cer de ce qu’il avoit troublé son eau. Tout ce que pût faire alors le
pauvre
Aigneau, qui trembloit de peur, fût de le prier d
sieurs Tyrans. De cette façon, c’est une espece de crime, que d’estre
pauvre
, et une espece de jurisdiction pour le punir, que
’est ainsi que la pluspart des Riches d’aujourd’huy font accroire aux
pauvres
qu’ils ont manqué de respect envers eux, et choqu
à une entiere destruction. Alors si l’extremité de l’offense anime le
pauvre
à se plaindre, ou à resister, on ne fait nulle di
le, represente les injustes avantages que les riches prennent sur les
pauvres
, qu’ils ont accoûtumé de tromper, en retenant leu
ait escheoir. Or contre ces marques de tyrannie, il me semble que les
pauvres
n’ont point de remede, que la patience ; parce qu
alors à le tancer aigrement, en adjoustant les coups aux menaces, le
pauvre
Chien luy répondit, qu’il meritoit bien qu’on luy
Que les grands Seigneurs se viennent instruire icy par la voix d’un
pauvre
animal, qui reproche de bonne grace à son Maistre
t des injures continuelles. Il en prend de mesme à la pluspart de ces
pauvres
Infortunez, qui s’obstinent à suivre la Cour, où
e lot ; y plante le piquet ;
S’étend à son plaisir sur l’orteil d’un
pauvre
homme,
Disant : Je ne croy pas qu’en ce poste je
balayer tout l’ouvrage.
Autre toile tissuë, autre coup de balay.
Le
pauvre
Bestion tous les jours déménage.
Enfin après un
larron,
Qui saisit Maistre Aliboron.
L’Asne c’est quelquefois une
pauvre
Province.
Les Voleurs sont tel et tel Prince ;
nt ces derniers temps combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont
pauvres
devenus Pour vouloir trop tost estre riches ?
si beau et si à propos que je n’ay pas cru le devoir omettre.
Un
pauvre
Bucheron tout couvert de ramée,
Sous le faix du
Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ?
En est-il un plus
pauvre
en la machine ronde ?
Point de pain quelquefois,
rincesse des Oyseaux, il vous est fort facile D’enlever malgré moy ce
pauvre
malheureux : Mais ne me faites pas cet affront, j
sa Cour, d’aller vivre au desert : Avec mainte autre extravagance. Le
pauvre
Jupiter se tut. Devant son Tribunal l’Escarbot co
je m’approche de toi sans le vouloir. » La vie n’est pas sûre pour le
pauvre
qui a pour voisin un prince rapace.
est détruite. Bien-tost on la verra reduite À l’eau du Styx. Pour un
pauvre
Animal, Grenoüilles, à mon sens, ne raisonnoient
heval peu courtois, Celui-ci ne portant que son simple harnois, Et le
pauvre
Baudet si chargé qu’il succombe. Il pria le Cheva
e bon homme est étonné. Le pis fut que l’on mit en piteux équipage Le
pauvre
potager ; adieu planches, quarreaux ; Adieu chico
Non pas trou, mais troüée, horrible et large playe Que l’on fit à la
pauvre
haye Par ordre du Seigneur ; car il eust esté mal
qu’il se mit à ronger. Cette Lime luy dit, sans se mettre en colere,
Pauvre
ignorant ! et que pretends-tu faire ? Tu te prend
luy faire quelque bien ; Mais plus il la prioit, et plus il devenoit
pauvre
. Dequoy se dépitant, il l’empoigna par les jambes
s, qui rançonnent les Villages, et enflent leur bourse aux despens du
pauvre
Laboureur ? Mais la maniere de s’enrichir que pra
; ils ne se croyent pas riches, s’ils ne font part de leurs biens aux
pauvres
, aussi liberalement qu’ils les ont vertueusement
de dilapider ton bien ; car, si tu dépenses tout et que tu deviennes
pauvre
, c’est à moi que tu t’en prendras. » Ainsi beauco
-il en vie ou non ? Il tenoit un moineau, dit-on, Prest d’étouffer la
pauvre
beste, Ou de la lâcher aussi-tost, Pour mettre Ap
le sauta dans l’Estang, où tandis qu’elle nageoit entre deux eaux, le
pauvre
Rat estouffoit à force de boire. Helas ! dit il a
rvation. L’Escarbot se mit alors à prier l’Aigle, de ne point tuër le
pauvre
suppliant, et la conjura par le grand Dieu Jupite
ellerent incontinent des asnes à un chariot, sur lequel ils mirent le
pauvre
Vieillard, et le laisserent aller tout seul. Voil
abuser, comme en effect il n’y manqua pas ; Et ce fut alors que ceste
pauvre
fille toute dolente se voyant prise par force ; “
s’écarta ;
Et loin des Villes s’emporta Dans un Bois où chantoit la
pauvre
Philomele.
Ma sœur, luy dit Progné, comment vous
e, et l’on vous répondra. A ces mots il se fit une telle huée, Que le
pauvre
écourté ne put estre entendu. Pretendre oster la
ma nourriture. » Cette fable montre que les gens cupides amorcent les
pauvres
gens par leurs discours séducteurs et leurs flatt
mmencement de chere et de festin : Mettons-le en nostre gibeciere. Le
pauvre
Carpillon luy dit en sa maniere : Que ferez-vous
p, et le Vautour, en estans pris à tesmoins, ils déposerent contre la
pauvre
Brebis, qui fut condamnée à rendre le pain, que l
nte probité, et se servent de la foy humaine pour couper la gorge aux
pauvres
affligez, jusques à s’ayder du nom d’une Vertu, p
qui plus agile que luy au combat, le fit sortir de ses pasturages. Le
pauvre
Cheval ainsi repoussé, implora le secours de l’ho
une Politique, et l’autre Moralle, comme, de dire que le riche devenu
pauvre
se rend tellement esclave des biens du monde, qu’
; et Rustaut qui n’a jamais menti, Dit que le Liévre est reparti. Le
pauvre
malheureux vient mourir à son giste. La Perdrix l
monstrant une coignée d’or, il luy demanda si c’estoit la sienne : Le
pauvre
homme ayant répondu franchement que ce ne l’étoit
tre Autheur fait invoquer Mercure plustost qu’une autre Divinité à ce
pauvre
Charpentier, pour le recouvrement de sa coignée,
l propos Esope auroit-il introduit un Dieu, pour la consolation de ce
pauvre
homme, si ce n’estoit à dessein de nous apprendre
rbe de Polipheme. Elle empestra si bien les serres du Corbeau, Que le
pauvre
animal ne put faire retraite ; Le Berger vient, l
ue leur belle monstre, et si le sçavoir ne respond à l’apparence, les
pauvres
gens s’abusent bien fort : quelques sçavans qu’il
oint d’homme de courage qui n’ait pitié de leur valeur pretenduë. Les
Pauvres
qui font les Riches, les Roturiers qui se disent
toit en haut, de luy jetter une corde, pour le retirer de ce peril. «
Pauvre
malheureux ! », luy respondit le Loup, « comment
branchée fortuitement sur un arbre, qui panchoit sur l’eau, voyant la
pauvre
Fourmy en danger de mort, rompit incontinent avec
.
Chacun se reveille à ce son,
Les Brebis, le Chien, le Garçon.
Le
pauvre
Loup dans cet esclandre,
Empêché par son hoqueto
lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appetit, Dormoient les deux
pauvres
Servantes. L’une entr’ouvroit un œil, l’autre éte
e chien eut peur et rebroussa chemin. Un renard le vit et lui dit : «
Pauvre
sire, tu poursuivais le lion, et tu n’as même pas
onde lui courut sus et le frappa à coups de bâton et de massue. Es-tu
pauvre
et simple particulier, ne prends pas modèle sur l
mbourbé. Le Phaëton d’une voiture à foin Vid son Char embourbé. Le
pauvre
homme estoit loin De tout humain secours. C’estoi
ervelle. » Cette fable convient aux hommes magnifiques de corps, mais
pauvres
de jugement.
Une alouette huppée, prise au lacs, disait en gémissant : « Hélas !
pauvre
oiseau infortuné que je suis ! Je n’ai dérobé à p
’ânier, devinant sa pensée, lui dit en le frappant de son gourdin : «
Pauvre
cervelle ! il ne manquait plus que cela, de voir
ses mesmes qu’ils ont avecque superfluité ; ce qui doit apprendre aux
Pauvres
, qu’ils n’ont guere à esperer des grands Seigneur
ous ferez bien :
Vos pareils y sont miserables,
Cancres, haires, et
pauvres
diables,
Dont la condition est de mourir de faim
suspendit ;
Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre ;
Pauvres
gens, idiots, couple ignorant et rustre.
Le prem
peut plus, il mourra sous leurs coups.
Hé quoy, charger ainsi cette
pauvre
Bourique !
N’ont-ils point de pitié de leur vieu
les chiens se dirent entre eux : « Nous avons une belle vie, quoique
pauvre
, nous qui ne combattons ni les lions, ni les ours
sol, avec les poules. » Il vaut mieux être illustre sous un vêtement
pauvre
que de vivre sans gloire, en se panadant dans la
ainsi chez les hommes : quand une ville est en proie à la guerre, les
pauvres
se déplacent et se sauvent facilement d’un pays d
es, qu’on tenoit jadis pour estre Dieux des forests, ayant pitié d’un
pauvre
Passant, tout couvert de neige, et transi de froi
n’a pas fait sa reveuë. Je crains fort pour toy sa venuë. Jusques-là
pauvre
Cerf, ne te vante de rien. Là-dessus le Maistre e
her.
Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent ;
Bien-tost les
pauvres
gens tomberent en langueur :
Il ne se forma plus
i estoit auprés des rets. L’Oyseleur accourust à l’heure mesme, et le
pauvre
Merle bien estonné de se voir entre ses mains ; «
mirent à jazer aussi confusément, Que faisoient les Troyens quand la
pauvre
Cassandre
Ouvroit la bouche seulement.
Il en pr
Astrologue un jour se laissa choir Au fonds d’un puits. On luy dit :
Pauvre
beste, Tandis qu’à peine à tes pieds tu peux voir
à mesme temps mis à crier, voila venir les valets, qui traicterent le
pauvre
Asne à coups de bastons, pour recompense de ce qu
re le civil, et l’honneste. Discours sur la quinziesme Fable. Ce
pauvre
Asne fait un tour de son mestier dans ceste Peint
tez, à sçavoir pour secourir les affligez, empescher l’oppression des
pauvres
, et les violements des filles ; tirer reparation
e Justice de Dieu. C’est luy qui a tant de soing de la protection des
Pauvres
, qu’il s’est nommé luy-mesme leur Defenseur, et l
Souhaite encore que tes ennemis deviennent malades, et qu’ils soient
pauvres
, pour empescher qu’ils ne te puissent nuire ; mai
leur avoit faussé la foy, et rompu la treve, ils se jetterent sur les
pauvres
Brebis, qu’ils mirent en pieces bien aisément, po
odd. Pa 35 Pb 34 Pc 13 Pe 2 Pf 18 Ph 19 Ma 26 Me 18 Mf 18. Un homme
pauvre
était malade et mal en point. Comme les médecins
un loup. Il se mit à l’injurier et à le railler, Le loup répliqua : «
Pauvre
hère, ce n’est pas toi qui m’injuries, c’est le l
t le front, le museau, et les dents, puis il s’échappa bien viste. Le
pauvre
Loup se voyant ainsi trompé, et s’en prenant à so
es Orphelins, qui tourmentent les femmes veufves, qui dépoüillent les
pauvres
du peu de bien qui leur est resté, qui se joüent
pour la troisiesme fois il luy eust fait la mesme demande, et que ce
pauvre
homme luy eust répondu qu’il n’en pouvoit plus, s
ay-je fait à dessein Qu’il assouvisse un jour ta faim ? On assomma la
pauvre
beste. Un manant luy coupa le pied droit et la te
s témoignages continuels, n’est-ce pas une maniere de desespoir à ces
pauvres
gents, de se voir accueillis d’une inquietude nec
hommes, qui ont eu l’esprit assez fort pour souffrir en patience une
pauvre
et contemptible vieillesse. Mais, certes, ils est
son espoir, Sa face estoit de pleurs toute baignée. O ma cognée, ô ma
pauvre
cognée ! S’écrioit-il, Jupiter rend la moy : Je t
Ὁ λόγος εὔκαιρος πρὸς ἄνδρα ψευδολόγον. Codd. Pa 30 Pb 28. Un homme
pauvre
, étant malade et mal en point, promit aux dieux d
uroit estre fâché. Ceste nouvelle plût grandement à Lycerus, à qui le
pauvre
Esope fut amené tout crasseux, et plain d’ordure.
13 Mi 55 Mm 20. Un homme avait un dieu de bois, et, comme il était
pauvre
, il le suppliait de lui faire du bien. Comme il e
he, il se mit à l’attaquer à coups de pied et de langue. Cependant le
pauvre
Lion bien affligé, « helas ! » disoit-il en gemis
l’ame, j’auois un juste sujet d’apprehender que pour cette raison ce
pauvre
Esclave estranger, à qui je fais parler nostre la
pure substance des Innocents, et de ne vouloir pas toutesfois que ces
pauvres
gents s’en ressentent ; Car alors s’ils en reçoiv
es d’inconvenients sont beaucoup plus frequents à l’homme riche qu’au
pauvre
, et par consequent la richesse est plus ruyneuse
faire voir que les riches sont plus sujets à la mort violente que les
pauvres
: ce que je monstreray succinctement par ceste di
ansy de froid auprés de son foyer propre, pour le ranimer. Où vas-tu,
pauvre
Idiot, avec cét infidelle animal ? Ne crains-tu p
s estre blessé. Il arriva depuis, que le Laboureur estant devenu fort
pauvre
, et imputant la cause de ce malheur à l’offense q
’il trouva pour l’heure au lict, à cause de quelque indisposition. Ce
pauvre
homme tout effrayé se jetta d’abord aux pieds de
t sa perfidie et sa lascheté. Mais le Renard se mocquant de luy ; « ô
pauvre
Bouc », luy dit-il, « si tu avois autant de sens
faute au Renard, qui sans s’esmouvoir autrement de ses paroles : « O
pauvre
fol », luy dit-il de fort bonne grace, « qu’avecq
on, et l’enquist de ce que l’Ours luy avoit dit à l’oreille : Mais ce
pauvre
homme ayant un juste sujet de le tancer ; « Il m’
eau dans un bassin, pour laver les pieds de son hoste. Or bien que ce
pauvre
Idiot jugeast assez, qu’elle mesme estoit la Mais
ayant apperçeu que la cause en procedoit d’une longue espine, que le
pauvre
Lion avoit dans la patte ; la luy tira fort adroi
de leur Maistre, et font leurs delices de la substance et du sang des
pauvres
sujets ; En cela mille fois plus inhumains que le
uste punition qui arriva du mal-faicteur. Tel encore fût le succez du
pauvre
Arion, que les Mariniers ne jetterent dans la Mer
r se contenter en leur Convoitise, il a fallu qu’ils ayent occupé les
pauvres
habitans de ces contrées à foüiller sans cesse da
ien qu’il soit vray, Monseigneur , qu’elles n’ont pour Autheur qu’un
pauvre
Captif, qui durant tout le cours de sa vie fut le
si bonne chere que tu voudras ; pour moy j’ayme beaucoup mieux estre
pauvre
avec asseurance, qu’en avoir de reste, et vivre d
mination, qui obscurcit ainsi le lustre des autres ? » Or bien que le
pauvre
Esope servit d’une matiere de raillerie à plusieu
priere, et transforma cét Animal en une fille d’excellente beauté. Ce
pauvre
fol fût en mesme temps si passionnément épris de
si fort en reverence, accoururent tous à la foule, et arracherent le
pauvre
chat des mains de ceux qui le battoient ; puis il
donnant son coup de bec, ils commencerent à la chasser. Cependant la
pauvre
Perdrix s’affligeoit fort à par soy, de se voir a
aiment autant ou plus qu’avant la Nopce, ô la honteuse condition d’un
pauvre
homme ! ô exercice indigne de la sagesse que doiv
y le Maistre infera, que le perfide Valet frustroit tous les jours ce
pauvre
Animal de la moitié de sa nourriture, et que c’es
ns la fable iv du livre V, resté à la fin de sa longue carrière aussi
pauvre
qu’au commencement, il s’exprimait encore ainsi :
e fut une nature honnête, un moraliste convaincu, qui eut, en restant
pauvre
, le rare mérite de suivre ses propres préceptes,
ne les avait pas connues… Et il n’est pas nécessaire de recourir à la
pauvre
raison donnée par Vossius et par les autres criti
e qu’en France l’ancien oratorien, nommé Adry, dans un opuscule aussi
pauvre
par la forme que par le fond259, exprima sur l’au
ogne. i, 26. 64. Le Loup et la Grue. i, 8. 65. Le Serpent et le
Pauvre
. 66. Le Chauve et la Mouche. iv b, 4. 67. L
19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Serpent et le
Pauvre
. I, 13. Le Cerf, le Loup et la Brebis. i, 16.
uilles. II, 9. Le Loup et le Chevreau. II, 10. Le Serpent et le
Pauvre
. II, 11. Le Cerf, le Loup et la Brebis. i, 16
gne. i, 26. 50. Le Loup et la Grue. i, 8. 51. Le Serpent et le
Pauvre
. 52. Le Chauve et la Mouche. iv b, 4. fab
illes. II, 10. Le Loup et le Chevreau. II, 11. Le Serpent et le
Pauvre
. II, 12. Le Cerf, le Loup et la Brebis. i, 16
. II, 6. 24. Le Loup et le Chevreau. II, 10. 25. Le Serpent et le
Pauvre
. II, 11. 26. Le Renard et la Cigogne. II, 14.
. II, 9. 29. Le Loup et le Chevreau. II, 10. 30. Le Serpent et le
Pauvre
. II, 11. 31. Le Cerf, le Loup et la Brebis. II,
en renferme que 56 et n’a pas les 12 suivantes : 1. Le Serpent et le
Pauvre
. 2. La Tête sans cervelle. 3. Le Lion et le Berge
29. Le Loup et le Chevreau. 29. 28. 29. 29. 30. Le Serpent et le
Pauvre
. 30. 29. 30. 30. 31. Le Cerf, le Loup et la Bre
II, 9. Le Loup et le Chevreau. 28. 28. 28. II, 10. Le Serpent et le
Pauvre
. 29. 29. 29. II, 11. Le Cerf, le Loup et la Bre
II, 9. Le Loup et le Chevreau. II, 10. II, 10. Le Serpent et le
Pauvre
. II, 11. II, 11. Le Cerf, le Loup et la Brebis.
maître. 62. 29. Le Renard et la Cigogne. 63. 30. Le Serpent et le
Pauvre
. 65. 31. Le Chauve et la Mouche. 66. 32. L’Ai
la providence des hommes lettrés, parvint à un âge avancé, et mourut
pauvre
. 181. « Neque enim cum Perottinus dicitur ille
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