) Fables « Marie de France — Prologue. Prologue »
Marie de France —  Prologue Prologue Cil ki seivent de lettr[e]ure, devre
Marie de France — Prologue Prologue Cil ki seivent de lettr[e]ure, devreint bien me
2 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
30 M. Berger de Xivrey a faite d’un des manuscrits du fabuliste6 : le prologue du livre III, adressé à Eutyque, y est intitulé P
être davantage l’objet de la moindre incertitude. Il a soin, dans le prologue du livre III, de l’indiquer en ces termes : Ego,
voulu voir dans ce vers qu’une métaphore poétique ; mais la suite du prologue s’oppose à cette interprétation, qui semble au pr
tard, les critiques devaient être portés à lui imputer, il a, dans le prologue de son livre III, eu le soin d’expliquer sa pensé
Car, à l’époque où il était traduit en justice, le fabuliste, dans le prologue de son livre III, écrivait « qu’il avait déraciné
ière de voir n’est pas dénuée de point d’appui. Puisque c’est dans le prologue du livre III qu’il se plaint du procès que Séjan
vres qui devaient renfermer les fables incriminées ; or, dans le même prologue , il prétend avoir du sentier d’Ésope fait une rou
t certain qu’il s’y était exposé. En effet, quand on le voit, dans le prologue de son livre III, déclarer d’une part qu’il a pou
Comme les deux premiers, ce fut encore au public qu’il le destina. Le prologue en fournit partout la preuve. Il avait embrassé l
composition de ce troisième livre ? Si l’on s’en tient aux termes du prologue , l’incertitude n’est pas possible : Tibère vivait
e ses fables. Dira-t-on que tout cela n’explique pas comment, dans le prologue de son troisième livre, Phèdre, au moment même où
ile à donner. Si le vindicatif favori de Tibère avait pu connaître le prologue du livre III, Eutyque aurait été impuissant à pro
livre avait, comme les deux premiers, été destiné à la publicité, le prologue n’en avait été sans doute adressé qu’à lui, et Ph
Il avait encore obéi à la même pensée, quand il s’était écrié dans le prologue de son livre III, adressé à Eutyque : Ergo hinc
omplet d’originalité dans la pensée est reconnu par lui-même. Dans le prologue de son premier livre, il déclare qu’il s’est born
teriam repperit Hanc ego polivi versibus senariis. Il ajoute dans le prologue du livre II qu’il prend Ésope pour modèle, et que
s, Bonas in partes, Lector, accipias velim. Il est vrai que, dans le prologue du livre III, il prétend, comme je l’ai déjà fait
ium corde durato feram, Donec fortunam criminis pudeat sui. Dans le prologue du livre III, il traite bien ses fables de viles
ce n’est là que de la fausse modestie ; il ne tarde pas dans le même prologue à se placer au-dessus d’Ésope, et il conclut en d
gard : Hoc illis dictum est, qui stultitia nauseant. Enfin, dans le prologue de la deuxième partie du livre IV, il se console,
oit que la seule qualité qu’il s’attribue, c’est la brièveté. Dans le prologue du livre II, il avertit le lecteur qu’il aura soi
ad Particulonem devient, dans ce livre d’abord interrompu, un nouveau prologue , par lequel Phèdre, après avoir quelque temps ces
me semble pas avoir entrevu. Il arrête le quatrième livre à la fin du prologue , qui est intitulé Poeta ad Particulonem, et qui c
par ce vers : Cum destinassem terminum operi statuere, et, comme ce prologue est conçu dans des termes qui ne permettent pas d
em, les autres, en substituant le mot quintum au mot quartum, fait du prologue Poeta ad Particulonem le commencement du cinquièm
ue Nicolas Rigault, n’ont pas pris tant de peine ; tout en plaçant le prologue en tête du livre V, ils ont laissé subsister le m
première, il dédie à Particulon. Dans la pièce de vers, qui en est le prologue , il lui avoue qu’il s’est tout bas reproché sa dé
éditeurs tels que Pithou ont pu, terminant le quatrième livre par le prologue de la deuxième partie, attribuer au cinquième liv
, et lui avait envoyé une copie, faite sur papier transparent : 1º du prologue du premier livre, 2º de la morale de la fable xvi
ns s’en apercevoir, il avait omis toutes celles qui s’appliquaient au prologue et à la première fable tout entiers, et à la deux
 : « J’ai manqué dans le temps, et je ne sais comment, de vérifier ce prologue et la page suivante. » Il y a donc là une lacune
faut nécessairement recourir à d’autres documents : d’abord, pour le prologue compris dans les 34 premiers vers, au fac-simile,
orze feuillets, savoir : 57 écrits et 17 blancs. Elle commence par un prologue , ou dédicace adressée par Niccolo Perotti à son n
effet, l’on se reporte au texte de Phèdre, on trouve ces vers dans le prologue du livre III : Honori et meritis dedicans illum
ansposée et dont, avec une égale impéritie, ils ont fait, les uns, le prologue du quatrième livre, les autres, le prologue du ci
ils ont fait, les uns, le prologue du quatrième livre, les autres, le prologue du cinquième, on lit les vers suivants : Hunc ob
re. La fable doit amuser : risum movet , dit Phèdre lui-même dans le prologue de son livre Ier. Partant de là, lui-même appelle
près la fable xiii du livre IV, il y en a une qui saute aux yeux : le prologue du livre V, qui se termine par ce vers : Sed jam
le titre du livre II et a fait commencer le livre III, non pas par le prologue intitulé Phædrus ad Eutychum, mais par le prologu
II, non pas par le prologue intitulé Phædrus ad Eutychum, mais par le prologue intitulé Auctor qui fait suite à la dernière fabl
mais la brièveté du livre permet de la supposer très considérable. Le prologue même du livre III en fournit la preuve évidente.
e plus incomplète. Ainsi que je l’ai expliqué, elle commençait par le prologue Poeta ad Particulonem, dont le premier vers est a
operi statuere. De cette seconde partie nous ne possédons, outre ce prologue , que le préambule d’une fable disparue, intitulée
. Martyrologium Bedæ. C’est un petit poème en vers hexamètres dont le prologue commence ainsi : Bis sena mensum vertigine volvi
pugna virtutum. Incipit psichomachia. Puis vient ce premier vers du prologue  :       Senex fidelis, prima credendi via. La P
. Incipit liber eiusdem. Ces derniers mots montrent qu’à la suite du prologue venait le livre même de Caton écrit sur un autre
vi). Fol. lxxxiii a. — En tête de ce feuillet on lit : Prologus. Ce prologue se compose de dix vers ; à la suite vient l’ouvra
rit Vossianus in-8º 15, placé en tête de même, comme s’il en était le prologue . — Voyez enfin le petit poème de Sphera cœli, com
rve qu’elles sont divisées en cinq livres, composés : le premier d’un prologue et de 14 fables, le deuxième, de 11 fables, le tr
liber mons|trorum de diversis | ge — ne — ri — bus , et à la suite le prologue dont voici les premiers mots : De occulto orbis
tanta monstrorum esse genera credenda , etc. Tross ajoute qu’entre ce prologue et la partie de l’ouvrage que M. Berger de Xivrey
ge ne ri bus. Fol. 109 a. — La page est tout entière occupée par le prologue transcrit par Tross. Il se termine à la première
u’il contenait, le manuscrit de Wissembourg nous l’apprend : c’est le Prologue et la Table des 57 chapitres du traité De monstri
n, dont elles sont indirectement issues. Wissembourg. Phèdre. Prologue . I, 1. Le Loup et l’Agneau. i, 1. I, 2. Le
Le Coq et la Perle. iii, 12. V, 7. (Voir V, 6.) V, 8. (Voir le Prologue .) V, 9. Le Renard changé en homme. V, 10. L
rtient, les deux ou les quatre premiers feuillets, qui contenaient le Prologue et les huit premières fables du Livre I, n’exista
ous la dénomination de Dérivé complet. En tête de ce Dérivé figure un prologue dans lequel on peut lire ce qui suit : Liber igit
ore romano ad instruendum Tyberium filium suum, in Latinum venit. Le prologue qui contient ces lignes paraît avoir été en grand
bey 172 du xiiie  siècle que j’ai publié dans ma première édition, le prologue est annoncé en ces termes : Incipit Prologus in t
pit liber fabularum Æsopi Atheniensis 313, et voici comment débute le prologue qui le suit : Romulus urbis Romæ Imperator Tiberi
copiste du manuscrit Burnéien, pour que le sens des premiers mots du prologue ait été altéré, et l’on n’ignore pas combien les
on du copiste de placer les mots de civitate attica dans l’en-tête du prologue . Le texte y est disposé de cette façon : Romulus
nte, a modifié sensiblement l’ordre des fables, a fait disparaître le Prologue qui les précédait, en a reporté la première parti
ce ainsi : Incipit prologus super librum fabularum Æsopi gentilis. Le prologue commence par ces mots : Memoriam tibi tradam. Ce
rmaient, comme dans les autres manuscrits, le commencement non pas du prologue , mais de l’épilogue, et qu’enfin le manuscrit ren
Cette dédicace est suivie d’abord d’une traduction allemande, puis du prologue des fables en vers élégiaques, dont l’auteur a ét
l’auteur a été longtemps appelé l’Anonyme de Névelet. C’est après ce prologue que se placent les vingt fables du livre I (fol. 
ent du Prologus metricus in Esopum. Fol. 26ª à 26b (d.iiª à d.iib). Prologue des fables en vers élégiaques, suivi d’une gravur
logue des fables en vers élégiaques, suivi d’une gravure commune à ce prologue et à la dédicace à Tiberinus qui vient ensuite et
c et les trois suivants contiennent, sous forme de lettre, un premier prologue en prose dont le titre est ainsi conçu : Incipit
speculi stultorum ad eundem directi et inferius scripti. À la fin du prologue on lit cette souscription : Hec de prologo autor
Hec de prologo autoris. Le recto du fol. v est occupé par un second prologue en vers élégiaques, qui se lie plus intimement à
sur bois. Du recto du fol. 2 au ihilieu du verso du fol. 4 s’étend un prologue avec le titre : Prologus et la souscription :
dix-sept chapitres de l’ouvrage. Fol. 2 a (a ii a) à 60 a (h vi a). —  Prologue et fables. À la suite du Prologue se trouve cet a
ol. 2 a (a ii a) à 60 a (h vi a). — Prologue et fables. À la suite du Prologue se trouve cet avis : El prologo que se sigue es
istrum fabularum in primum Esopi librum. Fol. 18 b. — Gravure, puis prologue en vers élégiaques, enfin dédicace de Romulus, do
n vers et le texte en prose se suivent dans le même ordre que pour le prologue . Fol. 30 a. —  Explicit liber primus. — Sequitur
a). — Il est occupé par la dédicace de Romulus, précédée elle-même du prologue de l’anonyme de Névelet que surmonte une gravure
rniers formés l’un de 4 feuillets et l’autre de 5. Elle débute par un prologue en vers élégiaques, qui occupe le recto du feuill
laracion de otro prologo metrico. À la suite de la traduction de ce prologue métrique qui est celui de Walther, on lit : Comi
s qui, les précédant, sont consacrés au frontispice, à la table et au prologue . La traduction que cette édition renferme a le mé
nt de Beauvais : « Speculum hystoriale fratris Vincencii. » — Fol. 1. Prologue de la table : « Secundum Augustinum… » — Fol. 1-3
es et occupe 318 feuillets. Les 21 premiers feuillets renferment : le prologue et la table des chapitres. La deuxième partie se
ime a Paris. — Fol. 1 b. Belle gravure sur bois. — Fol. 1 b à 10 b. Prologue , table et répertoire des cahiers. Viennent ensuit
o et finissent au fol. 117 recto. Elles sont au nombre de 45. Dans le prologue d’ailleurs très amoindri, l’imitateur, en homme c
espondent dans le Romulus ordinaire. Ms. 86. Romulus ordinaire. Prologue . Dédicace. 1. Le Coq et la Perle. I, 1 2. Le
II de la bibliothèque Grenville qui est du xive  siècle : la glose du prologue des fables, dans ce manuscrit, fait non seulement
erreur en erreur jusqu’à la vérité finale. Dans le manuscrit 8023, le prologue des fables est précédé d’une glose dont voici le
rçois que le nom d’Hildebert n’y figure pas. En revanche, en marge du prologue , je lis cette glose qui rend inexplicable l’erreu
rimer à Lyon par Jean Fabre le 23 janvier 1490. En lisant la glose du prologue , je fus frappé par ce membre de phrase : « Galter
vec celles du Romulus ordinaire : Walther. Romulus ordinaire. Prologue . Prologue. 1. Le Coq et la Perle. I, 1. 2. Le
du Romulus ordinaire : Walther. Romulus ordinaire. Prologue. Prologue . 1. Le Coq et la Perle. I, 1. 2. Le Loup et l
t l’écriture est plus fine que celle du texte. C’est dans la glose du prologue qu’elles sont attribuées à un poète qui se serait
e. Mais je n’avais pas poussé mon examen comparatif jusqu’à la fin du prologue des fables, que j’avais déjà acquis la certitude
rtitude qu’il ne s’en était pas servi. En effet, au cinquième vers du prologue , les deux manuscrits portent Fructum lege , tand
la traduction du véritable texte de Walther. Après le titre vient le prologue de Walther, auquel le copiste a fait l’addition s
perpleri quod faciamus,       Auxilium mittunt celitus ista duo. Le prologue ainsi accru est suivi d’une traduction, en tête d
ne de sa traduction, les fables latines de Walther, qui, ainsi que le prologue , sont allongées à l’aide de quelques vers ajoutés
Elle s’étend du feuillet 89 a au feuillet 113 b. Elle commence par ce prologue  : Or vous ai des fables aprises Qui en Ysopet fu
mmer grand déport a. La collection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue , comprend, comme la précédente, le texte latin et
s personnes agenouillées devant lui. Cette miniature est la seule. Le prologue et les fables qui la suivent ne présentent d’autr
at. Enfin une différence notable est relative au nombre des vers. Le prologue du manuscrit 1595 n’a pas les huit vers, qui, dan
scrit 1595 ne renferme pas la traduction des fables d’Avianus, ni les prologue et épilogue dont elles sont précédées et suivies
1594 et 1595. Cette traduction se compose de 39 fables précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue. Le prologue, comme celu
ose de 39 fables précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue. Le prologue , comme celui du manuscrit 1595, ne se compose que
i conçus : Le liure fait a chier tenir Et conuient Ysopet fenir. Le prologue commence à la première colonne du feuillet 109, e
Son fils et si lui octroya… Les fables d’Avianus sont précédées d’un prologue , qui ne se compose que des quatorze premiers vers
les qui sont la traduction de l’œuvre de Walther, sont précédées d’un prologue , qui, comme celui des mss. 1595 et 19123, ne se c
8 fables, à qui celles d’Avianus servent de base, sont précédées d’un prologue qui ne se compose que de dix vers, et d’un épilog
er en apparence plus d’unité à la collection totale, en a supprimé le prologue , qui en aurait révélé l’origine différente, et l’
s contiennent. Ms. 1594. Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 24310. Prologue . Prologue. Prologue. Prologue. Prologue. 1. Le
ent. Ms. 1594. Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 24310. Prologue. Prologue . Prologue. Prologue. Prologue. 1. Le Coq et la
s. 1594. Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 24310. Prologue. Prologue. Prologue . Prologue. Prologue. 1. Le Coq et la Perle. 1.
Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 24310. Prologue. Prologue. Prologue. Prologue . Prologue. 1. Le Coq et la Perle. 1. 1. 1. 1.
Mb. 19123. Ms. 24310. Prologue. Prologue. Prologue. Prologue. Prologue . 1. Le Coq et la Perle. 1. 1. 1. 1. 2. Le Lou
a écrit cette sorte d’invocation : Alanii assit principio maria. Le prologue n’est surmonté non plus d’aucun titre. Il en est
volume, assez précieux par cette version peu connue, commence par un prologue et se termine par une fable intitulée (en roman)
a suite de ces mots écrits à l’encre rouge viennent les douze vers du prologue , dont une mouillure a enlevé quelques lettres. La
n la cruise quest soiche, Lo bon noiellon danz soi quoiche. Après ce prologue viennent les fables, dont les titres latins et ro
s cum (et non pas in) glosa mistici sensus. Puis vient, précédant le prologue de Walther, un préambule qui, relativement au poi
c notitia huius libri dat intellectui delectationem. » À la suite du prologue se succèdent les fables, dont les titres sont écr
usse manière de compter, qui se retrouvera souvent, tient à ce que le prologue de l’œuvre et le préambule spécial à la fable des
inéaires et suivies chacune d’un commentaire. Celui qui s’applique au prologue commence ainsi : Incipiunt fabule Esopi ad detes
un ouvrages qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 83 par le prologue ordinaire, au-dessous duquel ou lit cette glose i
qu’elles sont incomplètes. En effet, le manuscrit ne renferme que le prologue et les 30 premières fables. Elles occupent les fe
es intitulés, le premier : Sonelus , et le second : Commentum. Le prologue latin, qui commence au verso du premier feuillet,
t volume in-8º de huit feuillets en parchemin, qui ne contient que le prologue et les trente-deux premières fables de Walther. L
l ces mots : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont précédées du prologue , dont le texte est relevé par les dorures de la p
x sur l’introduction, qui, mise en tête du manuscrit, précède même le prologue en vers ; mais elle ne m’a rien révélé. K. Man
ables de Walther arrivent celles d’Avianus. Elles sont précédées d’un prologue de trente vers qui est intitulé Addition, et qui
tat du manuscrit 1594, M. Robert n’avait pas pu lire complètement. Ce prologue est suivi de dix-neuf fables latines, accompagnée
la Bibliothèque nationale. Ainsi que l’annoncent les premiers vers du prologue , ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées
d’une glose très différente de celle des autres manuscrits. Celle du prologue , ainsi qu’on l’a déjà vu, est particulièrement in
les feuillets 2 a à 23 b. Sans titre général, elles sont précédées du prologue qui lui-même ne porte pas de titre particulier. C
illet 12 b au feuillet 22 b. Elles sont au nombre de 60. En marge du prologue en vers se trouve une sorte de préface ou comment
ula sicca, deus, et narrat : Cum rigido. » Ce n’est pas seulement le prologue qui est ainsi accompagné d’un commentaire ; les f
uibusdam addicionibus et moralitatibus », par les additions faites au prologue et aux épimythions, par les cinq fables substitué
. Le second n’est qu’un fragment de l’œuvre de Walther, comprenant le prologue , les 57 premières fables et la 58e jusqu’au vers
remiers feuillets (61 à 79, d’après le numérotage du ms.). En tête du prologue on lit, en guise de titre général, ce pentamètre
s vingt premiers contiennent les fables de Walther, précédées de leur prologue , dépourvues de titre général, mais pourvues de ti
Le recto du second feuillet porte ce simple titre : Esopi , suivi du prologue dans lequel les fables sont attribuées à Walther
ur la même page ornée d’un encadrement à fond noir gravé sur bois, le prologue des fables de Walther qui elles-mêmes ne sont acc
ue suit ce préambule en distiques élégiaques, inspiré par leur propre prologue  : Jocundus flores fructus editque salubres      
to du premier feuillet est orné d’une gravure sur bois qui encadre le prologue . Puis viennent les fables, au nombre de soixante,
comme celui de la plupart des petites éditions d’écolier, la copie du prologue du dérivé complet du Romulus anglo-latin. Fol. 2 
l. 2 a (a iiª) à 43 b (f iii b ). Fables de Walther précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose placée, partie
premier feuillet sans autre titre que le mot Prohemium qui précède le prologue connu. Elles sont accompagnées d’une glose et orn
un traducteur Siennois. Le recto du premier feuillet, où commence le prologue , est orné d’un encadrement et d’une lettre initia
orné d’un encadrement et d’une lettre initiale enluminée et dorée. Le prologue débute ainsi : Esforçasi la presente scriptura,
o libro e apellato Esopo rechato di grammatica , etc. Puis vient un prologue dont voici le début : Quelli che sanno le scritt
anuscrit Gadd. 176 de la Laurentienne, les fables sont précédées d’un prologue , qui, au recto du premier feuillet, commence en c
les ne portent pas de titre général. L’espace blanc qui, au-dessus du prologue , avait été ménagé pour le recevoir, n’a pas été r
uméros s’élève à soixante-quatre, parce qu’il y en a deux affectés au prologue et au préambule de la fable des Grenouilles qui d
volgare. À la suite de la préface du traducteur vient le véritable prologue précédé de ce titre : Comīcia el prohemio expost
L’édition se compose même de 66 numéros ; mais cela tient à ce que le prologue Ut juvet et le préambule de la fable De Ranis et
s||simi || Aesopi || fabv||lae. Fol. 4 a (a 4 rº) à 4 b (a 4 vº). —  Prologue latin suivi d’un Sonetto materiale et d’un Sonett
lé Prohemio et le second Idem. Au recto du deuxième feuillet vient le prologue latin interprété immédiatement par un Sonetto mat
nombre de 64, par le motif qu’il a été attribué deux nos distincts au prologue de Walther et au préambule de la fable des Grenou
e titre : Prothesis comparativa. Fabula I. Sous ce titre figure le prologue de Walther, qui dans l’édition est considéré comm
ervé par le copiste à l’artiste qui devait peindre le titre, vient un prologue ainsi conçu : Qui ce liure voudra entendre Moult
a d’ailleurs pris la peine de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue , les deux derniers vers présentent cette leçon pl
is il ne les a pas groupés en sixains. Les fables sont précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue, dans lesquels le traduc
imitif. Romulus primitif. Vienne 303. Vienne 901. Berlin. Prologue . Prologue. Prologue. I, 1. Le Coq et la Perle.
Romulus primitif. Vienne 303. Vienne 901. Berlin. Prologue. Prologue . Prologue. I, 1. Le Coq et la Perle. 2. 18. 1.
imitif. Vienne 303. Vienne 901. Berlin. Prologue. Prologue. Prologue . I, 1. Le Coq et la Perle. 2. 18. 1. I, 2. Le
écrivit la traduction anglaise. Si, au contraire, on s’en rapporte au prologue de cette collection de 136 fables dérivée du Romu
tin a été le père, c’était celui qui lui ressemblait le plus. Dans le prologue et dans l’épilogue de sa traduction, Marie de Fra
mperator. Il est difficile, après les avoir lus, de les rapprocher du prologue du Dérivé de cent trente-six fables et de l’épilo
“Et voilà, continue le trouvère, pourquoi j’ai pris pour sujet de mon prologue l’éloge du comte Guillaume, à l’exemple de Marie,
cent trois fables, composées en vers de huit syllabes, précédées d’un prologue et terminées par un épilogue. Le prologue, qui es
it syllabes, précédées d’un prologue et terminées par un épilogue. Le prologue , qui est une sorte de paraphrase du texte latin,
J’emprunte au manuscrit français 1446 de la Bibliothèque nationale le prologue , ainsi que son préambule et son complément : Ha
re deux citations dans deux dialectes différents, j’emprunte comme le prologue au manuscrit 1446 : Al finement de cest escrit Q
t ce titre unique : Ici apries porres oïr les prouierbes Ysopet. Le prologue de Marie, que ce titre surmonte, est lui-même, ai
t tout au moins, malgré leur ancienneté, s’est abstenu de publier. Le prologue , ainsi augmenté, est orné d’une très grande lettr
t la vingt-troisième ; elle commence, au recto du feuillet 74, par le prologue composé de 40 vers. Ce prologue est suivi non pas
ence, au recto du feuillet 74, par le prologue composé de 40 vers. Ce prologue est suivi non pas, comme l’affirme M. de Roquefor
t au feuillet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles sont précédées du prologue ordinaire en quarante vers, se succèdent sans tit
compose en réalité que de 103 fables, précédées des quarante vers du prologue , pourvues chacune d’un titre spécial, mais non su
arie commencent au feuillet 58 a et se terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordinaires les précèdent et les sui
nuscrit ne portent pas de litres particuliers, mais sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue composé seulem
uillet 114 b. Elle porte ce titre général : Ci commence Esopes. Le prologue qui précède les fables est orné d’une grande lett
dans le manuscrit figurent les fables de Marie, qui commencent par le prologue en 40 vers à la première colonne du feuillet 55 b
péciale. Les fables ne sont pourvues ni d’un titre général en tête du prologue , ni d’un titre particulier en tête de chacune d’e
r lequel commençait un Bestiaire. Les fables de Marie débutent par le prologue ordinaire en tête du feuillet 31 a. Au-dessus du
tent par le prologue ordinaire en tête du feuillet 31 a. Au-dessus du prologue avait été ménagé un espace blanc, qui était desti
re : Fables d’Aesope, Horace, de Phaedrus, d’Avienus et aultres. Le prologue est incomplet : les vers 8 à 9, 21 à 22 et 33 à 3
t LXXXI chapitres. Puis au commencement du feuillet suivant vient le prologue en quarante vers. Les fables qui le suivent sont
ie qui occupent les feuillets 19 a à 32 b. Elles ont été précédées du prologue , dont, par suite de la disparition des deux premi
t du feuillet 40 a par ce titre : Ici cumence le ysope , que suit le prologue en 40 vers, ne sont pas pourvues de titres spécia
le. L’œuvre de Marie y occupe les feuillets 73 à 96. Elle comprend le prologue , 83 fables dépourvues de titres particuliers et l
en romans , après lequel viennent immédiatement les quarante vers du prologue . Elles sont au nombre de 88, d’où il suit que, po
s bibliographes ont surnommé Glanville535. Ce traité est précédé d’un prologue qui commence au haut de la première colonne du pr
même ordre. Le premier est le traité De Proprietatibus rerum, dont le prologue , commençant au haut de la première colonne du rec
plet.     Le dérivé latin, auquel maintenant je passe, comprend un prologue et 136 fables. En lisant le prologue, on s’aperço
maintenant je passe, comprend un prologue et 136 fables. En lisant le prologue , on s’aperçoit qu’il est absolument conforme à la
le Romulus lui-même, que Marie avait fait sa version française539. Le prologue du dérivé que M. Oesterley avait sous les yeux, a
l’auteur de la collection n’aurait pas pu, comme il l’a fait dans ce prologue , parler de la traduction anglaise, si cette tradu
aut du verso du premier feuillet par ce premier titre qui surmonte le prologue  : Incipit prologus cuiusdam in librum fabularum
e Esopi prosaïce. Le feuillet en parchemin sur lequel se trouvent le prologue et la première fable, est moins ancien que les au
x tables viennent les fables dérivées du Romulus anglo-latin, dont le prologue annoncé par ces mots : Sequitur prologus Esopi i
se termine à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute par son prologue ordinaire, qui est annoncé par ce titre à l’encre
et s’élèvent seulement au nombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordinaire, mais ne portent ni titre général appli
pas pour cela prendre beaucoup de peine, il se contente d’examiner le prologue et l’épilogue de Marie et de les comparer au prol
e d’examiner le prologue et l’épilogue de Marie et de les comparer au prologue de Gérard. Il extrait du prologue de Marie les ve
ogue de Marie et de les comparer au prologue de Gérard. Il extrait du prologue de Marie les vers suivants : Romulus qui fu empe
anceiz. Puis il rapproche de ces deux extraits les vers suivants du prologue de Gérard : De Koning de van erst Rome stichte,
uve rien. Le traducteur anglais avait trouvé dans son modèle latin un prologue qu’il avait interprété, et cette interprétation a
osé sa traduction sur le Dérivé complet ; car alors, trouvant dans le prologue de ce Dérivé l’indication de la version anglaise,
e ce Dérivé l’indication de la version anglaise, c’est aussi dans son prologue qu’elle en aurait parlé. Elle aurait fait comme l
ait comme le poète allemand, qui, voyant en tête du Dérivé complet le prologue qui le précède, l’a littéralement traduit. En eff
prologue qui le précède, l’a littéralement traduit. En effet, dans le prologue du Dérivé complet on lit : « Liber… iste primo gr
l’on veuille bien comparer ces phrases à celles de l’extrait tiré du prologue de Gérard de Minden, et l’on verra que ce dernier
des ou aient été remplis autrement. » Les fables sont précédées d’un prologue ainsi conçu : Esopus eyn wys greke was Ind wonde
elle se compose : Dérivé hexamétrique. Romulus de Nilant. 1. Prologue . Prologue. 1. Le Coq et la Perle. I, 1. 2. Le
ompose : Dérivé hexamétrique. Romulus de Nilant. 1. Prologue. Prologue . 1. Le Coq et la Perle. I, 1. 2. Le Loup et l
Mais, pour la rendre plus irréfutable, je vais signaler, tant dans le prologue que dans l’une des fables du Dérivé hexamétrique,
204 a au milieu de la première colonne du feuillet 206 b, comprend le prologue et 20 fables choisies, dont la dernière, inachevé
eidmannsche Buchhandlung, 1870. 302. J’ai constaté l’existence de ce prologue dans diverses éditions du xve  siècle et notammen
é sous la cote X. H. 47. Moi-même j’ai en ma possession, avec le même prologue placé en tête, les exemplaires de deux éditions i
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