jetta la viande. Ainsi le Ventre ne peut perir, que toutes les autres
parties
du Corps ne perissent, et tel fut l’effect de l’e
t toute ceste Fable, et leur fit voir par l’exemple du ventre, et des
parties
du corps humain, la mutuelle dépendance qu’a le S
départent la chaleur qui opere et distribuë le bon suc par toutes les
parties
de la Cité ; Eux, dis-je, pour qui vous travaille
plus pour vous-mesme. Ne vueillez donc pas, mes amis, affoiblir ceste
partie
de telle sorte, par vos factieuses mutineries, qu
1 Ph 73 Mb 99 Me 104 Mf 88 Mj 98 Ca 99. Le lion et l’âne, ayant lié
partie
ensemble, étaient sortis pour chasser. Étant arri
braire pour les faire fuir. Quand le lion en eut pris la plus grande
partie
, l’âne sortit et lui demanda s’il n’avait pas bra
chemin, l’ânier s’apercevant que l’âne n’en pouvait plus, lui ôta une
partie
de sa charge et la mit et la mit sur le mulet. Qu
t de chemin, voyant l’âne encore plus épuisé, il lui retira une autre
partie
de sa charge, et enfin prenant le reste, il l’ôta
e le ferait qu’à une condition, c’est que le cheval lui donnerait une
partie
des années qui lui étaient départies. Le cheval e
onnait un certain nombre de ses propres années ; le bœuf en donna une
partie
et fut admis. Enfin le chien mourant de froid vin
admis. Enfin le chien mourant de froid vint aussi, et, en cédant une
partie
du temps qu’il avait à vivre, il obtint un abri.
63 Ch 63. Le castor est un quadrupède qui vit dans les étangs. Ses
parties
honteuses servent, dit-on, à guérir certaines mal
se conserver intact ; mais quand il se voit en prise, il se coupe les
parties
, les jette, et sauve ainsi sa vie. Parmi les homm
Devant le Singe il fut plaidé, Non point par Avocats, mais par chaque
Partie
. Themis n’avoit point travaillé, De memoire de Si
eur a fait tant d’honneur que de les appeller ses membres. Que si les
parties
de nostre corps veillent à la conservation de leu
va au devant du coup, pour parer la teste ; si la chair environne les
parties
nobles ; si la crane couvre le cerveau, bref si l
n, et Juste. Que ceux-là donc n’estiment pas avoir à faire de foibles
parties
, qui font gloire d’opprimer les petits, ou mesme
’occasion, se jeta sur le troupeau et en mit en pièces la plus grande
partie
. Quand le berger revint et vit son troupeau perdu
li chiens dist. Savez pur quei chescun le fist ? Qu’il en atendeient
partie
, se la berbiz perdist la vie. Li jugere dunc dema
e principal advantage. Car il s’empara par ce moyen de la plus grande
partie
de la Grece, pendant que ces Republiques mal-advi
de venir aux modernes, et dire que la puissance du Turc en toutes les
parties
du monde, et particulierement en Europe, ne vient
t du Renard. Le Singe voulant persuader au Renard de luy donner une
partie
de sa queuë, pour en couvrir son derriere, luy fi
cet art passoit leur sçavoir :
Et la Guespe adjugea le miel à leurs
parties
:
Plust à Dieu qu’on reglast ainsi tous les proc
ne apostume sous le pied. Mon fils, dit le Docteur, il n’est point de
partie
Susceptible de tant de maux. J’ay l’honneur de se
ement refusa de lui ajouter des cornes, mais encore lui retrancha une
partie
de ses oreilles. Ainsi beaucoup de gens qui, par
l’altre part pur le gu[a]ain pur ceo qu’il le terz cumpain ;] l’autre
partie
avera, ceo dist, raisun estait, kar il l’ocist ;
qui consiste en l’agréement du teinct, et en la juste proportion des
parties
. Il y en a une autre bien plus excellente, et plu
omme nous, qui dépend tout de mesme que la nostre, de la justesse des
parties
. Voylà quant au premier avantage que la beauté de
rtait pour chasser et prenait quelque gibier, le maître en jetait une
partie
à l’autre chien aussi. Le chien de chasse méconte
rtiruns nostre aveir ! N’os el siecle plus remaneir ; od tute la meie
partie
me metrai en une abeïe. » Li vileins l’ot, merci
ur frappe quelquesfois des personnes si fort inégales en toutes leurs
parties
, que si on leur vouloit choisir des ennemis, l’on
perience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde
partie
de mon Discours, qui est la transformation que no
lement qu’elle seroit à demy femme. Venons maintenant à la troisiesme
partie
de nostre Discours, à sçavoir que la condition ne
oint de couler, l’homme qui était à la poupe demanda au pilote quelle
partie
du navire devait sombrer la première. « La proue,
ur ma vie : Et quand ? et dés demain, sans tarder plus long-temps. La
partie
ainsi faite, il vient avec ses gens : Çà déjeunon
e, comme on peut croire, N’avoit pas vû le glouton. Dés qu’il la voit
partie
, il contrefait son ton ; Et d’une voix papelarde
fin donc de persuader ceste verité, je commenceray par la moins noble
partie
, et prouveray, si je puis, que la seule force de
taille ; Et c’est d’où procede ceste agitation generale de toutes les
parties
, qui produit une lassitude continuelle, et un fra
de Pieté, a mis à fin tant de hautes entreprises. Ne doit-il pas une
partie
de ses beaux faits à la vigueur qu’il s’est acqui
necessité des redites. Il vaut mieux venir à la preuve de la seconde
partie
de mon Allegorie, qui est, que les enfans le moin
s, ne chastierent-ils pas l’orgueil de Rome, en démembrant toutes les
parties
de ce grand Empire ? Et derechef, les Sarrasins n
que par sa lumiere, et son mouvement, elle gouverne, et fait agir la
partie
d’en haut. Mais à l’esgard de ce qu’elle vivifie
Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton nous pouvons entendre la
partie
Divine, la Contemplative, l’Œconomique, et la Ter
tousjours l’œil au guet, et tournent incessamment la chose en la pire
partie
. Or ne devons-nous pas croire, que le sens et l’e
ont, à n’en point mentir, fâcheuses à supporter. Dequoy sont cause en
partie
les animositez qu’ils suscitent à l’encontre d’eu
es Poissons mesme se rendirent sur le bord de l’eau, pour estre de la
partie
. Le Singe y vint le dernier, et d’aussi loing qu’
re, et une infinité d’autres. Au contraire, pour revenir à la seconde
partie
de la Fable, le Renard dés qu’il s’est enflé le v
leur parfaicte union. Mais tous ces exemples ne sont que la centiesme
partie
de ceux que l’on pourroit alleguer pour preuve de
a Divinité, le Chef-d’œuvre le plus accomply de tous, et la meilleure
partie
de nous-mesmes. C’est pareillement une qualité fo
la meilleure part, vous n’estimez les personnes que par la plus noble
partie
d’elles mesmes. Aussi avez-vous, comme luy, la sc
ficulté de l’estendre sur le quarreau, sous pretexte d’avoir fait une
partie
contre la vie de son Seigneur, ou de son voisin ;
lquesfois jusques là, qu’ils prennent l’occasion de faire mourir leur
partie
dans les amoureux accouplements. Il se trouve mes
aire que meschante : Vous estes interessez, il est libre : Vous estes
parties
, il est Juge. D’ailleurs, la Vengeance n’est pas
tu ? Je laisse à part la malice des Calomniateurs, les brigues et les
parties
qui se font, pour estouffer les belles actions, l
ient en route, l’âne, pendant le trajet, dit au cheval : « Prends une
partie
de ma charge, si tu tiens à ma vie. » Le cheval f
firent un grand bruict. Esope cognoissant bien par là que c’étoit une
partie
qu’ils luy jouoient meschamment, affin de le perd
ifie en la personne d’Aristote et de Platon, qui passerent une grande
partie
de leur âge sans vouloir devenir riches, et n’y c
ne puis m’excuser d’avoir fait plusieurs redictes, en rapportant une
partie
des Histoires que j’avois déduites cy-devant. Mai
t, comme c’est leur coustume, de posseder aujourd’huy les plus belles
parties
de l’Europe, sans mettre en compte la domination
aistre, ou aux Fanfarons, qui ne mettent point en effect la centiesme
partie
de leurs menaces ; mais qui tremblent à la veuë d
rite du corps, mais qu’au contraire, elle estoit deuë aux excellentes
parties
de l’ame.
us les interests mondains, demande plustost d’en estre spectateur que
partie
; comme l’estoient anciennement un Anacarsis, un
, et en grandeur de courage, et en force de jugement. Cela procede en
partie
de ce que son cerveau est plus propre à raisonner
rends embrasse un vaste champ de recherches, qui n’a encore été qu’en
partie
exploré. Lorsque je l’ai commencée, je me proposa
billons et avec Schwabe que Linus et Orphée avaient pu naître dans la
partie
de la Thrace restée en dehors de la Macédoine. Ma
ieusement, il cite cette phrase empruntée à l’épilogue de la première
partie
du livre IV : Olim senio
scrits, que c’est bien au moyen âge que les livres IV et V ont été en
partie
perdus. En somme, ce qui résulte des propres décl
riche et lettré. Aussi ne se borne-t-il pas à lui dédier la première
partie
de son livre IV, et, quand, après avoir renoncé à
rire, il reprend la plume et ajoute à son quatrième livre une seconde
partie
, est-ce encore à lui qu’il la consacre. J’arrive
is le commencement de son premier livre jusqu’à la fin de la première
partie
du IVe, les sujets de ses fables sont presque tou
rouve dans les fables v du livre II, x du livre III, v de la première
partie
du livre IV, vi de la deuxième partie du même liv
du livre III, v de la première partie du livre IV, vi de la deuxième
partie
du même livre, ii du livre V, xv et xvi de l’appe
ans les fables viii, ix et xi du livre III, xi et xxii de la première
partie
du livre IV, x et xxvii de l’appendice. Souvent a
s fables xvii du livre III, xii, xiv, xv, xviii et xxv de la première
partie
du livre IV et v de l’appendice. Ce défaut comple
ille, nostra perfecit manus. C’est seulement à partir de la deuxième
partie
de son livre IV, qu’il commence à être original.
r son affirmation ; car il reste si peu de chose, soit de la deuxième
partie
du livre IV, soit du livre V, qu’il est impossibl
qu’il est impossible de savoir si Ésope n’en avait pas encore fait en
partie
les frais. Ce qui s’y révèle clairement, c’est la
otes, où il met en scène Ménandre et le tyran Démétrius (livre IV, 2e
partie
, fable ii), deux Soldats et un Voleur (livre IV,
vre IV, 2e partie, fable ii), deux Soldats et un Voleur (livre IV, 2e
partie
, fable iii), un Bouffon et un Paysan (livre IV, 2
ivre IV, 2e partie, fable iii), un Bouffon et un Paysan (livre IV, 2e
partie
, fable vi), un Joueur de flûte nommé Leprince (li
le iii) ? Or, comme en dehors de ces poèmes anecdotiques, la deuxième
partie
du livre IV et le livre V ne renferment que deux
oniam solemnis mihi debetur gloria. Dans le poème vii de la première
partie
du livre IV où il se plaint de la critique, il tr
est, qui stultitia nauseant. Enfin, dans le prologue de la deuxième
partie
du livre IV, il se console, en pendant que, s’il
: Narratione posteris tradam brevi67. Dans la fable vii la première
partie
du livre IV, il ne demande au lecteur qu’un peu d
a fait perdre à cet exemplaire, comme à celui de Rigault, une grande
partie
de son importance scientifique. J’ai voulu savoir
ar François Pithou, ainsi que nous l’avons vu, avait légué une grande
partie
de ses biens au collège de Troyes, et, si l’on se
utationes du Père Desbillons : « MM. Le Pelletier (sic) ont hérité en
partie
des savants Pithou, dont ils étaient les parents
reversus titubanti pede. M. Berger de Xivrey, sachant combien cette
partie
du manuscrit avait donné de peine aux savants, l’
qui très probablement était déchiré d’assez près pour n’offrir qu’une
partie
de la marge sans aucune lettre. Je suis même port
rs qui ont imité les récits d’Ésope, s’exprime ainsi : « Phèdre d’une
partie
a formé cinq livres. » Pithou, guidé par ce rens
du manuscrit : on aurait vu que le quatrième livre se divise en deux
parties
bien nettement séparées. Après avoir écrit la pre
e le tenir, il reprend la plume, et ajoute à son livre IV une seconde
partie
, que, comme la première, il dédie à Particulon. D
u ont pu, terminant le quatrième livre par le prologue de la deuxième
partie
, attribuer au cinquième livre des fables et un ép
uième livre des fables et un épilogue qui appartenaient à la deuxième
partie
du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se te
du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se termine cette deuxième
partie
. Remarquant à la fin de la fable Demetrius rex et
dérable, j’avais d’abord supposé qu’elle embrassait toute la deuxième
partie
du quatrième livre moins cette fable encore incom
crit ne laisse pas même place aux conjectures : la fin de la deuxième
partie
du quatrième livre s’y trouve nettement indiquée
lis atque mensis hunc librum scripsimus.” » En reproduisant ainsi en
partie
la notice de Dom Vincent, je me suis permis une d
our être sincère, j’avoue tout de suite que j’éprouve à remplir cette
partie
de ma tâche une satisfaction toute particulière.
C’est alors qu’il acquit, moyennant quarante mille livres, une grande
partie
de la bibliothèque de Paul Petau et par suite le
s’en trouvait un, non pas de toutes les fables de Phèdre, mais d’une
partie
du premier livre, un tiers, selon le P. Desbillon
, dit-il, n’est réellement qu’un fragment ; car il ne contient qu’une
partie
du premier livre et des variantes depuis la premi
Daniel, arrivée en 1603, ses livres, mis en vente, furent achetés en
partie
par Paul Petau et en partie par Bongars. On sait
s livres, mis en vente, furent achetés en partie par Paul Petau et en
partie
par Bongars. On sait aussi comment ceux acquis pa
nfredonia, petit port situé sur les bords de l’Adriatique, dans cette
partie
de la Pouille qu’on nomme la Capitanate, et au pi
pas résisté au temps, et les lettres qu’elle avait servi à tracer, en
partie
avaient verdi, et, en partie disparues, s’étaient
lettres qu’elle avait servi à tracer, en partie avaient verdi, et, en
partie
disparues, s’étaient si bien évanouies qu’il étai
montrer comment Jannelli y fustige son rival, je vais en extraire une
partie
. « Notre travail sur le manuscrit de Perotti, di
ce et la vie de Phèdre en latin qui en occupent 16, se divise en deux
parties
: la première, contenant le texte des fables nouv
ais, à exécuter entièrement ma copie. Le manuscrit se compose de deux
parties
bien distinctes reliées ensemble. La première con
s quatre derniers feuillets du cahier sont restés blancs. La deuxième
partie
du manuscrit comprend soixante-quatorze feuillets
divitiis et paupertate ad Andream Contrarium Venetum , comprend deux
parties
distinctes, un préambule composé par Perotti, qui
s. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle, la seconde
partie
du manuscrit à la suite de la première. Il est pr
manuscrit du Vatican a fait perdre aux travaux de Jannelli une grande
partie
de leur intérêt ; mais il n’en a pas moins droit
Chapitre III. Authenticité des fables de Phèdre. J’arrive à la
partie
la plus aride de ma tâche, à la question de l’aut
discuter à mon tour. Dans cette discussion une division s’impose : la
partie
des fables de Phèdre qui a été d’abord publiée pa
ui écrivait-il207, a fait connaître qu’il était né en Thrace, dans la
partie
de ce pays voisine de la Grèce ; ses livres ne do
ment écrites en vers ïambiques, et que cette traduction, ayant été en
partie
reproduite par Vincent de Beauvais, ne saurait êt
sopique 241 qu’il a, en la motivant, indiqué son opinion. Il admet en
partie
ce que les discussions antérieures avaient démont
a pas non plus, comme le prétend Christ, développé en cinq livres une
partie
de son œuvre. « Resolvere, dit-il, ne peut évidem
quelle sont formulés les principaux arguments. Elle se divise en deux
parties
. Dans la première est traitée la thèse suivante :
t, comme il l’a employée, sinon tout entière, au moins en très grande
partie
, il faut en conclure que toutes ses compositions
eté le dernier vers de la première fable, qui, à la fois altéré et en
partie
illisible dans le manuscrit, avait été par Jannel
quelque chose du livre II, ce qui en est resté n’en est qu’une faible
partie
. La fable v de ce livre porte pour titre ces mots
mita feci viam, Et cogitavi plura quam reliquerat ? Dans la première
partie
du livre IV, les huit premiers vers de la fable L
une évidente, dont les proportions seules sont inconnues. La deuxième
partie
du livre IV est encore plus incomplète. Ainsi que
conçu : Quum destinassem terminum operi statuere. De cette seconde
partie
nous ne possédons, outre ce prologue, que le préa
que le préambule d’une fable disparue, intitulée : Idem poeta , une
partie
de la fable Demetrius rex et Menander poeta, une
m poeta , une partie de la fable Demetrius rex et Menander poeta, une
partie
de la fable Viatores et Latro, les trois qui suiv
qu’il est impossible de connaître exactement ; mais, comme la seconde
partie
du livre IV devait, par ses dimensions, être à l’
s court que les autres, nous n’en possédons encore qu’une très faible
partie
. La conclusion, c’est que, pour attribuer à Phèdr
5). In-12 de 144 pages, contenant les fables anciennes de Phèdre, une
partie
des nouvelles et les Publii Syri et aliorum veter
vola di Fedro (pages 7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une
partie
des fables anciennes (pages 97 à 138). Sectio
Traduction en vers français par M. C. Macaigne, professeur. Première
partie
: livres I et II. Château-Thierry, Renaud. In-16
est un volume formé de pièces très diverses reliées ensemble, est en
partie
de la fin du xe siècle et en partie du commencem
iverses reliées ensemble, est en partie de la fin du xe siècle et en
partie
du commencement du xie . Car je l’ai vu et j’ai e
nes, dans lesquels ne se trouvaient pas les fables ésopiques. Mais la
partie
qu’il avait conservée ayant ensuite été réclamée,
encore290. La page se termine par quelques maximes des sept Sages, en
partie
formulées en langue grecque. Fol. v a. — Incipiun
r et donnent une base certaine pour apprécier quelles sont les autres
parties
du manuscrit également écrites par lui. Il y a ré
éfectuosité, que l’étude, faite par de nombreux philologues, de cette
partie
du manuscrit. Au contact de leurs doigts le parch
u là. Arrivé à la fin de la fable Vulpes et Corvus, c’est-à-dire à la
partie
qui en avait été le plus altérée, c’était encore
m esse genera credenda , etc. Tross ajoute qu’entre ce prologue et la
partie
de l’ouvrage que M. Berger de Xivrey a prise à to
tait alors d’un âge assez avancé pour avoir déjà pu former une grande
partie
de sa bibliothèque. Mais de qui Tenison tenait-il
e xiie siècle un écrivain, nommé Romulus, qui avait mis en prose une
partie
des fables de Phèdre. C’est ainsi que cette idée
ées du type primitif, mais encore à celles dont les fables ont été en
partie
puisées à d’autres sources. Je pourrais citer com
été appliqué, au moins d’une de celles qui en sont en totalité ou en
partie
l’imitation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il
t disparaître le Prologue qui les précédait, en a reporté la première
partie
en tête de l’Épilogue, en a fait entrer la second
te source unique ; cela est démontré non seulement par la plus grande
partie
des sujets traités et par leur texte, mais encore
coup plus considérables que les deux premiers, je l’ai divisé en cinq
parties
affectées chacune à un dérivé spécial et à ses so
et à ses sous-dérivés, La cinquième, au Romulus de Berne. Première
partie
. Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chap
mprend 146 feuillets en parchemin et dont l’écriture m’a paru être en
partie
du xvie siècle et en partie du xve . Les quatre
emin et dont l’écriture m’a paru être en partie du xvie siècle et en
partie
du xve . Les quatre premiers feuillets seraient t
Jean Zeiner à Ulm. » Tel est l’avis qui marque la fin de la première
partie
de l’édition ; car on peut considérer comme forma
artie de l’édition ; car on peut considérer comme formant une seconde
partie
indépendante de la première un opuscule intitulé
au British Museum que se trouve l’exemplaire sur lequel j’ai fait en
partie
les remarques qui précèdent. Il n’est pas inscrit
vrage qui forme un petit in-folio de 203 feuillets, se divise en deux
parties
bien distinctes : la première, qui occupe les 124
est exclusivement réservée aux compositions de l’éditeur. La première
partie
n’est pas paginée, mais porte des signatures de a
ralement au nombre de deux et quelquefois plus nombreux. La deuxième
partie
, séparée de la première par un feuillet blanc, co
les, anecdotes, moralités ou récits, composés toujours d’une première
partie
en vers élégiaques et d’une seconde en prose. En
nt les titres des opuscules de Sébastien Brant qui forment la seconde
partie
de l’édition de Bâle. La fin en est, au feuillet
mais qui malheureusement est incomplet et ne contient que la seconde
partie
du volume ; 2º À la bibliothèque de l’Arsenal, so
hèque publique de La Haye, un exemplaire mutilé qui, dans la deuxième
partie
du catalogue imprimé des incunables, porte le nº
ous le nº 333, forme un volume in-folio de 170 feuillets numérotés en
partie
et ornés de gravures sur bois. En voici l’analyse
ures, la première de a à s, la seconde de a à l. Il se divise en deux
parties
. La première partie se compose de 114 feuillets,
à s, la seconde de a à l. Il se divise en deux parties. La première
partie
se compose de 114 feuillets, dont les six premier
. — Commencement de la seconde table, divisée comme l’ouvrage en deux
parties
. Voici le contenu des feuillets numérotés : Fol.
zu | underwyszung gut-|ter sitten : Zelamē | geordnet. La deuxième
partie
du volume se compose de 68 feuillets portant les
serer. Le volume, qui est un in-4º de petit format, se divise en deux
parties
, l’une renfermant le texte allemand des fables co
ttérale : « Ici finissent les fables réunies. — Ici suit une deuxième
partie
de fables belles et agréables, d’exemples et d’hi
ent les matières sont distribuées dans le volume : Fol. 2 a à 30 a. —
Partie
préliminaire comprenant la vie d’Ésope. Fol. 30 b
ition de sir Roger L’Estrange, dont le frontispice, semblable dans sa
partie
supérieure à ceux des éditions précédentes se com
de La Haye un exemplaire, qui figure sous le nº 593 dans la première
partie
du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l
i pourrait s’appeler l’Encyclopédie du xiiie siècle, comprend quatre
parties
intitulées, la première : Speculum historiale, la
41. Elles sont au nombre de 29. Elles sont précédées seulement de la
partie
ainsi conçue de leur préambule : De ciuitate Atti
Miroir a été copié sur celui du premier qu’il ne reproduit même qu’en
partie
et que je dois publier avec le Romulus lui-même.
Il est imprimé en lettres rondes tirant sur le gothique. La première
partie
se compose des 18 premiers livres et occupe 318 f
llets renferment : le prologue et la table des chapitres. La deuxième
partie
se compose des livres XIX à XXXIII et occupe 327
elles sont-elles originales. Les quinze fables qui forment la seconde
partie
de la collection du Romulus de Munich, ont été pr
huit qui dans l’édition d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première
partie
), 9 (deuxième partie), 10 et 14, ont été insérées
on d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première partie), 9 (deuxième
partie
), 10 et 14, ont été insérées par lui, avec une au
rai un volume spécial. Quant à présent, je me restreins à la première
partie
de la collection. Comme le Romulus d’Oxford que j
lus de Munich et même avec les fables d’Eude, qui, quoique la seconde
partie
de la collection leur ait été spécialement affect
vais donner la liste des quarante-huit fables qui forment la première
partie
de la collection et indiquer en même temps leur c
pour ainsi dire, autant de créations nouvelles. Ensuite, dérivées en
partie
du Romulus de Munich, elles permettent, vu l’âge
eur, le porte, pour lui échapper, à faire lui-même le sacrifice de la
partie
la plus estimée de son corps, il cite, à l’appui
est du format in-4º. Il se compose de 134 feuillets, dont la première
partie
est en papier et la deuxième en parchemin. Les fa
tent pas de titre ; au nombre de soixante, elles occupent la première
partie
du manuscrit et s’arrêtent au quart du verso du q
ordinaires ; elles portent 61 numéros à cause de la division en deux
parties
de la fable des Grenouilles qui demandent un roi.
comprend deux séries de fables ; le volume se divise en effet en deux
parties
: la première contenant les fables de Walther ; l
a liste complète de celles que le manuscrit contient dans sa première
partie
, et à cet effet transcrire ici dans leur ordre le
it sa Vache et el la commendoit chascun iour a un saint. La première
partie
du manuscrit consacrée aux fables de Walther se t
qu’em mainte gent Ne soient aucun bel et gent. Je passe à la seconde
partie
du manuscrit. Elle s’étend du feuillet 89 a au fe
être complète. Elle ne contient que 19 fables. Comme dans la première
partie
du manuscrit, chaque fable latine est précédée d’
faiste Que i’aie fait tout de ma teste ; Mes en ai trouué plus grant
partie
De compilé, se Diex m’aye, Et du francois et du l
ui forment la troisième série, ne sont, comme on le sait déjà, qu’une
partie
de l’œuvre de Marie de France. Le copiste, pour d
fable des Grenouilles qui demandent un roi ayant été divisée en deux
parties
, il devrait en exister soixante et une ; mais tro
qui y ont été faites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en
partie
blancs, contiennent diverses pièces que le Catalo
du xiiie siècle ou du commencement du xive . Le titre et la première
partie
de chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ;
et placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne contenait qu’une
partie
de la fable lviii, et cependant rien n’indiquait
ain d’un copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manuscrit 4409. Une
partie
seulement des fables de Walther se rencontre dans
9 a été donnée dans la bibliothèque de Munich, forme un volume in-4º,
partie
en parchemin et partie en papier, qui se compose
bibliothèque de Munich, forme un volume in-4º, partie en parchemin et
partie
en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits
que 133 anciens, augmentés de deux neufs laissés blancs. La première
partie
du manuscrit comprend 63 fables sous 64 numéros à
rit comprend 63 fables sous 64 numéros à cause de la division en deux
parties
de la fable des Grenouilles qui demandent un roi.
en vers français. Ce sont les mêmes que celles qui forment la seconde
partie
du manuscrit 1594 de la Bibliothèque nationale. A
le nº 128, est un volume in-4º qui ne se compose que de 20 feuillets,
partie
en parchemin et partie en papier. Il ne renferme
e in-4º qui ne se compose que de 20 feuillets, partie en parchemin et
partie
en papier. Il ne renferme pas d’autre ouvrage que
llets en parchemin et dont l’écriture est du xve siècle. La première
partie
du manuscrit est consacrée à une œuvre bucolique
s et qui devaient eux-mêmes porter les nos 187 et 188 et contenir une
partie
des quarante et une premières fables. Car l’ouvra
ntièrement détruits, mais encore le relieur a mis du désordre dans la
partie
sauvée. Il s’ensuit que les 13e et 14e feuillets
quinus (sic) superbus regnabat apud romanos. » Les fables, ornées en
partie
de titres en lettres dorées, sont en outre accomp
aractères gothiques, à Cologne par Quentel. Le volume est signé et en
partie
chiffré. — Esopus moralizatus cum bono commento.
mplaire sous la cote D. D. VII. 12 ; il fait, avec d’autres imprimés,
partie
d’un volume in-4º petit format, dont la reliure à
précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose placée,
partie
en tête de chacune d’elles, partie en interligne
, accompagnées d’une glose placée, partie en tête de chacune d’elles,
partie
en interligne et ornées chacune d’une gravure occ
Elegiaco metro recens || concinnatæ. De ce titre général la première
partie
est au-dessus et la deuxième au-dessous d’une gra
clair que, si elle est incomplète, c’est, non parce qu’elle a été en
partie
perdue, mais parce que le paraphraste n’a pas ou
s : je veux parler des fables du vieux et fameux poète Boner, qui, en
partie
du moins, semblent avoir été la paraphrase allema
tôt une paraphrase qu’une traduction, divisée en général en plusieurs
parties
intitulées : 1º Imago, ou Apologus ; 2º Tropologi
cs placés, l’un au commencement et l’autre à la fin de cette première
partie
du volume, puis 13 premiers de 8 feuillets, 2 de
a première fable. Puis vient la paraphrase italienne, divisée en cinq
parties
intitulées : 1º Imago, 2º Tropologia, 3º Allegori
es elles-mêmes de leur paraphrase italienne divisée en quatre ou cinq
parties
. Comme dans l’édition originale, dont celle de 14
la dernière, fait l’objet d’une paraphrase spéciale divisée en trois
parties
intitulées : 1º Conclusio allegorica, 2º Confirma
abbé de leur maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande
partie
de ses ouvrages. Le nombre en est extraordinaire
e double distique, et j’en avais conclu qu’elles étaient, au moins en
partie
, le produit de la combinaison de deux éléments di
nent aux deux collections le même nombre de pièces. Deuxième
partie
. Romulus de Vienne et ses dérivés. Chapitre
unt. On le voit, la moralité dans le manuscrit 901 se divise en deux
parties
, l’une et l’autre très différentes du texte du ma
omparatif des trois manuscrits de Vienne et de Berlin. Troisième
partie
. Romulus de Florence. Section I. Observation
avoir si le texte du manuscrit de Florence n’était pas dans certaines
parties
plus rapproché de Phèdre que le Romulus ordinaire
nt au livre I. Or, dans le manuscrit de Florence, elle fait également
partie
de ce livre I, dont elle est la treizième. S’il n
nitentie… Fol. 42 vº. De vita et moribus clericorum… Quatrième
partie
. Romulus de Nilant et ses dérivés directs et indi
C’est un volume in-4º, dont les feuillets sont partie en parchemin et
partie
en papier et dont l’écriture très fine, à deux co
Vossius ne s’était pas contenté d’acheter pour la reine de Suède une
partie
de sa bibliothèque et qu’il avait acquis pour lui
de Nilant et qu’il se pourrait que ce dernier qui ne renferme qu’une
partie
de son contenu en fût au contraire dérivé. Il fau
ce. Pour procéder méthodiquement, je diviserai cette section en trois
parties
consacrées, la première à sa biographie, la deuxi
ans le manuscrit 14971 portent les nos 65 et 81, ne sont que les deux
parties
souvent séparées de la fable du Prêtre et du Loup
: Explicit de Ysopes. Leur nombre, à cause de la division en deux
parties
de la fable du Prêtre et du Loup, paraît être de
insi conçue : .I. autre seur sa fame , et a détruit en même temps la
partie
de la miniature qui représentait un homme et une
re dont il ne reste que ces mots : De l’ourse cui le verpil… , et la
partie
de la miniature qui représentait le renard sailli
raduction de la seconde : « Selon toute probabilité, la plus ancienne
partie
de ce volume a été écrite à l’abbaye de Reading v
ranscription, soit que les feuillets du manuscrit primitif eussent en
partie
disparu, le Romulus Roberti n’était qu’un fragmen
lisant le prologue, on s’aperçoit qu’il est absolument conforme à la
partie
préliminaire de ces gloses, qu’on trouve à la foi
crit forme un volume in-4º, dont les feuillets sont partie en papier,
partie
en parchemin et dont l’écriture est du xve siècl
ones diversi. Praeterea insunt Aesopi et Aniani fabulae. La dernière
partie
du manuscrit est occupée par deux collections de
CC. XLII. Le volume est un in-12 de xxvi-256 pages. Cinquième
partie
. Romulus de Berne. Section I. Examen du Romu
e Ier, Fab. ii, v. 5. 34. Livre III, Prol., v. 52. 35. Livre IV, 2e
partie
, Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37. Livre IV,
re IV, 2e partie, Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37. Livre IV, 2e
partie
, Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e
Livre IV, 2e partie, Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e
partie
, Fab. ii. 39. Livre IV, 1re partie, Fab. xxii.
ivre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 39. Livre IV, 1re
partie
, Fab. xxii. 40. Eodem loco. 41. Appendice, Fab.
s, MDCCLXXXIII. (Voyez la préface, p. xi.) 65. Phèdre, livre IV, 2e
partie
, épilogue. 66. Phèdre, livre III, fable xvii ;
partie, épilogue. 66. Phèdre, livre III, fable xvii ; livre IV, 1re
partie
, fable ii ; livre IV, 2e partie, fable i. 67. P
livre III, fable xvii ; livre IV, 1re partie, fable ii ; livre IV, 2e
partie
, fable i. 67. Phèdre, livre IV, 1re partie, fab
fable ii ; livre IV, 2e partie, fable i. 67. Phèdre, livre IV, 1re
partie
, fable v. 68. Adry (Jean-Félicissime), né, en 17
aits de la Bibliothèque nationale, an XII, in-4º. (Voyez tome VII, 2e
partie
, p. 264.) 123. « Alexander papa VII. Carissime
re mis en doute ; car cinquante-trois manuscrits, qui contiennent une
partie
ou la totalité de ses ouvrages et qui sont parven
. Dictionnaire historique et critique, par M. Bayle. Tome I, seconde
partie
. C.-G. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII.
Thomas, Gulielmus Meyer. Monachii, 1868-1881, in-8º. (Voyez t. I, 3e
partie
.) 395. C’est par erreur que, dans ma première éd
retenir sur la suffisance d’Esope, et voulut que luy-mesme fust de la
partie
, en un festin où il les avoit invitez. Comme ils
se est plus ruyneuse au corps, que la mediocrité. Quant à la derniere
partie
de ceste proposition, à sçavoir que l’Opulence es
Ceux qui se picquent d’estre sçavants en amour, mettent la meilleure
partie
de la felicité d’un Amant, à donner du plaisir à
la Conjecture, par la Vertu qu’il a de deliberer, et par mille autres
parties
, dont les Animaux sont entierement dépourveus. Il
lysse sur tous les autres Heros des Grecs, qui neantmoins estoient en
partie
plus Vaillants, mais tous ensemble moins ingenieu
sme et transporter icy des volumes entiers, pour ne faire voir qu’une
partie
des Perfidies que l’Avarice nous cause. Mais nost
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