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1 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm primvm] — Abstemius 93. De leone porcvm sibi socivm eligente » p. 
empore a præstando auxilio non referunt pedem. f. Le texte de 1495 présente ici le terme « scriptis ». Nous corrigeons.
2 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 175. De pvero discere nolente » p. 
icat nolentes discere a nemine posse compelli. j. Le texte de 1495 présente ici le terme « litterium ». Nous corrigeons.
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 54 » p. 37
les mains, et de dire de quelle espèce elle était. Or un jour on lui présenta un louveteau ; il le palpa et resta indécis. « Je
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274
ent ils devaient se comporter avec les hommes. Le dieu leur dit de se présenter aux hommes, non pas tous ensemble, mais l’un aprè
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 286 » p. 265
ῦνται, ἀλλὰ καὶ ὑπὸ τούτων οἷς προδίδονται. Cod. Pa 193. Un hôte se présenta un peu tard chez un oiseleur. Celui-ci, n’ayant r
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5
possédât, et la mit en vente en présence du créancier. Un acheteur se présenta et demanda si la truie était féconde. « Oui, elle
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 164 » pp. 129-129
ns un pigeonnier des pigeons bien nourris, blanchit son plumage et se présenta pour avoir part à leur provende. Tant qu’il resta
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
as un vrai médecin, et qu’on t’avait incriminé sans motif. » La fable présente met au pilori les médecins dont toute la science
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 50 » pp. 36-36
t « inanimé », faire voir le moineau vivant ; s’il disait « vivant », présenter le moineau, après l’avoir étranglé. Mais le dieu,
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
la traitant de radoteuse. Alors elle se rendit chez les hommes et se présenta en suppliante. Ceux-ci lui firent accueil à cause
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 199 » pp. 140-140
ès lors le laboureur n’eut plus que mépris pour lui, et, lorsqu’il se présenta , il le mit à la porte à coups de bâton. Cette fab
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
es. Le cheval en fit l’abandon volontiers. Peu après le bœuf aussi se présenta  : lui non plus ne pouvait soutenir le mauvais tem
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50
une souris au milieu de la chambre. La chatte, oubliant sa condition présente , se leva du lit et poursuivit la souris pour la c
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 319 » pp. 210-210
s’en retournèrent mystifiés. Mais à la fin il arriva que les loups se présentèrent réellement. Tandis qu’ils saccageaient le troupea
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 197 » pp. 142-142
oup avaient déjà péri, quand le renard, ayant deviné son artifice, se présenta , et s’arrêtant à distance de la caverne, s’inform
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 163 » pp. 101-101
seaux se rendirent chez Zeus. Le choucas, avec sa parure bigarrée, se présenta lui aussi. Et Zeus allait lui donner son suffrage
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
rent son gîte dans la forêt. Il le trouva qui reprenait haleine et se présenta impudemment. Le cerf, plein de colère et le poil
18 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
mait ainsi : « Ces observations qu’il est du devoir de la critique de présenter ne doivent pas empêcher de rendre aux mérites de
opistes du moyen âge, tandis qu’il ressort des lambeaux de fables que présentent les mêmes manuscrits, que c’est bien au moyen âge
es récits dans le domaine connu de la mythologie ; tels sont ceux que présentent les fables xvii du livre III, xii, xiv, xv, xviii
ns les avoir conçues, ont eu le talent de se les approprier et de les présenter avec élégance. Voilà pourquoi La Fontaine, qui da
ossession des secrets de la langue latine, a mis toute sa dextérité à présenter sous une forme concise les idées par lui puisées
ent aucune note manuscrite. Je n’ai aucune observation particulière à présenter relativement aux deux exemplaires de Cambridge. E
Malgré sa très grande ressemblance avec celui de Pithou, ce manuscrit présentait quelques variantes. Il les copia en marge d’un ex
, je n’ai pu donner à la lettre du manuscrit toute la netteté qu’elle présente . Du reste la ponctuation, l’orthographe, etc., to
rit brûlé, fut déposé dans la Bibliothèque du Roi. Malheureusement il présentait une lacune. Alors que le premier livre des fables
ou. Ce qui revient à dire que dans les deux manuscrits les mêmes mots présentent les mêmes barbarismes. Les titres des fables sont
il penche vers elle. Ainsi il fait observer que le manuscrit de Reims présente quelques leçons préférables à celles du manuscrit
cent ans environ le moins ancien. Mais les spécimens que je publie ne présentent pas des différences assez grandes pour qu’on puis
ant l’âge du copiste, le manuscrit le plus récent peut être celui qui présente l’écriture la plus ancienne. Pour parvenir à se c
ue « ce n’est qu’un fragment qui ne paraît pas très ancien, et qui ne présente qu’un peu plus de la deuxième moitié du premier l
u’à la xxie  fable141. » Voilà maintenant le manuscrit de Daniel, qui présente encore des variantes applicables aux vingt et une
s. Il n’en est pas moins vrai que de graves critiques ont été jusqu’à présenter sur cette fable, comme tirées du manuscrit de Dan
am. Or, dans la quinzième des fables nouvelles, le même événement est présenté , suivant Jannelli, comme remontant à quelques ann
onc dire, en terminant, quelques mots sur l’état dans lequel elles se présentent . Perotti en a supprimé les promythions et les épi
a opérée. La morale, mise en tête de chaque fable, frappe la vue, et, présentée sous une forme plus explicite, s’impose mieux à l
a véritable leçon. En étudiant les variantes que les fables anciennes présentent dans ses manuscrits, on pourra d’ailleurs se conv
ntrouvée. « Aucun critique, dit-il, n’a tiré cette conséquence qui se présentait naturellement. » Le Père Brotier, dans son éditi
tes ses compositions ne nous sont pas parvenues. Les lacunes qu’elles présentent sont au surplus prouvées par les interprétations
nt leur place, elles en sont l’indispensable complément255. 11º Elles présentent des expressions, des alliances de mots, des tours
ui soient, à proprement parler, des apologues, et que cinq ou six qui présentent des qualités réelles. Il en conclut que l’on doit
toute leur valeur. Si maintenant, en dehors des particularités qu’ils présentent , je cherche de nouveaux éléments de conviction, j
oisies de Phèdre et de Faerne et autres pièces relatives à la morale, présentées aux jeunes étudiants dans l’ordre qui doit leur ê
deceptus fraudibus ut ignavus. Enfin l’édition dont Gude se servait présentait ainsi les deux derniers vers : Hac re probatur q
plus petites, mais toujours élégantes et très semblables à celles que présente le très ancien Virgile des Médicis, reproduit, à
Arbres, l’Estomac et les Membres. On comprend dès lors l’intérêt que présente le manuscrit de Wissembourg ; car, la collection
nt été imaginées par des hommes vraiment savants, j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu rapide. Le nom de Romulus rapp
ès lequel, dans ma première édition, j’ai publié le Romulus primitif, présente une particularité significative. Non seulement le
lement reçue fut accueillie par MM. Michaud frères et que Romulus est présenté par eux dans leur Biographie universelle. Dire qu
lles qui ont péri. Mais l’importance du nombre n’est pas la seule que présente cette collection ; c’est encore par sa grande res
i ne se retrouvent pas dans l’Anonyme. En un mot les deux collections présentent au total quatre-vingt-dix-neuf sujets de fables d
quittai Paris, et le jeudi matin, 10 juillet, arrivé à Munich, je me présentai à la Staat bibliotek, et demandai à être introdui
Mans possède un manuscrit, qui, malgré les nombreuses variantes qu’il présente , doit être considéré, non comme un dérivé, mais c
en désaccord avec les trois précédents. Je dois ajouter que son texte présente des variantes assez nombreuses, qui sont en génér
sédant, comprend vingt et une fables ; le livre III, au contraire, ne présente aucune différence ; enfin, dans les manuscrits, l
rvus. Fol. 1b (a.ib). Comme dans l’édition d’Ulm, le premier feuillet présente au verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la
première d’Augsbourg est la même que la première d’Ulm, mais elles se présentent en sens inverse ; la deuxième dans les deux éditi
ition de la troisième ; enfin la seizième, dans les deux éditions, se présente en sens inverse. Dans les fables d’Avianus, il y
immédiatement, porte ce titre : Eiusdem fabule prosa. Le livre III présente cette particularité que les fables viii et xx de
se ici. Les titres courants des pages occupées par les 17 fabule noue présentent , comme ceux des pages précédentes, quelques erreu
u milieu, tantôt à la fin du texte correspondant. Les titres courants présentent de nombreuses fautes. Les fol. 87 b, 88 b et 89 b
on la même commence et finit aux mêmes pages. Enfin les deux éditions présentent les mêmes particularités typographiques : non seu
materi disӡ büchlins , ou : « Table synoptique des points communs que présentent les matières de ce livre. » Fol. 159 a. —  Hysto
e est précédée de la traduction allemande due à Steinhöwel. Le volume présente deux séries de signatures, la première de a à s,
s qu’un dérivé partiel ne comporterait pas, je n’entreprendrai pas de présenter de chacun d’eux une analyse détaillée. Excepté po
au lieu de Superius qui est dans celui de Vienne ; au mot eripuit que présentent le Romulus ordinaire et celui d’Oxford celui de V
Munich, on voit que, sous 39 chapitres, comprenant 40 fables, elle en présente d’abord vingt-cinq premières, qui non seulement p
tre la source unique, en est seulement la principale ; car cet abrégé présente en même temps d’évidentes affinités avec le dériv
t été la source. C’est réduit à ces termes simples que le problème se présenta à Lessing400, qui, dans sa dissertation sur Romul
et des expressions souvent identiques. « Je pourrais, dit-il401, en présenter plus d’un exemple ; mais je craindrais d’entrer d
uin le Superbe. Le manuscrit 4409 de la Bibliothèque royale de Munich présente un préambule qui n’est guère que la copie altérée
érée de l’épître dédicatoire du Romulus ordinaire. Romulus y est bien présenté comme le traducteur latin des fables d’Ésope ; ma
les publiant à Francfort, Névelet n’osa en gratifier personne. Il les présenta au public comme l’œuvre d’un anonyme ; de là vint
. Il est vrai que la versification de l’épigramme sur l’Hermaphrodite présente les mêmes particularités que celle des fables élé
ve et exhale des parfums variés. Or il en est de même de ce livre qui présente des avantages divers. » Je ne m’arrête pas à l’e
r son frontispice, qui, au-dessus du titre Fabule Esopi cū cōmento , présente un écu parsemé de fleurs de lis, surmonté d’une c
tingue particulièrement les fables en vers élégiaques, et ce qu’elles présentent toutes d’une manière constamment uniforme. Ces or
rd’hui disparu, j’ai, dans ma première édition, extrait les variantes présentées par les deux qui subsistent, et je les ai comparé
ure, qui, quoique péchant par la raideur et le défaut de perspective, présente presque toujours une délicatesse de détails et un
vers 1333432. » Enfin, suivant M. Robert, c’est celui-là même qui fut présenté par l’auteur à la reine de France ; ce n’est pas
l’écriture et les dessins, et dont l’un surtout, celui de Bruxelles, présente un texte latin beaucoup moins fautif. Le manuscri
e miniature est la seule. Le prologue et les fables qui la suivent ne présentent d’autre ornement que celui de leur lettre initial
it 19123, n’en a que six. Ces fables, comme les 59 qui les précèdent, présentent des variantes qui ont le même caractère. Les 49 f
te dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un siècle plus ancienne, présente davantage des expressions rappelant celles de la
t pourvues de titres. Réduites aux soixante authentiques, elles ne se présentent pas tout à fait dans l’ordre ordinaire : il y a i
e et illustré par le même artiste. Malgré l’existence d’un double, il présente un grand intérêt ; car, n’ayant pas été altéré pa
ne main du xive  siècle. Quoiqu’il se compose de 201 feuillets, il ne présente que quelques courts fragments des fables de Walth
e que les sept premiers vers. Les nombreuses variantes que ces fables présentent font regretter que la collection ne soit pas comp
: il en manque plus de la moitié. Quant aux fables elles-mêmes, elles présentent des variantes nombreuses et même des développemen
bus. Tel est le frontispice que, dans un encadrement xylographique, présente un volume in-4º de très petite dimension, non chi
ans le format in-4º, sans chiffres, réclames ni signatures. Le volume présente d’abord un feuillet blanc ; au recto du second co
’encadrements pompéiens. Le volume se compose de 168 feuillets qui ne présentent ni réclames, ni signatures. Il commence par un fe
n’a pas continué sa copie. J’ajoute que, si courte qu’elle soit, elle présente des fautes assez nombreuses pour qu’on n’ait pas
gnaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue, les deux derniers vers présentent cette leçon plus correcte : A moquerie ne a truf
remarque, c’est que, si les manuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87 présentent parfois des leçons semblables qui n’existent pas
autre que celle à laquelle je me suis arrêté. Mais cela ne me semble présenter qu’un faible intérêt. Qu’importe en effet qu’il s
supérieur à ce chiffre. Il faut donc voir si certains manuscrits n’en présentent pas quelques-unes, qui, quoique étrangères aux ce
llabiques ; mais il faut se rappeler que, si la table des matières la présente , ainsi que la précédente, comme appartenant à la
paraît fortifier cette supposition, c’est l’ordre même dans lequel se présentent les vingt-deux fables du Romulus Roberti. Si en e
ue l’avant-dernière fable du recueil, intitulée De Viatore et Satyro, présente trois espaces blancs destinés à trois mots omis.
ès viennent les fables dérivées d’Avianus. Seulement, au lieu de n’en présenter que seize augmentées de l’épimythion d’une dix-se
qu’ils renferment le même texte, les manuscrits ne manquent jamais de présenter , les quarante-neuf premières fables du manuscrit 
un véridique et l’autre menteur. 82. III, 30. Comme ces sept fables présentent un texte, qui, malgré la similitude des sujets, n
nous en soit parvenu. Ce manuscrit malheureusement est incomplet : il présente des lacunes, l’une entre les feuillets qui porten
rti. Ce vers doit être compris comme si les mots qui le composent se présentaient ainsi : Nec est utile misero partiri cum forti. O
aratif des textes, par la complète concordance que l’ordre des fables présente dans les deux collections. On va pouvoir en juger
sur le manuscrit qui les renferme, les nombreuses variantes qu’elles présentent , et, quoique ces variantes soient très fautives,
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