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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
jetta la viande. Ainsi le Ventre ne peut perir, que toutes les autres parties du Corps ne perissent, et tel fut l’effect de l’e
t toute ceste Fable, et leur fit voir par l’exemple du ventre, et des parties du corps humain, la mutuelle dépendance qu’a le S
départent la chaleur qui opere et distribuë le bon suc par toutes les parties de la Cité ; Eux, dis-je, pour qui vous travaille
plus pour vous-mesme. Ne vueillez donc pas, mes amis, affoiblir ceste partie de telle sorte, par vos factieuses mutineries, qu
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 209 » p. 151
1 Ph 73 Mb 99 Me 104 Mf 88 Mj 98 Ca 99. Le lion et l’âne, ayant lié partie ensemble, étaient sortis pour chasser. Étant arri
braire pour les faire fuir. Quand le lion en eut pris la plus grande partie , l’âne sortit et lui demanda s’il n’avait pas bra
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
chemin, l’ânier s’apercevant que l’âne n’en pouvait plus, lui ôta une partie de sa charge et la mit et la mit sur le mulet. Qu
t de chemin, voyant l’âne encore plus épuisé, il lui retira une autre partie de sa charge, et enfin prenant le reste, il l’ôta
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
e le ferait qu’à une condition, c’est que le cheval lui donnerait une partie des années qui lui étaient départies. Le cheval e
onnait un certain nombre de ses propres années ; le bœuf en donna une partie et fut admis. Enfin le chien mourant de froid vin
admis. Enfin le chien mourant de froid vint aussi, et, en cédant une partie du temps qu’il avait à vivre, il obtint un abri.
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 154 » pp. 118-118
63 Ch 63. Le castor est un quadrupède qui vit dans les étangs. Ses parties honteuses servent, dit-on, à guérir certaines mal
se conserver intact ; mais quand il se voit en prise, il se coupe les parties , les jette, et sauve ainsi sa vie. Parmi les homm
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
Devant le Singe il fut plaidé, Non point par Avocats, mais par chaque Partie . Themis n’avoit point travaillé, De memoire de Si
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
eur a fait tant d’honneur que de les appeller ses membres. Que si les parties de nostre corps veillent à la conservation de leu
va au devant du coup, pour parer la teste ; si la chair environne les parties nobles ; si la crane couvre le cerveau, bref si l
n, et Juste. Que ceux-là donc n’estiment pas avoir à faire de foibles parties , qui font gloire d’opprimer les petits, ou mesme
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
’occasion, se jeta sur le troupeau et en mit en pièces la plus grande partie . Quand le berger revint et vit son troupeau perdu
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 4. Le chien et la brebis » p. 478
li chiens dist. Savez pur quei chescun le fist ? Qu’il en atendeient partie , se la berbiz perdist la vie. Li jugere dunc dema
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
e principal advantage. Car il s’empara par ce moyen de la plus grande partie de la Grece, pendant que ces Republiques mal-advi
de venir aux modernes, et dire que la puissance du Turc en toutes les parties du monde, et particulierement en Europe, ne vient
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
t du Renard. Le Singe voulant persuader au Renard de luy donner une partie de sa queuë, pour en couvrir son derriere, luy fi
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
cet art passoit leur sçavoir :
 Et la Guespe adjugea le miel à leurs parties  :
 Plust à Dieu qu’on reglast ainsi tous les proc
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
ne apostume sous le pied. Mon fils, dit le Docteur, il n’est point de partie Susceptible de tant de maux. J’ay l’honneur de se
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
ement refusa de lui ajouter des cornes, mais encore lui retrancha une partie de ses oreilles. Ainsi beaucoup de gens qui, par
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 11. Le lion chasseur » p. 149
l’altre part pur le gu[a]ain pur ceo qu’il le terz cumpain ;] l’autre partie avera, ceo dist, raisun estait, kar il l’ocist ;
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
qui consiste en l’agréement du teinct, et en la juste proportion des parties . Il y en a une autre bien plus excellente, et plu
omme nous, qui dépend tout de mesme que la nostre, de la justesse des parties . Voylà quant au premier avantage que la beauté de
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 176 » pp. 92-92
rtait pour chasser et prenait quelque gibier, le maître en jetait une partie à l’autre chien aussi. Le chien de chasse méconte
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 45. Encore la femme et son amant » p. 
rtiruns nostre aveir ! N’os el siecle plus remaneir ; od tute la meie partie me metrai en une abeïe. » Li vileins l’ot, merci
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
ur frappe quelquesfois des personnes si fort inégales en toutes leurs parties , que si on leur vouloit choisir des ennemis, l’on
perience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde partie de mon Discours, qui est la transformation que no
lement qu’elle seroit à demy femme. Venons maintenant à la troisiesme partie de nostre Discours, à sçavoir que la condition ne
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 115 » pp. 68-68
oint de couler, l’homme qui était à la poupe demanda au pilote quelle partie du navire devait sombrer la première. « La proue,
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
ur ma vie : Et quand ? et dés demain, sans tarder plus long-temps. La partie ainsi faite, il vient avec ses gens : Çà déjeunon
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
e, comme on peut croire, N’avoit pas vû le glouton. Dés qu’il la voit partie , il contrefait son ton ; Et d’une voix papelarde
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
fin donc de persuader ceste verité, je commenceray par la moins noble partie , et prouveray, si je puis, que la seule force de
taille ; Et c’est d’où procede ceste agitation generale de toutes les parties , qui produit une lassitude continuelle, et un fra
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
de Pieté, a mis à fin tant de hautes entreprises. Ne doit-il pas une partie de ses beaux faits à la vigueur qu’il s’est acqui
necessité des redites. Il vaut mieux venir à la preuve de la seconde partie de mon Allegorie, qui est, que les enfans le moin
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
s, ne chastierent-ils pas l’orgueil de Rome, en démembrant toutes les parties de ce grand Empire ? Et derechef, les Sarrasins n
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
que par sa lumiere, et son mouvement, elle gouverne, et fait agir la partie d’en haut. Mais à l’esgard de ce qu’elle vivifie
Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton nous pouvons entendre la partie Divine, la Contemplative, l’Œconomique, et la Ter
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
tousjours l’œil au guet, et tournent incessamment la chose en la pire partie . Or ne devons-nous pas croire, que le sens et l’e
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ont, à n’en point mentir, fâcheuses à supporter. Dequoy sont cause en partie les animositez qu’ils suscitent à l’encontre d’eu
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
es Poissons mesme se rendirent sur le bord de l’eau, pour estre de la partie . Le Singe y vint le dernier, et d’aussi loing qu’
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
re, et une infinité d’autres. Au contraire, pour revenir à la seconde partie de la Fable, le Renard dés qu’il s’est enflé le v
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
leur parfaicte union. Mais tous ces exemples ne sont que la centiesme partie de ceux que l’on pourroit alleguer pour preuve de
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
a Divinité, le Chef-d’œuvre le plus accomply de tous, et la meilleure partie de nous-mesmes. C’est pareillement une qualité fo
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
la meilleure part, vous n’estimez les personnes que par la plus noble partie d’elles mesmes. Aussi avez-vous, comme luy, la sc
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
ficulté de l’estendre sur le quarreau, sous pretexte d’avoir fait une partie contre la vie de son Seigneur, ou de son voisin ;
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
lquesfois jusques là, qu’ils prennent l’occasion de faire mourir leur partie dans les amoureux accouplements. Il se trouve mes
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
aire que meschante : Vous estes interessez, il est libre : Vous estes parties , il est Juge. D’ailleurs, la Vengeance n’est pas
tu ? Je laisse à part la malice des Calomniateurs, les brigues et les parties qui se font, pour estouffer les belles actions, l
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 142 » pp. 181-181
ient en route, l’âne, pendant le trajet, dit au cheval : « Prends une partie de ma charge, si tu tiens à ma vie. » Le cheval f
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
firent un grand bruict. Esope cognoissant bien par là que c’étoit une partie qu’ils luy jouoient meschamment, affin de le perd
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
ifie en la personne d’Aristote et de Platon, qui passerent une grande partie de leur âge sans vouloir devenir riches, et n’y c
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
ne puis m’excuser d’avoir fait plusieurs redictes, en rapportant une partie des Histoires que j’avois déduites cy-devant. Mai
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
t, comme c’est leur coustume, de posseder aujourd’huy les plus belles parties de l’Europe, sans mettre en compte la domination
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
aistre, ou aux Fanfarons, qui ne mettent point en effect la centiesme partie de leurs menaces ; mais qui tremblent à la veuë d
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
rite du corps, mais qu’au contraire, elle estoit deuë aux excellentes parties de l’ame.  
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
us les interests mondains, demande plustost d’en estre spectateur que partie  ; comme l’estoient anciennement un Anacarsis, un
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
, et en grandeur de courage, et en force de jugement. Cela procede en partie de ce que son cerveau est plus propre à raisonner
46 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
rends embrasse un vaste champ de recherches, qui n’a encore été qu’en partie exploré. Lorsque je l’ai commencée, je me proposa
billons et avec Schwabe que Linus et Orphée avaient pu naître dans la partie de la Thrace restée en dehors de la Macédoine. Ma
ieusement, il cite cette phrase empruntée à l’épilogue de la première partie du livre IV :                         Olim senio
scrits, que c’est bien au moyen âge que les livres IV et V ont été en partie perdus. En somme, ce qui résulte des propres décl
riche et lettré. Aussi ne se borne-t-il pas à lui dédier la première partie de son livre IV, et, quand, après avoir renoncé à
rire, il reprend la plume et ajoute à son quatrième livre une seconde partie , est-ce encore à lui qu’il la consacre. J’arrive
is le commencement de son premier livre jusqu’à la fin de la première partie du IVe, les sujets de ses fables sont presque tou
rouve dans les fables v du livre II, x du livre III, v de la première partie du livre IV, vi de la deuxième partie du même liv
du livre III, v de la première partie du livre IV, vi de la deuxième partie du même livre, ii du livre V, xv et xvi de l’appe
ans les fables viii, ix et xi du livre III, xi et xxii de la première partie du livre IV, x et xxvii de l’appendice. Souvent a
s fables xvii du livre III, xii, xiv, xv, xviii et xxv de la première partie du livre IV et v de l’appendice. Ce défaut comple
ille, nostra perfecit manus. C’est seulement à partir de la deuxième partie de son livre IV, qu’il commence à être original.
r son affirmation ; car il reste si peu de chose, soit de la deuxième partie du livre IV, soit du livre V, qu’il est impossibl
qu’il est impossible de savoir si Ésope n’en avait pas encore fait en partie les frais. Ce qui s’y révèle clairement, c’est la
otes, où il met en scène Ménandre et le tyran Démétrius (livre IV, 2e  partie , fable ii), deux Soldats et un Voleur (livre IV,
vre IV, 2e partie, fable ii), deux Soldats et un Voleur (livre IV, 2e  partie , fable iii), un Bouffon et un Paysan (livre IV, 2
ivre IV, 2e partie, fable iii), un Bouffon et un Paysan (livre IV, 2e  partie , fable vi), un Joueur de flûte nommé Leprince (li
le iii) ? Or, comme en dehors de ces poèmes anecdotiques, la deuxième partie du livre IV et le livre V ne renferment que deux
oniam solemnis mihi debetur gloria. Dans le poème vii de la première partie du livre IV où il se plaint de la critique, il tr
est, qui stultitia nauseant. Enfin, dans le prologue de la deuxième partie du livre IV, il se console, en pendant que, s’il
: Narratione posteris tradam brevi67. Dans la fable vii la première partie du livre IV, il ne demande au lecteur qu’un peu d
a fait perdre à cet exemplaire, comme à celui de Rigault, une grande partie de son importance scientifique. J’ai voulu savoir
ar François Pithou, ainsi que nous l’avons vu, avait légué une grande partie de ses biens au collège de Troyes, et, si l’on se
utationes du Père Desbillons : « MM. Le Pelletier (sic) ont hérité en partie des savants Pithou, dont ils étaient les parents
reversus titubanti pede. M. Berger de Xivrey, sachant combien cette partie du manuscrit avait donné de peine aux savants, l’
qui très probablement était déchiré d’assez près pour n’offrir qu’une partie de la marge sans aucune lettre. Je suis même port
rs qui ont imité les récits d’Ésope, s’exprime ainsi : « Phèdre d’une partie a formé cinq livres. » Pithou, guidé par ce rens
du manuscrit : on aurait vu que le quatrième livre se divise en deux parties bien nettement séparées. Après avoir écrit la pre
e le tenir, il reprend la plume, et ajoute à son livre IV une seconde partie , que, comme la première, il dédie à Particulon. D
u ont pu, terminant le quatrième livre par le prologue de la deuxième partie , attribuer au cinquième livre des fables et un ép
uième livre des fables et un épilogue qui appartenaient à la deuxième partie du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se te
du quatrième. Quoi qu’il en soit, voyons où se termine cette deuxième partie . Remarquant à la fin de la fable Demetrius rex et
dérable, j’avais d’abord supposé qu’elle embrassait toute la deuxième partie du quatrième livre moins cette fable encore incom
crit ne laisse pas même place aux conjectures : la fin de la deuxième partie du quatrième livre s’y trouve nettement indiquée
lis atque mensis hunc librum scripsimus.” » En reproduisant ainsi en partie la notice de Dom Vincent, je me suis permis une d
our être sincère, j’avoue tout de suite que j’éprouve à remplir cette partie de ma tâche une satisfaction toute particulière.
C’est alors qu’il acquit, moyennant quarante mille livres, une grande partie de la bibliothèque de Paul Petau et par suite le
s’en trouvait un, non pas de toutes les fables de Phèdre, mais d’une partie du premier livre, un tiers, selon le P. Desbillon
, dit-il, n’est réellement qu’un fragment ; car il ne contient qu’une partie du premier livre et des variantes depuis la premi
Daniel, arrivée en 1603, ses livres, mis en vente, furent achetés en partie par Paul Petau et en partie par Bongars. On sait
s livres, mis en vente, furent achetés en partie par Paul Petau et en partie par Bongars. On sait aussi comment ceux acquis pa
nfredonia, petit port situé sur les bords de l’Adriatique, dans cette partie de la Pouille qu’on nomme la Capitanate, et au pi
pas résisté au temps, et les lettres qu’elle avait servi à tracer, en partie avaient verdi, et, en partie disparues, s’étaient
lettres qu’elle avait servi à tracer, en partie avaient verdi, et, en partie disparues, s’étaient si bien évanouies qu’il étai
montrer comment Jannelli y fustige son rival, je vais en extraire une partie . « Notre travail sur le manuscrit de Perotti, di
ce et la vie de Phèdre en latin qui en occupent 16, se divise en deux parties  : la première, contenant le texte des fables nouv
ais, à exécuter entièrement ma copie. Le manuscrit se compose de deux parties bien distinctes reliées ensemble. La première con
s quatre derniers feuillets du cahier sont restés blancs. La deuxième partie du manuscrit comprend soixante-quatorze feuillets
divitiis et paupertate ad Andream Contrarium Venetum , comprend deux parties distinctes, un préambule composé par Perotti, qui
s. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle, la seconde partie du manuscrit à la suite de la première. Il est pr
manuscrit du Vatican a fait perdre aux travaux de Jannelli une grande partie de leur intérêt ; mais il n’en a pas moins droit
Chapitre III. Authenticité des fables de Phèdre. J’arrive à la partie la plus aride de ma tâche, à la question de l’aut
discuter à mon tour. Dans cette discussion une division s’impose : la partie des fables de Phèdre qui a été d’abord publiée pa
ui écrivait-il207, a fait connaître qu’il était né en Thrace, dans la partie de ce pays voisine de la Grèce ; ses livres ne do
ment écrites en vers ïambiques, et que cette traduction, ayant été en partie reproduite par Vincent de Beauvais, ne saurait êt
sopique 241 qu’il a, en la motivant, indiqué son opinion. Il admet en partie ce que les discussions antérieures avaient démont
a pas non plus, comme le prétend Christ, développé en cinq livres une partie de son œuvre. « Resolvere, dit-il, ne peut évidem
quelle sont formulés les principaux arguments. Elle se divise en deux parties . Dans la première est traitée la thèse suivante :
t, comme il l’a employée, sinon tout entière, au moins en très grande partie , il faut en conclure que toutes ses compositions
eté le dernier vers de la première fable, qui, à la fois altéré et en partie illisible dans le manuscrit, avait été par Jannel
quelque chose du livre II, ce qui en est resté n’en est qu’une faible partie . La fable v de ce livre porte pour titre ces mots
mita feci viam, Et cogitavi plura quam reliquerat ? Dans la première partie du livre IV, les huit premiers vers de la fable L
une évidente, dont les proportions seules sont inconnues. La deuxième partie du livre IV est encore plus incomplète. Ainsi que
conçu : Quum destinassem terminum operi statuere. De cette seconde partie nous ne possédons, outre ce prologue, que le préa
que le préambule d’une fable disparue, intitulée : Idem poeta , une partie de la fable Demetrius rex et Menander poeta, une
m poeta , une partie de la fable Demetrius rex et Menander poeta, une partie de la fable Viatores et Latro, les trois qui suiv
qu’il est impossible de connaître exactement ; mais, comme la seconde partie du livre IV devait, par ses dimensions, être à l’
s court que les autres, nous n’en possédons encore qu’une très faible partie . La conclusion, c’est que, pour attribuer à Phèdr
5). In-12 de 144 pages, contenant les fables anciennes de Phèdre, une partie des nouvelles et les Publii Syri et aliorum veter
vola di Fedro (pages 7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une partie des fables anciennes (pages 97 à 138). Sectio
Traduction en vers français par M. C. Macaigne, professeur. Première partie  : livres I et II. Château-Thierry, Renaud. In-16
est un volume formé de pièces très diverses reliées ensemble, est en partie de la fin du xe  siècle et en partie du commencem
iverses reliées ensemble, est en partie de la fin du xe  siècle et en partie du commencement du xie . Car je l’ai vu et j’ai e
nes, dans lesquels ne se trouvaient pas les fables ésopiques. Mais la partie qu’il avait conservée ayant ensuite été réclamée,
encore290. La page se termine par quelques maximes des sept Sages, en partie formulées en langue grecque. Fol. v a. — Incipiun
r et donnent une base certaine pour apprécier quelles sont les autres parties du manuscrit également écrites par lui. Il y a ré
éfectuosité, que l’étude, faite par de nombreux philologues, de cette partie du manuscrit. Au contact de leurs doigts le parch
u là. Arrivé à la fin de la fable Vulpes et Corvus, c’est-à-dire à la partie qui en avait été le plus altérée, c’était encore
m esse genera credenda , etc. Tross ajoute qu’entre ce prologue et la partie de l’ouvrage que M. Berger de Xivrey a prise à to
tait alors d’un âge assez avancé pour avoir déjà pu former une grande partie de sa bibliothèque. Mais de qui Tenison tenait-il
e xiie  siècle un écrivain, nommé Romulus, qui avait mis en prose une partie des fables de Phèdre. C’est ainsi que cette idée
ées du type primitif, mais encore à celles dont les fables ont été en partie puisées à d’autres sources. Je pourrais citer com
été appliqué, au moins d’une de celles qui en sont en totalité ou en partie l’imitation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il
t disparaître le Prologue qui les précédait, en a reporté la première partie en tête de l’Épilogue, en a fait entrer la second
te source unique ; cela est démontré non seulement par la plus grande partie des sujets traités et par leur texte, mais encore
coup plus considérables que les deux premiers, je l’ai divisé en cinq parties affectées chacune à un dérivé spécial et à ses so
et à ses sous-dérivés, La cinquième, au Romulus de Berne. Première partie . Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chap
mprend 146 feuillets en parchemin et dont l’écriture m’a paru être en partie du xvie  siècle et en partie du xve . Les quatre
emin et dont l’écriture m’a paru être en partie du xvie  siècle et en partie du xve . Les quatre premiers feuillets seraient t
Jean Zeiner à Ulm. » Tel est l’avis qui marque la fin de la première partie de l’édition ; car on peut considérer comme forma
artie de l’édition ; car on peut considérer comme formant une seconde partie indépendante de la première un opuscule intitulé 
au British Museum que se trouve l’exemplaire sur lequel j’ai fait en partie les remarques qui précèdent. Il n’est pas inscrit
vrage qui forme un petit in-folio de 203 feuillets, se divise en deux parties bien distinctes : la première, qui occupe les 124
est exclusivement réservée aux compositions de l’éditeur. La première partie n’est pas paginée, mais porte des signatures de a
ralement au nombre de deux et quelquefois plus nombreux. La deuxième partie , séparée de la première par un feuillet blanc, co
les, anecdotes, moralités ou récits, composés toujours d’une première partie en vers élégiaques et d’une seconde en prose. En
nt les titres des opuscules de Sébastien Brant qui forment la seconde partie de l’édition de Bâle. La fin en est, au feuillet 
mais qui malheureusement est incomplet et ne contient que la seconde partie du volume ; 2º À la bibliothèque de l’Arsenal, so
hèque publique de La Haye, un exemplaire mutilé qui, dans la deuxième partie du catalogue imprimé des incunables, porte le nº 
ous le nº 333, forme un volume in-folio de 170 feuillets numérotés en partie et ornés de gravures sur bois. En voici l’analyse
ures, la première de a à s, la seconde de a à l. Il se divise en deux parties . La première partie se compose de 114 feuillets,
à s, la seconde de a à l. Il se divise en deux parties. La première partie se compose de 114 feuillets, dont les six premier
. — Commencement de la seconde table, divisée comme l’ouvrage en deux parties . Voici le contenu des feuillets numérotés : Fol. 
zu | underwyszung gut-|ter sitten : Zelamē | geordnet. La deuxième partie du volume se compose de 68 feuillets portant les
serer. Le volume, qui est un in-4º de petit format, se divise en deux parties , l’une renfermant le texte allemand des fables co
ttérale : « Ici finissent les fables réunies. — Ici suit une deuxième partie de fables belles et agréables, d’exemples et d’hi
ent les matières sont distribuées dans le volume : Fol. 2 a à 30 a. —  Partie préliminaire comprenant la vie d’Ésope. Fol. 30 b
ition de sir Roger L’Estrange, dont le frontispice, semblable dans sa partie supérieure à ceux des éditions précédentes se com
de La Haye un exemplaire, qui figure sous le nº 593 dans la première partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l
i pourrait s’appeler l’Encyclopédie du xiiie  siècle, comprend quatre parties intitulées, la première : Speculum historiale, la
 41. Elles sont au nombre de 29. Elles sont précédées seulement de la partie ainsi conçue de leur préambule : De ciuitate Atti
Miroir a été copié sur celui du premier qu’il ne reproduit même qu’en partie et que je dois publier avec le Romulus lui-même.
Il est imprimé en lettres rondes tirant sur le gothique. La première partie se compose des 18 premiers livres et occupe 318 f
llets renferment : le prologue et la table des chapitres. La deuxième partie se compose des livres XIX à XXXIII et occupe 327 
elles sont-elles originales. Les quinze fables qui forment la seconde partie de la collection du Romulus de Munich, ont été pr
huit qui dans l’édition d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première partie ), 9 (deuxième partie), 10 et 14, ont été insérées
on d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première partie), 9 (deuxième partie ), 10 et 14, ont été insérées par lui, avec une au
rai un volume spécial. Quant à présent, je me restreins à la première partie de la collection. Comme le Romulus d’Oxford que j
lus de Munich et même avec les fables d’Eude, qui, quoique la seconde partie de la collection leur ait été spécialement affect
vais donner la liste des quarante-huit fables qui forment la première partie de la collection et indiquer en même temps leur c
pour ainsi dire, autant de créations nouvelles. Ensuite, dérivées en partie du Romulus de Munich, elles permettent, vu l’âge
eur, le porte, pour lui échapper, à faire lui-même le sacrifice de la partie la plus estimée de son corps, il cite, à l’appui
est du format in-4º. Il se compose de 134 feuillets, dont la première partie est en papier et la deuxième en parchemin. Les fa
tent pas de titre ; au nombre de soixante, elles occupent la première partie du manuscrit et s’arrêtent au quart du verso du q
ordinaires ; elles portent 61 numéros à cause de la division en deux parties de la fable des Grenouilles qui demandent un roi.
comprend deux séries de fables ; le volume se divise en effet en deux parties  : la première contenant les fables de Walther ; l
a liste complète de celles que le manuscrit contient dans sa première partie , et à cet effet transcrire ici dans leur ordre le
it sa Vache et el la commendoit chascun iour a un saint. La première partie du manuscrit consacrée aux fables de Walther se t
qu’em mainte gent Ne soient aucun bel et gent. Je passe à la seconde partie du manuscrit. Elle s’étend du feuillet 89 a au fe
être complète. Elle ne contient que 19 fables. Comme dans la première partie du manuscrit, chaque fable latine est précédée d’
faiste Que i’aie fait tout de ma teste ; Mes en ai trouué plus grant partie De compilé, se Diex m’aye, Et du francois et du l
ui forment la troisième série, ne sont, comme on le sait déjà, qu’une partie de l’œuvre de Marie de France. Le copiste, pour d
fable des Grenouilles qui demandent un roi ayant été divisée en deux parties , il devrait en exister soixante et une ; mais tro
qui y ont été faites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie blancs, contiennent diverses pièces que le Catalo
du xiiie  siècle ou du commencement du xive . Le titre et la première partie de chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ;
et placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne contenait qu’une partie de la fable lviii, et cependant rien n’indiquait
ain d’un copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manuscrit 4409. Une partie seulement des fables de Walther se rencontre dans
9 a été donnée dans la bibliothèque de Munich, forme un volume in-4º, partie en parchemin et partie en papier, qui se compose
bibliothèque de Munich, forme un volume in-4º, partie en parchemin et partie en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits
que 133 anciens, augmentés de deux neufs laissés blancs. La première partie du manuscrit comprend 63 fables sous 64 numéros à
rit comprend 63 fables sous 64 numéros à cause de la division en deux parties de la fable des Grenouilles qui demandent un roi.
en vers français. Ce sont les mêmes que celles qui forment la seconde partie du manuscrit 1594 de la Bibliothèque nationale. A
le nº 128, est un volume in-4º qui ne se compose que de 20 feuillets, partie en parchemin et partie en papier. Il ne renferme
e in-4º qui ne se compose que de 20 feuillets, partie en parchemin et partie en papier. Il ne renferme pas d’autre ouvrage que
llets en parchemin et dont l’écriture est du xve  siècle. La première partie du manuscrit est consacrée à une œuvre bucolique
s et qui devaient eux-mêmes porter les nos 187 et 188 et contenir une partie des quarante et une premières fables. Car l’ouvra
ntièrement détruits, mais encore le relieur a mis du désordre dans la partie sauvée. Il s’ensuit que les 13e et 14e feuillets
quinus (sic) superbus regnabat apud romanos. » Les fables, ornées en partie de titres en lettres dorées, sont en outre accomp
aractères gothiques, à Cologne par Quentel. Le volume est signé et en partie chiffré. —  Esopus moralizatus cum bono commento.
mplaire sous la cote D. D. VII. 12 ; il fait, avec d’autres imprimés, partie d’un volume in-4º petit format, dont la reliure à
précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose placée, partie en tête de chacune d’elles, partie en interligne
, accompagnées d’une glose placée, partie en tête de chacune d’elles, partie en interligne et ornées chacune d’une gravure occ
Elegiaco metro recens || concinnatæ. De ce titre général la première partie est au-dessus et la deuxième au-dessous d’une gra
clair que, si elle est incomplète, c’est, non parce qu’elle a été en partie perdue, mais parce que le paraphraste n’a pas ou
s : je veux parler des fables du vieux et fameux poète Boner, qui, en partie du moins, semblent avoir été la paraphrase allema
tôt une paraphrase qu’une traduction, divisée en général en plusieurs parties intitulées : 1º Imago, ou Apologus ; 2º Tropologi
cs placés, l’un au commencement et l’autre à la fin de cette première partie du volume, puis 13 premiers de 8 feuillets, 2 de 
a première fable. Puis vient la paraphrase italienne, divisée en cinq parties intitulées : 1º Imago, 2º Tropologia, 3º Allegori
es elles-mêmes de leur paraphrase italienne divisée en quatre ou cinq parties . Comme dans l’édition originale, dont celle de 14
la dernière, fait l’objet d’une paraphrase spéciale divisée en trois parties intitulées : 1º Conclusio allegorica, 2º Confirma
abbé de leur maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses ouvrages. Le nombre en est extraordinaire 
e double distique, et j’en avais conclu qu’elles étaient, au moins en partie , le produit de la combinaison de deux éléments di
nent aux deux collections le même nombre de pièces. Deuxième partie . Romulus de Vienne et ses dérivés. Chapitre
unt. On le voit, la moralité dans le manuscrit 901 se divise en deux parties , l’une et l’autre très différentes du texte du ma
omparatif des trois manuscrits de Vienne et de Berlin. Troisième partie . Romulus de Florence. Section I. Observation
avoir si le texte du manuscrit de Florence n’était pas dans certaines parties plus rapproché de Phèdre que le Romulus ordinaire
nt au livre I. Or, dans le manuscrit de Florence, elle fait également partie de ce livre I, dont elle est la treizième. S’il n
nitentie… Fol. 42 vº. De vita et moribus clericorum… Quatrième partie . Romulus de Nilant et ses dérivés directs et indi
C’est un volume in-4º, dont les feuillets sont partie en parchemin et partie en papier et dont l’écriture très fine, à deux co
Vossius ne s’était pas contenté d’acheter pour la reine de Suède une partie de sa bibliothèque et qu’il avait acquis pour lui
de Nilant et qu’il se pourrait que ce dernier qui ne renferme qu’une partie de son contenu en fût au contraire dérivé. Il fau
ce. Pour procéder méthodiquement, je diviserai cette section en trois parties consacrées, la première à sa biographie, la deuxi
ans le manuscrit 14971 portent les nos 65 et 81, ne sont que les deux parties souvent séparées de la fable du Prêtre et du Loup
 : Explicit de Ysopes. Leur nombre, à cause de la division en deux parties de la fable du Prêtre et du Loup, paraît être de 
insi conçue : .I. autre seur sa fame , et a détruit en même temps la partie de la miniature qui représentait un homme et une
re dont il ne reste que ces mots : De l’ourse cui le verpil… , et la partie de la miniature qui représentait le renard sailli
raduction de la seconde : « Selon toute probabilité, la plus ancienne partie de ce volume a été écrite à l’abbaye de Reading v
ranscription, soit que les feuillets du manuscrit primitif eussent en partie disparu, le Romulus Roberti n’était qu’un fragmen
lisant le prologue, on s’aperçoit qu’il est absolument conforme à la partie préliminaire de ces gloses, qu’on trouve à la foi
crit forme un volume in-4º, dont les feuillets sont partie en papier, partie en parchemin et dont l’écriture est du xve  siècl
ones diversi. Praeterea insunt Aesopi et Aniani fabulae. La dernière partie du manuscrit est occupée par deux collections de
CC. XLII. Le volume est un in-12 de xxvi-256 pages. Cinquième partie . Romulus de Berne. Section I. Examen du Romu
e Ier, Fab. ii, v. 5. 34. Livre III, Prol., v. 52. 35. Livre IV, 2e  partie , Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37. Livre IV,
re IV, 2e partie, Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37. Livre IV, 2e  partie , Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e 
Livre IV, 2e partie, Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e  partie , Fab. ii. 39. Livre IV, 1re partie, Fab. xxii.
ivre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 39. Livre IV, 1re  partie , Fab. xxii. 40. Eodem loco. 41. Appendice, Fab.
s, MDCCLXXXIII. (Voyez la préface, p. xi.) 65. Phèdre, livre IV, 2e  partie , épilogue. 66. Phèdre, livre III, fable xvii ;
partie, épilogue. 66. Phèdre, livre III, fable xvii ; livre IV, 1re  partie , fable ii ; livre IV, 2e partie, fable i. 67. P
livre III, fable xvii ; livre IV, 1re partie, fable ii ; livre IV, 2e  partie , fable i. 67. Phèdre, livre IV, 1re partie, fab
fable ii ; livre IV, 2e partie, fable i. 67. Phèdre, livre IV, 1re  partie , fable v. 68. Adry (Jean-Félicissime), né, en 17
aits de la Bibliothèque nationale, an XII, in-4º. (Voyez tome VII, 2e  partie , p. 264.) 123. « Alexander papa VII. Carissime
re mis en doute ; car cinquante-trois manuscrits, qui contiennent une partie ou la totalité de ses ouvrages et qui sont parven
. Dictionnaire historique et critique, par M. Bayle. Tome I, seconde partie . C.-G. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII.
Thomas, Gulielmus Meyer. Monachii, 1868-1881, in-8º. (Voyez t. I, 3e  partie .) 395. C’est par erreur que, dans ma première éd
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
retenir sur la suffisance d’Esope, et voulut que luy-mesme fust de la partie , en un festin où il les avoit invitez. Comme ils
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
se est plus ruyneuse au corps, que la mediocrité. Quant à la derniere partie de ceste proposition, à sçavoir que l’Opulence es
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
Ceux qui se picquent d’estre sçavants en amour, mettent la meilleure partie de la felicité d’un Amant, à donner du plaisir à
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
la Conjecture, par la Vertu qu’il a de deliberer, et par mille autres parties , dont les Animaux sont entierement dépourveus. Il
lysse sur tous les autres Heros des Grecs, qui neantmoins estoient en partie plus Vaillants, mais tous ensemble moins ingenieu
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
sme et transporter icy des volumes entiers, pour ne faire voir qu’une partie des Perfidies que l’Avarice nous cause. Mais nost
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