nt le territoire sacré). Mais quant à nos propres successions, il est
permis
à qui que ce soit d’y renoncer, plustost qu’à sa
e la nature du don que de le rendre forcé ; et par consequent, il est
permis
d’inferer qu’une cession contraincte n’est pas un
ossession. Tellement que le droict de la nature, et des peuples, nous
permet
de le demander, et mesme il nous y convie. Mais c
que nous disons sont des ordures, et mesme des blasphemes. L’on nous
permet
quelquesfois de jurer le nom de Dieu avec des beg
nts ! Comment pouvez vous pretendre à sanctifier vostre fils, si vous
permettez
qu’il se soüille de si bonne heure de vos ordures
t les Reptiles l’adoreront, et vous serez les seuls, ô dénaturez, qui
permettrez
à vos Enfans de prononcer des termes dissolus, et
r le destin pour lequel on l’élevait, il faisait nuit, et le temps ne
permettait
pas de distinguer les deux volatiles. Mais le cyg
e Tutta, né trova chi gli porga aiuto Per giusta ira del ciel, che lo
permette
. Se l’huom possente ha de l’huom debil cura,
eau se laissa choir,
En badinant sur les bords de la Seine.
Le Ciel
permit
qu’un saule se trouva
Dont le branchage, aprés D
prêtait pas beaucoup d’attention à son discours, il demanda qu’on lui
permît
de conter une fable d’Ésope. La demande accordée,
s tous tes efforts ;
Car pour moy, j’ay certaine affaire,
Qui ne me
permet
pas d’arrester en chemin.
En toute chose il faut
la nature qu’il faut t’en prendre : elle m’a fait aquatique et ne me
permet
pas de marcher sur terre ». Ceci prouve que nous
la saisir, mon caractère à m’abstenir. Ô fortune qui offre et qui ne
permet
pas de prendre ! Ô trésor qui ne donne pas de pla
on plus ; mais de mon bon gré seulement. Mais avant que passer outre,
permets
, je te prie, que je te fasse un conte. Il y eust
ate ; Vos griffes la pourront blesser Quand vous voudrez la caresser.
Permettez
donc qu’à chaque pate On vous les rogne ; et pour
tes en le suivant, il pria les Officiers de la Justice, qu’il luy fût
permis
, de luy dire un mot à l’oreille ; Ce qu’on luy ac
eu bonne grace de conniver au larcin de son Enfant, puis qu’il estoit
permis
à ceux de ceste nation de prendre le bien d’autru
plus orgueilleux qu’il ne faut, et plus dépensiers que nos moyens ne
permettent
: De sorte que la fin de telles praticques retomb
oient, un Paysan s’en alla dans une Forest, et la pria qu’il luy fust
permis
de prendre autant de bois qu’il en falloit pour p
tresses, et ne peuvent toutesfois accomplir les actions qu’elles leur
permettent
, peine insupportable à ces miserables, qui par un
homme de bien a je ne sçay quelle force sur les volontez, qui ne leur
permet
pas de se dégager aisément de ses conseils, et fa
en force ou en vigueur à son Ennemy. Car alors, non seulement il est
permis
, mais il est mesme bien seant de s’ayder de sa fi
roit plus de raison de l’appeller supercherie, qu’adresse loüable, et
permise
aux hommes valeureux.
s les autres travailleroient : Et ainsi sur ce que ses compagnons luy
permirent
de choisir entre tous les fardeaux celuy qu’il ju
uelques-fois aussi c’est un effect de nostre impetuosité, qui ne nous
permet
pas d’avoir l’oreille à ce qu’on nous dit, et ent
nant, si bon te semble : Je ne te demande rien pour ces herbes, et te
permets
d’en cueillir desormais toutes les fois que tu vo
e, et pour le peu de pratique qu’ils ont dans le monde, qui ne leur a
permis
encore de cognoistre les inesgalitez de la fortun
de Paris reputoit pour sainct personnage, et qui toutesfois, Dieu le
permettant
ainsi, se leva du cercueil par trois fois, pour p
e ceste coustume l’on vient à la fin à une espece de Loy, qui ne nous
permet
plus de les mes-estimer, ny de les croire defectu
l, « puis que tu és si envieux, que tu ne veux ny manger du foing, ny
permettre
que j’en mange ». Discours sur la soixante-huic
ant une nature si sanguinaire, et si accoustumée au mal, il luy avoit
permis
d’eschapper saine et sauve d’entre ses dents, ce
n les porte. Alors, dis-je, s’imaginant que toutes choses leur soient
permises
, à cause de leur puissance, ils font gloire d’opp
s, Esope ayant resolu de faire un voyage en Grece, pria le Roy de luy
permettre
de s’y en aller. Ce qui luy estant accordé, il pr
rte, et si bien conduitte, qu’à la fin le hazard, ou la providence ne
permette
qu’elle éclatte. C’est ce que nous verifient tout
lité, plustost que de bien-vueillance, ils se trouvent obligez à leur
permettre
un libre accez dans leur frequentation. Mais, ô t
e pria de lui procurer un asile sûr pour y faire ses petits. Zeus lui
permit
de pondre dans son giron, mais l’escarbot avait v
le tres juste et tres raisonnable Christianisme, n’a seulement point
permis
de rompre avecque sa femme, pour en épouser d’aut
ntinence, et pour la vraye succession des heritages. Il nous est donc
permis
de faire eslection d’une compagne, qui prenne par
le gain est une chose bonne et loüable de soy, en cas que les loix le
permettent
. Or est-il qu’il falloit bien qu’ils jugeassent t
ché, et que les cris du Renard esmeuvent la colere des Dieux. Car ils
permettent
que son nid propre soit embrasé, et que ses petit
ivisent ny ne des-unissent rien en leur ame, du moins selon qu’il est
permis
d’inferer par le dehors. De plus, elles ne font a
à tout ce que l’on peut dire raisonnablement là dessus : car il m’est
permis
, ou de ne croire pas cét exemple, ou de le croire
, que nous avons faite en tous les Discours precedents, nous semblast
permettre
en celuy-cy de prendre quelque espece de recreati
plaisir si extrême, qui ayant fait instamment prier l’Empereur de luy
permettre
de voyager, comme il se veid rebutté de toutes se
a vers eux Apollon, pour satisfaire à leurs communes prieres. Il leur
permit
donc de souhaitter à leur aise tout ce qu’ils vou
a appellé Dis, c’est à dire riche. Dans nostre Religion mesme on nous
permet
, voire on nous conseille de croire que les metaux
fournir, pour l’amélioration du texte conservé, des leçons utiles, et
permettre
même dans une certaine mesure la reconstitution d
n de leur erreur, je ne m’étais pas cru l’autorité nécessaire pour me
permettre
de me séparer d’eux. Aujourd’hui, ma conviction l
touche le livre II rien dans les manuscrits de Pithou et de Reims ne
permet
de supposer qu’elles soient dues aux copistes du
t de guérir les plaies morales de l’humanité. Et maintenant, qu’on me
permette
, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajou
Claude se prêtait mieux qu’aucune autre aux licences qu’il voulait se
permettre
et que la fable Ranæ regem petentes s’applique ad
ons que Phèdre à cette époque n’aurait pu, suivant eux, impunément se
permettre
. Mais ces allusions n’ont existé que dans leur im
e IV où il se plaint de la critique, il traite de sots ceux qui se la
permettent
à son égard : Hoc illis dictum est, qui stultiti
ions peu absorbantes, les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui
permirent
d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de pub
Par privilège du Roy, donné à Paris, le 28 iour d’Aoust 1596, il est
permis
à Maistre Pierre Pithou, y dénommé, de faire impr
désir d’abréger cette analyse, je m’abstiens de les transcrire. Je me
permettrai
seulement de faire connaître les particularités q
ce lambeau méritât les honneurs d’une publication spéciale, et il est
permis
de supposer qu’il n’aurait pas pensé de même, si,
eri statuere, et, comme ce prologue est conçu dans des termes qui ne
permettent
pas de le mettre en tête du livre V, il le laisse
Idem Poeta , et que ces mots, qui la rattachent à la précédente, ne
permettent
pas de la considérer comme le commencement d’un l
eux tiers du cinquième livre. Mais un examen plus attentif ne m’a pas
permis
de persister longtemps dans cette première idée ;
sement le fac-simile, dû à la complaisance de Dom Vincent, restait et
permettait
de déterminer l’âge du manuscrit. Ce fac-simile,
nnaît que les deux manuscrits ont entre eux un air de famille, qui ne
permet
pas de douter de leur communauté d’origine, et, s
En reproduisant ainsi en partie la notice de Dom Vincent, je me suis
permis
une digression un peu longue. Mais la conclusion
it là qu’une supposition ; l’examen qu’il m’a été donné d’en faire ne
permet
plus l’incertitude. Voici en effet l’inscription
vingt-huit ans, lorsqu’il y fut élevé. Il existe même un document qui
permet
de fixer l’époque à laquelle il cessa sa compilat
e fabellarum Æsopi, Avieni et Phædri, soit, comme l’état du manuscrit
permettra
plus loin de l’affirmer, qu’il n’eût pas reçu de
a plus exacte, et que dans ma traduction j’ai moi-même adoptée174, ne
permet
pas de déduire des mots per aliquot annos une ind
ns les passages visibles et apparents, Cassitto s’est plus d’une fois
permis
d’introduire ses conjectures substituées à l’aven
la passion, Jannelli, à la suite de sa préface, place un tableau qui
permet
de comparer ensemble : 1º Le texte de la première
et immédiatement j’en entrepris la copie ; mais, comme il ne m’était
permis
de rester à la bibliothèque que jusqu’à midi, je
s, avait été exécutée par lui sur un cahier assez volumineux pour lui
permettre
d’y reporter les additions qu’il projetait, et, c
l à l’éducation de son neveu ; les crudités dont il est émaillé ne me
permettent
pas de le penser. Si, comme il l’affirme, il en r
age un supplément, qui parut, également à Zurich, en 1832, et qui lui
permit
de substituer les vraies leçons aux hypothèses qu
ts ; il promet presque de les faire connaître plus tard ; mais il est
permis
de supposer que ces arguments, que d’ailleurs il
publièrent en font foi. À défaut des manuscrits, qui auraient pu leur
permettre
de la repousser victorieusement, mais que, vu la
oduction des manuscrits, leur donnait une arme puissante, et qui leur
permettait
de continuer à attribuer les fables à l’archevêqu
lume in-4º215, il réunit les nombreuses raisons, qui, suivant lui, ne
permettaient
pas d’attribuer à un auteur ancien les fables de
rquable ami de Cicéron. D’ailleurs, ce qu’Avianus dit de son œuvre ne
permet
pas de la confondre avec les fables connues ; car
bles, que nous possédons, fourmillent d’expressions ou d’idées qui ne
permettent
pas de les confondre avec la latinité si pure du
e Phèdre, nommé le philosophe épicurien. L’ensemble de l’épigramme ne
permet
pas d’être d’un autre avis. Martial suppose bien
ons si familières aux poètes, et plusieurs passages moins vaniteux ne
permettent
pas de douter que, du vivant même de l’auteur, la
tti aurait traduites en ïambes latins ; mais le langage de Perotti ne
permet
pas de faire cette supposition. 2º Adry prétend e
Angelo Maï est venue fortifier ma conviction. Le doute ne serait plus
permis
, si Angelo Maï, au lieu de se borner, ainsi que s
rocéda dans sa compilation ; on aurait pu voir que cet écrivain s’est
permis
, dans les anciennes fables, des changements plus
u seulement l’un d’eux, la confiance est encore plus grande. Qu’on me
permette
, à moi qui ai vu et copié celui de Naples et qui
estiné à remplacer celui qu’il avait supprimé. Dans le texte il s’est
permis
aussi quelques changements d’expressions, dont l’
e ces lacunes277 ; j’y reviens. Le livre II est d’une brièveté qui ne
permet
pas de le croire complet. Si même on s’en tenait
a lacune ? Il est impossible de le savoir ; mais la brièveté du livre
permet
de la supposer très considérable. Le prologue mêm
, je pus sans difficulté prendre communication du manuscrit. Qu’on me
permette
, avant d’en donner l’analyse, de parler du copist
Son portrait a donc été conservé ; mais l’inexpérience du dessinateur
permet
de douter de la ressemblance. Fol. xliv a. — Opus
écriture, qui, différant de celle de la copie des Fabulæ antiquæ, ne
permet
pas de la lui attribuer. Elle est également trop
va plus loin : non seulement, suivant lui, l’affirmation de Pithou ne
permet
pas de contester qu’il ait existé, mais encore il
ie du manuscrit de Wissembourg. Ses notions paléographiques lui ayant
permis
de la prendre lui-même, il s’empressa de répondre
même dignité du cardinalat par la volonté du Dieu tout-puissant, qui
permet
quelquefois que la vertu et les véritables travau
a eu dissidence sur le point de savoir à qui ils se rapportent, on me
permettra
de faire connaître les divers documents qui peuve
le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût existé, ces mots ne
permettraient
pas de le dire né à Athènes. Au moins l’époque de
u après le xiie siècle. Mais c’était tout. Suivant Schwabe, il était
permis
de supposer qu’il avait existé à une époque beauc
r obtenir. Je me contente d’indiquer que l’âge du manuscrit de Burney
permet
de supposer que ce Romulus a pu être celui “de vi
question n’offre qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun document ne
permet
de la résoudre, je ne m’y attarderai pas davantag
ue d’Ésope. ii, Épil. Épilogue. Rufus. Le tableau qui précède
permet
de voir quelles sont les fables de Romulus qu’on
rande ressemblance avec l’original qu’elle est intéressante. Qu’on me
permette
encore, pour être méthodique, de prendre pour exe
mps les rapprochements. Je m’en abstiens : ceux que je viens de faire
permettent
d’apprécier la mesure dans laquelle les expressio
ce qu’il a été, un plan général et une uniformité d’exécution qui ne
permettent
pas de le considérer comme une œuvre collective,
manuscrit de Wissembourg et du texte du Romulus primitif m’ayant déjà
permis
de déterminer le nombre et les sujets des fables
s exacte de ce qu’il a été, mais non des copies assez littérales pour
permettre
une restitution que dès lors je ne tenterai pas.
de celle de Romulus. Mais la comparaison que j’ai faite des textes ne
permet
pas d’admettre que l’une ait pu être la base, mêm
ition j’avais opté pour la copie de Pierre Crinitus, mon choix actuel
permettra
à ceux qui le désireront de comparer ensemble le
numéro l’ancien catalogue imprimé en donne une analyse exacte, il est
permis
de trouver un peu prétentieuse cette phrase de M.
ration. La filiation des textes, telle que je l’ai jusqu’ici établie,
permet
de savoir ce que vaut son appréciation. Aussi, ap
Voici sa réponse qui ne s’est pas fait attendre, mais qui ne m’a pas
permis
de garder à ce sujet la moindre illusion : « Dij
de France, pour le prier d’en demander communication, de manière à me
permettre
de faire ma copie soit à la Légation, soit à mon
manuscrit au Consulat situé vis-à-vis de la Légation, et que, pour me
permettre
d’y travailler à l’aise, une salle serait mise à
roduire. Voilà ce que tout de suite un premier examen superficiel m’a
permis
d’apercevoir. Dans un second voyage, j’ai, par l’
es plus anciens manuscrits et devaient exister dans son modèle, s’est
permis
, non de les remplacer par d’autres, mais de les s
u lieu du nº xxiii elle porte le nº xviii. Cette erreur typographique
permet
d’affirmer que l’édition d’Ulm, sans date, est la
llet non imprimé, dont la reliure des exemplaires encore existants ne
permet
pas de constater la disparition. La deuxième impr
ns le Répertoire de Hain. C’est le premier des deux indices qui m’ont
permis
de voir quelle était, des deux éditions de 114 fe
duction latine, faite par Jean de Capoue, des fables de Bidpaï, on me
permettra
, avant de revenir au Romulus ordinaire, de signal
termes, dans lesquels Panzer avait mentionné l’édition de Romulus, ne
permettaient
pas de supposer que le Dyalogus eût été par lui c
d Leeu est celle de 1486, et j’en ai rencontré des exemplaires qui me
permettent
de l’analyser. C’est, comme les vieilles éditions
40 et dans celle du South Kensington Museum, deux exemplaires qui me
permettent
d’en donner le signalement. Les douze premières p
useum un exemplaire de l’édition de Gouda, qui, quoique incomplet, me
permet
du moins d’indiquer le titre de l’ouvrage. Le voi
I. Notice sur Vincent de Beauvais et sur ses œuvres. Qu’on me
permette
de dire brièvement quelques mots de Vincent de Be
Christi, à Oxford. Pendant les deux ou trois heures qu’il m’a été
permis
de passer au collège du Corpus Christi, je ne me
la fin du Reinhart Fuchs, qu’il a édité en 1834393. Il est toutefois
permis
de se demander pourquoi il s’en est tenu à ces hu
ns nouvelles. Ensuite, dérivées en partie du Romulus de Munich, elles
permettent
, vu l’âge du manuscrit qui les possède, d’affirme
ables de l’Anonyme, c’était toujours le même, cet indice significatif
permettrait
de sortir d’embarras. Mais il n’en est pas ainsi
ent accepté. Il est vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert
permettaient
de le croire l’auteur des fables élégiaques. Lors
hercherait peut-être en vain un vers présentant une élision. Qu’on me
permette
, pour donner un échantillon de son style et de sa
s les plus purs du moyen âge, quand ils écrivaient en vers latins, se
permettaient
quelquefois de singuliers écarts. Il faut se rapp
ps la traduction en sonnets italiens du fameux Accio Zuccho. Je ne me
permettrai
pas d’en induire que c’est ce dernier qui en est
uscrits, comparés entre eux, offrent d’innombrables variantes, qui ne
permettent
pas de parvenir avec certitude à la restitution d
Victoris Paris. manuscriptus. » Mais si la déclaration de Rigault ne
permet
pas de douter que Paul Petau ait possédé un manus
nt fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un vrai livre de luxe. On me
permettra
donc de m’y arrêter un peu plus qu’aux autres. Il
calligraphe distingué, il était en même temps d’une ignorance qui ne
permet
pas de supposer un instant qu’il ait été l’auteur
Duthillœul. Il déclare y avoir trouvé beaucoup de leçons qui lui ont
permis
de faire d’heureuses corrections au texte des édi
des éditions antérieures. La description que cet auteur en a faite me
permet
d’en dire quelques mots. C’était un cahier in-4º
car, n’ayant pas été altéré par l’humidité, son texte est complet et
permet
de combler les lacunes de l’autre. Formant un vol
re. L’écriture de cet épilogue est en aussi bon état que le reste et
permet
de reconstituer les vers 66, 67, 68 et 72, que, v
iothèque Marcienne sous la cote CXIII. 7. 41304, un exemplaire qui me
permet
de signaler leur erreur et d’éviter, après avoir
enait au comte d’Arundel on pouvait lire l’indication suivante, qui a
permis
de fixer l’époque de sa naissance : « Mense Septe
nt au nombre de quarante, et elles offrent cette particularité qui ne
permet
aucun doute sur leur origine, que chacune d’elles
ntenues dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin, mais encore
permettant
d’apprécier leur concordance avec celles du Romul
ait une courte description qui les fait suffisamment connaître. On me
permettra
, pour compléter l’analyse du manuscrit, de me con
re , qui sont également suivis d’un grand espace laissé en blanc pour
permettre
de la compléter. Dans la liste que j’ai précédemm
rreur : le texte cherché était bien irrévocablement perdu. Mais on me
permettra
d’ajouter, à ma décharge, que c’était une erreur
tion, et mes recherches m’en ont fait découvrir deux autres qui m’ont
permis
de fixer à cinquante le nombre des fables du Romu
Marie, qui traduisit pour lui les fables d’Izopet.” » Qu’il me soit
permis
maintenant d’intervenir dans le débat. D’abord je
en être ainsi. Sans doute le Romulus anglo-latin a péri ; mais il est
permis
de croire que dans la version poétique de Marie,
comme des dérivés raccourcis, les autres sont d’une prolixité qui ne
permet
pas de les juger de même. Pour revenir à la premi
ssédons celui du Romulus de Nilant, qui en est le père et qui va nous
permettre
de savoir d’où vient le texte du Romulus Roberti.
e qui touche les quinze autres fables, on n’a plus de texte latin qui
permette
de savoir si elles sont nées du Dérivé complet ou
que je viens de dresser n’en a pas moins sa raison d’être ; car elle
permet
de voir, indirectement sans doute, mais avec faci
ie siècle. L’ancienneté du manuscrit unique qui nous l’a conservé ne
permet
point, en tout cas, de lui assigner une époque mo
x qui doivent la remplacer. L’auteur abuse aussi d’une licence que se
permettaient
les mauvais versificateurs de son temps et qui co
▲