cheté un nègre, s’imaginant que sa couleur venait de la négligence du
précédent
propriétaire. L’ayant emmené chez lui, il le soum
sur le premier point de nouveaux documents, il n’ajoute aux citations
précédentes
que deux témoignages assez insignifiants, tirés,
ois, donner de ce mot une interprétation fausse, que combat la phrase
précédente
: Languentis ævi dum sunt aliquæ reliquiæ, Auxil
servateur de la Bibliothèque bernoise, M. de Steiger, qui déjà, l’été
précédent
, m’avait fait l’accueil le plus empressé. Voici l
Car du reste ils sont écrits à la suite des derniers mots de la fable
précédente
, et, par conséquent, ne commencent la ligne que s
nséquent, ne commencent la ligne que si la dernière ligne de la fable
précédente
est entièrement remplie. Quant au corps de la fab
itre les mots : Idem Poeta , et que ces mots, qui la rattachent à la
précédente
, ne permettent pas de la considérer comme le comm
à bâti sur cette erreur une autre hypothèse, qui, pour différer de la
précédente
, n’en est pas moins fausse. Ils avaient cru que P
ble, dont le premier mot est sur la même ligne que les derniers de la
précédente
. Il en est de même de la fable Demetrius rex et M
t que chaque vers nouveau était sans interruption écrit à la suite du
précédent
. Il est vraisemblable que, si l’un des deux copis
par Orelli, en 1832, à son édition de Phèdre publiée à Zurich l’année
précédente
, soit dans la remarquable notice de M. Jules Fleu
le du manuscrit, écrite, sans titre à l’encre rouge, à la suite de la
précédente
, échappe à l’observateur qui n’y regarde pas de p
on était précédée d’un avis au lecteur en cinq pages, écrit comme les
précédents
à la Bibliothèque royale, et daté du lendemain de
par Martial, Ziegler, en 1788, adoptant l’opinion professée au siècle
précédent
par Farnaby et Schrevelius, déclarait, dans son C
hose que résumer ceux qui avaient été successivement invoqués par les
précédents
critiques, cet aperçu aura l’avantage de les fair
ts : Item Cæsar ad Atriensem. Le mot Item indique que dans la fable
précédente
il devait être question du même empereur. Or cett
pages, suivies de 6 pages de table non numérotées. Réimpression de la
précédente
édition. 1705. Les Fables de Phèdre a
françois, augmentées de huit fables qui ne sont pas dans les Éditions
précédentes
, expliquées d’une manière très facile. Avec des r
abbés de Saint-Martial. Elle est d’une autre écriture que le fragment
précédent
, et l’encre en est beaucoup plus noire. Troisièm
. Ce quaterne, composé de huit feuillets, avait été intercalé dans le
précédent
. C’est ainsi que, tandis que les nos 20, 21, 30,
les nos 20, 21, 30, 31 et 32 avaient été donnés aux cinq feuillets du
précédent
, celui-ci avait reçu, à raison de la position qu’
lèmes avec figures. Fol. ccx b. — Formule de mariage différente de la
précédente
. Modèle de lettres et d’ornements marginaux. Fol.
re et plus délicate. J’ose même prétendre que le modèle sur lequel le
précédent
copiste a travaillé était simplement une copie ma
issembourg et le manuscrit Burnéien, une œuvre plus ancienne due à un
précédent
compilateur relativement habile qui s’était étudi
uscrit du Mans n’est pas le seul qui soit en désaccord avec les trois
précédents
. Je dois ajouter que son texte présente des varia
du livre III sont signalés par ces deux formules semblables aux deux
précédentes
: Explicit liber secundus. Incipit liber tertius
ffet, ici se placent vingt-sept fables d’Avianus, qui sont, comme les
précédentes
, ornées de gravures sur bois et traduites en lang
que impériale de Vienne, est catalogué sous la cote 3. D. 8. Gomme le
précédent
, il est irréprochable, et les gravures sur bois e
on que Hain a décrite sous le nº 326, paraît avoir été faite après la
précédente
et, quoiqu’il ne risque aucune hypothèse sur le n
sur le nom de l’imprimeur, il ne me semble pas douteux que, comme la
précédente
, elle doive être attribuée à Sorg. D’ailleurs, pa
d’aucun numéro. Il est probable que, dans cette édition comme dans la
précédente
, il y avait un dernier feuillet non imprimé, dont
.ib). Fables dont le titre précède. Fol. 89b (m.ib). Table des fables
précédentes
, intitulée : Registrū fabularū p̄dictarum extrau
vii l’imprimeur a trouvé commode de reproduire la gravure de la fable
précédente
. Je ne crois pas utile de pousser plus loin la co
la bibliothèque Laurentienne, où il dépend du fonds d’Elci. Comme le
précédent
, il est dans un parfait état de conservation. Quo
Grâce à eux, je vais en faire connaître les particularités. Comme les
précédentes
, elle ne porte ni lieu, ni date, ni nom d’imprime
ages occupées par les 17 fabule noue présentent, comme ceux des pages
précédentes
, quelques erreurs typographiques. Le fol. 81 b (m
ressant que le premier. C’est un petit in-folio du même format que le
précédent
, composé de 82 feuillets répartis entre 13 cahier
gothiques plus petits que ceux qui ont servi à l’impression des deux
précédents
. Il renferme un grand nombre de gravures sur bois
e à la seconde édition in-folio de 114 feuillets, imprimée, comme les
précédentes
, à longues lignes, en caractères gothiques, sans
ignes, fournissent un nouveau moyen de distinguer cette édition de la
précédente
. La vie d’Ésope elle-même offre aussi un point im
ux volumes ont été séparés, et n’ayant plus de raison de maintenir ma
précédente
analyse, je la supprime. J’en ai fini avec les éd
t accompagné d’aucun commentaire. C’est une simple copie des éditions
précédentes
, faite avec si peu d’attention, que l’erreur de n
Fol. 1 b (a. i b). — Portrait d’Ésope copié sur celui des éditions
précédentes
. Fol. 2 a (a. ii a). — Dédicace de Sébastien Bran
À ce feuillet commencent sans titre les fabulæ collectas des éditions
précédentes
, réduites au nombre de dix-neuf par l’élimination
lections de fables imprimées avec les mêmes caractères que ceux de la
précédente
édition. Elles ne sont pas suivies de l’histoire
ques et orné de gravures sur bois. Comme elle est plus connue que les
précédentes
, je m’abstiens de l’analyser. D’ailleurs elle ren
Schobsser réimprima, en 1485, la traduction de Steinhöwel. Comme les
précédentes
, sa réimpression fut faite dans le format in-foli
issance du Christ. » B. Édition de 1487. Comme la réimpression
précédente
, celle de 1487 forme un volume in-folio, illustré
B. Édition de 1496346. L’édition de 1496, qui forme, comme la
précédente
, un volume in-fol. imprimé en caractères gothique
ites gravures sur bois beaucoup moins grossières que celles du siècle
précédent
. 8º Édition de Francfort. Sous la même dat
. — Livre IV, que par exception ne précède aucune table, qui comme le
précédent
contient douze gravures et qui se termine par cet
ction du frère Julien, qui sans doute n’était que la réimpression des
précédentes
, fut publiée dans le format in-folio par Mathis H
at in-4º, à Lyon, par Mathis Huss seul. Cette édition, qui, comme les
précédentes
, est ornée de gravures sur bois, commence par le
L’édition in-4º de 1499, qui paraît n’être que la réimpression de la
précédente
, forme, d’après Brunet349, un volume de 77 ff. no
exemplaire existe dans cette bibliothèque sous le nº 4693. Comme les
précédentes
, elle contient la traduction de Macho intitulée :
de hauteur. » 8º Édition de 1520. L’édition de 1520, comme les
précédentes
, est une réimpression de la traduction de J. Mach
Ranutio d’Arezzo. Fol. 97 a à 105 b. — Fables énumérées dans la table
précédente
. Fol. 106 a. — Table des vingt-sept fables d’Avia
éimpression éditée à Londres et exécutée par le même imprimeur que la
précédente
. Elle se compose de 182 pages chiffrées, non comp
rmat in-12, fut exécutée à Londres par le même imprimeur que les deux
précédentes
, une nouvelle réimpression, composée, comme celle
frontispice, semblable dans sa partie supérieure à ceux des éditions
précédentes
se complète ainsi : The eighth Edition corrected
84 b (E 2 vº). — Titre des fables d’Avianus mis à la suite de l’avis
précédent
: Aqui comiençan las fabulas de auiano. Fol. 8
ubliée en 1562 n’a été, pour ainsi dire, qu’une réimpression des deux
précédentes
: même format, même nombre de feuillets chiffrés,
ve à la bibliothèque du British Museum, n’est qu’une réimpression des
précédentes
. 13º Éditions, sans date, du commencement du X
ir écrit vers 1250 ; cependant Vossius lui assigne la même date qu’au
précédent
. Le Speculum morale ne se compose que de trois li
uscrit 16100 forme un volume in-folio, d’un format moins grand que le
précédent
. Dans l’inventaire des manuscrits latins de la So
Avec les mêmes caractères il en a imprimé une autre, qui a, comme la
précédente
, 400 feuillets et 67 lignes à la page, mais qui s
esses du même typographe, qui en donna une édition imprimée, comme la
précédente
, dans le format in-folio en caractères gothiques
Duaci, Balth. Bellerus, 1624. Daunou juge cette édition pire que la
précédente
. Il prétend que, pour prendre une connaissance ex
lther ; mais ce qui me paraît encore mieux démontré que pour les deux
précédentes
, c’est que tout au moins elle est due à un écriva
, intitulée Le Paysan et Pluton, je n’ai plus d’incertitude. La fable
précédente
pouvait être réputée licencieuse ; celle-ci est f
atias. Amen. K. Manuscrit 14381. Le manuscrit 14381, comme le
précédent
, n’est entré qu’à l’époque de la Révolution dans
ait l’objet d’une étude spéciale. Il n’offre pas seulement, comme les
précédents
, un intérêt purement littéraire ; aux points de v
ection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue, comprend, comme la
précédente
, le texte latin et la traduction en vers français
uscrit 1595 n’a pas les huit vers, qui, dans celui du manuscrit 1594,
précédent
les 4 derniers. Le nombre des vers de chaque épim
figurent également dans le manuscrit 416. Ce manuscrit, qui, comme le
précédent
, est du xve siècle, forme un volume in-4º de 245
. Manuscrit 609. Le manuscrit 609, qui est plus intéressant que le
précédent
, forme un volume du petit format in-4º, composé d
mes du duc, autre chef-d’œuvre de miniature qui ne le cède en rien au
précédent
. Les fables sont au nombre de 61, composées de 60
d. 11897. Le manuscrit 11897 est bien loin d’avoir l’importance du
précédent
. C’est un volume in-fol. dont l’écriture sur papi
ntenir une partie des quarante et une premières fables. Car l’ouvrage
précédent
est complet, et les deux feuillets perdus ne pouv
criture italienne du xiiie siècle plus fine que celle des manuscrits
précédents
. Voici, telle qu’elle figure en tête du volume, l
x qui les croient de Walther comme les soixante autres. Comme dans le
précédent
manuscrit, les fables sont suivies de celle en ve
, I, B. Cette édition, qui forme un grand volume in-4º, est, comme la
précédente
, une réimpression de celle des huit auteurs. Elle
édition ; pour le faire connaître, il me suffit de dire que, comme la
précédente
, elle n’est qu’une réimpression des premières édi
opi || Floreti. Tel est le titre d’une édition copiée, comme les deux
précédentes
, sur les premières éditions lyonnaises. Les feuil
Au-dessous du titre est une gravure différente de celle de l’édition
précédente
; au centre elle porte en gros caractères le mot
n pour J. Le Forestier et qui paraît n’être que la réimpression d’une
précédente
due au même éditeur. Au-dessous du titre est une
’attention exagérée dont elles avaient été l’objet à la fin du siècle
précédent
. Elles avaient fini par être presque oubliées, et
a table des matières. Cette dernière édition n’a pas eu, plus que les
précédentes
, le pouvoir de rendre aux fables de Walther à not
Appendice di Favole scelte dal Testo Riccardiano. Comme les quatre
précédentes
, cette édition paraît avoir été calquée sur celle
ction d’Accio Zuccho. Le recto du premier feuillet est, comme dans la
précédente
édition, occupé par une gravure sur bois représen
rnées de gravures sur bois encadrées, pareilles à celles de l’édition
précédente
. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on l
s-mêmes ornées de gravures encadrées semblables à celles des éditions
précédentes
du même imprimeur. Au bas du verso de l’avant-der
plaires que j’en ai trouvés, est aujourd’hui encore moins rare que la
précédente
, a été imprimée en lettres rondes à Aquilée, en 1
V, p. 219, nº 4) mentionne une deuxième édition in-fol. qui, comme la
précédente
, aurait été imprimée à Aquilée en 1493 ; mais en
de Bartholomi Maschara. Une traduction moins prétentieuse que les
précédentes
fut, en 1532, éditée par un Italien nommé Barthol
fable est en marge sur la même ligne que le dernier vers de la fable
précédente
. Il est signalé à l’attention du lecteur par un t
été donné. Quoique ce numéro soit moins élevé que celui du manuscrit
précédent
, ce dernier étant un peu plus ancien, j’ai trouvé
remarque qui ne m’avait donné la réponse à aucune des trois questions
précédentes
. En effet, on a pu voir que, parmi les manuscrits
ce titre abrégé : Incipiunt f. , écrit à la suite de la souscription
précédente
. Les fables qui forment le second ouvrage sont au
re, qui pour chacune, sauf pour la première, est placé à la fin de la
précédente
. Les 51 fables, dont se compose la collection, s
t : « C’est à moi Claude Fauchet par eschange fait avec… ». Le nom du
précédent
propriétaire a été intentionnellement effacé. Le
t se rappeler que, si la table des matières la présente, ainsi que la
précédente
, comme appartenant à la même collection que les a
de Reading, dans le manuscrit Cott. Vesp. EV. » Ici paraphe pareil au
précédent
, que suivent les mots : « Avril 1862531 ». Les fa
appartenu au savant Baluze, bibliothécaire de Colbert, est, comme le
précédent
, un volume in-fol. de très petit format, dont l’é
nuscrit 347 B. Quoique exécuté au xive siècle, peu d’années après le
précédent
, il est de bien moindre valeur ; il est en effet
ulus anglo-latin, étaient par le fond communes aux quatre collections
précédentes
, avaient revêtu une forme souvent très différente
é la cote LXXVII et plus anciennement la cote IV. 26, forme, comme le
précédent
, un volume in-fol. de petit format, dont les feui
n en prose des fables d’Avianus aussi complète que celle du manuscrit
précédent
. Le feuillet 36 et le recto du feuillet 37 sont o
rit qui, dans la même classe, porte le nº 126. Ce manuscrit, comme le
précédent
, est un volume in-fol. de petit format, composé d
rie. Cette seconde version, probablement un peu moins ancienne que la
précédente
, se trouve dans un manuscrit de la fin du xve si
met au milieu d’une phrase la conjonction qui, pour la rattacher à la
précédente
, devrait être en tête, comme dans le premier des
précédente, devrait être en tête, comme dans le premier des deux vers
précédents
et comme dans le passage suivant de la même fable
ite de la classification adoptée pour leur ouvrage, ils ont ajouté au
précédent
, mais bien le nº 177, qui au contraire n’est pas