r des Orateurs, et des Philosophes, commanda à Esope de se tenir à la
porte
, et de ne laisser entrer que les Doctes. L’heure
gis, qu’il avoit fermé sur luy, un des conviez s’en vint heurter à la
porte
, et soudain Esope luy fist cette question, « Que
ait fallu, que pour nous empescher d’aller chez toy, tu ayes mis à la
porte
ce puant Esope, pour nous injurier, et nous appel
ils ne m’en ont donné aucune preuve : Car lors qu’ils ont heurté à la
porte
, et que je leur ay demandé, Que remuë le chien ?
stion. Les ayant donc pris pour des Ignorants, je leur ay deffendu la
porte
, et n’ay laissé entrer que celuy-cy, qui a fort b
ns l’estans allé visiter, et voyant son fils à travers la fente de la
porte
; « Comment se porte ton Père ? », luy demanderen
ter, et voyant son fils à travers la fente de la porte ; « Comment se
porte
ton Père ? », luy demanderent-ils ; « Mieux que v
dans l’étable d’un laboureur. Celui-ci, voulant le prendre, ferma la
porte
de la cour. Ne pouvant sortir, le lion dévora d’a
aux bœufs. Alors le laboureur, prenant peur pour lui-même, ouvrit la
porte
. Le lion parti, la femme du laboureur, le voyant
ce phantosme.
La celeriere du Royaume
De Satan, reprit-elle ; et je
porte
à manger
A ceux qu’enclost la tombe noire.
Le M
qu’enclost la tombe noire.
Le Mary repart sans songer ;
Tu ne leur
portes
point à boire ?
remplir sa traînante mammelle, Et paistre l’herbe nouvelle, Ferma sa
porte
au loquet ; Non sans dire à son Biquet ; Gardez-v
ois avoit à l’écart son logis. Messer Loup attendoit chape-chute à la
porte
. Il avoit vû sortir gibier de toute sorte ; Veaux
nant luy coupa le pied droit et la teste. Le Seigneur du Village à sa
porte
les mit ; Et ce dicton Picard à l’entour fut écri
fust allée, le Loup qui l’avoit ouye de loing, s’en vint heurter à la
porte
, et contre-faisant la voix de la Chévre, commanda
? qui n’approuvera sa bonne conduite ? Sa Mere luy défend d’ouvrir la
porte
, si ce n’est à elle mesme ; Et voylà qu’un moment
feinte qu’il ouvre, et que c’est veritablement la Chévre qui est à sa
porte
. Mais luy bien advisé, ne se départ pas d’un seul
un champ, [si] translança. Li chans li dist : « Reguarde tei, tu n’en
portes
n[i]ent de mei ! » Autresi est des veisïez : quan
Quand elle jugea qu’il avait cuvé son vin, elle revint et frappa à la
porte
du cimetière : « Qui frappe à la porte ? » dit l’
in, elle revint et frappa à la porte du cimetière : « Qui frappe à la
porte
? » dit l’ivrogne. « C’est moi qui viens apporter
rte : Mesme vers ses pareils s’estant refugié Il fut par eux mis à la
porte
. Il est assez de Geais à deux pieds comme luy, Qu
fût arrivé, il apperçeut qu’il y avoit quantité de gens, et devant la
porte
une pierre, à laquelle s’aheurtoient tous ceux qu
», respondit Esope, « et je le soustiens encore. Car à l’entrée de la
porte
j’ay trouvé ceste mesme pierre, et ce disant il l
quelqu’un troubla la feste
Pendant qu’ils estoient en train.
A la
porte
de la salle
Ils entendirent du bruit.
Le Rat de
en joye, il s’en vient lourdement, Leve une corne toute usée ; La luy
porte
au menton fort amoureusement. Non sans accompagne
: « Qu’as-tu à te pavaner ? Ce n’est point à cause de ta vertu que tu
portes
cette sonnette, mais bien pour dénoncer ta méchan
aigles ad mut grant desirer de la welke qu’il tient manger ; haut la
porte
, cheïr la leit. La corneille fut en agueit : avan
n plus que celle des Chats, Ne veut aucun bien aux Rats ; Et sans les
portes
étretes De leurs habitations, L’animal à longue e
ndre. Yvern esteit, de freit fu morte. Li chiens i vient, sa leine en
porte
, e li escufles d’autre part, e puis li lus, trop
res qu’ils furent arrivez, Xanthus voulut qu’Esope demeurât devant la
porte
, pource, disoit il, qu’il sçavoit que sa femme se
vos servantes ; Car je vous ay achepté un Valet qui est devant nostre
porte
, en qui vous remarquerez une si excellente beauté
nouveau valet, pour le faire entrer, il y en eust une qui courut à la
porte
plus promptement que les autres, estimant par ce
je renonce à la douceur qui est en moi et à l’excellent fruit que je
porte
, pour aller régner sur les arbres ! » Et les arbr
Chambry 267 Chambry 267.1 Ὄνος βαστάζων ἄγαλμα — L’âne qui
porte
une statue de dieu. Ὄνῳ τις ἐπιθεὶς ἄγαλμα ἤλ
embastonnez, Jamais vous n’en serez les maistres. Qu’on luy ferme la
porte
au nez, Il reviendra par les fenestres.
n Asne, un Asne renforcé, Je le rendray Maistre passé ; Et veux qu’il
porte
la soutane. Le Prince sceut la chose, il manda le
uleur. « Moi, disait-il, je suis vêtu d’or et de pourpre ; toi, tu ne
portes
rien de beau sur tes ailes. – Mais moi, répliqua
tançant aigrement, « ne veux-je pas t’affranchir aussi ? Va-t’en à la
porte
, et prends bien garde si tu ne verras point deux
tu peux bien remercier mes amis : car n’estoit le respect que je leur
porte
, et que je les ay conviez, je te punirois si bien
ù estoit arrivé le combat, et se lança teste baissée dans la premiere
porte
qu’il pût rencontrer, où après avoir monté le deg
n au Meurtrier de s’échapper de ce lieu, et luy ouvrant elle mesme la
porte
; « Va », luy dit-elle, « ô miserable, contre qui
Chambry 186 Chambry 186.1 Κύων κρέας φέρουσα — Le chien qui
porte
de la viande. Κύων κρέας ἔχουσα ποταμὸν διέϐα
rier ! et si parfois cela m’arrive, ils se fâchent et me jettent à la
porte
. – Va te promener, ma belle dame ; il n’y a pas d
od mei ! » A un mur sunt amdui venu ; ileoc ad li leüns veü defors la
porte
une peinture cum un vilein par aventure od sa hac
x-là sont des sots qui ont recours à l’aide de ceux que leur instinct
porte
plutôt à faire du mal.
faisait recette. Soudain un quidam vint à lui et lui annonça que les
portes
de sa maison étaient ouvertes et qu’on avait enle
elle.
La mort crut, en venant, l’obliger en effet.
Elle frappe à sa
porte
, elle entre, elle se montre.
Que vois-je ! cria-
Chambry 266 Chambry 266.1 Ὄνος ἅλας βαστάζων — L’âne qui
porte
du sel. Ὄνος ἅλας ἔχων ποταμὸν διέϐαινεν. Ὀλι
que l’echo de ces bois N’en dormit de plus de six mois. L’Oyseau qui
porte
Ganimede, Du Monarque des Dieux enfin implore l’a
as mieux que de coustume, « Ah ! mon amy », luy respondit-il, « je me
porte
tousjours bien, à ce qu’on me dist, et toutesfois
cun estant en belle humeur,
Un domestique accourt, l’avertit qu’à la
porte
Deux hommes demandoient à le voir promptement.
donnant à Esope, qui estoit auprés de luy ; « Va-t’en », dit-il, « et
porte
cecy à ma bien-aymée ». Esope s’en alla en mesme
Il falloit donc bien, ce me semble, Seigneur, que tu me disses, Esope
porte
cecy à ma femme, et non pas à ma bien aymée ». Ce
t plus que mépris pour lui, et, lorsqu’il se présenta, il le mit à la
porte
à coups de bâton. Cette fable montre que ceux qui
y fait quelque rôle ; Jupiter comme un autre : introduisons celuy Qui
porte
de sa part aux Belles la parole : Ce n’est pas de
’il est si ardant et si prompt à la fatigue, car, à ce que je voy, il
porte
la charge d’un cheval ». Mais apres qu’ils furent
s, qu’il n’ayt esté destiné pour servir toûjours à l’homme, car il le
porte
sur son dos, et luy met-on un frein à la bouche.
e ils s’apprêtaient à commencer le festin, soudain un homme ouvrit la
porte
. Effrayés du bruit, nos rats se précipitèrent peu
de force qu’un vermisseau, et qui succumbe au premier coup qu’on luy
porte
? Telles et autres meditations peuvent rappeller
nonante-cinquiesme Fable. Quant à l’aveugle affection que le Singe
porte
à ses Enfans, elle nous apprend combien nous somm
ien se deit deliverer de li, n’avera dute de sun mesfet ; le buket li
porte
plein de leit, puis si l’asie* a tere jus, si s’e
llement, me hayssent au mourir. Ne trouve donc pas estrange, si tu en
portes
la peine aujourd’huy ». Discours sur la seconde
crime d’y consentir, il suffit de s’en tenir à la loy naturelle, qui
porte
tout le monde à sa propre conservation, non seule
à la fin revenu à soy ; « Malheureux que je suis », dit il, « que je
porte
à bon droict la peine de ma sottise ! et qu’à bon
n’est pas à croire combien est grande la violence où leur passion les
porte
. Alors, dis-je, s’imaginant que toutes choses leu
question maintenant de venir à l’impudicité, y a-t’il rien qui nous y
porte
avec tant d’excez, que la richesse sans bornes ?
assassins ? de faire preparer des drogues envenimées ? d’enfoncer des
portes
? de mettre en embuscade un bon nombre de Satelli
! Pour n’avoir pas voulu me charger d’un léger fardeau, voilà que je
porte
tout, avec la peau en plus. » Cette fable montre
Plutarque nous dépeint, ne nous empesche point de leur fermer nostre
porte
, et de leur feindre des affaires, quand mesme ils
limites. Ce défaut procede du seul déreglement de nôtre desir, qui se
porte
tous-jours au trop, et condamne absolument le tro
d’une extrême peur d’en avoir faute, ou de l’amour déreiglé que l’on
porte
aux richesses. Quelque accroissement qu’elle pren
el ardant et vigoureux leur fait croire toutes choses faciles, et les
porte
vertement aux plus hautes entreprises. Ils s’asse
encore en nos débordements : l’insatiable convoitise d’acquerir nous
porte
jusqu’à égorger nos proches et nos amis, et nous
autes entreprises ; Elle qui fait les Vaillants et les Doctes, et qui
porte
nos Esprits non seulement à l’action vertueuse, m
scours sur la cinquante-uniesme Fable. O L’estrange humeur où nous
porte
nostre ambition ! Ce n’est pas assez à quelques u
çavoir, que nous tenons de la naissance un certain instinct, qui nous
porte
ordinairement aux actions où nous sommes le plus
entendement se portant à tout cognoistre, nostre volonté de mesme se
porte
à tout esprouver ; En quoy, certes, les animaux o
up qui les ouyst, esperant de trouver quelque butin, s’approcha de la
porte
du logis ; Mais il fût contraint de s’en retourne
ns et du menu peuple, à qui la Fureur met les armes à la main, et les
porte
indiscrettement à des actions precipitées et domm
galement sous l’égide d’un affranchi qu’il le place, et cet affranchi
porte
, comme Eutyque, un nom grec ; il se nomme Philète
petit volume in-12 de soixante-dix pages. Voici d’abord le titre que
porte
la première : Phædri Avg. Liberti fabvlarvm Æso
mal relié, n’a rien de remarquable ; le deuxième, quoique très rogné,
porte
des notes écrites par trois mains différentes. Je
ent camarade et ami, M. le docteur Carteron-Corthier. » Cette mention
porte
la signature abrégée de Corard de Bréban, accompa
lives, petit-fils de Bréban, le 8 septembre 1871. » L’exemplaire qui
porte
le nº 222 est admirablement relié et conservé ; s
e ce fonds figure l’exemplaire de l’édition originale de Phèdre qui y
porte
la cote 384 E. 3. Il est remarquable par son parf
Pithou, pourraient mettre facilement un terme à leur incertitude. Il
porte
écrites de la main de Rigault les variantes du ma
vre par la pièce de vers Æsopi nomen, etc. Il ne remarque pas qu’elle
porte
pour titre les mots : Idem Poeta , et que ces mo
arent, sur lequel Dom Vincent avait imité l’écriture du manuscrit. Il
porte
en outre au commencement, sur la face intérieure
fier ce prologue et la page suivante. » Il y a donc là une lacune qui
porte
sur les 34 premiers vers. Malgré cette lacune, on
inventeur de la musique moderne132. Le second manuscrit est celui qui
porte
les fables de Phèdre. L’écriture est du xie sièc
du roman de Fier-à-bras en vers français de dix syllabes. Ce fragment
porte
la date de 1318. Puis vient la chanson de geste i
rtie, à l’aide des manuscrits qui en provenaient. En effet la page 10
porte
la date de 1560, et, sur les pages 33 à 35 a été
opie du manuscrit napolitain de Perotti, qui dans le fonds d’Orville,
porte
la cote X. 2. infra 2.23. Dans le catalogue157 de
viiI. | Excudebat Dominicvs Sangiacomo. | Praesidum venia. L’épître
porte
la date du seizième jour avant les calendes de dé
sous Claude et sous Néron ; puis il consacre un second chapitre, qui
porte
pour titre ces mots : In constitutam Petronii ae
ait avec certitude lui être imputé, tandis qu’en réalité le manuscrit
porte
: Quam tibi impartiar parvam quamvis pa… « Fabl
aire de chacune d’elles. La première, en 42 pages sans la préface, ne
porte
que le texte latin des fables nouvelles. Elle a é
exte latin des fables nouvelles. Elle a été imprimée chez Crapelet et
porte
pour titre : Phaedri | Augusti liberti | Fabella
demain, mon premier soin fut d’aller au palais du Museo Borbonico. La
porte
de la bibliothèque était ouverte. Un travailleur
vement récente, quoique antérieure aux travaux de Jannelli. Celle qui
porte
le nº 35 et qui est intitulée : De divitiis et p
liments les plus hyperboliques, et cette ancienne fable de Phèdre qui
porte
généralement pour titre : Muli et Latrones. Ap
ent son recueil, sont écrites en vers, sauf une épître en prose qui y
porte
le nº 67. En définitive, si aux 157 numéros on aj
a accusé d’avoir dénaturé le corps même des fables182. Sa critique ne
porte
pas très juste, quand, par exemple, il l’accuse d
en entourent un huitième plus grand, qui, en lettres d’or et d’azur,
porte
l’avertissement suivant : « In hoc pulcherrimo co
é. Le manuscrit Vatican est si bien conforme à celui de Naples, qu’il
porte
même la note, qui, dans ce dernier, figure en mar
, dans l’index du manuscrit, cette seconde copie est intitulée ? Elle
porte
ce titre moral : De Judicio ferendo in rebus dub
nne que le xiiie siècle. Mais c’est à tort que le manuscrit de Dijon
porte
le nom de Romulus. Ce Romulus, surtout s’il était
original, mais comme un simple traducteur des fables d’Ésope. Ce qui
porte
Schwabe à se rallier à cet avis, c’est que Sénèqu
ulpis, qui est la première des nouvelles ; puis vient le fragment qui
porte
pour titre : De his qui legunt libellum et dont
lus tard dans son Cornu copiæ la fable Arbores in tutela deorum. Elle
porte
dans le manuscrit de Naples le numéro 70 et la ru
ui en est resté n’en est qu’une faible partie. La fable v de ce livre
porte
pour titre ces mots : Item Cæsar ad Atriensem.
erne le recto du premier feuillet, c’est-à-dire du feuillet clxxxvii,
porte
des notes relatives aux choses qui, arrivées en 1
un autre personnage. Fol. ccxii a. — Le recto de ce dernier feuillet
porte
une écriture peu lisible qui n’est pas celle d’Ad
. Tel est le manuscrit curieux, qui, dans la bibliothèque de Leyde,
porte
la cote Vossianus Latinus in-8º, 15. Comme on le
ote dans laquelle l’éditeur, donnant la nomenclature des titres qu’il
porte
dans les divers manuscrits, déclare que le titre,
, fait mention d’un manuscrit qui, dans les Vossiani varii argumenti,
porte
la cote 19 et dont les feuillets en papier sont o
uvrir un exemplaire broché à la bibliothèque du British Museum, où il
porte
la cote 12 305 e 296. Comme la lettre de Tross es
si que Tross l’avait déjà fait remarquer, le manuscrit de Wissembourg
porte
la cote 148 Gud. Pour m’en faire connaître le sen
. — Grammatica quædam de octo vitiis. Fol. 60 b. — Le bas de la page
porte
, à l’encre rouge, en lettres capitales ce titre a
ciles à comprendre. Dans le manuscrit de la bibliothèque de Leyde qui
porte
aujourd’hui la cote Vossianus latinus in-8º 46, i
ude avait sans doute soigneusement prise du vieux manuscrit de Dijon,
porte
également : Romulus Tyberino filio. De civitate A
ue l’œuvre elle-même, ne soit pas parfaitement fidèle. Or cette copie
porte
: Romulus Tyberino filio de Civitate salutem. Æso
n dérivé dont le texte s’éloigne peu de celui du Romulus primitif. Il
porte
ce titre : Incipit liber esopi quem transtulit Ro
scrit du xiiie siècle qui, dans la bibliothèque de la ville du Mans,
porte
la cote 84, c’est encore la même ponctuation qui
emple la collection contenue dans le manuscrit du collège Merton, qui
porte
ce titre : « Ex fabulis Esopi sapientis uiri mora
’identité attestée par ces exemples montre clairement que l’œuvre qui
porte
le nom de Romulus n’a pas été une œuvre originale
artement des manuscrits. Le manuscrit de Romulus, qui en fait partie,
porte
le nº 59, et, comme sous ce numéro l’ancien catal
ence un ouvrage qui a dû être composé à l’usage des écoliers ; car il
porte
ce titre : Incipiunt propositiones ad acuendos j
en fréquent, les fables de Romulus n’étaient pas seules. Ainsi que le
porte
la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32
onsisté à mettre un v pour un x, de sorte qu’au lieu du nº xxiii elle
porte
le nº xviii. Cette erreur typographique permet d’
Schwabe ont valu une notoriété spéciale ; c’est celui qui aujourd’hui
porte
la cote 10.2. Ethic. dans la bibliothèque ducale
seuls. Le premier, qui appartient à la bibliothèque royale de Munich,
porte
au catalogue la cote A. Gr. B. 12. Il est dans un
Sigismunde en a été enlevée. En tête, à l’intérieur d’un des plats il
porte
cette notice, dans l’écriture de laquelle j’ai fa
ns la Bibliothèque Laurentienne où il dépend du fonds d’Elci et où il
porte
la cote E. 2. 326. Il ne comprend pas l’Hystoria
te desquelles on lit : Finis diuersarum fabularum. Cette édition ne
porte
ni le lieu, ni le nom de l’imprimeur, ni réclames
éjà commise, la fable vingt-troisième et dernière des Fabulæ collectæ
porte
le nº xxviii, qui montre bien que l’imprimeur d’A
ary et qui possède son catalogue séparé. Ce catalogue, dans lequel il
porte
le nº 7805, a été publié en trois volumes in-8º,
plaire que j’en ai trouvé à la bibliothèque publique de Stuttgard. Il
porte
cette mention manuscrite : Édition tout à fait i
en faire connaître les particularités. Comme les précédentes, elle ne
porte
ni lieu, ni date, ni nom d’imprimeur ; elle est o
t les fables, dont la première, au-dessus de sa désignation spéciale,
porte
ce premier titre : Fabula prima Tertii libri Eso
l’édition, la fable correspondante de Romulus qui suit immédiatement,
porte
ce titre : Eiusdem fabule prosa. Le livre III p
ent de nombreuses erreurs typographiques. Ainsi le fol. 71 a (l. i a)
porte
tercius au lieu de vagantes, le fol. 78 a (l. vii
dans les éditions plus anciennes de Sorg, la fable De Vulpe et Gallo
porte
par erreur le nº xxviii au lieu du nº xxiii. Les
de un exemplaire. L’édition imprimée en caractères quasi-gothiques ne
porte
ni signatures, ni réclames, ni lieu d’impression,
Bidpaï faite au xiiie siècle par Jean de Capoue. Le premier feuillet
porte
au recto le titre suivant : Directorium humane v
la dix-septième de ces fables, par une erreur qui leur est spéciale,
porte
le nº xvi. Malgré cette similitude, rendue encore
n, le premier feuillet du cahier a n’est pas signé ; mais le deuxième
porte
la signature a ; le deuxième feuillet du cahier d
signatures d.ij et h.ij, par erreur le quatrième feuillet du cahier i
porte
la signature i. iiiij, et le cinquième feuillet d
sa gravure. Les titres courants sont très fautifs : le feuillet l. i
porte
au recto tercius au lieu de vagantes, et au verso
gue lui donne la cote IV. H. 3. Au British Museum il en existe un qui
porte
au catalogue de la Grenville library le nº 7808.
compositions de l’éditeur. La première partie n’est pas paginée, mais
porte
des signatures de a à s, et se compose de cahiers
ne renferme plus que l’œuvre de Brant. Elle n’est pas chiffrée, mais
porte
une seconde série de signatures de a à m, mises s
em. Elle est suivie d’une dissertation sur l’utilité des fables qui
porte
pour titre : Utilitas et commoditas fabularum po
citer les suivants : 1º À la Bibliothèque nationale un exemplaire qui
porte
la cote Y 6536, mais qui malheureusement est inco
, un magnifique exemplaire complet, à pleines marges, dont la reliure
porte
sur les plats les initiales réunies des noms de H
ilé qui, dans la deuxième partie du catalogue imprimé des incunables,
porte
le nº 17 ; 9º À la bibliothèque de l’Université d
e de 1487 forme un volume in-folio, illustré de gravures sur bois. Il
porte
cette souscription finale : Gedruckt vnd volennd
sans date, consistant dans un volume in-fol. de petit format, qui ne
porte
ni lieu, ni date, ni nom d’imprimeur. En ce qui t
re antérieure à 1480 ; car je vais tout à l’heure en analyser une qui
porte
ce millésime. Enfin, il me paraît très probable q
Au-dessous de ce titre est une vignette dans laquelle une banderole
porte
les noms des imprimeurs. Le verso du premier feui
es, avec des signatures de Aiij à Kiij. Le titre est tiré en rouge et
porte
au verso le portrait d’Ésope. La vie de ce fabuli
deuxième feuillet et finit au bas du recto du dix-neuvième. L’édition
porte
le titre suivant : Les subtilles fables de Esope
date. Le verso du dernier feuillet, qui représente la figure d’Ésope,
porte
bien le nombre xv, dans lequel Panzer a cru voir
ractères gothiques et composé de 128 feuillets numérotés. Le fol. 1 a
porte
ce titre : Les subtiles fa|bles de Esope, auec c
se de 480 pages numérotées, précédées de 7 feuillets, dont le premier
porte
le portrait en buste de sir Roger l’Estrange, et
frontispice, la préface et le portrait d’Ésope en pied. Voici ce que
porte
le frontispice : Fables | of | Æsop | and other
t format. Il se compose de 160 feuillets en vélin, dont le dernier ne
porte
aucune écriture. Il appartient au xiiie siècle.
ich possède un manuscrit qui les renferme isolément. Ce manuscrit qui
porte
la cote 6804 et qui provient du couvent des Corde
olume in-fol., dont l’écriture à deux colonnes est du xve siècle. Il
porte
la date de 1473. Les fables du Miroir historial q
ts suivants : E diuerso autem auceps venit et. Les premiers mots que
porte
le feuillet 286 rº sont ces derniers de la fable
crit XV. Le manuscrit qui, dans la Bibliothèque du Collège d’Exon,
porte
le nº 15 et qui, contenant les trente-deux livres
me les livres XVII à XXIV. Il se compose de 175 feuillets. En tête il
porte
la table des chapitres et la table particulière d
cencii. Impressa. Per. Jo-||hannem. Mentellin. Troisième volume. Il
porte
cette mention finale : Explicit. Tercivm. Volvme
u d’impression, ni nom d’imprimeur. Elle a 69 lignes à la page, et ne
porte
ni signatures, ni réclames, ni pagination378.
ion in-folio du Speculum morale, à deux colonnes de 56 lignes, qui ne
porte
ni signatures, ni réclames, ni pagination, et qui
es, réclames, ni pages numérotées. Le premier feuillet, sur le recto,
porte
ces mots : Primus liber Speculi doctrinalis. Spe
12 feuillets préliminaires signés, mais non paginés, dont le premier
porte
au recto le titre suivant : Le second volume ||
12 feuillets préliminaires signés, mais non paginés, dont le premier
porte
au recto le titre suivant : Le tiers volume de |
10 feuillets préliminaires signés, mais non paginés, dont le premier
porte
au recto le titre suivant : Le quart volu||me de
I. Il se compose d’abord de 8 feuillets préliminaires dont le premier
porte
au recto le titre suivant : Le quint volume ||
lets sont au nombre de 304 ; c’est par erreur que le dernier feuillet
porte
le nº 299 ; car il y a 38 cahiers de 8 feuillets
i est destiné. Dans ceux destinés à Galliot du Pré, le frontispice ne
porte
qu’une fois son nom et est orné d’un encadrement
à XV. Il se compose d’abord de 8 feuillets, dont le premier au recto
porte
ce titre : Le second volume || de Vincent Miroir
d de 6 feuillets signés, mais non numérotés, dont le premier au recto
porte
ce titre : Le tiers volume de || Vincent miroir
d de 6 feuillets signés, mais non numérotés, dont le premier au recto
porte
encadré ce titre : Le quart volume || de Vincent
se d’abord de 6 feuillets signés, mais non numérotés, dont le premier
porte
au recto ce titre : Le cinquiesme || volume de V
L’autre, qui n’a que 84 feuillets, est au contraire avec initiales et
porte
le sceau de l’imprimeur. Toutes les deux sont orn
ntenues dans un manuscrit de la bibliothèque cantonale de Berne où il
porte
le nº 676. C’est un petit in-4º dont l’écriture à
sisté sur l’instinct qui, lorsqu’il est poursuivi par un chasseur, le
porte
, pour lui échapper, à faire lui-même le sacrifice
ed dans le manuscrit nº 8259. Mais c’est là une erreur : ce manuscrit
porte
pour titre ces mots : Hic incipit liber magistri
de 21 feuillets en parchemin, dont l’écriture est du xve siècle. Il
porte
sur le recto du premier feuillet cette mention éc
oi. Les fables ne sont précédées d’aucun titre général ; mais chacune
porte
un titre spécial. En marge des trois premiers ver
e de 60, réparties par la raison connue sous 61 numéros. Chaque fable
porte
un titre spécial écrit à l’encre rouge. La derniè
ordre de Saint-Augustin, avait été fondée en 1113 sous Louis VI. À la
porte
du dortoir, cette origine était rappelée par l’in
précieux. Le catalogue manuscrit du fonds Saint-Victor, sur lequel il
porte
les nos 266 et 175, l’un ancien, l’autre plus réc
t Lupo. L. Manuscrit 15135. Le manuscrit 15135, comme celui qui
porte
le nº 14381, provient de l’abbaye de Saint-Victor
volution. Le catalogue manuscrit du fonds Saint-Victor, sur lequel il
porte
les nos 793 et 548, l’un ancien, l’autre plus réc
lets sont eux-mêmes précédés de deux autres non numérotés. Le premier
porte
au haut du verso cette mention qui remonte à une
s en frācois pulto 1o contre la muraille deriere la court. Le second
porte
au milieu du verso cette autre mention moins anci
ranscrire ici dans leur ordre les titres français que leur traduction
porte
: 1. Du Coc et de l’Esmeraude. 2. Du Loup qui mi
st ne puet non estre, Et qui n’est pas puet bien estre ; Et l’espine
porte
la rose ; De ianuier ist bien douce chose ; La ro
e chose ; La rose près est de l’ortie ; La terre qui bien est gargnie
Porte
bon blef et pour ce vuarge [Bo]n et mauués ensemb
Qui est de justice balance, Madame Bonne sa compaigne, Qui de bonté
porte
l’ansaigne. Ne semble pas estre rimé Qui n’est cl
reçu la cote Regius 7616.3 et plus anciennement la cote De Cangé 106,
porte
aujourd’hui le nº 1595 ; c’est par lui que je vai
uillets anciens en parchemin, précédés d’un premier feuillet neuf qui
porte
un titre écrit par une main moderne, et suivis d’
roprié au texte. Aucun titre général ne domine les fables ; aucune ne
porte
un titre particulier. Quoiqu’elles soient les mêm
e borne à la traduction du seul texte de Walther. Cette différence me
porte
à croire que l’auteur des additions latines et fr
rté à en induire que le moins ancien des deux, c’est-à-dire celui qui
porte
le nº 24310, doit être la copie exacte de l’autre
français, a reçu successivement les cotes MMCXCII, 816.1, et 7304. Il
porte
aujourd’hui le nº 983. C’est un petit in-folio du
ie siècle est sur parchemin. Sur la face interne du premier plat, il
porte
cette mention inscrite au siècle dernier : Ex bi
du fonds de l’Académie des sciences, lettres et arts, dans lequel il
porte
le nº 57. Il a appartenu à M. Adamoli, illustre b
rs des genz plus atraire. Vn petit iardin ai hantey ; Flours et fruit
porte
a grant plantey. Li fruiz est bons, la flours nou
n soner Et de vil champ bien moissoner ; Ceste oure en parole legiere
Porte
fais doneste menière ; Aussi con la cruise quest
vers de la fable latine, puis la miniature, enfin la traduction, qui
porte
ce titre : De la rate et de la renoille , et qui
latine, de la miniature et de la traduction intitulée : Du chien qui
porte
la pece de char en son boiche et composée de cin
rate et de la renoille. 4. Dou chien et de la burbiz. 5. Du chien qui
porte
la pece de char en son boiche. 6. Da berbiz, da u
ables de Walther. C’est le manuscrit latin in-8º du xive siècle, qui
porte
le nº 87. Il renferme 59 fables élégiaques, mêlée
et que l’un des deux remontait au xiie siècle. C’est ce dernier qui
porte
la cote 87.5. Aug. ; mais, ainsi que j’ai déjà eu
dont l’écriture à deux colonnes est due à une main du xve siècle. Il
porte
le millésime de 1471. Il contient les fables d’Av
mmencent sans titre général au recto du feuillet 297. Chacune d’elles
porte
son titre particulier en marge, en face du premie
gine est indiquée au catalogue par cette mention : Chiem. ep. 11. Il
porte
la date de 1449 et se compose de 272 feuillets. D
Em. D 26, contient plusieurs opuscules, qui, d’après les dates qu’il
porte
, ont été écrits de 1425 à 1433. Il forme un volum
mot Esopus s’étendent du feuillet 14 au feuillet 33. Chacune d’elles
porte
un titre à l’encre rouge, et est en outre accompa
. C’est encore un manuscrit à feuillets en parchemin que celui qui
porte
le nº 18107. Il ne se compose que de 18 feuillets
rary un manuscrit identique à celui qui, à la Bibliothèque nationale,
porte
dans le fonds français la cote 1594. Non seulemen
t Canonicus latinus 80. Ce manuscrit, qui dans les Canonici latini
porte
le nº 80, est un petit in-fol. de 65 feuillets en
t Canonicus latinus 127. Le manuscrit qui dans les Canonici latini
porte
le nº 127, est un volume in-4º, dont les soixante
t Canonicus latinus 128. Le manuscrit qui dans les Canonici latini
porte
le nº 128, est un volume in-4º qui ne se compose
D. Manuscrit Digbey 26. Le manuscrit qui dans le fonds Digbey
porte
le nº 26, est un vol. du petit format in-4º, dont
Sans titre général, elles sont précédées du prologue qui lui-même ne
porte
pas de titre particulier. Chaque fable en revanch
des deux complémentaires. E. Manuscrit 10624. Ce manuscrit qui
porte
aussi la cote 13835, est un grand in-fol., dont l
ume on a, comme au commencement, ajouté un feuillet en parchemin, qui
porte
cette mention : Est liber hic sancti Martini lou
qui se trouve actuellement à la bibliothèque royale de Bruxelles, il
porte
le nº 534. Il contient un grand nombre d’œuvres d
e regrette de ne pouvoir la reproduire. Le verso du douzième feuillet
porte
cette souscription : Explicit Ysopus , qu’une ma
Walther. La collection qui commence au milieu du verso du feuillet xx
porte
un titre général écrit à l’encre rouge et ainsi c
e 413 un manuscrit des fables de Walther, qui, dans le fonds Strozzi,
porte
le nº LXXX. C’est un volume in-4º, dont les feuil
vus tous de profil. Au haut du recto du dix-septième feuillet qui ne
porte
que le distique final : Fine fruor , etc., elles
; mais chacune a son titre spécial. La fable xlviii De viro et uxore
porte
les quatre vers qu’on trouve quelquefois intercal
ent du xve siècle. En effet, un des ouvrages contenus dans le volume
porte
en souscription la date de 1460. Les fables sont,
forme un volume du grand format in-4º, composé de vingt feuillets. Il
porte
au verso du premier feuillet la vie abrégée d’Éso
feliciter Anno salutis Mcccclxxv. Die uero sexta Iulii. La page qui
porte
cette mention est complétée par une épitaphe en l
4. Elle a été imprimée à Strasbourg, en 1479 par Martin Flachen. Elle
porte
ce titre : Æsopus moralisatus cum bono commento
rso du dernier feuillet est représenté un soubassement de colonne qui
porte
cette inscription : Lepidis-||simi Esopi || fabu
me la précédente, une réimpression de celle des huit auteurs. Elle ne
porte
pas de pagination, niais est pourvue de deux séri
ants qu’il instruit. Au-dessus de leur tête voltige une banderole qui
porte
ce vers hexamètre : Accipies tanti doctoris dogm
gravure différente de celle de l’édition précédente ; au centre elle
porte
en gros caractères le mot Alis , et aux quatre a
te AM. X. 7. S’il est complet, l’édition n’a pas de frontispice et ne
porte
pas de titre général. Les fables ne sont accompag
avec l’édition in-4º du même imprimeur, qui, sans indication d’année,
porte
la date du 24 décembre et se compose de 37 feuill
ne banderole on lit le même hexamètre. La souscription finale, qui ne
porte
l’indication ni du lieu, ni du nom de l’imprimeur
blanc par la vignette on lit : M. Lenoir , et l’encadrement du tout
porte
ces mots : C’est mon désir (au haut) De Dieu s
(au bas) Son doulx plaisir (à gauche). Le recto du second feuillet
porte
ce simple titre : Esopi , suivi du prologue dans
on lit sur le premier feuillet. Le second feuillet, en tête du recto,
porte
cet autre titre : Liber Esopi , que suit immédia
in-4º en caractères gothiques et ornée de gravures sur bois. Elle ne
porte
aucun nom d’imprimeur ; mais à la marque on recon
is du moins, la première qui attribue l’œuvre à Salon de Parme et qui
porte
l’extrait de la lettre latine adressée, à l’appui
atre seulement, soit au total de 44 feuillets. Le recto du premier ne
porte
que le titre sans ornements xylographiques. Le ve
lettre de Thadée Ugoleto. L’avant-dernier feuillet, au bas du recto,
porte
la souscription suivante : Impressum Venetiis pe
pueris mire vtilis. Hæc omnia, etc. Le recto du premier feuillet qui
porte
ce titre, est orné d’un bel encadrement xylograph
1553. Aesopi || fabulae || feliciter incipiunt. L’édition qui
porte
ce titre consiste dans un volume in-4º de petit f
d. lxxxvi. Le volume n’est pas paginé ; il est pourvu de réclames et
porte
des signatures qui vont de a à e et par suite se
ition est le cinquième d’une collection de vieux auteurs français qui
porte
ce titre général : Altfranzösische || Bibliothek
emandant un roi, les fables sont seulement au nombre de 63. Celle qui
porte
le nº 64 est intitulée : Della Golpe et del Gran
rouge. Puis commencent les fables, suivies chacune d’une morale, qui
porte
pour titre le mot Notabile écrit aussi à l’encre
ire malheureusement incomplet, qui, dans le Catalogue des Incunables,
porte
le nº 560. Mais je ne l’ai pas vu, et c’est d’apr
Ghivizzani que je le mentionne. Non chiffré, il est signé de a à q et
porte
au verso du dernier feuillet la souscription suiv
liv-204 pages. Suivant M. Ghivizzani, le texte en dialecte toscan que
porte
cette édition a été tiré d’un manuscrit de la Bib
la division en deux de la fable des Grenouilles demandant un roi, qui
porte
les nos 15 et 16, elles sont, sous 63 numéros, au
nséquence, indépendamment du frontispice qui lui est spécial, elle en
porte
un premier plus général qui est ainsi conçu : Bi
e. Les fables, sous 66 nos, sont au nombre de 64. La soixantième, qui
porte
le nº 62, n’est pas terminée par le distique Fine
uo commento poi per me si scrisse. Le volume n’est pas paginé, mais
porte
des signatures de a à e ; chaque lettre s’appliqu
. Deo gratias. » Le dernier feuillet, qui vient immédiatement après,
porte
au recto la table des matières intitulée : Tabul
on enseignement à divers auditeurs dans une salle dont le mur du fond
porte
ces mots : Virtus omnia vincit. Fol. 2 (a. ii)
Le manuscrit dans lequel j’ai trouvé la collection dérivée de Walther
porte
à la Bibliothèque nationale le nº 14961. Sur l’an
tient le Novus Aesopus tout entier provient du cabinet de Mentel ; il
porte
le nº 8471, qui a remplacé le nº 6609 beaucoup pl
le, et ne se compose aujourd’hui que de 19 feuillets, dont le premier
porte
le nº 96. Les 95 premiers ont disparu : aussi une
e, et le dernier feuillet très endommagé sans doute depuis longtemps,
porte
le chiffre 731 et remonte aussi au xiiie siècle.
a appartenu et dont la signature figure sur le deuxième feuillet. Il
porte
la cote Vesp. M. B. xxiii, et forme un volume in-
remier ; j’arrive au deuxième qui, dans la bibliothèque autrichienne,
porte
la cote 901. Je commence par affirmer que la coll
Le manuscrit latin qui, dans la Bibliothèque impériale de Vienne
porte
la cote 901, est un volume in-8º de très petit fo
ecto du feuillet 7 et qui se terminent au verso du feuillet 23. Il ne
porte
que ce simple titre : Incipit Esopus. Puis vien
istres du Parlement. » Le premier des deux feuillets ajoutés à la fin
porte
également une décision judiciaire. Le manuscrit r
erme deux ouvrages. Le premier, qui commence au recto du 2e feuillet,
porte
ce titre : Incipit epistola Cornelii ad Crispum
hystoria Daretis. Le second, qui commence au recto du même feuillet,
porte
à l’encre rouge ce titre abrégé : Incipiunt f. ,
i contiennent le Romulus anglo-latin, le plus important est celui qui
porte
la cote 172 dans le fonds Digbey de la bibliothèq
nomenclature qui précède, en occupe les cinq premiers feuillets. Elle
porte
un titre ainsi conçu : Incipit liber fabularum E
. Or, ces deux fables existent à la même place dans la collection qui
porte
le nom de Nilant. Comment pourrait-il en être ain
élever à cent ; mais en réalité il n’en existe que 99, dont aucune ne
porte
de titre ; l’œuvre complète en comprenant 103, il
cement et deux à la fin. Le second des deux feuillets ajoutés en tête
porte
une table des matières conçue en ces termes : I.
commencent au feuillet 198 rº et se terminent au feuillet 218 rº qui
porte
le nº 217 bis. Elles sont précédées du prologue o
ist li feïst. Et li prestres tantost la prist Entre ses bras et si la
porte
En un lit, et euure la porte De l’abitacion a l’o
tantost la prist Entre ses bras et si la porte En un lit, et euure la
porte
De l’abitacion a l’ome. Si ramaine le con de rome
e, Puisque vos le m’aues offerte. Cil li pleuist et laisse ouuerte La
porte
au vilain et desclose. Si s’en vait et quemande a
e coille ge voi ! Ia ne girra mes delez moi Li vilains qui tel coille
porte
. Lasse, fait ele, tant sui morte, Quant onques a
e de Marie de France s’étend du feuillet 89 a au feuillet 114 b. Elle
porte
ce titre général : Ci commence Esopes. Le prol
Manuscrit 10296. Ce manuscrit, suivant l’usage adopté à Bruxelles,
porte
autant de cotes qu’il contient d’ouvrages divers.
es réunies, et suivis de 4 feuillets blancs, dont le premier (f. 386)
porte
seulement en tête cet ex-libris : « En ce livre s
otes 1225, 5787 et mcccxxxix. Au haut du recto du premier feuillet il
porte
une invocation qui, affectant la forme d’un penta
autre, le doute ne me paraît pas davantage possible ; c’est celui qui
porte
la cote 1107. En dehors de celle que donne la dif
venus par la même voie à la bibliothèque de Trèves. Les ex libris que
porte
le manuscrit 1107 montrent qu’il a subi de nombre
ent habituel. Le premier, qui est précédé de la préface ordinaire, ne
porte
aucun titre général ; mais les fables y sont pour
des fables en prose tirées d’Avianus. La première de ces deux tables
porte
ce titre : Incipit Registrum Esopi in librum fau
se trouve également dans un autre manuscrit qui, dans la même classe,
porte
le nº 126. Ce manuscrit, comme le précédent, est
t partie d’un gros volume in-fol., qui, contenant plusieurs ouvrages,
porte
les cotes 531 à 536, dont les feuillets sont en p
t, qui, dans la Bibliothèque Bodléienne, dépend du fonds Rawlinson et
porte
la cote B. N. Rawl. 111, forme un volume in-8º, c
Le plus complet appartient à la bibliothèque du British Museum, où il
porte
le nº 11619 : c’est un volume qui, très petit, po
manuscrit, qui appartient au collège du Corpus Christi de Cambridge,
porte
, dans la bibliothèque qui le possède, non pas le
ssembourg, également dérivé de l’Æsopus. La morale de la même fable y
porte
les mots : lædunt innocentes , qui sont une légè
omulus de Berne. Ce manuscrit qui, dans la Bibliothèque cantonale,
porte
le nº 141, forme un volumineux in-folio, dont les
Vel me ad te celeri ferre, Jacobe, gradu ! Cette épitaphe, qui
porte
dans l’Epitome de Perotti le nº 28, montre qu’à l
la découverte de cette Chronique elle-même, je leur rappelle qu’elle
porte
un frontispice ainsi conçu : Wernerus Rolewinck
and. Hannover, Hahn, 1882. 293. L’un des deux frontispices du volume
porte
la date de 1719 ; mais c’est une faute typographi
avec une intention libre de tout interest. Car l’esprit de l’homme se
porte
bien aisément de l’honneste et du delectable à l’
en reposant avecque tranquilité. Nul fascheux demandeur ne vient à sa
porte
: Nul creancier ne l’importune : Les plus grands
ce : c’est une chose qui dépend absolument de ta volonté : si elle te
porte
à m’avoir, ouvre ta bourse, et compte de l’argent
arrive par je ne sçay quel malheur de nostre nature, soit qu’elle se
porte
d’inclination à penetrer tous-jours plus avant da
leur Espece les fait engendrer, et celuy de conserver l’Individu les
porte
à la queste, pour l’entretenement de leur vie, et
leur conservation. Car si le naturel instinct qui les accompagne les
porte
necessairement à maintenir leur espece par la gen
▲