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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
les empescha de passer outre. En ces extremitez ils se virent bien en peine , pource que le danger les enveloppoit devant et d
e crainte des Liévres, qui s’alloient precipiter, pour se tirer de la peine où ils s’estoient mis, represente la foiblesse de
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
et pensa se noyer ; La riviere devint tout d’un coup agitée. A toute peine il regagna les bords, Et n’eut ny l’ombre ny le c
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
eine En sa faveur s’échauffera. Heureux si ce travail est la derniere peine Que son époux me causera !
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
sun queor aver, si l’ocireient. Li cerfs l’oï, si s’en ala ; a grant peine lur eschapa. La terce fez le remanderent, e il [i
ert veü. Quant li cerf fu a curt mandé e pur oscire aresuné, a grant peine s’en eschapa. Quant terce feiz [i] repeira, sacez
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
IX. Le Laboureur et ses enfans. Travaillez, prenez de la peine . C’est le fonds qui manque le moins. Un riche Lab
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
avoit de pire en luy, c’estoit sa parole lente, sa voix casse, et la peine qu’il avoit à se faire entendre. Toutes lesquelle
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVII. La Belette entrée dans un Grenier. » p. 24
J’ay passé par icy depuis cinq ou six jours.
 Un Rat qui la voyoit en peine ,
 Luy dit : Vous aviez lors la panse un peu moins
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IV. Les Oreilles du Liévre. » p. 
elques coups Le Lion, qui plein de couroux, Pour ne plus tomber en la peine , Bannit des lieux de son domaine Toute beste port
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VII. Le Satyre et le Passant. » p. 35
roüet on le convie ; Il n’estoit pas attendu. Son hoste n’eut pas la peine De le semondre deux fois ; D’abord avec son halei
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 110 » p. 102
fable convient à ceux qui empruntent facilement et s’acquittent avec peine .
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
ant autrefois, Loüoit la beauté de son bois, Et ne pouvoit qu’avecque peine Souffrir ses jambes de fuseaux, Dont il voyoit l’
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 84. L’homme et les bœufs » p. 657
purpensez, si lur respunt que hors le traient : bien est dreiz que la peine en aient. Issi va del mauveis sergant, que tut en
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 272 » p. 189
pliquer cette fable à un homme efféminé qui s’impatiente des moindres peines , alors que nous-mêmes, nous supportons facilement
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
demeure fixe et certaine. Bien souvent l’on perdoit à la chercher sa peine . Il falloit donc qu’elle eust un sejour affecté,
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
te eau.
 Mais quoy, le canal est si beau,
 Qu’il ne le quitte qu’avec peine .
 On voit bien où je veux venir.
 Je parle à tous
16 (1180) Fables « Marie de France — Prologue. Prologue »
m me ad requise, ne voil lesser en nule guise que n’i mette travail e peine , ki que m’en tienge pur vileine, de fere mut pur
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
t pas d’estre plustost advancées, encore qu’on n’y prenne pas tant de peine  ? » Combien que ce fust le faict d’un Philosophe,
ceste response, « Croy-moy », luy dit-il, « tu m’as tiré d’une grande peine par ce raisonnement. Va t’en maintenant, si bon t
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 53 » p. 30
sauver. Si l’on tombe dans le malheur, il faut prendre soi-même de la peine pour s’en tirer, et seulement alors implorer le s
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
d’en manger, et fit son possible pour en avoir. Mais quand il vid sa peine perduë, et qu’il ne pouvoit satisfaire à son desi
20 (1180) Fables « Marie de France, n° 15. L’âne qui veut jouer avec son maître » p. 91
desi que l’asne unt tant batu qu’il le leissent tut estendu : a grant peine vient a sa stable. Saveir poüm par ceste fable la
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 70 » pp. 45-45
gens qui affectent d’être fatigués, quand ce sont d’autres qui ont la peine . Chambry 70.2 Aliter — Βοηλάτης καὶ ἅμαξα.
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
e ? Un bœuf est plus puissant que toy ; Je le meine à ma fantaisie. A peine il achevoit ces mots, Que luy-même il sonna la ch
23 (1180) Fables « Marie de France, n° 98. Le renard et le chat » p. 605
jeo l’aveie, que ces dunt ai ma puche pleine ; jeo te vei deliveré de peine . » — « Bien me deit », fet il, « remembrer de ceo
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
y estoit tous les jours, sans que neantmoins il s’en mit beaucoup en peine  ; « Tous les jours ! » respondit l’autre ; « Si c
es publiques. Car outre l’importunité des uns et des autres, outre la peine d’acquerir, et le soucy de conserver, outre la sa
a deffiance. Car de flotter incessamment dans le doute, d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses Ennemis, et pour ses a
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 35 » pp. 20-20
dire que ses pères avaient été gymnasiarques. « Tu peux t’épargner la peine de le dire, répliqua le renard : ta peau fait ass
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
en votre cabinet, Que de le changer de demeure ? Vous auriez pû sans peine y puiser à toute heure. A toute heure ? Bons Dieu
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
aits, et jolis sur tous leurs compagnons. Vous les reconnoistrez sans peine à cette marque. N’allez pas l’oublier ; retenez-l
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 5 » pp. 2-3
nsi qu’à rivaliser avec les puissants non seulement vous perdez votre peine , mais encore vous faites rire de vos malheurs.
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
greable ! Mais ce qui m’estonne d’avantage, c’est que je n’ay plus de peine à parler, et que je nomme aisément toutes choses
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
nt
 Tout tire d’elle l’aliment.
 Elle fait subsister l’artisan de ses peines ,
 Enrichit le Marchand, gage le Magistrat.
 Maint
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 88 » p. 246
as à manger, mon brave, apporte-moi plutôt à boire : tu me fais de la peine en me parlant de manger, non de boire. » La femme
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
is. Mais elle n’y voulut point consentir : Dequoy Xanthus fût plus en peine qu’auparavant. Ce qui fit qu’Esope s’adressant à
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
’un certain temps, le malade se leva et sortit, pâle et marchant avec peine . Notre médecin le rencontra : « Bonjour, dit-il,
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 243 » pp. 112-112
rs : « Ô escarbot, si tu avais travaillé au temps où je prenais de la peine et où tu m’injuriais, tu ne manquerais pas à prés
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
proye. Stratagême inouï, qui des fabricateurs Paya la constance et la peine . C’est assez, me dira quelqu’un de nos Auteurs ;
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
losophe qui est venu à ton festin ». Ceste nouvelle mit grandement en peine Xanthus, pour-ce qu’il s’imagina d’abord, que ceu
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
oyer à leur mestier beaucoup d’hommes impertinents, sans se donner la peine d’ouyr les extravagances qu’ils nous estallent. M
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
ne peuvent toutesfois accomplir les actions qu’elles leur permettent, peine insupportable à ces miserables, qui par un effet
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
reils : de plus, que Melpomene
 Souvent, sans déroger, trafique de sa peine  :
 Enfin qu’on doit tenir nostre art en quelque p
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 92 » pp. 300-300
3 Mm 59. Une génisse, voyant un bœuf au travail, le plaignait de sa peine . Mais une solennité religieuse étant arrivée, on
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
authorisé de tous les Romains. Celuy cy ne se mit point autrement en peine de desployer envers ces petites gents les hautes
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
ar écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut les tint en peine . Car que donner ? Il faloit de l’argent. On en pr
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
de son Estat. Cependant Hermippus ne pouvant souffrir le Roy dans une peine , dont il cognoissoit la cause, le fût trouver aus
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
ela, les malins esprits sont en quelque façon excusables, à cause des peines qu’ils souffrent depuis tant d’années, et qu’il l
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
r tous les jours dans le succés de ceste vie, qu’un meurtrier paye la peine de ses actions par la main d’un autre meurtrier ?
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
de ton plumage, pourveu que tu m’advoües aussi, que tu as bien de la peine à voler sur les maisons, au lieu que d’un vol cou
47 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
partage et le choix. Esope seul trouva Qu’aprés bien du temps et des peines , Les gens avoient pris justement Le contrepied du
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
donc permis de faire eslection d’une compagne, qui prenne part à nos peines et à nos plaisirs, et qui par sa conversation div
elle de son mary. Et sans mentir, si les plus retenuës ont bien de la peine à demeurer fidelles aux maris de bonne mine, et q
fadit nos plaisirs, et choque nostre inclination ? D’ailleurs, quelle peine ne nous donnera point une telle femme, par des so
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
ules, se laissent piper aux persuasions d’autruy, et n’employent leur peine ou leur pouvoir, qu’à l’avantage de leurs faux am
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
uté s’estoit fait plusieurs ennemis en ses jeunes années, en porta la peine en sa vieillesse. Car durant cet âge debile, les
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
’il faut faire en toutes façons, s’il est possible, à cause que ceste peine estant de la nature fort ennuyeuse, elle est en c
52 (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514
li desist de sa aleine si ele puïst. Cil li respun que si pueit que a peine suffrir le poeit. Li lus se fist mut curuciez ; p
53 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
eil prendre, cum fist icist par sa vileine, dunt il ot puis travail e peine  : mut [e]ust grant aveir guainé, si ele ne l’eüst
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
renard claqua ses mains l’une contre l’autre, dépité d’avoir perdu sa peine  ; et le lion se mit à gémir en poussant de grands
mbé, il le saisit à la dérobée, et le mangea pour se dédommager de sa peine . Mais le lion, après avoir cherché tous les morce
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 201 » pp. 147-147
ux que nous sommes ! c’est pour le renard que nous avons pris tant de peine . » La fable montre qu’on a raison de se dépiter,
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
e hayssent au mourir. Ne trouve donc pas estrange, si tu en portes la peine aujourd’huy ». Discours sur la seconde Fable.
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
eux qui se laissent affiner par les meschants, apres avoir donné leur peine et leur temps pour les obliger. Il est vray qu’il
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
 ; « Malheureux que je suis », dit il, « que je porte à bon droict la peine de ma sottise ! et qu’à bon droict aussi le Cheva
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
itude, celle de Mareschal de Camp, ou de Colonnel. L’Amant aura de la peine de se resoudre à quitter la possession d’une Beau
allantissement. Bref, nous sommes tres-asseurez qu’on l’acquiert sans peine , puis qu’il n’y en a point à servir Dieu. Au cont
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
e Gruë, te rend la pareille de fort bonne grace, et te fait porter la peine de ta mocquerie. Ne sçais-tu pas que chacun a son
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
fût plus question que de s’en tirer. Le Bouc en estoit des-jà fort en peine , et regardoit de tous costez, lors que le Renard
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
si ceux qui ont esté en la compagnie des meschants, doivent porter la peine comme eux du crime qu’ils ont commis. Je sçay que
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
agnes ? Si l’on aspire à la Gloire, quel est ce bien pour qui l’on se peine tant, si ce n’est un bien fragile, et indigne de
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
dissent la negligence de leurs parents, qui de leur costé sentent une peine insupportable en leur ame, et se repentent tout d
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
s puis qu’ils le veulent ainsi, qu’ay-je affaire de m’en donner de la peine  ? » ; Et là dessus, il se mit à boire : Mais dura
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
çeut tout ce bien que par le plaisir qu’il donnoit, sans avoir aucune peine . Luy tout au contraire, à ce qu’il disoit, estoit
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
la peur, tant y a que son Maistre eût commandement de la chasser, sur peine de punition corporelle, comme un animal monstrueu
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
ne condition éminente par dessus eux, et porterent bien-tost apres la peine de leur imprudence, quand par ses horribles cruau
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
ction puissante ; et ce qui est le plus à craindre, sans encourir les peines de la haute Justice de Dieu. C’est luy qui a tant
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
semblable ? » « Quoy », adjoûta Xanthus, « cela te met-il si fort en peine  ? Tu ne sçais donc pas, que si je pisse en marcha
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
dents de courroux ; « Lasche animal », luy dit-il, « si tu valois la peine d’estre battu, je sçay que tu ne le merites que t
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
consolation. Que si sortir d’un mal pour entrer dans l’autre, est une peine tres difficile à supporter ; Que ne sera-ce point
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
r, que ce qu’il a des-jà gaigné, et ne jouyssant jamais du fruict des peines passées, mais se proposant tous-jours les futures
ou vingt mille contre l’invasion des Massagetes : enfin on soufre des peines indicibles pour la trompeuse esperance d’un peu d
Potosi, pour leur acquerir de l’or en abondance, aux despens de leur peine , et de leur sang mesme. Mais laissons pour le pre
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
endre le Loup qu’il envioit. Mais ce Traistre ne porta guere loing la peine de son forfaict, non plus que l’infidele Renard ;
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
ile des fables ; où je pourrois dire encore que S. Augustin a pris la peine d’en moraliser plusieurs, que S. Thomas n’en desa
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
de se souvenir de ceste derniere fin, à raison de la peut qu’on a des peines et des recompenses qui la suyvent. Ce qui arrive
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
el homme, pour nous expliquer le Prodige, dont nous sommes si fort en peine . Est-il bien possible qu’il puisse sortir de luy
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
trouvera-t’on une docilité pareille à celle du Singe ? Il imite sans peine toutes nos façons de faire ; il mange proprement
voir entendu le langage des bestes, nous ne serions pas maintenant en peine de luy servir de Mythologistes. Le mesme se peut
l de nostre vie, le fil de nos labyrinthes, et la consolatrice de nos peines . Car il est si veritable que nous luy devons ce q
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
la Vengeance ? Celuy qui se trouve riche, n’a-t’il point beaucoup de peine à s’en exempter ? Ne sçait-il pas qu’il luy est a
80 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
se est faite par les textes que le Père Desbillons a pris lui-même la peine de citer, et notamment par le passage fort net de
illeurs dedans ledict tẽps, sinon du consentement du dict Pithou, sur peine de confiscation, et d’amende arbitraire. Et que p
roi Henri IV. Intimement lié avec les frères Pithou, il avait pu sans peine avoir communication du manuscrit, et, se livrant
r de Xivrey, sachant combien cette partie du manuscrit avait donné de peine aux savants, l’avait évidemment choisie dans la p
un autre. Certains, tels que Nicolas Rigault, n’ont pas pris tant de peine  ; tout en plaçant le prologue en tête du livre V,
us ou Aulularia, qui y est jointe. Je crois que vous n’aurez point de peine à vous persuader que l’écriture est du viiie  siè
isparu à son tour. Malheureusement M. Berger de Xivrey, qui a pris la peine de publier les variantes signalées par Dom Vincen
tre porté à croire que la solution du problème n’exigeait pas tant de peine . En effet, au premier abord, il semble que l’écri
èque du Vatican, qui ont été apportés à Paris. » J’avoue que j’avais peine à comprendre comment des savants sérieux avaient
, été, en 1859, publiée par MM. Guessard et Michelant qui ont pris la peine d’aller la copier au Vatican. Voici ce que, dans
ants, qui, après lui, voulurent en parler, ils ne prirent pas même la peine d’y recourir. Aussi ont-ils commis, les uns après
puiser dans l’édition, dans laquelle, en 1727, Burmann avait pris la peine de les publier à la fin de la préface, et c’est c
es leçons que son rival avait proposées ou adoptées. On comprend sans peine la colère de Jannelli, voyant paraître en même te
nnaître le recueil poétique de Perotti. Si cependant il avait pris la peine de réfléchir, il aurait tout de suite aperçu que
de ceux de Daniel et de Reims. Il est évident que, s’il avait pris la peine de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait
és par la négligence des premiers éditeurs, qui n’avaient pas pris la peine de donner sur les manuscrits des notions précises
et l’on s’apercevra que l’archevêque de Siponte ne s’est donné que la peine de copier. Et si l’on songe que c’est vers la fin
rapporter à des souvenirs confus qu’il n’a pas pris immédiatement la peine d’éclaircir. Maintenant je ne dois pas perdre de
perdues ? La vérité ainsi rétablie, tous les textes s’expliquent sans peine . Les témoignages de Martial et d’Avianus ne sont
es divinités étaient encore en honneur ; rappelant les oracles et les peines du Tartare, elles doivent être contemporaines de
isons invoquées par les éditeurs italiens et qu’ils n’ont pas pris la peine « de lire attentivement les fables nouvelles ». C
ais en Allemagne la chose avait été différente, et l’on comprend sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaient pas cru à
lyse la composition particulière de chacune d’elles. Il prend la même peine pour l’ïambe nouveau. Puis il conclut en observan
la jeunesse. Non, car il avoue encore que son ouvrage lui a coûté une peine infinie : Qua in re incredibile dictu est quos s
ux qui voudront étudier leurs travaux éprouveront peut-être un peu de peine à les trouver. J’achève donc mon analyse, en leur
ent étranger à la langue latine, et que le correcteur n’a pas pris la peine de recourir à la vraie source que d’ailleurs il n
du Catalogue qui avait ainsi décrit le manuscrit, n’avait pas pris la peine d’en examiner le contenu ; il s’en était rapporté
ginairement écrites, non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai peine à croire qu’on se soit au moyen âge si bien souve
e Crinitus. Je ne crois pas utile de prendre une seconde fois la même peine . Dans le manuscrit du Mans, à la suite des fables
lié par le savant et vénérable Coxe327. Si M. Oesterley avait pris la peine de jeter un simple coup d’œil sur le manuscrit, i
euillets imprimés qui se rapportent à sa mention, je ne suis pas sans peine parvenu à savoir quelle était celle des deux qu’i
it bien retrouvé dans l’ancien manuscrit de Dijon et s’était donné la peine d’en prendre copie ; Nilant, dans la préface de s
u moins la discuter. Mais, s’il avait eu tort de ne pas prendre cette peine , il n’en avait pas moins instinctivement compris
atine, les hommes les plus expérimentés ont en général la plus grande peine à s’accorder ; tant, suivant l’esprit dans lequel
rencontrant pas le signalement dans son ouvrage, j’ai eu beaucoup de peine à le retrouver. Y étant néanmoins parvenu, je pui
appartenait-il ? Voilà ce que, selon son habitude, il n’a pas pris la peine d’indiquer. Supposant que c’était un des deux man
xécutés à la même époque434. » On ne peut que louer M. Robert de la peine qu’il a prise. Par malheur, son entreprise n’a pa
ar au-dessous de la mention que je viens d’indiquer, il avait pris la peine d’écrire et de signer de sa propre main ce qui su
uve un certain nombre de variantes que M. Robert a d’ailleurs pris la peine de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologu
à cet égard. Néanmoins, pour ceux qui désireront ne pas prendre cette peine , je vais y puiser et transcrire ici leurs deux co
Marie d’un manuscrit « destiné pour Londres » et qu’il s’est donné la peine « de transcrire les 98 fables qu’il contenoit521 
ude qu’il a prise. Mais, ne voulant pas pour cela prendre beaucoup de peine , il se contente d’examiner le prologue et l’épilo
éviterais de la sorte à ceux qui voudront en vérifier l’exactitude la peine de se reporter au texte qui sera publié dans le s
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