/ 93
1 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
quei li chevals deveit valeir. Icil ki entrë eus esteient e le vilein parler oieient* le turnerent en gaberie ; n’i ad celui k
 ; n’i ad celui ki ne s’en rie. Od sun cheval s’en est alez ; par bel parler s’est deliverez. Pur ceo volt ici enseigner e mus
is ki [li] sacent cunseil doner, que bien [se] deit cuntreguaiter, si parler deit devant justise, que en sa parole ait tel coi
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 56. Le paysan et le choucas » p. 
ilein cunte ki aveit une caue qu’il nurisseit ; tant la nurri que ele parla . Un sun veisin la li tua. Cil s’en clama a la jus
’en clama a la justise, si li cunta en queile guise icil oisel suleit parler les matinees e chanter. Li juges dit qu’il ot mes
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
οῦνται. Codd. Pa 61 Pb 63 Pc 30 Pg 40 Ma 44 Ca 54. L’orateur Démade parlait un jour au peuple d’Athènes. Comme on ne prêtait
airs, l’anguille plongea dans les eaux », et là-dessus il s’arrêta de parler . « Et Déméter, lui cria-t-on, que fit-elle ? — El
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 2. Le loup et l’agneau » p. 155
lincel. Li lus en la surse beveit e li aignels aval esteit ; iriement parla li lus, que mut esteit cuntrarïus ; par maltalent
it ; iriement parla li lus, que mut esteit cuntrarïus ; par maltalent parla a lui : « Tu me fes », dist il, « grant ennui. »
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 60. Le coq et le renard » p. 
ocs, « si lur escrie que sui tuens, ne me larras mie. » Li gupil volt parler en haut, e li cocs de sa buche saut ; sur un haut
tut li plusur parolent quant deivent teiser, teisent quant il deivent parler .
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler . Chapitre IIII. Le jour suivant, apres que le M
! Mais ce qui m’estonne d’avantage, c’est que je n’ay plus de peine à parler , et que je nomme aisément toutes choses par leur
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
i peut ne le connoistre Que par recit, luy ny ses coups ! Quand on en parle devant vous, Si la verité vous offense, La Fable
ds s’offrir, Par zele et par reconnoissance. Du temps que les bestes parloient Les Lions entr’autres vouloient Estre admis dans
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
, qu’on n’en sçait pas La pluspart du temps le nombre. Au Chien dont parle Esope il faut les renvoyer. Ce Chien voyant sa pr
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 66. L’autour et le rossignol » p. 
resi vet de mainte gent : ne püent pas seürement la u il dutent, bien parler , si cum la u n’estut duter.
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
sçavant le fasse. Cependant jusqu’icy d’un langage nouveau J’ay fait parler le Loup, et répondre l’Agneau. J’ay passé plus av
t cecy pour un enchantement ? Vraiment, me diront nos Critiques, Vous parlez magnifiquement De cinq ou six contes d’enfant. Ce
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 97. Le loup et la colombe » p. 689
que cuillot desuz un buissun ramels, dunt sun ni voleit fere. Li lus parla , ne se pot tere. « Mut te vei », fet il, « travai
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « A monseigneur, le dauphin. »
ncor que mensongere, Contient des veritez qui servent de leçons. Tout parle en mon Ouvrage, et mesme les Poissons. Ce qu’ils
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 59. Le loup et le corbeau » p. 670
vit jadis u un corbel s’esteit asis sur le dos dë une berbiz. Li lus parla od nobles diz : « Jeo vei », fet il, « [mut] gran
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. Au temps que les Arbres parloient , un Paysan s’en alla dans une Forest, et la pria
il luy communique ses secrets, et toutes ces choses ensemble sont, à parler proprement, les instruments de sa perte. Ainsi vo
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
riche Laboureur sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfans, leur parla sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 88. Le loup et le renard » p. 
e lui tienent, ireement en sa curt vienent ; ne deit si [en]vers l’un parler que a l’autre en deie mut peser, mes adrescer a s
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
e si un subtil et avisé Philosophe pourroit avoir plus judicieusement parlé . Car il sçeut tres bien tesmoigner aux Ennemis de
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 19. Le roi des colombes » p. 486
lie n’i ot un sul ki l’aprismast qu’il ne ocesist e devorast. Pur ceo parla un des colums, si apela ses cumpainuns. « Grant f
19 (1180) Fables « Marie de France, n° 96. Le lièvre et le cerf » p. 658
autresi n’esteit cornuz e qu’il esteit si poi creüz. A la sepande ala parler , si li cumence a demander pur quei ne l’ot [i]tel
20 (1180) Fables « Marie de France, n° 102. La femme et la poule » p. 539
ine gratot e sa vïande purchaçot ; mut se travaillot tut en jur. A li parla par grant amur : « Bele », fet ele, « lais ester
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XII. Le Cigne et le Cuisinier. » p. 399
si bien. Ainsi dans les dangers qui nous suivent en croupe,
 Le doux parler ne nuit de rien.
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 81. Le prêtre et le loup » p. 687
ue seit d’autre sceü ; la buche mustre le penser, tut deive ele dë el parler .
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 268 » p. 188
paraissent être quelque chose, se trahissent par leur démangeaison de parler .
24 (1180) Fables « Marie de France, n° 6. Le mariage du soleil » p. 314
mande que veir dient de la demande a ceo que avis lur en esteit. Cele parla ke meuz saveit. « Quant le soleil, » fet il, « es
25 (1180) Fables « Marie de France, n° 49. Le forgeron et la cognée » p. 
entendre, del queil il puisse mance prendre. Quant ensemble en eurent parlé , communement li unt loé qu’il prenge de la neire
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
a croyent capable, ny de verité, ny de resolution, tant y a qu’ils en parlent ainsi, ou par caprice, ou pour en avoir esté mal
eslée de tristesse et d’amour ensemble. Ils font comme cét Avare dont parle nostre Esope en la septante-quatriesme Fable, qui
souvent contre la legereté de ses Maistresses. Mais ayant dessein de parler d’elles en Philosophe, et non pas en Poëte, ny en
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
Qu’il ne le quitte qu’avec peine.
 On voit bien où je veux venir.
 Je parle à tous ; et cette erreur extrême
 Est un mal que
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se mit à parler aux Assistants, qui le prierent incontinent de fa
e de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’estant mis alors à parler plus hardiment, « Messieurs », leur dit-il, « pou
r, pourveu que vous me fassiez donner ma liberté, et la permission de parler  ». Tout le peuple s’escria pour lors d’un commun
paravant, souffrez que je vous die une Fable. Au temps que les bestes parloient , il arriva que les loups firent la guerre aux bre
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306
seul impie, ils avaient fait périr aussi des innocents. Tandis qu’il parlait ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’e
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
n affaire.
 Il ne pût du Pasteur contrefaire la voix. 
Le ton dont il parla fit retentir les bois,
 Et découvrit tout le myst
31 (1180) Fables « Marie de France, n° 8. La chienne qui était sur le point de mettre bas » p. 480
unc les ruve fors eissir. L’autre comencë a jurer, si jamés l’en oeit parler , que si chael le detrareient e ors a l’us la bute
32 (1180) Fables « Marie de France, n° 25. La femme qui fit pendre son mari » p. 388
prude femmë esteit que sun seignur ot tant pluré ; cuintement ad a li parlé , dit li que ele se cunfortast, mut sereit lez se
33 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
falcs fauchez u [si] od forces fust trenchez. La vielle, quant ne pot parler , od ses deiz [li] prist a mustrer que forces l’av
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
Aprés que vostre race a tâché de me nuire ? N’estes-vous pas Souris ? Parlez sans fiction. Ouy vous l’estes, ou bien je ne sui
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
d’icy. Sa prière estant faite, il entend dans la nuë Une voix qui luy parle ainsi : Hercule veut qu’on se remuë, Puis il aide
36 (1180) Fables « Marie de France, n° 35. L’âne et le lion » p. 151
bien a escïent que nuls nel deie cuntrester des qu’i l’orrunt en haut parler .
37 (1180) Fables « Marie de France, n° 61. Le renard et la colombe » p. 
s sur une croiz s’esteit asis. Un gupil vient desuz, sil vit. En haut parla , si li [a] dit : « Pur quei seiez* », fet il, « l
38 (1180) Fables « Marie de France, n° 69. Le renard et l’ourse » p. 
n voil. » — « Fui », fet ele, « leis më ester ! Si jeo t’en oi ja mes parler , tenir te purras pur bricun : jeo te baterai od m
39 (1180) Fables « Marie de France, n° 87. Les deux loups » p. 676
ent e porterent, mes les humes les escrïerent. Li uns des lus ad dunc parlé , sun cumpainon ad apelé. « Veez », fet il, « cum
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
t toy qui m’injuries, mais bien l’avantage du lieu, qui te fait ainsi parler  ». Discours sur la cinquante-huictiesme Fable.
les vrays Vaillants à demeurer dans la moderation, et faire plustost parler leurs actions, que leurs injures.  
41 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
t le declarer sans peur : Je mettray remede à la chose.
 Venez singe, parlez le premier, et pour cause.
 Voyez ces animaux : f
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
Qui prendroient Vaugirard pour Rome ; Et qui, caquetans au plus drû, Parlent de tout et n’ont rien vû. Le Daufin rit, tourne l
43 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [19.]. DELLA VOLPE, ET DEL RICCIO. » p. 427
Come amico volea di tanto affanno,     Gratie rendendo in cotal modo parla . Non far fratello : che poco più danno     Far
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
 ». A ces mots, le bon Esope souriant, « ô Roy », continua t’il, « ne parle point si legerement de Lycerus : Car si tu fais u
chat, que tu sçais estre un animal, que nous reverons comme un Dieu ? Parle donc ? qui t’a obligé à cela ? » « Seigneur », re
de trente poutres, que deux femmes environnent ». Esope l’oyant ainsi parler  ; « Vrayment », dit-il, « voila une fort belle qu
les uns aux autres, nous n’en sçavons rien, et n’en avons jamais ouy parler . « Tant mieux encore », adjoûta Esope ; « et s’il
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
dans la tombe par la reputation d’estre Serf ? Veut-il que les livres parlent de luy, tout de mesme que d’un homme bien fort pa
ir. Mais ce n’est pas excuser un Vice, que d’alleguer les Vicieux, ny parler advantageusement d’un poison, que de nommer les p
es qu’il leur faut faire, pour reparer le défaut des caresses ; Je ne parlé non plus des chagrins ny des divisions, et passe
auté. Toute l’excuse qui reste doncques à telles gents, s’ils veulent parler veritablement, c’est de dire, que le soing de leu
estre le principal et le pire ennemy de son repos ? Mais ayant assez parlé des Mariages mal assortis, au moins pour ce qui r
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — V. Le Loup et le Chien. » p. 346
reliefs de toutes les façons ;
 Os de poulets, os de pigeons :
 Sans parler de mainte caresse.
 Le Loup déjà se forge une fel
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
ou qui nous des-honorent. Mais c’est dequoy je ne suis pas d’advis de parler , pour ne tomber impertinemment dans la mesme faut
e ceste effroyable action, dont il est meilleur de se taire, que d’en parler d’avantage. Sortons en doncques bien vistement, e
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
avecque tant d’art, qu’il est aisé de cognoistre que la pure flaterie parle dans ses escrits. Que s’il trouve une occasion de
vis, si plein d’extravagance, et de flaterie, que les Romains dont il parle n’auroient pû se l’imaginer. En effect, Plutarque
que l’on tire pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, quand on parle de ses amis, ou de sa nation, la peut aussi faire
49 (1180) Fables « Marie de France, n° 9. La souris des villes et la souris des bois » p. 352
ez vus bien servie. » Quant ele ot piece iluec esté, a sa cumpainë ad parlé , dist que od li est sun estre mauveis et que ele
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
si en Delphes. Et d’autant que ceux du pays l’ouyrent tres-volontiers parler , sans que toutesfois ils le respectassent autreme
t trouvé plus inutiles que tous les autres ». Ceux de Delphes l’oyant parler de ceste sorte, apprehenderent d’abord qu’il ne s
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
esché de subjuguer une si grande Isle ? ». Esope s’estant mis alors à parler , il le fist ainsi. « Puissant Monarque, je ne sui
52 (1180) Fables « Marie de France, n° 68. Le lion et le renard » p. 258
pil se tiendrent plusur, que de bestes set le retur e as oiseus reset parler , mecine quere e demander. Par message le funt som
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
des autres animaux tant pource qu’aux discours precedents j’ay assez parlé contre les personnes envieuses du bien d’autruy,
nous arresterons qu’à l’election des Roys, puis que nostre Autheur ne parle que d’eux en sa narration. Il feint donc que le S
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
s entendu ceste derniere espece de Sages, et qu’il n’a non plus voulu parler du Sage consideré selon soy mesme, mais plustost
Mais quant aux hommes d’Estat, et d’affaires, desquels Platon a voulu parler , lors qu’il a dit, que ceste Republique estoit bi
55 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
la chalve suriz que ne deit mes par jur voler, në il ne deit en curt parler .
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelles viandes Esope traicta les Hostes de Xanthus. Chapitre XIV. »
’Esope furent approuvez par les escoliers, qui le loüant d’avoir bien parlé , donnerent le tort à leur Maistre, et s’en retour
57 (1180) Fables « Marie de France, n° 46. Les oiseaux et leur roi » p. 652
, u n’i a si parole nun : tel se nobleie par tençun e veult manacer e parler que mut petit fet a duter.
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
ait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à parler au portier, le chien bondit brusquement et le mit
59 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 202 » pp. 141-141
 ! » Cette fable s’applique au bavard, incapable d’autre chose que de parler . Chambry 202.2 Aliter — Autre version.
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
la flatterie : Ne preste point l’oreille à des paroles legeres, et ne parle que fort peu. Au lieu d’envier ceux qui te font d
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
anda s’il connaissait aussi le Pirée. Le singe, croyant qu’il voulait parler d’un homme, dit que oui, et que c’était même un d
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
ute la compagnie ne sçeut respondre autre chose, sinon qu’Esope avoit parlé doctement.
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
ser pour sçavantes ; Et n’est pas jusqu’aux moindres Artisants qui ne parlent publiquement de la guerre, et des affaires d’Esta
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
de l’ame de ceux qui l’écoutent. Ce n’est pas servir de guide, que de parler tant seulement ; Il faut prendre par la main celu
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
qui voyant leurs Amis malades à l’extremité, n’osent toutesfois leur parler de confession, pource, disent-ils, que la peur re
66 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
y sans autre merite ;
 Matiere infertile et petite.
 Le Poëte d’abord parla de son Heros. 
Aprés en avoir dit ce qu’il en pou
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
ine le nom dans les Histoires, si ce n’est que les Autheurs vueillent parler de sa mollesse, pour monstrer que les personnes q
! Mais je retombe insensiblement en un Discours, dont j’ay si souvent parlé dans cét Ouvrage, que je pourrois me rendre ennuy
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
à la mort, il leur disoit en s’y en allant. « Au temps que les bestes parloient , le Rat ayant fait amitié avec la Grenoüille, luy
ls exauceront ma priere, et me vangeront ». Il eust à peine achevé de parler ainsi, qu’ils le precipiterent du haut d’un roche
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
l arrive que les Grands veüillent faire mourir quelqu’un, apres avoir parlé genereusement pour le bien de la Patrie, il ne se
70 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
huy, A si mal entendu la volonté suprême D’un testateur ! Ayant ainsi parlé Il fait le partage luy-mesme, Et donne à chaque s
71 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
fille al plus haut element vodra li mulez demander : al soleil en ala parler . Pur ceo qu’il esteit [li] plus haut e en esté pu
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
marque de ce que je suis hargneux naturellement. Le Loup l’ayant ouy parler ainsi ; « Est-ce donc cela ? » luy dit-il, « cert
e et la promptitude de ses responses. Aussi est-ce pour cela qu’il en parle icy avec des advantages extrêmes, la preferant à
73 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
ces mots, le loup se remit en route en disant : « Dans cette ferme on parle d’une façon, on agit d’une autre. » Cette fable s
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
jamais reparer. Il me semble que nous avons cy-dessus assez amplement parlé de l’envie, qui consiste en la douleur que nous c
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
he d’agir, en luy ostant la matiere qui l’entretient ; Ainsi, pour en parler sainement, ny la beauté de l’esprit, ny la force
76 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
u serais roi. Que me donneras-tu pour te l’avoir annoncé le premier ? Parle , je suis pressé, je crains qu’il ne me réclame ;
e conseille de venir aussi et d’attendre sa mort près de lui. » Ainsi parla le renard, et le cœur du cerf se gonfla de vanité
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
nder que pour cette raison ce pauvre Esclave estranger, à qui je fais parler nostre langue, ne fust mal venu aupres de vous. M
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
vanture, et de rendre de mauvais offices à leurs Compagnons. Ils font parler hautement leurs serviteurs, et leurs alliez. Ils
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
n’avoit pas esté tué sur la place, tant cette maudite demangaison de parler s’estoit emparée de son esprit. Cette Histoire es
80 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
Province ;
 Prenez femme, Abbaye, Employ, Gouvernement ;
 Les gens en parleront , n’en doutez nullement.
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
de bon en toy, ny d’insolence à te mocquer de mes maux ; Mais que ne parles -tu aussi bien de ton malheur particulier, et de m
r un milieu presque asseuré de praticquer si delicieusement le Vice ? Parlerons -nous maintenant de la Vengeance ? Celuy qui se tr
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
u’un homme tel qu’Esope, si excellent en esprit, et qui avoit si bien parlé de l’ingratitude, ne pût s’empescher d’estre deçe
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
hetiue Sculpture, s’ils ne sont animez par l’interieur, ou pour mieux parler , s’ils n’ont autant de gentillesse que de beauté.
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 179 » pp. 328-328
on soûl, de manière à n’avoir pas faim de tout demain. » Tandis qu’il parlait ainsi à part lui, tout en remuant la queue, comme
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
que tu as de cognoissance, d’adresse, et d’experience ». « Pour t’en parler franchement », dit Esope, « l’on sçait assez que
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
ais je m’arreste plus qu’il ne faut à la moralité de ceste Fable, qui parle de soy-mesme trop clairement, pour avoir besoin d
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
ray ma femme pour la brusler avecque la tienne ». Xanthus oyant ainsi parler ce bon homme, et voyant qu’il n’y avoit point de
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
proche en quelque façon de nostre sujet. Car Esope ayant si bien fait parler les Animaux, ce seroit, à mon advis, un manquemen
ux, et ne sont non plus de leur portée, au jugement mesme de ceux qui parlent le plus à leur advantage : Tout ce qu’ils peuvent
moire, si ce n’est que Dieu les éleve miraculeusement à la faculté de parler , comme il fit à l’Asnesse de Balaam ; et en ce ca
e les bestes, et les enfants font avecque nous. Il reste maintenant à parler de celuy qui fist deux parts de son avoine, pour
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
ne sont entrepris ordinairement que pour la loüange. Mais c’est assez parlé des causes de ceste Vertu ; Il faut finir, apres
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
s de la vie retirée. Il est vray que je ne sçaurois asseurer s’ils en parloient de ceste sorte, ou par aucun veritable sentiment
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
ton conseil, comme n’aguere tu n’avois pas besoin du mien ». « Tu ne parles pas mal », reprit Xanthus, « mais je suis fâché q
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
eu que ceste poignée d’honnestes gents, dont les Historiens nous ont parlé . Croyez-moy, les grands hommes n’ont point esté c
93 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
n pouvait considérer comme n’étant pas dans leur vrai milieu. Pour ne parler que des fables du moine que M. Paul Meyer appelle
t d’abord ils n’ont pas même pu se mettre d’accord sur son nom. Je ne parle pas de la traduction française de son nom ; aujou
n, qui semble au premier abord assez naturelle. En effet, après avoir parlé d’Ésope le Phrygien et d’Anacharsis le Scythe, Ph
ques étant tombés d’accord pour admettre que Phèdre n’avait pas voulu parler un langage figuré, il semble qu’il n’y avait plus
éclaré le compatriote de deux Thraces19. Suivant lui, si Phèdre avait parlé de la sorte, il aurait tenu un langage inexact. E
édonienne de Phèdre ; 2º sur l’interprétation à donner aux vers où il parle de Linus et d’Orphée21. Pour fournir sur le premi
nitetur tua. Il lui semble résulter du mot olim que, lorsque Phèdre parlait ainsi, il était encore loin de la vieillesse. Mai
eur opinion est en contradiction avec le texte même de ses fables qui parlent de l’un et de l’autre de ces deux empereurs. Dans
r lequel il désigne Octave. Lorsque, dans la fable x du livre III, il parle d’un procès soumis par les plaideurs au jugement
ra encore facile d’arriver à la même démonstration. Le procès dont il parle , il en a eu personnellement connaissance : Narra
plaint d’avoir Séjan pour accusateur, pour témoin et pour juge, il ne parle pas d’un fait accompli ; il s’exprime ainsi : Qu
tre si affirmatif. Dans le chapitre XIII du livre XVIII50, F. Josèphe parle bien encore d’un autre Eutyque, affranchi d’Agrip
squisse rapide de la valeur de l’écrivain et du caractère de l’homme. Parlons d’abord de la valeur de l’écrivain. Quand on veut
ute qu’un homme puisse concevoir de lui-même. Il éprouve un besoin de parler de son mérite, qu’on ne rencontre au même point c
ination, non de fabulæ, mais de fabellæ 66. Quand il annonce qu’il va parler du testament expliqué par Ésope, il déclare qu’il
s humain. Leurs noms sont connus ; il est inutile de les rappeler. Ne parlons que de Pierre Pithou. Son père avait eu, en 1524,
prologue compris dans les 34 premiers vers, au fac-simile, dont j’ai parlé , et qui a été reproduit dans l’édition Panckoucke
, en 1564, donné l’édition originale. Il n’entre pas dans mon plan de parler de cette comédie ; d’ailleurs, quoiqu’elle ne soi
t, pour ne pas profiter ici de l’occasion qu’elle m’offre de le faire parler lui-même. Voici ce qu’au sujet de cette comédie,
on trouvera peut-être que j’ai pu, sans trop m’écarter de mon sujet, parler un peu du Querolus. Section III. Manuscrit de
e recourus à la consciencieuse publication de M. Berger de Xivrey. Il parle bien du manuscrit dans sa préface ; mais lui qui,
ls ne songeaient à extraire du volume que la chanson d’Otinel dont je parlerai tout à l’heure, on conçoit qu’ils ne l’aient pas
s importantes. Quant aux autres savants, qui, après lui, voulurent en parler , ils ne prirent pas même la peine d’y recourir. A
oupable. Il est donc entendu que c’est du premier livre qu’il a voulu parler . Malheureusement, en dehors des fausses variantes
’une vérité même élémentaire, tous les écrivains, qui, après lui, ont parlé de Phèdre, ou l’ont répétée, ou l’ont compliquée
uscrits déjà examinés. J’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de parler de l’ouvrage, je crois devoir dire d’abord quelqu
EM SVAVIS-SIMVM INCIPIT FOELI-CITER. Cette dédicace, dont j’ai déjà parlé et dont j’aurai encore à m’occuper, est immédiate
opier et n’avait pas eu besoin de la traduire en vers ïambiques. Sans parler des vieux manuscrits de Pithou et de Reims dont l
e dans la préface de ses fables ésopiques, est le même que celui dont parle Martial ? Ils veulent nous faire croire qu’il fut
dieux qu’inutile ; je ne l’entreprendrai pas. Seulement, puisque j’ai parlé d’une ancienne fable de Phèdre que Perotti a copi
me il le déclare au début de son œuvre, il avait mis en scène et fait parler les arbres et les bêtes, soit parce que, sous cet
évélé les mœurs des puissants de son temps. En effet, lorsque Martial parle des jeux de Phèdre, qui est-ce qui n’aperçoit pas
qu’il avait écrit ses fables rudi latinitate 218 ? Le Phèdre dont il parle était un fabuliste grec, qui probablement n’était
uvé un des Vers de cette même Fable sur un monument très-antique dont parle Zamosius. Et cependant Pérotti prétend qu’elle es
ais traité. Ajoutez a cela que Pérotti connoissoit Phedre et qu’il en parle dans cette même Corne d’Abondance. Faudra-t-il su
n Thrace, que c’était bien de l’affranchi d’Auguste que Martial avait parlé et qu’il était seulement regrettable que ce flatt
étonner que Sénèque n’ait pas connu les fables de Phèdre ou qu’il ait parlé comme s’il ne les avait pas connues… Et il n’est
de passages concernant l’auteur et ses affaires personnelles, qu’il y parle de ses adversaires et de ses amis, qu’il y racont
dans l’apologue. Mais il n’est pas besoin de supposer qu’il n’a voulu parler que des auteurs nés à Rome pour trouver dans son
ualificatif du substantif jocos, et alors il suppose que Martial veut parler de ces dissertations à la fois savantes et raille
cèdent pour voir qu’il déclare prendre Ésope pour guide, et que, s’il parle ensuite de Socrate, d’Horace, de Gabrias et de Ph
a-t-il pu attribuer au même philosophe les cinq livres de fables dont parle Avianus ? Ne devait-il pas trouver au moins bien
e charger de cette tâche, la confia à M. Berger de Xivrey. J’ai assez parlé de son édition diplomatique pour n’avoir pas beso
ition, a eu le mérite d’y joindre un second document, destiné aussi à parler aux yeux des sceptiques : il a publié le fac-simi
essaya de faire revivre la question définitivement résolue : je veux parler de M. Édélestand du Méril, qui a été un philologu
rain de Sénèque ; oui, Sénèque a connu ses fables. Mais il n’en a pas parlé , parce que Phèdre, Macédonien d’origine, les a éc
nce qui avait vécu deux siècles avant Phèdre, et dont la langue ne se parlait plus que dans les écoles ; ces imitations de quel
œuvre de Phèdre ; mais il fait observer judicieusement que Quintilien parle non de traductions proprement dites, mais de ces
isser traduire. Il n’y a rien d’étonnant à ce que Phèdre ait une fois parlé de lui à la troisième personne ; le vers latin ti
t de la religion, doivent en être le reflet. Les nouvelles fables qui parlent de Jupiter, de Mercure, de Junon, de Vénus, de Ca
e comme celui dont la fable x du livre III contient le récit. Adry ne parle pas de la fable xvi ; il prétend la xviie , Æsopu
vers critiqué lui a été inspiré par la procédure de son temps. Il ne parle pas de la fable xxi, et prétend que la xxiie , Ur
rs l’âge de trente ans ; je trouve, dans les traités dont je viens de parler , la preuve qu’il ne les composa que dix ans plus
ns les divers Romulus ces fables, dans lesquelles Phèdre fait agir ou parler son modèle. Au contraire, si l’on regarde de quoi
tion du manuscrit. Qu’on me permette, avant d’en donner l’analyse, de parler du copiste à qui sont dus, sinon en totalité, au
ing ayant attentivement examiné les manuscrits de Gude et n’ayant pas parlé de celui de Wissembourg, il avait d’abord été por
simple prose, détruisait les vers et les altérait à sa fantaisie. Je parle ainsi du texte sur lequel a été fait ensuite le m
u’il s’est servi d’une collection dérivée du Romulus primitif dont je parlerai plus tard et à laquelle je donnerai le nom de Rom
d’Arezzo lui-même détermine exactement la date de son œuvre307. Je ne parle pas de la première qui est adressée à Laurent de
supposé ? En est-il un de plus commun parmi ceux qui entendent et qui parlent la langue latine310 ? » Animé d’un esprit plus i
eux fabuliste grec, et, sous le nom de Romulus, faisant en définitive parler l’affranchi d’Auguste, le paraphraste pouvait lui
après ce que j’en ai déjà fait connaître, il me paraît superflu d’en parler de nouveau. La description que je viens de faire
il en existe aussi dans les bibliothèques moins importantes. Pour ne parler que de la seconde édition de Sorg, je signale ent
1484. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition, et je n’en parle que d’après Brunet348, qui la signale comme une «
rnerai à celui-ci, que m’offre la moralité d’une fable dont j’ai déjà parlé , et que notre La Fontaine a imitée : l’Œil du Maî
taire consiste dans la reproduction littérale d’une Préface dont j’ai parlé dans ma Dissertation sur Romulus, c’est-à-dire de
ques dont le style se rapproche assez de celui de l’ouvrage dont nous parlons  ; mais il y avoit, au commencement du xiie  siècl
tance de l’abbaye, c’était sa bibliothèque. Voici comment il en a été parlé dans une Dissertation sur les bibliothèques publi
puis roi de France, ce qui peut faire croire qu’il étoit normand ; il parle aussi de Bonne de Luxembourg, mariée en 1332 à ce
Douai, m’écrivit et me demanda des renseignements sur le Phèdre, dont parlait le docteur Haenel. Je dus lui dire que ce manuscr
de son contenu, comme il est étranger à mon étude, je m’abstiens d’en parler , et, comme précédemment, je ne puis qu’engager ce
damoli, illustre bibliophile du xviiie  siècle, dont je ne puis mieux parler qu’en extrayant ce qui suit de sa biographie écri
rmat in-4º. — Je dois enfin une mention à une édition, dont j’ai déjà parlé et que Morelli a prise pour base d’une fausse hyp
vers, il y a une œuvre qui pourrait être rangée parmi elles : je veux parler des fables du vieux et fameux poète Boner, qui, e
r, qui est la dernière : Et per lo puro e simplice pastore colui che parla ciò che egli à in cuore. Amen. Le tout se termi
ais, qui en ont été faites au xiiie  siècle et dont j’aurai bientôt à parler , montrent bien que son apparition n’a pas été fro
Après lui, Pits479, Leyser480, Fabricius481 et Tanner482 en avaient parlé tour à tour, mais n’en avaient point connu le tex
e délégués aux Brebis : ils s’adressent directement à elles, et, sans parler d’otages, leur offrent d’être leurs gardiens. Dan
que M. Robert a d’ailleurs pris la peine de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue, les deux derniers vers présenten
compte d’un obstacle devant lequel aujourd’hui je m’incline ; je veux parler des deux fables du Renard changé en homme et du T
x et différents ouvrages sont contenus dans le manuscrit 303. Pour ne parler que de la fable ésopique, on voit qu’il possède p
nication. Je vais profiter de la possibilité que j’ai maintenant d’en parler . Section II. Examen du Romulus de Florence.
aient mis en réserve pour être l’objet d’un accord ultérieur. Pour ne parler que du fonds Libri qui comprenait 1923 manuscrits
que les vingt-deux fables du Romulus Roberti, dont j’aurai bientôt à parler plus amplement, étaient un fragment du Romulus an
M. de Roquefort514, l’abbé de la Rue prétendit que Marie avait voulu parler d’un fils naturel de Henri II515. Puis survint M.
ve  siècles veut que Guillaume d’Ypres soit le comte de Flandres dont parle Marie ; mais ou ne le trouve dans aucun historien
’en aurez la Dieu amour, Et si sur vous dirai tel chose, Ou ia n’aura parlé de rose. — Quoi ! fait ele, que dirés vous ? Cert
de la collection n’aurait pas pu, comme il l’a fait dans ce prologue, parler de la traduction anglaise, si cette traduction n’
ite servi de base à celui de Marie, qui enfin dans son épilogue avait parlé de la version anglaise employée par elle. Il est
la version anglaise, c’est aussi dans son prologue qu’elle en aurait parlé . Elle aurait fait comme le poète allemand, qui, v
us de bien des gens. || On y voit les Arbres, le Soleil et la Lune || parler et se mouvoir beaucoup. || Quoique ces inventions
Quant aux 125 fables, M. H. Oesterley, dans le tableau dont j’ai déjà parlé , les a fait figurer toutes à l’exception d’une se
à publiée et dont j’avais cru à tort être le premier éditeur. Je veux parler de cette collection en vers rythmiques disposés e
/ 93