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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XX. Le Coq et la Perle. » p. 503
la Perle. Un jour un Coq détourna
 Une Perle qu’il donna
 Au beau premier Lapidaire.
 Je la crois fine, dit-il,
 Mais le mo
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 292 » p. 198
’en faire autant. » Cette fable montre que ceux qui tiennent tête aux premiers qui les attaquent se rendent redoutables aux autr
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 145 » pp. 321-321
dans un État où les derniers et les imbéciles dominent à la place des premiers et des gens sensés. Chambry 145.2 Aliter —
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 275 » p. 190
voir que les gens malfaisants se reconnaissent à leur mine même et à première vue.
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
bien-tost choqué l’impertinente Beste. J’ay regret, disoit-il, à mon premier Seigneur. Encor quand il tournoit la teste, J’att
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 167 » pp. 323-323
« Misérable, comment me fierais-je à toi, qui as renié et frustré ton premier maître ? » Quand on s’est montré ingrat envers un
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
ement ;
 Mais ne l’ayant pas fait, il vous devoit suffire
 Que vostre premier Roy fust debonnaire et doux :
 De celuy-cy conten
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
uis tantost six mois que la cause est pendante,
 Nous voicy comme aux premiers jours.
 Pendant cela le miel se gaste.
 Il est te
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
A MONSIEUR MONSIEUR DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre du Roy, et son premier
UR DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre du Roy, et son premier Escuyer. MONSIEUR, La deformité du corps estant
10 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
isir, j’ai recommencé à m’exercer sur les fables qui avaient servi de première gymnastique à mon intelligence. En les traduisant
devant moi la question de savoir quel classement j’allais adopter. Au premier abord, on pensera sans doute que, partant du sièc
, les œuvres des divers fabulistes latins. Quoique ce procédé m’eût à première vue paru à moi-même le plus simple et le plus com
 HERVIEUX. Préface de la deuxième édition Dans la préface de ma première édition de Phèdre et de ses dérivés directs et in
de paraître. L’auteur ne se décidera pourtant à le publier que si son premier livre rencontre un accueil favorable. Le désintér
erons heureux, en exprimant à M. Hervieux toute notre estime pour son premier ouvrage, de penser que nous pourrons contribuer e
de l’Institut l’avait tenu au moment même auquel ce qu’il appelle mon premier ouvrage avait paru, c’est-à-dire au commencement
lié, et ce regard en arrière me fit bientôt apercevoir, dans mes deux premiers volumes, des erreurs qui, pour avoir échappé à la
nible que fût cette tâche, je devais, avant de donner une suite à mon premier travail, en faire paraître une édition nouvelle à
ns achevèrent de me déterminer. D’une part, depuis l’apparition de ma première édition, j’avais découvert de nouveaux documents
t que pour l’histoire de la littérature latine au moyen âge. Livre premier . Étude sur les fables de Phèdre et sur les manusc
les de Phèdre et sur les manuscrits qui les renferment. Chapitre premier . Biographie de Phèdre. § 1. — Circonstances
s la suite du prologue s’oppose à cette interprétation, qui semble au premier abord assez naturelle. En effet, après avoir parl
’époque de la naissance de Phèdre, faisait partie de la Macédoine. Ce premier point établi, le Père Desbillons se demande s’il
eût alors été Phèdre, il faudrait admettre que, lorsqu’il composa ses premiers livres, il était déjà âgé de près de quatre-vingt
preuve qu’il n’était pas encore entré dans l’âge adulte. À la fin du premier épilogue du livre IV, il dit qu’il a toujours eu
du procès que Séjan lui intente, il est certain que ce sont ses deux premiers livres qui devaient renfermer les fables incrimin
t que Phèdre a vécu sous le règne de Tibère, croit pouvoir induire du premier épilogue du livre IV et de la dernière fable du l
maintenant formuler la mienne. Ne nous occupons d’abord que des deux premiers livres. Ce qui avait en général empêché les criti
ans rien craindre, non seulement écrire, mais encore publier ses deux premiers livres. Quoi qu’il en soit, si leur publication o
e peut conserver aucun doute sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers livres. Voilà, je crois, la vérité ; c’est faute
e postérieure leur publication. Je passe au troisième. Comme les deux premiers , ce fut encore au public qu’il le destina. Le pro
r ; ne frustra gemas, Quoniam mihi solemnis debetur gloria. Les deux premiers livres n’avaient sans doute pas eu la faveur qu’i
protéger son ami ; mais, si le troisième livre avait, comme les deux premiers , été destiné à la publicité, le prologue n’en ava
on œuvre, le fond manque d’originalité. Depuis le commencement de son premier livre jusqu’à la fin de la première partie du IVe
lité dans la pensée est reconnu par lui-même. Dans le prologue de son premier livre, il déclare qu’il s’est borné à versifier l
xagération, qui ressort matériellement d’abord des fables de ses deux premiers livres presque toutes imitées d’Ésope, et ensuite
tellectuelle, un éloge, qui, s’il avait été réellement un écrivain de premier ordre, blesserait encore les lois les plus élémen
i embrassèrent l’un, le barreau, l’autre, la médecine. Ayant perdu sa première femme, il avait, en secondes noces, épousé Bonave
u barreau de Paris, et, quoique assidu aux audiences, il ne plaida sa première cause qu’en 1564. Il la gagna, et cependant ce su
ire de la bibliothèque Sainte-Geneviève, mais qu’encore c’est pour sa première édition qu’il s’est livré à ce travail préparatoi
y, via Jacobæa sub Ciconiis MDCX. (Ces poèmes, qui remplissent les 67  premières pages, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le
main, nommé François et plus jeune que lui de quatre années. Les deux premiers étaient des hommes distingués ; le troisième, s’i
, bailli de Saint-Benoît-sur-Loire, qu’il qualifie de plus célèbre et premier collège de toute la France, profita du pillage de
mais ce manuscrit ne contenait qu’un fragment, à peine huit fables du premier livre. Il est aisé de comprendre qu’il n’ait pas
1780 il fut communiqué au Père Brotier par M. Le Peletier de Rosanbo, premier président du Parlement de Paris. La Révolution su
Quant au corps de la fable, il commence toujours avec la ligne, et sa première lettre, qui est, comme nous l’avons dit, une maju
ontient 54 feuillets, dont les fables de Phèdre n’occupent que les 38  premiers , qui sont numérotés par pages, c’est-à-dire sur l
men plus attentif ne m’a pas permis de persister longtemps dans cette première idée ; car le manuscrit ne laisse pas même place
e Rigault se servit des variantes du manuscrit de Reims, même pour sa première édition in-12, publiée à Paris chez Drouart à la
ons distinctes, qu’il suppose l’une in-8º, et l’autre in-12101. Cette première édition, comme celles de 1617 et de 1630, portait
bus recordatio. » Quant aux notes que Rigault avait insérées dans sa première édition, elles relevaient bien les variantes du m
it envoyé une copie, faite sur papier transparent : 1º du prologue du premier livre, 2º de la morale de la fable xvi du livre I
et la page suivante. » Il y a donc là une lacune qui porte sur les 34  premiers vers. Malgré cette lacune, on peut dire que le te
Il n’indique que ceux qui ne sont pas conformes. On pourrait donc, au premier abord, craindre que ceux qui, à raison de leur co
ié de reporter sur l’édition imprimée les variantes des trente-quatre premiers vers du manuscrit. Ensuite, depuis le trente-cinq
à d’autres documents : d’abord, pour le prologue compris dans les 34  premiers vers, au fac-simile, dont j’ai parlé, et qui a ét
crit que se rapporte l’abréviation MS., et ce qui confirme dans cette première idée, c’est que de place en place on trouve dans
pposition à celui de Reims découvert plus tard. Si l’on suivait cette première idée, on ne devrait tenir compte, pour combler le
de Rigault. Or, pour prendre quelques exemples au début seulement du premier livre, les variantes queris et gravis, portant l’
ion et probablement sans l’apercevoir ; c’est ainsi qu’à la suite des premiers vers de la fable Leo regnans, il copie, sans note
l’examen le plus superficiel ne saurait laisser le moindre doute. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre considérable
u, dans le livre IV, ne renferme de la fable Leo regnans que les neuf premiers vers, et à la suite, sans interruption, s’ajouten
ue la solution du problème n’exigeait pas tant de peine. En effet, au premier abord, il semble que l’écriture des manuscrits de
l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire qu’il qualifie de plus célèbre et premier collège de toute la France, profita du pillage de
s les beaux jours de la République, rapporté à Rome après la chute du premier Empire, et réintégré sous le nº 1616 dans le fond
des trois, celui qui est au commencement du volume, en occupe les 16  premiers feuillets. L’écriture paraît du xiie  siècle. Ell
rso du feuillet 17 et le recto du feuillet 18, c’est-à-dire les trois premières pages. Ces trois pages ne contiennent que huit fa
is premières pages. Ces trois pages ne contiennent que huit fables du premier livre ; c’est par erreur que MM. Guessard et Mich
tulent la première fable : De Boue et Asino 134. Les huit fables du premier livre, conservées dans le manuscrit de Daniel, ét
intervalle, elle est suivie du psaume LXXXV en grec, qui commence au premier tiers du recto du feuillet 19 et qui s’étend jusq
ecunda 137, que le manuscrit de Daniel embrassait à peine le tiers du premier livre. Cela était vrai ; mais Adry, habitué à tou
vait un, non pas de toutes les fables de Phèdre, mais d’une partie du premier livre, un tiers, selon le P. Desbillons, qui devr
du manuscrit de Daniel, et il en avait conclu qu’il contenait les 21  premières fables. En y regardant d’un peu plus près, il aur
xprime ainsi : « Ce n’était qu’un fragment contenant seulement les 21  premières fables du IIe livre139. » À lire ces lignes, on c
ue des fables du IIe livre, quand lui-même, au bas des huit fables du premier livre, dont se compose la Vetus Danielis Chartula
et dont sa plume fut seule coupable. Il est donc entendu que c’est du premier livre qu’il a voulu parler. Malheureusement, en d
éter, sur la foi d’Adry, que le manuscrit de Daniel embrassait les 21  premières fables, et comme une erreur, surtout à l’abri d’u
ès ancien, et qui ne présente qu’un peu plus de la deuxième moitié du premier livre ». Il y a là deux erreurs nouvelles : d’abo
n que celui de Pithou. Ensuite il ne comprend que le quart environ du premier livre, et les huit fables dont il se compose, son
n’est réellement qu’un fragment ; car il ne contient qu’une partie du premier livre et des variantes depuis la première jusqu’à
aniel, qui présente encore des variantes applicables aux vingt et une premières fables. C’est à n’y plus rien comprendre. On peut
ots homines cum avocat , qui, dans celui de Pithou, appartiennent au premier vers de la fable xvi. Or cette fable n’existe dan
-quatre, sur lesquelles trente-deux ne se trouvent pas dans les trois premiers manuscrits déjà examinés. J’ai donc à m’occuper d
it toujours aimé à passer ses moments de liberté. Il avait été un des premiers philologues de son temps. Il a laissé de nombreux
ens. Elle n’a qu’une valeur de curiosité bibliographique. Avant cette première apparition des nouvelles fables de Phèdre, l’abbé
du manuscrit que j’avais transcrites avec l’autorisation spéciale des premiers magistrats. « Et, à vrai dire, beaucoup de vers f
lles. Mais cela n’était rien encore, comparé à ce qui suivit. Dans sa première édition, sauf treize petites poésies épigrammatiq
omposée de quatre pages, elle apportait de nombreux changements à ses premières conjectures. Elle avait paru vers les nones de fé
le Mercurius et duæ mulieres et figurant dans le tableau comparatif : Première édition de Cassitto, fable iv, vers 13 et s. : I
ues. Le savant Heyne, à qui Cassitto avait envoyé un exemplaire de sa première édition, manifestait des doutes, que les fautes d
age jusqu’à Naples où j’arrivai le 22 octobre 1869. Le lendemain, mon premier soin fut d’aller au palais du Museo Borbonico. La
e avait arrêté ses regards. Aussi était-ce à lui qu’il avait fait ses premiers emprunts. Mais le fabuliste latin n’avait pas non
ï, lorsqu’il fit cette découverte, n’avait encore publié que les deux premiers volumes de son ouvrage intitulé Classicorum aucto
e première fois du manuscrit qu’il possédait, Perotti a pu oublier sa première copie, et, sans s’en douter, en faire une autre.
faut bien le dire, ils furent un peu favorisés par la négligence des premiers éditeurs, qui n’avaient pas pris la peine de donn
aurait dû le comprendre. Pourtant il oublie presque immédiatement sa première hypothèse, et, reconnaissant sans doute que les f
claration dont la fausseté saute aux yeux, et l’on ne comprend pas au premier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa je
r la Guêpe. Perotti avait évidemment, avant de la recopier, oublié sa première copie, et cependant c’était vraisemblablement peu
le de Corse. Or, à cette époque, il ne pouvait connaître que les deux premiers livres, les seuls qui, suivant lui, fussent alors
que c’était la faute de Cassitto, qui, ayant rempli à la hâte dans sa première édition les lacunes du manuscrit, avait soumis à
impossible de lui refuser les secondes. Ces remarques, qui frappent à première vue, sont loin d’être les seules. Perotti ne s’es
s, il aurait perpétuellement donné la préférence au vers ïambique. Au premier abord cet exclusivisme doit sembler au moins sing
ialement faite pour Pomponius, il a été obligé d’en modifier les deux premiers vers. Mais, ignorant la mesure, il a substitué à
les deux premiers vers. Mais, ignorant la mesure, il a substitué à ce premier vers original : Vos eruditos miror et doctos vir
vre III en fournit la preuve évidente. Ne fallait-il pas que les deux premiers fussent bien longs, pour que Phèdre pût écrire :
lura quam reliquerat ? Dans la première partie du livre IV, les huit premiers vers de la fable Leo regnans, qui, dans le manusc
ns. Il y a d’abord une remarque, que les fables anciennes suggèrent à première vue : c’est que Phèdre ne se borne pas, comme les
récédées de 5 feuillets non paginés contenant une gravure au verso du premier , une dédicace aux élèves du Séminaire et la table
e Phèdre. Traduction en vers français par M. C. Macaigne, professeur. Première partie : livres I et II. Château-Thierry, Renaud.
s autres, les fables qui, n’étant que des altérations successives des premiers plagiats, s’écartent nécessairement davantage de
nécessairement davantage de la source originale. C’est seulement des premières qu’il sera question dans ce deuxième livre, qui n
a été que par les deux collections qui en ont été tirées. Chapitre  premier . Fabulæ antiquæ. Section I. Examen des Fabu
, 43, 44, 51, 52, 53, 56, 58, 59, 60, 61, 65 et 67. Je termine ici ce premier aperçu des Fabulæ antiquæ. Pour mieux en faire ap
ar M. du Rieu, et les 27 autres, des anciens feuillets en parchemin. Premier quaterne. Table des matières dressée par M. du R
atlica. Esopus, etc. C’est la dédicace de Romulus, qui occupe les six premières lignes de la page. La septième ligne commence par
page. La septième ligne commence par ces mots, qui, dans le texte du premier livre de Romulus, servent de titre à la fable du
à xv a. — Ici se place une œuvre philosophique, qui occupe les trois premières pages du quaterne, et que le copiste a laissée in
me quaterne (Fol. xxxvii à xliv). Fol. xxxvii a à xliii b. — Les sept premiers feuillets de ce quaterne sont remplis par des des
a dictus, latine pugna virtutum. Incipit psichomachia. Puis vient ce premier vers du prologue :       Senex fidelis, prima cr
rima credendi via. La Psychomachia elle-même commence ensuite par ce premier vers : Christe graves hominum semper miserate la
t clxxxvii à cxciv). Ces cinq quaternes paraissent avoir été les cinq premiers d’un autre codex. Fol. clv a à clxxxviii a. — Ces
en a 14 dans le 26e quaterne. Enfin dans le 27e quaterne le recto du premier feuillet, c’est-à-dire du feuillet clxxxvii, port
crier, tenant une plume à la main et paraissant méditer et écrire. Ce premier dessin n’est pas le seul. Au milieu du texte de c
dernière, et qui est orné d’un dessin d’un genre si identique, qu’au premier aspect j’avais cru y voir une fable oubliée par N
upent les feuillets 138ª à 144ª et le recto du feuillet 187.) Dans ma première édition, je terminais cette analyse en exprimant
Phædri et Aviani fabulis libellus 294, a exprimé cette opinion qu’aux premiers siècles du moyen âge, toutes les fables latines c
et l’un en latin, qui pourraient vous intéresser peut-être. Les trois premiers volumes contiennent trois exemplaires des Fables
7 août, comme je m’acheminais vers la France, j’appris à Lausanne nos premiers désastres, et je rentrai directement à Paris, san
iquement préoccupé de savoir si le manuscrit de Wissembourg, comme sa première citation aurait pu le faire croire, contenait le
ècle. Du même âge est l’inscription suivante, qui apparaît en tête du premier feuillet : Liber monasterii scōrum petri pauli ap
une scrupuleuse fidélité. C’est ainsi que j’ai pu le publier dans ma première édition. Mais, comme, malgré toute ma vigilance,
Wolfenbüttel. Quant au volume lui-même, depuis la publication de ma première édition ayant été à Wolfenbüttel en prendre conna
té ajouté par le relieur et qui, collé par lui sur la face interne du premier des plats, en a été ensuite détaché, a été à bon
u second, qui, portant en gros caractères rouges et noirs le titre du premier ouvrage du manuscrit, n’aurait pas dû être omis.
— Au haut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa main, au premier ouvrage le titre suivant : Juliani episcopi tole
ni episcopi toletani prognostica futuri seculi. Fol. 59 b. — Fin du premier ouvrage terminé par cette souscription en capital
ative qui trouvera ailleurs sa place naturelle. Ici je me borne à ces premières observations que j’aurai plus loin l’occasion de
ait été fait une copie que j’ai retrouvée depuis la publication de ma première édition et qui m’a paru remonter, sinon à la fin
manuscrit auquel aujourd’hui elle appartient, les deux ou les quatre premiers feuillets, qui contenaient le Prologue et les hui
es quatre premiers feuillets, qui contenaient le Prologue et les huit premières fables du Livre I, n’existaient déjà plus, et ava
et, qui n’étaient que l’imitation latine en vers élégiaques des trois premiers livres du Romulus ordinaire302. Il me semble que
e manuscrit latin Dïgbey 172 du xiiie  siècle que j’ai publié dans ma première édition, le prologue est annoncé en ces termes :
e sapiens, etc. Enfin le manuscrit de Munich, d’après lequel, dans ma première édition, j’ai publié le Romulus primitif, présent
té commise par le copiste du manuscrit Burnéien, pour que le sens des premiers mots du prologue ait été altéré, et l’on n’ignore
, dans les unes comme dans les autres, figure la dédicace à Rufus. Ce premier point a son importance. Mais ce qui rend, dans le
texte du manuscrit de Wissembourg, tel qu’il est sorti de la plume du premier copiste et le texte du Romulus primitif, tel qu’i
it par le plus ancien relieur et collé par lui sur la face interne du premier des plats. Mais ce qui à bon droit m’étonne, c’es
vait prendre des proportions beaucoup plus considérables que les deux premiers , je l’ai divisé en cinq parties affectées chacune
e Nilant et à ses sous-dérivés, La cinquième, au Romulus de Berne. Première partie. Romulus ordinaire et ses sous-dérivés.
Première partie. Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chapitre  premier . Romulus ordinaire. Section I. Observations
heureusement conservées par le Romulus de Vienne. Je reconnais que ce premier indice à lui seul n’aurait pas été suffisamment c
te lacune, contenir le vrai texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma première édition, tout en constatant l’absence des deux fa
a rigueur, pour faire connaître son contenu, il me suffirait, dans ce premier chapitre, de renvoyer à la nomenclature que j’ai
homme et du Taureau et du Veau. Mais, à raison de l’importance de ce premier dérivé, je vais ici dresser explicitement la list
partager en deux groupes égaux. Le premier doit comprendre les trois premiers manuscrits, le second les trois derniers. Les tro
remiers manuscrits, le second les trois derniers. Les trois textes du premier groupe sont presque identiques : ils sont divisés
its, formant le second groupe, sont en notable désaccord avec ceux du premier . Sauf celui d’Oxford, ils offrent bien la même di
ivision en quatre livres, mais tous les trois ils différent des trois premiers par le classement des fables ; ainsi dans les man
n outre, leurs textes eux-mêmes s’écartent de celui des manuscrits du premier groupe par de telles variantes que, si l’on ne cr
ontenant, malgré leurs variantes, la même collection que les trois du premier . La solution opposée aurait eu des conséquences q
les collections du second groupe non seulement diffèrent de celles du premier , mais encore entre elles ne sont pas en parfaite
digne de confiance, c’est son texte que je reproduirai. Comme dans ma première édition j’avais opté pour la copie de Pierre Crin
e dix feuillets. Les fables de Romulus commencent en tête du verso du premier feuillet et se terminent au verso du sixième, au
u manuscrit de Munich, et la raison, c’est que je l’ai publié dans ma première édition. § 4. — Manuscrit du Mans.     La b
onséquence de modifications intentionnelles. Je rappelle que, dans ma première édition, je les ai notées au bas du texte du Romu
uscrits relatifs à ces matières, parvenus à sa connaissance. Les deux premiers appartiennent au collège du Corpus Christi d’Oxfo
Harley du British Museum. Voici l’indication sommaire qu’il donne du premier  : « Cod. Oxon., collège Corpus Christi 42, feuill
ogue, et qu’enfin le manuscrit renfermait non pas seulement les trois premiers livres, mais la totalité des fables divisées en t
s, qui non seulement sont égales en nombre à celles des manuscrits du premier groupe, mais encore se suivraient absolument dans
. § 6. — Manuscrit de Phillips.     Depuis la publication de ma première édition, j’ai découvert un sixième manuscrit du R
paru être en partie du xvie  siècle et en partie du xve . Les quatre premiers feuillets seraient totalement blancs, si le recto
quatre premiers feuillets seraient totalement blancs, si le recto du premier ne portait cette courte table des matières : Joh
, nec tu mihi. Hec illis Esopus narrat qui non intelligunt. Les deux premiers livres se composent de chacun vingt fables par su
omposent de chacun vingt fables par suite du transfert du deuxième au premier de la fable de l’Aigle et du Renard. La fin du li
tis entre vingt-neuf cahiers qui eux-mêmes sont formés, les vingt-six premiers de dix feuillets chacun, le vingt-septième de dou
et quelquefois licencieuses, dont la première occupe tout le verso du premier feuillet et a la prétention d’être le portrait en
fol. 105 a à 130 b). Enfin vient le livre IV, composé comme les trois premiers de vingt fables et précédé de la table suivante (
a disposition du texte et des gravures est la même que dans les trois premiers livres. On voit par l’exposé qui précède que, dan
se en vers élégiaques. Il est probable qu’après avoir, dans les trois premiers livres, fait suivre chaque fable en prose de sa t
Je suppose que les illustrations, les meilleures de toutes celles des premières éditions d’Ésope, ont été exécutées par Jean Schw
in de l’édition de Steinhöwel. Comme dans cette dernière, le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’Ésope. En t
non chiffrés et formés de la réunion de seize cahiers dont les quinze premiers ont chacun huit feuillets, et le seizième, neuf.
uivantes : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o, p, q, et les quatre premiers feuillets de chaque cahier, au bas du recto, port
e cahier. Le dernier cahier étant composé de neuf feuillets, les cinq premiers sont exceptionnellement numérotés de 1 à 5 ; mais
t exceptionnellement numérotés de 1 à 5 ; mais, comme dans les quinze premiers cahiers, les quatre derniers feuillets ne sont mu
ue, en l’absence des noms des imprimeurs, la similitude trompeuse des premières éditions. Sous la cote V. F. 36, la Bibliothèque
oire son catalogue, en possède un aussi sous la cote D. iv. 9. 2º  Première édition de 114 feuillets. Après les deux éditi
a). —  Registrum fabularum Esopi. in librum primū. C’est la table du premier livre des fables de Romulus. Fol. 21 b (c. vii b)
j’ai précédemment soutenue. Fol. 22 a (c. viii a). — Commencement du premier livre des fables de Romulus. Il est annoncé par c
les, dont la première, au-dessus de sa désignation spéciale, porte ce premier titre : Fabula prima Tertii libri Esopi. Contra
tre 13 cahiers qui sont signés de a à n et qui comprennent, les douze premiers , six feuillets chacun, et le treizième, dix. Il r
in-fº chiffré, signé de a à h et composé de huit cahiers dont les six premiers comprennent huit feuillets et les deux derniers s
tres b, d, f, h, k, m, o comprennent chacun six feuillets. Les quatre premiers feuillets de chacun des cahiers de huit feuillets
disposition est la même pour les cahiers de six feuillets ; les trois premiers feuillets sont numérotés de 1 à 3, et ces numéros
contraire, dans la seconde édition, les signatures manquent aux deux premiers feuillets du cahier a, les cahiers d et h portent
Fol. 22 a. —  Incipit fabularum liber primus. Fol. 22 a à 34 a. —  Premier livre. Fol. 34 a. —  Capitula libri secundi fabul
emps réuni au Romulus à arabesques C. 19 D. 5. Donc il me semblait au premier abord que Gérard Leeu, à moins d’avoir voulu se f
devanciers : il avait adopté le même format et copié les gravures des premières éditions. L’ouvrage qui forme un petit in-folio d
ise en deux parties bien distinctes : la première, qui occupe les 124  premiers feuillets, est consacrée aux divers groupes de fa
ers Esopi. Zum ersten die | vorred , etc. En français : « La table du premier livre du très célèbre fabuliste et maître Ésope.
d meysters. Esopj zum ersten. Ce qui peut se lire ainsi : « Table du premier livre du célèbre fabuliste et maître Ésope ; tout
s elle renferme les mêmes collections de fables, qui occupent les 154  premiers feuillets, et ne se distingue des autres éditions
36 lignes et illustré de gravures sur bois. Des 151 feuillets les 31  premiers sont dépourvus de numéros, les 113 suivants sont
arties. La première partie se compose de 114 feuillets, dont les six premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui
e compose de 68 feuillets portant les numéros 111 à 178. Il semble au premier abord en résulter qu’il a dû exister, à l’origine
x exemplaires qui me permettent d’en donner le signalement. Les douze premières pages comprennent d’abord le titre, ensuite les d
rmontée de ce titre : Cy commence le registre des fables de esope du premier liure. Fol. 19 a. — Commencement du livre I, an
cement du livre I, annoncé en ces termes : Cy commence la preface du premier liure de esope. Puis vient la dédicace de Romulu
ique salut. La dédicace est ornée d’une gravure. Fol. 19 a à 23 b. —  Premier livre orné seulement de 8 gravures. Fol. 23 b. — 
nombreuses gravures xylographiques qui ressemblent trop à celles des premières éditions allemandes pour n’avoir pas été copiées
ble du livre I de Romulus. Fol. e. ii a. —  Cy commance la préface du premier liure de esope. Fol. f. v a. —  Cy finist le pr
ans laquelle une banderole porte les noms des imprimeurs. Le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’Ésope en pi
ables n’y ont pas trouvé place. Il n’en renferme que 120, dont les 62  premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’ouvra
es sur bois analogues à celles des éditions antérieures. C’est un des premiers livres qui aient été imprimés en Angleterre en la
t chiffrés. L’ouvrage commence par ce titre placé en tête du recto du premier feuillet : Here begynneth the book of the subtyl
la forme d’un volume in-8º de 550 pages chiffrées, précédées de huit premiers feuillets et suivies d’un dernier non chiffrés. V
nt au célèbre Gérard Leeu, qui, dès 1485, c’est-à-dire un an avant sa première édition latine, en publia à Gouda une édition née
 : Hier eyndet dat leuen van esopus. Fol, 25 b, col. 1. — Table du premier livre des fables de Romulus, précédée de ce titre
6 a. — Dédicace de Romulus surmontée d’une gravure et commencement du premier livre. Les fables sont toutes précédées d’une gra
s la cote Rés. 351. § 7. — Éditions espagnoles.     Après leur première apparition en Allemagne, les fables de Romulus ne
est illustrée de vingt-huit gravures sur bois pareilles à celles des premières éditions allemandes. Elle se termine par cette so
ui se acaba la vida de Ysopo. Fol. 17 a (c 1 rº) à 22 a (c 6 rº). —  Premier livre de Romulus. Fol. 22 a (c 6  rº) à 26 b (d
yvā a vēder el asno , il en existe 26 dans l’édition de 1533 ; aux 22  premières en effet ont été ajoutées les quatre suivantes :
format, même nombre de feuillets chiffrés, mêmes gravures au recto du premier . Au-dessous de ces gravures le titre se formule a
es362. Chapitre II. Dérivés en prose du Romulus ordinaire. Première collection. Romulus de Vincent de Beauvais. Si
t ensuite les 29 fables de Romulus qu’il avait déjà insérées dans son premier Speculum ; on les trouve dans le livre IV, où ell
lus. Elles n’existent que dans le manuscrit 4897, qui comprend les 16  premiers livres du Miroir et dans le manuscrit 14354-14355
n feuillet a été arraché, et il en résulte une lacune, qui s’étend du premier tiers de la fable Luscinia et Accipiter à l’avant
une sorte d’épilogue. Celui du second Miroir a été copié sur celui du premier qu’il ne reproduit même qu’en partie et que je do
colonnes. Début de l’ouvrage : « Deus est substancia incorporea… » Ce premier volume renferme les livres I-VIII. xive  siècle
Le 1er volume est de 313 feuillets et le 2e de 323. Les quarante-six premiers chapitres du livre XXV manquent. § 2. — All
ensuit que le manuscrit ne possède plus actuellement que les dix-neuf premières . Encore le texte de la dix-neuvième est-il incomp
criture à deux colonnes. Ce manuscrit contient seulement les quatorze premiers livres du Miroir historial et par suite le Romulu
s rondes tirant sur le gothique. La première partie se compose des 18  premiers livres et occupe 318 feuillets. Les 21 premiers f
tie se compose des 18 premiers livres et occupe 318 feuillets. Les 21  premiers feuillets renferment : le prologue et la table de
se compose des livres XIX à XXXIII et occupe 327 feuillets. Les huit premiers feuillets sont consacrés à la table et le neuvièm
feuillets sont consacrés à la table et le neuvième commence par cette première ligne du livre XIX : ij. De opere sexte diei. Et
t agnus ambulet & elephas natet 369. 3º Speculum morale. Première édition. Un volume in-folio de 474 feuillets à
ue. Il est imprimé en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les 3  premiers feuillets contiennent la table des matières. Le q
lié une seconde édition du Speculum Morale, ou plutôt il a fait de sa première édition un second tirage, facile à distinguer du
fait de sa première édition un second tirage, facile à distinguer du premier par cette circonstance que la dernière colonne de
xto. die mensis nouembris nona 371. 4º Speculum historiale. Première édition372. Cette édition, inconnue à Daunou,
2 col. de 67 lignes, imprimés avec les mêmes caractères que les deux premiers Speculum. Le tome I renferme les livres I à VIII.
me les livres I à VIII. Il se compose de 155 feuillets, dont les deux premiers sont consacrés à la table des matières, et dont l
ferme les livres IX à XVI. Il se compose de 176 feuillets, dont les 3  premiers sont occupés par la table, et dont le quatrième c
e dressée par ordre de matières. Voici l’analyse des quatre volumes : Premier volume. Fol. 1 a. À la suite d’un court préambule
imi. Volvminis. Spe-||cvli. Historialis. Cette table occupe les deux premiers feuillets. — Fol. 3 a. Incipit. Specvlvm. Histor
ux colonnes, sans signatures, réclames, ni pages numérotées. Les deux premiers feuillets sont occupés par la table. Sur le recto
œuvre de Vincent de Beauvais, il faut encore aujourd’hui recourir aux premières éditions, surtout à celle de Mentellin de 1473390
aire alphabétique de l’histoire générale. Tome I, comprenant les huit premiers livres. Il se compose d’abord de dix feuillets pr
 feuillets et un dernier de 10. Au recto du dernier feuillet les huit premiers livres du Miroir historial se terminent par cette
nostre || dame a lymage Saint Jehan leuan||geliste : ou au palays au premier pili||er deuant la chapelle ou on chante || la me
etit. Voici la description de l’édition : Tome I, comprenant les huit premiers livres du Miroir historial. Il se compose d’abord
alliot du Pré on lit : Ils se vendent en la grant salle du palais au premier  || pilier en la boutique de Galliot du pre. || Mi
r || hystorial. Comme précédemment ce titre est encadré. Le verso du premier feuillet et les cinq feuillets qui suivent sont o
ume || de Vincent miroir || hystorial. La table commence au verso du premier feuillet et occupe les cinq autres. Puis viennent
Le cinquiesme || volume de Vincent || Miroir hystorial. Le verso du premier feuillet et les autres sont occupés par la table.
été imprimée en quatre volumes in-8º à Leyde et à Amsterdam, les deux premiers , par Jacques Arnout Clignett et Jean Steenwinkel
 chapitres, comprenant 40 fables, elle en présente d’abord vingt-cinq premières , qui non seulement par le fond descendent du Romu
plètement. Dans cette situation j’aurais pu considérer les vingt-cinq premières fables et les quinze dernières comme formant deux
le Chien et le Loup. 12. On voit par ce tableau que les vingt-cinq premières fables ont bien toutes un Romulus pour origine. M
Munich et du Romulus mixte de Berne, qu’on doive voir dans celles du premier la paraphrase de celles du second. Il est plus vr
ées. Les huit qui dans l’édition d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 ( première partie), 9 (deuxième partie), 10 et 14, ont été i
ser en deux groupes comprenant, le premier, sous 47 chapitres, les 48  premières , et le second, sous 42 chapitres, les 47 dernière
ont le manuscrit pullule. Chapitre III. Collections en vers. Première collection. Fables de Walther l’Anglais. Sec
mier de le résoudre : il démontra que c’était, non du second, mais du premier que les fables de l’Anonyme étaient issues. À son
’empereur ; c’est Théodose qui prie Romulus, orateur et philosophe de premier ordre, de composer pour lui un livre unissant le
rme. Æsopi item fabulæ, interprete Auiano. Je dois ajouter que cette première édition avait été imprimée par François Ulgoleto
i se compose de 42 feuillets signés de a à c, et, sauf la vignette du premier , dépourvus de toute gravure (deux exemplaires de
par Walther. On s’explique ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premiers livres du Romulus ordinaire. Il est supposable qu
le second volume de cet ouvrage, je placerai à la suite des soixante premières . Faut-il les attribuer au même auteur ? Comme, so
nt que la paraphrase poétique de la prose de Romulus, et que les deux premières fables complémentaires, n’ayant pas la même origi
le conteste, elles appartiennent bien à la même collection que les 58  premières . En somme d’une part, les raisons négatives ne so
e part, rien non plus n’autorise à faire de Walther l’auteur des deux premières fables complémentaires. Ce qui est certain, c’est
traduite et insérée avec la traduction à la suite des soixante-trois premières fables, avec lesquelles elle n’avait rien de comm
connaissance, la Bibliothèque nationale en possède treize. Les douze premiers appartiennent au fonds latin, dans lequel ils por
 96 ; chacune d’elles est accompagnée d’un commentaire. Seules les 60  premières y figurent ; encore la soixantième n’est-elle pas
au recto du feuillet 48 et finissent au verso du feuillet 68. Les 60  premières seules y figurent. Elles sont terminées par ce ma
ormule ainsi : Incipit liber Esopi , et non pas : Hisopi. Dans ma première édition j’ai exprimé l’idée que le manuscrit avai
r à la publicité six fables élégiaques imprimées dans les notes de sa première édition de Phèdre. Voici, en effet, ce qu’on lit
ale, a eu la complaisance de me le démontrer, que, contrairement à ma première supposition, ce manuscrit n’a rien de commun avec
de Blois. En y regardant de près, on peut encore, au haut du recto du premier feuillet en parchemin, déchiffrer la cote Cxlj qu
dans la Bibliothèque des rois des Deux-Siciles. En outre, au recto du premier des deux feuillets de garde en papier placés par
Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au nom italien de son premier propriétaire qu’à la reliure, dont, comme tous ce
st une des deux fables qui sont le plus souvent ajoutées aux soixante premières . Elle se termine vers le bas du fol. 45 recto, et
neuf feuillets en parchemin, écrits par une main du xive  siècle. Les premier et dix-neuvième feuillets ne contiennent que des
rchemin, dont l’écriture est du xve  siècle. Il porte sur le recto du premier feuillet cette mention écrite par un de ses ancie
t, sur le recto duquel le même propriétaire du manuscrit a réitéré sa première déclaration par cette mention : Questo libro e d
tre général ; mais chacune porte un titre spécial. En marge des trois premiers vers de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P
es Prés, ainsi qu’il résulte de cette mention mise au bas du recto du premier feuillet : Sancti Germani in pratis , et n’est p
, particulièrement de M. Dubouchet de Bournonville, qui en fut un des premiers bienfaiteurs, et par M. de Tralage, neveu de M. d
a fin du xiiie  siècle. Il comprend 177 feuillets. Au bas du recto du premier feuillet on lit : Iste liber est Sancti Victoris
On se rappelle qu’à la fin du xvie  siècle, Rigault, en préparant ses premières notes sur les fables de Phèdre, remarqua, dans la
comme Dressler le répète de confiance, mais six qu’il inséra dans sa première édition de Phèdre. Était-ce dans l’un des deux ma
 15135, ou enfin dans un troisième aujourd’hui disparu, j’ai, dans ma première édition, extrait les variantes présentées par les
raison qu’il estoit a l’endroit d’une fenestre mal joincte. Les 89  premiers feuillets numérotés contiennent les fables de Wal
e, qui, dans le second volume de cet ouvrage, fera suite aux soixante premières fables. Après cette première observation sur le t
de cet ouvrage, fera suite aux soixante premières fables. Après cette première observation sur le texte latin des 5 fables étran
nnaître la liste complète de celles que le manuscrit contient dans sa première partie, et à cet effet transcrire ici dans leur o
sont précédées d’une jolie miniature, qui orne, au recto, le haut du premier feuillet ancien, et représente un moine instruisa
grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple tiré du premier vers de la fable i, dans le manuscrit 1594 il est
36 a. Cet épilogue se compose seulement de 18 vers, comprenant les 16  premiers du même épilogue dans le manuscrit 1594 et les qu
eule la douzième et la treizième, a enlevé de cette dernière ces deux premiers vers : Jupiter en terre enuoya Son fils et si lu
anus sont précédées d’un prologue, qui ne se compose que des quatorze premiers vers de celui du manuscrit 1594, et ne comprend p
précédemment expliqué. Quant à l’épilogue, il ne comprend que les six premiers vers de celui du manuscrit 1594 ; les vers écrits
se réfèrent à trois séries de fables latines bien différentes. Les 59  premières sont la traduction de celles de Walther : les 18 
e ms. 19123, et qu’elles sont classées dans le même ordre, on est, au premier abord, porté à en induire que le moins ancien des
nouvelles. J’extrais des deux manuscrits, à titre d’exemple, les cinq premiers vers de la fable Du Loup et de l’Aignel. manusc
les fables dont le sujet n’avait pas été traité dans celles des deux premières séries. Le manuscrit 24310 est uniquement rempli
distique n’a d’ailleurs rien de commun avec la vieille paraphrase du premier traducteur français de Walther, ni avec celle de
 siècle ; elle n’est que du xiiie . Les fables commencent au recto du premier feuillet. Elles ne portent pas de titre général ;
remontant au xiiie  siècle est sur parchemin. Sur la face interne du premier plat, il porte cette mention inscrite au siècle d
disposition et la traduction elle-même, voici la description des sept premiers feuillets : Fol. 1 a. — En tête du feuillet 1 a o
. Fol. 16. —  De gallo et iaspide. Les douze vers latins, dont cette première fable se compose, se terminent au commencement du
Les soixante-dix vers dont la traduction se compose commencent par ce premier  : Entre lo lou et laignelat, et, au verso du q
a renoille , et qui comprend cinquante-quatre vers, commençant par ce premier  : La rate san uai per la terre, et finissant pa
aux origines de notre langue nationale. Dans le premier volume de ma première édition, à la page 508, je disais avoir appris pa
ture est de la fin du xve  siècle et du commencement du xvie . Les 35  premiers feuillets contiennent, non pas, suivant la mentio
t, non pas, suivant la mention erronée du catalogue, seulement les 45  premières fables de Walther, mais les 60 authentiques auxqu
es auxquelles, au haut du recto du feuillet 36, s’ajoutent les quatre premiers vers de la soixante et unième, ordinairement inti
moins ancienne, pour combler la lacune, a écrit, en tête du recto du premier feuillet, ces mots qui trahissent, sinon une gran
nte. Le manuscrit est un petit volume in-4ºde 131 feuillets. Les deux premiers sont blancs ; il en est de même de ceux qui porte
re de Walther n’est pas complète. Le copiste n’a transcrit que les 55  premières fables ; la dernière qui figure dans le manuscrit
u’il résulte de l’ex-libris suivant inscrit sur la face intérieure du premier des deux plats : Codex monasterii Sancti Mathie
de Walther. En effet, chaque commentaire partiel est précédé des deux premiers vers de la fable à laquelle il s’applique. Le pré
lle il s’applique. Le préambule a été omis ; le texte commence par ce premier vers de la première fable : Dum rigido fodit ore
ble. À la suite on trouve celui de la deuxième fable précédé des deux premiers vers dénaturés de cette façon : Est lupus, est a
i prologus. Elles ne sont accompagnées d’aucune glose et les dix-neuf premières seules sont pourvues de titres. Réduites aux soix
297. Chacune d’elles porte son titre particulier en marge, en face du premier vers. La fable xlviii se compose de trente-deux v
ou du commencement du xve . Voici comment, sur la face intérieure du premier des plats, un calligraphe moderne a indiqué le co
ei apologi sont les fables de Walther qui remplissent les vingt et un premiers feuillets et les quatre premières lignes du recto
ther qui remplissent les vingt et un premiers feuillets et les quatre premières lignes du recto du vingt-deuxième feuillet. Elles
oixante fables authentiques et les deux complémentaires. Les quatorze premières ont seules reçu leurs titres, écrits à l’encre ro
ets en papier dont l’écriture est du xve  siècle. Les soixante-quatre premiers sont occupés par 62 fables accompagnées de gloses
e mention : Ebersb. 141. Il se compose de 263 feuillets, dont les 47  premiers contiennent les fables de Walther. C’est ce qui r
tion : Em. B 42. Il se compose de 333 feuillets, dont les vingt-cinq premiers sont occupés par les fables de Walther, signalées
mplètes. En effet, le manuscrit ne renferme que le prologue et les 30  premières fables. Elles occupent les feuillets 57 à 65 qui
rge de dessins à la plume que relève un brillant coloris. Au recto du premier feuillet se trouve d’abord le titre suivant : In
le second : Commentum. Le prologue latin, qui commence au verso du premier feuillet, est également suivi de deux sonnets qui
lets en parchemin, qui ne contient que le prologue et les trente-deux premières fables de Walther. La trente-deuxième fable, inti
ce que révèle tout de suite la mention suivante mise sur le recto du premier feuillet :   Les mots : Dux Johannes Galeaz Med
s d’autre ouvrage que les fables de Walther. On n’y trouve que les 60  premières , accompagnées, il est vrai, de ces gloses naïves
re général et que n’accompagne aucune glose, n’en occupent que les 25  premiers . Indépendamment des 62 fables ordinaires, elles e
illet comprenant les suivantes : 1º De Leone et Mure, moins les trois premiers vers, 2º De Miluo ægrotanle, 3º De Lino et Hyrund
t Lupo, 11º De Graculo et Pauone, fable dont il ne reste que les sept premiers vers. Les nombreuses variantes que ces fables pré
nt deux ouvrages. Le premier est un poème religieux qui occupe les 80  premiers feuillets. Le second n’est qu’un fragment de l’œu
qu’un fragment de l’œuvre de Walther, comprenant le prologue, les 57  premières fables et la 58e jusqu’au vers suivant : Hic sil
de Walther et les deux complémentaires. Elles commencent au recto du premier feuillet par ce titre : Incipit liber esopi. El
la ronde italienne du xve  siècle est fort belle. Au bas du recto du premier feuillet on lit : Collegii Soc. Jesu d. Ignatii,
Au-dessous du mot Finis une autre main a écrit le titre et les deux premiers vers de la fable hexamétrique : De pueris ludent
eris ludentibus. Enfin viennent quatre derniers feuillets, les deux premiers blancs et les deux autres portant au verso des éc
sa reliure actuelle, avait trente feuillets de plus, savoir : les 28  premiers du volume qui portaient les nos 1 à 28, et deux a
porter les nos 187 et 188 et contenir une partie des quarante et une premières fables. Car l’ouvrage précédent est complet, et l
mini. Non seulement les cahiers qui contenaient les quarante et une premières fables de Walther, ont été presque entièrement dé
ement laissé au Vatican et qui s’y trouve encore aujourd’hui. Dans ma première édition, je me bornais à affirmer l’existence de
bles occupent les feuillets 24 a à 57 a. Elles se terminent par cette première souscription : Amen , suivie de cette seconde :
se termine au milieu de la seconde colonne du feuillet 68 b par cette première souscription : Explicit Æsopus fabularum. Au-de
. Grâce aux deux complémentaires, elles sont au nombre de 62. Les 49  premières sont pourvues de titres particuliers à l’encre ro
les de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Le recto du premier feuillet, en tête duquel elles commencent précédé
ations préliminaires qui occupent le recto du feuillet 59 et les cinq premières lignes du verso et qui, différant sensiblement de
copiste italien du xive  siècle. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet sans titre général, mais sont munies cha
le numérotage des feuillets, il a dû en comprendre 367 ; mais les 60  premiers ont disparu, de sorte qu’en réalité il n’en possè
on dans cette nomenclature sont celles de Walther qui occupent les 19  premiers feuillets (61 à 79, d’après le numérotage du ms.)
habituel et de la fable De pueris ludentibus. Elles occupent les deux premiers cahiers et les deux premiers feuillets du troisiè
eris ludentibus. Elles occupent les deux premiers cahiers et les deux premiers feuillets du troisième. Tout au haut du recto du
et les deux premiers feuillets du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet, écrits en lettres très fines, se lisent
ne renferme que les fables de Walther, précédées, au haut du recto du premier feuillet, d’une sorte de préface dont voici le co
uillets en parchemin, dont l’écriture est du xiiie  siècle. Les vingt premiers contiennent les fables de Walther, précédées de l
s fables, dont l’écriture est du xve  siècle, occupent les vingt-deux premiers feuillets. Elles sont au nombre de soixante et un
t couverte en veau et garnie d’un fermoir. L’écriture, comme celle du premier manuscrit, est sur papier ; elle est certainement
r simplifier ma tâche, je ne signalerai que les éditions datées. 1º Premières éditions. Si l’Allemagne peut revendiquer la p
bles du Romulus ordinaire, c’est à l’Italie que revient l’honneur des premières éditions des fables de Walther. 1473. Ph
grand format in-4º, composé de vingt feuillets. Il porte au verso du premier feuillet la vie abrégée d’Ésope. En tête du feuil
és de A à E, ornée d’un double portrait d’Ésope sur les deux faces du premier feuillet, et terminée, au verso du dernier, par u
et d’un dernier de six, soit, au total, de 286 feuillets. Le recto du premier feuillet est consacré au frontispice ; le verso e
oixante et qui sont grossies du même commentaire. En tête du verso du premier feuillet se trouve ce titre : Liber Esopi , et a
que le volume est formé de vingt-sept cahiers, et comme les vingt-six premiers se composent de huit feuillets et le vingt-septiè
de dire que, comme la précédente, elle n’est qu’une réimpression des premières éditions des huit auteurs publiées à Lyon. Je fai
ormat in-4º, n’est pas chiffrée, mais est signée de a à e. Les quatre premiers cahiers comprennent chacun huit feuillets et le c
le cinquième seulement quatre, soit au total trente-six. Le recto du premier feuillet est occupé par une gravure sur bois, rep
Esopi cum || commento. Au-dessous de ce titre placé sur le recto du premier feuillet est une vignette au centre de laquelle a
Æsopi cum commento. Tel est le titre qui figure en tête du recto du premier feuillet d’un volume du format in-4º commun aux é
l de forme gothique et trois enfants à genoux devant lui. Le verso du premier feuillet est blanc. Les soixante fables élégiaque
et g de quatre seulement, soit au total de 44 feuillets. Le recto du premier ne porte que le titre sans ornements xylographiqu
huit feuillets chacun. Au-dessous du titre placé en tête du recto du premier feuillet vient immédiatement, sur la même page or
ème de quatre, soit de cinquante-deux feuillets au total. Au verso du premier feuillet commencent les fables de Walther précédé
i cura || emendatæ. Au-dessous de ce titre placé en tête du recto du premier feuillet est une gravure sur bois qui remplit pre
néral : cum interpretatione vulgari. Ce sont ces mots qui, dans ma première édition m’induisant en erreur, m’avaient porté à
in-4º dont les feuillets non chiffrés sont signés de a à f. Les cinq premiers cahiers se composent de huit feuillets et le sixi
i mensalis præceptio pueris mire vtilis. Hæc omnia, etc. Le recto du premier feuillet qui porte ce titre, est orné d’un bel en
s au total, non chiffrés, mais signés des lettres a et b. Le recto du premier feuillet est orné d’une gravure sur bois qui enca
ctères gothiques, comprend six cahiers signés de a à f, dont les cinq premiers ont chacun huit feuillets et le dernier quatre, s
de Walther, auxquelles le volume est consacré, commencent au verso du premier feuillet sans autre titre que le mot Prohemium qu
our lui une vraie nouveauté, et c’est à ce titre qu’il publia dans sa première édition de Phèdre les six suivantes : 2. De Lupo
Hoffmani ; || Impensa Ionæ Rosæ. m.dc.x. Le volume que forme cette première édition se compose de 678 pages chiffrées précédé
ue à celui de l’édition primitive ; il n’en diffère guère que par ces premiers mots : Fabulæ variorum auctorum, nempe Æsopi , e
nto filosofo et l’autre debout est appelé Esopo. Indépendamment de ce premier frontispice, il en existe un second ainsi conçu :
de Caxton et des autres lettrés anglais, qui, en traduisant les trois premiers livres du Romulus ordinaire, ont, sans le vouloir
ulgaire des fables de Walther par un traducteur Siennois. Le recto du premier feuillet, où commence le prologue, est orné d’un
iture italienne de la fin du xive  siècle, à deux colonnes sur les 29  premiers et à longues lignes sur les autres. Les quarante
pièces diverses, dont la première, contenue dans les soixante-quinze premiers feuillets, consiste dans l’Esopo volgarizzato per
ulé : Il Volgarizzamento delle Favole di Galfredo 463, que les deux premières de ces fables ne se trouvent, à sa connaissance,
outre, il existe en tête quatre feuillets non chiffrés, dont les deux premiers renferment la table et les deux autres sont blanc
urentienne, les fables sont précédées d’un prologue, qui, au recto du premier feuillet, commence en ces termes : Sforza si la
euillets en papier dont l’écriture est du xve  siècle. Les vingt-cinq premières pages sont occupées par les Favole di Esopo volga
en parchemin qui n’ont pas été utilisés, et par suite, comme les deux premiers , n’ont pas été numérotés. II. — Imprimés.
en a été tiré des exemplaires tant sur parchemin que sur papier. Des premiers l’un existe à la Bibliothèque Bodléienne, sous la
véronais, fut imprimée pour la première fois à Vérone, en 1479. Cette première édition forme un volume in-4º de petit format, co
t répartis entre quinze cahiers de huit feuillets chacun. Le recto du premier feuillet est orné d’une gravure sur bois circonsc
é par le mot Esopus inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du verso du premier feuillet on lit : Accii Zuchi Summa Campanee Ver
ient le texte de Walther et la traduction d’Accio Zuccho. Le recto du premier feuillet est, comme dans la précédente édition, o
ahier, sont au nombre total de 72. Le titre placé en tête du recto du premier feuillet est engagé dans une gravure sur bois qui
Ésope instruisant des auditeurs assis au-dessous de lui. Au verso du premier feuillet on lit ce titre : Accii Zuchi Summa Cam
te de Walther accompagné de la traduction d’Accio Zuccho. Le recto du premier feuillet consacré au frontispice, le titre n’en o
mé dans un encadrement xylographique à fond noir. Au haut du verso du premier feuillet, le texte latin et la traduction sont an
e la réimpression par le même imprimeur de celle de 1493. Le recto du premier feuillet est rempli par une gravure analogue à ce
ol||gare et latine histo||riade. Ce titre, placé en tête du recto du premier feuillet, surmonte une grande gravure sur bois qu
te || vulgare et latino. Ce titre, qui est placé en tête du recto du premier feuillet, surmonte une gravure sur bois. L’éditio
e de Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre qui occupe le recto du premier feuillet est une gravure sur bois représentant un
e Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre placé au haut du recto du premier feuillet est une gravure qui occupe le reste de l
, et nuovamente || Ristampate. Tel est le titre figurant au recto du premier feuillet d’un très petit volume in-16 qui contien
figure d’Ésope. Au bas de la page on lit : In Venetia. Le verso du premier feuillet est rempli par le sonnet italien qui sui
lets blancs placés, l’un au commencement et l’autre à la fin de cette première partie du volume, puis 13 premiers de 8 feuillets
ement et l’autre à la fin de cette première partie du volume, puis 13  premiers de 8 feuillets, 2 de 6 et un dernier de 8, conten
a). — La première page est blanche. Fol. 1 b (a. i b). — Le verso du premier feuillet est entièrement occupé par une belle gra
de A à E et composé de quarante feuillets. Le frontispice au recto du premier est ainsi conçu : Esopi fabulae cum interpretati
iie et qui se compose de 293 feuillets en parchemin. Sur le recto du premier a été inscrite en tête cette mention qui révèle s
ins. Le premier, Bale478 l’avait signalé, et avait même cité ces cinq premiers mots du premier vers : Ingluvie cogente, Lupus d
Bale478 l’avait signalé, et avait même cité ces cinq premiers mots du premier vers : Ingluvie cogente, Lupus dum devor… Après
était pas connue. Il m’est facile de justifier ma thèse. À l’aide du premier distique de la première fable de Neckam, j’ai déj
a fable du Loup et de la Grue est encore plus loin que dans Phèdre du premier distique de Neckam ; en effet, elle commence ains
angage, je rectifie implicitement une erreur que j’ai commise dans ma première édition et qui m’a entraîné à affirmer que, si ce
mbinaison de deux éléments distincts. Mais à peine avais-je publié ma première édition, qu’en relisant dans la collection de Nec
i a jamais appartenu. Il ne contient des fables de Neckam que les six premières et le titre de la septième. Le reste n’a pas été
jourd’hui que de 19 feuillets, dont le premier porte le nº 96. Les 95  premiers ont disparu : aussi une pagination plus récente,
du Méril ne l’avait pas enfin aperçue. Les fables occupent les quinze premiers feuillets. Le titre de chaque fable est en marge
upe les feuillets 16 et 17. Sur les marges sont inscrits, à gauche du premier vers de chaque distique, le numéro de la fable, e
eur auteur, et que, composées en vers élégiaques, elles avaient pu, à première vue, être confondues avec celles de Walther ou d’
suite plus voisine de l’époque où l’ouvrage latin a été composé. 1º Première traduction. L’auteur en est inconnu. Il l’a te
Il contient deux ouvrages, les fables françaises qui occupent les 54  premiers feuillets, et le Bestiaire d’amour qui remplit le
Deuxième partie. Romulus de Vienne et ses dérivés. Chapitre premier . Romulus de Vienne. Section I. Observations
oins anciens qui ne l’ont pas conservée dans toute sa pureté. Dans ma première édition, en procédant au classement des nombreux
is encore obligé de m’y arrêter ; car j’ai à modifier ce que, dans ma première édition, j’avais exposé au sujet de son origine.
le dans laquelle elles n’existent pas. Pour l’admettre, j’ai, dans ma première édition488, supposé « que l’auteur de la collecti
outes. Chapitre II. Dérivés du Romulus de Vienne. Section I. Premier dérivé. § 1er. — Examen du premier dérivé.
us de Vienne. Section I. Premier dérivé. § 1er. — Examen du premier dérivé.     J’ai dit que l’existence du Romulu
ique. Aussi me paraît-il très suffisant de l’avoir déjà édité dans ma première édition, et ne lui ferai-je pas une seconde fois
Rom. de F. : Amittit proprium quisque alienum avidius quærit. De ce premier rapprochement, il ressort que des deux textes c’e
is derniers rapprochements conduisent à un résultat tout différent du premier  : ils montrent que le texte de Florence est confo
tres et larges de 97, dont l’écriture est du xiiie  siècle. Les vingt premiers sont remplis par les fables de Romulus. Elles com
mplis par les fables de Romulus. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet par ce titre : Incipit liber esopi quem
dans le Romulus primitif, divisées en trois livres composés, les deux premiers , chacun de vingt, et le troisième, de quarante-de
Romulus de Nilant et ses dérivés directs et indirects. Chapitre premier . Romulus de Nilant. Section I. Examen du Rom
re. Pour qu’on puisse s’en rendre compte, je vais d’abord extraire du premier livre de Phèdre quelques phrases empruntées à div
lus ou moins exactes dans le Romulus de Nilant. Par exemple, dans son premier livre, Phèdre avait écrit : Fable 1. Ad rivum eu
s de l’épilogue à Rufus. Elles ne portent pas de titres. Les dix-sept premières seulement sont accompagnées d’un numéro d’ordre,
men en tête du recto du feuillet 40, dont elles n’occupent que les 6  premières lignes. § 2. — Manuscrit Digbéien nº 172.  
omulus, signalée dans la nomenclature qui précède, en occupe les cinq premiers feuillets. Elle porte un titre ainsi conçu : Inc
t indirectement venue la version poétique de Marie de France. Dans ma première édition, voulant attribuer à cette collection un
in du xie  siècle ou le commencement du xiie . Dans son analyse de ma première édition507, M. Gaston Paris a refusé au roi Henri
§ 2. — Texte du Romulus anglo-latin.     Lorsque j’ai publié ma première édition, m’étant posé la question de savoir si le
n dans le texte latin. Si, lorsqu’il s’est agi pour moi de publier ma première édition, je m’étais fait ces réflexions qui, depu
int de départ. L’examen auquel je vais me livrer va établir que cette première impression est la bonne. Si elle ne reposait pas
s ? Nullement. Voici comment elles sont disposées : les trente-quatre premières qu’on y remarque sont les mêmes et sont dans le m
forcément conclure que le Romulus anglo-latin avait eu lui-même pour première origine le Romulus de Nilant, auquel avaient été
est difficile de faire à cette question une réponse certaine. Dans ma première édition, j’avais opté pour le chiffre de 104, et
tribué par les manuscrits à Alfred le Grand. En ce qui touche les six premières fables, je n’hésite pas à penser qu’elles figurai
vagues ou trop différents de ceux du texte latin, pour qu’on puisse à première vue savoir à quelle fable chacun d’eux se rapport
responde. Ensuite, si on les examine séparément, on voit que les deux premières sont d’une obscénité devant laquelle Marie, même
t de celui des autres fables524, que la quatrième est, comme les deux premières , plutôt un fabliau qu’une véritable fable, et qu’
 ; c’est ce qui ressort de la mention suivante, qu’au bas du recto du premier feuillet il avait sans doute mise de sa main : J
és de deux autres qui ont été ajoutés par le relieur. Sur le recto du premier on lit : « Ce manuscrit a appartenu au président
ècle. L’œuvre de Marie s’étend du feuillet 1 au feuillet 41. Les deux premiers feuillets sont occupés par la table des matières
itres des fables ysope. La table en comprend 100 ; mais seuls les 98  premiers concernent Marie ; il faut considérer comme lui é
 CC. XXXII. » Il semble résulter d’un numéro placé au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d’abord porté dans l’abbaye
e rouge par des traits de forme gothique. Il ne se compose que des 38  premiers vers ; les deux derniers font défaut. Les fables
les possède encore. Ces soixante-cinq fables étant les soixante-cinq premières de mon tableau, il s’ensuit que les fables vérita
 siècle. Il possédait à l’origine 50 feuillets ; mais il est privé du premier , sur lequel commençait un Bestiaire. Les fables d
n. III. sens , est-elle incomplète, et n’en reste-t-il que les quinze premiers vers. M. de Roquefort qui a connu le manuscrit 25
éro de pagination s’applique à six pages consécutives ; ainsi les six premières pages du quatrième volume sont numérotés de la ma
aison du système de pagination employé, elles occupent les cent trois premières pages. Elles sont accompagnées de deux séries de
été précédées du prologue, dont, par suite de la disparition des deux premiers feuillets, il ne reste plus que les huit derniers
ception de quelques écritures sur les feuillets 15 b à 17530. » Cette première note est paraphée par son auteur. Voici la traduc
un dérivé mixte dont les fables découlent de deux sources, les quatre premières , du Romulus primitif, les dix-huit autres, du Rom
mitif, les dix-huit autres, du Romulus anglo-latin. Or, si les quatre premières , c’est-à-dire celles des deux Hommes, l’un véridi
la Mouche. Elle n’a pas été directement tirée du Romulus primitif. À première vue cela ressort de ce fait que, comme dans la tr
ue si c’est le Romulus Roberti qui a le plus gardé les expressions du premier , c’est qu’il les aura prises dans le second. Or,
je crois, tenir dès maintenant pour certain que, en dehors des quatre premières fables qui ne sont que la copie presque littérale
en terminant, qu’on doit maintenant s’expliquer aisément que, dans ma première édition, j’aie pu confondre avec le Romulus anglo
çu tour à tour les cotes 1225, 5787 et mcccxxxix. Au haut du recto du premier feuillet il porte une invocation qui, affectant l
cipio Sancta Maria meo. Il renferme trois œuvres distinctes. Les 156  premiers feuillets contiennent les dix-neuf livres du trai
précédé d’un prologue qui commence au haut de la première colonne du premier feuillet par ce titre : Incipit Prologus in libr
u, on devrait dire qu’il se compose de 194 feuillets ; mais, les deux premiers n’étant comptés que pour un seul, en réalité il e
e pour un seul, en réalité il en existe 195. Tout au haut du recto du premier feuillet et en dehors de la première ligne de cha
nt le prologue, commençant au haut de la première colonne du recto du premier feuillet, est annoncé par ce titre : Incipit p̱l
fs qui suivent et que j’emprunte à la fable du Corbeau et du Renard. Premier extrait. Leyde. Corvus cum de fenestra raptass
u du Romulus Roberti, mais encore est plus ancien que lui. Ce qui, au premier abord doit ou peut porter à croire que le Romulus
rouve entière. Il forme un volume du petit format in-fol., dont les 4  premiers feuillets sont en parchemin et les autres en papi
à longues lignes est du commencement du xive  siècle. Sur le recto du premier feuillet on lit l’ex libris suivant, écrit sans d
emier ouvrage contenu dans le manuscrit, commence au haut du verso du premier feuillet par ce premier titre qui surmonte le pro
ns le manuscrit, commence au haut du verso du premier feuillet par ce premier titre qui surmonte le prologue : Incipit prologu
remière fable, est moins ancien que les autres. Il a été substitué au premier feuillet primitif, qui sans doute avait été détru
. Quoique moins ancienne que celle qu’elle a remplacée, l’écriture du premier feuillet actuel est du xive  siècle. Elle s’arrêt
quintus. Les fables du Dérivé complet occupent les cinquante-quatre premiers feuillets. Comme dans le manuscrit 1108, elles so
ème également en prose étrangère à ce fabuliste. Par erreur, les deux premières de celles qui sont dérivées d’Avianus ont été pla
nt qu’il a subi de nombreuses vicissitudes. Sur la face intérieure du premier des plats on lit : Iste liber pertinet domino Pe
autem Nicolao Luysth presbitero Treverensi. Enfin au bas du recto du premier feuillet l’indication des deux derniers propriéta
le de Trèves. Ces dix-sept fables ne sont séparées et distinguées des premières que par ces deux mots : Incipit Auianus. Elles
terminent à la deuxième du feuillet 28 b. Depuis la publication de ma première édition je me suis procuré une copie complète du
te, les manuscrits ne manquent jamais de présenter, les quarante-neuf premières fables du manuscrit 15. A. VII sont les mêmes que
s fables du manuscrit 15. A. VII sont les mêmes que les quarante-neuf premières des manuscrits complets du Dérivé. Il en est autr
nen wart bekant548. Qu’il y ait une certaine analogie entre les deux premières citations et la troisième, cela n’est pas douteux
sur le cahier d’honneur, on partagera mon sentiment. J’ajoute qu’à ce premier défaut de style s’en joint un second qui consiste
er éditeur des fables du Dérivé rythmique. Par son compte-rendu de ma première édition dans le Journal des savants, M. Gaston Pa
erne. Sursum bibebat Lupus, et longe inferior Agnus. On voit, par ce premier exemple, que, tandis que dans le Romulus ordinair
Phèdre, la page xiv de la préface. 162. Voyez les Fabulistes latins. Première édition, t. I, p. 108. 163. Voyez Disputatio III
ccelliana, sous la cote I. N. XI. 33. À la page 120 du tome Ier de ma première édition, j’avais, par le langage tenu par Jannell
ographie de Phèdre, établi que le livre III avait été, comme les deux premiers , écrit et probablement publié sous le règne de Ti
ar la raison que les fables du troisième livre, comme celles des deux premiers , ont été presque entièrement tirées d’Ésope. 233
Saints Pères, des docteurs et de tous les autres écrivains des douze premiers siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l
Saints Pères, des docteurs et de tous les autres écrivains des douze premiers siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l
listes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Première édition. Tome II. Paris, Firmin-Didot et Cie, 188
listes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Première édition, tome II, page 247. 316. Voyez, dans le
, in-8º. (Voyez t. I, 3e partie.) 395. C’est par erreur que, dans ma première édition, t. I, p. 686, je n’ai reconnu que 46 fab
p. 23 et s. 414. Morelli, né à Venise le 14 avril 1745, a été un des premiers érudits de son époque. Parmi les nombreux ouvrage
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 109 » pp. 88-88
l du prix. Le sculpteur répondit : « Eh bien ! si tu achètes les deux premières , je te donnerai celle-ci par-dessus le marché. »
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
lui dit : « Ce n’est pas à celui-ci qu’il faut le donner, mais à ton premier maître ; le deuxième en effet est naturellement b
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
t du costé de l’homme, elle y trouva plus de satisfaction qu’avec ses premiers compagnons. Cela nous apprend que ceux dont nous
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50
ur la croquer. Alors la déesse indignée contre elle la remit dans son premier état. Pareillement les hommes naturellement mécha
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 274 » pp. 179-179
las ! malheureux que je suis ! j’aurais mieux fait de rester chez mes premiers maîtres ; car celui-ci, à ce que je vois, tannera
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
« s’est remariée en secondes nopces, ayant des-ja des enfants de son premier mary, s’il arrive qu’elle en espouse un autre, qu
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
rer en ceste Fable les presages de leur avanture. Pour ce qui est des premiers , à sçavoir de ceux qui veulent amonceler thresors
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
sa mere, et ceux qu’il a le plus cheris dans le monde. Cependant, ses premiers amis qui le voyent affligé, ne viennent aucunemen
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
nnemy, qui n’a non plus de force qu’un vermisseau, et qui succumbe au premier coup qu’on luy porte ? Telles et autres meditatio
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
l ne s’en sert au besoin, et s’il ne reduict la puissance en acte. Du premier , nous en avons un exemple bien évident en la pers
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
d elles estoient libres. La seconde, d’avoir esté mal satisfaictes du premier qu’on leur envoya. Et la troisiesme, de s’étre pl
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
is, ou ennemis, loyaux, ou trompeurs, naïfs, ou artificieux. Quant au premier , tout bon Domestique n’escoutera jamais les propo
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
ut de mesme que la nostre, de la justesse des parties. Voylà quant au premier avantage que la beauté de l’ame emporte sur celle
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
de bien, ou au meschant, il est presque plus à propos que ce soit au premier , pource qu’il tire de si grandes satisfactions de
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
s les pretendez, c’est ou par merite, ou par bonne fortune. Si par ce premier , difficilement y pourrez vous parvenir, puis qu’a
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
s, lors qu’ils reçoivent un mauvais traictement des Vicieux. Quant au premier poinct, toute la suitte de nostre Ouvrage n’est p
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
esouder. L’Elephant la rapporta tout aussi-tost à son Maistre, qui au premier service qu’il en voulut tirer, cognût par espreuv
nt la Grande Année, à sçavoir celle-là qui ramenoit les choses à leur premier poinct, et faisoit revenir en mesme estat, en mes
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