ontré dans quelle mesure il s’intéresse à mon voyage. L. HERVIEUX.
Préface
de la deuxième édition Dans la préface de ma p
mon voyage. L. HERVIEUX. Préface de la deuxième édition Dans la
préface
de ma première édition de Phèdre et de ses dérivé
é. Lorsque je l’ai commencée, je me proposais seulement d’en faire la
préface
de la publication projetée des cinq manuscrits de
ann. CIƆ. IƆ. XCVI. » Vient ensuite, à la page 5, un extrait de la
préface
mise par Avianus en tête de ses fables ; le voici
u’il ne fournit pas, on ne tarde pas à la découvrir. Avianus, dans sa
préface
à Théodose, en parlant des auteurs qui ont imité
ublication de M. Berger de Xivrey. Il parle bien du manuscrit dans sa
préface
; mais lui qui, à force de patiente volonté, avai
uer l’honneur de lui avoir donné le jour : dans une note ajoutée à la
préface
qui précède sa publication du manuscrit de Daniel
t pris la peine d’aller la copier au Vatican. Voici ce que, dans leur
préface
, ils disent du roman d’Otinel : « Ce poème est in
x éditeur du manuscrit de Pithou ne fit qu’aggraver le chaos. Dans sa
préface
, d’ailleurs fort instructive, parlant de la Vetus
avoir cette pensée. Mais ce qui ne s’explique pas, c’est que, dans sa
préface
, il déclare qu’il ne contient que des fables du I
ncore, tirée d’Avianus et traduite en vers ïambiques, ensuite dans sa
préface
adressée à Titus Mannus Veltrius147, son compatri
à l’imprimeur, quand lui arriva cette bonne nouvelle. Je renvoie à sa
préface
ceux qui voudront savoir avec quelle joie il la r
il avait mis la dernière main à l’œuvre. Il se contenta d’allonger sa
préface
, et, négligeant les fables nouvelles, de signaler
d’autant plus déplorable que ni Burmann n’avait dit au public dans sa
préface
, ni d’Orville n’avait écrit en tête de son extrai
e, en 1727, Burmann avait pris la peine de les publier à la fin de la
préface
, et c’est ce qu’il me paraît avoir fait. Il est v
donnée par Burmann, aux variantes placées par celui-ci à la fin de sa
préface
, et qui se trouvent toutes sans exception dans le
s les uns pour les autres, il faut avouer que Jannelli avait, dans sa
préface
, usé, pour critiquer l’œuvre de Cassitto, un peu
la dissertation sur la vie de Phèdre ne venait elle-même qu’après une
préface
en huit pages, écrite encore à la bibliothèque et
e troisième édition d’une vingtaine de pages de petit format, dans la
préface
de laquelle son rival commettait les plus audacie
ccuser d’avoir été aveuglé par la passion, Jannelli, à la suite de sa
préface
, place un tableau qui permet de comparer ensemble
arum fabularum | editionem | Colloquia 176. Le volume, précédé d’une
préface
et des documents de l’enquête qui occupent huit p
on un exemplaire de chacune d’elles. La première, en 42 pages sans la
préface
, ne porte que le texte latin des fables nouvelles
i Iannellii. | Parisiis, | apud Ant. Aug. Renouard. | M.DCCC.XII. La
préface
en cinq pages est signée de Renouard. Les fables
e : Perottini codicis scriptura. La deuxième, en 194 pages sans la
préface
et la vie de Phèdre en latin qui en occupent 16,
n 228 pages sans compter la dédicace à M. le baron de Pommereul et la
préface
qui en occupent 23, comprend la traduction en ver
avec les notes latines de l’édition originale | et précédée[s] d’une
préface
française | par M. Ginguené | membre de l’Institu
A Paris | de l’imprimerie de P. Didot l’aîné. | М.DCССХӀӀ. Dans la
préface
datée du 25 mars 1812, Ginguené n’hésite pas à af
es en chiffres romains, contenant le frontispice, une dédicace et une
préface
. Au frontispice on lit : Julii Phaedri | Augusti
ti les lacunes de celui de Naples. Il fit précéder ces extraits d’une
préface
, dans laquelle il donnait quelques indications su
le fameux Pithou et rappelé par un certain Avienus à Théodose dans la
préface
de ses fables ésopiques, est le même que celui do
e ne sut pas, dans cette circonstance, garder son sang-froid. Dans la
préface
de son édition in-4º de 1727, il commence par sup
prévention était trop forte pour ne pas l’emporter, et c’est dans la
préface
précitée qu’il l’accuse sans ménagement. « Il est
ry, entra à son tour dans la lice. Voici comment il s’exprime dans la
préface
de sa traduction en vers, publiée en 1754, des fa
atique pour n’avoir pas besoin de redire ce qu’elle renferme : par sa
préface
, dans laquelle il a donné sur le manuscrit, sur s
r ; car, dans la même édition de Phèdre, Gail, faisant précéder d’une
préface
les fables nouvelles, y déclarait qu’il n’osait n
té imitée par les éditeurs qui l’ont suivi. Dübner notamment, dans la
préface
de sa petite édition classique, n’hésite pas en 1
gæ Comitum, apud Petrum Gosse. In-12 de xxiv-274 pages, contenant une
préface
, la vie de Phèdre, les jugements des auteurs mode
Petronj et en prose française par M. Biagioli…, et précédée[s] d’une
préface
française par M. Ginguené. Paris, P. Didot l’aîné
e l’âge du manuscrit a été également adoptée par M. Oesterley dans la
préface
de son édition du Romulus Burnéien, et m’a été à
e l’ouvrage qui m’était signalé. J’y recourus, et je trouvai, dans la
préface
allemande qui précède le texte du manuscrit de Bu
oduction du morceau suivant ; le no V, 8 est un morceau détaché de la
préface
primitive, ainsi qu’en justifie le numéro corresp
hrase poétique de la version anglaise, écrivit ces mots en tête de sa
préface
: Romulus qui fu emperere, Le Romulus anglo-lat
ait dû avoir son anonyme pour origine. Voici en quels termes, dans sa
préface
, il exprime cette opinion : « Je ne puis passer s
une certaine surprise que j’ai vu M. H. Oesterley la soutenir dans sa
préface
. « Bien plus éloignés du plus ancien manuscrit, d
t révélée par une sorte de post-scriptum ajouté par M. Oesterley à la
préface
de son édition du Codex Burnéien. Voici ce que j’
— Manuscrit du Corpus Christi d’Oxford. Après avoir, dans la
Préface
de sa publication du manuscrit Burnéien, exprimé
m tituli sancti Chrysogoni presbiterum │ Cardinalem. Puis vient une
préface
allemande qui établit que le Dr Steinhöwel est l’
: cum | felicitate gaudium optat et salutem. Fol. 2 b (a. ii b). —
Préface
de Laurent Valla. Fol. 3 a à 22 b (a. iii a à c.
Dijon et s’était donné la peine d’en prendre copie ; Nilant, dans la
préface
de ses Fabulæ antiquæ, avait bien appelé sur lui
u prince Tancrède de Salerne, et du jeune Gwiscard. « Tout d’abord la
préface
. « La vie du très renommé fabuliste Ésope, tradui
mier livre du très célèbre fabuliste et maître Ésope. Tout d’abord la
préface
, etc. » Fol. 35 b. — Die vorred Romuli philosop
d Romuli philosophi in dӡ buch Esopi, | etc. Ce qui veut dire : « La
préface
de Romulus sur le livre d’Ésope, etc. » Fol. 80
a. — Dye vorred. Romuli philosophi in das buch. Esopi. Soit : « La
Préface
du philosophe Romulus pour le livre d’Ésope. » À
ce du philosophe Romulus pour le livre d’Ésope. » À la suite de cette
préface
viennent les 4 livres de Romulus. Fol. 60 a. — H
des hochberemten fabeltichters Esopi. Traduction : « Ici commence la
préface
du livre du très célèbre fabuliste Ésope. » Fol.
ch Esopi. Mots dont voici le sens : « Ici finit la vie d’Ésope. — La
préface
de Romulus le philosophe pour le livre d’Ésope »
nt, pour l’enseignement des bonnes mœurs, coordonnés ensemble. » Une
préface
indique ensuite que Brant a écrit son ouvrage pou
’instruction de son fils Onophrius. Les fables de Brant suivent cette
préface
, et sur un feuillet final on lit, toujours en all
douze premières pages comprennent d’abord le titre, ensuite les deux
préfaces
allemandes attribuant la traduction à Steinhöwel,
rimés. En voici l’analyse : Fol. 1. — Frontispice. Fol. 2 a à 6 a. —
Préface
de Steinhöwel : Vorrede anden Christlichen Leser
. i b. — Table du livre I de Romulus. Fol. e. ii a. — Cy commance la
préface
du premier liure de esope. Fol. f. v a. — Cy f
s chiffrées, que précèdent six feuillets contenant le frontispice, la
préface
et le portrait d’Ésope en pied. Voici ce que port
ement de Phèdre, ou d’un compilateur prosaïque nommé Romulus. Dans la
préface
de son édition des fables de La Fontaine, envisag
encement du commentaire consiste dans la reproduction littérale d’une
Préface
dont j’ai parlé dans ma Dissertation sur Romulus,
dont j’ai parlé dans ma Dissertation sur Romulus, c’est-à-dire de la
Préface
du Dérivé complet du Romulus anglo-latin. De ce d
ans aucun des huit par lui signalés418. M. Hermann Oesterley, dans la
préface
dont il a fait précéder son édition du manuscrit
ailleurs par le catalogue de M. Endlicher, n’hésita-t-il pas, dans sa
préface
publiée en tête du Phèdre de la collection Nisard
au nombre de 60. En marge du prologue en vers se trouve une sorte de
préface
ou commentaire en prose, qui donne le vrai nom de
pe le feuillet non paginé. Les feuillets 1 et 2 a sont remplis par la
préface
des épigrammes, qui ne commencent au feuillet 2 b
dédicace à Pierre Névelet-Dosche son père449. Il dit ensuite dans sa
préface
qu’il a puisé dans cinq manuscrits différents cen
ther, précédées, au haut du recto du premier feuillet, d’une sorte de
préface
dont voici le commencement : « Esopus atticus poe
mêmes. Le commencement du commentaire était la copie littérale de la
préface
du Dérivé complet du Romulus anglo-latin dont on
imprimé en caractères du même corps que ceux du texte des fables. La
préface
en vers et les fables sont précédées chacune du c
ommencent par le même préambule. En outre, chaque distique tant de la
préface
que des fables est suivi d’une explication latine
t ornée d’une gravure sur bois. La même faveur n’a pas été faite à la
préface
. Les fables sont au nombre de soixante-six, compo
les distiques latins, j’ignore s’il en existe. M. Fleutelot, dans la
Préface
qu’il a mise en tête de sa traduction de Phèdre,
cription : Finiscono li capitoli de Esopo. Au-dessous commence une
préface
surmontée de ce titre : Incomīcia il prologo sou
o soura la tras||lacione de Esopo de gramaticha || in volgare. Cette
préface
est terminée par ces mots : Compie el prologo de
prologo dello traslatore de gramatica in volgare. À la suite de la
préface
du traducteur vient le véritable prologue précédé
bé Domenico-Maria Manni, qui a fait précéder les fables d’une savante
préface
. Par suite de la division en deux de la fable des
. Elle a été préparée par l’abbé Pietro Berti, qui l’a enrichie d’une
préface
et d’un vocabulaire. Il en a été tiré des exempla
r dut ne faire paraître que le texte de ce manuscrit, avec une courte
préface
dans laquelle le professeur Pietro Dazzi explique
veau. Voici en quels termes il s’exprime : « Legrand d’Aussy, dans la
préface
qu’il a mise en tête de quelques fables de Marie,
qui en est le complément habituel. Le premier, qui est précédé de la
préface
ordinaire, ne porte aucun titre général ; mais le
libri V. Curante Petro Burmanno. Amstelædami, 1698, in-8º. (Voyez la
préface
.) 5. Inscriptiones antiquæ totius orbis romani
opiarum libri V, curante Petro Burmanno. Amstelædami, 1698. (Voyez la
préface
.) 8. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsopiarum
opiarum libri V… curante Petro Burmanno. Amstelædami, 1698. (Voyez la
préface
.) 43. Voyez la préface de l’édition de 1698 préc
Petro Burmanno. Amstelædami, 1698. (Voyez la préface.) 43. Voyez la
préface
de l’édition de 1698 précitée. 44. Dissertatio
cum notis Franc. Josephi Desbillons. Manhemii, MDCCLXXXVI. (Voyez la
préface
, p. xi et suiv.) 47. Phædri Augusti Liberti Fab
mendation. Franc. Josephi Desbillons. Manhemii, MDCCLXXXVI. (Voyez la
préface
, p. 10.) 60. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æ
libri V cum notis Gabrielis Brotier Parisiis, MDCCLXXXIII. (Voyez la
préface
, p. xi.) 65. Phèdre, livre IV, 2e partie, épilo
s de Phèdre. (Voyez l’édition Lemaire, tome I, p. 189.) 79. Voyez la
préface
de l’édition de Phèdre publiée par M. Berger de X
de Xivrey. Parisiis, Ambrosius Firminus Didot, MDCCCXXX. (Voyez, à la
préface
, la note I de la p. 41.) 87. Voyez la note I à l
face, la note I de la p. 41.) 87. Voyez la note I à la page 42 de la
préface
mise par M. Berger de Xivrey en tête de son éditi
u manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de Xivrey, la p. 46 de la
préface
. 93. Voyez même édition, p. 48 de la préface. 9
Xivrey, la p. 46 de la préface. 93. Voyez même édition, p. 48 de la
préface
. 94. Voyez même édition, p. 53 de la préface. 9
me édition, p. 48 de la préface. 94. Voyez même édition, p. 53 de la
préface
. 95. Voyez les p. 54 et suivantes de la préface.
édition, p. 53 de la préface. 95. Voyez les p. 54 et suivantes de la
préface
. 96. Je suis bien loin d’être le détracteur de
libraire-éditeur, rue de Richelieu, 67, MDCCCLIX. (Voyez p. xi de la
préface
.) 134. Voyez préface, p. xi. 135. Voyez la préf
de Richelieu, 67, MDCCCLIX. (Voyez p. xi de la préface.) 134. Voyez
préface
, p. xi. 135. Voyez la préface, p. xii. 136. Voy
oyez p. xi de la préface.) 134. Voyez préface, p. xi. 135. Voyez la
préface
, p. xii. 136. Voyez la préface, p. v. 137. Voye
Voyez préface, p. xi. 135. Voyez la préface, p. xii. 136. Voyez la
préface
, p. v. 137. Voyez p. xviii. 138. Voyez dans son
li, avec les notes latines de l’édition originale, et précédées d’une
préface
française par M. Ginguené, membre de l’Institut i
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727, in-4º. (Voyez la
préface
Erudito et æquo lectori.) 157. Codices manuscrip
prose française par M. Bagioli. Paris, M.D.CCC.XII, in-8º. (Voyez la
préface
, p. xiv.) 161. Voyez, dans l’édition sus-indiqué
dition sus-indiquée des Nouvelles Fables de Phèdre, la page xiv de la
préface
. 162. Voyez les Fabulistes latins. Première édit
ioli avec les notes latines de l’édition originale et précédées d’une
préface
française par M. Ginguené, membre de l’Institut i
À Paris, de l’imprimerie de P. Didot l’aîné, MDCCCXII, in-8º. (Voyez
préface
, p. xv.) 171. Adry, Examen des nouvelles fables
e édition, j’avais, par le langage tenu par Jannelli lui-même dans la
préface
de ses Trois Dissertations, été porté à croire qu
Maï… Romæ,… M.D.CCCXXXI, in-8º. (Voyez p. 279 et 280.) 182. Voyez la
préface
non paginée de son édition in-4º des Fables de Ph
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727, in-4º. (Voyez la
préface
non paginée.) 200. In Perottinum codicem MS. re
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727, in-4º. (Voyez la
préface
non paginée.) 202. Voyez dans la même édition la
. (Voyez la préface non paginée.) 202. Voyez dans la même édition la
préface
non paginée. 203. « Sunt enim, ut ad te alias d
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727, in-4º. (Voyez la
préface
non paginée.) 207. « Thracem se fuisse ipse inn
gæ, typis Joann. Christ. Dieterich, in-8º. (Voyez p. 75.) 226. Voyez
préface
, p. xi et xii. 227. Voyez Disput. I, p. xiv et x
hædri Augusti Liberti Fabulæ Æsopiæ… Turici, MDCCCXXXI, in-8º. (Voyez
préface
, p. 21.) 265. Allgemeine Schulzeitung, juin 183
docteur Tross des indications plus détaillées à la notice qui suit la
préface
de la Chronique de Saxe, et, pour leur faciliter
editæ ab Joh. Frederico Nilant. Lugd. Batav., 1709. in-12. (Voyez la
préface
et la note b de la page 65.) 304. Phædri Aug. l
envilliana. London, 1812. (Voyez t. I, pages 12 et 13.) 458. Dans la
préface
par lui mise en tête de sa traduction des fables