s choses petites aux grandes, ceux qui gardent, ou qui deffendent des
Places
pour les Roys, ne peuvent jamais treuver de grace
ien d’infamie. Au contraire, ceux qui conservent avecque fidelité les
Places
qui leur sont commises, acquierent un honneur imm
là qu’un grand Prince avoit raison de dire, qu’il n’y avoit point de
Place
imprenable, s’il y pouvoit entrer un mulet qui fû
et une valeur parfaicte, fut convié par ce Prince à luy laisser ceste
Place
de son bon gré, sous les plus avantageuses condit
egingletes et rezeaux
Attraperont petits Oiseaux ;
Ne volez plus de
place
en place :
Demeurez au logis, ou changez de clim
s et rezeaux
Attraperont petits Oiseaux ;
Ne volez plus de place en
place
:
Demeurez au logis, ou changez de climat :
Imi
ratant et frotant, Gambadant, chantant et broutant, Et faisant mainte
place
nette. L’ennemi vient sur l’entrefaite. Fuyons, d
à son ordinaire, on le saisit aussi-tost, et le mena-t’on droit à la
place
publique, où sur l’apparence qu’il avoit inventé
perdre la vie, le bon-heur voulut pour luy qu’il vint un bruit sur la
place
, qui justifia son cacquet, et destourna par mesme
fut de s’enquerir si le Capitaine General n’avoit pas esté tué sur la
place
, tant cette maudite demangaison de parler s’estoi
s qu’on aura fait l’Oust. Creusez, foüillez, bêchez, ne laissez nulle
place
Où la main ne passe et repasse. Le pere mort, les
plication dans un État où les derniers et les imbéciles dominent à la
place
des premiers et des gens sensés. Chambry 145.
ut le monde. Or lui, secouant sa sonnette, faisait le glorieux sur la
place
publique. Une vieille chienne lui dit : « Qu’as-t
par dreite fei que beste a autre ne mesface n’a nul oisel ; ja Deu ne
place
que entre eus ait mes si feite guere ! Pes veut m
x ans Mettre son Asne sur les bancs : Sinon, il consentoit d’estre en
place
publique Guindé, la hard au col, étranglé court e
Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent : Mettez une pierre à la
place
, Elle vous vaudra tout autant.
it la tuer. Elle le supplia en ces termes : « Laisse-moi vivre ; à ma
place
je te ferai prendre beaucoup de perdrix. – Raison
la Tant son ame estoit aveuglée. Sans dents ni griffes le voilà Comme
place
démantelée. On lascha sur luy quelques chiens, Il
rracha les plumes de l’aile, puis les fit repousser en en frottant la
place
avec de la myrrhe. Alors l’aigle, prenant l’essor
113 Cb 71 Ce 78 Cf 82 Cg 10 Ch 85 Mh 75. Un devin, installé sur la
place
publique, y faisait recette. Soudain un quidam vi
tres, pour s’empescher d’y heurter contre, comme eux, l’a ostée de sa
place
, et l’a mise ailleurs, Pour ceste seule raison, j
ux-ci lui firent accueil à cause de son intelligence et lui donnèrent
place
dans leurs demeures. Il arriva ainsi que les autr
, qui n’estant pas née aux grandes choses, demeure enracinée dans une
place
, sans estre capable d’aucun mouvement. Or le suje
usquelles il n’estoit pas difficile de se saisir des plus importantes
places
de ce Prince, qui toutesfois n’en a jamais eu le
, l’emporta. Quelque temps après, l’avare vint aussi, et, trouvant la
place
vide, il se mit à gémir et à s’arracher les cheve
à mesme temps. Le Lion, qui de ce coup estoit presque demeuré sur la
place
, estant à la fin revenu à soy ; « Malheureux que
que les plus sobres Esprits, et à qui Plutarque a voulu assigner une
place
au Banquet des sept Sages, auroit-il religieuseme
t ». Esope ne respondit rien à cela, mais s’en alla le lendemain à la
place
, où regardant les passants, il en vid un fortuite
nhardit de faire des caresses à son Maistre, affin de gaigner quelque
place
en son inclination, par le moyen des sauts et des
n ce cas là, seroit de le chasser d’auprés de luy, et d’appeller à sa
place
un homme sincere et veritable. Que si le premier
a sage administration de M. nani dont personne ne pouvoit remplir la
place
plus dignement que vous faites. La verité le fait
ue tu t’en remettes à moy. Pour cét effet, quand tu seras demain à la
place
publique, dy simplement ces paroles aux habitans
oit qu’il avoit déjà marqué. Esope amena donc aux quatre coings de la
place
, les quatre Aigles et les quatre jeunes garçons p
abinets, à faute d’estendre la main, pour tirer les pistolles de leur
place
, et en faire part liberalement aux malades, et au
oute sur le point de savoir si, réuni à eux, il se trouvait bien à sa
place
. Eude, en effet, a rarement emprunté à autrui les
rès ou de loin aux imitations primitives, devaient aussi trouver leur
place
dans un travail véritablement complet. Amené ains
nt grecque8. Mais l’hypothèse de Gude ne me paraît pas trouver ici sa
place
: Phèdre, étant originaire d’un pays de langue gr
fin au livre V ; c’est également sous l’égide d’un affranchi qu’il le
place
, et cet affranchi porte, comme Eutyque, un nom gr
n beau-frère, reçut par conséquent, selon le testament de Bongars, en
place
de l’argent comptant qu’il ne pouvait lui rembour
gtemps dans cette première idée ; car le manuscrit ne laisse pas même
place
aux conjectures : la fin de la deuxième partie du
iation MS., et ce qui confirme dans cette première idée, c’est que de
place
en place on trouve dans ses notes des variantes p
., et ce qui confirme dans cette première idée, c’est que de place en
place
on trouve dans ses notes des variantes précédées
s que je reproduis de l’écriture de chacun ne laissent pas la moindre
place
au doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il
du viie siècle ou du commencement du viiie . En résumé, Dom Vincent
place
le manuscrit de Reims entre la fin du xviie sièc
postérieur à Tibère (ibid.), contre le sentiment de D. Rivet, qui le
place
, disent-ils, au commencement du ve siècle (ibid.
iter sa traduction des classiques latins. Phèdre méritait d’y trouver
place
; il y figura, précédé de la notice que j’ai déjà
avoir été aveuglé par la passion, Jannelli, à la suite de sa préface,
place
un tableau qui permet de comparer ensemble : 1º L
d ; car l’examen que j’en pourrais faire ici ne serait pas à sa vraie
place
. Je continue la nomenclature des éditions publiée
plus de cinq livres, et qu’au contraire y trouvant naturellement leur
place
, elles en sont l’indispensable complément255. 11º
rançois Mallard, Imprimeur de l’Université et Marchand libraire. A la
place
S. Didier. 1725. Phædri fabulæ et P.
ue les proportions du petit format in-8º. Fol. xiv a à xv a. — Ici se
place
une œuvre philosophique, qui occupe les trois pre
par quelques variantes intéressantes, j’ai cru devoir lui donner une
place
dans cette étude sur les Fabulæ antiquæ. Sect
vrage que M. Berger de Xivrey a prise à tort pour le commencement, se
place
la table des 57 chapitres qui traitent des Monstr
ivrer en cet endroit à une étude comparative qui trouvera ailleurs sa
place
naturelle. Ici je me borne à ces premières observ
t publiée lui-même dans la note B de la page 65 de son édition322. La
place
même que Nilant avait choisie aurait dû l’éclaire
ons de l’anonyme de Nilant, de celui de Wissembourg et de Romulus. Il
place
à l’époque carlovingienne l’apparition des fables
t-ce ses sous-dérivés qui, dans cet ouvrage, occuperont la plus large
place
. À la rigueur, pour faire connaître son contenu,
tus n’était pas bien nette, pouvait m’ôter le loisir de le copier sur
place
. Dans cette crainte, j’écrivis à M. Lefebvre de B
e fabuliste, je ne lui maintiendrai pas dans cette seconde édition la
place
qu’elle occupait dans la première. § 5. — Manu
onsistant le plus souvent, non dans des mots différents, mais dans la
place
différente donnée aux mêmes mots. Elles se réduis
re un intérêt tout particulier. Beaucoup de fables n’y ont pas trouvé
place
. Il n’en renferme que 120, dont les 62 premières
uinzaine qui remontent à cette source, et l’on peut se demander si la
place
d’Odon était bien marquée parmi les imitateurs, m
sque tous les commentateurs du fabuliste romain, c’est une très large
place
que je vais ici leur ménager. Section II. Diss
date étant ainsi déterminés, il ne reste plus, devant la réalité, de
place
pour les hypothèses trompeuses que l’incertitude
de la fable lxii, et détruit ou semble détruire l’argument tiré de la
place
qu’il occupe. Enfin on a objecté que les fables d
attribuées, mais auxquelles, pour qu’on en puisse juger, je donnerai
place
dans le même appendice. Section IV. Jugements
lle a joui, pour me déterminer à lui faire dans cette étude la grande
place
que je lui ai consacrée. Section V. Manuscrits
ier ; car, depuis 1825, la publication de M. Robert ne laisse plus de
place
à une pareille idée. Il signale en effet huit man
t à la fable elle-même, je ne la transcris pas ici : elle trouvera sa
place
toute naturelle dans l’appendice que j’ajouterai
partie de chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ; en marge, de
place
en place, étaient peints des animaux qui se rappo
e chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ; en marge, de place en
place
, étaient peints des animaux qui se rapportaient a
à une main du xve siècle, est merveilleusement belle. En tête, à la
place
qui aurait dû être affectée au titre général, il
ées dans un manuscrit de la bibliothèque Palatine, Névelet leur donna
place
dans sa Mythologia Æsopica, publiée à Francfort e
en tenté de les étudier et qu’ici une pareille étude serait bien à sa
place
, les développements qu’elle exigerait me détermin
pose que de 28 fables, dans lesquelles la morale chrétienne a pris la
place
de l’affabulation philosophique et qui sont certa
t la trente-huitième de l’Anonyme et qui n’avait pas été laissée à sa
place
par suite de l’absence dans le manuscrit de Berli
Brebis, le Bélier et le Lion. Or, ces deux fables existent à la même
place
dans la collection qui porte le nom de Nilant. Co
lui dans le Romulus anglo-latin. Quant aux trois dernières fables, la
place
qui leur a été donnée tout à la fin du Dérivé et
onservée par aucun manuscrit, je me contente de la mentionner à cette
place
. Je ne pourrais d’ailleurs ici que répéter ce que
les fables, sinon toutes, au moins presque toutes, occupent les mêmes
places
que dans le texte latin. Or, entre le Romulus Rob
pour la fable du Bœuf et du Loup. Dans cette fable, le Dérivé complet
place
en présence l’un de l’autre un Loup et une Chèvre
isibles dans le manuscrit 1108 et pour lesquels il n’a réservé aucune
place
. Je peux citer comme exemple la fable De Vulpe et
océdé de versification le plus habituel, il ne laisse pas aux mots la
place
que rationnellement ils devraient occuper : il le
sition que l’auteur transpose pour les besoins du vers : tantôt il la
place
après le mot qu’elle régit, tantôt, en la mettant
un modèle difficile à lire, laissait quelquefois un espace blanc à la
place
des mots qu’il ne pouvait déchiffrer, mais plus f
eigna ensuite la rhétorique, puis occupa, dans la maison de Paris, la
place
de bibliothécaire que la Révolution lui fit perdr
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