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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
t il voyoit l’objet se perdre dans les eaux. Quelle proportion de mes pieds à ma teste ! Disoit-il en voyant leur ombre avec
ouleur : Des taillis les plus hauts mon front atteint le faiste ; Mes pieds ne me font point d’honneur. Tout en parlant de la
ent, L’arrestant à chaque moment, Nuit à l’Office que luy rendent Ses pieds , de qui ses jours dépendent. Il se dédit alors, e
éprisons l’utile ; Et le beau souvent nous détruit. Ce Cerf blâme ses pieds qui le rendent agile : Il estime un bois qui luy
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 160 » p. 130
Chambry 160 Κοιλία καὶ πόδες — L’estomac et les pieds . Κοιλία καὶ πόδες περὶ δυνάμεως ἤριζον. Παρ’ ἕ
Pa 122 Pb 129 Pc 70 Pf 68 Mb 73 Me 93 Mf 78 Mj 85. L’estomac et les pieds disputaient de leur force. À tout propos les pied
L’estomac et les pieds disputaient de leur force. À tout propos les pieds alléguaient qu’ils étaient tellement supérieurs e
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
où il sçavoit qu’on engraissoit un Pourceau, auquel il couppa un des pieds , qu’il mit dans le Pot avecque les autres, pour l
’enfuyt, apres qu’il auroit apperçeu le larcin qu’il avoit fait de ce pied , fut cause qu’il le remit dans le pot. Comme il f
Comme il fut donc question de servir sur table, Esope ayant vuidé les pieds dans le plat, et Xanthus en voyant cinq. « Qu’est
er ». « Il est vray » respondit Esope, « et voicy comment. Combien de pieds ont deux Pourceaux », luy demanda t’il ? « Ils en
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 292 » p. 198
Chambry 292 Ὄφις πατούμενος καὶ Ζεύς — Le serpent foulé aux pieds . Ὄφις ὑπὸ πολλῶν πατούμενος ἀνθρώπων τῷ Διὶ ἐν
9 Me 139 Mf 115 Mg 132 Mj 130 Ml 120. Un serpent, souvent foulé aux pieds par les hommes, alla s’en plaindre à Zeus. Zeus l
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
ndement, Tu ne m’as point dit, mets de l’eau dans le bassin, lave mes pieds , apporte mes pantoufles, et ainsi du reste, si bi
t-il, « meschant que tu és, va-t’en tout maintenant m’achepter quatre pieds de Pourceau, et nous les apporte, apres qu’ils se
aussi-tost, et fit ce qui luy estoit commandé. Mais cependant que les pieds cuisoient, Xanthus qui ne cherchoit qu’un pretext
t empesché à quelque chose du mesnage, luy déroba secrettement un des pieds , et le cacha.
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
ne, et du Loup. L’Asne passant sur un buisson, se mit une espine au pied , et vid à mesme temps un Loup, à qui s’addressant
aisir, tandis que je suis en vie ; arrache-moy une espine que j’ay au pied , afin que j’en meure plus doucement ». Le Loup se
l’Asne ne sentant plus de douleur, luy donna un si grand coup de son pied , qui estoit ferré, qu’il luy rompit le front, le
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
er dit un jour : Que tout ce qui respire S’en vienne comparoistre aux pieds de ma grandeur. Si dans son composé quelqu’un tro
stes-vous satisfait ? Moy, dit-il, pourquoy non ?
 N’ai-je pas quatre pieds aussi-bien que les autres ?
 Mon portrait jusqu’i
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
ate. L’Aigle avoit ses petits au haut d’un arbre creux
 La Laye au pied , la Chate entre les deux :
 Et sans s’incommoder,
est tout un aux meres)
 Ne tardera possible gueres.
 Voyez-vous à nos pieds foüir incessament
 Cette maudite Laye, et creuser
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
ns luy faire mal. Je t’en dis de mesme, ô grand Roy, et soubmis à tes pieds , je te prie de ne me point faire mourir sans caus
Samiens ». « Je le veux », dit le Roy et alors Esope prosterné à ses pieds , l’en remercia tres-humblement.
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
femme (dit-il tout haut) mets de l’eau dans un bassin, et en lave les pieds de nôtre hoste ». Ce qu’il disoit exprés, pour ce
mandement de son Mary, et mit de l’eau dans un bassin, pour laver les pieds de son hoste. Or bien que ce pauvre Idiot jugeast
ar soy) c’est pour me faire plus d’honneur, qu’elle me veut laver les pieds de ses propres mains, bien qu’elle le puisse comm
mander à quelqu’une de ses servantes ». Comme il eût donc estendu ses pieds , elle luy dit qu’il se lavât, ce qu’il fit incont
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IX. Le Geay paré des plumes du Paon. » p. 101472
t refugié Il fut par eux mis à la porte. Il est assez de Geais à deux pieds comme luy, Qui se parent souvent des dépoüilles d
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
nu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suiv
lle voix. Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’arbre : il descendrait, quand celui-ci aurai
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ire.
 Afin qu’il fût plus frais et de meilleur débit,
 On luy lia les pieds , on vous le suspendit ;
 Puis cet homme et son fi
on pense.
 Le Meusnier à ces mots connoist son ignorance.
 Il met sur pieds sa beste, et la fait détaler. 
L’Asne, qui gousto
er.
 Messieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’enfant met pied à terre, et puis le vieillard monte ; Quand trois
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IV. Les deux Taureaux et une Grenoüille. » p. 485
Viendra dans nos marais regner sur les roseaux ; Et nous foulant aux pieds jusques au fond des eaux, Tantost l’une, et puis
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
sme qu’Ethiopien. Avecque cela il estoit ventru, bossu, tortu par les pieds , et possible plus laid que le Thersite d’Homere.
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
x coups ; Il faut plaider, il faut combattre. Laissez-leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bien-tôt pris quatre.
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378
fer son camarade Se met droit à ses côtez. Mes gens s’en vont à trois pieds Clopin clopant comme ils peuvent, L’un contre l’a
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473
lle et luy dit : Tu te vantois d’estre si vîte : Qu’as-tu fait de tes pieds  ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la tr
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
re la simple Colombe ; Ce qu’apperçevant la Fourmy, elle le mordit au pied de sorte que l’Oyseleur fût contrainct de laisser
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
déracine
 Celuy de qui la teste au Ciel estoit voisine,
 Et dont les pieds touchoient à l’Empire des Morts.
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
illot Berger de ce troupeau.
 Sa personne estant ainsi faite, 
Et ses pieds de devant posez sur sa houlette,
 Guillot le 2Syc
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
mpere ?
 Ce n’est pas tout de boire ; il faut sortir d’icy. 
Leve tes pieds en haut, et tes cornes aussi : 
Mets-les contre l
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
repartit Xanthus, « le Soleil m’eust bruslé la teste, et la terre les pieds , joinct que l’acrimonie de l’urine m’eust offensé
gardant fixement, « Il faut », s’ecria-telle « qu’avant que mettre le pied ceans, tu souffres qu’on te découppe le visage. M
suis en effect extrémement passionné ». A ces mots, Esope frappant du pied . « O Dieux », s’écria-t’il, « le Philosophe Xanth
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 208 » pp. 339-339
es sauvages, le lion usant de sa force, l’onagre de la vitesse de ses pieds . Quand ils eurent pris un certain nombre de pièce
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
le se sauve ; et là-dessus Passe un certain Croquant qui marchoit les pieds nus. Ce Croquant par hazard avoit une arbaleste.
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
oublerent le plaisir des nouveaux mariez. Aussi-tost la femme est sur pieds  : Elle manqua son avanture. Souris de revenir, fe
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
selon la Medecine. J’ay, dit la Beste chevaline, Une apostume sous le pied . Mon fils, dit le Docteur, il n’est point de part
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
e estoit grande, tant à cause des chevaux, qui l’esmouvoient de leurs pieds , que du roulement des roües ; « O que je fay leve
tant de travaux, Se passe en moins de temps que la poudre qui vole Du pied de leurs chevaux.  
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
ust pas plûtost découvert, que faisant le mort, il se pendist par les pieds de derriere à une perche, attachée à la muraille.
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
ide. La Grenoüille à cela trouve un trés-bon remede. Le Rat fut à son pied par la pate attaché. Un brin de jonc en fit l’aff
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
ne sont point repas à la legere. Le Hibou de retour ne trouve que les pieds De ses chers nourriçons, hélas ! pour toute chose
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
oir monté le degré, et passé par deux ou trois anti-chambres de plain pied , il vint à la fin en celle d’une Dame, qu’il trou
lque indisposition. Ce pauvre homme tout effrayé se jetta d’abord aux pieds de cette personne, et la pria tres instamment de
33 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
ins se peut souffrir. Celle-cy prend bien l’asseurance De venir à vos pieds s’offrir, Par zele et par reconnoissance. Du tem
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
i cherchent à se rendre immortels par des Bastiments, qui mettent sur pied des Armées, qui dévorent les Provinces entieres d
eluy qui par un excés d’Ambition met dix-huict cents mille hommes sur pied , et n’aboutit qu’à la desfaicte de son Armée, tan
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
se montra pas ingrat envers son bienfaiteur ; mais le voyant assis au pied d’un mur qui menaçait ruine, il vola vers lui et
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 357 » pp. 231-231
8 Mf 149. Un jour une puce alla d’un saut se poster sur un doigt de pied d’un athlète malade, et tout en sautant elle lui
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
fonds d’un puits. On luy dit : Pauvre beste, Tandis qu’à peine à tes pieds tu peux voir, Penses-tu lire au-dessus de ta test
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
.
 Mais voicy bien une autre feste. 
Le pendu ressuscite ; et sur ses pieds tombant
 Attrape les plus paresseuses.
 Nous en s
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
egistre. Ils allaient aussi t’inscrire ; mais je me suis jeté à leurs pieds , en les suppliant, et leur ai juré que tu n’étais
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 154 » pp. 118-118
il fuit jusqu’à une certaine distance, et il use de la vitesse de ses pieds pour se conserver intact ; mais quand il se voit
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
ce que le Taureau ne le pouvoit frapper, ny de ses cornes, ny de ses pieds . Mais pour tout cela, il ne laissoit pas de l’inc
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
vint le temps de la guerre : le cheval dut porter un cavalier armé de pied en cap, et celui-ci le poussa dans tous les sens
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
un jour ta faim ? On assomma la pauvre beste. Un manant luy coupa le pied droit et la teste. Le Seigneur du Village à sa po
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 138 » pp. 115-115
l levait ainsi la tête en l’air, il ne s’aperçut pas qu’il mettait le pied sur un aspic endormi, qui se retourna et lui lanç
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. La Main, et le Pied , formerent jadis une plaincte contre le Ventre, a
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
sous les Cieux, Commandoit que sans plus attendre, Tout peuple à ses pieds s’allast rendre ; Quadrupedes, Humains, Elephans,
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 244 » pp. 235-235
stés pour prendre la colombe. La fourmi s’en étant aperçue, mordit le pied de l’oiseleur, qui, sous le coup de la douleur, j
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
perçeut que des paroles on en vouloit venir aux coups, se jettant aux pieds de son Maistre, il le pria de se donner un peu de
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
en à la chasse, mais c’estoit en vain, pource que la pesanteur de ses pieds tardifs ne luy permettoit pas d’aller viste. Or q
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 282 » pp. 187-187
boitait. Il répondit qu’il avait, en franchissant une clôture, mis le pied sur une épine, et il le pria de la lui enlever d’
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 103 » pp. 74-74
ourir, il se dit en lui-même : « Malheureux que je suis ! Ce sont mes pieds , qui devaient me trahir, qui me sauvaient ; et ce
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
leur misere avec des brocards. On les déchiffre plaisamment depuis le pied jusques à la teste : On compte leurs Predecesseur
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
t naguere à travers des ronces, il s’estoit fourré bien avant dans le pied une grosse espine, et pria ce nouveau Medecin de
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds . Les Oyseaux, et les animaux terrestres avoient
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
st qu’il te faut tenir debout, et t’appuyer contre le mur de tes deux pieds de devant ; puis joignant le menton à la poitrine
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
nc qu’il prit avec elles une Cigongne, qui se sentant attachée par le pied , pria le Laboureur de la laisser aller, luy remon
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
emple de Dieu ? Est ce comme cela que vous consacrez ce Microcosme au pied de son Autheur ? Pourquoy le faisiez vous naistre
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
üa grandement. Ainsi l’escolier se confessa vaincu, et se jettant aux pieds de son Maistre, il le pria que la gajeure demeurâ
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
narque ; si est-ce que nous prendrons pour ceste heure le discours au pied de la lettre, et ne nous arresterons qu’à l’elect
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
bre au contraire, voulant s’opposer à sa violence, fût arraché par le pied . Discours sur la soixante-troisiesme Fable.
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
ouvée, tandis que le renard, se glissant dans le buisson qui était au pied de l’arbre, y déposa ses petits. Mais un jour que
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
evant de luy, il se jetta sur ses espaules, et le frappa rudement des pieds , luy pensant faire de grandes caresses. Le maistr
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
voit démembré desja beaucoup d’autres, se prosterna tout à coup à ses pieds , baissant la teste, et luy applaudissant de la qu
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
ABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. Le Taureau se sentant mordu au pied par le Rat, qui tout à l’instant s’alla cacher da
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
qui est cause qu’elle suit paisiblement, et se laisse prendre par les pieds , ne se doutant point qu’on luy vueille faire du m
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
laquelle il souffroit le Soleil et la pluye teste nuë, et marchoit à pied des jours entiers, encore qu’il fust aagé de nona
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
ulement”, luy dit-elle, “et n’aye point de peur, car j’attacheray ton pied au mien avec un filet bien delié, afin qu’en nage
68 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 40 » pp. 9-9
pour peu que tu désires notre salut commun. Veuille bien appuyer tes pieds de devant contre le mur et dresser tes cornes en
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
le au Cheval ? va t’en bien viste d’icy, autrement je te fouleray aux pieds  ». Ces parolles effrayerent l’Asne ; et l’effraye
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
eur de ce que je m’en vay trouver le Roy Cresus, pour me jetter à ses pieds , et le saluër ; Mais auparavant, souffrez que je
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
sans qu’il y allast de la faute mesme de l’offencé, qui donneroit tel pied à une chetive et mediocre injure. Il est donc cer
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
iffez et mal propres, s’ils sont de condition d’estre bien vestus ; à pied , s’ils sont de qualité d’aller en carrosse ; mal
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
onnent à Dieu, cela doit estre reçeu avec explication, plustost qu’au pied de la lettre. Car il est tres-veritable qu’ils ne
74 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
que, dans cette partie de la Pouille qu’on nomme la Capitanate, et au pied de ce Monte Gargano, qui, en s’avançant dans l’Ad
Martial et de Stace, Perotti, à l’égard de Phèdre, eût pu fouler aux pieds ses propres principes. Je crois que Jannelli s’es
que le vers Delicta vindicate ; castigate impios, n’est pas sur ses pieds . Cela est vrai ; il est d’un demi-pied trop long 
urs suivie par Prudence, il remplace par un spondée l’ïambe du second pied  : Pomponi, vitæ quos gubernat regula. Je sais b
um 273, il s’occupe d’abord de la composition des diverses espèces de pieds . Il en signale vingt-huit, savoir : quatre de deu
s de vers appellent ensuite son attention : il indique quels sont les pieds qui peuvent et quels sont ceux qui ne peuvent pas
e le vers ïambique par excellence est celui dont l’ïambe est l’unique pied  : Optimum tamen esse metrum quod uno duntaxat pe
le verso du premier feuillet et a la prétention d’être le portrait en pied du père de la fable. Le feuillet 2 a commence par
n d’Ulm, le premier feuillet présente au verso le portrait d’Ésope en pied , qui est la copie exacte de celui publié par Zein
rectifiée à la dernière fable. Au-dessous du titre est le portrait en pied du vieil Ésope. Fol. 2 a. —  Vita Esopi fabulator
a. — Page blanche. Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentant Ésope en pied . Fol. 2 a. —  Hie hept sich an das buch vnd leben
registern aussgestrichen. Au-dessous de ce titre est le portrait en pied d’Ésope qui occupe les deux tiers de la page. Au
la page, est surmonté d’une gravure sur bois, qui représente Ésope en pied et dans un angle de laquelle on lit : 1531. Mai
Alfonce et de Pogge florentin. Au-dessous est le portrait d’Ésope en pied . Fol. 1 b. — Répétition du même portrait. Fol. 2
lyse de l’édition de 1480 : Fol. a. i. — Titre et portrait d’Ésope en pied . Fol. a. ii a à e. i b. — Vie d’Ésope. Fol. e. i
s. Le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’Ésope en pied . Enfin au verso du dernier feuillet on lit : Cy
in, augmentez. Au-dessous de ce titre se voit le portrait d’Ésope en pied , et au-dessous du portrait on lit ce qui suit :
e portrait en buste de sir Roger l’Estrange, et le septième, celui en pied d’Ésope. Il existe un exemplaire de l’édition à l
illets contenant le frontispice, la préface et le portrait d’Ésope en pied . Voici ce que porte le frontispice : Fables | of
ghenoechlick syn. Au-dessous gravure sur bois représentant Ésope en pied . Fol. 1 b. — Page blanche. Fol. 2 a, col. 1. — Ré
us de ce titre : Fabule Esopi cū cōmento , représente deux singes au pied d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix
ez grossière représentant Ésope sous la forme d’un pédagogue et à ses pieds deux enfants qu’il instruit. Au-dessus de leur tê
beaucoup de vers manquent de la césure obligatoire après le deuxième pied , et, à défaut de cette césure n’ont pas, après le
es de quantité qui pullulent et les vers rendus boiteux tantôt par un pied de moins, tantôt par un pied de trop. Et cependan
et les vers rendus boiteux tantôt par un pied de moins, tantôt par un pied de trop. Et cependant l’auteur ne dédaigne aucun
les était en vers, mais encore que les vers étaient des ïambes de six pieds . Il n’est pas non plus bien certain que Pierre Pi
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