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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
s choses petites aux grandes, ceux qui gardent, ou qui deffendent des Places pour les Roys, ne peuvent jamais treuver de grace
ien d’infamie. Au contraire, ceux qui conservent avecque fidelité les Places qui leur sont commises, acquierent un honneur imm
là qu’un grand Prince avoit raison de dire, qu’il n’y avoit point de Place imprenable, s’il y pouvoit entrer un mulet qui fû
et une valeur parfaicte, fut convié par ce Prince à luy laisser ceste Place de son bon gré, sous les plus avantageuses condit
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
egingletes et rezeaux
 Attraperont petits Oiseaux ;
 Ne volez plus de place en place :
 Demeurez au logis, ou changez de clim
s et rezeaux
 Attraperont petits Oiseaux ;
 Ne volez plus de place en place  :
 Demeurez au logis, ou changez de climat : 
Imi
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VIII. Le Vieillard et l’Asne. » p. 476
ratant et frotant, Gambadant, chantant et broutant, Et faisant mainte place nette. L’ennemi vient sur l’entrefaite. Fuyons, d
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
à son ordinaire, on le saisit aussi-tost, et le mena-t’on droit à la place publique, où sur l’apparence qu’il avoit inventé
perdre la vie, le bon-heur voulut pour luy qu’il vint un bruit sur la place , qui justifia son cacquet, et destourna par mesme
fut de s’enquerir si le Capitaine General n’avoit pas esté tué sur la place , tant cette maudite demangaison de parler s’estoi
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
s qu’on aura fait l’Oust. Creusez, foüillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le pere mort, les
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 145 » pp. 321-321
plication dans un État où les derniers et les imbéciles dominent à la place des premiers et des gens sensés. Chambry 145.
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 187 » pp. 332-332
ut le monde. Or lui, secouant sa sonnette, faisait le glorieux sur la place publique. Une vieille chienne lui dit : « Qu’as-t
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 61. Le renard et la colombe » p. 
par dreite fei que beste a autre ne mesface n’a nul oisel ; ja Deu ne place que entre eus ait mes si feite guere ! Pes veut m
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
x ans Mettre son Asne sur les bancs : Sinon, il consentoit d’estre en place publique Guindé, la hard au col, étranglé court e
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent : Mettez une pierre à la place , Elle vous vaudra tout autant.
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 301 » pp. 265-265
it la tuer. Elle le supplia en ces termes : « Laisse-moi vivre ; à ma place je te ferai prendre beaucoup de perdrix. – Raison
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
la Tant son ame estoit aveuglée. Sans dents ni griffes le voilà Comme place démantelée. On lascha sur luy quelques chiens, Il
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
rracha les plumes de l’aile, puis les fit repousser en en frottant la place avec de la myrrhe. Alors l’aigle, prenant l’essor
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
113 Cb 71 Ce 78 Cf 82 Cg 10 Ch 85 Mh 75. Un devin, installé sur la place publique, y faisait recette. Soudain un quidam vi
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
tres, pour s’empescher d’y heurter contre, comme eux, l’a ostée de sa place , et l’a mise ailleurs, Pour ceste seule raison, j
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
ux-ci lui firent accueil à cause de son intelligence et lui donnèrent place dans leurs demeures. Il arriva ainsi que les autr
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
, qui n’estant pas née aux grandes choses, demeure enracinée dans une place , sans estre capable d’aucun mouvement. Or le suje
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
usquelles il n’estoit pas difficile de se saisir des plus importantes places de ce Prince, qui toutesfois n’en a jamais eu le
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 345 » pp. 225-225
, l’emporta. Quelque temps après, l’avare vint aussi, et, trouvant la place vide, il se mit à gémir et à s’arracher les cheve
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
à mesme temps. Le Lion, qui de ce coup estoit presque demeuré sur la place , estant à la fin revenu à soy ; « Malheureux que
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
que les plus sobres Esprits, et à qui Plutarque a voulu assigner une place au Banquet des sept Sages, auroit-il religieuseme
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
t ». Esope ne respondit rien à cela, mais s’en alla le lendemain à la place , où regardant les passants, il en vid un fortuite
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
nhardit de faire des caresses à son Maistre, affin de gaigner quelque place en son inclination, par le moyen des sauts et des
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
n ce cas là, seroit de le chasser d’auprés de luy, et d’appeller à sa place un homme sincere et veritable. Que si le premier
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
a sage administration de M. nani dont personne ne pouvoit remplir la place plus dignement que vous faites. La verité le fait
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
ue tu t’en remettes à moy. Pour cét effet, quand tu seras demain à la place publique, dy simplement ces paroles aux habitans 
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
oit qu’il avoit déjà marqué. Esope amena donc aux quatre coings de la place , les quatre Aigles et les quatre jeunes garçons p
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
abinets, à faute d’estendre la main, pour tirer les pistolles de leur place , et en faire part liberalement aux malades, et au
29 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
oute sur le point de savoir si, réuni à eux, il se trouvait bien à sa place . Eude, en effet, a rarement emprunté à autrui les
rès ou de loin aux imitations primitives, devaient aussi trouver leur place dans un travail véritablement complet. Amené ains
nt grecque8. Mais l’hypothèse de Gude ne me paraît pas trouver ici sa place  : Phèdre, étant originaire d’un pays de langue gr
fin au livre V ; c’est également sous l’égide d’un affranchi qu’il le place , et cet affranchi porte, comme Eutyque, un nom gr
n beau-frère, reçut par conséquent, selon le testament de Bongars, en place de l’argent comptant qu’il ne pouvait lui rembour
gtemps dans cette première idée ; car le manuscrit ne laisse pas même place aux conjectures : la fin de la deuxième partie du
iation MS., et ce qui confirme dans cette première idée, c’est que de place en place on trouve dans ses notes des variantes p
., et ce qui confirme dans cette première idée, c’est que de place en place on trouve dans ses notes des variantes précédées
s que je reproduis de l’écriture de chacun ne laissent pas la moindre place au doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il
du viie  siècle ou du commencement du viiie . En résumé, Dom Vincent place le manuscrit de Reims entre la fin du xviie  sièc
postérieur à Tibère (ibid.), contre le sentiment de D. Rivet, qui le place , disent-ils, au commencement du ve  siècle (ibid.
iter sa traduction des classiques latins. Phèdre méritait d’y trouver place  ; il y figura, précédé de la notice que j’ai déjà
avoir été aveuglé par la passion, Jannelli, à la suite de sa préface, place un tableau qui permet de comparer ensemble : 1º L
d ; car l’examen que j’en pourrais faire ici ne serait pas à sa vraie place . Je continue la nomenclature des éditions publiée
plus de cinq livres, et qu’au contraire y trouvant naturellement leur place , elles en sont l’indispensable complément255. 11º
rançois Mallard, Imprimeur de l’Université et Marchand libraire. A la place S. Didier. 1725.     Phædri fabulæ et P.
ue les proportions du petit format in-8º. Fol. xiv a à xv a. — Ici se place une œuvre philosophique, qui occupe les trois pre
par quelques variantes intéressantes, j’ai cru devoir lui donner une place dans cette étude sur les Fabulæ antiquæ. Sect
vrage que M. Berger de Xivrey a prise à tort pour le commencement, se place la table des 57 chapitres qui traitent des Monstr
ivrer en cet endroit à une étude comparative qui trouvera ailleurs sa place naturelle. Ici je me borne à ces premières observ
t publiée lui-même dans la note B de la page 65 de son édition322. La place même que Nilant avait choisie aurait dû l’éclaire
ons de l’anonyme de Nilant, de celui de Wissembourg et de Romulus. Il place à l’époque carlovingienne l’apparition des fables
t-ce ses sous-dérivés qui, dans cet ouvrage, occuperont la plus large place . À la rigueur, pour faire connaître son contenu,
tus n’était pas bien nette, pouvait m’ôter le loisir de le copier sur place . Dans cette crainte, j’écrivis à M. Lefebvre de B
e fabuliste, je ne lui maintiendrai pas dans cette seconde édition la place qu’elle occupait dans la première. § 5. — Manu
onsistant le plus souvent, non dans des mots différents, mais dans la place différente donnée aux mêmes mots. Elles se réduis
re un intérêt tout particulier. Beaucoup de fables n’y ont pas trouvé place . Il n’en renferme que 120, dont les 62 premières
uinzaine qui remontent à cette source, et l’on peut se demander si la place d’Odon était bien marquée parmi les imitateurs, m
sque tous les commentateurs du fabuliste romain, c’est une très large place que je vais ici leur ménager. Section II. Diss
date étant ainsi déterminés, il ne reste plus, devant la réalité, de place pour les hypothèses trompeuses que l’incertitude
de la fable lxii, et détruit ou semble détruire l’argument tiré de la place qu’il occupe. Enfin on a objecté que les fables d
attribuées, mais auxquelles, pour qu’on en puisse juger, je donnerai place dans le même appendice. Section IV. Jugements
lle a joui, pour me déterminer à lui faire dans cette étude la grande place que je lui ai consacrée. Section V. Manuscrits
ier ; car, depuis 1825, la publication de M. Robert ne laisse plus de place à une pareille idée. Il signale en effet huit man
t à la fable elle-même, je ne la transcris pas ici : elle trouvera sa place toute naturelle dans l’appendice que j’ajouterai
partie de chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ; en marge, de place en place, étaient peints des animaux qui se rappo
e chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ; en marge, de place en place , étaient peints des animaux qui se rapportaient a
à une main du xve  siècle, est merveilleusement belle. En tête, à la place qui aurait dû être affectée au titre général, il
ées dans un manuscrit de la bibliothèque Palatine, Névelet leur donna place dans sa Mythologia Æsopica, publiée à Francfort e
en tenté de les étudier et qu’ici une pareille étude serait bien à sa place , les développements qu’elle exigerait me détermin
pose que de 28 fables, dans lesquelles la morale chrétienne a pris la place de l’affabulation philosophique et qui sont certa
t la trente-huitième de l’Anonyme et qui n’avait pas été laissée à sa place par suite de l’absence dans le manuscrit de Berli
Brebis, le Bélier et le Lion. Or, ces deux fables existent à la même place dans la collection qui porte le nom de Nilant. Co
lui dans le Romulus anglo-latin. Quant aux trois dernières fables, la place qui leur a été donnée tout à la fin du Dérivé et
onservée par aucun manuscrit, je me contente de la mentionner à cette place . Je ne pourrais d’ailleurs ici que répéter ce que
les fables, sinon toutes, au moins presque toutes, occupent les mêmes places que dans le texte latin. Or, entre le Romulus Rob
pour la fable du Bœuf et du Loup. Dans cette fable, le Dérivé complet place en présence l’un de l’autre un Loup et une Chèvre
isibles dans le manuscrit 1108 et pour lesquels il n’a réservé aucune place . Je peux citer comme exemple la fable De Vulpe et
océdé de versification le plus habituel, il ne laisse pas aux mots la place que rationnellement ils devraient occuper : il le
sition que l’auteur transpose pour les besoins du vers : tantôt il la place après le mot qu’elle régit, tantôt, en la mettant
un modèle difficile à lire, laissait quelquefois un espace blanc à la place des mots qu’il ne pouvait déchiffrer, mais plus f
eigna ensuite la rhétorique, puis occupa, dans la maison de Paris, la place de bibliothécaire que la Révolution lui fit perdr
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