er natura era cortese, E ricca intorno del suo gran tesoro, Gli ne fé
parte
, gratiosamente Donando a lui quanto le havea rich
sto. Ond’ei ne fece il manico ; e dapoi A spogliar cominciò di
parte
in parte La Selva tutta con la parte stessa, Ch’e
Ond’ei ne fece il manico ; e dapoi A spogliar cominciò di parte in
parte
La Selva tutta con la parte stessa, Ch’era già me
; e dapoi A spogliar cominciò di parte in parte La Selva tutta con la
parte
stessa, Ch’era già membro di lei stessa uscito :
X. Le Lievre et la Tortuë. Rien ne sert de courir ; il faut
partir
à point. Le Lievre et la Tortuë en sont un témoig
Tient la gageure à peu de gloire ; Croit qu’il y va de son honneur De
partir
tard. Il broute, il se repose, Il s’amuse à toute
quand il vid Que l’autre touchoit presque au bout de la carriere ; Il
partit
comme un trait ; mais les élans qu’il fit Furent
quando fur ben satie e di mel piene Volendosi da quello alzar a volo
Parte
da la gravezza del pasciuto Ventre, parte dal mel
dosi da quello alzar a volo Parte da la gravezza del pasciuto Ventre,
parte
dal mel tenace fatto Dal Sole ardente de l’estivo
al del suo compagno, et della pena Del doppio peso : che schivando in
parte
Tutto sul dorso suo venuto gli era. Così q
ì quel servo fa, che del conservo Non ha pietade : et non consente in
parte
Talhor levargli del suo ufficio il peso Per picci
la berbiz i fu. Un cerf unt pris e retenu. En quatre part le voleient
partir
. Li leüns dit : « Jeo le voil saisir. La greinur
s volt aver l’onur, u li povres perdra s’amur ; e si nul gain deivent
partir
, li riches vout tut retenir.
, et qui in ultima metri heroici locatur sede, ut ille ima co[n]uiuii
parte
dignus erat. Fabula indicat primos accubitus non
n cui suol partorir le picciol uova De la stagion de l’anno in quella
parte
, Che può bastarle a far prender il volo Ai nati f
no : Onde il padron de la matura biada Giunto verso la sera in quella
parte
Disse al figliuol : poi che nessun si move O de g
: Però stanotte ce n’andrem pian piano A trovar novo albergo in altra
parte
, Che quando l’huom far vuol cosa da vero,
decreuerant quom subito canibus aduentantibus alter eorum dimissa sua
parte
cadaueris eiulans statim e canum conspectu procul
ue uideri insignes geminis cornibus ire boues, et solum nulla munitum
parte
camelum obiectum cunctis expositumque feris. Iupp
σεσθε. » Ὁ μῦθος περὶ τῶν σφόδρα δειλῶν. Cod. Mb 13. Un homme lâche
partait
pour la guerre ; mais ayant entendu croasser des
viron Des laqs à prendre Loups, soupçonnant cette engeance. Avant que
partir
de ces lieux, Si tu fais, disoit-il, ô Monarque d
on qui détruit mon troupeau, Et le voir en ces laqs pris avant que je
parte
, O Monarque des Dieux, je t’ay promis un Veau ; J
inst en tout à des cornes pareilles. Adieu voisin Grillon, dit-il, je
pars
d’icy ; Mes oreilles enfin seroient cornes aussi
ia ognuno, Che ’l compagno godesse un tanto bene, E consumasse quella
parte
, ch’esso, Se l’altro non ci fusse, havria per sua
volse l’huom : lasciossi porre E sella e briglia ; e nel condusse in
parte
, Ove fra poco spatio il Cervo altiero Da le fort’
font point d’honneur. Tout en parlant de la sorte, Un Limier le fait
partir
; Il tâche à se garentir ; Dans les forests il s’
TRA i folti rami d’una ombrosa quercia Sedea il Cucuglio nell’eccelsa
parte
, Et d’altri varii augelli in su la sera Ivi aduna
naissance, on ne saurait le garder : nus nous sommes venus, nus nous
partirons
.
si a morte giunta, L’ali allargando declinò lo sguardo Verso l’offesa
parte
, onde sapesse La ria cagion dell’improviso colpo.
e bien li enseignera cum la scale purra overir si ele al peissun pust
partir
. Puis li rova amunt voler tant haut cum plus purr
sei D’ogni alta dote, che d’honor sia degna, Sol de l’ingegno in ogni
parte
manchi. Colui, che in tua presenza assai t
altiero Me del numero far di quei non voglia, Che de la coda non han
parte
alcuna ? Così ne mostra l’animale astuto,
la corne d’un taureau. Après y être resté longtemps, comme il allait
partir
, il demanda au taureau s’il désirait qu’enfin il
suoi per giuoco diede. Tal che restando spennacchiato il Corvo, E in
parte
fuor de la sembianza prima, Se domandato era qual
Quello assalendo per salvar la vita A i proprii figli, e vendicar in
parte
De i loro alberghi la total ruina. Tal ch’ei traf
ri intorno Sorte non hebber di poter vederla, E per trovarla in altra
parte
andaro. Ella veduto esser homai sicura Da le mani
besoin de se rendre à la ville, il laissa ses moutons près du loup et
partit
. Le loup, pensant tenir l’occasion, se jeta sur l
care, Che l’intricar tra quelle frondi infeste. Talché come al
partir
da l’acque chiare PACELe gambe lo salvar da dura
o Al simulacro de la Dea Minerva, E del convivio suo chiamò cortese A
parte
un can, ch’era suo vecchio amico. Il qual mentr’e
] aies e la pel, si tu te puis des chiens garir ; kar jo ne quer rien
partir
. Sul me eüssez ore einz lessé, mes jo t’ai bien s
oi movi contesa Intender dei de la beltà più vera : La qual di quella
parte
esser s’intende, Che forma dona a l’animal vivent
ruina Quasi tutta la preda in un raccolse, Per farla del Leon debita
parte
; E presentolla a la superba fiera ; E poco più d
Giove D’ogni stagione, onde si volge l’anno. E sempre quello in buona
parte
prese, Che dal parer del suo consiglio venne.
l suo sospetto la cagion fallace. Ma poi ch’ei fu da quel condotto in
parte
, Ove scoperse l’importuna schiera De i piccioli a
tèrent terriblement. « Méchantes bêtes, leur dit-il, vous avez laissé
partir
impunément celui qui a volé vos rayons, et moi qu
rer. Comme cet ami l’appelait à prêter serment, pris d’inquiétude, il
partit
pour la campagne. Arrivé aux portes de la ville,
pour assurez.
S’il m’en restoit un seul j’adoucirois ma plainte.
Au
partir
de ce lieu qu’elle remplit de crainte,
La perf
unt aprés : « Sire », fet il, « jeo ne poi mes : u li queors me deüst
partir
, u jeo l’alasse descoverir. » — « U est la suriz
Et converrai crepar pria che tu giunga Di quella forma a la centesma
parte
. Però giù pon l’invidia ; ché non pate Invidia qu
par cette Fable, Ou plutost par la verité. L’Epoux d’une jeune beauté
Partoit
pour l’autre monde. A ses costez sa femme Lui cri
volo Specie d’augello esser provava, e mai Non essersi alcun Topo in
parte
alcuna Trovato adorno di sì nobil dono. La Donnol
peot lesser sun mauveis us ; dunc vodreit* a lui returner : de tutes
pars
veut meserrer, si honur en pert e sun aveir e rep
Signore Lasciarti veder nudo in questo modo ? Va’ dunque, e in altra
parte
ascondi e cela Il dorso nudo, e ’l tuo villano co
se in ciò prova maggiore ; Cessò lasciando a lui di questa impresa La
parte
, che a ragione a lui toccava. Allhora il S
Or le lièvre, confiant dans sa vitesse naturelle, ne se pressa pas de
partir
; il se coucha au bord de la route et s’endormit
, Quella d’argento appresso, e quella d’oro In don gli diede, e ’l fé
partir
contento. Ma raccontando un giorno il pover huomo
este raisun, quant fols prent sage a cumpainun, si nule rien deveient
partir
, le sage se set al meuz tenir, par parole l’autre
Mf 66 Mj 75. Un oiseleur, prenant avec lui de la glu et ses gluaux,
partit
pour la chasse. Ayant aperçu une grive sur un arb
es méchamment la guerre ! » Le loup reconnut sa véracité et la laissa
partir
. Cette fable montre que souvent la vérité a son e
que ce dessein fut sceu de l’Aloüette, C’est ce coup qu’il est bon de
partir
, mes enfans. Et les petits en mesme temps, Voleta
103 Mj 97. Le lion, l’âne et le renard, ayant lié société ensemble,
partirent
pour la chasse. Quand ils eurent pris du gibier e
nir prests pour son voyage d’Asie, où il estoit resolu d’aller, et de
partir
le lendemain. Ils firent donc tout aussi-tost le
insi repoussé, implora le secours de l’homme, qui luy montant dessus,
partit
aussi-tost, et assaillit rudement le Cerf. Le Vai
n abondance. Viens avec moi, je les mets tous à ta disposition. » Ils
partirent
aussitôt tous les deux. Le rat de maison fit voir
courir viste au logis, et d’y faire cuire un grain de lentille. Esope
partit
incontinent, et ne fût pas plustost arrivé en la
ροις φιλιάσωσιν, ἐκείνους προκρινοῦσιν. Codd. Pa 16 Pb 6 Pe 11 altera
pars
Pg 4. Un chevrier, ayant mené ses chèvres au pâ
ils devoient courre, ils prirent le Renard pour leur Juge. La Tortuë
partit
en mesme temps, et le Liévre luy laissa prendre t
, Che se là s’odia il rio, qua s’odia il giusto, E in altra
parte
e questo e quel si sdegna. Vario è ’l parer d’o
rappelant leurs conventions. Alors le chien : « Ô loup, dit-il, si à
partir
d’aujourd’hui tu me vois dormir devant la ferme,
de s’y en aller. Ce qui luy estant accordé, il prit congé de luy, et
partit
de Babylone, à condition neantmoins qu’il y retou
mées, qui dévorent les Provinces entieres des yeux et du desir, et au
partir
de là, leur Ambition n’aboutit qu’à un peu de fum
ine », Giornale Storico della Letteratura Italiana, vol. 59, 1912 : «
Parte
prima. Fonti », fasc. nº 175, p. 1‑46. Venturini
s ensemble moins ingenieux que luy. C’est pour cela mesme qu’il faict
partir
Ulysse tout seul, pour executer maintes entrepris
eniam confessus reus : Quanto innocenti justius debet dari ! Tuæ sunt
partes
; fuerunt aliorum prius ; Dein simili gyro venien
it aliquid interponere Dictorum sensus ut delectet varietas, Bonas in
partes
, Lector, accipias velim. Il est vrai que, dans l
venio, et Augusti libertum, vel libertinum potius, privatus hac etiam
parte
testabilem publicique juris facio ; tu illi adsis
primé le désir que le manuscrit ne sortît pas de son hôtel, et devant
partir
pour la campagne le 25 juin, je vins, dès le lend
il se terminait à la xxie , il ne commençait pas à la première, qu’il
partait
de la xie , dont il ne donnait pas même le premie
aquelle le manuscrit a été exposé, en a détruit beaucoup. Elle semble
être partie
du dos du volume, et s’être développée en rayonna
, bizarre le dernier vers ainsi conçu : Discerpsit dominum, et fecit
partes
facinoris. Il est pourtant aisé de comprendre qu
n-12 de 11 feuilles. Phædri fabularum Æsopiarum libri V, quales omni
parte
illustratos publicavit Joann. Gottlob. Sam. Schwa
ie dans la seconde. Vers 1029, entraîné par sa ferveur religieuse, il
partit
pour la Terre-Sainte où il mourut. Ses biographes
nsidérée aujourd’hui encore comme une source importante et, surtout à
partir
du temps de Charles Martel, fournit de précieux r
a Latina 291. Fol. lxii a. Versus Prisciani de signis cœli. Ad Boreæ
partes
arcti vertuntur et anguis. À cet opuscule il est
est. terciam pariem pollicis ungulæ. Crux in diade… na est lata duas
partes
pollicis, tercia remanente. Duo spacia diadematis
matis… ramum crucis supernum et dextrum et levum similiter habet duas
partes
pollicis habet in tribus ramis diadematis hinc et
ema foras de capillis usque ad rotunditatem non plus lata quam tercia
parte
pollicis. De naribus usque ud summitatem verticis
.) 7º A. Riese. — Anthologia latina, sive poesis latinæ supplementum.
Pars
prior : Carmina in codicibus scripta recensuit A.
ertaines limites que j’indiquerai plus loin, et que notamment il faut
partir
de cette idée qu’on ne connaît et qu’il n’existe
à une source plus ancienne319. » Tout cela est inexact : M. du Méril
est parti
de cette idée fausse que Phèdre était un poète gr
l’instruction d’un jeune et riche Hollandais, nommé Samuel Schatz, il
partit
de la Haye avec lui, resta une année à Paris, par
s mots qui annoncent le commencement de l’ouvrage lui-même : Incipit
pars
executiua. Au bas du recto du dernier feuillet o
xxxii. comprehensum ; præviis cujusque libri capitulis. Tit. « Prima
pars
Speculi… cujus primus liber continet tantum annot
e compose que de 13 lignes, se termine par celle-ci : Explicit scd’a
pars
speculi historialis vincētij. Le tome III renfe
Deuxième volume. À la fin se trouve cette phrase : Explicit Secunda.
Pars
. Specvli. Hi-||storialis. Vincencii. Impressa. Pe
quin periodus quoque finis Fauste nunc annotatur agente deo. In
partes
hunc sectum tres augustaque lector Impressa
ratia speciali con-||cessit ut nemo alius per decennium id quoad eius
partes
quattuor videlicet || Naturale doctrinale morale
us les critiques qui ont cherché à découvrir l’origine de ces fables,
sont partis
de cette idée qu’il avait existé un auteur nommé
tion antique, cette phrase empruntée à Cicéron : Redimunt se ex illa
parte
corporis propter quam maxime expetuntur , cette a
nensi versibus expressa : passim ad marginem scholia. Hujusce codicis
pars
decimo quarto, pars decimo quinto sæculo videtur
ssa : passim ad marginem scholia. Hujusce codicis pars decimo quarto,
pars
decimo quinto sæculo videtur exarata. Le manuscr
de consolatione philosophiæ (in fine mutilus). Prosperi epigrammatum
pars
ultima. Catonis carmina. Æsopi fabulæ versibus
dernier feuillet, savoir : 1º la fin de la fable De Cive et Milite, à
partir
du vers : Prædicitque minas frontis utrumque jub
itur primus, quia non sequitur secundus. Verumtamen diuiditur in duas
partes
, scilicet in prohemium et executionem. Incipit ex
ponitur autem liber iste philosophie morali, vel ethice, que est eius
pars
, per quam gubernamus nos et amicos nostros, ut in
vrages mentionnés en ces termes par M. Palermo : 1º Volgarizzamento,
parte
intero e parte abbreviato, della somma di Frate L
és en ces termes par M. Palermo : 1º Volgarizzamento, parte intero e
parte
abbreviato, della somma di Frate Lorenzo Gallo, a
tique ainsi conçu : Ingluvie cogente, Lupus, dum devorat ossa,
Pars
ossis fracti faucibus hæsit ei. On voit par cet
ssianus 46 le format in-8º. C’est un volume in-4º, dont les feuillets
sont partie
en parchemin et partie en papier et dont l’écritu
s. M. G. Paris509 n’a pas jugé ce compte exact. Pour le rectifier, il
est parti
de cette idée que la collection de 22 fables et c
e M. Oesterley542 le constate lui-même, n’ont guère été employés qu’à
partir
du xiiie siècle. C’est ainsi, par exemple, que M
de Trèves. Ce manuscrit forme un volume in-4º, dont les feuillets
sont partie
en papier, partie en parchemin et dont l’écriture
judicio. Romulus primitif. Néant. Romulus de Nilant. Mihi prima
pars
contingit, quia rex sum. Dérivé rythmique. Mihi
tome I, p. 28.) 91. Phædri Fabularum Æsopiarum libri V, quales omni
parte
illustratos publicavit Joan. Gottlob. Sam. Schwab
nt-Cassin. 291. Anthologia latina, sive poesis latinæ supplementum.
Pars
prior : carmina in codicibus scripta recensuit Al
emière édition des Fabulistes latins, t. I, p. 707. 484. Voyez t. I,
pars
altera, p. 96, 1re col., nº 273. 485. Archiv der
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