ne berbiz ot aignelé, e li bercher l’en ad osté sun aignelet, si l’en
porta
. A une chevre le bailla, que de sun leit l’ad bie
e meuz deit estre ma mere cele que me sot pestre, meuz que cele ke me
porta
e qui de li me desevera. »
pieds alléguaient qu’ils étaient tellement supérieurs en force qu’ils
portaient
même l’estomac. À quoi celui-ci répondit : « Mais
ne vous fournissais pas de nourriture, vous-mêmes ne pourriez pas me
porter
. » Il en va ainsi dans les armées : le nombre, le
e leur Maistre, et partagerent entr’eux les fardeaux qu’ils avoient à
porter
. Esope se mit alors à les prier de luy donner le
toucher à ces paroles ils luy respondirent, qu’ils le dispensoient de
porter
aucune chose, s’il ne le vouloit. Mais luy n’en d
re chargé d’une corbeille pleine de pain, que deux personnes devoient
porter
. Par ceste action il appresta d’abord à rire à se
de soupplesse, et fait plus sagement que eux, en ce qu’il avoit voulu
porter
les pains, bien asseuré qu’il en seroit déchargé
it bien mieux mon affaire.
Un ignorant herita
D’un manuscrit qu’il
porta
Chez son voisin le Libraire.
Je crois, dit-il, q
ax l’impetueux, Que ce Colosse monstrueux Avec leurs escadrons devoit
porter
dans Troye, Livrant à leur fureur ses Dieux mesme
la Bergere adressant ces paroles Au doux Zephire, et le priant De les
porter
à son Amant. Je vous arreste à cette rime, Dira m
it alors le Vieillard. Pourquoy ? répondit le paillard ; Me fera-t-on
porter
double bast, double charge ? Non pas, dit le Viei
Et reconnut qu’il avoit tort. Du Baudet en cette aventure On luy fit
porter
la voiture, Et la peau par dessus encor.
uz de sa tesniere ; od ses enfanz devant jua. Un egles vient, l’un en
porta
. Li gupilz vet aprés criant qu[e]’ il li rendist
ventura, che mi viene in mano. La gente, che ti compra, e al collo
porta
, Potria prezzarti ; io no : che stimo quello
e ses piez e de sun chief — k[i]’ ert iriez vers sun ventre, qu[e]’il
porta
pur lur guaainz qu[e]’il gasta. Dunc ne volstrent
en », il li respunt. Dunc ot cornes al chief* amunt. Mes ne poeit mie
porter
, kar ne saveit od tut aler ; car plus aveit que n
aine Des mines d’or fournit ce qu’on voulut. Comme il fut question de
porter
ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’offrirent, Assist
, tout fardeau m’embarasse. Obligez-moy de me faire la grace Que d’en
porter
chacun un quart. Ce ne vous sera pas une charge t
chantoit la pauvre Philomele.
Ma sœur, luy dit Progné, comment vous
portez
-vous ?
Voicy tantost mille ans que l’on ne vous
e champ esbanïer ; les berbiz sanz garde trova, un’ en ocist, si l’en
porta
. Chescun jur* el champ rev[en]eit, sis enporta e
sanc, ceo dist, conustreit quel enferté ses peres aveit. La meschine
porta
le sanc enz sa chambre desuz un banc. Mes mut li
6 Mb 218 Mc 96 Md 107 Mh 93 Mi 23 Mm 134 Mn 33. Un homme chauve qui
portait
perruque cheminait à cheval. Le vent, s’étant mis
taire, Est-ce à toy d’envier la voix du Rossignol ? Toy que l’on voit
porter
à l’entour de ton col Un arc-en-ciel nué de cent
demander s’il fu mut beus, e il li dit unc plus leide beste ne vit ;
porter
li ruve a sa meisun, e si recorde ceste reisun :
bo cor questo è figura, C’ha di publico honor titolo e nome, E non si
porta
in suo costume, come La prudenza richiede a sua n
3 Ml 128. Un jour, les ânes excédés d’avoir toujours des fardeaux à
porter
et des fatigues à souffrir, envoyèrent des messag
erbiz embler qu’il espia dedenz la faude a un vilein. Ensemble od lui
porta
un pein ; al chien voleit le pain bailler, ki la
E in esiglio da lui lontan vivesse Essendo privo de l’honor, che seco
Porta
la coda, che vergogna asconde. Allhor la Volpe im
zon accourt avec furie
Le plus terrible des enfans
Que le Nort eust
porté
jusques-là dans ses flancs.
L’Arbre tient bon, l
beau chanter matin ; Je suis plus matineux encore. Et pourquoy ? Pour
porter
des herbes au marché. Belle necessité d’interromp
idéal ! » répondit la tortue. Zeus indigné contre elle la condamna à
porter
partout sa maison sur son dos. C’est ainsi que be
chienne prétendait que, seule de tous les quadrupèdes, elle avait des
portées
courtes. « Quand tu dis cela, répartit la truie,
y vous sert votre vîtesse ? Moy l’emporter ! et que seroit-ce Si vous
portiez
une maison ?
celebres dans le monde. Hercule, luy dit-il, aide-moy ; si ton dos A
porté
la machine ronde, Ton bras peut me tirer d’icy. S
e : E l’humiltade ogni durezza doma ; E spesso avien, che la vittoria
porta
De l’huom superbo e di feroce core Colui, ch’a te
Non per odio, o dispetto, in ch’ei mi tenga ; Ma per amor, ch’egli mi
porta
, e farmi Di quello instrutto, ond’io possa esser
ule raison, ou si l’instinct de la nature mesme est capable de nous y
porter
. J’estime pour moy, que les deux causes ensemble,
ible. Cela se fait donc, à mon advis, par la naturelle amour que nous
portons
à la gloire, qui nous empesche de nous arrester à
res avoir exhorté tous les hommes vindicatifs de ne se laisser jamais
porter
à leur passion contre les foibles, et de ne s’arr
r le courant, répondit : « J’ai un message pour Milet, et je veux l’y
porter
; à mon retour je vous ferai voir le passage. » C
aussi, comme associé à part égale ; quant à la troisième, celle-là te
portera
malheur, si tu ne te décides pas à décamper. » Il
. Einz que a vile feussent venu, garda li lus, si ad veü cum le chien
porta
sun coler, sa chaene le vit traïner. « Frere », f
ait, ils se retournèrent et lui dirent : « Hé ! l’ami, c’est nous qui
portons
toute la charge, et c’est toi qui cries ! » Ainsi
nait et se plaignait que le mulet, jugé digne d’une double ration, ne
portât
pas plus que lui. Mais, quand ils eurent fait un
s son minois hypocrite Contre toute ta parenté D’un malin vouloir est
porté
. L’autre animal tout au contraire, Bien éloigné d
cerf departira. « Ceo est », fet il, « en mun seignur, qui nus devum
porter
honur. » Li leüns ad dit e juré que tut ert suen
m rei, e chescune li pramet fei ; tutes le tienent pur seignur, si li
portent
[mut] grant honur. Mes, quant le trunc ne se remu
memoire, fut honoré parce Grand Prince du haut Privilege de pouvoir
porter
trois Fleurs de lis dans ses Armes. Ce fut une
agrandie par ses sages Maximes, elle a maintenu la Paix au dedans, et
porté
la Guerre au dehors ; D’où elle s’est acquise la
gens, et dans leur estime. Vous avez, comme le Lion un Cœur genereux,
porté
de luy-mesme aux actions magnanimes ; et comme l’
-mesme, que se fier à leurs impostures, principalement apres en avoir
porté
la penitence ?
pagnons, pour se jetter dans le party des Ennemis. Toutesfois elle en
porta
bien-tost la punition : car les Oyseaux ayant gag
plus rigoureusement, ce seroit violenter un Mal-heureux, et luy faire
porter
la penitence des defauts de sa nature. Que si l’o
us, soumis et asservis aux hommes, vous endurez d’eux les coups, vous
portez
des colliers et vous gardez les troupeaux ; et qu
tresi est del traïtur que meseire vers sun seignur a ki il deit honur
porter
e leauté e fei garder ; si sis sires ad de li mes
140 Bb 85. Il y avait dans le champ d’un laboureur un arbre qui ne
portait
pas de fruit, et qui servait uniquement de refuge
, qui ne s’enhardit pas tant d’enlever le Mouton, par un desir qui le
porta
naturellement à le faire comme pour sembler égal
tions et les meurtres, qui desolent miserablement les Estats, et font
porter
aux petits la penitence de l’Ambition des Grands.
es tiennent cela de leur sexe d’estre naturellement volages, et moins
portées
au mal quand on les sçait avoir par la flatterie
éviter, que de les bien cognoistre, et de voir les interests qui les
portent
apparemment à la complaisance qu’ils nous témoign
ourri. Et elle lui dit : « Entre la meule à tourner et les fardeaux à
porter
, ta vie est un tourment sans fin, » et elle lui c
is à tant de travaux. Mais vint le temps de la guerre : le cheval dut
porter
un cavalier armé de pied en cap, et celui-ci le p
tous et leur conseilla avant tout de couper le gui aux chênes qui le
portaient
; mais si cela leur était impossible, de se réfug
endemain il le fût encore visiter, et luy demanda comment il s’estoit
porté
la nuict passée ? « Helas ! », s’escria-t’il d’un
veit le quor emblé*, si l’ad mangé e devoré*. Quant il voleient avant
porter
, si nel porent mie trover. Entr’eus en tienent mu
uident tut a escïent que autre deive pur eus preer e lur message bien
porter
; si parolent le plus pur eus e leissent si ublïe
lasmables au double de jetter en arriere toutes considerations, et se
porter
opiniastrément à une action eslevée au dessus de
es où ils font forcez à dire la verité, et ne sçauroient en ce cas là
porter
un faux tesmoignage, comme il arrive aux adjurati
raison à l’Univers de l’usurpation des Medes ? Le grand Alexandre ne
porta
-il pas les armes des Grecs jusques chez les mesme
vy un lopin, où estoient attachez quelques charbons encore flambants,
porta
le tout en son nid : et d’autant qu’il estoit fai
oy des Oiseaux vint à estre le favory de Jupiter, qu’il fût employé à
porter
les armes, et qu’il se mesla de l’infame minister
bien plus difficile de dégourdir nostre ame contre les miseres, et la
porter
dans le chemin de la consolation, que d’arrester
r mieux participer à nostre fortune, nous conseillent follement de la
porter
au delà de l’impossible, au lieu que s’ils nous a
au mécontent, parce qu’on le chargeait davantage et qu’on lui faisait
porter
l’argile et la poterie. Aussi demanda-t-il encore
s de cruauté s’estoit fait plusieurs ennemis en ses jeunes années, en
porta
la peine en sa vieillesse. Car durant cet âge deb
re, commença de promettre monts et merveilles à quiconque la voudroit
porter
au Ciel. L’Aigle l’y esleva donc, et luy demanda
d’Asne paroissent visiblement. Les Fanfarons tout de mesme, ont beau
porter
leurs longues espées, faire les Rodomonts dans le
el Passero, et di piuma a lui simile, Ma sopra il capo un cappelletto
porta
Di piume, ch’assai vago in vista il rende : Quest
Car les hommes d’aujourd’huy sont d’un naturel si dépravé, qu’ils se
portent
plus volontiers à la convoitise d’un bien faux, s
e songent pour ceste heure là qu’à se vanger. Car quoy qu’extrémement
portez
à la timidité, ils ne sont pas toutesfois dépourv
t renduë si forte, sans la parfaicte intelligence de tous ceux qui en
portent
le nom, tant en la haute et basse Allemagne, qu’e
t à bout des plus hautes entreprises, où la Valeur et le Courage nous
portent
. Toutesfois comme l’eau croupit insensiblement, e
s, ayant trouvé un faon de biche, se battaient à qui l’aurait. Ils se
portèrent
l’un à l’autre des coups terribles, tant qu’enfin
l’occurrence des matieres. Je vous les dedie, MONSIEUR, pour y estre
porté
naturellement par la grande inclination que j’ay
s meschants sont d’ordinaire enveloppez dans leurs propres menées, et
portent
presque tousjours le dommage qu’ils veulent faire
itié avec un satyre. L’hiver étant venu et avec lui le froid, l’homme
portait
ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le sat
ste orgueilleuse espece d’ingratitude, si est-ce qu’il y en a qui s’y
portent
d’une inclination particuliere, et dérobent artif
lia les pieds, on vous le suspendit ;
Puis cet homme et son fils le
portent
comme un lustre ;
Pauvres gens, idiots, couple i
que toute richesse est dangereuse à nos ames. Car, de grace, qui nous
portera
mieux dans l’excez que l’excez mesme ? Comment no
destourner les poursuittes des parents mesmes ? Avec tant d’appas qui
portent
au Vice, de quelle extraordinaire vertu faut-il e
peut avoir conçeuë contre la personne injurieuse, voudra-t’il bien en
porter
la penitence par sa propre douleur ? Un autre l’a
e toute autre sorte de bien-veillance ne peut ny ne doit legitimement
porter
le nom de vraye amitié. Le commerce des Meschants
’est qu’une Gruë, te rend la pareille de fort bonne grace, et te fait
porter
la peine de ta mocquerie. Ne sçais-tu pas que cha
’est l’exercice et la condition des gents de bien, d’autant qu’ils se
portent
aux bons objects, pour se transformer en eux, et
qu’à ta malice est jointe une grande perfidie : car tant que je t’ay
porté
de l’honneur et du respect, je n’ay reçeu aucun b
sçavoir, si ceux qui ont esté en la compagnie des meschants, doivent
porter
la peine comme eux du crime qu’ils ont commis. Je
arrive à tels Conquerants de venir à bout de leurs entreprises, et de
porter
leurs desirs jusques à l’extremité, ne les voyons
assez fait de progrés dans le discours : Ils ne s’estoient pas encore
portez
assez avant dans l’estude des Arts, pour occuper
rniers ont eu fort peu de nom et de durée, au lieu que les autres ont
porté
leur gloire par dessus toutes les nations de leur
de mesme de la robe de son Compagnon, qu’il prit pareillement, et la
porta
derechef à sa Mere, a qui ce larcin fût encore pl
re davantage. Dès lors, croissant en âge et devenu jeune homme, il se
porta
à des vols plus importants. Mais un jour il fut p
es champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, « quelque arbre a t’il
porté
du fruict avant le temps, ou bien y a-t’il quelqu
és, avec apparence de l’y vouloir jetter. Il se retint neantmoins, et
porta
sa veuë sur le Païsan, qu’il avoit pour hoste, af
y prenons aussi plus de plaisir, et par consequent que nous y sommes
portez
avec plus d’envie. A ces raisons j’en pourrois ad
conciliant l’ordre des temps avec les exigences de la philologie, je
porterai
mes regards sur le fabuliste qui a été le success
orcément éloigné des études philologiques, j’étais tout naturellement
porté
à douter de la valeur de mon œuvre et à craindre
ouver leur place dans un travail véritablement complet. Amené ainsi à
porter
mon attention non seulement sur l’œuvre de Phèdre
tant originaire d’un pays de langue grecque, n’avait pas besoin, pour
porter
son nom grec, qu’Auguste le lui eût donné. Tout a
tention, que, bien des siècles plus tard, les critiques devaient être
portés
à lui imputer, il a, dans le prologue de son livr
mille d’Auguste et croyant dès lors avoir en lui un ennemi, avait été
porté
à voir des attaques personnelles dans certaines f
p à souffrir de ses accusations. Gude, par cette manière de voir, est
porté
à penser que les fables ne furent publiées qu’apr
de l’homme. Parlons d’abord de la valeur de l’écrivain. Quand on veut
porter
un jugement sur un homme de lettres, il faut touj
itiques. Il continua à contempler, avec une tristesse dont ses écrits
portent
l’empreinte, les sanglantes discordes de la Franc
es de la France, et, quoique rentré dans la vie privée, il essaya d’y
porter
remède. Quand il vit que, pour satisfaire son amb
tienne de Florence. Les deux exemplaires de la Bibliothèque nationale
portent
sur le Catalogue imprimé de 1750, l’un la cote Y
ires de l’édition de Pithou, qui, dans le fonds appelé Cabinet local,
portent
les nos 221 et 222. Le premier de ces deux exempl
taient de Grosley ; mais, quand on les compare à sa signature, on est
porté
à les attribuer à une main beaucoup plus ancienne
ut bien aussi me communiquer l’exemplaire de l’édition de Pithou ; il
portait
sur le catalogue le nº 252 et la lettre F. Bongar
. 9. Il est parfaitement conservé, et ses marges, quoique pleines, ne
portent
aucune note manuscrite. Je n’ai aucune observatio
re in-12101. Cette première édition, comme celles de 1617 et de 1630,
portait
en tête la lettre au président de Thou. Seulement
ui il l’avait promis, il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui
portait
les variantes écrites de sa main, il s’aperçut de
le dans l’imprimé, le premier des deux était conforme à celui qu’elle
portait
dans le manuscrit de Pithou. Cette observation m’
uvent presque toutes dans le manuscrit de Pithou, on est tout d’abord
porté
à penser que c’est à ce manuscrit que se rapporte
pour combler les vides laissés par Dom Vincent, que des variantes qui
porteraient
avec elles l’indication expresse de leur origine.
accepter aveuglément les variantes de Dom Vincent ; car le volume qui
portait
ses notes manuscrites a disparu, et il est possib
ent, en silence, soustrait son manuscrit à tous les regards, avait dû
porter
à penser qu’ils ne le possédaient pas, et la simi
st plus probable, suppose une fable perdue, qui devait la précéder et
porter
pour titre le mot Cæsar. Il y avait lieu de suppr
em , qui laissaient voir la trace du texte primitif ; celui de Pithou
portait
les mots : Æsopo ingentem , qui aggravaient la p
ement : 1º que M. l’abbé d’Olivet qui voulut voir cette comédie, n’en
porta
d’autre jugement, sinon que “ce fut celle-là même
nt une division spéciale, formant dans l’immense galerie un fonds qui
portait
encore son nom, il m’assura que la recherche sera
manuscrit copié à une époque relativement peu éloignée de sa mort, a
porté
Angelo Maï à croire qu’il ne devait pas être orig
vant laquelle, au lieu des mots mala videre , le manuscrit de Daniel
porterait
ceux-ci : mala dare. C’est encore sur la foi de
Veterum fabularum epitome ; et ce fut sous ce titre inepte qu’il fut
porté
, dix autres années après, sur le catalogue des ma
és subis par mon édition, m’ont fait penser que, pour te détourner de
porter
un jugement trop sévère contre moi et contre les
, dix-huit mois auparavant, Cassitto avait eu recours. Le frontispice
portait
ces mots : Phaedri fabulae | ex | codice Perotti
Judicia virorum illustrium. De plus en plus furieux, Jannelli voulut
porter
à son adversaire le dernier coup : il songea à so
lo Maï le découvrit dans le fonds de Frédéric Veterani d’Urbin, où il
portait
la cote 368. Après toutes les explications que j’
secondaires, n’avaient pas plus de valeur que le principal. Le coup,
porté
par le grand critique de Harlem, n’en avait pas é
tand du Méril, qui a été un philologue très instruit, mais aussi très
porté
par une imagination trop vive à inventer d’aventu
iques ; les contes arabes, qu’on peut considérer comme des apologues,
portent
la trace de leur origine indienne. Elle pénétra é
equel il voulait s’exercer : Grec lui-même, il dut être naturellement
porté
à en adopter la langue et la prosodie. Si cela es
iquerait pas s’il s’agissait de corrigés ; car le maître n’aurait pas
porté
sur le cahier d’honneur des fragments de fables ;
nnes. Ce qui en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur des fables qui
portent
son nom, qu’affranchi d’Auguste il les écrivit so
ils ingéniés à les rétablir en vers ïambiques. Les fables elles-mêmes
portent
les traces de leurs lacunes. Après la fable xiii
qui ne se trouvent pas dans les manuscrits de Phèdre, sont celles qui
portent
les numéros 4, 6, 8, 13, 17, 18, 19, 20, 24, 25,
ue de ce savant, dont ce manuscrit faisait partie et dans laquelle il
portait
le numéro 294. Il est probable qu’il l’avait lui-
. — La première de ces deux pages et le commencement de la seconde ne
portent
aucune écriture. Fol. cxci a à cxciv a. — Calendr
crit qui contenait une collection latine de fables ésopiques, elle me
porta
à penser que ces fables étaient peut-être celles
cien texte. Là encore tous les manuscrits étaient en dissidence ; ils
portaient
, celui de Pithou : Tunc demum ingemuit Corvi dec
t qui manque au manuscrit de Pithou. Ce feuillet très certainement ne
portait
aucune fable de Phèdre. Le manuscrit de Reims qui
de Cantorbery, mort en 1716. Légués par lui à la Bibliothèque, ils y
portent
les cotes 639 à 928. C’est lui qui est l’auteur d
et c’est en m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet ouvrage
portera
le nom de Romulus ordinaire, que je vais l’examin
es savants sur la voie de la vraie solution. Mais personne n’y entra.
Porté
par la nature de son esprit à se passionner pour
gustule et à Ranutio d’Arezzo ; mais on continua à penser qu’il avait
porté
le nom de Romulus. Cette pensée ne pouvait pas pr
s, mais bien pour ce qui est de savoir quel est, de tous ceux qui ont
porté
ce nom de Romulus, celui qu’on peut le plus vrais
6 qui ont été empruntées aux anciennes de Phèdre ; ce sont celles qui
portent
les numéros 1, 2, 3, 5, 6, 7, 11, 12, 13, 14, 15,
dont quatorze seulement existent dans les anciennes de Phèdre. Elles
portent
les numéros 7, 12, 14, 17, 20, 21, 22, 23, 24, 26
nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans le livre I,
portent
les numéros 3, 12, 17, 18, 19 et 20 ; dans le liv
ins nombreuses que celles de l’Æsopus ad Rufum, elles sont loin de ne
porter
que sur des sujets traités dans cet Æsopus. D’une
ents ou des excerpta du véritable Romulus321. » Ce qui paraît avoir
porté
M. H. Oesterley à cette erreur, c’est que le code
reçus du conservateur le manuscrit tant désiré. Je m’empressai de le
porter
au Consulat et de m’installer dans la salle que l
ollège, et, pendant une heure environ, examiner le petit in-folio qui
portait
la cote 42. Je n’ai pas tardé à me convaincre que
e manuscrit, il aurait vu qu’il contenait le Romulus ordinaire, qu’il
portait
en tête, sans modification notable, la dédicace à
miers feuillets seraient totalement blancs, si le recto du premier ne
portait
cette courte table des matières : Johēs de Muris
ue la fable De Vulpe et Gallo, venant après la fable xxii, ne pouvait
porter
le nº xviii, et ont, à gauche de ce numéro, ajout
, et les quatre premiers feuillets de chaque cahier, au bas du recto,
portent
, indépendamment de la lettre d’ordre, un numérota
cation des matières, les voici accompagnées des numéros que devraient
porter
les feuillets et des signatures dont ils sont rée
urs typographiques. Le fol. 81 b (m. iii b) et le fol. 82 b (m. iv b)
portent
extrauā au lieu de fabule novæ, les fol. 83 b et
ses fautes. Les fol. 87 b, 88 b et 89 b (n. iii b, n. iv b et n. v b)
portent
noue fabule au lieu de fabule, les fol. 90 b et 9
ns les titres courants. Les fol. 100 b et 101 a (p. ii b et p. iii a)
portent
fabule-uiani (sic) au lieu de collecte-collecte,
és de la lettre spéciale au cahier ; les quatre derniers feuillets ne
portent
aucune signature. Contrairement à la régie d’alte
la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois derniers feuillets ne
portent
aucune signature. Cette seconde édition de 114 fe
manquent aux deux premiers feuillets du cahier a, les cahiers d et h
portent
les signatures d.ij et h.ij, par erreur le quatri
titres courants ont été oubliés, et les feuillets g. i a et g. viii b
portent
, le premier, liber au lieu de secundus, et le sec
nt offrent de nombreuses fautes : ainsi les feuillets m. iii et m. iv
portent
au verso extraua, au lieu de fa. noue. Fol. 86 b.
fs. Ainsi les feuillets n. iii, n. iv, n. v, n. vi, n. vii et n. viii
portent
au verso noue fa. au lieu de fabule, et les feuil
de nouvelles fautes : ainsi les feuillets p. vii et p. viii au recto
portent
Auiani au lieu de collecte. Comme dans les éditio
r Gerardum Leeu in opido Goudensi 1482. 4. Si mes regards s’étaient
portés
sur l’astérisque qui probablement lui avait inspi
1 liv. et 10 schellings, et qui, n’ayant pas encore été catalogué, ne
portait
aucune cote. Enfin à la bibliothèque royale de Br
qui en avaient été publiées à l’époque de la Renaissance leur avaient
porté
un coup fatal. 7º Édition de Schwabe de 1806.
ein succès ; car il le réimprima plusieurs fois. Ces réimpressions ne
portent
ni date, ni nom d’imprimeur, et, quoique très vra
première partie se compose de 114 feuillets, dont les six premiers ne
portent
pas de numéros. Les 108 numérotés qui suivent, co
500 dans le format in-fol. Le British Museum en possède un exemplaire
porté
au catalogue avec la mention suivante : The fabl
non paginé et pourvu seulement de signatures de a à r. Les signatures
portent
sur 17 cahiers composés chacun de six feuillets,
ssification actuelle, appartenait au Supplément latin, dans lequel il
portait
le nº 1219. C. Manuscrit 18600. Le manuscr
rinal, dans lesquels se trouve le Romulus de Vincent de Beauvais. Ils
portent
les cotes 6428 et 16100. A. Manuscrit 6428.
un manuscrit in-folio du xve siècle, dont les 116 feuillets en vélin
portent
, à raison de cinquante-deux lignes sur chaque fac
imprimeur, qui comprend les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui
porterait
à le croire, c’est que Panzer374 qui la signale d
ssèdent ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux derniers
portent
le mot Sursum, au lieu de Superius qui est dans c
trouvées indignes d’être publiées. Les huit qui dans l’édition d’Ulm
portent
les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première partie), 9 (deuxi
othèque épiscopale de Chiemsee (Bavière supérieure), dans laquelle il
portait
la cote 37, et appartient aujourd’hui à la biblio
es par cette nomenclature occupent les feuillets 250 a à 266 b. Elles
portent
à l’encre rouge cette suscription : Incipit libe
noncées par cette suscription : Hic incipiunt fabule Ysopi , mais ne
portent
pas de titres particuliers. Elles sont au nombre
s oublié non plus que Kropff l’avait nommé Walther, et il était assez
porté
à supposer qu’il s’agissait de Walther de Châtill
t non pas magistri Gauffredi. Quant aux autres manuscrits, lorsqu’ils
portent
un nom, c’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le ma
ication d’éditeur, et qui par une petite faiblesse d’esprit avait été
porté
à introduire son nom dans le titre. Du reste, il
e foi les moines du moyen âge. La forme et le sens du mot Garritus me
portent
à penser, avec ceux dont l’opinion est rappelée p
avait dû se tromper et que le manuscrit analysé par lui ne devait pas
porter
le nom d’Hildebert, et, persécuté par le désir d’
primée en caractères gothiques à Rouen vers 1505, dont le frontispice
portait
en tête les mots : Fabule Esopi cum commento , p
uvre un égal degré de ressemblance, il faut les examiner une à une et
porter
sur chacune un jugement spécial. D’abord il en es
Je les joindrai néanmoins à celles de l’appendice, dans lequel elles
porteront
les titres : De Cornice et Hirundine, De Coco et
ize. Les douze premiers appartiennent au fonds latin, dans lequel ils
portent
les nos 8023, 8259, 8460, 8509, 8509 A, 11344, 11
tée à Labbé et que Dressler s’est empressé de répéter. Le manuscrit a
porté
successivement le nº DCCCXXII dans l’inventaire d
du catalogue, m’a paru être de la fin du xiiie siècle. Les fables ne
portent
pas de titre ; au nombre de soixante, elles occup
392. Le manuscrit 11392, qui, dans le supplément à l’ancien fonds,
portait
le nº 597, est un volume in-8º, qui se compose se
s servi. En effet, au cinquième vers du prologue, les deux manuscrits
portent
Fructum lege , tandis que dans la copie de P. Pi
Cette copie ne comprend que les soixante fables ordinaires ; elles
portent
61 numéros à cause de la division en deux parties
’en ai trouvé qu’un seul contenant les fables de Walther. Après avoir
porté
successivement le nº 842 et le nº 7616, il figure
es additions. Quand on cherche ce qu’elles sont, on voit qu’elles ont
porté
sur les épimythions dont le texte latin a été aug
nsi : ce manuscrit ne possède pas les fables qui, dans cette édition,
portent
les nos 48, 49, 50 et 60. En revanche, les fables
uieille secourir Le Dieu qui pour nous voult mourir Et la Dame qui le
porta
. En la nommer grand déport a. La collection des
l est vrai qu’en tête du manuscrit, à côté des divers numéros qu’il a
portés
et qui sont en chiffres arabes, il y en a un en c
9123 provient de l’abbaye de Saint-Germain des Prés, dans laquelle il
portait
le nº 1622. Il avait auparavant fait partie de la
xième du feuillet 126. Les fables, qui occupent tout l’intervalle, ne
portent
aucun titre. Le commencement de chacune d’elles s
hemin est du xve siècle. Il a appartenu au collège de Navarre, où il
portait
le nº 85 ; il a aujourd’hui la cote 24310. Il for
e rouge et ornées des mêmes traits à l’encre bleue. Toutes les fables
portent
des titres à l’encre rouge. Elles sont au nombre
qu’elles sont classées dans le même ordre, on est, au premier abord,
porté
à en induire que le moins ancien des deux, c’est-
xiiie . Les fables commencent au recto du premier feuillet. Elles ne
portent
pas de titre général ; mais, en tête, une main an
bibliothèque du chapitre de l’église cathédrale de Notre-Dame, où il
portait
le nº 229. C’est un volume in-fol., dont l’écritu
des deux fables 20 et 21 ont disparu avec le double feuillet qui les
portait
.) 22. Dou roi que li antique eslirent. 23. Des re
illets. Les deux premiers sont blancs ; il en est de même de ceux qui
portent
les nos 127 à 131. Les fables de Walther, accompa
aux fables de Walther. A. Manuscrit 1109. Le manuscrit 1109, qui
portait
auparavant la cote LXVIII, forme 1 volume in-4º,
es fables. B. Manuscrit 1106. Num. loc. : 45. Ce manuscrit, qui
portait
auparavant la cote XCIII, forme un petit volume i
Ysopus. C. Manuscrit 132. Num. loc. : 1197. Ce manuscrit, qui
portait
auparavant la cote CLX, est un volume in-8º de gr
a verba. D. Manuscrit 756. Num. loc. : 304. Ce manuscrit, qui
portait
auparavant la cote 591, forme un volume in-4º, do
commencent au haut de la deuxième colonne du feuillet 110 b. Elles ne
portent
pas de titres particuliers, mais sont accompagnée
soixante seulement, y remplissent les feuillets 2 a à 36 b. Elles ne
portent
pas de titre général, mais sont précédées d’un pr
rit du xve siècle provenant d’un couvent d’Augustins, dans lequel il
portait
le nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue indiqu
ar ce dernier titre s’étendent du feuillet 136 au feuillet 152. Elles
portent
en tête ces mots : Incipit liber Esopi , et à la
econd. Comme pour rendre ce désordre plus inextricable, les fables ne
portent
pas de titres ; elles sont seulement accompagnées
s Chairi Les fables commencent au recto du deuxième feuillet et
portent
pour titre général ces mots : Incipit liber fabu
e dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale, les cinq fables qui
portent
les numéros xlvii, lxi, lxii, lxiii et lxiv ont é
ue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées d’Avianus. Aussi
portent
-elles ce titre général : Ci commence le liure Au
e à la fin. Les 60 fables de Walther, contenues dans ce manuscrit, ne
portent
aucun titre ; mais chacune d’elles est suivie d’u
De Pastore et Lupo. Comme cela se rencontre fréquemment, elles ne
portent
pas de titre initial ; mais chacune d’elles est p
anuscrit 496. Le manuscrit 496, qui autrefois dans le fonds Bodley
portait
le nº 2159, est un volume in-4º, qui se compose d
douzième. Elles commencent à la première colonne du feuillet 58 b, ne
portent
pas de titre général, ni de titres particuliers,
Le manuscrit 4268 est un volume in-4º, dont les feuillets en papier
portent
une écriture du xve siècle. Il comprend 226 feui
un volume in-4º dont les feuillets en papier sont au nombre de 120 et
portent
une écriture du xve siècle. Il contient deux ouv
souscription, due à une main ancienne, démontre que les feuillets qui
portaient
la fin de la fable inachevée et les dernières, on
recto du premier feuillet par ce titre : Incipit liber esopi. Elles
portent
des titres à l’encre rouge, mais ne sont accompag
, occupent les feuillets 159 a à 172 b. Il est vrai que ces feuillets
portent
les nos 189 à 202. Mais cela tient à ce que le ma
vait trente feuillets de plus, savoir : les 28 premiers du volume qui
portaient
les nos 1 à 28, et deux autres qui précédaient ce
le fragment conservé des fables élégiaques et qui devaient eux-mêmes
porter
les nos 187 et 188 et contenir une partie des qua
au cardinal Gonsalvi, secrétaire d’État pontifical, avec prière d’en
porter
le contenu à la connaissance de son souverain. Un
thentiques et des deux qui y sont le plus habituellement ajoutées, ne
portent
pas de titre général, sont précédées chacune d’un
accrues des deux complémentaires, s’élèvent au nombre de 62. Elles ne
portent
aucun titre général, mais sont précédées chacune
consiste dans un cahier in-4º de seize feuillets en parchemin, qui ne
portent
que les fables de Walther dues à un copiste itali
talogues ; cet éditeur l’avait mentionné sous la cote A. VI. 3, qu’il
portait
alors451. C’est un fort volume du grand format in
s, sur les premières éditions lyonnaises. Les feuillets, non paginés,
portent
seulement des signatures ; c’est au feuillet port
j’ai cru devoir me dispenser de citer les nombreuses éditions qui ne
portaient
pas de date. § 2. — Éditions postérieures au
s mots qui, dans ma première édition m’induisant en erreur, m’avaient
porté
à supposer que l’édition contenait avec le texte
t Hirundine, De Coco et Cane cor rapiente, De Avibus et Pavone. Elles
portent
soixante-sept numéros par suite de la division en
comprenant, avec les soixante authentiques, cinq complémentaires qui
portent
les titres suivants : De Cornice et Hirundine, De
talité du texte latin. Voici les numéros, que les vingt-quatre fables
portent
dans le texte latin, rangés dans l’ordre adopté d
traduction des fables en langue vulgaire commence au feuillet 49, qui
portait
autrefois le nº 51, et finit au feuillet 61. Les
llo si nasconde cosa carissima, e di grande dolciezza. Les fables ne
portent
pas de titres ; chacune d’elles est agrémentée d’
rit forme un volume in-4º, dont les quarante-huit feuillets en papier
portent
une écriture italienne de la fin du xive siècle,
nce en ces termes : Sforza si la presente scriptura , etc. Elles ne
portent
pas de titre général. L’espace blanc qui, au-dess
de Ferrare. Manuscrit 340. NB. 5. Ce manuscrit, qui autrefois
portait
la cote 1267, consiste dans un cahier in-fº de pe
Bibliothèque nationale, où, longtemps réuni à d’autres ouvrages, il a
porté
avec eux la cote 6534 Y. La Grenville library en
, etc. Les fables 61 à 64, sous les nos lxiii, lxix (sic), lxv, lxvi,
portent
les titres suivants : De Capone et Accipitre ; De
s c’est une erreur matérielle : avant d’avoir la cote 2904, il a bien
porté
le nº 261 ; mais la cote 2094 ne lui a jamais app
Ce qui avait sans doute empêché de les reconnaître, c’est qu’elles ne
portent
pas au catalogue le véritable nom de leur auteur,
crit 24432 de la Bibliothèque nationale. Le manuscrit 24432, qui a
porté
dans le fonds Notre-Dame le nº 198, a été signalé
ue nationale. Ce manuscrit est le même qui, au temps de M. Robert,
portait
dans le supplément français le nº 766. Par suite
mais comme une copie altérée du Romulus de Vienne. Ce manuscrit, qui
portait
autrefois le nº 392 dans le fonds des Codices Nov
gnées d’aucune version poétique. Ce sont celles qui dans le manuscrit
portent
les titres suivants : De Leone quem feræ in regem
yme de Névelet, qui dans les manuscrits et les éditions de cet auteur
portent
les nos 59 et 60 et qui sont généralement intitul
bles qu’il renferme, et, mis en regard de ces titres, les numéros que
portent
les mêmes fables dans le Romulus ordinaire : R
at. Le savant administrateur général de la Bibliothèque nationale fit
porter
ses investigations non seulement sur le fonds Lib
ns la collection Libri et ensuite dans la collection Ashburham, avait
porté
la cote 1555. Il consiste dans un petit volume de
fiée de Romulus à son fils et suivies de l’épilogue à Rufus. Elles ne
portent
pas de titres. Les dix-sept premières seulement s
dléienne. Il forme un volume in fol., dont les feuillets en parchemin
portent
une écriture du xiiie siècle à deux colonnes, as
t ce roi sous le nom de Henris, et, lorsqu’on songe que celui qui l’a
porté
le premier a reçu et mérité le surnom de Beau-Cle
ans le Dérivé ont été omises deux de celles de ce Romulus, celles qui
portent
les nos ii, 5 et ii, 11. Puis, du nº 35 au nº 75
nnée tout à la fin du Dérivé et les sujets même qu’elles traitent, me
portent
au contraire à y voir une addition de l’auteur du
ecours à l’œuvre du roi Henri Beau-Clerc. J’ajoute que son goût ne la
portait
pas vers les traductions des ouvrages latins, qu’
entre elles sont indépendantes des 103 qui ont été éditées ; elles ne
portent
pas de titre et commencent l’une par ce vers : N
Bibliothèque nationale. A. Manuscrit 1446. Ce manuscrit, qui
portait
autrefois la cote 7534. 3. 3, forme un volume in-
arie commencent à la deuxième colonne du verso du feuillet 88 ; elles
portent
ce titre unique : Ici apries porres oïr les prou
e de vingt-deux vers. B. Manuscrit 1593. Le manuscrit 1593, qui
portait
auparavant la cote 7615, forme un volume in-4º de
aît avoir appartenu à Colbert et qui avant la classification actuelle
portait
la cote 7856.3.3, forme un volume in-4º, dont l’é
it 2173. Le manuscrit 2173, qui, avant la classification actuelle,
portait
la cote 7791, est un volume in-4º de grand format
M. de Roquefort. F. Manuscrit 14971. Le manuscrit 14971, qui a
porté
la cote 63228, forme un grand volume in-4º, qui s
éalité que 97 ; en effet, les deux fables qui dans le manuscrit 14971
portent
les nos 65 et 81, ne sont que les deux parties so
03. Voici maintenant le texte des deux fables qui, dans le manuscrit,
portent
les nos 99 et 100 : 99. De la Corneille qui se ve
numéro placé au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d’abord
porté
dans l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés la cote 1
manque 37 ; ce sont celles qui, dans le tableau précédemment dressé,
portent
les nos 16 à 21, 26 à 40, 42 à 45, 66 à 71, 84 et
à 40, 42 à 45, 66 à 71, 84 et 99 à 103. Les 66 fables du manuscrit ne
portent
pas de litres particuliers, mais sont précédées d
nquantes sont au nombre de 54 ; ce sont celles qui, dans mon tableau,
portent
les nos suivants : 1 à 18, 23, 26 à 36, 48 à 49,
nds, le manuscrit 24428 dépendait du fonds Notre-Dame, dans lequel il
portait
la cote 193. C’est un volume in-fol., composé de
d’elles. Le manuscrit en possède non 93, comme un numérotage inexact
porterait
à le croire, mais seulement 92. Les manquantes so
mais seulement 92. Les manquantes sont celles qui, dans mon tableau,
portent
les nos 12, 25, 42 à 44, 51, et 99 à 103. Au bas
anuscrit 25406. Le manuscrit 25406 qui, avant la fusion des fonds,
portait
dans le fonds Notre-Dame la cote 192 et auquel M.
complet : les vers 8 à 9, 21 à 22 et 33 à 36 ont été omis. Les fables
portent
des titres spéciaux, qui ont été écrits par la mê
1, 256 vº, col. 2 ; 256 vº, col. 3. Les fables, au nombre de 102, ne
portent
pas de titres, sont pourvues de l’épilogue ordina
fables qui manquent à la collection, sont celles qui dans mon tableau
portent
les nos 5 à 6, 11 à 12, 27, 75, 78 à 80, 85, 87 à
15 de plus. Les quinze qui manquent sont celles qui dans mon tableau
portent
les nos 22 à 23, 40 à 41, 46, 50 à 52, 71 à 75 et
cette concordance n’existe pas, et dès lors on est tout naturellement
porté
à penser que l’auteur de ce Romulus n’a créé qu’u
s au Romulus primitif, tandis que les deux Dérivés partiel et complet
portent
les mots in quercu resedit étrangers à ce Romulus
it, voici la liste des vingt-deux fables, accompagnée des numéros que
portent
les semblables dans le Romulus primitif et dans l
Burnéien538, on retrouve les fables qui, dans l’édition de M. Robert
portent
les nos 5 à 15 et 18 à 21. Malheureusement M. Oes
plus que le Romulus de Nilant, conforme au Romulus primitif, je suis
porté
à penser que quelque copiste aura, à une époque a
a bibliothèque communale de Trèves. Ce manuscrit, qui auparavant a
porté
la cote LXXVII et plus anciennement la cote IV. 2
deux de plus, celles qui, dans la nomenclature précédemment établie,
portent
les nos 7 et 60. Il me paraît évident que c’est i
siècle, coté 15. A. VII et composé de 84 feuillets en parchemin, qui
portent
sur deux colonnes une écriture très fine. Les fab
ombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordinaire, mais ne
portent
ni titre général applicable à la collection, ni t
st incomplet : il présente des lacunes, l’une entre les feuillets qui
portent
les nos 40 et 41, et l’autre entre ceux qui porte
les feuillets qui portent les nos 40 et 41, et l’autre entre ceux qui
portent
les nos 50 et 51. À chacun de ces deux endroits,
u Méril avait connu ce Dérivé, il est probable que ce défaut l’aurait
porté
à y voir le résultat du système d’enseignement pr
uisait ses inspirations. Il faut ajouter qu’une autre cause devait le
porter
à s’écarter de son modèle, à savoir l’esprit reli
es malheurs. » Deux traductions, éditées à Rouen en 1736 et en 1758,
portent
, la première : « Choisissant quelque sujet pour y
our l’obliger à surprendre le Loup qu’il envioit. Mais ce Traistre ne
porta
guere loing la peine de son forfaict, non plus qu
mé d’aymer plus les uns, et les autres moins, selon que nous y sommes
portez
d’inclination, et par la conformité de nos mœurs,
nera donc si Esope donne de l’avantage au Rat villageois, et luy fait
porter
impatiemment le temps qu’il demeura dans ceste ca
peut dire sur ceste matiere, d’où il est aisé de conclurre, qu’estans
portez
d’inclination aux choses contraires à nostre bien
oûtons pas beaucoup de foy. Car il leur apprit en volant bien haut, à
porter
dans des corbeilles certains enfans pendus à leur
inité de gents, dont la gloire devroit arriver jusques au Ciel. Voyez
porter
la picque dans les Compagnies à des Soldats, plus
res approches d’une femme. Il leur est donc fort difficile de se bien
porter
en les faisant, et mesme impossible de vivre long
, qui est tel. Un Elephant ayant reçeu commandement de son Maistre de
porter
une Cruche dessoudée à racommoder, chez le Potier
er. Mais l’Elephant ne se fiant pas à celuy qui l’avoit desjà trompé,
porta
sa Cruche dans la riviere, avant que la rendre à
e que cela, pourveu qu’elle soit propre. Elle ne nous a pas obligés à
porter
de precieux habillements enrichis d’or et de perl
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