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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 32. L’agneau et la chèvre » p. 506
ne berbiz ot aignelé, e li bercher l’en ad osté sun aignelet, si l’en porta . A une chevre le bailla, que de sun leit l’ad bie
e meuz deit estre ma mere cele que me sot pestre, meuz que cele ke me porta e qui de li me desevera. »
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 160 » p. 130
pieds alléguaient qu’ils étaient tellement supérieurs en force qu’ils portaient même l’estomac. À quoi celui-ci répondit : « Mais
ne vous fournissais pas de nourriture, vous-mêmes ne pourriez pas me porter . » Il en va ainsi dans les armées : le nombre, le
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
e leur Maistre, et partagerent entr’eux les fardeaux qu’ils avoient à porter . Esope se mit alors à les prier de luy donner le
toucher à ces paroles ils luy respondirent, qu’ils le dispensoient de porter aucune chose, s’il ne le vouloit. Mais luy n’en d
re chargé d’une corbeille pleine de pain, que deux personnes devoient porter . Par ceste action il appresta d’abord à rire à se
de soupplesse, et fait plus sagement que eux, en ce qu’il avoit voulu porter les pains, bien asseuré qu’il en seroit déchargé
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XX. Le Coq et la Perle. » p. 503
it bien mieux mon affaire.

 Un ignorant herita
 D’un manuscrit qu’il porta Chez son voisin le Libraire.
 Je crois, dit-il, q
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
ax l’impetueux, Que ce Colosse monstrueux Avec leurs escadrons devoit porter dans Troye, Livrant à leur fureur ses Dieux mesme
la Bergere adressant ces paroles Au doux Zephire, et le priant De les porter à son Amant. Je vous arreste à cette rime, Dira m
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VIII. Le Vieillard et l’Asne. » p. 476
it alors le Vieillard. Pourquoy ? répondit le paillard ; Me fera-t-on porter double bast, double charge ? Non pas, dit le Viei
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVI. Le Cheval et l’Asne. » p. 181
Et reconnut qu’il avoit tort. Du Baudet en cette aventure On luy fit porter la voiture, Et la peau par dessus encor.
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
uz de sa tesniere ; od ses enfanz devant jua. Un egles vient, l’un en porta . Li gupilz vet aprés criant qu[e]’ il li rendist
9 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [74.]. DEL GALLO, E ’L GIOIELLO. » p. 503
ventura, che mi viene in mano. La gente, che ti compra, e al collo porta ,     Potria prezzarti ; io no : che stimo quello
10 (1180) Fables « Marie de France, n° 27. L’homme et ses membres » p. 130
e ses piez e de sun chief — k[i]’ ert iriez vers sun ventre, qu[e]’il porta pur lur guaainz qu[e]’il gasta. Dunc ne volstrent
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 96. Le lièvre et le cerf » p. 658
en », il li respunt. Dunc ot cornes al chief* amunt. Mes ne poeit mie porter , kar ne saveit od tut aler ; car plus aveit que n
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
aine Des mines d’or fournit ce qu’on voulut. Comme il fut question de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’offrirent, Assist
, tout fardeau m’embarasse. Obligez-moy de me faire la grace Que d’en porter chacun un quart. Ce ne vous sera pas une charge t
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277
chantoit la pauvre Philomele.
 Ma sœur, luy dit Progné, comment vous portez -vous ? 
Voicy tantost mille ans que l’on ne vous
14 (1180) Fables « Marie de France, n° 33. Le voleur et les brebis » p. 575
e champ esbanïer ; les berbiz sanz garde trova, un’ en ocist, si l’en porta . Chescun jur* el champ rev[en]eit, sis enporta e
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 42. Le riche qu’on saigne » p. 684
sanc, ceo dist, conustreit quel enferté ses peres aveit. La meschine porta le sanc enz sa chambre desuz un banc. Mes mut li
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 344 » p. 375
6 Mb 218 Mc 96 Md 107 Mh 93 Mi 23 Mm 134 Mn 33. Un homme chauve qui portait perruque cheminait à cheval. Le vent, s’étant mis
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
taire, Est-ce à toy d’envier la voix du Rossignol ? Toy que l’on voit porter à l’entour de ton col Un arc-en-ciel nué de cent
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 51. Le singe et son enfant » p. 364
demander s’il fu mut beus, e il li dit unc plus leide beste ne vit ; porter li ruve a sa meisun, e si recorde ceste reisun :
19 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [48.]. DELL’ASINO, CHE PORTAVA IL SIMOLACRO. » p. 182
bo cor questo è figura, C’ha di publico honor titolo e nome, E non si porta in suo costume, come La prudenza richiede a sua n
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
3 Ml 128. Un jour, les ânes excédés d’avoir toujours des fardeaux à porter et des fatigues à souffrir, envoyèrent des messag
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 20. Le voleur et le chien » p. 403
erbiz embler qu’il espia dedenz la faude a un vilein. Ensemble od lui porta un pein ; al chien voleit le pain bailler, ki la
22 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [94.]. DELLA VOLPE, ET DELLA SIMIA. » p. 
E in esiglio da lui lontan vivesse Essendo privo de l’honor, che seco Porta la coda, che vergogna asconde. Allhor la Volpe im
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
zon accourt avec furie
 Le plus terrible des enfans
 Que le Nort eust porté jusques-là dans ses flancs.
 L’Arbre tient bon, l
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
beau chanter matin ; Je suis plus matineux encore. Et pourquoy ? Pour porter des herbes au marché. Belle necessité d’interromp
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 126 » pp. 106-106
idéal ! » répondit la tortue. Zeus indigné contre elle la condamna à porter partout sa maison sur son dos. C’est ainsi que be
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 343 » pp. 223-223
chienne prétendait que, seule de tous les quadrupèdes, elle avait des portées courtes. « Quand tu dis cela, répartit la truie,
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
y vous sert votre vîtesse ? Moy l’emporter ! et que seroit-ce Si vous portiez une maison ?
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
celebres dans le monde. Hercule, luy dit-il, aide-moy ; si ton dos A porté la machine ronde, Ton bras peut me tirer d’icy. S
29 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [29.]. DELLA CORNACCHIA, ET DEL CANE. » p. 127
e : E l’humiltade ogni durezza doma ; E spesso avien, che la vittoria porta De l’huom superbo e di feroce core Colui, ch’a te
30 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [41.]. DEL PORCO, ET DEL CANE. » p. 
Non per odio, o dispetto, in ch’ei mi tenga ; Ma per amor, ch’egli mi porta , e farmi Di quello instrutto, ond’io possa esser
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
ule raison, ou si l’instinct de la nature mesme est capable de nous y porter . J’estime pour moy, que les deux causes ensemble,
ible. Cela se fait donc, à mon advis, par la naturelle amour que nous portons à la gloire, qui nous empesche de nous arrester à
res avoir exhorté tous les hommes vindicatifs de ne se laisser jamais porter à leur passion contre les foibles, et de ne s’arr
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 29 » p. 232
r le courant, répondit : « J’ai un message pour Milet, et je veux l’y porter  ; à mon retour je vous ferai voir le passage. » C
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 208 » pp. 339-339
aussi, comme associé à part égale ; quant à la troisième, celle-là te portera malheur, si tu ne te décides pas à décamper. » Il
34 (1180) Fables « Marie de France, n° 26. Le loup et le chien » p. 346
. Einz que a vile feussent venu, garda li lus, si ad veü cum le chien porta sun coler, sa chaene le vit traïner. « Frere », f
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 70 » pp. 45-45
ait, ils se retournèrent et lui dirent : « Hé ! l’ami, c’est nous qui portons toute la charge, et c’est toi qui cries ! » Ainsi
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
nait et se plaignait que le mulet, jugé digne d’une double ration, ne portât pas plus que lui. Mais, quand ils eurent fait un
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
s son minois hypocrite Contre toute ta parenté D’un malin vouloir est porté . L’autre animal tout au contraire, Bien éloigné d
38 (1180) Fables « Marie de France, n° 11. Le lion chasseur » p. 149
cerf departira. « Ceo est », fet il, « en mun seignur, qui nus devum porter honur. » Li leüns ad dit e juré que tut ert suen
39 (1180) Fables « Marie de France, n° 18. Les grenouilles qui demandent un roi » p. 376
m rei, e chescune li pramet fei ; tutes le tienent pur seignur, si li portent [mut] grant honur. Mes, quant le trunc ne se remu
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
memoire, fut honoré parce Grand Prince du haut Privilege de pouvoir porter trois Fleurs de lis dans ses Armes. Ce fut une
agrandie par ses sages Maximes, elle a maintenu la Paix au dedans, et porté la Guerre au dehors ; D’où elle s’est acquise la
gens, et dans leur estime. Vous avez, comme le Lion un Cœur genereux, porté de luy-mesme aux actions magnanimes ; et comme l’
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
-mesme, que se fier à leurs impostures, principalement apres en avoir porté la penitence ?  
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
pagnons, pour se jetter dans le party des Ennemis. Toutesfois elle en porta bien-tost la punition : car les Oyseaux ayant gag
plus rigoureusement, ce seroit violenter un Mal-heureux, et luy faire porter la penitence des defauts de sa nature. Que si l’o
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
us, soumis et asservis aux hommes, vous endurez d’eux les coups, vous portez des colliers et vous gardez les troupeaux ; et qu
44 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
tresi est del traïtur que meseire vers sun seignur a ki il deit honur porter e leauté e fei garder ; si sis sires ad de li mes
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
140 Bb 85. Il y avait dans le champ d’un laboureur un arbre qui ne portait pas de fruit, et qui servait uniquement de refuge
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
, qui ne s’enhardit pas tant d’enlever le Mouton, par un desir qui le porta naturellement à le faire comme pour sembler égal
tions et les meurtres, qui desolent miserablement les Estats, et font porter aux petits la penitence de l’Ambition des Grands.
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
es tiennent cela de leur sexe d’estre naturellement volages, et moins portées au mal quand on les sçait avoir par la flatterie 
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
éviter, que de les bien cognoistre, et de voir les interests qui les portent apparemment à la complaisance qu’ils nous témoign
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 16 » pp. 279-279
ourri. Et elle lui dit : « Entre la meule à tourner et les fardeaux à porter , ta vie est un tourment sans fin, » et elle lui c
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
is à tant de travaux. Mais vint le temps de la guerre : le cheval dut porter un cavalier armé de pied en cap, et celui-ci le p
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
tous et leur conseilla avant tout de couper le gui aux chênes qui le portaient  ; mais si cela leur était impossible, de se réfug
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
endemain il le fût encore visiter, et luy demanda comment il s’estoit porté la nuict passée ? « Helas ! », s’escria-t’il d’un
53 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
veit le quor emblé*, si l’ad mangé e devoré*. Quant il voleient avant porter , si nel porent mie trover. Entr’eus en tienent mu
54 (1180) Fables « Marie de France, n° 93. Le loup et le bouc » p. 680
uident tut a escïent que autre deive pur eus preer e lur message bien porter  ; si parolent le plus pur eus e leissent si ublïe
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
lasmables au double de jetter en arriere toutes considerations, et se porter opiniastrément à une action eslevée au dessus de
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
es où ils font forcez à dire la verité, et ne sçauroient en ce cas là porter un faux tesmoignage, comme il arrive aux adjurati
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
raison à l’Univers de l’usurpation des Medes ? Le grand Alexandre ne porta -il pas les armes des Grecs jusques chez les mesme
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
vy un lopin, où estoient attachez quelques charbons encore flambants, porta le tout en son nid : et d’autant qu’il estoit fai
oy des Oiseaux vint à estre le favory de Jupiter, qu’il fût employé à porter les armes, et qu’il se mesla de l’infame minister
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
bien plus difficile de dégourdir nostre ame contre les miseres, et la porter dans le chemin de la consolation, que d’arrester
r mieux participer à nostre fortune, nous conseillent follement de la porter au delà de l’impossible, au lieu que s’ils nous a
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 274 » pp. 179-179
au mécontent, parce qu’on le chargeait davantage et qu’on lui faisait porter l’argile et la poterie. Aussi demanda-t-il encore
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
s de cruauté s’estoit fait plusieurs ennemis en ses jeunes années, en porta la peine en sa vieillesse. Car durant cet âge deb
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
re, commença de promettre monts et merveilles à quiconque la voudroit porter au Ciel. L’Aigle l’y esleva donc, et luy demanda
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
d’Asne paroissent visiblement. Les Fanfarons tout de mesme, ont beau porter leurs longues espées, faire les Rodomonts dans le
64 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [97.]. DELL’ALLODOLA. » p. 325
el Passero, et di piuma a lui simile, Ma sopra il capo un cappelletto porta Di piume, ch’assai vago in vista il rende : Quest
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
Car les hommes d’aujourd’huy sont d’un naturel si dépravé, qu’ils se portent plus volontiers à la convoitise d’un bien faux, s
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
e songent pour ceste heure là qu’à se vanger. Car quoy qu’extrémement portez à la timidité, ils ne sont pas toutesfois dépourv
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
t renduë si forte, sans la parfaicte intelligence de tous ceux qui en portent le nom, tant en la haute et basse Allemagne, qu’e
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
t à bout des plus hautes entreprises, où la Valeur et le Courage nous portent . Toutesfois comme l’eau croupit insensiblement, e
69 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 201 » pp. 147-147
s, ayant trouvé un faon de biche, se battaient à qui l’aurait. Ils se portèrent l’un à l’autre des coups terribles, tant qu’enfin
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
l’occurrence des matieres. Je vous les dedie, MONSIEUR, pour y estre porté naturellement par la grande inclination que j’ay
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
s meschants sont d’ordinaire enveloppez dans leurs propres menées, et portent presque tousjours le dommage qu’ils veulent faire
72 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 60 » pp. 35-35
itié avec un satyre. L’hiver étant venu et avec lui le froid, l’homme portait ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le sat
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
ste orgueilleuse espece d’ingratitude, si est-ce qu’il y en a qui s’y portent d’une inclination particuliere, et dérobent artif
74 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
lia les pieds, on vous le suspendit ;
 Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre ;
 Pauvres gens, idiots, couple i
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
que toute richesse est dangereuse à nos ames. Car, de grace, qui nous portera mieux dans l’excez que l’excez mesme ? Comment no
destourner les poursuittes des parents mesmes ? Avec tant d’appas qui portent au Vice, de quelle extraordinaire vertu faut-il e
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
peut avoir conçeuë contre la personne injurieuse, voudra-t’il bien en porter la penitence par sa propre douleur ? Un autre l’a
e toute autre sorte de bien-veillance ne peut ny ne doit legitimement porter le nom de vraye amitié. Le commerce des Meschants
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
’est qu’une Gruë, te rend la pareille de fort bonne grace, et te fait porter la peine de ta mocquerie. Ne sçais-tu pas que cha
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
’est l’exercice et la condition des gents de bien, d’autant qu’ils se portent aux bons objects, pour se transformer en eux, et
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
 qu’à ta malice est jointe une grande perfidie : car tant que je t’ay porté de l’honneur et du respect, je n’ay reçeu aucun b
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
sçavoir, si ceux qui ont esté en la compagnie des meschants, doivent porter la peine comme eux du crime qu’ils ont commis. Je
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
arrive à tels Conquerants de venir à bout de leurs entreprises, et de porter leurs desirs jusques à l’extremité, ne les voyons
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
assez fait de progrés dans le discours : Ils ne s’estoient pas encore portez assez avant dans l’estude des Arts, pour occuper
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
rniers ont eu fort peu de nom et de durée, au lieu que les autres ont porté leur gloire par dessus toutes les nations de leur
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
de mesme de la robe de son Compagnon, qu’il prit pareillement, et la porta derechef à sa Mere, a qui ce larcin fût encore pl
85 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
re davantage. Dès lors, croissant en âge et devenu jeune homme, il se porta à des vols plus importants. Mais un jour il fut p
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
es champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, « quelque arbre a t’il porté du fruict avant le temps, ou bien y a-t’il quelqu
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
és, avec apparence de l’y vouloir jetter. Il se retint neantmoins, et porta sa veuë sur le Païsan, qu’il avoit pour hoste, af
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
y prenons aussi plus de plaisir, et par consequent que nous y sommes portez avec plus d’envie. A ces raisons j’en pourrois ad
89 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
conciliant l’ordre des temps avec les exigences de la philologie, je porterai mes regards sur le fabuliste qui a été le success
orcément éloigné des études philologiques, j’étais tout naturellement porté à douter de la valeur de mon œuvre et à craindre
ouver leur place dans un travail véritablement complet. Amené ainsi à porter mon attention non seulement sur l’œuvre de Phèdre
tant originaire d’un pays de langue grecque, n’avait pas besoin, pour porter son nom grec, qu’Auguste le lui eût donné. Tout a
tention, que, bien des siècles plus tard, les critiques devaient être portés à lui imputer, il a, dans le prologue de son livr
mille d’Auguste et croyant dès lors avoir en lui un ennemi, avait été porté à voir des attaques personnelles dans certaines f
p à souffrir de ses accusations. Gude, par cette manière de voir, est porté à penser que les fables ne furent publiées qu’apr
de l’homme. Parlons d’abord de la valeur de l’écrivain. Quand on veut porter un jugement sur un homme de lettres, il faut touj
itiques. Il continua à contempler, avec une tristesse dont ses écrits portent l’empreinte, les sanglantes discordes de la Franc
es de la France, et, quoique rentré dans la vie privée, il essaya d’y porter remède. Quand il vit que, pour satisfaire son amb
tienne de Florence. Les deux exemplaires de la Bibliothèque nationale portent sur le Catalogue imprimé de 1750, l’un la cote Y 
ires de l’édition de Pithou, qui, dans le fonds appelé Cabinet local, portent les nos 221 et 222. Le premier de ces deux exempl
taient de Grosley ; mais, quand on les compare à sa signature, on est porté à les attribuer à une main beaucoup plus ancienne
ut bien aussi me communiquer l’exemplaire de l’édition de Pithou ; il portait sur le catalogue le nº 252 et la lettre F. Bongar
. 9. Il est parfaitement conservé, et ses marges, quoique pleines, ne portent aucune note manuscrite. Je n’ai aucune observatio
re in-12101. Cette première édition, comme celles de 1617 et de 1630, portait en tête la lettre au président de Thou. Seulement
ui il l’avait promis, il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variantes écrites de sa main, il s’aperçut de
le dans l’imprimé, le premier des deux était conforme à celui qu’elle portait dans le manuscrit de Pithou. Cette observation m’
uvent presque toutes dans le manuscrit de Pithou, on est tout d’abord porté à penser que c’est à ce manuscrit que se rapporte
pour combler les vides laissés par Dom Vincent, que des variantes qui porteraient avec elles l’indication expresse de leur origine.
accepter aveuglément les variantes de Dom Vincent ; car le volume qui portait ses notes manuscrites a disparu, et il est possib
ent, en silence, soustrait son manuscrit à tous les regards, avait dû porter à penser qu’ils ne le possédaient pas, et la simi
st plus probable, suppose une fable perdue, qui devait la précéder et porter pour titre le mot Cæsar. Il y avait lieu de suppr
em , qui laissaient voir la trace du texte primitif ; celui de Pithou portait les mots : Æsopo ingentem , qui aggravaient la p
ement : 1º que M. l’abbé d’Olivet qui voulut voir cette comédie, n’en porta d’autre jugement, sinon que “ce fut celle-là même
nt une division spéciale, formant dans l’immense galerie un fonds qui portait encore son nom, il m’assura que la recherche sera
manuscrit copié à une époque relativement peu éloignée de sa mort, a porté Angelo Maï à croire qu’il ne devait pas être orig
vant laquelle, au lieu des mots mala videre , le manuscrit de Daniel porterait ceux-ci : mala dare. C’est encore sur la foi de
Veterum fabularum epitome ; et ce fut sous ce titre inepte qu’il fut porté , dix autres années après, sur le catalogue des ma
és subis par mon édition, m’ont fait penser que, pour te détourner de porter un jugement trop sévère contre moi et contre les
, dix-huit mois auparavant, Cassitto avait eu recours. Le frontispice portait ces mots : Phaedri fabulae | ex | codice Perotti
Judicia virorum illustrium. De plus en plus furieux, Jannelli voulut porter à son adversaire le dernier coup : il songea à so
lo Maï le découvrit dans le fonds de Frédéric Veterani d’Urbin, où il portait la cote 368. Après toutes les explications que j’
secondaires, n’avaient pas plus de valeur que le principal. Le coup, porté par le grand critique de Harlem, n’en avait pas é
tand du Méril, qui a été un philologue très instruit, mais aussi très porté par une imagination trop vive à inventer d’aventu
iques ; les contes arabes, qu’on peut considérer comme des apologues, portent la trace de leur origine indienne. Elle pénétra é
equel il voulait s’exercer : Grec lui-même, il dut être naturellement porté à en adopter la langue et la prosodie. Si cela es
iquerait pas s’il s’agissait de corrigés ; car le maître n’aurait pas porté sur le cahier d’honneur des fragments de fables ;
nnes. Ce qui en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur des fables qui portent son nom, qu’affranchi d’Auguste il les écrivit so
ils ingéniés à les rétablir en vers ïambiques. Les fables elles-mêmes portent les traces de leurs lacunes. Après la fable xiii
qui ne se trouvent pas dans les manuscrits de Phèdre, sont celles qui portent les numéros 4, 6, 8, 13, 17, 18, 19, 20, 24, 25,
ue de ce savant, dont ce manuscrit faisait partie et dans laquelle il portait le numéro 294. Il est probable qu’il l’avait lui-
. — La première de ces deux pages et le commencement de la seconde ne portent aucune écriture. Fol. cxci a à cxciv a. — Calendr
crit qui contenait une collection latine de fables ésopiques, elle me porta à penser que ces fables étaient peut-être celles
cien texte. Là encore tous les manuscrits étaient en dissidence ; ils portaient , celui de Pithou : Tunc demum ingemuit Corvi dec
t qui manque au manuscrit de Pithou. Ce feuillet très certainement ne portait aucune fable de Phèdre. Le manuscrit de Reims qui
de Cantorbery, mort en 1716. Légués par lui à la Bibliothèque, ils y portent les cotes 639 à 928. C’est lui qui est l’auteur d
et c’est en m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus ordinaire, que je vais l’examin
es savants sur la voie de la vraie solution. Mais personne n’y entra. Porté par la nature de son esprit à se passionner pour
gustule et à Ranutio d’Arezzo ; mais on continua à penser qu’il avait porté le nom de Romulus. Cette pensée ne pouvait pas pr
s, mais bien pour ce qui est de savoir quel est, de tous ceux qui ont porté ce nom de Romulus, celui qu’on peut le plus vrais
6 qui ont été empruntées aux anciennes de Phèdre ; ce sont celles qui portent les numéros 1, 2, 3, 5, 6, 7, 11, 12, 13, 14, 15,
dont quatorze seulement existent dans les anciennes de Phèdre. Elles portent les numéros 7, 12, 14, 17, 20, 21, 22, 23, 24, 26
nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans le livre I, portent les numéros 3, 12, 17, 18, 19 et 20 ; dans le liv
ins nombreuses que celles de l’Æsopus ad Rufum, elles sont loin de ne porter que sur des sujets traités dans cet Æsopus. D’une
ents ou des excerpta du véritable Romulus321. » Ce qui paraît avoir porté M. H. Oesterley à cette erreur, c’est que le code
reçus du conservateur le manuscrit tant désiré. Je m’empressai de le porter au Consulat et de m’installer dans la salle que l
ollège, et, pendant une heure environ, examiner le petit in-folio qui portait la cote 42. Je n’ai pas tardé à me convaincre que
e manuscrit, il aurait vu qu’il contenait le Romulus ordinaire, qu’il portait en tête, sans modification notable, la dédicace à
miers feuillets seraient totalement blancs, si le recto du premier ne portait cette courte table des matières : Johēs de Muris
ue la fable De Vulpe et Gallo, venant après la fable xxii, ne pouvait porter le nº xviii, et ont, à gauche de ce numéro, ajout
, et les quatre premiers feuillets de chaque cahier, au bas du recto, portent , indépendamment de la lettre d’ordre, un numérota
cation des matières, les voici accompagnées des numéros que devraient porter les feuillets et des signatures dont ils sont rée
urs typographiques. Le fol. 81 b (m. iii b) et le fol. 82 b (m. iv b) portent extrauā au lieu de fabule novæ, les fol. 83 b et 
ses fautes. Les fol. 87 b, 88 b et 89 b (n. iii b, n. iv b et n. v b) portent noue fabule au lieu de fabule, les fol. 90 b et 9
ns les titres courants. Les fol. 100 b et 101 a (p. ii b et p. iii a) portent fabule-uiani (sic) au lieu de collecte-collecte,
és de la lettre spéciale au cahier ; les quatre derniers feuillets ne portent aucune signature. Contrairement à la régie d’alte
la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois derniers feuillets ne portent aucune signature. Cette seconde édition de 114 fe
manquent aux deux premiers feuillets du cahier a, les cahiers d et h portent les signatures d.ij et h.ij, par erreur le quatri
titres courants ont été oubliés, et les feuillets g. i a et g. viii b portent , le premier, liber au lieu de secundus, et le sec
nt offrent de nombreuses fautes : ainsi les feuillets m. iii et m. iv portent au verso extraua, au lieu de fa. noue. Fol. 86 b.
fs. Ainsi les feuillets n. iii, n. iv, n. v, n. vi, n. vii et n. viii portent au verso noue fa. au lieu de fabule, et les feuil
de nouvelles fautes : ainsi les feuillets p. vii et p. viii au recto portent Auiani au lieu de collecte. Comme dans les éditio
r Gerardum Leeu in opido Goudensi 1482. 4. Si mes regards s’étaient portés sur l’astérisque qui probablement lui avait inspi
1 liv. et 10 schellings, et qui, n’ayant pas encore été catalogué, ne portait aucune cote. Enfin à la bibliothèque royale de Br
qui en avaient été publiées à l’époque de la Renaissance leur avaient porté un coup fatal. 7º Édition de Schwabe de 1806.
ein succès ; car il le réimprima plusieurs fois. Ces réimpressions ne portent ni date, ni nom d’imprimeur, et, quoique très vra
première partie se compose de 114 feuillets, dont les six premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui suivent, co
500 dans le format in-fol. Le British Museum en possède un exemplaire porté au catalogue avec la mention suivante : The fabl
non paginé et pourvu seulement de signatures de a à r. Les signatures portent sur 17 cahiers composés chacun de six feuillets,
ssification actuelle, appartenait au Supplément latin, dans lequel il portait le nº 1219. C. Manuscrit 18600. Le manuscr
rinal, dans lesquels se trouve le Romulus de Vincent de Beauvais. Ils portent les cotes 6428 et 16100. A. Manuscrit 6428.
un manuscrit in-folio du xve  siècle, dont les 116 feuillets en vélin portent , à raison de cinquante-deux lignes sur chaque fac
imprimeur, qui comprend les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui porterait à le croire, c’est que Panzer374 qui la signale d
ssèdent ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux derniers portent le mot Sursum, au lieu de Superius qui est dans c
trouvées indignes d’être publiées. Les huit qui dans l’édition d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première partie), 9 (deuxi
othèque épiscopale de Chiemsee (Bavière supérieure), dans laquelle il portait la cote 37, et appartient aujourd’hui à la biblio
es par cette nomenclature occupent les feuillets 250 a à 266 b. Elles portent à l’encre rouge cette suscription : Incipit libe
noncées par cette suscription : Hic incipiunt fabule Ysopi , mais ne portent pas de titres particuliers. Elles sont au nombre
s oublié non plus que Kropff l’avait nommé Walther, et il était assez porté à supposer qu’il s’agissait de Walther de Châtill
t non pas magistri Gauffredi. Quant aux autres manuscrits, lorsqu’ils portent un nom, c’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le ma
ication d’éditeur, et qui par une petite faiblesse d’esprit avait été porté à introduire son nom dans le titre. Du reste, il
e foi les moines du moyen âge. La forme et le sens du mot Garritus me portent à penser, avec ceux dont l’opinion est rappelée p
avait dû se tromper et que le manuscrit analysé par lui ne devait pas porter le nom d’Hildebert, et, persécuté par le désir d’
primée en caractères gothiques à Rouen vers 1505, dont le frontispice portait en tête les mots : Fabule Esopi cum commento , p
uvre un égal degré de ressemblance, il faut les examiner une à une et porter sur chacune un jugement spécial. D’abord il en es
Je les joindrai néanmoins à celles de l’appendice, dans lequel elles porteront les titres : De Cornice et Hirundine, De Coco et
ize. Les douze premiers appartiennent au fonds latin, dans lequel ils portent les nos 8023, 8259, 8460, 8509, 8509 A, 11344, 11
tée à Labbé et que Dressler s’est empressé de répéter. Le manuscrit a porté successivement le nº DCCCXXII dans l’inventaire d
du catalogue, m’a paru être de la fin du xiiie  siècle. Les fables ne portent pas de titre ; au nombre de soixante, elles occup
392. Le manuscrit 11392, qui, dans le supplément à l’ancien fonds, portait le nº 597, est un volume in-8º, qui se compose se
s servi. En effet, au cinquième vers du prologue, les deux manuscrits portent Fructum lege , tandis que dans la copie de P. Pi
Cette copie ne comprend que les soixante fables ordinaires ; elles portent 61 numéros à cause de la division en deux parties
’en ai trouvé qu’un seul contenant les fables de Walther. Après avoir porté successivement le nº 842 et le nº 7616, il figure
es additions. Quand on cherche ce qu’elles sont, on voit qu’elles ont porté sur les épimythions dont le texte latin a été aug
nsi : ce manuscrit ne possède pas les fables qui, dans cette édition, portent les nos 48, 49, 50 et 60. En revanche, les fables
uieille secourir Le Dieu qui pour nous voult mourir Et la Dame qui le porta . En la nommer grand déport a. La collection des
l est vrai qu’en tête du manuscrit, à côté des divers numéros qu’il a portés et qui sont en chiffres arabes, il y en a un en c
9123 provient de l’abbaye de Saint-Germain des Prés, dans laquelle il portait le nº 1622. Il avait auparavant fait partie de la
xième du feuillet 126. Les fables, qui occupent tout l’intervalle, ne portent aucun titre. Le commencement de chacune d’elles s
hemin est du xve  siècle. Il a appartenu au collège de Navarre, où il portait le nº 85 ; il a aujourd’hui la cote 24310. Il for
e rouge et ornées des mêmes traits à l’encre bleue. Toutes les fables portent des titres à l’encre rouge. Elles sont au nombre
qu’elles sont classées dans le même ordre, on est, au premier abord, porté à en induire que le moins ancien des deux, c’est-
 xiiie . Les fables commencent au recto du premier feuillet. Elles ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main an
bibliothèque du chapitre de l’église cathédrale de Notre-Dame, où il portait le nº 229. C’est un volume in-fol., dont l’écritu
des deux fables 20 et 21 ont disparu avec le double feuillet qui les portait .) 22. Dou roi que li antique eslirent. 23. Des re
illets. Les deux premiers sont blancs ; il en est de même de ceux qui portent les nos 127 à 131. Les fables de Walther, accompa
aux fables de Walther. A. Manuscrit 1109. Le manuscrit 1109, qui portait auparavant la cote LXVIII, forme 1 volume in-4º,
es fables. B. Manuscrit 1106. Num. loc. : 45. Ce manuscrit, qui portait auparavant la cote XCIII, forme un petit volume i
Ysopus. C. Manuscrit 132. Num. loc. : 1197. Ce manuscrit, qui portait auparavant la cote CLX, est un volume in-8º de gr
a verba. D. Manuscrit 756. Num. loc. : 304. Ce manuscrit, qui portait auparavant la cote 591, forme un volume in-4º, do
commencent au haut de la deuxième colonne du feuillet 110 b. Elles ne portent pas de titres particuliers, mais sont accompagnée
soixante seulement, y remplissent les feuillets 2 a à 36 b. Elles ne portent pas de titre général, mais sont précédées d’un pr
rit du xve  siècle provenant d’un couvent d’Augustins, dans lequel il portait le nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue indiqu
ar ce dernier titre s’étendent du feuillet 136 au feuillet 152. Elles portent en tête ces mots : Incipit liber Esopi , et à la
econd. Comme pour rendre ce désordre plus inextricable, les fables ne portent pas de titres ; elles sont seulement accompagnées
s Chairi   Les fables commencent au recto du deuxième feuillet et portent pour titre général ces mots : Incipit liber fabu
e dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale, les cinq fables qui portent les numéros xlvii, lxi, lxii, lxiii et lxiv ont é
ue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées d’Avianus. Aussi portent -elles ce titre général : Ci commence le liure Au
e à la fin. Les 60 fables de Walther, contenues dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais chacune d’elles est suivie d’u
De Pastore et Lupo. Comme cela se rencontre fréquemment, elles ne portent pas de titre initial ; mais chacune d’elles est p
anuscrit 496. Le manuscrit 496, qui autrefois dans le fonds Bodley portait le nº 2159, est un volume in-4º, qui se compose d
douzième. Elles commencent à la première colonne du feuillet 58 b, ne portent pas de titre général, ni de titres particuliers,
Le manuscrit 4268 est un volume in-4º, dont les feuillets en papier portent une écriture du xve  siècle. Il comprend 226 feui
un volume in-4º dont les feuillets en papier sont au nombre de 120 et portent une écriture du xve  siècle. Il contient deux ouv
souscription, due à une main ancienne, démontre que les feuillets qui portaient la fin de la fable inachevée et les dernières, on
recto du premier feuillet par ce titre : Incipit liber esopi. Elles portent des titres à l’encre rouge, mais ne sont accompag
, occupent les feuillets 159 a à 172 b. Il est vrai que ces feuillets portent les nos 189 à 202. Mais cela tient à ce que le ma
vait trente feuillets de plus, savoir : les 28 premiers du volume qui portaient les nos 1 à 28, et deux autres qui précédaient ce
le fragment conservé des fables élégiaques et qui devaient eux-mêmes porter les nos 187 et 188 et contenir une partie des qua
au cardinal Gonsalvi, secrétaire d’État pontifical, avec prière d’en porter le contenu à la connaissance de son souverain. Un
thentiques et des deux qui y sont le plus habituellement ajoutées, ne portent pas de titre général, sont précédées chacune d’un
accrues des deux complémentaires, s’élèvent au nombre de 62. Elles ne portent aucun titre général, mais sont précédées chacune
consiste dans un cahier in-4º de seize feuillets en parchemin, qui ne portent que les fables de Walther dues à un copiste itali
talogues ; cet éditeur l’avait mentionné sous la cote A. VI. 3, qu’il portait alors451. C’est un fort volume du grand format in
s, sur les premières éditions lyonnaises. Les feuillets, non paginés, portent seulement des signatures ; c’est au feuillet port
j’ai cru devoir me dispenser de citer les nombreuses éditions qui ne portaient pas de date. § 2. — Éditions postérieures au
s mots qui, dans ma première édition m’induisant en erreur, m’avaient porté à supposer que l’édition contenait avec le texte
t Hirundine, De Coco et Cane cor rapiente, De Avibus et Pavone. Elles portent soixante-sept numéros par suite de la division en
comprenant, avec les soixante authentiques, cinq complémentaires qui portent les titres suivants : De Cornice et Hirundine, De
talité du texte latin. Voici les numéros, que les vingt-quatre fables portent dans le texte latin, rangés dans l’ordre adopté d
traduction des fables en langue vulgaire commence au feuillet 49, qui portait autrefois le nº 51, et finit au feuillet 61. Les
llo si nasconde cosa carissima, e di grande dolciezza. Les fables ne portent pas de titres ; chacune d’elles est agrémentée d’
rit forme un volume in-4º, dont les quarante-huit feuillets en papier portent une écriture italienne de la fin du xive  siècle,
nce en ces termes : Sforza si la presente scriptura , etc. Elles ne portent pas de titre général. L’espace blanc qui, au-dess
de Ferrare. Manuscrit 340. NB. 5. Ce manuscrit, qui autrefois portait la cote 1267, consiste dans un cahier in-fº de pe
Bibliothèque nationale, où, longtemps réuni à d’autres ouvrages, il a porté avec eux la cote 6534 Y. La Grenville library en
, etc. Les fables 61 à 64, sous les nos lxiii, lxix (sic), lxv, lxvi, portent les titres suivants : De Capone et Accipitre ; De
s c’est une erreur matérielle : avant d’avoir la cote 2904, il a bien porté le nº 261 ; mais la cote 2094 ne lui a jamais app
Ce qui avait sans doute empêché de les reconnaître, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le véritable nom de leur auteur,
crit 24432 de la Bibliothèque nationale. Le manuscrit 24432, qui a porté dans le fonds Notre-Dame le nº 198, a été signalé
ue nationale. Ce manuscrit est le même qui, au temps de M. Robert, portait dans le supplément français le nº 766. Par suite
mais comme une copie altérée du Romulus de Vienne. Ce manuscrit, qui portait autrefois le nº 392 dans le fonds des Codices Nov
gnées d’aucune version poétique. Ce sont celles qui dans le manuscrit portent les titres suivants : De Leone quem feræ in regem
yme de Névelet, qui dans les manuscrits et les éditions de cet auteur portent les nos 59 et 60 et qui sont généralement intitul
bles qu’il renferme, et, mis en regard de ces titres, les numéros que portent les mêmes fables dans le Romulus ordinaire : R
at. Le savant administrateur général de la Bibliothèque nationale fit porter ses investigations non seulement sur le fonds Lib
ns la collection Libri et ensuite dans la collection Ashburham, avait porté la cote 1555. Il consiste dans un petit volume de
fiée de Romulus à son fils et suivies de l’épilogue à Rufus. Elles ne portent pas de titres. Les dix-sept premières seulement s
dléienne. Il forme un volume in fol., dont les feuillets en parchemin portent une écriture du xiiie  siècle à deux colonnes, as
t ce roi sous le nom de Henris, et, lorsqu’on songe que celui qui l’a porté le premier a reçu et mérité le surnom de Beau-Cle
ans le Dérivé ont été omises deux de celles de ce Romulus, celles qui portent les nos ii, 5 et ii, 11. Puis, du nº 35 au nº 75
nnée tout à la fin du Dérivé et les sujets même qu’elles traitent, me portent au contraire à y voir une addition de l’auteur du
ecours à l’œuvre du roi Henri Beau-Clerc. J’ajoute que son goût ne la portait pas vers les traductions des ouvrages latins, qu’
entre elles sont indépendantes des 103 qui ont été éditées ; elles ne portent pas de titre et commencent l’une par ce vers : N
Bibliothèque nationale. A. Manuscrit 1446. Ce manuscrit, qui portait autrefois la cote 7534. 3. 3, forme un volume in-
arie commencent à la deuxième colonne du verso du feuillet 88 ; elles portent ce titre unique : Ici apries porres oïr les prou
e de vingt-deux vers. B. Manuscrit 1593. Le manuscrit 1593, qui portait auparavant la cote 7615, forme un volume in-4º de
aît avoir appartenu à Colbert et qui avant la classification actuelle portait la cote 7856.3.3, forme un volume in-4º, dont l’é
it 2173. Le manuscrit 2173, qui, avant la classification actuelle, portait la cote 7791, est un volume in-4º de grand format
M. de Roquefort. F. Manuscrit 14971. Le manuscrit 14971, qui a porté la cote 63228, forme un grand volume in-4º, qui s
éalité que 97 ; en effet, les deux fables qui dans le manuscrit 14971 portent les nos 65 et 81, ne sont que les deux parties so
03. Voici maintenant le texte des deux fables qui, dans le manuscrit, portent les nos 99 et 100 : 99. De la Corneille qui se ve
numéro placé au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d’abord porté dans l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés la cote 1
manque 37 ; ce sont celles qui, dans le tableau précédemment dressé, portent les nos 16 à 21, 26 à 40, 42 à 45, 66 à 71, 84 et
à 40, 42 à 45, 66 à 71, 84 et 99 à 103. Les 66 fables du manuscrit ne portent pas de litres particuliers, mais sont précédées d
nquantes sont au nombre de 54 ; ce sont celles qui, dans mon tableau, portent les nos suivants : 1 à 18, 23, 26 à 36, 48 à 49,
nds, le manuscrit 24428 dépendait du fonds Notre-Dame, dans lequel il portait la cote 193. C’est un volume in-fol., composé de
d’elles. Le manuscrit en possède non 93, comme un numérotage inexact porterait à le croire, mais seulement 92. Les manquantes so
mais seulement 92. Les manquantes sont celles qui, dans mon tableau, portent les nos 12, 25, 42 à 44, 51, et 99 à 103. Au bas
anuscrit 25406. Le manuscrit 25406 qui, avant la fusion des fonds, portait dans le fonds Notre-Dame la cote 192 et auquel M.
complet : les vers 8 à 9, 21 à 22 et 33 à 36 ont été omis. Les fables portent des titres spéciaux, qui ont été écrits par la mê
 1, 256 vº, col. 2 ; 256 vº, col. 3. Les fables, au nombre de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues de l’épilogue ordina
fables qui manquent à la collection, sont celles qui dans mon tableau portent les nos 5 à 6, 11 à 12, 27, 75, 78 à 80, 85, 87 à
 15 de plus. Les quinze qui manquent sont celles qui dans mon tableau portent les nos 22 à 23, 40 à 41, 46, 50 à 52, 71 à 75 et
cette concordance n’existe pas, et dès lors on est tout naturellement porté à penser que l’auteur de ce Romulus n’a créé qu’u
s au Romulus primitif, tandis que les deux Dérivés partiel et complet portent les mots in quercu resedit étrangers à ce Romulus
it, voici la liste des vingt-deux fables, accompagnée des numéros que portent les semblables dans le Romulus primitif et dans l
Burnéien538, on retrouve les fables qui, dans l’édition de M. Robert portent les nos 5 à 15 et 18 à 21. Malheureusement M. Oes
plus que le Romulus de Nilant, conforme au Romulus primitif, je suis porté à penser que quelque copiste aura, à une époque a
a bibliothèque communale de Trèves. Ce manuscrit, qui auparavant a porté la cote LXXVII et plus anciennement la cote IV. 2
deux de plus, celles qui, dans la nomenclature précédemment établie, portent les nos 7 et 60. Il me paraît évident que c’est i
 siècle, coté 15. A. VII et composé de 84 feuillets en parchemin, qui portent sur deux colonnes une écriture très fine. Les fab
ombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordinaire, mais ne portent ni titre général applicable à la collection, ni t
st incomplet : il présente des lacunes, l’une entre les feuillets qui portent les nos 40 et 41, et l’autre entre ceux qui porte
les feuillets qui portent les nos 40 et 41, et l’autre entre ceux qui portent les nos 50 et 51. À chacun de ces deux endroits,
u Méril avait connu ce Dérivé, il est probable que ce défaut l’aurait porté à y voir le résultat du système d’enseignement pr
uisait ses inspirations. Il faut ajouter qu’une autre cause devait le porter à s’écarter de son modèle, à savoir l’esprit reli
es malheurs. » Deux traductions, éditées à Rouen en 1736 et en 1758, portent , la première : « Choisissant quelque sujet pour y
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
our l’obliger à surprendre le Loup qu’il envioit. Mais ce Traistre ne porta guere loing la peine de son forfaict, non plus qu
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
mé d’aymer plus les uns, et les autres moins, selon que nous y sommes portez d’inclination, et par la conformité de nos mœurs,
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
nera donc si Esope donne de l’avantage au Rat villageois, et luy fait porter impatiemment le temps qu’il demeura dans ceste ca
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
peut dire sur ceste matiere, d’où il est aisé de conclurre, qu’estans portez d’inclination aux choses contraires à nostre bien
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
oûtons pas beaucoup de foy. Car il leur apprit en volant bien haut, à porter dans des corbeilles certains enfans pendus à leur
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
inité de gents, dont la gloire devroit arriver jusques au Ciel. Voyez porter la picque dans les Compagnies à des Soldats, plus
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
res approches d’une femme. Il leur est donc fort difficile de se bien porter en les faisant, et mesme impossible de vivre long
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
, qui est tel. Un Elephant ayant reçeu commandement de son Maistre de porter une Cruche dessoudée à racommoder, chez le Potier
er. Mais l’Elephant ne se fiant pas à celuy qui l’avoit desjà trompé, porta sa Cruche dans la riviere, avant que la rendre à
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e que cela, pourveu qu’elle soit propre. Elle ne nous a pas obligés à porter de precieux habillements enrichis d’or et de perl
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