ait gêné. Ne pouvant le persuader, il amena une truie, la seule qu’il
possédât
, et la mit en vente en présence du créancier. Un
ment ne sert à rien, mais encore nous fait perdre souvent ce que nous
possédons
. Chambry 164.2 Aliter — Autre version.
16 Mb 126 Ca 123. Un jeune prodigue, ayant mangé son patrimoine, ne
possédait
plus qu’un manteau. Il aperçut une hirondelle qui
on ; car je n’ai tué aucun de vous, et, en dehors de ce cuivre, je ne
possède
rien. » Mais on lui répondit : « Raison de plus p
amené à Rome, il était encore enfant, il n’était plus en bas âge ; il
possédait
déjà trop bien pour l’oublier la langue de son pa
ans des luttes trop contraires à ses goûts. Timide et réfléchi, il ne
possédait
pas cette rapidité de pensée et cette facilité de
vicissitudes il avait pu auparavant subir. La Bibliothèque de Troyes
possède
aussi deux exemplaires de l’édition de Pithou, qu
ral qui ne se compose que de manuscrits, la Bibliothèque Laurentienne
possède
un fonds spécial qui du nom du donateur est appel
r qu’il n’aurait pas pensé de même, si, au lieu de ce lambeau, il eût
possédé
les cinq livres de fables. Au surplus, dans l’édi
u’un petit nombre de personnes et que, pour les entreprendre, il faut
posséder
tout à la fois un grand amour de la science et un
ttribue à tort à M. Dacier : « La bibliothèque de Saint-Remi de Reims
possédait
, avant l’incendie qu’elle a éprouvé en 1774, un m
été incendiée ; ce qui en restait s’y trouverait encore, et elle n’en
possède
rien. La vérité, c’est qu’il n’a pas été apporté
n manuscrit à tous les regards, avait dû porter à penser qu’ils ne le
possédaient
pas, et la similitude qui existait entre les deux
la bibliothèque, Adry avait dû naturellement penser que le manuscrit,
possédé
par lui, provenait de ce sauvetage. Cette supposi
II, et ses livres entrèrent au Vatican. Mais la Bibliothèque Vaticane
possédait
-elle encore le manuscrit de Daniel ? Voilà ce que
lle de Berne et comment, par suite, la plupart des manuscrits qu’elle
possède
proviennent de l’abbaye de Saint-Benoît-Fleury. P
émis l’avis qu’elle pourrait bien n’être pas celle que Burmann avait
possédée
, mais avoir été prise en Hollande sur cette derni
rnière. Ils n’ont pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait
possédé
une copie tirée directement ou indirectement du m
le162. Aujourd’hui je vais plus loin : je crois que le collège n’en a
possédé
aucune. Rétablissons d’abord les faits. Sur quoi
en trouver à Naples un exemplaire chez le libraire Giuseppe Dura, qui
possède
une immense collection de livres anciens. Elle n’
. Nicolle, via Sequanæa, no 12 | MDCCCXII. En tête du volume que je
possède
, une main inconnue a écrit : « Édition donnée par
formé une première copie pour son neveu ; mais ce n’est pas celle que
possède
la bibliothèque napolitaine ; c’est une seconde c
répétée. Après l’avoir extraite une première fois du manuscrit qu’il
possédait
, Perotti a pu oublier sa première copie, et, sans
ers la fin de sa vie qu’il a rédigé sa dédicace, on verra qu’alors il
possédait
encore le manuscrit de Phèdre, dans lequel il ava
cherche par de nombreux exemples à démontrer que les fables, que nous
possédons
, fourmillent d’expressions ou d’idées qui ne perm
perçues et corrigées, tout en un mot démontre que les fables que nous
possédons
ne sont pas l’œuvre originale de Phèdre. C’est un
-il connu que cinq. Mais il est probable que les cinq livres que nous
possédons
nous sont parvenus incomplets. Tels sont notammen
e. Qu’on me permette, à moi qui ai vu et copié celui de Naples et qui
possède
une copie littérale de celui de Rome, de signaler
, et cela est surtout vrai du travailleur. Beaucoup des notions qu’il
possède
au jour de sa mort n’ont pas été l’apanage de sa
s à la division adoptée ; mais au moins faut-il admettre que, si nous
possédons
quelque chose du livre II, ce qui en est resté n’
estinassem terminum operi statuere. De cette seconde partie nous ne
possédons
, outre ce prologue, que le préambule d’une fable
, que, même si nous le supposons plus court que les autres, nous n’en
possédons
encore qu’une très faible partie. La conclusion,
mée, il l’avait envoyée aux Archives, de sorte qu’à mon arrivée il ne
possédait
plus le moindre feuillet du manuscrit. On conçoit
erre de 1870 a procuré une célébrité si lugubre. En effet, elle avait
possédé
une riche abbaye, qui en avait été dépositaire et
ve. Il en résultait bien que la petite bibliothèque de Wissembourg ne
possédait
pas le manuscrit. Mais il n’était pas certain qu’
qui réponde aux indications que vous me donnez. Toutefois, si nous ne
possédons
pas le Codex Wissemburgensis que vous réclamez, j
alyse sommaire du manuscrit des Fabulæ antiquæ et croire que ce qu’il
possédait
en était bien l’apographe. Quant au texte même du
2. De ce qui précède il ressort que la collection du Romulus primitif
possède
un grand nombre de fables se rapportant soit à ce
uble cause. D’abord, comme j’ai eu l’occasion de l’expliquer, nous ne
possédons
pas dans toute sa pureté la collection dont le ma
i ne se rencontrent pas dans le texte de Romulus et que ce dernier en
possède
aussi que le manuscrit de Wissembourg n’a pas con
roquement c’est par suite d’une altération analogue que ce dernier ne
possède
pas toutes les expressions de Phèdre contenues da
une des plus remarquables bibliothèques qu’un particulier ait jamais
possédées
, au professeur Charles Burney, de qui je vais d’a
’ai l’honneur de vous faire connaître que la bibliothèque publique ne
possède
pas le plus ancien manuscrit des fables de Romulu
anuscrit du Mans. La bibliothèque publique de la ville du Mans
possède
un manuscrit, qui, malgré les nombreuses variante
Esopi, et l’épilogue, Magistro Rufo Esopus ; et, d’autre part, il ne
possède
pas la fable De abiete et arundine, qui est la xx
appartient à un fonds spécial qu’on appelle Grenville library et qui
possède
son catalogue séparé. Ce catalogue, dans lequel i
xemplaire dont j’ai fait usage est celui que, sous la cote F. 2. 879,
possède
la bibliothèque Laurentienne, où il dépend du fon
éditions. Sous la cote V. F. 36, la Bibliothèque impériale de Vienne
possède
aussi parmi ses incunables, dans le petit format
bibliothèque publique de Linz, s’il faut en croire son catalogue, en
possède
un aussi sous la cote D. iv. 9. 2º Première é
précieuse édition du xve siècle, dont la bibliothèque de Maëstricht
possède
un exemplaire. L’édition imprimée en caractères q
rouvé quatre exemplaires : ainsi la Bibliothèque du British Museum en
possède
un sous la cote C. 19. D. 5 et la Bibliothèque Bo
le volume était introuvable, et que la bibliothèque ne l’avait jamais
possédé
. En réalité, elle ne l’avait jamais possédé parce
othèque ne l’avait jamais possédé. En réalité, elle ne l’avait jamais
possédé
parce qu’il n’existait pas : la première édition
traduction allemande a été publiée à Francfort. Le British Museum en
possède
un exemplaire sous la cote 12305. aaa. 23. 9º
k bey Niclas Bassee. | 1572. La bibliothèque publique de Versailles
possède
, sous la cote E 717 d, un exemplaire de cette édi
a à s par cahiers, qui, sauf le dernier comprenant dix feuillets, en
possèdent
chacun huit. Elle a été imprimée en caractères go
axton à Londres vers 1500 dans le format in-fol. Le British Museum en
possède
un exemplaire porté au catalogue avec la mention
Vers 1550, d’après le Catalogue de la Bibliothèque Bodléienne qui en
possède
un exemplaire sous la cote Douce A 40, parut de l
le frontispice et quatre derniers pour la table. Le British Museum en
possède
un exemplaire inscrit au catalogue sous la cote 1
table. Au catalogue du British Museum, qui, sous la cote E. 1889, en
possède
un exemplaire, elle est mentionnée en ces termes
en donner ici le texte. J’ai maintenant à signaler les manuscrits que
possède
la Bibliothèque nationale. Je dois dire d’abord q
t moins songé à en faire des extraits. Mais la Bibliothèque nationale
possède
2 manuscrits complets du Miroir doctrinal, dans l
nt de Beauvais du Romulus ordinaire, la Bibliothèque royale de Munich
possède
un manuscrit qui les renferme isolément. Ce manus
dernières fables du Miroir historial, il s’ensuit que le manuscrit ne
possède
plus actuellement que les dix-neuf premières. Enc
quel M. Oesterley n’attribue que 53 feuillets, mais qui en réalité en
possède
64 en parchemin et dont l’écriture est de diverse
iège. Manuscrit 715. La Bibliothèque de l’Université de Liège
possède
, sous la cote 715, un manuscrit du Miroir histori
othèque nationale, sous les cotes G. 209 et G. 210, et celle d’Épinal
possèdent
chacune un exemplaire de l’édition. Section V
la première fable le Romulus de Vienne contient le mot quemdam que ne
possèdent
ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces d
du Romulus de Munich, elles permettent, vu l’âge du manuscrit qui les
possède
, d’affirmer que ce Romulus, quoique conservé par
grecques. La Bibliothèque Ambrosienne, sous la cote I. 85 supra nº 3,
possède
un manuscrit des fables élégiaques, dans lequel l
du xiiie siècle, mais à l’imprimeur, qui, suivant Morelli lui-même,
posséda
au xve siècle une grande réputation. En 1825, da
in les gloses contenues dans les manuscrits des fables élégiaques que
possédait
la bibliothèque royale. L’un d’eux les attribuait
dans un dictionnaire bibliographique la vie de Walther l’Anglais. Je
possédais
l’ouvrage de Jean Bale, imprimé à Bâle de 1557 à
ore très incomplète : à ma connaissance, la Bibliothèque nationale en
possède
treize. Les douze premiers appartiennent au fonds
la déclaration de Rigault ne permet pas de douter que Paul Petau ait
possédé
un manuscrit de Walther, il est constant, ainsi q
ît préférable à plusieurs autres bibliothèques. » Des manuscrits que
possédait
l’abbaye, celui qui nous occupe n’était pas le mo
it de Saint-Victor. Non seulement l’abbaye de Saint-Victor n’en a pas
possédé
un troisième ; mais encore Rigault n’en a connu q
qui lui soit étrangère. Mais il n’en est pas ainsi : ce manuscrit ne
possède
pas les fables qui, dans cette édition, portent l
nt pas non plus identiques. L’ordre dans lequel le manuscrit 1595 les
possède
est différent de celui dans lequel les donne le m
310. Le fonds français des manuscrits de la Bibliothèque nationale
possède
un dernier exemplaire de la traduction en vers fr
6. Orelli en avait conclu que la bibliothèque publique de cette ville
possédait
un manuscrit de Phèdre. C’était une erreur imputa
M. Dressler la prière de lui envoyer une collation du texte que nous
possédions
, avec celui de l’édition des Deux-Ponts. M. Grate
sienne. 4º Manuscrits de Laon. La bibliothèque publique de Laon
possède
deux manuscrits des fables de Walther sous les co
ents438. 5º Manuscrit de Besançon. La bibliothèque de Besançon
possède
un manuscrit qui renferme les fables de Walther.
petit in-4º. Il est formé de 93 feuillets en parchemin. Il devrait en
posséder
97 ; malheureusement au centre d’un des quaternes
nuscrits des bibliothèques françaises, qu’à faire connaître celui que
possède
la Bibliothèque de la ville de Marseille sous la
Manuscrit latin Berol. 87. La bibliothèque royale de Berlin ne
possède
, à ma connaissance, qu’un manuscrit des fables de
mée des fonds d’anciens couvents supprimés, la bibliothèque de Trèves
possède
de nombreux manuscrits fort intéressants. En les
des trois, ont tour à tour répété que la Bibliothèque de Wolfenbüttel
possédait
deux manuscrits des fables de l’anonyme de Névele
it renferme les fables d’Avianus, que j’analyserai ailleurs ; mais il
possède
aussi, quoiqu’elle ne les mentionne pas, les soix
iter ordinate. La fable xlviii se compose de trente-cinq vers. Elle
possède
les deux distiques qui montrent la veuve brisant
fable xlviii, comme dans plusieurs manuscrits précédemment analysés,
possède
les deux distiques suivants, qui montrent la matr
é. Elle est riche en livres précieux et notamment en incunables. Elle
possède
, il est vrai, peu de manuscrits ; mais ils sont d
llège à Oxford. Manuscrit CCLXIX. Le nouveau collège à Oxford
possède
un manuscrit de Walther sous le nº CCLXIX. C’est
liothèque royale de Bruxelles. La bibliothèque royale de Bruxelles
possède
les fables de Walther dans deux manuscrits portan
§ 7. — Espagne. 1º Bibliothèque nationale. Cette bibliothèque
possède
deux manuscrits des fables de Walther. A. Manus
galement extrait les fables de Walther. La bibliothèque palatine n’en
possédait
qu’un seul ; c’est du moins ce qu’atteste ce sous
es sont surmontées de titres à l’encre rouge. La quarante-huitième ne
possède
que les trente vers authentiques. Les deux derniè
e huit feuillets chacun dans une ancienne reliure à plats en bois, ne
possède
que les fables de Walther dues à un copiste itali
par cette souscription : Explicit liber Esopi. La fable xlviii ne
possède
que les quinze distiques ordinaires. D. Manusc
é après la soixantième, enfin la fable De Viro et Uxore adultera, qui
possède
après le quatorzième vers le distique suivant, ra
is par une grosse et belle écriture italienne du xive siècle. Il ne
possède
que les fables de Walther annoncées par ce titre
67 ; mais les 60 premiers ont disparu, de sorte qu’en réalité il n’en
possède
plus que 307. Ils sont en parchemin, et l’écritur
ibliothèque royale de Bruxelles, sous le nº 1529 substitué au nº 997,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition in-4 compo
c. a. 620 et la bibliothèque publique de Nuremberg sous la cote 139,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition in-4º qui
I. H. ii et la bibliothèque publique de Linz sous la cote B. 131. b.,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition in-4º, qui
ch sous la cote Inc. c. a. 716 et la bibliothèque royale de Stuttgart
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. — Esopus
Impressus anno salutis nostre M. cccc. xci sexto ydus Octobris. Je
possède
un exemplaire de cette édition in-4º, que je n’ai
mensis iunii. Sous la cote 10973 la bibliothèque publique de Dijon
possède
un exemplaire de cette édition. — Esopus moralis
b. 536, et la bibliothèque publique de Linz, sous la cote B. 100. B,
possèdent
des exemplaires de cette édition classique in-4º,
. 1360 et A. Gr. b. 61 et la bibliothèque privée du roi de Wurtemberg
possèdent
des exemplaires de cette réimpression qui forme u
ie d’un fermoir. À Hanovre, la Bibliothèque du roi, sous la cote 201,
possède
également un exemplaire de cette réimpression. —
l se compose comprenant chacun huit feuillets, il s’ensuit qu’il n’en
possède
en tout que 32. Il contient seulement les fables
À la fin : Lugd. per Jo. Marion 1519. La bibliothèque Bodléienne
possède
un exemplaire de cette édition classique coté x.
23. 4, et à Cordoue, la Bibliothèque provinciale, sous la cote 8. 98,
possèdent
chacune un exemplaire de cette rare édition.
, et à Padoue, la Bibliothèque de l’Université, sous la cote 53. 329,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. 1561.
La Bibliothèque Palatine de Parme, sous la cote Sal. M* VIII. 40304,
possède
un exemplaire de cette édition. 1784 et 1810.
elle a été en partie perdue, mais parce que le paraphraste n’a pas ou
possédé
ou voulu mettre en langue allemande la totalité d
Bibliothèque Riccardienne, je n’ai pas examiné les manuscrits qu’elle
possède
des traductions en langage vulgaire des fables de
du xive siècle. Les cinquante-trois fables en prose italienne qu’il
possède
sont contenues dans douze feuillets et se termine
été donné à celle qui suit la trente-huitième. Il s’ensuit qu’il n’en
possède
en réalité que soixante-trois. Manuscrit 1764.
que Laurentienne ; mais elles débutent par cette invocation, qu’il ne
possède
pas : A nome di Dio Amamen ! et à la suite de l
tre italienne intitulée : Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le volume
possède
deux derniers feuillets en parchemin qui n’ont pa
e de Vérone sous la cote 178. 1 et celles de Brescia et de Bergame en
possèdent
chacune un exemplaire. — Volgarizzamento || dell
us la cote A. XXXIX. GG. 33, et celle de Vérone, sous la cote 183. 1,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. 1837.
a Bibliothèque de Vérone, sous la cote 181. 1, et celle de Bergame en
possèdent
chacune un exemplaire. 1840. Esopo || v
dont la Bibliothèque Marcienne, sous le nº 58848, et celle de Vérone
possèdent
chacune un exemplaire. 1854. Esopo || v
errare, sous la cote L. 3. 6, et celle de Vérone, sous la cote 182.1,
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. 1856.
m, sous la cote C. 1. a. 5 et la Grenville Library, sous la cote 7729
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. 1483.
ouvrages, il a porté avec eux la cote 6534 Y. La Grenville library en
possède
un également, sous la cote 7732. 1487. Ap
467. La bibliothèque du British Museum, la Bodléienne et la Colombine
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition : la premi
3. a di 17. || Agosto. La Bibliothèque de Vérone, sous la cote 77.2
possède
un exemplaire de cette édition. 1497. E
VI. 74, la Bibliothèque de l’Université de Ferrare sous la cote O. 66
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. — Esopo
de neuf cahiers ayant chacun huit feuillets sauf le cahier e qui n’en
possède
que six, soit au total soixante-dix. Elle renferm
ary sous la cote 7743 et la Bibliothèque de Vérone sous la cote 105.4
possèdent
chacune un exemplaire de cette édition. ― Le fab
table des matières et la marque de l’imprimeur. La Grenville library
possède
un exemplaire de cette édition sous la cote 7744.
nore. M. ccccc. xx. A di || xxv. de Septembre. La Grenville library
possède
un exemplaire de cette édition sous la cote 7750.
Anno Dñi. M. d. xxxiii. || Die xxvii. Octobr. La Grenville library
possède
un exemplaire de cette édition sous la cote 7754.
Venetia per Francesco || de Leno. 1566. La bibliothèque Ambrosienne
possède
un exemplaire de cette édition sous la cote S. Q.
des fables dont elle se compose. En comprenant quatre-vingt-une, elle
possède
toutes celles du Romulus primitif, sauf les trois
au. Il est en effet difficile de comprendre comment la collection qui
possède
ces fables peut provenir de celle dans laquelle e
manuscrit 303. Pour ne parler que de la fable ésopique, on voit qu’il
possède
plusieurs des collections du moyen âge qui nous s
us ancien. Ensuite, quoique ne comprenant que cinquante fables, il en
possède
une qui n’existe pas dans le manuscrit 303, à sav
rit de Vienne 303 pris pour base ; mais, dès que les deux dérivés les
possèdent
, elles ne peuvent provenir que des modèles employ
que le Romulus de Florence, offrant des expressions de Phèdre que ne
possède
pas le Romulus ordinaire, ne procède pas de ce de
Esopi. Le manuscrit de Leyde, moins complet que les deux autres, ne
possède
que 45 fables, et, comme c’est le seul que Nilant
é à signaler. Le Romulus primitif et ses dérivés déjà passés en revue
possèdent
la fable du Lion qui s’est associé avec la Vache,
sayé de dresser la liste des fables dont il s’est composé. Combien en
possédait
-il ? Il est difficile de faire à cette question u
étrangères à ce Romulus, et, voyant que la collection de 22 fables en
possédait
une qui manquait dans l’autre, il l’a ajoutée et
. Or cette thèse est inconciliable avec l’âge des manuscrits que nous
possédons
. Qu’on examine par exemple le manuscrit français
est la quatre-vingt-deuxième ; il en résulte que ces manuscrits n’en
possèdent
en réalité que 103. Mais ce n’est pas parce que l
trois fables n’offrait pas uniquement les mêmes que tel autre qui en
possède
une égale quantité, il pourrait se faire que le n
anuscrits 2173 et 14971. Le manuscrit 2173, qui comprend 104 numéros,
possède
par exception 104 fables, et deux d’entre elles s
fame. Le manuscrit 14971, quoique ne comprenant que cent fables, en
possède
deux qui n’existent pas dans l’édition de M. de R
ère que le texte latin, tout en comprenant cent trente-six fables, ne
possède
pas toutes celles que Marie a traduites, on est o
i les autres, les plus complets, sous un nombre égal de numéros, n’en
possèdent
en réalité que 103. Sur les 104 fables il n’y en
tre menteur. En revanche, ainsi que je l’ai précédemment expliqué, il
possède
, sous les nos 61 et 103, deux fables étrangères à
-même est suivi du mot Explicit. Il s’ensuit que le manuscrit ne peut
posséder
les fables de Marie qu’à concurrence de 98. Mais
tion poétique de Marie ne s’y trouvait pas tout entière et qu’il n’en
possédait
que quarante-neuf fables. Il s’ensuit que les fab
et du commencement de la suivante. Le manuscrit, en somme, n’a jamais
possédé
que 65 fables, et, sauf les deux devenues incompl
possédé que 65 fables, et, sauf les deux devenues incomplètes, il les
possède
encore. Ces soixante-cinq fables étant les soixan
ni d’un titre particulier en tête de chacune d’elles. Le manuscrit en
possède
non 93, comme un numérotage inexact porterait à l
en parchemin, dont l’écriture sur 2 colonnes est du xiiie siècle. Il
possédait
à l’origine 50 feuillets ; mais il est privé du p
de 88, d’où il suit que, pour être complète, la collection devait en
posséder
15 de plus. Les quinze qui manquent sont celles q
ce Romulus n’a créé qu’un recueil de pièces choisies tel que nous le
possédons
. Maintenant faut-il, ainsi que l’examen isolé de
rd et du Corbeau. Ici, à défaut du texte du Romulus anglo-latin, nous
possédons
celui du Romulus de Nilant, qui en est le père et
rbe, mais à la troisième personne du pluriel. D’autre part, le Dérivé
possède
une expression qui n’existe pas dans le Romulus p
le renferment. Tandis que, dans la fable du Lion malade, telle que la
possède
le Dérivé complet, le Loup et le Renard sont appe
echerches, il était supposable que, si la bibliothèque l’avait encore
possédé
, il l’aurait retrouvé. En 1889, étant retourné à
ement au nombre de 134. La collection, pour être complète, devrait en
posséder
deux de plus, celles qui, dans la nomenclature pr
l’épimythion d’une dix-septième d’origine différente, le manuscrit en
possède
quarante-deux, presque toutes issues de ce fabuli
rencontrés sur le continent, les villes de Güttingen et de Trèves en
possèdent
cinq. Alors est survenu Gérard de Minden, qui, re
il comprend 136 fables, il s’ensuit que les feuillets manquants n’en
possédaient
pas plus de treize, qui auraient été les suivante
sible. On se rappelle que le Romulus de Nilant, quoique étant loin de
posséder
autant de fables que le Romulus primitif, en cont
dans le Dérivé hexamétrique. Il suffirait d’ajouter que ce Dérivé ne
possède
aucune fable étrangère au Romulus de Nilant, pour
rythmique renferme trois dernières fables que le Romulus de Nilant ne
possède
pas, il faut remarquer que c’est une petite addit
ge du Corpus Christi de Cambridge, porte, dans la bibliothèque qui le
possède
, non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les
avec le millésime de 1489. J’en peux citer également deux autres que
possède
la Bibliothèque impériale de Vienne, l’un sans da
iographicum, tome I, p. 36. 331. À Vienne, la bibliothèque Albertine
possède
un exemplaire des fables de Romulus qui me paraît