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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 99. L’homme et le navire » p. 690
avire Un riches hum voleit aler utre [une] mer pur converser. A Deu pria qu’i l’amenast a sauveté, qu’il ne dutast. Einz q
dutast. Einz qu’il se fust aparceüz, dedenz la mer est enbatuz. Lors prie Deus qu’il meint a tere ; ne li volt autre chose
cel mot tost ariva la u il vot e desira. Li sages deit reisnablement prier [a] Deu omnipotent que de lui face sun pleisir :
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 114 » p. 310
φαίνῃ. » Cod. Bd 19. Un eunuque alla trouver un sacrificateur et le pria de faire un sacrifice en sa faveur, afin qu’il de
ère. Le sacrificateur lui dit : « Quand je considère le sacrifice, je prie pour que tu deviennes père ; mais quand je vois t
3 (1180) Fables « Marie de France, n° 86. Le milan malade » p. 324
ardun que pur lui facë oreisun. « Mere » fet il, « kar li preez qu’il prie pur mei, li requerez ! » « Jeo », fet ele, « cume
i, li requerez ! » « Jeo », fet ele, « cument irai ? Ne sai cument li prierai  : meintefeiz as suillé sun ni e sur ses oiseus es
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 89. Le loup et la chèvre » p. 572
voleit aler la u pasture poeit trover. Sun cheverol apela a li, si li pria e defendi qu[e]’il ne laissast pur murir ensemble
ot dedenz veüe, al cheverol vet, si li rova que l’us overist ; ceo li pria od tele voiz cume la chevre aveit. E li cheverol
5 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [33.]. DI DUE RANE VICINE DI ALBERGO. » p. 69
vita al fine.     Così interviene a chi nel vitio vive, Che spesso pria , che fuor ne traggia il piede, De l’infelice vita
vita al fin si vede ; Perché l’huom non sa quel, che Dio prescrive. Pria che morte ti colga esci del vitio.
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 175 » p. 233
ition. Un jour qu’il donnait à dîner, il alla chercher le cygne et le pria de chanter pendant le festin. Le cygne alors gard
: « Si tu ne chantes que quand tu vas mourir, j’ai été bien sot de te prier de chanter jadis au lieu de t’immoler. » Il arriv
7 (1180) Fables « Marie de France, n° 71. Le loup et le hérisson » p. 675
unt : « Aïe tei ! Kar ja cunseil n’avras pur mei. » Li hiriçuns li ad prié  : « Baisez mei [dunc] par charité ! A mes enfanz
ndu ; sur un aut chenë est munté. Dunc s’esteit li lus recordé, si li pria qu’il descendist devant les chiens, sil defendist
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 78. Le loup et le batelier » p. 687
in vit ileoc ester en un batel, si l’apela ; que utre le past, ceo le pria . Li vileins dist qu’il ne fereit, si bon lüer de
atel entrent ambesdous ; de la tere sunt esluiné. Li lus ad le vilein prié qu’il li desist qu[e]’il fera. E li vileins li cu
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
de mon bon gré seulement. Mais avant que passer outre, permets, je te prie , que je te fasse un conte. Il y eust jadis un hom
mal. Je t’en dis de mesme, ô grand Roy, et soubmis à tes pieds, je te prie de ne me point faire mourir sans cause, car je ne
10 (1180) Fables « Marie de France, n° 55. La prière stupide d’un paysan » p. 666
ère stupide d’un paysan Un vilein ala al muster suventefeiz pur Deu prier . A Deu requist qu’il li eidast e que sa femme cun
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVI. Le Cheval et l’Asne. » p. 181
son simple harnois, Et le pauvre Baudet si chargé qu’il succombe. Il pria le Cheval de l’aider quelque peu : Autrement il m
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 54. Le paysan en prière demandant un cheval » p. 665
muster eissuz, si esteit si cheval perduz. Arere vet hastivement, si prie Deu devotement que autre chose ne requereit n’aut
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
meteit u li aigle sun ni aveit. Li egles vit le fu espris ; al gupil prie e dit : « Amis, estein le feu ! Pren tun chael !
14 (1180) Fables « Marie de France, n° 93. Le loup et le bouc » p. 680
ad le buc apelé : « Frere », fet il, « bien sai e vei, malement avez prié pur mei : bien poi entendre par le cri que ceo er
oï peiur messe. » — « Par ma fei, sire », dist li bucs, « tut autresi priai pur vus cum vus vousistes pur mei feire, kar fel
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
une aumône. Après l’avoir reçue des autres, elle vint à la lime et la pria de lui donner quelque chose. « Tu es bonne, répli
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
mignon, je vous sauve la vie. Soyez une autre fois plus sage, je vous prie . Si vous fussiez tombé, l’on s’en fust pris à moy
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
vecque son fils. Ces bleds sont mûrs, dit-il, allez chez nos amis Les prier que chacun apportant sa faucille, Nous vienne aid
s paresseux à servir ainsi lents. Mon fils, allez chez nos parens Les prier de la mesme chose. L’épouvante est au nid plus fo
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
n vouloit venir aux coups, se jettant aux pieds de son Maistre, il le pria de se donner un peu de patience. Cela dit, il cou
que l’eau, pource qu’il n’avoit rien mangé tout ce jour là. Alors il pria son Maistre, que ses accusateurs en fissent autan
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
ur se vanger de cette tromperie,
 A quelque temps de là la Cicogne le prie  :
 Volontiers, luy dit-il, car avec mes amis
 Je
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
malade en son lict, s’avisa de dire à sa Mere, « qu’elle s’en allast prier les Dieux pour luy » : mais elle luy respondit ;
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
et du Loup. Le Renard tombé dans un puits, en danger d’estre noyé, pria le Loup, qui estoit en haut, de luy jetter une co
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
lieu que luy n’en avoit aucunes, pour se deffendre de ses Ennemis. Il pria donc Jupiter de luy en donner ; mais luy se mit à
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — II. Le Berger et la Mer. » p. 207
ulez de l’argent, ô Mesdames les Eaux, Dit-il, adressez-vous, je vous prie , à quelqu’autre : Ma foy vous n’aurez pas le nost
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5
ènes, un débiteur, sommé par son créancier de rembourser sa dette, le pria d’abord de lui accorder un délai, sous prétexte q
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — X. L’Asne chargé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. » p. 180
un d’éponges chargé marchoit comme un Courier ; Et l’autre se faisant prier Portoit, comme on dit, les bouteilles. Sa charge
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 159 » pp. 122-122
ent et se retirèrent. Et lui, sur le point d’être immolé par eux, les pria de le relâcher, alléguant qu’il était utile aux h
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 232 » pp. 160-160
tait hors d’état de se procurer à manger, il aperçut une brebis et la pria de lui apporter à boire de la rivière voisine. « 
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
r, et du Foullon. Un Charbonnier ayant pris une maison à loüage, et prié un Foullon son voisin d’y vouloir demeurer avecqu
29 (1180) Fables « Marie de France, n° 48. Le voleur et la sorcière » p. 662
st cuntenuz. Il ad la sorcere mandee, si l’ad a cunseil apelee, si li prie ke lui aidast. Cele li dist qu’il ne dutast, aseü
30 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [78.]. DEL PARDO, E LE SIMIE. » p. 
ena. Alfin si leva, e i denti opra e le branche     Crudel fra lor pria , che si renda satio,     Fin ch’ognuna di lor di
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
ssi en obtenir autant. C’est pourquoi, étant allé trouver Zeus, il le pria de lui accorder des cornes. Mais Zeus, indigné qu
32 (1180) Fables « Marie de France, n° 18. Les grenouilles qui demandent un roi » p. 376
t enveier, kar d’autre rien ne eurent mester. Quant meintefeiz eurent prié , la destinee ad enveié en mi cel’ ewë un trunc du
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 169 » pp. 324-324
εὑρήσουσιν. Codd. La 136 Mg 98. Un corbeau malade dit à sa mère : «  Prie les dieux, mère, et ne pleure pas. » La mère lui
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
r », respondit Esope, « quand j’ay mis les viandes sur la table, j’ay prié Madame, de prendre garde que les chiens ne les ma
35 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [38.]. DELLA RANA, ET SUO FIGLIUOLO. » p. 376
ndarno Di farti un Bue ? ch’a te impossibil fia : Et converrai crepar pria che tu giunga Di quella forma a la centesma parte
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
Quelque temps apres, Esope ayant resolu de faire un voyage en Grece, pria le Roy de luy permettre de s’y en aller. Ce qui l
t une partie qu’ils luy jouoient meschamment, affin de le perdre, les pria d’avoir égard à son innocence, et de luy laisser
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
ar les bois, lors que rencontrant de bonne fortune un Bucheron, il le pria de le mettre en seureté en sa maison. Le Bucheron
omme tout effrayé se jetta d’abord aux pieds de cette personne, et la pria tres instamment de luy sauver la vie ; Ce que la
38 (1180) Fables « Marie de France, n° 95. La méchante femme et son mari » p. 682
e pein, si en purreient le meuz ovrer. A sa femme les ruve aler e li prier que ele lur dunast, kar pis lur sereit, s’il i al
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
t plus à estimer que la foy ? Nenny certes : C’est pourquoy j’ay à te prier , que pour me tirer de cét embarras, en me faisant
ier se confessa vaincu, et se jettant aux pieds de son Maistre, il le pria que la gajeure demeurât nulle : ce que Xanthus lu
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150
on, se réveillant, le saisit, et il allait le manger, quand le rat le pria de le relâcher, promettant, s’il lui laissait la
41 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [81.]. DELLA RONDINE, E GLI ALTRI UCCELLI. » p. 39
prende : E dice, che quel seme, onde si duole,     Devrebbe trarsi pria , che n’esca l’herba :     Ma perde indarno il te
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
tombée une seconde fois, elle fut prise par une autre belette, et la pria de ne point la manger. Celle-ci ayant répondu qu’
43 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [18.]. DEL SOLE, E BOREA. » p. 46
ch’esso venne A poco a poco a lasciar giù le parti Del mantello, onde pria tutto era chiuso : Indi sentito assai maggior l’a
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pria de descendre vers lui ; car il désirait embrasser
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
mpescher qu’ils ne te puissent nuire ; mais sur tout souvienne toy de prier pour tes amis. Ne te separe jamais d’avecque ta f
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
moy ce pauvre malheureux : Mais ne me faites pas cet affront, je vous prie  : Et puisque Jean Lapin vous demande la vie, Donn
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
l fondit sur lui et le lia. Se voyant près de mourir, le rossignol le pria de le laisser aller, alléguant qu’il n’était pas
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 66 » pp. 44-44
l’anarchie où elles vivaient, envoyèrent des députés à Zeus, pour le prier de leur donner un roi. Zeus, voyant leur simplici
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
se rendit au faubourg pour observer un augure au sujet du vol, et il pria Hermès de lui dire l’oiseau qu’il apercevrait. He
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 352 » pp. 230-230
27 Lf 61 Lh 73 Md 111 Mg 153 Mi 27 Mj 148 Ml 154 Mm 137. Une tortue pria un aigle de lui apprendre à voler. L’aigle lui re
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
que les Arbres parloient, un Paysan s’en alla dans une Forest, et la pria qu’il luy fust permis de prendre autant de bois q
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
e à son mary, « d’où m’avez-vous amené ce Monstre ? Ostez-le, je vous prie de devant moy ». « Tout beau, ma femme », respond
beau, ma femme », respondit Xanthus, « ne vous fâchez point, je vous prie , et cessez de vous mocquer de mon nouveau servite
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 235 » pp. 163-163
s abeilles, enviant leur miel aux hommes, allèrent trouver Zeus et le prièrent de leur donner de la force pour tuer à coups d’ai
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
llast, ou qu’il ne demandast point à estre nourry. Mais luy les ayant prié deux ou trois fois de l’assister d’aliments, la M
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
requerans d’avoir soing de sa conservation. L’Escarbot se mit alors à prier l’Aigle, de ne point tuër le pauvre suppliant, et
vous dire. Il y eust jadis un laboureur, qui devenu vieil aux champs, pria ceux de son logis de le mener à la Ville, à quoy
56 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 210 » pp. 149-149
sur un seul lot, ne se réservant que quelques bribes ; après quoi il pria le lion de choisir. Celui-ci lui demanda qui lui
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
tr’eux les fardeaux qu’ils avoient à porter. Esope se mit alors à les prier de luy donner le moins pesant, comme à celuy qui
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
gnoissant son innocence, eust fait executer Ennus, si Esope ne l’eust prié de luy faire grace. En suite de tout cecy, Lyceru
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
ez, comme des fardeaux tres-pesants, et tres-ennuyeux. Jugez, je vous prie , si ce n’est pas une belle satisfaction à ces mis
60 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
. Pur ceo qu’il esteit [li] plus haut e en esté puissant e chaut, lui prie sa fille a muiller ; kar ne sot a plus haut aler.
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50
g 28 Ma 35 Mb 22. Une chatte, s’étant éprise d’un beau jeune homme, pria Aphrodite de la métamorphoser en femme. La déesse
62 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 274 » pp. 179-179
un jardinier. Comme il mangeait peu, tout en travaillant beaucoup, il pria Jupiter de le délivrer du jardinier et de le fair
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
Apres donc que Xanthus se fust bien baigné avecque ses amis, ils les pria de prendre un mauvais disner, avecque protestatio
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
vient que tu persistes ainsi en ta tristesse ? ne me cele rien, je te prie , et cesse de te fâcher. Je sçay ce qu’il faut que
crierent-ils, « si tu peux assister la Ville de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’estant mis alors à parler plus h
65 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 282 » pp. 187-187
ait, en franchissant une clôture, mis le pied sur une épine, et il le pria de la lui enlever d’abord, après quoi il pourrait
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
d’une Chatte. Un beau jeune homme aimoit si fort une Chatte, qu’il pria Venus d’en faire une Metamorphose en femme. La Dé
toutesfois il eût un déplaisir si extrême, qui ayant fait instamment prier l’Empereur de luy permettre de voyager, comme il
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
ondit sur lui, et il allait faire de lui son repas, quand le chien le pria de ne pas l’immoler tout de suite : « À présent,
68 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 285 » pp. 194-194
es grues, il accourut et la prit elle aussi avec elles. Comme elle le priait de la relâcher, disant que, loin de nuire aux hom
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
nnages de tous les siecles ont admirées. Que sa laideur donc, je vous prie , sa mauvaise mine, et sa fortune encore pire, ne
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
e pût faire alors le pauvre Aigneau, qui trembloit de peur, fût de le prier de pardonner à son innocence, luy remonstrant qu’
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
ces, il s’estoit fourré bien avant dans le pied une grosse espine, et pria ce nouveau Medecin de la luy arracher. Le Lion en
72 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
rs pensers et leurs soins)
 Racan commence ainsi : Dites-moy, je vous prie , Vous qui devez sçavoir les choses de la vie,
 Qu
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
à l’offense qu’il avoit faite au Serpent, s’en alla vers luy, pour le prier de s’en revenir à son logis. Pardonne-moy luy res
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
t d’une Idole. Un Homme avoit en sa maison une Idole de bois, qu’il pria de luy faire quelque bien ; Mais plus il la prioi
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
il prit avec elles une Cigongne, qui se sentant attachée par le pied, pria le Laboureur de la laisser aller, luy remonstrant
76 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
urs à Zeus (car c’est à Zeus que cet oiseau est consacré), et elle le pria de lui procurer un asile sûr pour y faire ses pet
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
ce qui seroit un miracle aussi bien que le reste. Voyez donc, je vous prie , l’extravagante plainte de ceux qui voudroient av
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
s garde à sa Mere, qui faisoit d’estranges plaintes en le suivant, il pria les Officiers de la Justice, qu’il luy fût permis
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
reposoit ; luy disant au reste, qu’il l’obligeroit fort de s’en aller prier les Dieux pour sa santé. Ce procedé du Loup déple
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
geance, et d’estre recompensez au Ciel du pardon, dittes-moy, je vous prie , estes-vous asseurez de la pouvoir mettre en exec
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
et la contenance grave. Que cela ne soit, considerez un peu, je vous prie , avec quelle bien-seance un homme avancé en âge s
82 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
redondantes, par lesquelles, dans le premier épilogue du livre IV, il prie Particulon de ne pas lui faire attendre la récomp
sustine patientia. Lorsque, dans le premier épilogue du livre IV, il prie Particulon de lui donner la récompense promise, c
tendu. M. Berger de Xivrey, rendu plus tenace par la résistance même, pria à son tour M. Hase de lui venir en aide. Au mois
ttaché aux manuscrits de la bibliothèque du roi, M. de Foncemagne103, pria de même Dom Vincent, nouveau bibliothécaire de Sa
t savoir avec quelle joie il la reçut. Il suspendit sa publication et pria son élève de lui adresser une copie du manuscrit.
onnée par Apostolo Zeno, il avait écrit au comte Mazzuchelli, pour le prier de faire de minutieuses recherches dans la Biblio
Jean-Frédéric Nilant, son neveu. Ce dernier, ému de cette découverte, pria le bibliothécaire, nommé Volf. Senguerd, de le lu
es avaient des conservateurs, il écrivit au maire de la ville pour le prier de lui faire faire par eux une copie du manuscrit
n Heinemann, conservateur de la bibliothèque de Wolfenbüttel, pour le prier de faire exécuter pour moi, moyennant rémunératio
crivis à M. Lefebvre de Behaine, chargé d’affaires de France, pour le prier d’en demander communication, de manière à me perm
voit surgir aucun doute sur le nom de l’empereur ; c’est Théodose qui prie Romulus, orateur et philosophe de premier ordre,
Du Contens du Ventre et des Membres. 53. Du Singe et du Renart qui li pria qu’i li donast de queue. 54. D’un Marchant et de
par Jofroy de Watreford. Page 84. Nota. — Ceux qui cest liure liront prient por Jofroi de Watreford et por Servais Copale qui
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