réface de la première édition Je me propose de publier, en faisant
précéder
les textes de leur histoire et de leur critique,
C’est seulement à la page 7 que commence le texte de Phèdre. Il est
précédé
de ce titre : phaedri avg. liberti fabvlar. aes
Ex libris Franc. Carteron doct. medici Trecis. » Le frontispice est
précédé
d’un feuillet blanc, qui a été ajouté par le reli
e forcèrent de fixer au mois suivant93. » M. Berger de Xivrey la fit
précéder
d’une longue lettre, dans laquelle il lui expliqu
fables. Il s’excuse de manquer à la parole donnée dans l’épilogue qui
précède
. Quand on voit ainsi l’enchaînement des idées, on
uart à la fin de 1599. En effet, les éditions de 1617 et de 1630 sont
précédées
d’une lettre au président Jacques-Auguste de Thou
, manque très souvent de précision. En général, elles sont simplement
précédées
des lettres MS. Comme les leçons précédées de ces
ral, elles sont simplement précédées des lettres MS. Comme les leçons
précédées
de ces deux lettres se retrouvent presque toutes
e, c’est que de place en place on trouve dans ses notes des variantes
précédées
de cette autre abréviation MS. Rem. Les lettres M
ble i, l’autre sur le vers 7 de la fable ii, ne sont, dans ses notes,
précédées
que des simples lettres MS. Ne lui ayant été sign
et était identique dans les deux manuscrits, il a eu soin de la faire
précéder
dans ses notes, page 223, de cette mention : MS.
ou, ce qui est plus probable, suppose une fable perdue, qui devait la
précéder
et porter pour titre le mot Cæsar. Il y avait lie
iers mots à nos diplomaticiens, on pourrait ne pas convenir de ce qui
précède
, et dire que ces paroles du Querolus, qu’ils ont
ards du côté de la collection Panckoucke. Les fables de Phèdre y sont
précédées
d’une étude sur les manuscrits de cet auteur. Je
éambule se compose de quelques lignes ; puis vient le traité lui-même
précédé
de cet autre titre : Incipit tractatus magistri
r de lui avoir donné le jour : dans une note ajoutée à la préface qui
précède
sa publication du manuscrit de Daniel129, il fait
feuillet a disparu. Tout prouve le contraire. En effet, la fable est
précédée
de son titre De Leone et Asino, et au-dessus du t
s classiques latins. Phèdre méritait d’y trouver place ; il y figura,
précédé
de la notice que j’ai déjà plusieurs fois citée.
de Reims. Elle est sortie de l’imagination de Grævius. De tout ce qui
précède
que résulte-t-il ? C’est qu’il n’était pas inutil
gnale par une parfaite ignorance du rythme ïambique et par suite a dû
précéder
la publication de son livre sur les différents ge
nici Sangiacomo. | Praesidum veniâ. Les fables, on le voit, étaient
précédées
d’une dissertation sur la vie de Phèdre, disserta
| tres. | Neapoli 1811. | Ex regia typographia. Cette édition était
précédée
d’un avis au lecteur en cinq pages, écrit comme l
ssittianam novarum fabularum | editionem | Colloquia 176. Le volume,
précédé
d’une préface et des documents de l’enquête qui o
| par M. Bagioli | avec les notes latines de l’édition originale | et
précédée
[s] d’une préface française | par M. Ginguené | me
Cassitto, et les pages 79 à 80, à la table des matières. Le tout est
précédé
de douze pages numérotées en chiffres romains, co
pa judice. Comme elle avait déjà fait l’objet du nº 27, où elle est
précédée
de ce titre : Ubi dubia est sententia, astu uten
l’exemplaire destiné à Pirrho Perotti, il voulut sans doute la faire
précéder
d’une épître à l’ami qui allait la recevoir. De l
er dans les poésies de Perotti les lacunes de celui de Naples. Il fit
précéder
ces extraits d’une préface, dans laquelle il donn
or ipse facit. Il paraît ressortir des cinq distiques élégiaques qui
précèdent
, que c’est Veterani d’Urbin, qui, à une époque an
’était pas à Avianus, mais à Phèdre qu’il avait emprunté la fable qui
précède
, et ensuite, en l’empruntant à ce dernier, il n’a
s. Qu’on rapproche de la dédicace de Perotti les trois citations qui
précèdent
, et l’on s’apercevra que l’archevêque de Siponte
s d’Ésope et non à celles de Phèdre. Il suffit de lire les lignes qui
précèdent
pour voir qu’il déclare prendre Ésope pour guide,
montrent combien cette accusation serait injuste ; car le modèle a dû
précéder
la copie et Perotti n’a vécu qu’au xve siècle. I
ujourd’hui, à son enfance, la première littérature de l’homme. Elle a
précédé
l’art de l’écriture, et c’est d’abord par la trad
se faire sentir ; car, dans la même édition de Phèdre, Gail, faisant
précéder
d’une préface les fables nouvelles, y déclarait q
roduit la dédicace à Pyrrhus ; j’y renvoie. Quant aux quinze vers qui
précèdent
la fable Muli et Latrones, les voici : Contrari,
75 Venetiis, Remondini, 1815 Venetiis, Bernardi). In-18 de 232 pages,
précédées
de 5 feuillets non paginés contenant une gravure
d Joannem Manfrè. Superiorum permissu. In-12 de 241 pages numérotées,
précédées
de 10 non numérotées et suivies de 3 dernières pa
runt notæ ad calcem. Lugduni, apud fratres Perisse. In-12 de 86 pages
précédées
de 8 pages non numérotées. 1765. Phædri
s. 1858. Phædri Aug. lib. fabularum libri. Édition classique
précédée
d’une notice littéraire par D. Turnèbe. Paris, J.
ib. fabular. libri V. Nouvelle édition, d’après les meilleurs textes,
précédée
d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un comment
1883. Phædri Augusti liberti Fabularum libri. Édition classique
précédée
d’une notice littéraire par M. Deltour, inspecteu
nant 50 fables, dont 30 avec les imitations de La Fontaine en regard,
précédée
d’une notice sur Phèdre et suivie d’un lexique pa
vant le College des trois Evesques. In-24 de 122 feuillets numérotés,
précédés
de 10 et suivis de 6 non numérotés, contenant le
c des remarques… A Paris, chez Paul Denis Brocas. In-12 de 467 pages,
précédées
de 12 feuillets non chiffrés. 1775. L
rs italiens par M. Petronj et en prose française par M. Biagioli…, et
précédée
[s] d’une préface française par M. Ginguené. Paris
In-8º de 24 feuilles. Fables de Phèdre, traduites en vers français et
précédées
d’une Épître à un écolier de sixième. Paris, Dupr
naturel des idées, l’autre conforme au génie de la langue française ;
précédées
du texte pur et accompagnées de notes explicative
feuilles et demie. 1840. Traduction des fables de Phèdre,
précédée
d’une notice sur la vie et les œuvres de ce poète
rançais en regard des mots latins correspondants, l’autre correcte et
précédée
du texte latin avec des sommaires et des notes pa
ssore Abate Cervelli. Milano, presso Gio-Pirotta. In-12 de 434 pages,
précédées
de 12 pour le frontispice, l’avis au lecteur, la
. et debebant libr. IX. Au verso du fol. i, à la suite du récit qui
précède
, se trouve une liste de noms des abbés de Saint-M
en Testament. Elles paraissent d’une autre main que les écritures qui
précèdent
. Sixième quaterne (Fol. xx à xxi et xxx à xxxii)
llets contiennent une des œuvres d’Hyginus, le Poeticon astronomicon,
précédé
d’une épître dédicatoire, qui commence ainsi : H
ésignées par le titre de Fabule antiquæ, ensuite 45 fables de Romulus
précédées
de la dédicace à Tiberinus, enfin, pour les compl
r les compléter, quinze autres fables empruntées à l’édition d’Ulm et
précédées
de cet avis : Sequentes fabulæ reperiuntur quoqu
ti semper prævalet sapientia. En effet la fable Vulpes et Corvus est
précédée
d’un promythion, c’est-à-dire d’une maxime mise a
ompléter ce qu’il considérait comme une affabulation tronquée, il fit
précéder
le dernier vers de la fable de cet autre : Hac r
resque introuvables, je ne puis me dispenser de m’y arrêter. Elle est
précédée
d’un frontispice ainsi conçu : Ludovici Trossii
t signalé. J’y recourus, et je trouvai, dans la préface allemande qui
précède
le texte du manuscrit de Burney, une description
fables sont divisées en 5 livres ; chacun d’eux, sauf le premier, est
précédé
d’une table spéciale. Le premier contient 14 chap
u’on ne trouve dans Romulus, excepté les deux morceaux V, 9 et 10 qui
précèdent
immédiatement l’épilogue. Ces deux morceaux sont
tour l’analyser. Les 123 feuillets numérotés dont il se compose sont
précédés
de deux autres. Le premier des deux qui avait été
b. — Au haut de la page, trouvant sans doute trop vague le titre qui
précède
, le bibliothécaire Ebert a ajouté celui-ci : Sch
vec la même encre : Incipit de serpentibus. Ce troisième livre n’est
précédé
d’aucune table. Fol. 123 b. — Fin du troisième li
4. V, 11. La Statue d’Ésope. ii, Epil. Du tableau comparatif qui
précède
il résulte que le manuscrit de Wissembourg contie
si dignes de foi que soient les manuscrits présentant les leçons qui
précèdent
, je ne crois pas qu’on doive s’y arrêter. D’abord
l’auteur du Romulus primitif. Quoi qu’il en soit, la collection était
précédée
de la fameuse dédicace à Tiberinus. En ayant déjà
La Statue d’Ésope. ii, Épil. Épilogue. Rufus. Le tableau qui
précède
permet de voir quelles sont les fables de Romulus
, 18, 28, 29, 30, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41 et 42. De ce qui
précède
il ressort que la collection du Romulus primitif
nsiblement l’ordre des fables, a fait disparaître le Prologue qui les
précédait
, en a reporté la première partie en tête de l’Épi
aurait transcrit les fables dans le même ordre, qu’il les aurait fait
précéder
de la même dédicace ou ne les aurait fait précéde
il les aurait fait précéder de la même dédicace ou ne les aurait fait
précéder
d’aucune, enfin qu’il ne leur aurait pas donné po
fum. On peut m’objecter que, si l’Æsopus ad Rufum n’a, d’après ce qui
précède
, constitué qu’un recueil très restreint, ce n’est
b tecto melius viverem. Ce qui résulte du double rapprochement qui
précède
, c’est que, tout en s’écartant peu de leur modèle
ppartenant à une époque plus reculée. Mais, l’eût-il même de beaucoup
précédée
, on pourrait encore supposer que l’Æsopus ad Rufu
e, le siècle de Charlemagne fut, par rapport à la période qui l’avait
précédé
, un siècle de renaissance littéraire, pendant leq
i de greco in latinum translatus a Petro monacho. » De l’analyse qui
précède
il ressort d’abord que le manuscrit contient les
s triviales. Viennent ensuite les quatre livres des fables de Romulus
précédés
chacun d’une table latine. La table du livre I es
es fables elles-mêmes (fol. 83 a à 104 b). La table des matières, qui
précède
le livre III, est annoncée par cette phrase : In
ient le livre IV, composé comme les trois premiers de vingt fables et
précédé
de la table suivante (fol. 131 a) : Incipiunt Ca
la même que dans les trois premiers livres. On voit par l’exposé qui
précède
que, dans l’édition d’Ulm, l’œuvre de Romulus com
pas le même que dans l’édition de Zeiner. Chaque fable de Romulus est
précédée
et non suivie de la fable correspondante en vers,
dicte sequuntur. Fol. 73b à 89b (K.ib à m.ib). Fables dont le titre
précède
. Fol. 89b (m.ib). Table des fables précédentes, i
trouve l’exemplaire sur lequel j’ai fait en partie les remarques qui
précèdent
. Il n’est pas inscrit sur le catalogue général, c
avure. Par exception, dans les fables x et xiii du livre I la gravure
précède
, au lieu de les suivre, les deux fables auxquelle
qu’elle concerne, et des deux fables c’est toujours celle en vers qui
précède
celle en prose. Fol. 43 a (g. i a). — Dans le tit
s gravures cesse d’être méthodique. Les fables de Romulus sont tantôt
précédées
et tantôt suivies de leurs gravures. Le désordre
que sunt consequenter posite. Puis viennent les fabulæ extravagantes
précédées
de ce titre : Fabule esopie antique extrauagante
de la table des fabulæ novæ et commencement des fables d’Avianus que
précède
ce titre : Sequuntur fabule Auiani quarum regist
ahiers de huit feuillets sont numérotés de 1 à 4, et ces numéros sont
précédés
de la lettre spéciale au cahier ; les quatre dern
trois premiers feuillets sont numérotés de 1 à 3, et ces numéros sont
précédés
de la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois
ne des éditions antérieures. Fol. 2 a à 21 a. — Vie d’Ésope. Elle est
précédée
d’un titre ainsi conçu : Vita Esopi fabulatoris
ables du livre III. Fol. 60 a. — Table du livre IV, sans titre qui la
précède
. Fol. 60 b à 67 a. — Fables du livre IV. Elles se
ncent les dix-sept fables traduites par Ranutio d’Arezzo ; elles sont
précédées
de ce titre : Sequuntur fabule noue Esopi ex tra
ido Goudensi 1482. 4. Il importe d’ajouter que cette désignation est
précédée
d’un astérisque, par lequel le bibliographe a vou
suite de la table des fables d’Avianus commencent les fabulæ collectæ
précédées
chacune d’une gravure. Fol. 104 a. — Expliciunt
rand. Fol. 23 a (d. i a). — Il est occupé par la dédicace de Romulus,
précédée
elle-même du prologue de l’anonyme de Névelet que
évelet, Brant, pour combler la lacune et rétablir la symétrie, a fait
précéder
chaque fable en prose d’un quatrain et quelquefoi
peine est-il besoin d’ajouter que, fidèle à son système, Brant a fait
précéder
chacune des fabulæ collectæ de distiques élégiaqu
e de S. Brant, publiée par Jean Prüss, forme un vol. in-fol. Elle est
précédée
de la traduction allemande due à Steinhöwel. Le v
on par page, mais par feuillet, comprend clxxiiii feuillets chiffrés,
précédés
de douze autres non chiffrés contenant le frontis
e, en 1676, une autre formant un volume in-8º de 452 pages chiffrées,
précédées
de quatre feuillets et suivies de six autres non
cote 12304. b. 14. 13º Éditions plus récentes. Aux éditions qui
précèdent
il faut ajouter les suivantes qui figurent au cat
de douze gravures. Fol. 34 b à 40 a. — Livre IV, que par exception ne
précède
aucune table, qui comme le précédent contient dou
la vie d’Ésope qui est en tête. Elle est suivie des fables de Romulus
précédées
elles-mêmes de la dédicace ainsi traduite : Romu
nt les dix-sept fables dites Fabulæ extravagantes, sans table qui les
précède
. Fol. 96 b in fine et fol. 97 a initio. — Table d
Caxton une réimpression partielle comprenant seulement les fables qui
précèdent
celles d’Avianus. En voici le frontispice : The
, dans le format in-12. Elle forme un volume de 214 pages numérotées,
précédées
d’un feuillet pour le frontispice et de quatre po
nd J. Hindmarsh, 1692. Le volume se compose de 480 pages numérotées,
précédées
de 7 feuillets, dont le premier porte le portrait
dans le format in-fol. ; elle se compose de 476 pages chiffrées, que
précèdent
six feuillets contenant le frontispice, la préfac
ième réimpression, qui forme un volume in-8º de 550 pages numérotées,
précédées
de six feuillets et suivies d’un dernier non numé
ion Lestrange sous la forme d’un volume in-8º de 550 pages chiffrées,
précédées
de huit premiers feuillets et suivies d’un dernie
Fol, 25 b, col. 1. — Table du premier livre des fables de Romulus,
précédée
de ce titre : Ende beghint dat register der fabu
’une gravure et commencement du premier livre. Les fables sont toutes
précédées
d’une gravure qui s’y rapporte. Fol. 34 a, col. 1
er eyndet dӡ derde boeck vā esopus. Puis vient la table du livre IV,
précédée
de ce titre : En̄ begint die tafel vā dat vierde
læ extravagantes, qui ne sont ornées que de 15 gravures et ne sont ni
précédées
ni suivies d’aucune table. Fol. 73 b, col. 2. —
res personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son fils
précédée
de ce titre : Aqui comiença el prefacio et prolo
iographicum, t. I, p. 41, col. 1, nº 358. J’en ai donné l’analyse qui
précède
d’après un exemplaire, qui, sous la cote I. Z. 13
u’elles ne soient que la traduction de celles de Romulus, ne sont pas
précédées
de sa dédicace ni divisées en quatre livres. Elle
. Cette édition consiste dans un vol. in-8, de 373 pages numérotées,
précédées
de 5 feuillets et suivies de 9 pages de table non
Cette édition consiste dans un volume in-8 de 343 pages numérotées,
précédées
de 4 feuillets et suivies de 9 pages de table, no
IV, 19. La Fourmi et le Grillon. 29. 25. Il ressort du tableau qui
précède
que, dans son Miroir historial, Vincent de Beauva
t au bas du recto du folio 41. Elles sont au nombre de 29. Elles sont
précédées
seulement de la partie ainsi conçue de leur préam
s fables qui commencent au fol. xcvij rº, sont au complet. Elles sont
précédées
de ce titre à l’encre rouge : Incipit tractatus s
de 204 ; le troisième, de 201, et le quatrième, de 213. Le texte est
précédé
, dans le premier, d’une table unique et, dans les
aître, dans le format in-folio, le Speculum historiale. L’ouvrage est
précédé
d’une table alphabétique, et terminé par cette so
a || messe De messeigneurs les presidens. Chacun des 32 livres est
précédé
d’une grande et belle gravure sur bois, qui occup
n latin et appropriées à nos mœurs405. » De toutes les citations qui
précèdent
il ressort que l’opinion de ceux qui reportaient
e Parme donné à l’auteur des fables élégiaques415. On sait par ce qui
précède
à quelle lettre il faisait allusion. Il n’avait p
lui signalés418. M. Hermann Oesterley, dans la préface dont il a fait
précéder
son édition du manuscrit du British Museum, dit b
bles élégiaques ne sont accompagnées d’aucune glose ; mais elles sont
précédées
d’un titre à l’encre rouge ainsi conçu : Incipit
la vérité finale. Dans le manuscrit 8023, le prologue des fables est
précédé
d’une glose dont voici le commencement : « In pr
lement les soixante fables primitivement connues. Chacune d’elles est
précédée
d’une glose dont l’écriture est plus fine que cel
feuillets et ne contenant que les fables de Walther. Chaque fable est
précédée
d’un titre à l’encre rouge et accompagnée de note
e 62. Elles commencent au haut du recto du deuxième feuillet, ne sont
précédées
d’aucun titre, ne sont accompagnées d’aucun comme
un ancien manuscrit. C’est là ce qui ressort de cette mention qui les
précède
: Ex vetusto codice sumptum. Quel était cet an
de la fable des Grenouilles qui demandent un roi. Les fables ne sont
précédées
d’aucun titre général ; mais chacune porte un tit
manuscrit ne contient que les soixante fables de Walther. Elles sont
précédées
de cette invocation écrite à l’encre rouge : San
ure gothique appartient au xive siècle. Ces feuillets sont eux-mêmes
précédés
de deux autres non numérotés. Le premier porte au
. Comme dans la première partie du manuscrit, chaque fable latine est
précédée
d’une miniature appropriée au sujet et suivie d’u
ez mauvais état. Sur le verso du second des deux feuillets blancs qui
précède
les feuillets numérotés, la cause en est indiquée
t du xve siècle. Il se compose de 38 feuillets anciens en parchemin,
précédés
d’un premier feuillet neuf qui porte un titre écr
par la traduction en vers français des fables de Walther. Elles sont
précédées
d’une jolie miniature, qui orne, au recto, le hau
ion des fables d’Avianus, ni les prologue et épilogue dont elles sont
précédées
et suivies dans le manuscrit 1594. La raison me p
les manuscrits 1594 et 1595. Cette traduction se compose de 39 fables
précédées
d’un prologue et suivies d’un épilogue. Le prolog
n terre enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’Avianus sont
précédées
d’un prologue, qui ne se compose que des quatorze
nce. Les 59 fables qui sont la traduction de l’œuvre de Walther, sont
précédées
d’un prologue, qui, comme celui des mss. 1595 et
aigneau… Les 18 fables, à qui celles d’Avianus servent de base, sont
précédées
d’un prologue qui ne se compose que de dix vers,
le manuscrit 19123, n’en a que six. Ces fables, comme les 59 qui les
précèdent
, présentent des variantes qui ont le même caractè
reliure du temps. Il comprend 103 feuillets écrits, 3 blancs qui les
précèdent
et 3 autres blancs qui les suivent. Il renferme 4
ture très fine, l’une marginale, l’autre interlinéaire. Elles ne sont
précédées
d’aucun titre général, mais sont en revanche term
ogue, dont une mouillure a enlevé quelques lettres. La traduction est
précédée
de ce titre à l’encre rouge : Cy comãce Ysopet ẽ
du feuillet 3 a. Fol. 3 a, 3 b, 4 a et 4 b. — Miniature et traduction
précédée
de ce titre : Dou lou et de laignelat. Les soix
non seulement de la traduction française, mais encore du texte latin,
précédée
d’une introduction et suivie d’un glossaire. Sa p
is par un ouvrage religieux intitulé : Lumen animæ. Cet ouvrage est
précédé
d’une table qui occupe les feuillets 80 a à 81 a
ménagés pour les 5 dernières. Le Phisiologus, qui, dans le manuscrit,
précède
les fables, paraît avoir été écrit par le même co
les de Walther, mais un commentaire qui a été fait sur elles, et qui,
précédé
de ce titre : Hic incipiunt dicta Ysopi , est su
le mot Esopus n’est en réalité pourvu d’aucun titre. Il est seulement
précédé
de cette maxime : Prudencia non sapit fatuis. C
scrit des fables de Walther. En effet, chaque commentaire partiel est
précédé
des deux premiers vers de la fable à laquelle il
de la première fable. À la suite on trouve celui de la deuxième fable
précédé
des deux premiers vers dénaturés de cette façon :
à tort qualifié in-fº, et formé de trente-neuf feuillets en parchemin
précédés
d’un autre beaucoup moins ancien. Sur ce feuillet
néralement la vingt-sixième vient après les deux que d’ordinaire elle
précède
. La fable xlviii ne se compose que des trente ver
atre premières lignes du recto du vingt-deuxième feuillet. Elles sont
précédées
de ce titre général : Incipit liber apologorum E
euillets 2 a à 36 b. Elles ne portent pas de titre général, mais sont
précédées
d’un préambule commençant par cette phrase : Inc
nières, existé auparavant sur un feuillet disparu. Les fables étaient
précédées
d’un ouvrage de grammaire composé en vers par le
par 62 fables accompagnées de gloses marginales et interlinéaires et
précédées
du préambule suivant : « Magister Esopus, excell
ées du Romulus ordinaire. Elles ne comprennent que 60 fables, et sont
précédées
de ces deux distiques écrits au bas du feuillet 1
titre général ces mots : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont
précédées
du prologue, dont le texte est relevé par les dor
t les fables d’Ésope traduites par Rimicius. Comme sa vie, elles sont
précédées
d’un argument intitulé : Argumentum fabularum Es
’ai jeté les yeux sur l’introduction, qui, mise en tête du manuscrit,
précède
même le prologue en vers ; mais elle ne m’a rien
élégiaques qu’il renferme occupent les feuillets 13 a à 35 b et sont
précédées
de ce titre : Esopi fabule feliciter incipiunt.
llets, les uns en parchemin, les autres en papier. Les fables, que ne
précède
aucun titre général et que n’accompagne aucune gl
, comme dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale, elles étaient
précédées
d’un préambule qui a disparu. Il occupait le prem
II de Valois, qui régna de 1328 à 1350. Jeanne mourut en 1348. Ce qui
précède
ressort manifestement de la mention suivante, qui
erait oiseuse, et je reviens aux fables de Walther. Elles sont toutes
précédées
de miniatures à peu près pareilles à celles du ma
e. Après les fables de Walther arrivent celles d’Avianus. Elles sont
précédées
d’un prologue de trente vers qui est intitulé Add
ècle, elles occupent les feuillets 2 à 19. Aucun titre général ne les
précède
, et l’espace blanc laissé pour le titre entre cha
: De Lupo et Pastore. Remplissant les feuillets 2 à 23, elles sont
précédées
de ce titre : Incipit liber Exopi , et suivies d
illet manque au manuscrit. En guise de titre général, les fables sont
précédées
de cette invocation pentamétrique, placée en tête
s fables d’Avianus, celles de Walther. Les distiques de Denys Caton,
précédés
de la dédicace à son fils, commencent au feuillet
ouvert sur les deux faces d’une écriture aussi ancienne que celle qui
précède
. Cette pièce est intitulée : Ad Paulinum Augusti
qui occupent les feuillets 2 a à 23 b. Sans titre général, elles sont
précédées
du prologue qui lui-même ne porte pas de titre pa
ets en papier, dont l’écriture est du xve siècle. Ces feuillets sont
précédés
d’un autre en parchemin, sur le recto duquel le c
n parchemin dont l’écriture est la gothique du xive siècle. Ils sont
précédés
d’un feuillet également en parchemin, ajouté aprè
rages. Le premier est la collection des épigrammes de Prosper. Il est
précédé
d’une table, que surmonte ce titre : Hec est tabu
8 premiers du volume qui portaient les nos 1 à 28, et deux autres qui
précédaient
ceux occupés par le fragment conservé des fables
atre fables, qui se trouvent après les 19 autres et qui devraient les
précéder
; ce sont les fables xviii De Leone et Mure, xix
encement du xive et qu’une main du xviiie ou du xixe siècle a fait
précéder
du titre : Æsopi fabulæ carmine. Les soixante
de. Les fables commencent au recto du second feuillet ; elles ne sont
précédées
d’aucun titre général ; mais chacune d’elles est
élégiaques, signaler l’hypothèse nouvelle contenue dans l’extrait qui
précède
. Mais je n’avais pas, à mon sens, à en discuter d
siècle. Le recto du premier feuillet, en tête duquel elles commencent
précédées
de ce titre général : Incipit liber Esopi , est
e plus habituellement ajoutées, ne portent pas de titre général, sont
précédées
chacune d’un titre particulier à l’encre rouge et
De Pastore dante Canes pro obs[ed]ibus Lupo. Ces 62 fables ne sont
précédées
d’aucun titre général, mais sont pourvues chacune
vent au nombre de 62. Elles ne portent aucun titre général, mais sont
précédées
chacune d’un titre particulier écrit à l’encre ro
aux fables de Walther qui occupent les feuillets 59 à 76. Elles sont
précédées
d’observations préliminaires qui occupent le rect
elles. Ces miniatures sont au nombre de 146. Les fables sont en outre
précédées
d’une miniature initiale qui représente Ésope ass
nte feuillets en parchemin. Il ne renferme que les fables de Walther,
précédées
, au haut du recto du premier feuillet, d’une sort
xiiie siècle. Les vingt premiers contiennent les fables de Walther,
précédées
de leur prologue, dépourvues de titre général, ma
lumbe. Il est formé, après un préambule de quatre vers, de quatrains
précédés
chacun d’un titre à l’encre rouge. Le recto du fe
ables de Walther, mais seulement dans leurs affabulations. Elles sont
précédées
d’un titre à l’encre rouge ainsi conçu : Incipiu
entiques et de la fable complémentaire De Lupo et Pastore. Elles sont
précédées
du titre général suivant, qui est écrit à l’encre
e Lupo et Pastore. Contrairement au classement usuel, ces deux fables
précèdent
celle qui est intitulée De Cive et Milite et qui
a main droite sur un livre tenu debout sur sa cuisse. Les fables sont
précédées
de ce préambule en prose latine commun à la plupa
able. Les fables de Walther commencent au recto du deuxième feuillet,
précédées
du préambule en prose et accompagnées de la glose
er qui elles-mêmes ne sont accompagnées d’aucune glose et qui ne sont
précédées
ni suivies d’aucune table. Les fables se composen
total. Au verso du premier feuillet commencent les fables de Walther
précédées
du préambule en prose et accompagnées du commenta
8 feuillets. Il renferme les soixante-deux fables les plus usuelles,
précédées
de la lettre bien connue de Thadée Ugoleto à Péré
t, entre autres ouvrages, les fables de Walther attribuées à Salon et
précédées
de l’extrait de la lettre de Thadée Ugoleto. L’av
s que ceux du texte des fables. La préface en vers et les fables sont
précédées
chacune du commentaire commun à toutes les éditio
us anglo-latin. Fol. 2 a (a iiª) à 43 b (f iii b ). Fables de Walther
précédées
de leur prologue métrique, accompagnées d’une glo
u verso du premier feuillet sans autre titre que le mot Prohemium qui
précède
le prologue connu. Elles sont accompagnées d’une
me que forme cette première édition se compose de 678 pages chiffrées
précédées
de seize non chiffrées. Les fables de Walther occ
Bibliothèque, j’en vais donner une analyse moins brève que celle qui
précède
. Manuscrit Gadd. reliqui CLXXVI. Ce manuscri
o da Siena. Les fables ne sont pas pourvues du long préambule qui les
précède
dans le manuscrit Gadd. 176 de la Bibliothèque La
Comme dans le manuscrit Gadd. 176 de la Laurentienne, les fables sont
précédées
d’un prologue, qui, au recto du premier feuillet,
a été faite par l’abbé Berti l’édition de Padoue de 1811. Elles sont
précédées
d’une introduction qui commence par ces mots : I
À la suite de la préface du traducteur vient le véritable prologue
précédé
de ce titre : Comīcia el prohemio exposto soura
te pour titre le mot Notabile écrit aussi à l’encre rouge, et qui est
précédée
de l’épimythion latin de la fable traduite. Les f
elle-même a été préparée par l’abbé Domenico-Maria Manni, qui a fait
précéder
les fables d’une savante préface. Par suite de la
enne. Elle a été préparée par l’académicien Louis Rigoli. Les fables,
précédées
d’un préambule, commencent à la page 20. Leur nom
. Il y en a quarante-deux ; la collection est donc complète. Elle est
précédée
de ce titre : Hic incipit Esopus , et terminée p
s croisées ; mais il ne les a pas groupés en sixains. Les fables sont
précédées
d’un prologue et suivies d’un épilogue, dans lesq
II. Fol. 166. — Versus de componendis Epistolis. La nomenclature qui
précède
montre quels nombreux et différents ouvrages sont
au folio 33 b, sont celles de l’Anonyme de Névelet, dont chacune est
précédée
de la fable correspondante du dérivé du Romulus d
peu différentes par la rédaction et le classement, elles sont de même
précédées
de la dédicace de Romulus à son fils appelé Tyber
. de F. : Sic totam prædam illam improbitate sua abstulit. De ce qui
précède
deux solutions se dégagent : la première c’est qu
le livre II du Romulus ordinaire, la fable de la Mouche et de la Mule
précède
celle de la Mouche et de la Fourmi, elle la suit
tion des fables de cet Anonyme avaient été publiées 45 autres fables,
précédées
de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus492
par la rédaction du texte des Fabulæ antiquæ. Dans l’introduction qui
précède
son édition diplomatique du Romulus Burnéien, M.
un arrêt du Parlement de Paris en date du 23 juin 1565. Cet arrêt est
précédé
de ces mots : « Extrait des registres du Parlemen
ont au nombre de 51, si l’on y comprend la dernière pièce. Elles sont
précédées
de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et
rdre que celles du Romulus primitif, et sont divisées en trois livres
précédés
de la même dédicace et suivis du même épilogue. L
iii, 12. La Statue d’Ésope. Les 50 fables du manuscrit Digbéien sont
précédées
de titres très explicites qui font connaître le s
charta. La collection de Romulus, signalée dans la nomenclature qui
précède
, en occupe les cinq premiers feuillets. Elle port
ant à de plus habiles le soin de la résoudre, je ne retiens de ce qui
précède
qu’une chose, c’est que le Romulus anglo-latin n’
Marie comprend cent trois fables, composées en vers de huit syllabes,
précédées
d’un prologue et terminées par un épilogue. Le pr
fables. Il comprend quarante vers, qui, dans un des manuscrits, sont
précédés
d’un préambule de dix vers et suivis d’un complém
03. La Femme et sa Poule. 133. Les cent trois fables dont la liste
précède
, sont-elles les seules que Marie ait composées ?
rie, que ce titre surmonte, est lui-même, ainsi que je l’ai déjà dit,
précédé
d’un préambule de dix vers et suivi d’un compléme
es est due à une main du xiiie siècle. Les 218 feuillets écrits sont
précédés
de deux autres qui ont été ajoutés par le relieur
té cette observation : Ce ms. a esté dérangé et le Lucidaire devroit
précéder
le Traité d’Aristote qui est à la page 84. F I N.
age 84. F I N. C’est par erreur que l’auteur de la nomenclature qui
précède
donne, comme numéros de pages, des chiffres qui s
t se terminent au feuillet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles sont
précédées
du prologue ordinaire en quarante vers, se succèd
du Loup, de sorte qu’elle ne se compose en réalité que de 103 fables,
précédées
des quarante vers du prologue, pourvues chacune d
terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordinaires les
précèdent
et les suivent. Elles ne sont accompagnées d’aucu
orreture, Mais tout a dez passe nature. Les deux pièces de vers qui
précèdent
, quoique ayant bien le caractère de fables ésopiq
fables du manuscrit ne portent pas de litres particuliers, mais sont
précédées
du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue co
nes est la gothique du xiiie siècle. Les feuillets en parchemin sont
précédés
d’un premier feuillet en papier, au verso duquel
Elle porte ce titre général : Ci commence Esopes. Le prologue qui
précède
les fables est orné d’une grande lettre initiale,
composé de 145 feuillets anciens en parchemin, que le relieur a fait
précéder
de deux neufs, le premier en papier, le second en
fables de Marie qui occupent les feuillets 19 a à 32 b. Elles ont été
précédées
du prologue, dont, par suite de la disparition de
es de Marie qu’il renferme occupent les feuillets 39 à 83. Elles sont
précédées
de ce titre général : Incipit liber qui dicitur
volume in-fol., composé de 385 feuillets anciens en papier, eux-mêmes
précédés
de 2 feuillets contenant la table de la vie des s
cus et que les bibliographes ont surnommé Glanville535. Ce traité est
précédé
d’un prologue qui commence au haut de la première
s : Expliciūt apologi auiani. Sans le moindre espace blanc qui les
précède
, et, comme si elles appartenaient à la même colle
136 fables, puisqu’il y est question de la version anglaise, l’a, non
précédée
, mais suivie. Mais de là à en avoir été la traduc
n prose latine qui en est le complément habituel. Le premier, qui est
précédé
de la préface ordinaire, ne porte aucun titre gén
ncipit prologus esopi in librum fabularum. Puis viennent les fables
précédées
elles-mêmes de ce titre également écrit à l’encre
s sont incomplètes et s’élèvent seulement au nombre de 56. Elles sont
précédées
de leur prologue ordinaire, mais ne portent ni ti
te allemand, qui, voyant en tête du Dérivé complet le prologue qui le
précède
, l’a littéralement traduit. En effet, dans le pro
ent demeurés vides ou aient été remplis autrement. » Les fables sont
précédées
d’un prologue ainsi conçu : Esopus eyn wys greke
Lion et celle de l’Homme en mal d’enfant. Or, de la nomenclature qui
précède
il ressort que ces deux sujets de fables sont éga
, 20. 13. Les Quadrupèdes et les Oiseaux. III, 4. Ces fables sont
précédées
du titre suivant, qui montre que c’est bien d’un
ise par M. Bagioli, avec les notes latines de l’édition originale, et
précédées
d’une préface française par M. Ginguené, membre d
çaise par M. Bagioli avec les notes latines de l’édition originale et
précédées
d’une préface française par M. Ginguené, membre d
ob. Stephani. M.DC.XVII, in-4º. 241. Poésies inédites du moyen âge,
précédées
d’une Histoire de la fable ésopique, par M. Edéle
l in-8º. (Voyez au tome I l’Essai sur les auteurs dont les fables ont
précédé
celles de La Fontaine, p. lxxiij.) 263. « Hoc e
oyez Einleitung, p. xi et xii.) 319. Poésies inédites du moyen âge,
précédées
d’une histoire de la fable ésopique, par M. Édéle
, en tête de cet ouvrage, l’Essai sur les auteurs dont les Fables ont
précédé
celles de La Fontaine, t. I, p. cxxiv et s.) 402
onii Zattæ, M.DCCLXXVI, in-4º (Voyez p. 153.) 416. Fables inédites…
précédées
d’une notice sur les fabulistes. Paris, E. Cabin,
p. 177.) 431. Fables inédites des xiie , xiiie et xive siècles,…
précédées
d’une notice sur les fabulistes, par A. C. M. Rob
édites des xiie , xiiie et xive siècles, et Fables de La Fontaine…,
précédées
d’une notice sur les Fabulistes. Paris, Étienne C
dites des xiie , xiiie , et xive siècles, et Fables de La Fontaine…,
précédées
d’une notice sur les Fabulistes. Paris, Étienne C