les empescha de passer outre. En ces extremitez ils se virent bien en
peine
, pource que le danger les enveloppoit devant et d
e crainte des Liévres, qui s’alloient precipiter, pour se tirer de la
peine
où ils s’estoient mis, represente la foiblesse de
et pensa se noyer ; La riviere devint tout d’un coup agitée. A toute
peine
il regagna les bords, Et n’eut ny l’ombre ny le c
eine En sa faveur s’échauffera. Heureux si ce travail est la derniere
peine
Que son époux me causera !
sun queor aver, si l’ocireient. Li cerfs l’oï, si s’en ala ; a grant
peine
lur eschapa. La terce fez le remanderent, e il [i
ert veü. Quant li cerf fu a curt mandé e pur oscire aresuné, a grant
peine
s’en eschapa. Quant terce feiz [i] repeira, sacez
IX. Le Laboureur et ses enfans. Travaillez, prenez de la
peine
. C’est le fonds qui manque le moins. Un riche Lab
avoit de pire en luy, c’estoit sa parole lente, sa voix casse, et la
peine
qu’il avoit à se faire entendre. Toutes lesquelle
J’ay passé par icy depuis cinq ou six jours.
Un Rat qui la voyoit en
peine
,
Luy dit : Vous aviez lors la panse un peu moins
elques coups Le Lion, qui plein de couroux, Pour ne plus tomber en la
peine
, Bannit des lieux de son domaine Toute beste port
roüet on le convie ; Il n’estoit pas attendu. Son hoste n’eut pas la
peine
De le semondre deux fois ; D’abord avec son halei
fable convient à ceux qui empruntent facilement et s’acquittent avec
peine
.
ant autrefois, Loüoit la beauté de son bois, Et ne pouvoit qu’avecque
peine
Souffrir ses jambes de fuseaux, Dont il voyoit l’
purpensez, si lur respunt que hors le traient : bien est dreiz que la
peine
en aient. Issi va del mauveis sergant, que tut en
pliquer cette fable à un homme efféminé qui s’impatiente des moindres
peines
, alors que nous-mêmes, nous supportons facilement
demeure fixe et certaine. Bien souvent l’on perdoit à la chercher sa
peine
. Il falloit donc qu’elle eust un sejour affecté,
te eau.
Mais quoy, le canal est si beau,
Qu’il ne le quitte qu’avec
peine
.
On voit bien où je veux venir.
Je parle à tous
m me ad requise, ne voil lesser en nule guise que n’i mette travail e
peine
, ki que m’en tienge pur vileine, de fere mut pur
t pas d’estre plustost advancées, encore qu’on n’y prenne pas tant de
peine
? » Combien que ce fust le faict d’un Philosophe,
ceste response, « Croy-moy », luy dit-il, « tu m’as tiré d’une grande
peine
par ce raisonnement. Va t’en maintenant, si bon t
sauver. Si l’on tombe dans le malheur, il faut prendre soi-même de la
peine
pour s’en tirer, et seulement alors implorer le s
d’en manger, et fit son possible pour en avoir. Mais quand il vid sa
peine
perduë, et qu’il ne pouvoit satisfaire à son desi
desi que l’asne unt tant batu qu’il le leissent tut estendu : a grant
peine
vient a sa stable. Saveir poüm par ceste fable la
gens qui affectent d’être fatigués, quand ce sont d’autres qui ont la
peine
. Chambry 70.2 Aliter — Βοηλάτης καὶ ἅμαξα.
e ? Un bœuf est plus puissant que toy ; Je le meine à ma fantaisie. A
peine
il achevoit ces mots, Que luy-même il sonna la ch
jeo l’aveie, que ces dunt ai ma puche pleine ; jeo te vei deliveré de
peine
. » — « Bien me deit », fet il, « remembrer de ceo
y estoit tous les jours, sans que neantmoins il s’en mit beaucoup en
peine
; « Tous les jours ! » respondit l’autre ; « Si c
es publiques. Car outre l’importunité des uns et des autres, outre la
peine
d’acquerir, et le soucy de conserver, outre la sa
a deffiance. Car de flotter incessamment dans le doute, d’avoir de la
peine
pour son Maistre, pour ses Ennemis, et pour ses a
dire que ses pères avaient été gymnasiarques. « Tu peux t’épargner la
peine
de le dire, répliqua le renard : ta peau fait ass
en votre cabinet, Que de le changer de demeure ? Vous auriez pû sans
peine
y puiser à toute heure. A toute heure ? Bons Dieu
aits, et jolis sur tous leurs compagnons. Vous les reconnoistrez sans
peine
à cette marque. N’allez pas l’oublier ; retenez-l
nsi qu’à rivaliser avec les puissants non seulement vous perdez votre
peine
, mais encore vous faites rire de vos malheurs.
greable ! Mais ce qui m’estonne d’avantage, c’est que je n’ay plus de
peine
à parler, et que je nomme aisément toutes choses
nt
Tout tire d’elle l’aliment.
Elle fait subsister l’artisan de ses
peines
,
Enrichit le Marchand, gage le Magistrat.
Maint
as à manger, mon brave, apporte-moi plutôt à boire : tu me fais de la
peine
en me parlant de manger, non de boire. » La femme
is. Mais elle n’y voulut point consentir : Dequoy Xanthus fût plus en
peine
qu’auparavant. Ce qui fit qu’Esope s’adressant à
’un certain temps, le malade se leva et sortit, pâle et marchant avec
peine
. Notre médecin le rencontra : « Bonjour, dit-il,
rs : « Ô escarbot, si tu avais travaillé au temps où je prenais de la
peine
et où tu m’injuriais, tu ne manquerais pas à prés
proye. Stratagême inouï, qui des fabricateurs Paya la constance et la
peine
. C’est assez, me dira quelqu’un de nos Auteurs ;
losophe qui est venu à ton festin ». Ceste nouvelle mit grandement en
peine
Xanthus, pour-ce qu’il s’imagina d’abord, que ceu
oyer à leur mestier beaucoup d’hommes impertinents, sans se donner la
peine
d’ouyr les extravagances qu’ils nous estallent. M
ne peuvent toutesfois accomplir les actions qu’elles leur permettent,
peine
insupportable à ces miserables, qui par un effet
reils : de plus, que Melpomene
Souvent, sans déroger, trafique de sa
peine
:
Enfin qu’on doit tenir nostre art en quelque p
3 Mm 59. Une génisse, voyant un bœuf au travail, le plaignait de sa
peine
. Mais une solennité religieuse étant arrivée, on
authorisé de tous les Romains. Celuy cy ne se mit point autrement en
peine
de desployer envers ces petites gents les hautes
ar écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut les tint en
peine
. Car que donner ? Il faloit de l’argent. On en pr
de son Estat. Cependant Hermippus ne pouvant souffrir le Roy dans une
peine
, dont il cognoissoit la cause, le fût trouver aus
ela, les malins esprits sont en quelque façon excusables, à cause des
peines
qu’ils souffrent depuis tant d’années, et qu’il l
r tous les jours dans le succés de ceste vie, qu’un meurtrier paye la
peine
de ses actions par la main d’un autre meurtrier ?
de ton plumage, pourveu que tu m’advoües aussi, que tu as bien de la
peine
à voler sur les maisons, au lieu que d’un vol cou
partage et le choix. Esope seul trouva Qu’aprés bien du temps et des
peines
, Les gens avoient pris justement Le contrepied du
donc permis de faire eslection d’une compagne, qui prenne part à nos
peines
et à nos plaisirs, et qui par sa conversation div
elle de son mary. Et sans mentir, si les plus retenuës ont bien de la
peine
à demeurer fidelles aux maris de bonne mine, et q
fadit nos plaisirs, et choque nostre inclination ? D’ailleurs, quelle
peine
ne nous donnera point une telle femme, par des so
ules, se laissent piper aux persuasions d’autruy, et n’employent leur
peine
ou leur pouvoir, qu’à l’avantage de leurs faux am
uté s’estoit fait plusieurs ennemis en ses jeunes années, en porta la
peine
en sa vieillesse. Car durant cet âge debile, les
’il faut faire en toutes façons, s’il est possible, à cause que ceste
peine
estant de la nature fort ennuyeuse, elle est en c
li desist de sa aleine si ele puïst. Cil li respun que si pueit que a
peine
suffrir le poeit. Li lus se fist mut curuciez ; p
eil prendre, cum fist icist par sa vileine, dunt il ot puis travail e
peine
: mut [e]ust grant aveir guainé, si ele ne l’eüst
renard claqua ses mains l’une contre l’autre, dépité d’avoir perdu sa
peine
; et le lion se mit à gémir en poussant de grands
mbé, il le saisit à la dérobée, et le mangea pour se dédommager de sa
peine
. Mais le lion, après avoir cherché tous les morce
ux que nous sommes ! c’est pour le renard que nous avons pris tant de
peine
. » La fable montre qu’on a raison de se dépiter,
e hayssent au mourir. Ne trouve donc pas estrange, si tu en portes la
peine
aujourd’huy ». Discours sur la seconde Fable.
eux qui se laissent affiner par les meschants, apres avoir donné leur
peine
et leur temps pour les obliger. Il est vray qu’il
; « Malheureux que je suis », dit il, « que je porte à bon droict la
peine
de ma sottise ! et qu’à bon droict aussi le Cheva
itude, celle de Mareschal de Camp, ou de Colonnel. L’Amant aura de la
peine
de se resoudre à quitter la possession d’une Beau
allantissement. Bref, nous sommes tres-asseurez qu’on l’acquiert sans
peine
, puis qu’il n’y en a point à servir Dieu. Au cont
e Gruë, te rend la pareille de fort bonne grace, et te fait porter la
peine
de ta mocquerie. Ne sçais-tu pas que chacun a son
fût plus question que de s’en tirer. Le Bouc en estoit des-jà fort en
peine
, et regardoit de tous costez, lors que le Renard
si ceux qui ont esté en la compagnie des meschants, doivent porter la
peine
comme eux du crime qu’ils ont commis. Je sçay que
agnes ? Si l’on aspire à la Gloire, quel est ce bien pour qui l’on se
peine
tant, si ce n’est un bien fragile, et indigne de
dissent la negligence de leurs parents, qui de leur costé sentent une
peine
insupportable en leur ame, et se repentent tout d
s puis qu’ils le veulent ainsi, qu’ay-je affaire de m’en donner de la
peine
? » ; Et là dessus, il se mit à boire : Mais dura
çeut tout ce bien que par le plaisir qu’il donnoit, sans avoir aucune
peine
. Luy tout au contraire, à ce qu’il disoit, estoit
la peur, tant y a que son Maistre eût commandement de la chasser, sur
peine
de punition corporelle, comme un animal monstrueu
ne condition éminente par dessus eux, et porterent bien-tost apres la
peine
de leur imprudence, quand par ses horribles cruau
ction puissante ; et ce qui est le plus à craindre, sans encourir les
peines
de la haute Justice de Dieu. C’est luy qui a tant
semblable ? » « Quoy », adjoûta Xanthus, « cela te met-il si fort en
peine
? Tu ne sçais donc pas, que si je pisse en marcha
dents de courroux ; « Lasche animal », luy dit-il, « si tu valois la
peine
d’estre battu, je sçay que tu ne le merites que t
consolation. Que si sortir d’un mal pour entrer dans l’autre, est une
peine
tres difficile à supporter ; Que ne sera-ce point
r, que ce qu’il a des-jà gaigné, et ne jouyssant jamais du fruict des
peines
passées, mais se proposant tous-jours les futures
ou vingt mille contre l’invasion des Massagetes : enfin on soufre des
peines
indicibles pour la trompeuse esperance d’un peu d
Potosi, pour leur acquerir de l’or en abondance, aux despens de leur
peine
, et de leur sang mesme. Mais laissons pour le pre
endre le Loup qu’il envioit. Mais ce Traistre ne porta guere loing la
peine
de son forfaict, non plus que l’infidele Renard ;
ile des fables ; où je pourrois dire encore que S. Augustin a pris la
peine
d’en moraliser plusieurs, que S. Thomas n’en desa
de se souvenir de ceste derniere fin, à raison de la peut qu’on a des
peines
et des recompenses qui la suyvent. Ce qui arrive
el homme, pour nous expliquer le Prodige, dont nous sommes si fort en
peine
. Est-il bien possible qu’il puisse sortir de luy
trouvera-t’on une docilité pareille à celle du Singe ? Il imite sans
peine
toutes nos façons de faire ; il mange proprement
voir entendu le langage des bestes, nous ne serions pas maintenant en
peine
de luy servir de Mythologistes. Le mesme se peut
l de nostre vie, le fil de nos labyrinthes, et la consolatrice de nos
peines
. Car il est si veritable que nous luy devons ce q
la Vengeance ? Celuy qui se trouve riche, n’a-t’il point beaucoup de
peine
à s’en exempter ? Ne sçait-il pas qu’il luy est a
se est faite par les textes que le Père Desbillons a pris lui-même la
peine
de citer, et notamment par le passage fort net de
illeurs dedans ledict tẽps, sinon du consentement du dict Pithou, sur
peine
de confiscation, et d’amende arbitraire. Et que p
roi Henri IV. Intimement lié avec les frères Pithou, il avait pu sans
peine
avoir communication du manuscrit, et, se livrant
r de Xivrey, sachant combien cette partie du manuscrit avait donné de
peine
aux savants, l’avait évidemment choisie dans la p
un autre. Certains, tels que Nicolas Rigault, n’ont pas pris tant de
peine
; tout en plaçant le prologue en tête du livre V,
us ou Aulularia, qui y est jointe. Je crois que vous n’aurez point de
peine
à vous persuader que l’écriture est du viiie siè
isparu à son tour. Malheureusement M. Berger de Xivrey, qui a pris la
peine
de publier les variantes signalées par Dom Vincen
tre porté à croire que la solution du problème n’exigeait pas tant de
peine
. En effet, au premier abord, il semble que l’écri
èque du Vatican, qui ont été apportés à Paris. » J’avoue que j’avais
peine
à comprendre comment des savants sérieux avaient
, été, en 1859, publiée par MM. Guessard et Michelant qui ont pris la
peine
d’aller la copier au Vatican. Voici ce que, dans
ants, qui, après lui, voulurent en parler, ils ne prirent pas même la
peine
d’y recourir. Aussi ont-ils commis, les uns après
puiser dans l’édition, dans laquelle, en 1727, Burmann avait pris la
peine
de les publier à la fin de la préface, et c’est c
es leçons que son rival avait proposées ou adoptées. On comprend sans
peine
la colère de Jannelli, voyant paraître en même te
nnaître le recueil poétique de Perotti. Si cependant il avait pris la
peine
de réfléchir, il aurait tout de suite aperçu que
de ceux de Daniel et de Reims. Il est évident que, s’il avait pris la
peine
de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait
és par la négligence des premiers éditeurs, qui n’avaient pas pris la
peine
de donner sur les manuscrits des notions précises
et l’on s’apercevra que l’archevêque de Siponte ne s’est donné que la
peine
de copier. Et si l’on songe que c’est vers la fin
rapporter à des souvenirs confus qu’il n’a pas pris immédiatement la
peine
d’éclaircir. Maintenant je ne dois pas perdre de
perdues ? La vérité ainsi rétablie, tous les textes s’expliquent sans
peine
. Les témoignages de Martial et d’Avianus ne sont
es divinités étaient encore en honneur ; rappelant les oracles et les
peines
du Tartare, elles doivent être contemporaines de
isons invoquées par les éditeurs italiens et qu’ils n’ont pas pris la
peine
« de lire attentivement les fables nouvelles ». C
ais en Allemagne la chose avait été différente, et l’on comprend sans
peine
qu’aux savants de ce pays qui n’avaient pas cru à
lyse la composition particulière de chacune d’elles. Il prend la même
peine
pour l’ïambe nouveau. Puis il conclut en observan
la jeunesse. Non, car il avoue encore que son ouvrage lui a coûté une
peine
infinie : Qua in re incredibile dictu est quos s
ux qui voudront étudier leurs travaux éprouveront peut-être un peu de
peine
à les trouver. J’achève donc mon analyse, en leur
ent étranger à la langue latine, et que le correcteur n’a pas pris la
peine
de recourir à la vraie source que d’ailleurs il n
du Catalogue qui avait ainsi décrit le manuscrit, n’avait pas pris la
peine
d’en examiner le contenu ; il s’en était rapporté
ginairement écrites, non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai
peine
à croire qu’on se soit au moyen âge si bien souve
e Crinitus. Je ne crois pas utile de prendre une seconde fois la même
peine
. Dans le manuscrit du Mans, à la suite des fables
lié par le savant et vénérable Coxe327. Si M. Oesterley avait pris la
peine
de jeter un simple coup d’œil sur le manuscrit, i
euillets imprimés qui se rapportent à sa mention, je ne suis pas sans
peine
parvenu à savoir quelle était celle des deux qu’i
it bien retrouvé dans l’ancien manuscrit de Dijon et s’était donné la
peine
d’en prendre copie ; Nilant, dans la préface de s
u moins la discuter. Mais, s’il avait eu tort de ne pas prendre cette
peine
, il n’en avait pas moins instinctivement compris
atine, les hommes les plus expérimentés ont en général la plus grande
peine
à s’accorder ; tant, suivant l’esprit dans lequel
rencontrant pas le signalement dans son ouvrage, j’ai eu beaucoup de
peine
à le retrouver. Y étant néanmoins parvenu, je pui
appartenait-il ? Voilà ce que, selon son habitude, il n’a pas pris la
peine
d’indiquer. Supposant que c’était un des deux man
xécutés à la même époque434. » On ne peut que louer M. Robert de la
peine
qu’il a prise. Par malheur, son entreprise n’a pa
ar au-dessous de la mention que je viens d’indiquer, il avait pris la
peine
d’écrire et de signer de sa propre main ce qui su
uve un certain nombre de variantes que M. Robert a d’ailleurs pris la
peine
de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologu
à cet égard. Néanmoins, pour ceux qui désireront ne pas prendre cette
peine
, je vais y puiser et transcrire ici leurs deux co
Marie d’un manuscrit « destiné pour Londres » et qu’il s’est donné la
peine
« de transcrire les 98 fables qu’il contenoit521
ude qu’il a prise. Mais, ne voulant pas pour cela prendre beaucoup de
peine
, il se contente d’examiner le prologue et l’épilo
éviterais de la sorte à ceux qui voudront en vérifier l’exactitude la
peine
de se reporter au texte qui sera publié dans le s
▲