quei li chevals deveit valeir. Icil ki entrë eus esteient e le vilein
parler
oieient* le turnerent en gaberie ; n’i ad celui k
; n’i ad celui ki ne s’en rie. Od sun cheval s’en est alez ; par bel
parler
s’est deliverez. Pur ceo volt ici enseigner e mus
is ki [li] sacent cunseil doner, que bien [se] deit cuntreguaiter, si
parler
deit devant justise, que en sa parole ait tel coi
ilein cunte ki aveit une caue qu’il nurisseit ; tant la nurri que ele
parla
. Un sun veisin la li tua. Cil s’en clama a la jus
’en clama a la justise, si li cunta en queile guise icil oisel suleit
parler
les matinees e chanter. Li juges dit qu’il ot mes
οῦνται. Codd. Pa 61 Pb 63 Pc 30 Pg 40 Ma 44 Ca 54. L’orateur Démade
parlait
un jour au peuple d’Athènes. Comme on ne prêtait
airs, l’anguille plongea dans les eaux », et là-dessus il s’arrêta de
parler
. « Et Déméter, lui cria-t-on, que fit-elle ? — El
lincel. Li lus en la surse beveit e li aignels aval esteit ; iriement
parla
li lus, que mut esteit cuntrarïus ; par maltalent
it ; iriement parla li lus, que mut esteit cuntrarïus ; par maltalent
parla
a lui : « Tu me fes », dist il, « grant ennui. »
ocs, « si lur escrie que sui tuens, ne me larras mie. » Li gupil volt
parler
en haut, e li cocs de sa buche saut ; sur un haut
tut li plusur parolent quant deivent teiser, teisent quant il deivent
parler
.
Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien
parler
. Chapitre IIII. Le jour suivant, apres que le M
! Mais ce qui m’estonne d’avantage, c’est que je n’ay plus de peine à
parler
, et que je nomme aisément toutes choses par leur
i peut ne le connoistre Que par recit, luy ny ses coups ! Quand on en
parle
devant vous, Si la verité vous offense, La Fable
ds s’offrir, Par zele et par reconnoissance. Du temps que les bestes
parloient
Les Lions entr’autres vouloient Estre admis dans
, qu’on n’en sçait pas La pluspart du temps le nombre. Au Chien dont
parle
Esope il faut les renvoyer. Ce Chien voyant sa pr
resi vet de mainte gent : ne püent pas seürement la u il dutent, bien
parler
, si cum la u n’estut duter.
sçavant le fasse. Cependant jusqu’icy d’un langage nouveau J’ay fait
parler
le Loup, et répondre l’Agneau. J’ay passé plus av
t cecy pour un enchantement ? Vraiment, me diront nos Critiques, Vous
parlez
magnifiquement De cinq ou six contes d’enfant. Ce
que cuillot desuz un buissun ramels, dunt sun ni voleit fere. Li lus
parla
, ne se pot tere. « Mut te vei », fet il, « travai
ncor que mensongere, Contient des veritez qui servent de leçons. Tout
parle
en mon Ouvrage, et mesme les Poissons. Ce qu’ils
vit jadis u un corbel s’esteit asis sur le dos dë une berbiz. Li lus
parla
od nobles diz : « Jeo vei », fet il, « [mut] gran
FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. Au temps que les Arbres
parloient
, un Paysan s’en alla dans une Forest, et la pria
il luy communique ses secrets, et toutes ces choses ensemble sont, à
parler
proprement, les instruments de sa perte. Ainsi vo
riche Laboureur sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfans, leur
parla
sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre
e lui tienent, ireement en sa curt vienent ; ne deit si [en]vers l’un
parler
que a l’autre en deie mut peser, mes adrescer a s
e si un subtil et avisé Philosophe pourroit avoir plus judicieusement
parlé
. Car il sçeut tres bien tesmoigner aux Ennemis de
lie n’i ot un sul ki l’aprismast qu’il ne ocesist e devorast. Pur ceo
parla
un des colums, si apela ses cumpainuns. « Grant f
autresi n’esteit cornuz e qu’il esteit si poi creüz. A la sepande ala
parler
, si li cumence a demander pur quei ne l’ot [i]tel
ine gratot e sa vïande purchaçot ; mut se travaillot tut en jur. A li
parla
par grant amur : « Bele », fet ele, « lais ester
si bien. Ainsi dans les dangers qui nous suivent en croupe,
Le doux
parler
ne nuit de rien.
ue seit d’autre sceü ; la buche mustre le penser, tut deive ele dë el
parler
.
paraissent être quelque chose, se trahissent par leur démangeaison de
parler
.
mande que veir dient de la demande a ceo que avis lur en esteit. Cele
parla
ke meuz saveit. « Quant le soleil, » fet il, « es
entendre, del queil il puisse mance prendre. Quant ensemble en eurent
parlé
, communement li unt loé qu’il prenge de la neire
a croyent capable, ny de verité, ny de resolution, tant y a qu’ils en
parlent
ainsi, ou par caprice, ou pour en avoir esté mal
eslée de tristesse et d’amour ensemble. Ils font comme cét Avare dont
parle
nostre Esope en la septante-quatriesme Fable, qui
souvent contre la legereté de ses Maistresses. Mais ayant dessein de
parler
d’elles en Philosophe, et non pas en Poëte, ny en
Qu’il ne le quitte qu’avec peine.
On voit bien où je veux venir.
Je
parle
à tous ; et cette erreur extrême
Est un mal que
Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se mit à
parler
aux Assistants, qui le prierent incontinent de fa
e de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’estant mis alors à
parler
plus hardiment, « Messieurs », leur dit-il, « pou
r, pourveu que vous me fassiez donner ma liberté, et la permission de
parler
». Tout le peuple s’escria pour lors d’un commun
paravant, souffrez que je vous die une Fable. Au temps que les bestes
parloient
, il arriva que les loups firent la guerre aux bre
seul impie, ils avaient fait périr aussi des innocents. Tandis qu’il
parlait
ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’e
n affaire.
Il ne pût du Pasteur contrefaire la voix.
Le ton dont il
parla
fit retentir les bois,
Et découvrit tout le myst
unc les ruve fors eissir. L’autre comencë a jurer, si jamés l’en oeit
parler
, que si chael le detrareient e ors a l’us la bute
prude femmë esteit que sun seignur ot tant pluré ; cuintement ad a li
parlé
, dit li que ele se cunfortast, mut sereit lez se
falcs fauchez u [si] od forces fust trenchez. La vielle, quant ne pot
parler
, od ses deiz [li] prist a mustrer que forces l’av
Aprés que vostre race a tâché de me nuire ? N’estes-vous pas Souris ?
Parlez
sans fiction. Ouy vous l’estes, ou bien je ne sui
d’icy. Sa prière estant faite, il entend dans la nuë Une voix qui luy
parle
ainsi : Hercule veut qu’on se remuë, Puis il aide
bien a escïent que nuls nel deie cuntrester des qu’i l’orrunt en haut
parler
.
s sur une croiz s’esteit asis. Un gupil vient desuz, sil vit. En haut
parla
, si li [a] dit : « Pur quei seiez* », fet il, « l
n voil. » — « Fui », fet ele, « leis më ester ! Si jeo t’en oi ja mes
parler
, tenir te purras pur bricun : jeo te baterai od m
ent e porterent, mes les humes les escrïerent. Li uns des lus ad dunc
parlé
, sun cumpainon ad apelé. « Veez », fet il, « cum
t toy qui m’injuries, mais bien l’avantage du lieu, qui te fait ainsi
parler
». Discours sur la cinquante-huictiesme Fable.
les vrays Vaillants à demeurer dans la moderation, et faire plustost
parler
leurs actions, que leurs injures.
t le declarer sans peur : Je mettray remede à la chose.
Venez singe,
parlez
le premier, et pour cause.
Voyez ces animaux : f
Qui prendroient Vaugirard pour Rome ; Et qui, caquetans au plus drû,
Parlent
de tout et n’ont rien vû. Le Daufin rit, tourne l
Come amico volea di tanto affanno, Gratie rendendo in cotal modo
parla
. Non far fratello : che poco più danno Far
». A ces mots, le bon Esope souriant, « ô Roy », continua t’il, « ne
parle
point si legerement de Lycerus : Car si tu fais u
chat, que tu sçais estre un animal, que nous reverons comme un Dieu ?
Parle
donc ? qui t’a obligé à cela ? » « Seigneur », re
de trente poutres, que deux femmes environnent ». Esope l’oyant ainsi
parler
; « Vrayment », dit-il, « voila une fort belle qu
les uns aux autres, nous n’en sçavons rien, et n’en avons jamais ouy
parler
. « Tant mieux encore », adjoûta Esope ; « et s’il
dans la tombe par la reputation d’estre Serf ? Veut-il que les livres
parlent
de luy, tout de mesme que d’un homme bien fort pa
ir. Mais ce n’est pas excuser un Vice, que d’alleguer les Vicieux, ny
parler
advantageusement d’un poison, que de nommer les p
es qu’il leur faut faire, pour reparer le défaut des caresses ; Je ne
parlé
non plus des chagrins ny des divisions, et passe
auté. Toute l’excuse qui reste doncques à telles gents, s’ils veulent
parler
veritablement, c’est de dire, que le soing de leu
estre le principal et le pire ennemy de son repos ? Mais ayant assez
parlé
des Mariages mal assortis, au moins pour ce qui r
reliefs de toutes les façons ;
Os de poulets, os de pigeons :
Sans
parler
de mainte caresse.
Le Loup déjà se forge une fel
ou qui nous des-honorent. Mais c’est dequoy je ne suis pas d’advis de
parler
, pour ne tomber impertinemment dans la mesme faut
e ceste effroyable action, dont il est meilleur de se taire, que d’en
parler
d’avantage. Sortons en doncques bien vistement, e
avecque tant d’art, qu’il est aisé de cognoistre que la pure flaterie
parle
dans ses escrits. Que s’il trouve une occasion de
vis, si plein d’extravagance, et de flaterie, que les Romains dont il
parle
n’auroient pû se l’imaginer. En effect, Plutarque
que l’on tire pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, quand on
parle
de ses amis, ou de sa nation, la peut aussi faire
ez vus bien servie. » Quant ele ot piece iluec esté, a sa cumpainë ad
parlé
, dist que od li est sun estre mauveis et que ele
si en Delphes. Et d’autant que ceux du pays l’ouyrent tres-volontiers
parler
, sans que toutesfois ils le respectassent autreme
t trouvé plus inutiles que tous les autres ». Ceux de Delphes l’oyant
parler
de ceste sorte, apprehenderent d’abord qu’il ne s
esché de subjuguer une si grande Isle ? ». Esope s’estant mis alors à
parler
, il le fist ainsi. « Puissant Monarque, je ne sui
pil se tiendrent plusur, que de bestes set le retur e as oiseus reset
parler
, mecine quere e demander. Par message le funt som
des autres animaux tant pource qu’aux discours precedents j’ay assez
parlé
contre les personnes envieuses du bien d’autruy,
nous arresterons qu’à l’election des Roys, puis que nostre Autheur ne
parle
que d’eux en sa narration. Il feint donc que le S
s entendu ceste derniere espece de Sages, et qu’il n’a non plus voulu
parler
du Sage consideré selon soy mesme, mais plustost
Mais quant aux hommes d’Estat, et d’affaires, desquels Platon a voulu
parler
, lors qu’il a dit, que ceste Republique estoit bi
la chalve suriz que ne deit mes par jur voler, në il ne deit en curt
parler
.
’Esope furent approuvez par les escoliers, qui le loüant d’avoir bien
parlé
, donnerent le tort à leur Maistre, et s’en retour
, u n’i a si parole nun : tel se nobleie par tençun e veult manacer e
parler
que mut petit fet a duter.
ait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à
parler
au portier, le chien bondit brusquement et le mit
! » Cette fable s’applique au bavard, incapable d’autre chose que de
parler
. Chambry 202.2 Aliter — Autre version.
la flatterie : Ne preste point l’oreille à des paroles legeres, et ne
parle
que fort peu. Au lieu d’envier ceux qui te font d
anda s’il connaissait aussi le Pirée. Le singe, croyant qu’il voulait
parler
d’un homme, dit que oui, et que c’était même un d
ute la compagnie ne sçeut respondre autre chose, sinon qu’Esope avoit
parlé
doctement.
ser pour sçavantes ; Et n’est pas jusqu’aux moindres Artisants qui ne
parlent
publiquement de la guerre, et des affaires d’Esta
de l’ame de ceux qui l’écoutent. Ce n’est pas servir de guide, que de
parler
tant seulement ; Il faut prendre par la main celu
qui voyant leurs Amis malades à l’extremité, n’osent toutesfois leur
parler
de confession, pource, disent-ils, que la peur re
y sans autre merite ;
Matiere infertile et petite.
Le Poëte d’abord
parla
de son Heros.
Aprés en avoir dit ce qu’il en pou
ine le nom dans les Histoires, si ce n’est que les Autheurs vueillent
parler
de sa mollesse, pour monstrer que les personnes q
! Mais je retombe insensiblement en un Discours, dont j’ay si souvent
parlé
dans cét Ouvrage, que je pourrois me rendre ennuy
à la mort, il leur disoit en s’y en allant. « Au temps que les bestes
parloient
, le Rat ayant fait amitié avec la Grenoüille, luy
ls exauceront ma priere, et me vangeront ». Il eust à peine achevé de
parler
ainsi, qu’ils le precipiterent du haut d’un roche
l arrive que les Grands veüillent faire mourir quelqu’un, apres avoir
parlé
genereusement pour le bien de la Patrie, il ne se
huy, A si mal entendu la volonté suprême D’un testateur ! Ayant ainsi
parlé
Il fait le partage luy-mesme, Et donne à chaque s
fille al plus haut element vodra li mulez demander : al soleil en ala
parler
. Pur ceo qu’il esteit [li] plus haut e en esté pu
marque de ce que je suis hargneux naturellement. Le Loup l’ayant ouy
parler
ainsi ; « Est-ce donc cela ? » luy dit-il, « cert
e et la promptitude de ses responses. Aussi est-ce pour cela qu’il en
parle
icy avec des advantages extrêmes, la preferant à
ces mots, le loup se remit en route en disant : « Dans cette ferme on
parle
d’une façon, on agit d’une autre. » Cette fable s
jamais reparer. Il me semble que nous avons cy-dessus assez amplement
parlé
de l’envie, qui consiste en la douleur que nous c
he d’agir, en luy ostant la matiere qui l’entretient ; Ainsi, pour en
parler
sainement, ny la beauté de l’esprit, ny la force
u serais roi. Que me donneras-tu pour te l’avoir annoncé le premier ?
Parle
, je suis pressé, je crains qu’il ne me réclame ;
e conseille de venir aussi et d’attendre sa mort près de lui. » Ainsi
parla
le renard, et le cœur du cerf se gonfla de vanité
nder que pour cette raison ce pauvre Esclave estranger, à qui je fais
parler
nostre langue, ne fust mal venu aupres de vous. M
vanture, et de rendre de mauvais offices à leurs Compagnons. Ils font
parler
hautement leurs serviteurs, et leurs alliez. Ils
n’avoit pas esté tué sur la place, tant cette maudite demangaison de
parler
s’estoit emparée de son esprit. Cette Histoire es
Province ;
Prenez femme, Abbaye, Employ, Gouvernement ;
Les gens en
parleront
, n’en doutez nullement.
de bon en toy, ny d’insolence à te mocquer de mes maux ; Mais que ne
parles
-tu aussi bien de ton malheur particulier, et de m
r un milieu presque asseuré de praticquer si delicieusement le Vice ?
Parlerons
-nous maintenant de la Vengeance ? Celuy qui se tr
u’un homme tel qu’Esope, si excellent en esprit, et qui avoit si bien
parlé
de l’ingratitude, ne pût s’empescher d’estre deçe
hetiue Sculpture, s’ils ne sont animez par l’interieur, ou pour mieux
parler
, s’ils n’ont autant de gentillesse que de beauté.
on soûl, de manière à n’avoir pas faim de tout demain. » Tandis qu’il
parlait
ainsi à part lui, tout en remuant la queue, comme
que tu as de cognoissance, d’adresse, et d’experience ». « Pour t’en
parler
franchement », dit Esope, « l’on sçait assez que
ais je m’arreste plus qu’il ne faut à la moralité de ceste Fable, qui
parle
de soy-mesme trop clairement, pour avoir besoin d
ray ma femme pour la brusler avecque la tienne ». Xanthus oyant ainsi
parler
ce bon homme, et voyant qu’il n’y avoit point de
proche en quelque façon de nostre sujet. Car Esope ayant si bien fait
parler
les Animaux, ce seroit, à mon advis, un manquemen
ux, et ne sont non plus de leur portée, au jugement mesme de ceux qui
parlent
le plus à leur advantage : Tout ce qu’ils peuvent
moire, si ce n’est que Dieu les éleve miraculeusement à la faculté de
parler
, comme il fit à l’Asnesse de Balaam ; et en ce ca
e les bestes, et les enfants font avecque nous. Il reste maintenant à
parler
de celuy qui fist deux parts de son avoine, pour
ne sont entrepris ordinairement que pour la loüange. Mais c’est assez
parlé
des causes de ceste Vertu ; Il faut finir, apres
s de la vie retirée. Il est vray que je ne sçaurois asseurer s’ils en
parloient
de ceste sorte, ou par aucun veritable sentiment
ton conseil, comme n’aguere tu n’avois pas besoin du mien ». « Tu ne
parles
pas mal », reprit Xanthus, « mais je suis fâché q
eu que ceste poignée d’honnestes gents, dont les Historiens nous ont
parlé
. Croyez-moy, les grands hommes n’ont point esté c
n pouvait considérer comme n’étant pas dans leur vrai milieu. Pour ne
parler
que des fables du moine que M. Paul Meyer appelle
t d’abord ils n’ont pas même pu se mettre d’accord sur son nom. Je ne
parle
pas de la traduction française de son nom ; aujou
n, qui semble au premier abord assez naturelle. En effet, après avoir
parlé
d’Ésope le Phrygien et d’Anacharsis le Scythe, Ph
ques étant tombés d’accord pour admettre que Phèdre n’avait pas voulu
parler
un langage figuré, il semble qu’il n’y avait plus
éclaré le compatriote de deux Thraces19. Suivant lui, si Phèdre avait
parlé
de la sorte, il aurait tenu un langage inexact. E
édonienne de Phèdre ; 2º sur l’interprétation à donner aux vers où il
parle
de Linus et d’Orphée21. Pour fournir sur le premi
nitetur tua. Il lui semble résulter du mot olim que, lorsque Phèdre
parlait
ainsi, il était encore loin de la vieillesse. Mai
eur opinion est en contradiction avec le texte même de ses fables qui
parlent
de l’un et de l’autre de ces deux empereurs. Dans
r lequel il désigne Octave. Lorsque, dans la fable x du livre III, il
parle
d’un procès soumis par les plaideurs au jugement
ra encore facile d’arriver à la même démonstration. Le procès dont il
parle
, il en a eu personnellement connaissance : Narra
plaint d’avoir Séjan pour accusateur, pour témoin et pour juge, il ne
parle
pas d’un fait accompli ; il s’exprime ainsi : Qu
tre si affirmatif. Dans le chapitre XIII du livre XVIII50, F. Josèphe
parle
bien encore d’un autre Eutyque, affranchi d’Agrip
squisse rapide de la valeur de l’écrivain et du caractère de l’homme.
Parlons
d’abord de la valeur de l’écrivain. Quand on veut
ute qu’un homme puisse concevoir de lui-même. Il éprouve un besoin de
parler
de son mérite, qu’on ne rencontre au même point c
ination, non de fabulæ, mais de fabellæ 66. Quand il annonce qu’il va
parler
du testament expliqué par Ésope, il déclare qu’il
s humain. Leurs noms sont connus ; il est inutile de les rappeler. Ne
parlons
que de Pierre Pithou. Son père avait eu, en 1524,
prologue compris dans les 34 premiers vers, au fac-simile, dont j’ai
parlé
, et qui a été reproduit dans l’édition Panckoucke
, en 1564, donné l’édition originale. Il n’entre pas dans mon plan de
parler
de cette comédie ; d’ailleurs, quoiqu’elle ne soi
t, pour ne pas profiter ici de l’occasion qu’elle m’offre de le faire
parler
lui-même. Voici ce qu’au sujet de cette comédie,
on trouvera peut-être que j’ai pu, sans trop m’écarter de mon sujet,
parler
un peu du Querolus. Section III. Manuscrit de
e recourus à la consciencieuse publication de M. Berger de Xivrey. Il
parle
bien du manuscrit dans sa préface ; mais lui qui,
ls ne songeaient à extraire du volume que la chanson d’Otinel dont je
parlerai
tout à l’heure, on conçoit qu’ils ne l’aient pas
s importantes. Quant aux autres savants, qui, après lui, voulurent en
parler
, ils ne prirent pas même la peine d’y recourir. A
oupable. Il est donc entendu que c’est du premier livre qu’il a voulu
parler
. Malheureusement, en dehors des fausses variantes
’une vérité même élémentaire, tous les écrivains, qui, après lui, ont
parlé
de Phèdre, ou l’ont répétée, ou l’ont compliquée
uscrits déjà examinés. J’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de
parler
de l’ouvrage, je crois devoir dire d’abord quelqu
EM SVAVIS-SIMVM INCIPIT FOELI-CITER. Cette dédicace, dont j’ai déjà
parlé
et dont j’aurai encore à m’occuper, est immédiate
opier et n’avait pas eu besoin de la traduire en vers ïambiques. Sans
parler
des vieux manuscrits de Pithou et de Reims dont l
e dans la préface de ses fables ésopiques, est le même que celui dont
parle
Martial ? Ils veulent nous faire croire qu’il fut
dieux qu’inutile ; je ne l’entreprendrai pas. Seulement, puisque j’ai
parlé
d’une ancienne fable de Phèdre que Perotti a copi
me il le déclare au début de son œuvre, il avait mis en scène et fait
parler
les arbres et les bêtes, soit parce que, sous cet
évélé les mœurs des puissants de son temps. En effet, lorsque Martial
parle
des jeux de Phèdre, qui est-ce qui n’aperçoit pas
qu’il avait écrit ses fables rudi latinitate 218 ? Le Phèdre dont il
parle
était un fabuliste grec, qui probablement n’était
uvé un des Vers de cette même Fable sur un monument très-antique dont
parle
Zamosius. Et cependant Pérotti prétend qu’elle es
ais traité. Ajoutez a cela que Pérotti connoissoit Phedre et qu’il en
parle
dans cette même Corne d’Abondance. Faudra-t-il su
n Thrace, que c’était bien de l’affranchi d’Auguste que Martial avait
parlé
et qu’il était seulement regrettable que ce flatt
étonner que Sénèque n’ait pas connu les fables de Phèdre ou qu’il ait
parlé
comme s’il ne les avait pas connues… Et il n’est
de passages concernant l’auteur et ses affaires personnelles, qu’il y
parle
de ses adversaires et de ses amis, qu’il y racont
dans l’apologue. Mais il n’est pas besoin de supposer qu’il n’a voulu
parler
que des auteurs nés à Rome pour trouver dans son
ualificatif du substantif jocos, et alors il suppose que Martial veut
parler
de ces dissertations à la fois savantes et raille
cèdent pour voir qu’il déclare prendre Ésope pour guide, et que, s’il
parle
ensuite de Socrate, d’Horace, de Gabrias et de Ph
a-t-il pu attribuer au même philosophe les cinq livres de fables dont
parle
Avianus ? Ne devait-il pas trouver au moins bien
e charger de cette tâche, la confia à M. Berger de Xivrey. J’ai assez
parlé
de son édition diplomatique pour n’avoir pas beso
ition, a eu le mérite d’y joindre un second document, destiné aussi à
parler
aux yeux des sceptiques : il a publié le fac-simi
essaya de faire revivre la question définitivement résolue : je veux
parler
de M. Édélestand du Méril, qui a été un philologu
rain de Sénèque ; oui, Sénèque a connu ses fables. Mais il n’en a pas
parlé
, parce que Phèdre, Macédonien d’origine, les a éc
nce qui avait vécu deux siècles avant Phèdre, et dont la langue ne se
parlait
plus que dans les écoles ; ces imitations de quel
œuvre de Phèdre ; mais il fait observer judicieusement que Quintilien
parle
non de traductions proprement dites, mais de ces
isser traduire. Il n’y a rien d’étonnant à ce que Phèdre ait une fois
parlé
de lui à la troisième personne ; le vers latin ti
t de la religion, doivent en être le reflet. Les nouvelles fables qui
parlent
de Jupiter, de Mercure, de Junon, de Vénus, de Ca
e comme celui dont la fable x du livre III contient le récit. Adry ne
parle
pas de la fable xvi ; il prétend la xviie , Æsopu
vers critiqué lui a été inspiré par la procédure de son temps. Il ne
parle
pas de la fable xxi, et prétend que la xxiie , Ur
rs l’âge de trente ans ; je trouve, dans les traités dont je viens de
parler
, la preuve qu’il ne les composa que dix ans plus
ns les divers Romulus ces fables, dans lesquelles Phèdre fait agir ou
parler
son modèle. Au contraire, si l’on regarde de quoi
tion du manuscrit. Qu’on me permette, avant d’en donner l’analyse, de
parler
du copiste à qui sont dus, sinon en totalité, au
ing ayant attentivement examiné les manuscrits de Gude et n’ayant pas
parlé
de celui de Wissembourg, il avait d’abord été por
simple prose, détruisait les vers et les altérait à sa fantaisie. Je
parle
ainsi du texte sur lequel a été fait ensuite le m
u’il s’est servi d’une collection dérivée du Romulus primitif dont je
parlerai
plus tard et à laquelle je donnerai le nom de Rom
d’Arezzo lui-même détermine exactement la date de son œuvre307. Je ne
parle
pas de la première qui est adressée à Laurent de
supposé ? En est-il un de plus commun parmi ceux qui entendent et qui
parlent
la langue latine310 ? » Animé d’un esprit plus i
eux fabuliste grec, et, sous le nom de Romulus, faisant en définitive
parler
l’affranchi d’Auguste, le paraphraste pouvait lui
après ce que j’en ai déjà fait connaître, il me paraît superflu d’en
parler
de nouveau. La description que je viens de faire
il en existe aussi dans les bibliothèques moins importantes. Pour ne
parler
que de la seconde édition de Sorg, je signale ent
1484. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition, et je n’en
parle
que d’après Brunet348, qui la signale comme une «
rnerai à celui-ci, que m’offre la moralité d’une fable dont j’ai déjà
parlé
, et que notre La Fontaine a imitée : l’Œil du Maî
taire consiste dans la reproduction littérale d’une Préface dont j’ai
parlé
dans ma Dissertation sur Romulus, c’est-à-dire de
ques dont le style se rapproche assez de celui de l’ouvrage dont nous
parlons
; mais il y avoit, au commencement du xiie siècl
tance de l’abbaye, c’était sa bibliothèque. Voici comment il en a été
parlé
dans une Dissertation sur les bibliothèques publi
puis roi de France, ce qui peut faire croire qu’il étoit normand ; il
parle
aussi de Bonne de Luxembourg, mariée en 1332 à ce
Douai, m’écrivit et me demanda des renseignements sur le Phèdre, dont
parlait
le docteur Haenel. Je dus lui dire que ce manuscr
de son contenu, comme il est étranger à mon étude, je m’abstiens d’en
parler
, et, comme précédemment, je ne puis qu’engager ce
damoli, illustre bibliophile du xviiie siècle, dont je ne puis mieux
parler
qu’en extrayant ce qui suit de sa biographie écri
rmat in-4º. — Je dois enfin une mention à une édition, dont j’ai déjà
parlé
et que Morelli a prise pour base d’une fausse hyp
vers, il y a une œuvre qui pourrait être rangée parmi elles : je veux
parler
des fables du vieux et fameux poète Boner, qui, e
r, qui est la dernière : Et per lo puro e simplice pastore colui che
parla
ciò che egli à in cuore. Amen. Le tout se termi
ais, qui en ont été faites au xiiie siècle et dont j’aurai bientôt à
parler
, montrent bien que son apparition n’a pas été fro
Après lui, Pits479, Leyser480, Fabricius481 et Tanner482 en avaient
parlé
tour à tour, mais n’en avaient point connu le tex
e délégués aux Brebis : ils s’adressent directement à elles, et, sans
parler
d’otages, leur offrent d’être leurs gardiens. Dan
que M. Robert a d’ailleurs pris la peine de signaler. Ainsi, pour ne
parler
que du prologue, les deux derniers vers présenten
compte d’un obstacle devant lequel aujourd’hui je m’incline ; je veux
parler
des deux fables du Renard changé en homme et du T
x et différents ouvrages sont contenus dans le manuscrit 303. Pour ne
parler
que de la fable ésopique, on voit qu’il possède p
nication. Je vais profiter de la possibilité que j’ai maintenant d’en
parler
. Section II. Examen du Romulus de Florence.
aient mis en réserve pour être l’objet d’un accord ultérieur. Pour ne
parler
que du fonds Libri qui comprenait 1923 manuscrits
que les vingt-deux fables du Romulus Roberti, dont j’aurai bientôt à
parler
plus amplement, étaient un fragment du Romulus an
M. de Roquefort514, l’abbé de la Rue prétendit que Marie avait voulu
parler
d’un fils naturel de Henri II515. Puis survint M.
ve siècles veut que Guillaume d’Ypres soit le comte de Flandres dont
parle
Marie ; mais ou ne le trouve dans aucun historien
’en aurez la Dieu amour, Et si sur vous dirai tel chose, Ou ia n’aura
parlé
de rose. — Quoi ! fait ele, que dirés vous ? Cert
de la collection n’aurait pas pu, comme il l’a fait dans ce prologue,
parler
de la traduction anglaise, si cette traduction n’
ite servi de base à celui de Marie, qui enfin dans son épilogue avait
parlé
de la version anglaise employée par elle. Il est
la version anglaise, c’est aussi dans son prologue qu’elle en aurait
parlé
. Elle aurait fait comme le poète allemand, qui, v
us de bien des gens. || On y voit les Arbres, le Soleil et la Lune ||
parler
et se mouvoir beaucoup. || Quoique ces inventions
Quant aux 125 fables, M. H. Oesterley, dans le tableau dont j’ai déjà
parlé
, les a fait figurer toutes à l’exception d’une se
à publiée et dont j’avais cru à tort être le premier éditeur. Je veux
parler
de cette collection en vers rythmiques disposés e
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