empore a præstando auxilio non referunt pedem. f. Le texte de 1495
présente
ici le terme « scriptis ». Nous corrigeons.
icat nolentes discere a nemine posse compelli. j. Le texte de 1495
présente
ici le terme « litterium ». Nous corrigeons.
les mains, et de dire de quelle espèce elle était. Or un jour on lui
présenta
un louveteau ; il le palpa et resta indécis. « Je
ent ils devaient se comporter avec les hommes. Le dieu leur dit de se
présenter
aux hommes, non pas tous ensemble, mais l’un aprè
ῦνται, ἀλλὰ καὶ ὑπὸ τούτων οἷς προδίδονται. Cod. Pa 193. Un hôte se
présenta
un peu tard chez un oiseleur. Celui-ci, n’ayant r
possédât, et la mit en vente en présence du créancier. Un acheteur se
présenta
et demanda si la truie était féconde. « Oui, elle
ns un pigeonnier des pigeons bien nourris, blanchit son plumage et se
présenta
pour avoir part à leur provende. Tant qu’il resta
as un vrai médecin, et qu’on t’avait incriminé sans motif. » La fable
présente
met au pilori les médecins dont toute la science
t « inanimé », faire voir le moineau vivant ; s’il disait « vivant »,
présenter
le moineau, après l’avoir étranglé. Mais le dieu,
la traitant de radoteuse. Alors elle se rendit chez les hommes et se
présenta
en suppliante. Ceux-ci lui firent accueil à cause
ès lors le laboureur n’eut plus que mépris pour lui, et, lorsqu’il se
présenta
, il le mit à la porte à coups de bâton. Cette fab
es. Le cheval en fit l’abandon volontiers. Peu après le bœuf aussi se
présenta
: lui non plus ne pouvait soutenir le mauvais tem
une souris au milieu de la chambre. La chatte, oubliant sa condition
présente
, se leva du lit et poursuivit la souris pour la c
s’en retournèrent mystifiés. Mais à la fin il arriva que les loups se
présentèrent
réellement. Tandis qu’ils saccageaient le troupea
oup avaient déjà péri, quand le renard, ayant deviné son artifice, se
présenta
, et s’arrêtant à distance de la caverne, s’inform
seaux se rendirent chez Zeus. Le choucas, avec sa parure bigarrée, se
présenta
lui aussi. Et Zeus allait lui donner son suffrage
rent son gîte dans la forêt. Il le trouva qui reprenait haleine et se
présenta
impudemment. Le cerf, plein de colère et le poil
mait ainsi : « Ces observations qu’il est du devoir de la critique de
présenter
ne doivent pas empêcher de rendre aux mérites de
opistes du moyen âge, tandis qu’il ressort des lambeaux de fables que
présentent
les mêmes manuscrits, que c’est bien au moyen âge
es récits dans le domaine connu de la mythologie ; tels sont ceux que
présentent
les fables xvii du livre III, xii, xiv, xv, xviii
ns les avoir conçues, ont eu le talent de se les approprier et de les
présenter
avec élégance. Voilà pourquoi La Fontaine, qui da
ossession des secrets de la langue latine, a mis toute sa dextérité à
présenter
sous une forme concise les idées par lui puisées
ent aucune note manuscrite. Je n’ai aucune observation particulière à
présenter
relativement aux deux exemplaires de Cambridge. E
Malgré sa très grande ressemblance avec celui de Pithou, ce manuscrit
présentait
quelques variantes. Il les copia en marge d’un ex
, je n’ai pu donner à la lettre du manuscrit toute la netteté qu’elle
présente
. Du reste la ponctuation, l’orthographe, etc., to
rit brûlé, fut déposé dans la Bibliothèque du Roi. Malheureusement il
présentait
une lacune. Alors que le premier livre des fables
ou. Ce qui revient à dire que dans les deux manuscrits les mêmes mots
présentent
les mêmes barbarismes. Les titres des fables sont
il penche vers elle. Ainsi il fait observer que le manuscrit de Reims
présente
quelques leçons préférables à celles du manuscrit
cent ans environ le moins ancien. Mais les spécimens que je publie ne
présentent
pas des différences assez grandes pour qu’on puis
ant l’âge du copiste, le manuscrit le plus récent peut être celui qui
présente
l’écriture la plus ancienne. Pour parvenir à se c
ue « ce n’est qu’un fragment qui ne paraît pas très ancien, et qui ne
présente
qu’un peu plus de la deuxième moitié du premier l
u’à la xxie fable141. » Voilà maintenant le manuscrit de Daniel, qui
présente
encore des variantes applicables aux vingt et une
s. Il n’en est pas moins vrai que de graves critiques ont été jusqu’à
présenter
sur cette fable, comme tirées du manuscrit de Dan
am. Or, dans la quinzième des fables nouvelles, le même événement est
présenté
, suivant Jannelli, comme remontant à quelques ann
onc dire, en terminant, quelques mots sur l’état dans lequel elles se
présentent
. Perotti en a supprimé les promythions et les épi
a opérée. La morale, mise en tête de chaque fable, frappe la vue, et,
présentée
sous une forme plus explicite, s’impose mieux à l
a véritable leçon. En étudiant les variantes que les fables anciennes
présentent
dans ses manuscrits, on pourra d’ailleurs se conv
ntrouvée. « Aucun critique, dit-il, n’a tiré cette conséquence qui se
présentait
naturellement. » Le Père Brotier, dans son éditi
tes ses compositions ne nous sont pas parvenues. Les lacunes qu’elles
présentent
sont au surplus prouvées par les interprétations
nt leur place, elles en sont l’indispensable complément255. 11º Elles
présentent
des expressions, des alliances de mots, des tours
ui soient, à proprement parler, des apologues, et que cinq ou six qui
présentent
des qualités réelles. Il en conclut que l’on doit
toute leur valeur. Si maintenant, en dehors des particularités qu’ils
présentent
, je cherche de nouveaux éléments de conviction, j
oisies de Phèdre et de Faerne et autres pièces relatives à la morale,
présentées
aux jeunes étudiants dans l’ordre qui doit leur ê
deceptus fraudibus ut ignavus. Enfin l’édition dont Gude se servait
présentait
ainsi les deux derniers vers : Hac re probatur q
plus petites, mais toujours élégantes et très semblables à celles que
présente
le très ancien Virgile des Médicis, reproduit, à
Arbres, l’Estomac et les Membres. On comprend dès lors l’intérêt que
présente
le manuscrit de Wissembourg ; car, la collection
nt été imaginées par des hommes vraiment savants, j’ai le devoir d’en
présenter
au moins un aperçu rapide. Le nom de Romulus rapp
ès lequel, dans ma première édition, j’ai publié le Romulus primitif,
présente
une particularité significative. Non seulement le
lement reçue fut accueillie par MM. Michaud frères et que Romulus est
présenté
par eux dans leur Biographie universelle. Dire qu
lles qui ont péri. Mais l’importance du nombre n’est pas la seule que
présente
cette collection ; c’est encore par sa grande res
i ne se retrouvent pas dans l’Anonyme. En un mot les deux collections
présentent
au total quatre-vingt-dix-neuf sujets de fables d
quittai Paris, et le jeudi matin, 10 juillet, arrivé à Munich, je me
présentai
à la Staat bibliotek, et demandai à être introdui
Mans possède un manuscrit, qui, malgré les nombreuses variantes qu’il
présente
, doit être considéré, non comme un dérivé, mais c
en désaccord avec les trois précédents. Je dois ajouter que son texte
présente
des variantes assez nombreuses, qui sont en génér
sédant, comprend vingt et une fables ; le livre III, au contraire, ne
présente
aucune différence ; enfin, dans les manuscrits, l
rvus. Fol. 1b (a.ib). Comme dans l’édition d’Ulm, le premier feuillet
présente
au verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la
première d’Augsbourg est la même que la première d’Ulm, mais elles se
présentent
en sens inverse ; la deuxième dans les deux éditi
ition de la troisième ; enfin la seizième, dans les deux éditions, se
présente
en sens inverse. Dans les fables d’Avianus, il y
immédiatement, porte ce titre : Eiusdem fabule prosa. Le livre III
présente
cette particularité que les fables viii et xx de
se ici. Les titres courants des pages occupées par les 17 fabule noue
présentent
, comme ceux des pages précédentes, quelques erreu
u milieu, tantôt à la fin du texte correspondant. Les titres courants
présentent
de nombreuses fautes. Les fol. 87 b, 88 b et 89 b
on la même commence et finit aux mêmes pages. Enfin les deux éditions
présentent
les mêmes particularités typographiques : non seu
materi disӡ büchlins , ou : « Table synoptique des points communs que
présentent
les matières de ce livre. » Fol. 159 a. — Hysto
e est précédée de la traduction allemande due à Steinhöwel. Le volume
présente
deux séries de signatures, la première de a à s,
s qu’un dérivé partiel ne comporterait pas, je n’entreprendrai pas de
présenter
de chacun d’eux une analyse détaillée. Excepté po
au lieu de Superius qui est dans celui de Vienne ; au mot eripuit que
présentent
le Romulus ordinaire et celui d’Oxford celui de V
Munich, on voit que, sous 39 chapitres, comprenant 40 fables, elle en
présente
d’abord vingt-cinq premières, qui non seulement p
tre la source unique, en est seulement la principale ; car cet abrégé
présente
en même temps d’évidentes affinités avec le dériv
t été la source. C’est réduit à ces termes simples que le problème se
présenta
à Lessing400, qui, dans sa dissertation sur Romul
et des expressions souvent identiques. « Je pourrais, dit-il401, en
présenter
plus d’un exemple ; mais je craindrais d’entrer d
uin le Superbe. Le manuscrit 4409 de la Bibliothèque royale de Munich
présente
un préambule qui n’est guère que la copie altérée
érée de l’épître dédicatoire du Romulus ordinaire. Romulus y est bien
présenté
comme le traducteur latin des fables d’Ésope ; ma
les publiant à Francfort, Névelet n’osa en gratifier personne. Il les
présenta
au public comme l’œuvre d’un anonyme ; de là vint
. Il est vrai que la versification de l’épigramme sur l’Hermaphrodite
présente
les mêmes particularités que celle des fables élé
ve et exhale des parfums variés. Or il en est de même de ce livre qui
présente
des avantages divers. » Je ne m’arrête pas à l’e
r son frontispice, qui, au-dessus du titre Fabule Esopi cū cōmento ,
présente
un écu parsemé de fleurs de lis, surmonté d’une c
tingue particulièrement les fables en vers élégiaques, et ce qu’elles
présentent
toutes d’une manière constamment uniforme. Ces or
rd’hui disparu, j’ai, dans ma première édition, extrait les variantes
présentées
par les deux qui subsistent, et je les ai comparé
ure, qui, quoique péchant par la raideur et le défaut de perspective,
présente
presque toujours une délicatesse de détails et un
vers 1333432. » Enfin, suivant M. Robert, c’est celui-là même qui fut
présenté
par l’auteur à la reine de France ; ce n’est pas
l’écriture et les dessins, et dont l’un surtout, celui de Bruxelles,
présente
un texte latin beaucoup moins fautif. Le manuscri
e miniature est la seule. Le prologue et les fables qui la suivent ne
présentent
d’autre ornement que celui de leur lettre initial
it 19123, n’en a que six. Ces fables, comme les 59 qui les précèdent,
présentent
des variantes qui ont le même caractère. Les 49 f
te dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un siècle plus ancienne,
présente
davantage des expressions rappelant celles de la
t pourvues de titres. Réduites aux soixante authentiques, elles ne se
présentent
pas tout à fait dans l’ordre ordinaire : il y a i
e et illustré par le même artiste. Malgré l’existence d’un double, il
présente
un grand intérêt ; car, n’ayant pas été altéré pa
ne main du xive siècle. Quoiqu’il se compose de 201 feuillets, il ne
présente
que quelques courts fragments des fables de Walth
e que les sept premiers vers. Les nombreuses variantes que ces fables
présentent
font regretter que la collection ne soit pas comp
: il en manque plus de la moitié. Quant aux fables elles-mêmes, elles
présentent
des variantes nombreuses et même des développemen
bus. Tel est le frontispice que, dans un encadrement xylographique,
présente
un volume in-4º de très petite dimension, non chi
ans le format in-4º, sans chiffres, réclames ni signatures. Le volume
présente
d’abord un feuillet blanc ; au recto du second co
’encadrements pompéiens. Le volume se compose de 168 feuillets qui ne
présentent
ni réclames, ni signatures. Il commence par un fe
n’a pas continué sa copie. J’ajoute que, si courte qu’elle soit, elle
présente
des fautes assez nombreuses pour qu’on n’ait pas
gnaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue, les deux derniers vers
présentent
cette leçon plus correcte : A moquerie ne a truf
remarque, c’est que, si les manuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87
présentent
parfois des leçons semblables qui n’existent pas
autre que celle à laquelle je me suis arrêté. Mais cela ne me semble
présenter
qu’un faible intérêt. Qu’importe en effet qu’il s
supérieur à ce chiffre. Il faut donc voir si certains manuscrits n’en
présentent
pas quelques-unes, qui, quoique étrangères aux ce
llabiques ; mais il faut se rappeler que, si la table des matières la
présente
, ainsi que la précédente, comme appartenant à la
paraît fortifier cette supposition, c’est l’ordre même dans lequel se
présentent
les vingt-deux fables du Romulus Roberti. Si en e
ue l’avant-dernière fable du recueil, intitulée De Viatore et Satyro,
présente
trois espaces blancs destinés à trois mots omis.
ès viennent les fables dérivées d’Avianus. Seulement, au lieu de n’en
présenter
que seize augmentées de l’épimythion d’une dix-se
qu’ils renferment le même texte, les manuscrits ne manquent jamais de
présenter
, les quarante-neuf premières fables du manuscrit
un véridique et l’autre menteur. 82. III, 30. Comme ces sept fables
présentent
un texte, qui, malgré la similitude des sujets, n
nous en soit parvenu. Ce manuscrit malheureusement est incomplet : il
présente
des lacunes, l’une entre les feuillets qui porten
rti. Ce vers doit être compris comme si les mots qui le composent se
présentaient
ainsi : Nec est utile misero partiri cum forti. O
aratif des textes, par la complète concordance que l’ordre des fables
présente
dans les deux collections. On va pouvoir en juger
sur le manuscrit qui les renferme, les nombreuses variantes qu’elles
présentent
, et, quoique ces variantes soient très fautives,