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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
nt le territoire sacré). Mais quant à nos propres successions, il est permis à qui que ce soit d’y renoncer, plustost qu’à sa
e la nature du don que de le rendre forcé ; et par consequent, il est permis d’inferer qu’une cession contraincte n’est pas un
ossession. Tellement que le droict de la nature, et des peuples, nous permet de le demander, et mesme il nous y convie. Mais c
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
que nous disons sont des ordures, et mesme des blasphemes. L’on nous permet quelquesfois de jurer le nom de Dieu avec des beg
nts ! Comment pouvez vous pretendre à sanctifier vostre fils, si vous permettez qu’il se soüille de si bonne heure de vos ordures
t les Reptiles l’adoreront, et vous serez les seuls, ô dénaturez, qui permettrez à vos Enfans de prononcer des termes dissolus, et
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 174 » p. 399
r le destin pour lequel on l’élevait, il faisait nuit, et le temps ne permettait pas de distinguer les deux volatiles. Mais le cyg
4 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [17.]. DEL CAVALLO E L’ASINO CARCHI. » p. 181
e Tutta, né trova chi gli porga aiuto Per giusta ira del ciel, che lo permette . Se l’huom possente ha de l’huom debil cura,  
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
eau se laissa choir,
 En badinant sur les bords de la Seine.
 Le Ciel permit qu’un saule se trouva
 Dont le branchage, aprés D
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
prêtait pas beaucoup d’attention à son discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La demande accordée,
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
s tous tes efforts ;
 Car pour moy, j’ay certaine affaire,
 Qui ne me permet pas d’arrester en chemin.
 En toute chose il faut
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 203 » p. 145
la nature qu’il faut t’en prendre : elle m’a fait aquatique et ne me permet pas de marcher sur terre ». Ceci prouve que nous
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71
la saisir, mon caractère à m’abstenir. Ô fortune qui offre et qui ne permet pas de prendre ! Ô trésor qui ne donne pas de pla
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
on plus ; mais de mon bon gré seulement. Mais avant que passer outre, permets , je te prie, que je te fasse un conte. Il y eust
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
ate ; Vos griffes la pourront blesser Quand vous voudrez la caresser. Permettez donc qu’à chaque pate On vous les rogne ; et pour
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
tes en le suivant, il pria les Officiers de la Justice, qu’il luy fût permis , de luy dire un mot à l’oreille ; Ce qu’on luy ac
eu bonne grace de conniver au larcin de son Enfant, puis qu’il estoit permis à ceux de ceste nation de prendre le bien d’autru
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
plus orgueilleux qu’il ne faut, et plus dépensiers que nos moyens ne permettent  : De sorte que la fin de telles praticques retomb
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
oient, un Paysan s’en alla dans une Forest, et la pria qu’il luy fust permis de prendre autant de bois qu’il en falloit pour p
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
tresses, et ne peuvent toutesfois accomplir les actions qu’elles leur permettent , peine insupportable à ces miserables, qui par un
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
homme de bien a je ne sçay quelle force sur les volontez, qui ne leur permet pas de se dégager aisément de ses conseils, et fa
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
en force ou en vigueur à son Ennemy. Car alors, non seulement il est permis , mais il est mesme bien seant de s’ayder de sa fi
roit plus de raison de l’appeller supercherie, qu’adresse loüable, et permise aux hommes valeureux.  
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
s les autres travailleroient : Et ainsi sur ce que ses compagnons luy permirent de choisir entre tous les fardeaux celuy qu’il ju
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
uelques-fois aussi c’est un effect de nostre impetuosité, qui ne nous permet pas d’avoir l’oreille à ce qu’on nous dit, et ent
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
nant, si bon te semble : Je ne te demande rien pour ces herbes, et te permets d’en cueillir desormais toutes les fois que tu vo
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
e, et pour le peu de pratique qu’ils ont dans le monde, qui ne leur a permis encore de cognoistre les inesgalitez de la fortun
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
de Paris reputoit pour sainct personnage, et qui toutesfois, Dieu le permettant ainsi, se leva du cercueil par trois fois, pour p
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
e ceste coustume l’on vient à la fin à une espece de Loy, qui ne nous permet plus de les mes-estimer, ny de les croire defectu
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
l, « puis que tu és si envieux, que tu ne veux ny manger du foing, ny permettre que j’en mange ». Discours sur la soixante-huic
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
ant une nature si sanguinaire, et si accoustumée au mal, il luy avoit permis d’eschapper saine et sauve d’entre ses dents, ce
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
n les porte. Alors, dis-je, s’imaginant que toutes choses leur soient permises , à cause de leur puissance, ils font gloire d’opp
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
s, Esope ayant resolu de faire un voyage en Grece, pria le Roy de luy permettre de s’y en aller. Ce qui luy estant accordé, il pr
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
rte, et si bien conduitte, qu’à la fin le hazard, ou la providence ne permette qu’elle éclatte. C’est ce que nous verifient tout
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
lité, plustost que de bien-vueillance, ils se trouvent obligez à leur permettre un libre accez dans leur frequentation. Mais, ô t
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
e pria de lui procurer un asile sûr pour y faire ses petits. Zeus lui permit de pondre dans son giron, mais l’escarbot avait v
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
le tres juste et tres raisonnable Christianisme, n’a seulement point permis de rompre avecque sa femme, pour en épouser d’aut
ntinence, et pour la vraye succession des heritages. Il nous est donc permis de faire eslection d’une compagne, qui prenne par
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
le gain est une chose bonne et loüable de soy, en cas que les loix le permettent . Or est-il qu’il falloit bien qu’ils jugeassent t
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
ché, et que les cris du Renard esmeuvent la colere des Dieux. Car ils permettent que son nid propre soit embrasé, et que ses petit
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ivisent ny ne des-unissent rien en leur ame, du moins selon qu’il est permis d’inferer par le dehors. De plus, elles ne font a
à tout ce que l’on peut dire raisonnablement là dessus : car il m’est permis , ou de ne croire pas cét exemple, ou de le croire
, que nous avons faite en tous les Discours precedents, nous semblast permettre en celuy-cy de prendre quelque espece de recreati
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
plaisir si extrême, qui ayant fait instamment prier l’Empereur de luy permettre de voyager, comme il se veid rebutté de toutes se
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
a vers eux Apollon, pour satisfaire à leurs communes prieres. Il leur permit donc de souhaitter à leur aise tout ce qu’ils vou
a appellé Dis, c’est à dire riche. Dans nostre Religion mesme on nous permet , voire on nous conseille de croire que les metaux
37 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
fournir, pour l’amélioration du texte conservé, des leçons utiles, et permettre même dans une certaine mesure la reconstitution d
n de leur erreur, je ne m’étais pas cru l’autorité nécessaire pour me permettre de me séparer d’eux. Aujourd’hui, ma conviction l
touche le livre II rien dans les manuscrits de Pithou et de Reims ne permet de supposer qu’elles soient dues aux copistes du
t de guérir les plaies morales de l’humanité. Et maintenant, qu’on me permette , avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajou
Claude se prêtait mieux qu’aucune autre aux licences qu’il voulait se permettre et que la fable Ranæ regem petentes s’applique ad
ons que Phèdre à cette époque n’aurait pu, suivant eux, impunément se permettre . Mais ces allusions n’ont existé que dans leur im
e IV où il se plaint de la critique, il traite de sots ceux qui se la permettent à son égard : Hoc illis dictum est, qui stultiti
ions peu absorbantes, les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de pub
 Par privilège du Roy, donné à Paris, le 28 iour d’Aoust 1596, il est permis à Maistre Pierre Pithou, y dénommé, de faire impr
désir d’abréger cette analyse, je m’abstiens de les transcrire. Je me permettrai seulement de faire connaître les particularités q
ce lambeau méritât les honneurs d’une publication spéciale, et il est permis de supposer qu’il n’aurait pas pensé de même, si,
eri statuere, et, comme ce prologue est conçu dans des termes qui ne permettent pas de le mettre en tête du livre V, il le laisse
Idem Poeta , et que ces mots, qui la rattachent à la précédente, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un l
eux tiers du cinquième livre. Mais un examen plus attentif ne m’a pas permis de persister longtemps dans cette première idée ;
sement le fac-simile, dû à la complaisance de Dom Vincent, restait et permettait de déterminer l’âge du manuscrit. Ce fac-simile,
nnaît que les deux manuscrits ont entre eux un air de famille, qui ne permet pas de douter de leur communauté d’origine, et, s
En reproduisant ainsi en partie la notice de Dom Vincent, je me suis permis une digression un peu longue. Mais la conclusion
it là qu’une supposition ; l’examen qu’il m’a été donné d’en faire ne permet plus l’incertitude. Voici en effet l’inscription
vingt-huit ans, lorsqu’il y fut élevé. Il existe même un document qui permet de fixer l’époque à laquelle il cessa sa compilat
e fabellarum Æsopi, Avieni et Phædri, soit, comme l’état du manuscrit permettra plus loin de l’affirmer, qu’il n’eût pas reçu de
a plus exacte, et que dans ma traduction j’ai moi-même adoptée174, ne permet pas de déduire des mots per aliquot annos une ind
ns les passages visibles et apparents, Cassitto s’est plus d’une fois permis d’introduire ses conjectures substituées à l’aven
la passion, Jannelli, à la suite de sa préface, place un tableau qui permet de comparer ensemble : 1º Le texte de la première
et immédiatement j’en entrepris la copie ; mais, comme il ne m’était permis de rester à la bibliothèque que jusqu’à midi, je
s, avait été exécutée par lui sur un cahier assez volumineux pour lui permettre d’y reporter les additions qu’il projetait, et, c
l à l’éducation de son neveu ; les crudités dont il est émaillé ne me permettent pas de le penser. Si, comme il l’affirme, il en r
age un supplément, qui parut, également à Zurich, en 1832, et qui lui permit de substituer les vraies leçons aux hypothèses qu
ts ; il promet presque de les faire connaître plus tard ; mais il est permis de supposer que ces arguments, que d’ailleurs il
publièrent en font foi. À défaut des manuscrits, qui auraient pu leur permettre de la repousser victorieusement, mais que, vu la
oduction des manuscrits, leur donnait une arme puissante, et qui leur permettait de continuer à attribuer les fables à l’archevêqu
lume in-4º215, il réunit les nombreuses raisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’attribuer à un auteur ancien les fables de
rquable ami de Cicéron. D’ailleurs, ce qu’Avianus dit de son œuvre ne permet pas de la confondre avec les fables connues ; car
bles, que nous possédons, fourmillent d’expressions ou d’idées qui ne permettent pas de les confondre avec la latinité si pure du
e Phèdre, nommé le philosophe épicurien. L’ensemble de l’épigramme ne permet pas d’être d’un autre avis. Martial suppose bien
ons si familières aux poètes, et plusieurs passages moins vaniteux ne permettent pas de douter que, du vivant même de l’auteur, la
tti aurait traduites en ïambes latins ; mais le langage de Perotti ne permet pas de faire cette supposition. 2º Adry prétend e
Angelo Maï est venue fortifier ma conviction. Le doute ne serait plus permis , si Angelo Maï, au lieu de se borner, ainsi que s
rocéda dans sa compilation ; on aurait pu voir que cet écrivain s’est permis , dans les anciennes fables, des changements plus
u seulement l’un d’eux, la confiance est encore plus grande. Qu’on me permette , à moi qui ai vu et copié celui de Naples et qui
estiné à remplacer celui qu’il avait supprimé. Dans le texte il s’est permis aussi quelques changements d’expressions, dont l’
e ces lacunes277 ; j’y reviens. Le livre II est d’une brièveté qui ne permet pas de le croire complet. Si même on s’en tenait
a lacune ? Il est impossible de le savoir ; mais la brièveté du livre permet de la supposer très considérable. Le prologue mêm
, je pus sans difficulté prendre communication du manuscrit. Qu’on me permette , avant d’en donner l’analyse, de parler du copist
Son portrait a donc été conservé ; mais l’inexpérience du dessinateur permet de douter de la ressemblance. Fol. xliv a. — Opus
écriture, qui, différant de celle de la copie des Fabulæ antiquæ, ne permet pas de la lui attribuer. Elle est également trop
va plus loin : non seulement, suivant lui, l’affirmation de Pithou ne permet pas de contester qu’il ait existé, mais encore il
ie du manuscrit de Wissembourg. Ses notions paléographiques lui ayant permis de la prendre lui-même, il s’empressa de répondre
même dignité du cardinalat par la volonté du Dieu tout-puissant, qui permet quelquefois que la vertu et les véritables travau
a eu dissidence sur le point de savoir à qui ils se rapportent, on me permettra de faire connaître les divers documents qui peuve
le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût existé, ces mots ne permettraient pas de le dire né à Athènes. Au moins l’époque de
u après le xiie  siècle. Mais c’était tout. Suivant Schwabe, il était permis de supposer qu’il avait existé à une époque beauc
r obtenir. Je me contente d’indiquer que l’âge du manuscrit de Burney permet de supposer que ce Romulus a pu être celui “de vi
question n’offre qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun document ne permet de la résoudre, je ne m’y attarderai pas davantag
ue d’Ésope. ii, Épil. Épilogue. Rufus. Le tableau qui précède permet de voir quelles sont les fables de Romulus qu’on
rande ressemblance avec l’original qu’elle est intéressante. Qu’on me permette encore, pour être méthodique, de prendre pour exe
mps les rapprochements. Je m’en abstiens : ceux que je viens de faire permettent d’apprécier la mesure dans laquelle les expressio
ce qu’il a été, un plan général et une uniformité d’exécution qui ne permettent pas de le considérer comme une œuvre collective,
manuscrit de Wissembourg et du texte du Romulus primitif m’ayant déjà permis de déterminer le nombre et les sujets des fables
s exacte de ce qu’il a été, mais non des copies assez littérales pour permettre une restitution que dès lors je ne tenterai pas.
de celle de Romulus. Mais la comparaison que j’ai faite des textes ne permet pas d’admettre que l’une ait pu être la base, mêm
ition j’avais opté pour la copie de Pierre Crinitus, mon choix actuel permettra à ceux qui le désireront de comparer ensemble le
numéro l’ancien catalogue imprimé en donne une analyse exacte, il est permis de trouver un peu prétentieuse cette phrase de M.
ration. La filiation des textes, telle que je l’ai jusqu’ici établie, permet de savoir ce que vaut son appréciation. Aussi, ap
Voici sa réponse qui ne s’est pas fait attendre, mais qui ne m’a pas permis de garder à ce sujet la moindre illusion : « Dij
de France, pour le prier d’en demander communication, de manière à me permettre de faire ma copie soit à la Légation, soit à mon
manuscrit au Consulat situé vis-à-vis de la Légation, et que, pour me permettre d’y travailler à l’aise, une salle serait mise à
roduire. Voilà ce que tout de suite un premier examen superficiel m’a permis d’apercevoir. Dans un second voyage, j’ai, par l’
es plus anciens manuscrits et devaient exister dans son modèle, s’est permis , non de les remplacer par d’autres, mais de les s
u lieu du nº xxiii elle porte le nº xviii. Cette erreur typographique permet d’affirmer que l’édition d’Ulm, sans date, est la
llet non imprimé, dont la reliure des exemplaires encore existants ne permet pas de constater la disparition. La deuxième impr
ns le Répertoire de Hain. C’est le premier des deux indices qui m’ont permis de voir quelle était, des deux éditions de 114 fe
duction latine, faite par Jean de Capoue, des fables de Bidpaï, on me permettra , avant de revenir au Romulus ordinaire, de signal
termes, dans lesquels Panzer avait mentionné l’édition de Romulus, ne permettaient pas de supposer que le Dyalogus eût été par lui c
d Leeu est celle de 1486, et j’en ai rencontré des exemplaires qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les vieilles éditions
 40 et dans celle du South Kensington Museum, deux exemplaires qui me permettent d’en donner le signalement. Les douze premières p
useum un exemplaire de l’édition de Gouda, qui, quoique incomplet, me permet du moins d’indiquer le titre de l’ouvrage. Le voi
I. Notice sur Vincent de Beauvais et sur ses œuvres.     Qu’on me permette de dire brièvement quelques mots de Vincent de Be
Christi, à Oxford. Pendant les deux ou trois heures qu’il m’a été permis de passer au collège du Corpus Christi, je ne me
la fin du Reinhart Fuchs, qu’il a édité en 1834393. Il est toutefois permis de se demander pourquoi il s’en est tenu à ces hu
ns nouvelles. Ensuite, dérivées en partie du Romulus de Munich, elles permettent , vu l’âge du manuscrit qui les possède, d’affirme
ables de l’Anonyme, c’était toujours le même, cet indice significatif permettrait de sortir d’embarras. Mais il n’en est pas ainsi 
ent accepté. Il est vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le croire l’auteur des fables élégiaques. Lors
hercherait peut-être en vain un vers présentant une élision. Qu’on me permette , pour donner un échantillon de son style et de sa
s les plus purs du moyen âge, quand ils écrivaient en vers latins, se permettaient quelquefois de singuliers écarts. Il faut se rapp
ps la traduction en sonnets italiens du fameux Accio Zuccho. Je ne me permettrai pas d’en induire que c’est ce dernier qui en est
uscrits, comparés entre eux, offrent d’innombrables variantes, qui ne permettent pas de parvenir avec certitude à la restitution d
Victoris Paris. manuscriptus. » Mais si la déclaration de Rigault ne permet pas de douter que Paul Petau ait possédé un manus
nt fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un vrai livre de luxe. On me permettra donc de m’y arrêter un peu plus qu’aux autres. Il
calligraphe distingué, il était en même temps d’une ignorance qui ne permet pas de supposer un instant qu’il ait été l’auteur
 Duthillœul. Il déclare y avoir trouvé beaucoup de leçons qui lui ont permis de faire d’heureuses corrections au texte des édi
des éditions antérieures. La description que cet auteur en a faite me permet d’en dire quelques mots. C’était un cahier in-4º
car, n’ayant pas été altéré par l’humidité, son texte est complet et permet de combler les lacunes de l’autre. Formant un vol
re. L’écriture de cet épilogue est en aussi bon état que le reste et permet de reconstituer les vers 66, 67, 68 et 72, que, v
iothèque Marcienne sous la cote CXIII. 7. 41304, un exemplaire qui me permet de signaler leur erreur et d’éviter, après avoir
enait au comte d’Arundel on pouvait lire l’indication suivante, qui a permis de fixer l’époque de sa naissance : « Mense Septe
nt au nombre de quarante, et elles offrent cette particularité qui ne permet aucun doute sur leur origine, que chacune d’elles
ntenues dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin, mais encore permettant d’apprécier leur concordance avec celles du Romul
ait une courte description qui les fait suffisamment connaître. On me permettra , pour compléter l’analyse du manuscrit, de me con
re , qui sont également suivis d’un grand espace laissé en blanc pour permettre de la compléter. Dans la liste que j’ai précédemm
rreur : le texte cherché était bien irrévocablement perdu. Mais on me permettra d’ajouter, à ma décharge, que c’était une erreur
tion, et mes recherches m’en ont fait découvrir deux autres qui m’ont permis de fixer à cinquante le nombre des fables du Romu
Marie, qui traduisit pour lui les fables d’Izopet.” » Qu’il me soit permis maintenant d’intervenir dans le débat. D’abord je
en être ainsi. Sans doute le Romulus anglo-latin a péri ; mais il est permis de croire que dans la version poétique de Marie,
comme des dérivés raccourcis, les autres sont d’une prolixité qui ne permet pas de les juger de même. Pour revenir à la premi
ssédons celui du Romulus de Nilant, qui en est le père et qui va nous permettre de savoir d’où vient le texte du Romulus Roberti.
e qui touche les quinze autres fables, on n’a plus de texte latin qui permette de savoir si elles sont nées du Dérivé complet ou
que je viens de dresser n’en a pas moins sa raison d’être ; car elle permet de voir, indirectement sans doute, mais avec faci
ie  siècle. L’ancienneté du manuscrit unique qui nous l’a conservé ne permet point, en tout cas, de lui assigner une époque mo
x qui doivent la remplacer. L’auteur abuse aussi d’une licence que se permettaient les mauvais versificateurs de son temps et qui co
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