. Spesso la gola altrui guida a mal fine. 4. [NdE] Le sens de la
phrase
semblerait plutôt appeler le verbe « dettar ».
te avec la concision de ses fables. Je n’en veux pour exemple que les
phrases
redondantes, par lesquelles, dans le premier épil
t annexés à la Macédoine16. » Le même critique signale ensuite cette
phrase
empruntée à Pausanias : « On dit que dans la suit
ge de Pline le naturaliste, de l’œuvre duquel il extrait ce membre de
phrase
: « Phères, derrière laquelle commence le Piérus
t inadmissible. Pour la combattre plus victorieusement, il cite cette
phrase
empruntée à l’épilogue de la première partie du l
, je crois, donner de ce mot une interprétation fausse, que combat la
phrase
précédente : Languentis ævi dum sunt aliquæ reli
publiée en 164727, Isaac Le Maître de Sacy l’a rendu par ce membre de
phrase
: « Choisissant quelques sujets pour y peindre m
s atque opera inhonesta devotus48. » S’appuyant sans doute sur cette
phrase
, Chr. Wase en a fait un affranchi, qui jouissait
able Leo regnans : Posquam labare cœpit pœnitentia, et ce membre de
phrase
, laissé inachevé, est immédiatement suivi des tro
uant à ce prétendu feuillet déchiré, après la dernière page, voici la
phrase
de Pithou : “Post hanc postremam lineam abscissi
te de Thou, datée des calendes de septembre 1599, et dans la première
phrase
de cette lettre Rigault fait allusion en ces term
a bonis omnibus recordatio. » Il serait naturel de conclure de cette
phrase
que ce fut non pas en 1608, mais au plus tard en
ou. Seulement il n’y était pas encore question du Père Sirmond, et la
phrase
que je viens de citer, plus simplement conçue, se
harmonie avec son nouveau travail, modifia les termes de la première
phrase
, mais laissa subsister la date de 1599, et opéra
aise compilation, et je n’y trouvai pour tout renseignement que cette
phrase
: « Il est bien probable que ce manuscrit est auj
e en lettres de moindre grosseur. Cette traduction commence par cette
phrase
qui diffère également des deux versions connues d
l est vrai, dans son Excursus sur la fable xvi 145, avait écrit cette
phrase
: « Grævius è Schedis Dan. legendum existimat : m
. Il est vrai que, si l’on entend comme la plupart des traducteurs la
phrase
Per aliquot annos quædam dilectum virum amisit ,
es Consolations, que Sénèque a adressées à Polybe, commence par cette
phrase
: « Non audeo te usque eo producere, ut fabellas
à qui trouverait la bonne. Ils essayèrent tour à tour d’expliquer la
phrase
de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son ouvrage inti
rer l’apologue comme un genre de littérature étranger aux Romains. La
phrase
de Sénèque ainsi expliquée, les témoignages de Ma
e elle est séduisante ; elle fournit un moyen commode de concilier la
phrase
de Sénèque avec l’existence de Phèdre attestée pa
a en ïambes latins, et que, si Sénèque, son contemporain, a, dans une
phrase
inexplicable, implicitement nié tous ces faits, i
Elles présentent des expressions, des alliances de mots, des tours de
phrase
, qui ne se rencontrent pas dans les autres auteur
undi quos appellant polos. Fol. cxc a. — Entre ce dernier membre de
phrase
et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Ad
même goût, c’est-à-dire aussi inintelligible. Au milieu de toutes ces
phrases
incohérentes apparaissent les traces d’un dessin
ette dernière page. Au-dessus une main du xiiie siècle a écrit cette
phrase
: Raimondus de Begonac me furatus fuit. Tel es
ud editum Romulum, cujus ne quid desideretur, et quia nonnullæ Phædri
phrases
diserte exhibent, eas in postremo agmine collocav
, et, consultant le manuscrit de Wissembourg, il y avait trouvé cette
phrase
qu’il s’était empressé de signaler, la considéran
; multi, quod viribus non possunt, sapientia explicant. La dernière
phrase
, dans laquelle le mot viribus est substitué au mo
08 b. — Au bas de la page le traité De Monstris est annoncé par cette
phrase
écrite à l’encre rouge en gros caractères : Inci
t borné à rétablir à sa fantaisie, sans le secours d’aucun texte, les
phrases
défigurées, tantôt a recouru au texte qu’il avait
magination que, dans son désir de faire avec des mots incohérents une
phrase
intelligible, il emprunte le mot doleres qui n’ex
inus in-8º 46, il avait lu, en tête de la dédicace à Tiberinus, cette
phrase
qui l’avait un peu ébranlé : Romulus urbis Romæ
rs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberinus, on lit cette
phrase
qui semble lui donner raison : « Ego Romulus tran
rbulentam fecisti mihi aquam ? Quand au contraire on cherche la même
phrase
dans les deux autres collections, on trouve dans
précédemment, dans quelle mesure le Romulus ordinaire a conservé les
phrases
et les expressions de Phèdre. Mais, lorsque j’ai
ne analyse exacte, il est permis de trouver un peu prétentieuse cette
phrase
de M. H. Oesterley : « D’abord j’ai été assez heu
du livre I et le commencement du livre II sont indiqués par ces deux
phrases
à l’encre rouge : Explicit liber primus fabularu
table des matières, qui précède le livre III, est annoncée par cette
phrase
: Incipit registrum capitulorum Tercii libri Eso
Ésope (fol. 147 b à 187 a). En effet, elles sont annoncées par cette
phrase
dans l’édition d’Ulm : Extrauagantes Esopi antiq
mêmes particularités typographiques : non seulement dans la première
phrase
de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus la
Ésope se termine par ces mots : tod auch vergan. Puis on lit cette
phrase
finale : Finis desӡ leben Esopi , c’est-à-dire :
ch | an die mitlauffenden alten fabeln die man zu sch-|reibet Esopo.
Phrase
, dont voici le sens : « Ici finit le IVe livre du
re. Fol. 2 a à 37 b. — Vie d’Ésope, dont la fin est marquée par cette
phrase
: Hie hat ein ende das leben Esopi , phrase qui
in est marquée par cette phrase : Hie hat ein ende das leben Esopi ,
phrase
qui veut dire : « Ici finit la vie d’Ésope. » Fo
a. — Deuxième livre orné de 9 gravures seulement et suivi de ces deux
phrases
: Cy finist le second liure de Esope. Et commenc
elles ne sont pas trouuees es liures de rommule. À la suite de cette
phrase
vient la table et au-dessous de la table commence
du premier tiers de la fable Luscinia et Accipiter à l’avant-dernière
phrase
de celle intitulée Asinus et Leo et qui fait enti
r Johannem. || Mentellin. Deuxième volume. À la fin se trouve cette
phrase
: Explicit Secunda. Pars. Specvli. Hi-||storiali
ctecoda, professeur de littérature fort distingué. J’ai transcrit les
phrases
de ce manuscrit, pour n’être pas soupçonné de l’a
ée de son corps, il cite, à l’appui de cette tradition antique, cette
phrase
empruntée à Cicéron : Redimunt se ex illa parte
09 A finit par ceux-ci : Explicit Esopus ; le manuscrit 14381 n’a ni
phrase
initiale ni phrase finale ; le manuscrit 15135 co
-ci : Explicit Esopus ; le manuscrit 14381 n’a ni phrase initiale ni
phrase
finale ; le manuscrit 15135 commence par cette in
1490. En lisant la glose du prologue, je fus frappé par ce membre de
phrase
: « Galterus Anglicus fecit hunc librum sub nomin
éditions du même temps, qui, imprimées en France, contenaient la même
phrase
, et, comme celle de Lyon, contrastaient avec l’in
ion fort irréfléchie que j’ai rappelée. Mais, s’il avait aperçu cette
phrase
qu’il eût pour lui mieux valu ne pas découvrir, i
ucun commentaire marginal ni interlinéaire, et se terminent par cette
phrase
usuelle : Explicit liber Esopi, deo gratias. Ame
itre général, mais sont précédées d’un préambule commençant par cette
phrase
: Incipiunt fabule Esopi ad detestationem vitior
éambule inepte, qui les attribue à Ésope et dans lequel se lisent les
phrases
suivantes : « Causa efficiens est magister Esopus
: Laus tibi sit, Christe, quando liber explicit iste, et par cette
phrase
écrite un peu plus bas : Explicit liber fabularu
néral ne les surmonte ; mais la fin en est annoncée d’abord par cette
phrase
écrite à l’encre rouge : Expliciunt fabule Ysopi
La dernière, qui est la fable De Pastore et Lupo, est suivie de cette
phrase
finale : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen
ra le texte dans le second volume de cet ouvrage. Voici les premières
phrases
qui y faisaient suite : « Antequam procedatur ad
uand on les compare à celles de Walther, s’empêcher de penser à cette
phrase
proverbiale du poète romain : Habent sua.
fable du Loup et de la Grue. Phèdre d’abord avait écrit ce membre de
phrase
: Os devoratum fauce quum hæreret Lupi. L’auteu
pi. L’auteur du Romulus primitif, le paraphrasant, en avait tiré une
phrase
prosaïque qui était probablement la suivante cons
evoraret, unum ex illis hæsit ei in faucibus. Neckam, mettant cette
phrase
en vers, en fit un distique ainsi conçu : Ingluv
uce inhæso. Et ce n’est pas seulement par le style, par le tour des
phrases
, par le choix des mots, que l’œuvre de Neckam est
ans la fable de Neckam. On lit dans le Romulus ordinaire ce membre de
phrase
: Si Canes obsides darent , qui n’existe pas dan
e rien gardé, et si l’on veut bien considérer comment il a traduit la
phrase
que j’ai citée plus haut, on voit qu’il en a comp
st précédée de ce titre : Hic incipit Esopus , et terminée par cette
phrase
finale : Expliciunt fabule Ysopi. 4º Manusc
dans le manuscrit, au bas de la 2e col. du feuillet 183 b, par cette
phrase
écrite à l’encre rouge : Cy finent les fables d’
us. Elles sont suivies de l’épilogue, à la suite duquel se lit cette
phrase
finale : Expliciunt les fables d’Ysopet Et les m
manuscrit et dans celui de Berlin et mettre en présence les premières
phrases
de la fable du Cerf à la fontaine : Vienne 3
gret d’ajouter que c’est un dérivé très défectueux, car il pullule de
phrases
et de mots défigurés par l’évidente ignorance du
compte, je vais d’abord extraire du premier livre de Phèdre quelques
phrases
empruntées à diverses fables, et je montrerai ens
première des quatre abrégées, dans son texte écourté la tournure des
phrases
et les expressions du Romulus primitif ont été si
lifier les choses, je ne prends, dans chacun des trois textes, qu’une
phrase
pour terme de comparaison : Romulus primitif :
omulus Roberti se rencontrent des expressions et même des lambeaux de
phrase
semblables, qui n’existent pas dans le Romulus de
e qui leur est commune, et si, par ces expressions et ces lambeaux de
phrase
, cette source commune s’écarte du Romulus primiti
36 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son fils. On y lit ces
phrases
: Liber igitur iste primo græce conscriptus est a
linguam eum transferri precepit. » Que l’on veuille bien comparer ces
phrases
à celles de l’extrait tiré du prologue de Gérard
ue, ne sont pas rachetés par cette qualité. Les fables fourmillent de
phrases
dont la construction grammaticale est irrégulière
subordonnée avec ceux de la proposition principale, comme dans cette
phrase
de la fable De Leone regnante, qui, commençant pa
vi nullum nostræ gentis. Le plus souvent l’auteur met au milieu d’une
phrase
la conjonction qui, pour la rattacher à la précéd
rostris Talia ter ternæ dictant quæ carmina Musæ. Rationnellement la
phrase
contenue dans ces deux vers devrait être ainsi co
: Nec est utile misero partiri cum forti. On remarque à quel point la
phrase
a été torturée ; ce qui d’ailleurs n’empêcherait
re pas la même admiration. Elle lui avait été révélée par la première
phrase
du manuscrit : Æsopus auctor quam materiam reppe
ctor quam materiam repperit Hanc ego polivi versibus senariis. Cette
phrase
lui indiquait non seulement que le texte des fabl