t il voyoit l’objet se perdre dans les eaux. Quelle proportion de mes
pieds
à ma teste ! Disoit-il en voyant leur ombre avec
ouleur : Des taillis les plus hauts mon front atteint le faiste ; Mes
pieds
ne me font point d’honneur. Tout en parlant de la
ent, L’arrestant à chaque moment, Nuit à l’Office que luy rendent Ses
pieds
, de qui ses jours dépendent. Il se dédit alors, e
éprisons l’utile ; Et le beau souvent nous détruit. Ce Cerf blâme ses
pieds
qui le rendent agile : Il estime un bois qui luy
Chambry 160 Κοιλία καὶ πόδες — L’estomac et les
pieds
. Κοιλία καὶ πόδες περὶ δυνάμεως ἤριζον. Παρ’ ἕ
Pa 122 Pb 129 Pc 70 Pf 68 Mb 73 Me 93 Mf 78 Mj 85. L’estomac et les
pieds
disputaient de leur force. À tout propos les pied
L’estomac et les pieds disputaient de leur force. À tout propos les
pieds
alléguaient qu’ils étaient tellement supérieurs e
où il sçavoit qu’on engraissoit un Pourceau, auquel il couppa un des
pieds
, qu’il mit dans le Pot avecque les autres, pour l
’enfuyt, apres qu’il auroit apperçeu le larcin qu’il avoit fait de ce
pied
, fut cause qu’il le remit dans le pot. Comme il f
Comme il fut donc question de servir sur table, Esope ayant vuidé les
pieds
dans le plat, et Xanthus en voyant cinq. « Qu’est
er ». « Il est vray » respondit Esope, « et voicy comment. Combien de
pieds
ont deux Pourceaux », luy demanda t’il ? « Ils en
Chambry 292 Ὄφις πατούμενος καὶ Ζεύς — Le serpent foulé aux
pieds
. Ὄφις ὑπὸ πολλῶν πατούμενος ἀνθρώπων τῷ Διὶ ἐν
9 Me 139 Mf 115 Mg 132 Mj 130 Ml 120. Un serpent, souvent foulé aux
pieds
par les hommes, alla s’en plaindre à Zeus. Zeus l
ndement, Tu ne m’as point dit, mets de l’eau dans le bassin, lave mes
pieds
, apporte mes pantoufles, et ainsi du reste, si bi
t-il, « meschant que tu és, va-t’en tout maintenant m’achepter quatre
pieds
de Pourceau, et nous les apporte, apres qu’ils se
aussi-tost, et fit ce qui luy estoit commandé. Mais cependant que les
pieds
cuisoient, Xanthus qui ne cherchoit qu’un pretext
t empesché à quelque chose du mesnage, luy déroba secrettement un des
pieds
, et le cacha.
ne, et du Loup. L’Asne passant sur un buisson, se mit une espine au
pied
, et vid à mesme temps un Loup, à qui s’addressant
aisir, tandis que je suis en vie ; arrache-moy une espine que j’ay au
pied
, afin que j’en meure plus doucement ». Le Loup se
l’Asne ne sentant plus de douleur, luy donna un si grand coup de son
pied
, qui estoit ferré, qu’il luy rompit le front, le
er dit un jour : Que tout ce qui respire S’en vienne comparoistre aux
pieds
de ma grandeur. Si dans son composé quelqu’un tro
stes-vous satisfait ? Moy, dit-il, pourquoy non ?
N’ai-je pas quatre
pieds
aussi-bien que les autres ?
Mon portrait jusqu’i
ate. L’Aigle avoit ses petits au haut d’un arbre creux
La Laye au
pied
, la Chate entre les deux :
Et sans s’incommoder,
est tout un aux meres)
Ne tardera possible gueres.
Voyez-vous à nos
pieds
foüir incessament
Cette maudite Laye, et creuser
ns luy faire mal. Je t’en dis de mesme, ô grand Roy, et soubmis à tes
pieds
, je te prie de ne me point faire mourir sans caus
Samiens ». « Je le veux », dit le Roy et alors Esope prosterné à ses
pieds
, l’en remercia tres-humblement.
femme (dit-il tout haut) mets de l’eau dans un bassin, et en lave les
pieds
de nôtre hoste ». Ce qu’il disoit exprés, pour ce
mandement de son Mary, et mit de l’eau dans un bassin, pour laver les
pieds
de son hoste. Or bien que ce pauvre Idiot jugeast
ar soy) c’est pour me faire plus d’honneur, qu’elle me veut laver les
pieds
de ses propres mains, bien qu’elle le puisse comm
mander à quelqu’une de ses servantes ». Comme il eût donc estendu ses
pieds
, elle luy dit qu’il se lavât, ce qu’il fit incont
t refugié Il fut par eux mis à la porte. Il est assez de Geais à deux
pieds
comme luy, Qui se parent souvent des dépoüilles d
nu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au
pied
de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suiv
lle voix. Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au
pied
de l’arbre : il descendrait, quand celui-ci aurai
ire.
Afin qu’il fût plus frais et de meilleur débit,
On luy lia les
pieds
, on vous le suspendit ;
Puis cet homme et son fi
on pense.
Le Meusnier à ces mots connoist son ignorance.
Il met sur
pieds
sa beste, et la fait détaler.
L’Asne, qui gousto
er.
Messieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’enfant met
pied
à terre, et puis le vieillard monte ; Quand trois
Viendra dans nos marais regner sur les roseaux ; Et nous foulant aux
pieds
jusques au fond des eaux, Tantost l’une, et puis
sme qu’Ethiopien. Avecque cela il estoit ventru, bossu, tortu par les
pieds
, et possible plus laid que le Thersite d’Homere.
x coups ; Il faut plaider, il faut combattre. Laissez-leur prendre un
pied
chez vous, Ils en auront bien-tôt pris quatre.
fer son camarade Se met droit à ses côtez. Mes gens s’en vont à trois
pieds
Clopin clopant comme ils peuvent, L’un contre l’a
lle et luy dit : Tu te vantois d’estre si vîte : Qu’as-tu fait de tes
pieds
? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la tr
re la simple Colombe ; Ce qu’apperçevant la Fourmy, elle le mordit au
pied
de sorte que l’Oyseleur fût contrainct de laisser
déracine
Celuy de qui la teste au Ciel estoit voisine,
Et dont les
pieds
touchoient à l’Empire des Morts.
illot Berger de ce troupeau.
Sa personne estant ainsi faite,
Et ses
pieds
de devant posez sur sa houlette,
Guillot le 2Syc
mpere ?
Ce n’est pas tout de boire ; il faut sortir d’icy.
Leve tes
pieds
en haut, et tes cornes aussi :
Mets-les contre l
repartit Xanthus, « le Soleil m’eust bruslé la teste, et la terre les
pieds
, joinct que l’acrimonie de l’urine m’eust offensé
gardant fixement, « Il faut », s’ecria-telle « qu’avant que mettre le
pied
ceans, tu souffres qu’on te découppe le visage. M
suis en effect extrémement passionné ». A ces mots, Esope frappant du
pied
. « O Dieux », s’écria-t’il, « le Philosophe Xanth
es sauvages, le lion usant de sa force, l’onagre de la vitesse de ses
pieds
. Quand ils eurent pris un certain nombre de pièce
le se sauve ; et là-dessus Passe un certain Croquant qui marchoit les
pieds
nus. Ce Croquant par hazard avoit une arbaleste.
oublerent le plaisir des nouveaux mariez. Aussi-tost la femme est sur
pieds
: Elle manqua son avanture. Souris de revenir, fe
selon la Medecine. J’ay, dit la Beste chevaline, Une apostume sous le
pied
. Mon fils, dit le Docteur, il n’est point de part
e estoit grande, tant à cause des chevaux, qui l’esmouvoient de leurs
pieds
, que du roulement des roües ; « O que je fay leve
tant de travaux, Se passe en moins de temps que la poudre qui vole Du
pied
de leurs chevaux.
ust pas plûtost découvert, que faisant le mort, il se pendist par les
pieds
de derriere à une perche, attachée à la muraille.
ide. La Grenoüille à cela trouve un trés-bon remede. Le Rat fut à son
pied
par la pate attaché. Un brin de jonc en fit l’aff
ne sont point repas à la legere. Le Hibou de retour ne trouve que les
pieds
De ses chers nourriçons, hélas ! pour toute chose
oir monté le degré, et passé par deux ou trois anti-chambres de plain
pied
, il vint à la fin en celle d’une Dame, qu’il trou
lque indisposition. Ce pauvre homme tout effrayé se jetta d’abord aux
pieds
de cette personne, et la pria tres instamment de
ins se peut souffrir. Celle-cy prend bien l’asseurance De venir à vos
pieds
s’offrir, Par zele et par reconnoissance. Du tem
i cherchent à se rendre immortels par des Bastiments, qui mettent sur
pied
des Armées, qui dévorent les Provinces entieres d
eluy qui par un excés d’Ambition met dix-huict cents mille hommes sur
pied
, et n’aboutit qu’à la desfaicte de son Armée, tan
se montra pas ingrat envers son bienfaiteur ; mais le voyant assis au
pied
d’un mur qui menaçait ruine, il vola vers lui et
8 Mf 149. Un jour une puce alla d’un saut se poster sur un doigt de
pied
d’un athlète malade, et tout en sautant elle lui
fonds d’un puits. On luy dit : Pauvre beste, Tandis qu’à peine à tes
pieds
tu peux voir, Penses-tu lire au-dessus de ta test
.
Mais voicy bien une autre feste.
Le pendu ressuscite ; et sur ses
pieds
tombant
Attrape les plus paresseuses.
Nous en s
egistre. Ils allaient aussi t’inscrire ; mais je me suis jeté à leurs
pieds
, en les suppliant, et leur ai juré que tu n’étais
il fuit jusqu’à une certaine distance, et il use de la vitesse de ses
pieds
pour se conserver intact ; mais quand il se voit
ce que le Taureau ne le pouvoit frapper, ny de ses cornes, ny de ses
pieds
. Mais pour tout cela, il ne laissoit pas de l’inc
vint le temps de la guerre : le cheval dut porter un cavalier armé de
pied
en cap, et celui-ci le poussa dans tous les sens
un jour ta faim ? On assomma la pauvre beste. Un manant luy coupa le
pied
droit et la teste. Le Seigneur du Village à sa po
l levait ainsi la tête en l’air, il ne s’aperçut pas qu’il mettait le
pied
sur un aspic endormi, qui se retourna et lui lanç
FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. La Main, et le
Pied
, formerent jadis une plaincte contre le Ventre, a
sous les Cieux, Commandoit que sans plus attendre, Tout peuple à ses
pieds
s’allast rendre ; Quadrupedes, Humains, Elephans,
stés pour prendre la colombe. La fourmi s’en étant aperçue, mordit le
pied
de l’oiseleur, qui, sous le coup de la douleur, j
perçeut que des paroles on en vouloit venir aux coups, se jettant aux
pieds
de son Maistre, il le pria de se donner un peu de
en à la chasse, mais c’estoit en vain, pource que la pesanteur de ses
pieds
tardifs ne luy permettoit pas d’aller viste. Or q
boitait. Il répondit qu’il avait, en franchissant une clôture, mis le
pied
sur une épine, et il le pria de la lui enlever d’
ourir, il se dit en lui-même : « Malheureux que je suis ! Ce sont mes
pieds
, qui devaient me trahir, qui me sauvaient ; et ce
leur misere avec des brocards. On les déchiffre plaisamment depuis le
pied
jusques à la teste : On compte leurs Predecesseur
t naguere à travers des ronces, il s’estoit fourré bien avant dans le
pied
une grosse espine, et pria ce nouveau Medecin de
FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre
pieds
. Les Oyseaux, et les animaux terrestres avoient
st qu’il te faut tenir debout, et t’appuyer contre le mur de tes deux
pieds
de devant ; puis joignant le menton à la poitrine
nc qu’il prit avec elles une Cigongne, qui se sentant attachée par le
pied
, pria le Laboureur de la laisser aller, luy remon
emple de Dieu ? Est ce comme cela que vous consacrez ce Microcosme au
pied
de son Autheur ? Pourquoy le faisiez vous naistre
üa grandement. Ainsi l’escolier se confessa vaincu, et se jettant aux
pieds
de son Maistre, il le pria que la gajeure demeurâ
narque ; si est-ce que nous prendrons pour ceste heure le discours au
pied
de la lettre, et ne nous arresterons qu’à l’elect
bre au contraire, voulant s’opposer à sa violence, fût arraché par le
pied
. Discours sur la soixante-troisiesme Fable.
ouvée, tandis que le renard, se glissant dans le buisson qui était au
pied
de l’arbre, y déposa ses petits. Mais un jour que
evant de luy, il se jetta sur ses espaules, et le frappa rudement des
pieds
, luy pensant faire de grandes caresses. Le maistr
voit démembré desja beaucoup d’autres, se prosterna tout à coup à ses
pieds
, baissant la teste, et luy applaudissant de la qu
ABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. Le Taureau se sentant mordu au
pied
par le Rat, qui tout à l’instant s’alla cacher da
qui est cause qu’elle suit paisiblement, et se laisse prendre par les
pieds
, ne se doutant point qu’on luy vueille faire du m
laquelle il souffroit le Soleil et la pluye teste nuë, et marchoit à
pied
des jours entiers, encore qu’il fust aagé de nona
ulement”, luy dit-elle, “et n’aye point de peur, car j’attacheray ton
pied
au mien avec un filet bien delié, afin qu’en nage
pour peu que tu désires notre salut commun. Veuille bien appuyer tes
pieds
de devant contre le mur et dresser tes cornes en
le au Cheval ? va t’en bien viste d’icy, autrement je te fouleray aux
pieds
». Ces parolles effrayerent l’Asne ; et l’effraye
eur de ce que je m’en vay trouver le Roy Cresus, pour me jetter à ses
pieds
, et le saluër ; Mais auparavant, souffrez que je
sans qu’il y allast de la faute mesme de l’offencé, qui donneroit tel
pied
à une chetive et mediocre injure. Il est donc cer
iffez et mal propres, s’ils sont de condition d’estre bien vestus ; à
pied
, s’ils sont de qualité d’aller en carrosse ; mal
onnent à Dieu, cela doit estre reçeu avec explication, plustost qu’au
pied
de la lettre. Car il est tres-veritable qu’ils ne
que, dans cette partie de la Pouille qu’on nomme la Capitanate, et au
pied
de ce Monte Gargano, qui, en s’avançant dans l’Ad
Martial et de Stace, Perotti, à l’égard de Phèdre, eût pu fouler aux
pieds
ses propres principes. Je crois que Jannelli s’es
que le vers Delicta vindicate ; castigate impios, n’est pas sur ses
pieds
. Cela est vrai ; il est d’un demi-pied trop long
urs suivie par Prudence, il remplace par un spondée l’ïambe du second
pied
: Pomponi, vitæ quos gubernat regula. Je sais b
um 273, il s’occupe d’abord de la composition des diverses espèces de
pieds
. Il en signale vingt-huit, savoir : quatre de deu
s de vers appellent ensuite son attention : il indique quels sont les
pieds
qui peuvent et quels sont ceux qui ne peuvent pas
e le vers ïambique par excellence est celui dont l’ïambe est l’unique
pied
: Optimum tamen esse metrum quod uno duntaxat pe
le verso du premier feuillet et a la prétention d’être le portrait en
pied
du père de la fable. Le feuillet 2 a commence par
n d’Ulm, le premier feuillet présente au verso le portrait d’Ésope en
pied
, qui est la copie exacte de celui publié par Zein
rectifiée à la dernière fable. Au-dessous du titre est le portrait en
pied
du vieil Ésope. Fol. 2 a. — Vita Esopi fabulator
a. — Page blanche. Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentant Ésope en
pied
. Fol. 2 a. — Hie hept sich an das buch vnd leben
registern aussgestrichen. Au-dessous de ce titre est le portrait en
pied
d’Ésope qui occupe les deux tiers de la page. Au
la page, est surmonté d’une gravure sur bois, qui représente Ésope en
pied
et dans un angle de laquelle on lit : 1531. Mai
Alfonce et de Pogge florentin. Au-dessous est le portrait d’Ésope en
pied
. Fol. 1 b. — Répétition du même portrait. Fol. 2
lyse de l’édition de 1480 : Fol. a. i. — Titre et portrait d’Ésope en
pied
. Fol. a. ii a à e. i b. — Vie d’Ésope. Fol. e. i
s. Le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’Ésope en
pied
. Enfin au verso du dernier feuillet on lit : Cy
in, augmentez. Au-dessous de ce titre se voit le portrait d’Ésope en
pied
, et au-dessous du portrait on lit ce qui suit :
e portrait en buste de sir Roger l’Estrange, et le septième, celui en
pied
d’Ésope. Il existe un exemplaire de l’édition à l
illets contenant le frontispice, la préface et le portrait d’Ésope en
pied
. Voici ce que porte le frontispice : Fables | of
ghenoechlick syn. Au-dessous gravure sur bois représentant Ésope en
pied
. Fol. 1 b. — Page blanche. Fol. 2 a, col. 1. — Ré
us de ce titre : Fabule Esopi cū cōmento , représente deux singes au
pied
d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix
ez grossière représentant Ésope sous la forme d’un pédagogue et à ses
pieds
deux enfants qu’il instruit. Au-dessus de leur tê
beaucoup de vers manquent de la césure obligatoire après le deuxième
pied
, et, à défaut de cette césure n’ont pas, après le
es de quantité qui pullulent et les vers rendus boiteux tantôt par un
pied
de moins, tantôt par un pied de trop. Et cependan
et les vers rendus boiteux tantôt par un pied de moins, tantôt par un
pied
de trop. Et cependant l’auteur ne dédaigne aucun
les était en vers, mais encore que les vers étaient des ïambes de six
pieds
. Il n’est pas non plus bien certain que Pierre Pi
▲